A quoi sert Kamel Daoud ?

KD Daoud
Kamel Daoud. D. R.

Par Boualem Snaoui – Pour mes lectures estivales, je me suis fait violence, en glissant dans mes bagages les 464 pages de chroniques (2010-2016) publiées par Kamel Daoud chez Actes Sud. Je dois avouer ne pas avoir dépensé le moindre kopeck pour accéder aux écrits de cet ancien islamiste qui, quand cela est devenu lucratif, a découvert que «Dieu est athée». Pas question donc de donner un centime de droits d’auteur à cette nouvelle, icône heureuse de nourrir l’orientalisme des néoconservateurs «atlantistes». Un orientalisme qui est l’une des misères de l’histoire du monde arabe, un travers si bien dénoncé par notre merveilleux Edward Saïd.

J’ouvre ce livre, juste après avoir lu le dernier chef-d’œuvre de Jean Ziegler : Le Capitalisme expliqué à ma petite-fille, publié aux éditions du Seuil. Le hasard, pour une fois, a bien fait les choses : lire le manuel de la générosité et de l’altruisme juste avant le grand traité de l’égoïsme met les idées à leur vraie place. Entre les deux livres, il y a un fossé, une tranchée genre 14/18. Daoud dangereux, peu fiable et néo-prosélyte comme tous les repentis, fait la promotion du capital et du libéralisme qui est son corolaire. Ziegler, lucide et généreux, dénonce ce monde de la finance sans lois et ses mortels ravages sur l’humanité. Deux mondes différents, et même opposés. Vieux baroudeur entre les destins de l’humanité, Jean Ziegler a vu trop d’hommes mourir, de faim et de guerre, pour un même effet, savoir que le libéralisme c’est la mort des pauvres, des peuples «en trop». De ceux qui gênent. Kamel Daoud, à l’opposé, regrette l’absence d’un «capitalisme fort, de patronats puissants et créateurs de plus-values».

Une drôle de sensation m’habite, celle d’un barreur dans la nuit qui sait qu’il va croiser un iceberg. Daoud se dit Algérien, un peu comme moi, mais je ne retrouve en lui rien de notre bien commun, cet homme est de glace, froid et transparent. Du coup, je me sens Algérien comme Jean Ziegler. Alors que Daoud, tenancier de sa petite boutique «d’algérianité», vante une camelote de qualité «made in China» pour séduire les colons jamais guéris de Saint Germain des prés. C’est l’histoire dans l’autre sens, jadis c’est le «blanc» séduisait l’indigène avec de la verroterie. Au risque de perdre ses lecteurs, qui le prennent pour ce qu’il n’est pas, Daoud doit continuer de se poser en «Algérien», c’est son filon en or. Pensez donc, un Algérien musulman et athée, Arabe, qui déteste les Arabes et qui parle de tout cela «sans langue de bois», Netanyahou et Le Pen auraient rêvé de l’inventer. Pourtant, il est bel et bien là. Alors qu’il n’est qu’un ersatz de Bernard-Henri Lévy, une tête de gondole pour vendre des livres que personne ne lit, c’est-à-dire beaucoup de bruit pour rien, le vent de la barbe à papa. Lectures faites, je persiste et comprends mieux pourquoi Jean Ziegler n’est jamais promu par les médias qui se proclament «grands».

Invité à la télévision, Kamel Daoud est traité comme un saint, le tenant de la nouvelle lumière et du savoir avancé. Aux yeux des gogos, ce réactionnaire est «moderne» et «révolutionnaire». C’est donc sans contradicteurs qu’il déroule sa pelote de lieux communs, l’image du bon nègre Banania qu’attendent les «néocons». Récemment, je l’ai aperçu sur une chaîne de TV algérienne, avec toujours la même posture du penseur couché, criant : «Je sais me défendre.» Cependant, on ne sait contre quoi il se défend.

Questionné sur l’invitation de Daoud, le nouveau commandeur, à l’ambassade de France lors de son passage en Algérie, E. Macron a répondu qu’il «veut entendre tout le monde». Le Président français considère-t-il que Daoud c’est tout le monde ? Ou tous ceux qui résident dans le jardin des puissants ?

Pour revenir à ce qui n’est pas de la littérature, disons que, dans son livre, Daoud nous invite à découvrir, ou redécouvrir, la crème de ses près de 2 000 textes écrits entre 2010 et 2016. Que seraient, nous affirme-t-il, les positions «des journaux et des élites contestataires». Cette position est lacunaire puisque ce Don Quichotte algérien ne nous dit jamais ce qu’il conteste. Il n’a pas besoin d’exprimer de s’attacher aux détails du vrai : il est l’élite à lui seul, et doit être cru sur parole. Mais, patatras Daoud, par le contenu de son opus, atteint un objectif imprévu. Preuve à l’appui – l’existence de son livre –, il démontre que la censure qu’il prétend combattre n’existe pas en Algérie. En effet, comment publier impunément (et c’est tant mieux) autant d’ignominies sur un peuple et un pays «qui manquaient de la liberté de dire, de lire ou de regarder» ? Sacré Daoud, ce Daoud sacré.

Si sa plume se fluidifie miraculeusement contre l’«Arabe et sa langue», le «musulman», et l’«Algérie», cela ne l’empêche pas de célébrer les «Printemps» alors qu’eux aussi sont censés être arabes. Il glorifie les révoltes sans citer un seul révolté. En réalité, il tente de nous faire croire que les révolutions se font sans révolutionnaires et que les chaos sont l’annonce des aubes nouvelles. Outre du Bernard-Henri Lévy ou du Debray, Daoud ne lit visiblement rien d’autre. Sans doute par crainte d’être chahuté par les mauvaises ondes de la vérité. Par exemple, il n’a pas pris connaissance de «la stratégie du choc», brillamment décrite par Naomie Klein, et il regrette sans rire et amèrement que l’anarchie, la destruction et la guerre civile n’aient pas déjà emporté l’Algérie.

