Investissements tous azimuts : l’Algérie parmi les BRICS d’ici 2030 ?

BRICS Algérie
Un drone conçu et fabriqué en Algérie. New Press

Par R. Mahmoudi – A contre-courant de tous les discours sceptiques et d’auto-flagellation dominants, le directeur de l’Ecole nationale supérieure de sciences politiques (ENSSP) de l’Université d’Alger 3, Mustapha Saïdj, estime que «d’ici 2030, l’Algérie pourrait éventuellement intégrer le club des BRICS, grâce aux projets qui sont appelés à faire d’elle une puissance économique dans la région méditerranéenne».

D’après ce directeur, cité par le quotidien gouvernemental El-Moudjahid, les nouveaux projets qui prévoient notamment la construction d’une nouvelle aérogare internationale et la diversification de l’économie nationale, permettraient à l’Algérie d’intégrer le cercle des «nations émergentes».

L’universitaire, qui s’exprimait à l’occasion de la signature à Alger, d’une convention de partenariat entre l’ENSSP et l’Université des études internationales de Shanghai, ne donne pas plus de détails sur les conditions dans lesquelles évoluerait la «diversification de l’économie nationale» à laquelle il fait référence. Parce que tous les acteurs et observateurs, à commencer par le gouvernement, reconnaissent que l’économie demeure lourdement et durablement handicapée par sa dépendance aux exportations des hydrocarbures. Aussi, toutes les lois de finances adoptées jusque-là sont-elles conditionnées par les fluctuations des prix du baril.

Plus politique qu’économique, ce discours du directeur de l’ENSSP peut néanmoins servir de slogan pour les prochaines échéances électorales à une classe politique en panne d’arguments et totalement désorientée par le climat d’incertitude qui plane depuis quelques mois.

Réunis ce week-end pour ressouder leurs rangs face à l’offensive de l’opposition, les partis de l’alliance présidentielle se sont réjouis d’avoir gardé le cap, mais n’ont donné aucune garantie nouvelle pour un redémarrage de la machine économique, en déclarant avoir comme seul programme celui du président de la République.

R. M.

Comment (97)

    Saidani Chakib
    17 décembre 2018 - 0 h 44 min

    Le jour où on verra Saidani et Chakib avec la bande des Dalton derrière les barreaux ont pourra dire que l’Algérie commence a aller mieux en attendant c’est toujours leurs protecteurs et complices en cols blancs et passeports diplomatiques qui gouvernent et les salons d’honneurs des aéroports notamment ceux d’Oran et d’Alger leur sont réservés.

    Briques
    17 décembre 2018 - 0 h 06 min

    Enssp ! Ecole nationale supérieure de sciences politiques.!! Waaaaou! Excusez du peu. Ce directeur donne comme arguments: la nouvelle aérogare et « la diversification de l’économie « !! J’imagine le niveau des élèves qu’il va former.
    J’aurai aimé qu’une grande école d’ingénieur ou université scientifique soient jumelées à Shanghai ,au lieu de cette enssp bidon.
    L’école est en train de couler l’Algérie.

    anonymette
    16 décembre 2018 - 23 h 30 min

    d’ici 2030, l’Algérie pourrait éventuellement intégrer le club des BRICS, ça me laisse éventuellement sans voix!

    ettag
    16 décembre 2018 - 23 h 01 min

    On est déjà champion du monde en Khorti-technologie…..

    lhadi
    16 décembre 2018 - 22 h 19 min

    Je dénonce la transformation de la république algérienne démocratique et populaire, celle dont la voix était respectée et entendue, en une république de copains et de coquins qui dissimule des moeurs témoignant une ode vibrante à l’anarchie ; une république qui rassemble différents corps de menteurs, sorte de lobby qui aurait pour but de divulguer exclusivement de fausses informations qu’ils lâchent à propos pour sonder la crédulité de ceux à qui ils les débitent.

    Je persiste à dire qu’ill ne peut y avoir de développement économique et social sans développement politique.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    khalilsadek
    16 décembre 2018 - 22 h 14 min

    Apres avoir consulté l’opinion de la plupart de nos amis commentateurs je me suis rappelé une citation d’albert einstein:
    TENEZ VOUS LOIN DES GENS NEGATIFS, CAR ILS ONT UN PROBLEME POUR CHAQUES SOLUTIONS.
    J’ai senti que meme l’espoir n’est pas permis avec pareils pessimistes.

