Rebrab : «Voilà pourquoi j’ai lancé mon projet en France et pas en Algérie»

Comment (3)

    Anonyme
    12 novembre 2018 - 7 h 55 min

    Nalaab wa la nharam.C’est ce qu’applique le clan du président depuis 1999.Il avantage les amis bricoleurs tout en sachant sue c’est une perte de temps et surtout d’argent car ils continueront d’importer en surfactirant et en plaçant le résultat en Europe et bloque ceux qui ont la capacité et le management de s’installer ou ils veulent et le cas de cevital est édifiant.Il est bloque chez lui pour des projets très porteurs mais s’installe dans des pays ou la gestion est de rigueur.Le pays appartient a ses 40 millions et ces derniers vous disent basta laissez les gens investir librement .

    1commentaire
    12 novembre 2018 - 6 h 46 min

    interdit à tout investisseur qui et pas du clan de la mafia Mr Rebrab investisser ailleurs mais pas chez nous car on vous mettra les battons tout le temps ces peine perdu dommage pour de milliers de chômeurs et le développement…

    Anonyme
    11 novembre 2018 - 13 h 44 min

    voici une histoire qui met en exergue le côté « jusqu’au boutiste » de la nature de l’algérien. Du genre « wellah ma n’khelih loukan bellekhsara »!!!. M. Rebrab, c’est connu, ne fait pas parti de leur clan. Il ne doit donc pas réussir même si c’est au détriment du pays. Ce qui est surprenant , dans ce cas précis, ce n’est même pas « aâmili âïn bach taâmilou zoudj », c’est carrément aâmili zoudj aïnin bach taâmilou wehda » Car M. Rebrab ne perd pas grand chose, vu qu’il a les portes ouvertes ailleurs. Allez-y comprendre quelque chose!!! à part le côté maladif de « nos » responsables!

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