Chercheur, créateur de concepts, ce grand penseur nous indique avoir découvert que l’Occident a pour malheur d’avoir voulu incarner la Morale universelle. Sans doute voulait-il parler de l’extermination des Amérindiens, de la traite négrière, des colonisations, de l’utilisation de la bombe atomique sur des populations civiles à Hiroshima et Nagasaki ou encore du nazisme et du fascisme né en Occident ? Sacré Daoud.

Et même lorsqu’il tente de dénoncer le traitement infligé aux migrants en Pologne, comme par instinct, sa plume fait une arabesque et va retrouver son sujet fétiche : l’Algérie. On peut en déduire que si les migrants sont mal traités en Pologne, c’est à cause de l’Algérie. Il en est de même d’une chronique sur la Roumanie puisque Daoud est universel. Pour lui, tous les chemins du malheur mènent à l’Algérie.

Aux intellectuels et universitaires qui se sont opposés à ses positions (le mot idées serait flatteur), il répond, en se réfugiant dans un vocabulaire creux comme un tambour, que «c’est au nom de l’anticolonialisme et de l’inquisition qu’on lui interdit de penser». Après sa tribune délirante sur des viols de Cologne qui n’ont jamais existé, dans laquelle il présentait l’Arabe comme une sorte d’être génétiquement violeur, les intellectuels qui ont protesté lui auraient organisé un procès stalinien. Il annonce même à grands fracas qu’il va quitter la scène, et prendre la porte. Ce qui serait une bonne idée, s’il la laisse ouverte, sera nous faire de l’air. Mais rassurez-vous, il y a le goût d’être sur les planches et celui des droits d’auteur : il revient par la fenêtre. Recyclant les clichés les plus éculés – mais toujours orientalistes –, il déverse incessamment une haine inégalée du «musulman». Elle a un sens, son engagement dans la guerre du «choc des civilisations» le monstre agité par les forces les plus réactionnaires, celui qui marche main dans la main avec «le grand remplacement».

Il suffit de lire au hasard, avec rage et courage, cette phrase de Daoud : «Les derniers colons de ce pays plantaient plus d’arbres que ceux qui l’ont libéré…» Oubliant en passant la nature de celui qui tenait la pioche. Il va jusqu’à regretter l’attitude consensuelle montrée par Jean-Pierre Chevènement lors de son passage à Oran en septembre 2010, et plaide, lui Daoud, la cause des Français nostalgiques de «l’Algérie française». Aidé de son cerveau servile, ce Zemmour algérien affirme, contre toute l’Histoire, que «c’est la France qui a décolonisé la terre». Et le peuple algérien n’est pour rien dans la lutte pour une indépendance tombée du ciel colonial, une insulte à la vérité, à la mémoire, à l’histoire, aux universitaires, aux intellectuels. Ce concept de la «décolonisation» porté aussi par Daoud Kamel est, en fait, une ultime manœuvre coloniale. Avec Kamel Daoud, nous sommes dans le colonialisme d’outre-tombe. Son projet est clair, son flot de vomi, qui a pour but de flétrir tout ce qui est algérien, doit nous donner à croire que «l’indigène ne peut se libérer, on l’a donc décolonisé».

Moment de détente, ou de saine curiosité satisfaite, moi qui croyais pouvoir accéder à des confidences sur son passé «islamiste», j’ai été déçu par ce livre. Aucun signe, aucun mot, aucune confidence sur ses engagements auprès des forces violentes, qu’il qualifie lui-même de terroristes. Cette amnésie est confirmée, comme le démontre le livre Contre-Enquête (Editions Frantz-Fanon) d’Ahmed Ben Saada : Kamel Daoud est passé à autre chose, Allah est oublié.

Jacques-Marie Bourget, journaliste français, et expert de notre monde, le qualifie de «grenouille autopsiée». Pour Jacques-Marie Bourget, Daoud est «le supplétif des pires néoconservateurs français», «l’indigène alibi». Et le grand et vrai écrivain Rachid Boudjedra a cloué le cercueil en le mettant à nu.

Pour bien revendiquer son appartenance aux camps des civilisateurs, Daoud joint donc sa voix aux tenants du choc des civilisations, depuis en fait, depuis Mahomet et même avant, le seul but du musulman est de vaincre toute la planète. Ainsi, pour lui, pas de différence entre le sacrifice du militant anticolonial Ali La Pointe et le tueur toulousain Mohamed Merah. Pour bien nourrir les phantasmes et la haine, ce néo-harki de la pensée apporte sa contribution : il stigmatise les habitants des quartiers populaires, en s’interrogeant sur «les milliers de Mohamed Merah» qui sont «partout», «dans une salle de bains, l’arme au poing», ou quelque part, «debout au bas de l’immeuble». Peut-être Daoud n’a-t-il pas lu les confidences d’Albert Chennouf-Meyer (Abel, mon fils, ma bataille. Ed. Du Moment, 2013), père d’Abel, l’une des victimes des tueries de Toulouse ? Et, suivant la doctrine et le mode de penser de ce nouveau philosophe, il est temps de nous poser, nous aussi, une question : «Combien de Daoud sévissent dans les rédactions des journaux algériens ?»

Versant dans le tribalisme le plus rétrograde, il appelle de tous ses vœux, dans chaque région, à ne parler autrement qu’en dialecte local. Pour Kamel Daoud, la langue s’écrit «avec l’âme». Dans une reptation de serpent, il veut voler ainsi à la rescousse de groupes qui prétendent dynamiter l’Algérie. Comme ces mouvements croupions et d’extrême droite qui prétendent défendre (sans doute mieux que Kateb Yacine) la langue et la culture berbères ! Puisqu’il ne lit que Debray et Bernard-Henri Lévy, il n’a pas ouvert le magnifique bouquin de Patricia M.-E. Lorcin Les Identités coloniales… une lecture capable de laver la tête de KD Kamel Daoud. Au-dedans. Le titre que mérite cette «somme» de Daoud est simple : «Chroniques de l’horreur.»