    Lyes2993
    16 décembre 2018 - 20 h 31 min

    Le déversement de dénigrements sur l idée même que l Algérie s associe aux BRICS en dit long sur la haine viscérale qu’ont certains forumistes vis à vis de notre pays !! Ne vous en déplaise l Algérie fera partie des 20 puissances économiques en 2030 …. ce n est pas le fruit d une imagination débordante mais juste l analyse des indicateurs économiques faite par le FMI et consorts ( qui n ont pas pour habitude de porter pour autant l Algérie dans leur cœur) ! Pour rappel l Algérie est déjà 34eme économie mondiale avec un PIB nominal de 629 milliards$$ …. arrêter donc de faire croire que l Algérien n est pas patriote ou pas prêt au sacrifice ou bon à rien !

      Anonyme
      16 décembre 2018 - 21 h 57 min

      Rêve mon fils rêve …moi j ai plus le luxe du temps pour rêver. Ceci n est point une question d amour de son pays …mais juste une question de moyens et compétences….

      Yes
      18 décembre 2018 - 3 h 11 min

      Ya liés,en 2023 on n’aura plus de gaz à exporter,c le ministre Guitouni qui le dit,c pas un ennemi de l’Algérie. Et si Ya pas de gaz à exporter,je crains qu’on n’ait même pas de quoi importer notre alimentation.

    صالح/ الجزائر
    16 décembre 2018 - 20 h 01 min

    Avec les investissements tous azimuts , développés à partir de 1965 , On répétait souvent , dans les années 70 , que l’Algérie allait devenir le Japon de l’Afrique . Mais après la mort de Boumedien et son remplacement par Bendjedid et l’avènement de Abdelhamid «la science» , comme ministre de l’aménagement du territoire puis premier ministre , le gaspillage et la vengeance ont commencé tout de suite , avec : « pour une vie meilleure » , le « PAP » ( plan anti pénurie) et la casse des sociétés nationales sous le fameux slogan de la «restructuration des entreprises» et leur «autonomie» … .
    Au bout de quelques années les Algériens ne sont pas devenus des Japonais de l’Afrique , mais des faiseurs de chaines interminable , à partir de 1985 , pour acheter n’importe quoi , y compris une baguette de pain , un sac ou un sac de semoule .
    La facture laissée par Abdelhamid «la science» est salée. Il a pris des décisions malheureuses qui ont conduit à la catastrophe économique . Le peuple algérien la paye encore .
    Maintenant ce n’est plus l’avenir de l’Algérie qui est en question , mais c’est son devenir qui fait peur .
    Faire de la politique c’est pratiquement pratiquer al boulitique ( le mensonge ) , surtout si ça se passe en Algérie .
    C’est fort possible que le directeur vise un poste supérieur à celui occupé , et cherche pour cela à attirer l’attention des décideurs .
    On n’a pas cessé , depuis des années , à évoquer la «diversification de l’économie nationale» inutilement c’est-à-dire sans rien faire de concret.
    S’il fallait croire un directeur politicien et un ex chef de gouvernement Doctorat en sciences économiques ( qui a en plus démissionné ) le chois va vers le second qui croix dans ce qui suit :
    « l’avenir proche de la patrie est très certainement en danger. Ce qui relevait de la prévision, il y a quelques années, est aujourd’hui une réalité vécue par la majorité des Algériennes et des Algériens .
    D’où la nécessité de changement de tout le système de gouvernance, et pas seulement, le changement des individus.
    L’économie nationale avait connue une situation d’aisance financière exceptionnelle pendant plusieurs années :
    – des réserves en devises couvrant trois années d’importations sans besoin d’exporter ;
    – une dette extérieure presque nulle ;
    – un fort excédent budgétaire ;
    – un taux d’épargne de 50% du PIB, c’est-à-dire que quand il y a une production de 100 DA ; 50 DA étaient épargnés ;
    – un taux de thésaurisation de 20%, c’est-à-dire que sur 100 DA produits, 20 DA restaient dormants ;
    – une surliquidité au niveau du système bancaire.
    Autrement des moyens importants pour financer des programmes d’investissements productifs ambitieux.
    Malheureusement, cette aisance financière était accompagnée par la mauvaise gouvernance, ce qui a débouché sur la pénurie de moyens de financement de l’économie et du Budget de l’Etat .
    Effectivement, les recettes annuelles d’exportation des hydrocarbures sont passées de 63 milliards de dollars en 2013 à 27 milliards en 2016 et elles dépasseront difficilement la barre des 30 milliards de dollars dans l’avenir. Alors que les dépenses d’importations et de transferts ont atteint 76 milliards de dollars en 2014 …» .
    l’Algérie n’arriverait jamais à intégrer ni le club des BRICS ni celui des «nations émergentes» , avec des Ali el goudron et cie et autre « (…) politico financière » .