Je n’ai trouvé qu’un point sur lequel on puisse gloser sur du Daoud, c’est quand il écrit : «On a détruit les libertés et les libérations acquises après le départ des colons.» Il est effectivement exact qu’un peuple martyrisé, abandonné dans le concert des nations, trop seul après sa révolution ait commis des erreurs et connu des errances. Il est effectivement exact que l’Algérie se cherche toujours. Mais oublier une guerre civile provoquée par les anciens Frères idéologiques de Daoud, ce n’est pas omettre un détail. Mais ce «lissage» permanent de l’histoire, sa recréation sont le carburant que permet à Kamel Daoud de poursuivre ses livres et chroniques de flagellations des «Algériens», de l’«islam», de l’«Arabe», du «régime». Sans cette interminable mise à mort, le livre n’aurait que l’épaisseur d’un album à colorier.

Il est drôle, piquant, amusant de retrouver soudain notre Kamel Daoud quand il revient à sa source d’inspiration première, le wahhabisme. Tout cela sur le mode mondain, chic-français, convenable. Notre immense écrivain, notre Hugo à nous, a découvert le Qatar et ses vertus, vertes comme le dollar. Pour Daoud, le Qatar n’est pas ce qu’il est, c’est-à-dire un pays sans Constitution, sans lois, corrupteur et esclavagiste ayant naguère condamné un poète à mort au prétexte qu’il avait souhaité la venue d’un «printemps» à Doha. Mais le Qatar, versus Bernard-Henri Lévy, n’est-il pas le prototype d’un islam moderne, compatible avec la démocratie et il distribue des prix littéraire, organise de généreux colloques ? Donc, pour Kamel Daoud, la monarchie du Qatar, c’est top. Je lis : «Le Qatar a réussi à exporter l’image d’un pays où l’on peut dire des choses, où l’on assume les relations internationales, même avec Israël, sans hypocrisie, où la liberté de culte n’est pas qu’une chasse aux casse-croûte et où les droits de la femme sont les plus respectés dans cette région du monde, la révolution Al-Jazeera a fini par ‘’enfoncer’’ encore plus le reste du monde ‘’arabe’’, en en soulignant, par contraste, le calendrier moyenâgeux.» Ce propos est outrancier dans un pays, je le répète, où le droit n’existe pas, sauf la Charia que l’on impose jusque dans le lycée, pourtant baptisé… Voltaire !

Quel crédit accorder à ce faussaire erratique capable de célébrer Israël, tout en qualifiant cet Etat de «raciste» et «sans frontières». Dans sa posture de penseur couché, il ne veut pas voir le droit international et islamise la cause palestinienne. Il l’arabise, l’islamise à sa façon, et n’irait pas jusqu’à lire les rapports de Goldstone et de Richard Falk ou tout simplement les livres de Shlomo Sand, Ilan Pappé et ceux du courant israélien des «Nouveaux historiens». Pour Daoud, le summum de l’injustice, celle faite aux Palestiniens n’existe pas puisqu’il est impossible d’être «injuste» avec des «Arabes, des musulmans». Peut-être, afin d’adoucir son regard, et rien que pour Kamel Daoud, l’Algérie devrait organiser un ghetto type «Gaza» ?

Sans aucune honte, l’effroyable auteur bas de plafond ose écrire : «Le mort palestinien sera un homme tué lorsqu’il ne sera pas un barbu mort ou un Arabe bombardé.» Un passeport pour le crime et bientôt le génocide. Et ce n’est pas parce que dans sa bande Daoud n’est pas seul que l’effet de groupe constitue une excuse. Que valent au poids des piges, des cachets et des droits d’auteur, les plumitifs que l’on découvre à marée basse, au plus bas de l’humanité, rien d’autre que de la haine. Dans ma culture berbère universaliste (et non tribale), il existe un mot pour qualifier ce nuisible : azrem, le serpent.

B. S.

Comment (233)

    Dastane
    21 décembre 2018 - 15 h 10 min

    Ce Monsieur dont l’acharnement à défendre la Palestine dhlama oula madhlouma et à attaquer Israël dhalimoun oula madhloumoun en tant que président de Resoci (Réseau solidaire citoyen) , plus zarabe que les zarabes et plus palestinien que les palestiniens qui n’en font pas autant, n’avait pas besoin de forcer l’analyse pour condamner KD, puisque celui-ci lui a donné un bon prétexte en affirmant que Palestine n’avait pas toujours raison et qu’Israël n’avait pas toujours tort et qu’a propos du conflit israélo-arabe qui ne l’est plus tellement aujourd’hui, du moins dans l’étendue de sa binarité d’antan , lui, KD, était réservé.

    Que n’avait-il besoin de tant de marmelade pour noyer KD a Sidi ! Il lui eût suffit de stipuler que quand on est arabe ou musulman on a forcement raison, et quand par chance on est les deux on ne peut absolument pas avoir tort pour faire lapider KD et pour que nous autres nous n’aurions même pas eu de quoi le défendre .

    Au lieu de cela il fait suer sa terminologie pour lui faire suinter les mots les plus blessants.

    Passons sur l’usurpation de la caution de Ziegler, le pourfendeur du capitalisme financier, et d’Edouar Said: le Fanon indigène, le butindegueriste oriental , qui regarde son miroir dans un miroir pour rétablir sa bonne image. Et qui a retourné contre l’occident ses propres armes. Non, je n’ai pas dit qu’il leur a chié dans la soupe, non ! Si j’avais lu Ziegler et Edouar Said avant que Boualem Snaoui se les approprie pour me donner la nausée, j’aurais cru que c’est lui qui les a inspirés.

    Mais si ce n’était que par le plagia qu’il se laisse attraper, on le lui aurait passé. Et comme ce n’était que pour se faire mousser en jouant les érudits qui en met plein à ses bigots, cela nous a épargné une savonnette pour le laver et l’occasion de profiter de la douche froide pour onaniser à propos , et le sacrifice d’un teymoum rêche pour le roqyer à la fin.

    Voyons comment l’araignée hideuse a tissé sa toile et resserré sa spirale infernale :

    D’emblée, comme Daoud n’est pas pro-palestinien surdi-muti-sourdement, et pour cause, il n’onanise pas , lui, il ne saurait être complètement Algérien .

    Et pour ce qui n’ont pas eu assez pour leur macha-allahité , il a repris sa louche pour leur en mettre plein les yeux avec rien que de la poudre à bigot fanatique.

    Vous ne l’aviez sans doute pas remarqué mais Daoud a toujours était fasciné par . Snaoui au point d’oser s’identifier totalement à lui. Si B. Snaoui ne l’avait pas réduit à sa portion congrue, sacrifiant un gros morceau de son humilité.

    « Daoud se dit Algérien, un peu comme moi ». Cinglant non ?

    Ayavava, je vais arrêter d’être Algérien !

    Cela n’était il pas assez « suffisant » pour excommunier KD et le bouter hors de l’algérianité ? Que si, que si !

    Et si jamais il lui prenait l’idée de parjurer son apostasie , ou que la nostalgie le ramenait à ses origines ?

    Pardon ! Je reformule : Et si jamais KD persistait , alors il faut le ramener à ses origines de dangereux islamiste !

    « Daoud dangereux, peu fiable et néo-prosélyte comme tous les repentis. »

    Non rassurez-vous il n’y a là aucune injure , dans la bouche d’un propagandiste pro-palestinien, c’est plutôt un compliment.

    Pour Daoud, le summum de l’injustice, celle faite aux Palestiniens n’existe pas puisqu’il est impossible d’être «injuste» avec des «Arabes, des musulmans».

    Non, Daoud n’a pas dit ça exactement . Vous forcez l’interprétation. KD a dit : ce n’est pas facile d’être juste avec des zarabes , des muzulmans, avec un Z, comme Zambla, Zapata, …

    Mais il n’y pas que ça . Si son seul moyen de rivaliser avec KD , mais ne l’ayant pas atteint en en jouant grenouille de l’emphase, n’était pas de le ramener au niveau caniveau où il excelle dans l’invective, il lui suffisait de jeter ses mots dans n’importe quel ordre sur le tapis, pour que tout le monde comprenne qu’il en est jaloux , un peu, énormément , à la folie.

    Voilà rien que pour ce que j’ai pu lire superficiellement en me bouchant le nez avant que la nausée me saisisse .

    Le reste est tout au fond de l’égout où B. Snaoui a été puiser le purin le plus fort pour salir KD, je n’y suis pas allé .

    Alors , à quoi sert KD ? A vous sortir de vos terriers !

      Droits Humains
      26 décembre 2018 - 14 h 06 min

      Avec toutes tes contorsions inutiles, tu as réussis à dire quoi ?que Daoud n’est pas un ex islamiste ? un défenseur de l’état colonial israélien ? un défenseur du Quatar ? un défenseur du capitalisme meurtrier ? un néoconservateur de premier plan ? celui qui fait le parallèle entre Merah et Ali la pointe ? celui qui ne fait pas référence au droit international ? …etc. Franchement, votre intervention ressemble à celle d’un supporter dans un stade de foot ou d’une partie de dominos dans un café.

    ZORO
    17 décembre 2018 - 19 h 10 min

    @QARAMAZOV
    Pourquoi te donnes tu tant de peine a travers tous ces ecrits Si tu t adresse aux GETHAM (les gens de la tribu haineux des arabes et musulmans) ils te sont deja acquis , si tu vise l autre camps c est peine perdue toi DAOUD et toute votre tribu . Je te conseille de continuer d avaler tes escargot au bord du lac que tu citais dans un de tes post et n oublie pas leurs coquilles vides que tu lance sur AP.
    SIGNEZORO….Z….

    Karamazov
    17 décembre 2018 - 11 h 31 min

    Et maintenant pour revenir au sujet principal , plus précisément à celui qui a mis le feu au lac et qui nous fait déverser tout ce vinaigre pour l’éteindre et beaucoup de foin aussi pour l’entretenir, occupons-nous du Sieur Mouassi.

    Ce Monsieur dont l’acharnement à défendre la Palestine dhlama oula madhlouma et à attaquer Israël dhalimoun oula madhloumoun en tant que président de Resoci (Réseau solidaire citoyen) , plus zarabe que les zarabes et plus palestinien que les palestiniens qui n’en font pas autant, n’avait pas besoin de forcer l’analyse pour condamner KD, puisque celui-ci lui a donné un bon prétexte en affirmant que Palestine n’avait pas toujours raison et qu’Israël n’avait pas toujours tort et qu’a propos du conflit israélo-arabe qui ne l’est plus tellement aujourd’hui, du moins dans l’étendue de sa binarité d’antan , lui, KD, était réservé.

    Que n’avait-il besoin de tant de marmelade pour noyer KD a Sidi ! Il lui eût suffit de stipuler que quand on est arabe ou musulman on a forcement raison, et quand par chance on est les deux on ne peut absolument pas avoir tort pour faire lapider KD et pour que nous autres nous n’aurions même pas eu de quoi le défendre .

    Au lieu de cela il fait suer sa terminologie pour lui faire suinter les mots les plus blessants.

    Passons sur l’usurpation de la caution de Ziegler, le pourfendeur du capitalisme financier, et d’Edouar Said: le Fanon indigène, le butindegueriste oriental , qui regarde son miroir dans un miroir pour rétablir sa bonne image. Et qui a retourné contre l’occident ses propres armes. Non, je n’ai pas dit qu’il leur a chié dans la soupe, non  ! Si j’avais lu Ziegler et Edouar Said avant que Boualem Snaoui se les approprie pour me donner la nausée, j’aurais cru que c’est lui qui les a inspirés.

    Mais si ce n’était que par le plagia qu’il se laisse attraper, on le lui aurait passé. Et comme ce n’était que pour se faire mousser en jouant les érudits qui en met plein à ses bigots, cela nous a épargné une savonnette pour le laver et l’occasion de profiter de la douche froide pour onaniser à propos , et le sacrifice d’un teymoum rêche pour le roqyer à la fin.