      Yes
      16 décembre 2018 - 23 h 56 min

      J’allais commenter,mais ton commentaire dit tout,et j’applaudis. Effectivement 65/78 c la période épique de l’Algérie,oui si les successeurs avaient poursuivi la même stratégie l’Algérie serait aujourd’hui à hauteur de l’Espagne. Et c pas benbitour qui contredira,lui qui ne cesse de recommander la règle d’or: » tout $ de petrole exporté doit être investi priduction de substitution » et non consacré à la consommation. J’y étais,on etait à peine sortis des ecoles,très peu nombreux,salaires plafonnés administrés,comme les prix aussi,et il n’y avait pas herba herga. De mauvais économistes ont mal conseillé chadli qui ouvert les vannes..pap…
      Je me souviens de coopérants rentrant chez eux en congé acheter ici des appareils photo,caméras et autres en da et à prix soutenu!! Rouh Ya dzair.

    Hibeche
    16 décembre 2018 - 18 h 47 min

    Il nous faut un taux de croissance économique d’au moins 10% par an jusqu’à 2130, pour pouvoir devenir pays émergent.
    Je ne crois pas qu’ avec fakhamatihi , Haddad, Tliba, Ould Abbas, Ouyahia et toute la (…) autour, on atteindra les 5%.
    Avec les mêmes, On sera émergent vers 2130, par contre avec un nouveau système, et de nouvelles têtes, on pourra émerger dans 10 à 15 ans.

      Hibeche
      16 décembre 2018 - 22 h 30 min

      Erratum,
      Il faut lire 10% par an jusqu’à 2030 et non 2130.
      Le reste est inchangé.

    A3ZRINE
    16 décembre 2018 - 18 h 46 min

    2030 c’est dans 12 ans, voire moins car nous sommes en fin d’années. Je me demande comment et avec quelle capacités, humaines et matérielles ?
    Nous sommes les derniers en tout, même pas capables d’être en tête en Afrique.Nous avons besoins d’universités et centres de recherche, d’une base industrielle solide mais aussi d’hommes et femmes politiques pour porter ces projets. Je doute fort qu’en 12 ans on puisse avoir tout ça, impossible de faire en 12 ans ce que les autres nations ont fait en 1/2 siècle. Sans verser dans le sceptissisme je dirais que le pari est perdu

    SI KADDOUR
    16 décembre 2018 - 18 h 44 min

    Nous sommes plus intelligent que les Allemands et les Japonnais réunis;sinon comment puisse faire disparaitre mille milliards de Dollars est personne n’aperçois;à chaqu’un son intelligence certains pour le biens de leur Nation et d’autres pour leur propre biens,si les Arabes sont les derniers ou monde existent bien des raisons

    anti khafafich
    16 décembre 2018 - 18 h 05 min

    pourquoi chercher a intégrer les brics, on fait partie d’un groupe plus performant, celui de la Oumma 3arabia !!!!

    karimdz
    16 décembre 2018 - 16 h 46 min

    J espère bien avant 2030, tout est une question de choix et de volonté, soit nous dépendons de l occident, qui fait de notre pays, un réceptacle de ses produits, soit nous décidons de produire.

    Quand on laisse les gens travailler, cela donne des résultats, il faut faire confiance et encourager le génie algérien, notre agriculture a fait un grand bond, l économie aussi pourra connaitre cette formidable ascension, pourvu qu’il n y ait plus de bâtons dans les roues.

    Nous avons tout intérêt à rejoindre les brics, et d abandonner la monnaie de singe qu est le dollar. Autant faire du troc que de financer les états terroristes d amérique et leur politique impérialiste.

    Flicha
    16 décembre 2018 - 15 h 54 min

    Pour investir il faut avoir de l’argent à ma connaissance.
    Avec un prix du baril qui graviterait en moyenne autour de 60 $, les réserves de change ne tiendront pas, allez on va dire 4 ans.
    À cet égard si une partie de la population algérienne actuelle tiendrait le coup jusqu’à 2030, elle pourrait effectivement verifier, de l’autre coté de la rive de la méditerranée en tant que migrant, si l’auteur de cet article a raison ou pas.