    Voyons comment l’araignée hideuse a tissé sa toile et resserré sa spirale infernale :

    D’emblée, comme Daoud n’est pas pro-palestinien surdi-muti-sourdement, et pour cause, il n’onanise pas , lui, il ne saurait être complètement Algérien .

    Et pour ce qui n’ont pas eu assez pour leur macha-allahité , il a repris sa louche pour leur en mettre plein les yeux avec rien que de la poudre à bigot fanatique.

    Vous ne l’aviez sans doute pas remarqué mais Daoud a toujours était fasciné par . Snaoui au point d’oser s’identifier totalement à lui. Si B. Snaoui ne l’avait pas réduit à sa portion congrue, sacrifiant un gros morceau de son humilité.

    « Daoud se dit Algérien, un peu comme moi ». Cinglant non ?

    Ayavava, je vais arrêter d’être Algérien !

    Cela n’était il pas assez « suffisant » pour excommunier KD et le bouter hors de l’algérianité  ? Que si, que si !

    Et si jamais il lui prenait l’idée de parjurer son apostasie , ou que la nostalgie le ramenait à ses origines ?

    Pardon ! Je reformule : Et si jamais KD persistait , alors il faut le ramener à ses origines de dangereux islamiste !

    « Daoud dangereux, peu fiable et néo-prosélyte comme tous les repentis. »

    Non rassurez-vous il n’y a là aucune injure , dans la bouche d’un propagandiste pro-palestinien, c’est plutôt un compliment.

    Pour Daoud, le summum de l’injustice, celle faite aux Palestiniens n’existe pas puisqu’il est impossible d’être «injuste» avec des «Arabes, des musulmans».

    Non, Daoud n’a pas dit ça exactement . Vous forcez l’interprétation. KD a dit : ce n’est pas facile d’être juste avec des zarabes , des muzulmans, avec un Z, comme Zambla, Zapata, …

    Mais il n’y pas que ça . Si son seul moyen de rivaliser avec KD , mais ne l’ayant pas atteint en en jouant grenouille de l’emphase, n’était pas de le ramener au niveau caniveau où il excelle dans l’invective, il lui suffisait de jeter ses mots dans n’importe quel ordre sur le tapis, pour que tout le monde comprenne qu’il en est jaloux , un peu, énormément , à la folie.

    Voilà rien que pour ce que j’ai pu lire superficiellement en me bouchant le nez avant que la nausée me saisisse .

    Le reste est tout au fond de l’égout où B. Snaoui a été puiser le purin le plus fort pour salir KD, je n’y suis pas allé .

    Alors , à quoi sert KD ? A vous sortir de vos terriers !

    ZORO
    17 décembre 2018 - 8 h 06 min

    Rushdi etait plus malin il a soutiré une fetwa a khomeini qui l a rendu celebre Daoud a tente veinement de l
    l imiter il a eu sa fetwa ,mais le mufti hamadeche n etait pas connu.
    SigneZORO. ..Z…..

    Anonyme
    17 décembre 2018 - 4 h 56 min

    Pour répondre à la question du titre « à rien ».

    Le personnage ne sait certainement pas, que les comportements de lèche bottes du système ne mènent à rien. Ses maîtres lui ont fait croire qu’il est écrivain en lui promettant des papiers bien sur, mais aussi fortune et reconnaissance. Je dirais à Mr Daoud, que je vous ai déjà entendu parlé sur un plateau de télé française, et bien je peux vous dire sincèrement, même avec un gros salaire à clé je n’aurais jamais accepté me trouver à votre place. J’ai constaté que votre intervieweur vous méprisait à un tel point que j’ai eu pitié de vous.

      Anonyme
      17 décembre 2018 - 7 h 40 min

      A chacun sa façon d’être et sa façon de voir les choses. L’essentiel est que vous ne lui empéchiez rien de faire de ce qu’il veut faire dans sa vie, et tu peux penser ce que tu veux ça n’y changera rien.

        Salima
        17 décembre 2018 - 20 h 18 min

        A quoi sert ce faible d’esprit quoi qu’en disent ses acolytes?
        Chez nous quand on crève de faim on tient le calendrier des fetes religieuses et mondaineq ; on y remplit la bedaine et emporte la besace pour garnir les creux éventuels en attendant le prochaine autoinvitation.Là bas , on déniche l’adresse des restau du coeur et du secours catholique.Ce pauvre diable préfère s’inviter chez BHL et consorts .Il fait reconnaitre que le diner chez le CRIF est hallal , c’est plus sûr pour pour l' »inconscience malheureuse »l’ancien barbu de MESRA.Bon appetit péquenot.

    Anonyme
    17 décembre 2018 - 1 h 38 min

    Alors, il y a 221 commentaires et personne n’a répondu à la question de l’auteur de l’article: à quoi sert Kamel Daoud ?
    Hé ben, je vais essayer de donner une réponse..il sert à faire la danse du ventre sur les plateaux TV sionistes pour les garagouzes qui veulent bien l’écouter. Il sert aussi à lécher les bottes de ses Maîtres pour qu’il lui donne un prix ou deux et soigne son notoriété.
    Il sert à écrire des bêtises et des mensonges pour semer la confusion dans l’esprit de ses compatriotes. Il sert à faire passer des messages codés et non codés de ses maîtres pour la jeunesse algérienne dans un but bien précis et pour des raisons biens connues…je peux continuer jusqu’au petit matin, mais j’espère que j’ai pu apporter une toute petite réponse à la question posée, alors les gars arrêtez votre enfantillage, cessez de vous chamailler et de faire diversion, car l’heure est grave.! peut être qu’on aura le 222ème Com. à la santé des harkis intellectuels.!

      Anonyme
      17 décembre 2018 - 7 h 42 min

      Ta réponse a été notée. En attendant celles des autres. Et entre temps, chacun est vaque à ses occupations.

    ZORO
    16 décembre 2018 - 20 h 53 min

    Chez le musulman quand il depasse les 63 sans probleme, ce qui peut advenir dans le rabio est un non evenement. Notre moral est assez solide pour supporter tous les aleas avec cette formule magique Elhamdoulillah.je suis sincere quand je te dis que je n ai que rarement commenté dans d autre site surtout pas sur une harley davidson .to be happy i advise you to sing.
    Jogging love is in my soul since i was born ha ha ha ha staying aliiiiive
    SigneZORO. …Z….

      Souk-Ahras
      17 décembre 2018 - 0 h 29 min

      @Zoro

      Ce n’est plus un seul genoux qui te lâche, c’est les deux maintenant. Tu es à la bourre old chap !
      I Guess it’s hard not to agree, but I say it once more : unquestionably, you’re awfully a great « Tragedy ».

      Pour info : les Bee Gees ne m’ont jamais inspiré, moi c’est plutôt Super Tramp, rien à voir avec tes « faggot », écoute ça un peu :

      «….. 
      When you look trough the years and see what you could
      Have been oh, what might have been,
      If you had more time.
      So when the day comes to settle down,
      Who’s to blame if you’re around ?
      You took the long way home »

      Bon vent ami Zoro.

    Karamazov
    16 décembre 2018 - 15 h 32 min

    @ Hadji

    P…. ! Nous assener ça au moment où j’allais hiberner !

    Dites moi s’il n’y pas un chouia de pédagogisme barbant chez ce présomptueux et impromptu  qui font l’art d’accommoder les restes et la gastronomie ?

    Cet hurluberlu nous est tombé comme un cheveux sur la soupe en plein débat qu’il croyait agrémenter avec une prétention que je ne qualifierais pas ici , en plus il quitte la table en chiant dessus.

    Si ce n’était la perspicacité de mon sens du discernement très aiguisé j’aurais vu sous son ton professoral un des augustes commentateurs qui parfois s’y laisse aller , lui aussi. Mais finalement je me refuse à y aller dans ce genre de confusion, il ne le vaut point, car ce n’est qu’un OVNI que notre force d’attraction a percuté.

    « Etat d’ âme » ??? Il y a là un affront à notre susceptibilité. Si ce n’était ma modeste humilité, je me serais presque senti visé. Et comme « l’autre » en a pris presque tout sur lui, je me sens plutôt ragaillardi.

      Karamazov
      16 décembre 2018 - 15 h 41 min

      A propos de gastronomie, je suis en train de déguster une douzaine d’escargots à la bordelaise roqyés avec une boisson du terroir. Une coquille est tombé dans mon post.

      lisez donc: Qui confond l’art d’….

    Hadji
    16 décembre 2018 - 13 h 26 min

    En solde de tout compte…

    @Zoro,

    Vous faites une fixation qui dénote votre étroitesse de vue. Vous avez une vision totalitaire qui vous réduit le monde à deux entités : La vôtre et l’autre. Chez vous il n’y a qu’une façon de voir et vous voudriez qu’il en soit ainsi de l’autre coté, chez les libres penseurs. Vous ne voyez pas toutes les nuances du gris. Alors ; pour vous : Abou-Strof, Zaatar, Abou Lengi, Souq Ahras ,Karamazov , ne sont qu’un seul homme , ou des copies . Et pourtant avec un peu de discernement vous auriez vu sans votre paranoïa réductrice, que Sansal, à bien des égards ,est plus proche de Boudjedra que de Daoud : sans la jalousie pathologique de l’un et le succès de l’autre ?

    Si je me suis amusé à imiter la sobriété des uns , l’ironie , le cynisme, la légèreté des autres , ainsi , que le sérieux, l’application, de certains , ce n’était que pour empêcher justement toute identification. Et apparemment c’est réussi au point de ne plus me reconnaître dans ce que j’ai écrit. Mais vous n’aviez su voir en moi que le pire. Et quand à la fin vous étiez totalement largué ,vous aviez défoncé votre propre porte pour me trouver, jusqu’à me voir en vous.

    Pourtant, quoi que vous fassiez, vous ne pouvez pas savoir qui se cache réellement derrière chaque pseudo.

    Arrêtez donc de jouer les graphologues du numérique. Un pseudo reste un pseudo , qu’importe qu’il soit le pseudo d’un pseudo d’un pseudo ! Ils restent d’illustres anonymes quoi que vous fassiez ?

    Zaatar, Souq Ahras, Abou Langi, Zoro, karamazov, Abou Stroff, Citoyen Lambda, sont des hommes : des hommes qui ont pris conscience de leur « terrible humanité ». Et qui trouvent un instant pour ne pas se prendre au sérieux , se lâcher , pour leurs états d’âmes, ici.

    Quant à votre serviteur, il est aussi éloigné que proche des uns ou des autres que de n’importe qui !

    Chers compatriotes, je vous salue !

      Souk-Ahras
      16 décembre 2018 - 15 h 22 min

      @Hadji
      «Quant à votre serviteur, il est aussi éloigné que proche des uns ou des autres que de n’importe qui ! »
      Qu’il est long le chemin que vous nous conviez de suivre à la gloire de la volute, partant de la galaxie de l’oignon, frôlant de près celle de la tomate pour venir enfin s’échouer sur celle de l’haricot.
      Bon vent sidéral cher ami intervenant. Mes pensées amicales, très précises et particulières, vous accompagneront durant votre périple vers la galaxie de l’ellipse.

        Anonyme
        16 décembre 2018 - 19 h 21 min

        De l’éclipse, j’aurais dit !

      ZORO
      16 décembre 2018 - 20 h 31 min

      @HADJI
      Je n ai jamais dit que les gens que vous avez cité etaient une seule personne pour la simple raison que moi je
      suis un homme d ouie musicale plutot qu un homme de vue, d ecriture et de lecture comme il vous plait de le faire apparaitre,j ai senti que souk ahras , zaatar et zombretto AVAIT le quart de note du luth arabe que aboulangi,hadji karamazov hendoukaci ,ne peut jamais avoir dans SA guitare,quand a Aboustroff et son bendir il a beau tapé Il ne m interresse pas.
      SIGNEZORO. ..Z….