    Anonyme
    16 décembre 2018 - 15 h 42 min

    Un état de droit et une vraie justice empêchant toutes corruptions nous projetterai dans les quatre années qui suivent à une société émergente si on l avait fait y a une dizaine d années nous nous retrouverons pas dans une telle situation malgré le fric engrangé , donc d ici 2022 ; je vous raccourci 8 ans moi ; les forces vives ca manque pas , la matière grise non plus ; le fric non plus ; la seule chose qui nous manque ceux sont de vrais dirigeants qui aiment leur pays et leur peuple et qui sont à sont service et pas le contraire . C est du vent à l’approche d avril 2019 et les promesses les algerien(nes ) n y croient plus depuis longtemps .Chiche laissez le peuple choisir son homme pour 2019 avec toutes transparence et contrôle ? Commencez par la déjà ; l état de droit et une justice indépendante du pouvoir ensuite tout le reste suivra et personnes je dis bien personnes ne pourra raconter des conneries ou être pour le peuple algérien un despote . Avec eux tous ould kaddour avec son projet 2035 lui son projet 2030 ect ect à force en l an 3000 nous serons la première puissance mondiale mais seul sur terre et en dessous car irradiée ; les autres vivront dans l espace dans des stations spatiales ou une nouvelle planète. Moi aussi j ai un projet en 2050 on va dépasser tout le monde meme les américains , nous irons sur le soleil ; mais nous risquons de nous bruler et c est impossible vous allez me dire ; espèces d abrutis on va y aller la nuit. C est une image donc voila un peu nos responsables algériens ;dans ce cas perso je fait mieux que eux .lol

    Anonyme
    16 décembre 2018 - 15 h 07 min

    Comment est-ce possible alors que la seule ambition des Algeriens est de se remplir la panse avec n importe quoi et les poches n importe comment.

      Lyes2993
      16 décembre 2018 - 18 h 51 min

      les algériens ne sont pas comme toi et les tiens : juste bon à critiquer et à profiter des largesses de l Algérie ! la grande majorité travaillent pour faire de l Algérie une grande Nation !

    Yeoman
    16 décembre 2018 - 14 h 53 min

    « Les nouveaux projets qui prévoient notamment la construction d’une nouvelle aérogare internationale et la diversification de l’économie nationale, permettraient à l’Algérie d’intégrer le cercle des «nations émergentes». » Cela fait des décennies que nous entendons ce genre de phrases aussi creuses que révoltantes. L’Algérie a bien les moyens d’intégrer le club des pays emergents et plus encore. Mais pas avec les médiocres qui la gouvernent en ce moment. D’ailleurs, je ne souhaite pas que nous soyons comme le Brésil ou l’Inde, deux sociétés minées par la pauvreté, la criminalité, les inégalités sociales, etc. Nous sommes capables de beaucoup mieux. Mais ce ne sera pas avec Tahkout, Haddad, et autres sangsues.

      SoyonsLogiques
      16 décembre 2018 - 15 h 07 min

      L’Algerie intègrera le club des briks avec la planche à billets et un septième mandat.
      Les Haddad,les kouninefs,les takhrout,les saadani,les hamadaches,les chemssedine,les ghoul,les makri, les naima salhi etc..l’arabisationà outrance teintée de religiosité seront certainement les ingredients qui hisseront notre pays dans le club des bricks.Cet universitaiter est entré en campagne pour le 5iee mandat.Bonne chance à l’algéerie

    Kahina-DZ
    16 décembre 2018 - 14 h 45 min

    Le jour où l’Algérie saura valoriser la compétence et non pas les échecs et la médiocrité, ce jour là on peut penser au BRICS.
    Ce n’est pas avec des patrons à l’ esprit des trabendistes qu’on pourra gagner des défis.
    LE BRICS est un mirage pour l’Algérie. Soyons réalistes.

    Anonyme
    16 décembre 2018 - 14 h 41 min

    Ce n’est pas avec le niveau haddad qu’on va espérer une place au BRICS.