        Abou Langi
        16 décembre 2018 - 20 h 56 min

        Et Zoro, Wahdahou la charika lah !

          ZORO
          16 décembre 2018 - 21 h 35 min

          Je tiens a te remercier aboulangi tu m as fait rire jusqu a avoir des larmes sincerement, …
          ZORO. ..Z ….

    Zaatar
    16 décembre 2018 - 12 h 48 min

    Et pour clore le sujet, à quoi sert Kamel Daoud? eh bien à faire du commentaire sur AP on en est à 212…213 si AP publie celui ci.

    Souk-Ahras
    16 décembre 2018 - 11 h 16 min

    @Zoro,
    Ah ! mon bon ami, non seulement ton genoux te lâche, mais je crains que certaines de tes liaisons neuronales te fassent défaut aussi. Et ceci s’applique de même à l’Anonyme du 15 décembre 2018 – 22 h 27 min qui t’a répondu dont je reconnais la « signature » et la « déshérence ».
    Me crois-tu dupe à ce point ? Revois donc avec quoi j’ai conclu mon commentaire dans lequel je te tutoies, ce que je ne fais pas habituellement. So, which one of us is old ?
    Je pourrais même te parler d’un certain pseudo d’il y a quelques années, qui venait, sur un autre site, pousser sa chansonnette avec sa guitare et sa Harley Davidson qu’il préféraient au « dessus de tout ».
    Unquestionably, you’re awfully a great « Tragedy ».
    AS a friend.

    anonyme
    15 décembre 2018 - 18 h 55 min

    Recevoir 2 scud en pleine tronche ne lui a pas suffit, il poursuit inlassablement sa théâtralité à 2 balles. Il ne se rend même pas compte que son état empire. Il est l’auteur de la plupart des posts sous divers pseudos. Il est reconnaissable à son style, une interminable logorrhée insipide et ennuyeuse où il est souvent question de lui. L’invective est sa raison d’être. Il lui faut annihiler l’adversaire. C’est un être dénué de culture, sa morale, elle est au niveau de ses basques. Il confond Ap avec d’autres sites proches de sa tribu. Du vent !

      ZORO
      15 décembre 2018 - 21 h 01 min

      Son pseudo favori qu il dissimule
      CARANTA FELKHAREDJ
      SIGNE ZORO…Z…

    Souk-Ahras
    15 décembre 2018 - 17 h 41 min

    @Anonyme
    15 décembre 2018 – 12 h 08 min
    « Insomnie ou alzheimer? » Ta réaction est pitoyable.
    Ni l’un ni l’autre. Depuis des années je me suffis de 3 à 4h de sommeil par jour, c’est physiologique, mon organisme fonctionne ainsi. J’ai toujours été actif dans ma vie, très actif. Si je me mettais à te décrire tous les autres sports que je pratique encore, et mon emploi du temps en 1973 quelque part à l’Est du Caire, tu vieillirais encore plus sur le champ, parole de souk-ahrassi Wilaya 41.
    J’ai participé à plusieurs marathons et super-marathons (100km) à travers le monde, 22km c’est la longueur d’un semi-marathon, et c’est la distance que j’affectionne depuis que je ne participe plus à ce genre de compétitions, ça entretien le vieux diésel que je suis qui carbure toujours à merveille. Je te parlerais volontiers d’autres « exploits », mais par respect pour l’accueil d’AP et des intervenants je m’en abstiendrai. Avoues que ça t’en bouche un coin qu’il y ait des vieux qui « tapent » encore dans le tas.
    La comparaison avec Zoro, je la trouve amusante, sans plus. Au faite, la Wilaya 22, n’est-ce-pas Sidi Bel Abbes ?

      ZORO
      15 décembre 2018 - 20 h 40 min

      salut souk
      je ne t ai jamais connu sous cet etat il aurait fallu que j oublie de porter mon pseudo et ma signature pour te voir affoller au point de ne plus reconnaitre ZORO et pourtant mon commentaire indiquait bien que c etait moi .Quoique tu dises l ami SOUK ta reaction indique bien que tu n as plus confiance en toi. be cool it s better for your heart and do what i did when i read you , just listen to the beegees singing STAYING ALIVE
      you can say by the way i use my » talk » i am « talker » man
      SIGNEZORO…Z…

        Anonyme
        15 décembre 2018 - 22 h 27 min

        Bien joué ! Quelle leçon! Bravo l’ami!

        Zaatar
        16 décembre 2018 - 8 h 52 min

        IL me semble que c’est « Well yous can tell by the way un use my walk, i’m a woman’s man no time to talk… » juste pour corriger peut être..

    Karamazov
    15 décembre 2018 - 17 h 39 min

    C’est à vous que l’injure sied le mieux  ya Hadji : si le parjure et le plagia ne vous allaient pas comme un gant. Vous êtes comme les gaz , vous aviez pris toute la suffisance et la condescendance que certains ici n’ont pas pu avoir.

    Mais vous aviez raison . C’est YK qui disait ,  «  il y en a qui cherchent la coquille au moindre détour de phrase » . Vous n’êtes pas YK  ? moi non plus , car je n ‘aurais pas dit « coquille » .

    Mais tout compte fait, maintenant qu’elles ont refroidi, et vous avez changé d’épaule à votre fusil, je trouve qu’il y a du poil ,dans vos posts, un peu de piment aussi, il ne vous manque que ce goût insaisissable qu’ont hebète lefhama. Et là je pourrais , si vous voulez, vous donnez des leçons. Ou seulement vous passer une boite de 30 comprimés.

      Hadji
      15 décembre 2018 - 17 h 51 min

      Merci pour ce joli bouquet d’orties ! j’aurais préféré des chocolats ou des bombons. Mais comme n’avez pas l’élégance de Brel, rustre que vous êtes je vous pardonne votre irrévérence.

      Vous pourriez me remerciez chouïa pour les avoir fait tomber de leurs chameaux et de leur préciosité. Vous allez voir que ces chochottes vont finir par s’étriper !