    Felfel Har
    16 décembre 2018 - 14 h 30 min

    Moi aussi, je souhaite l’adhésion de l’Algérie à l’association des BRICS, mais pour y être acceptée et ne pas être reléguée au second rang, elle doit remettre de l’ordre dans son économie et ses finances publiques. C’est tout un programme!
    Il faut d’abord réorganiser notre économie et réhabiliter l’investissement public en densifiant le tissu industriel. Le secteur privé est invité à suivre le mouvement et tourner le dos à l’importation de biens susceptibles de valoriser nos ressources locales. Nos entreprises publiques devront être gérées par de vrais managers en leur imposant une obligation de résultats.
    Il y a aussi urgence à mettre de l’ordre dans notre système fiscal pour débusquer les fraudeurs et améliorer le rendement fiscal en organisant une vraie solidarité en vertu de laquelle ceux qui gagnent plus paient plus d’impôts, à commencer par les plus fortunés.
    Notre agriculture doit impérativement donner de meilleurs résultats et la facture alimentaire ne doit concerner que les produits qui ne sont pas cultivés localement.
    Last, but not east, notre système de gouvernance doit subir une profonde métamorphose pour se rapprocher du modèle démocratique.
    Faute de quoi, les BRICS nous opposeront une fin de non recevoir. Adieu veaux, vaches, cochons, couvée…..!

    Anonyme
    16 décembre 2018 - 14 h 00 min

    Surtout avec un haddad, le plus grand stratège de l icounoumique inouvatrice di tous li temps.

    -DZ
    16 décembre 2018 - 13 h 59 min

    Avec des projets sur maquette et des bilans qui laissent à désirer on cassera les briques.

    Anonyme
    16 décembre 2018 - 13 h 46 min

    Les pays africains qui vont intégrés bientôt les BRICS sont : L’Ethiopie + Rwanda + Kenya + Maroc . Pour l’Algérie avec un pouvoir de corrompus et d’incapables ça sera en 2000jamais

      Vector
      16 décembre 2018 - 14 h 23 min

      Vos propos sont une plaisanterie ?
      Le PIB/habitant de l’Algérie est plus élevé que celui de chacun de ces 4 pays !

        Zaatar
        16 décembre 2018 - 15 h 00 min

        Et le PIB/habitant hors hydrocarbures de l’Algérie est il plus élevé aussi que chacun de ces 4 pays? on peut le dire aussi du kenya qui transporte sa production de pétrole par camions…

          Vector
          16 décembre 2018 - 15 h 26 min

          @ Zaatar
          Les hydrocarbures ne représentante que 20% du PIB de l’Algérie !
          De plus, vous croyez qu’ils exportent quoi l’Éthiopie, le Rwanda, le Kenya ou le Maroc ?
          Des navettes spatiales et du matériels neurochirurgicales ?
          Ils exportent des matières premières comme l’Algérie !

          Zaatar
          16 décembre 2018 - 20 h 53 min

          Parce que nous on exporte de la technologie et du savoir faire dans tous les secteurs. Mais on s’en fout du PIB et de tous ces chiffres qui ne veulent absolument rien dire ou bien a qui on fait dire ce que l’on veut. Le veritable est qu’on n’a jamais pu diversifier notre economie, et qu’on est tributaire de ce satane petrole et hydrocarbures en general. Et que si ca ne se fait pas on crevera le bec ouvert car on est tous un tas de feignasses qui avons ete habitues a la distribution de la rente pour la plupart et a la predation pour une caste. Et un pays du genre il est inevitablement voue a l’echec.

        Anonyme
        16 décembre 2018 - 16 h 44 min

        Aujourd’hui Oui c’est vrai ….mais d’ici 10 ans beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts surtout avec le genie prix Nobel d’icounoumi ali el goudronne

        Anonyme
        16 décembre 2018 - 21 h 37 min

        vector
        imagiine que si demain le petrole venait à disparaitre , que deviendrons nous?
        Nous serons rien et on s’entre tuera jusqu’au dernier
        Alors de grace laisse les PIB c’est pour ceux qui bossent et non pour des tubes digestifs que nous sommes

      Yeoman
      16 décembre 2018 - 14 h 48 min

      Ethiopie, peut-être, Rwanda, Kenya, peut-être. Quant au Maroc, il leur faudra d’abord songer à sortir de la misère crasse et de l’analphabétisme moyenâgeux qui caractérise leur population.