        Karamazov
        15 décembre 2018 - 18 h 07 min

        Ça m’écorche la gorge , mais tant pis! Merci !

        Mais allez y mollo, sinon il y a mon fantôme qui viendra vous persécuter.

    Un Lecteur Lambda
    15 décembre 2018 - 17 h 16 min

    Je ne suis pas Hadji, pardi ! Qu’on arrête. Je n’ai qu’un seul pseudo. Point barre. Certains d’entre vous manque de sérieux et de tenue. Je croyais que nous pouvions échanger nos points de vue, débattre même si nos points de divergence semblent irréconciliables… mais en restant dignes. Je constate, hélas, que ce n’est pas le cas, certains ont tendance à déraper, assez souvent d’ailleurs. Des plaisantins pas drôles du tout. Il y a même un certain degré d’immaturité dans leurs réponses…. Désormais, je ne me donnerai plus la peine de vous répondre.

      Hadji
      15 décembre 2018 - 17 h 37 min

      Ho! Ho! Ho! Au lieu de monter sur votre chameau , vous pouviez me remercier, un peu. Je ne suis sorti de ma réserve que pour vous sauver la mise ! Si vous ne jalousiez pas je me serais senti concerné.

      Zaatar
      15 décembre 2018 - 20 h 32 min

      En plus vous rajoutez la malhonnetete et l’hypocrisie, decidement vous faites le plein…. rappelez vous tout le temps qu’a malin malin et demi… et vous persistez a prendre les gens pour des imbeciles…vraiment…

    Un Lecteur Lambda
    15 décembre 2018 - 15 h 22 min

    @Souk-Ahras
    Encore une fois, vous n’y êtes pas ! Mais alors pas du tout. Il est vrai que j’aurais pu être ce Hadji mais hélas pour vous, ce n’est pas moi. En fin limier que vous sembliez être, vous vous êtes fourvoyé totalement (et vous n’êtes pas le seul), votre démarche si inductive soit-elle manque de précision. « La syntaxe est l’ombre qui vous suit dans chaque ligne ou phrase que vous couchez… », si vous vous donniez-vous un peu la peine de relire mes posts, une lecture plus soutenue, plus analytique (en vous lisant, j’ai appris que vous affectionnez particulièrement ce type d’approche) vous verriez que ça n’est pas ma signature.
    Amicalement

      Zaatar
      15 décembre 2018 - 15 h 47 min

      C’est la signature de Zorro, il ne manquait que le Z, c’est des biberons qu’il vous faut et du lait vitamine, c’est indispensable aux bambins.

        Hadji
        15 décembre 2018 - 16 h 20 min

        Pas d’injure ! Vous ai-je rabaissé en vous comparant à Sansal ou KD?

          Zaatar
          15 décembre 2018 - 20 h 16 min

          Vous avez lu une injure? Vous avez l’esprit mal tourne alors…

      Hadji le Transcendant
      15 décembre 2018 - 16 h 18 min

      Et il se vante le has-been . Il aurait pu être Hadji. Mais il n’y est pas.

      Moi aussi j’eût été, Mais je ne suis plus!

      (…)

        Hadji
        15 décembre 2018 - 16 h 31 min

        (…) Vous avez raison !

      Hadji
      15 décembre 2018 - 16 h 44 min

      J’avoue que je ne m’embarrasse pas avec les coquilles et les fautes de syntaxe ou de grammaire et je m’en tape.
      Mais vous, si précieuse chochotte du langage, quel forfait ne commettiez-vous pas en laissant passer cette énormité : »si vous vous donniez-vous « .

      Vous aviez raison, finalement, vous auriez pu être moi.
      (…)

    ferhat
    15 décembre 2018 - 11 h 57 min

    Mon dieu ! comme c’est désespérant de vous lire !

    Abou Langi
    15 décembre 2018 - 11 h 44 min

    Je vous ai dit de vous arrêter ! Janimar ! Ma parole, c’est la foire aux travestissements !
    Non mais ça commence à ressembler à une Gay Pride de vieux schnocks . Je finirai moi-même par ne plus me ressembler avec vos jeux de miroirs !
    A bon confondeur, salut !

      Abou Langi
      15 décembre 2018 - 11 h 54 min

      « A la noix, khalsoum, les miroirs , kamim, avec un C majuscule ! Je ne me suis pas énervé pour rien, ow!

    Karamazov
    15 décembre 2018 - 11 h 01 min

    Pardonnez ,chers compatriotes, mon insistance , je ne cherchais point a vous irriter quoi j’aie pu taquiner votre susceptibilité méditerranéenne . Je vous suivais jusque là de loin avec une grande empathie et une pointe de compassion sans vouloir à tout prix être présomptueux ou suffisant.

    Une chanson peut se chanter avec différentes voix, parfois même discordantes, et avec du contre-chant. Mais ça reste la même rengaine la même chanson. Ce n’est pas toujours parce que qu’on chante faux qu’on n’est pas au diapason. On peut faire avec des couacs une magistrale symphonie.

    Et à mon tour de vous retourner vos sublimes remarques à propos de ma méthodologie.

    C’est l’effet miroir que vous avez ressenti. Vous dites vous mêmes que vous percevez plus que vous n’analysiez. Je ne faisais que remettre votre propre dialectique sur ses pieds. J’ai remis à l’endroit votre envers , il est donc normal que vous voyez mon endroit à l’envers.

    Et si j’étais tenté par des aveux je dirais qu’il y a du Daoud en vous comme il a du vous en Daoud Une sorte de Daoud corsé et du Karamazov angélique chez Daoud.

      Karamazov le vrai
      15 décembre 2018 - 11 h 27 min

      Ah, non Lecteur Lambda hadji ! Là vous vous démultipliez. Arrêtez donc d’usurper mon pseudo ! Vous en avez suffisamment commis comme ça. On vous a laissé passer sous l’habit de l’ogre courroucé mais sous celui du loup: usted no passara!

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