        Anonyme
        16 décembre 2018 - 16 h 47 min

        Le Maroc est un pays ouvert aux I.D.E comme l’a été le Brésil dans les années 60/70

    Vector
    16 décembre 2018 - 13 h 39 min

    En 1962, l’Algérie, c’était le moyen-age et les critiques veulent qu’en 50 ans, l’Algérie deviennent une puissance économique !
    Aucun pays n’est devenu une puissance économique depuis 50 ans ! Aucun !

      -DZ
      16 décembre 2018 - 13 h 55 min

      GERMANY, L’ALLEMAGNE s’est reconstruite en un temps record.
      C’est en 2018 que l’Algérie se trouve dans le moyennage.

        Vector
        16 décembre 2018 - 14 h 10 min

        L’Allemagne en 1945 avait l’une des économies les plus modernes du monde !
        Elle possédaient des milliers d’usines divers et variés : sidérurgie, automobile, pharmaceutique, etc !
        Malgré les bombardements, le nombre d’usines allemande était tellement élevé en 1945 que le tandem USA/URSS purent en démanteler pour les transférer chez eux !

          Kahina-DZ
          16 décembre 2018 - 14 h 38 min

          L’Allemagne a été totalement détruite par les bombardements. GROUND ZERO. Il n’y avait RIEN. TOUT ÉTAIT À REFAIRE ». Mais L’Allemagne a de bons dirigeants patriotes qui ont su comment confronter le DÉFI en un temps record…
          Va voir l’Éthiopie et son taux de croissance !!!

          C est plutôt le génie allemand, le sens. du sacrifice et la vraie fierté (pas celle des Algériens, basée sur rien), qui a fait que l Allemagne s est relevée de la destruction aveugle de ses ennemis
          16 décembre 2018 - 15 h 03 min

          C est plutôt le génie allemand, le sens du sacrifice la vraie fierté ( pas celle des Algériens que rien ne justifie) qui a rendu possible qu un pays complètement dévasté par des bombardements aveugles se relève et redeviennent number1. Bravo aux Allemands, c est pas les mangeurs de grenouilles, qui sont malheureusement nos modèles.

          Vector
          16 décembre 2018 - 15 h 08 min

          @ Kahina-DZ
          Vous vous trompez !
          L’Allemagne était une puissance industrielle en 1945 que vous le vouliez ou non !
          Après les bombardements alliés et le démantellement d’usines par le tandem USA/URSS, il restaient encore des milliers d’usines en Allemagne !
          De plus l’Allemagne était un pays occupés en 1945, depuis quand des patriotes dirige un pays occupé ?
          Le taux de croissance de l’Éthiopie ne s’explique que par son extrême misère initiale !
          L’Algérie de 1962 à 1978 a connu le même taux croissance que l’Éthiopie aujourd’hui !

          Anonyme
          16 décembre 2018 - 15 h 31 min

          C est plutôt le génie allemand, le sens du sacrifice la vraie fierté ( pas celle des Algériens que rien ne justifie) qui a rendu possible qu un pays complètement dévasté par des bombardements aveugles se relève et redeviennent number1. Bravo aux Allemands, c est pas les mangeurs de grenouilles, qui sont malheureusement nos modèles.

      Anonyme
      16 décembre 2018 - 14 h 27 min

      En 1962, l’Algérie n’était pas le moyen age. bien au contraire, l’agriculture fonctionnait bien, et arrivait à exporter, les institutions et les administrations étaient bien tenues, les routes, les trains, l’urbanisme était planifié et bien étudié, les villes propres, les écoles et les universités fonctionnaient parfaitement mème si l’accès aux arabes était un peu limité etc… Raconte tes salades ailleurs, fallait juste continuer à travailler et non pas détruire ces butins de guerres en se le partageant entre arrivistes

        Vector
        16 décembre 2018 - 15 h 19 min

        L’agriculture algérienne n’a jamais été rentable, elle fonctionnait car elle était subventionné par la France pour des objectifs géopolitiques !
        De plus les infrastructures de 1962 était construite pour 1 million de pied-noirs et non pour 10 millions d’algériens !

          Anonyme
          16 décembre 2018 - 18 h 42 min

          Parler pour parler, voilà ce que vous savez faire. Les infrastructures étaient utilisées par tout le monde. Le pire est qu’on en a détruit beaucoup et celles qu’on a construites sont dans de nombreux cas une vraie catastrophe. Allez voir l’Autoroute est/ouest, les routes de Haddad, les logements AADL qui s effritent puis revenez l’ouvrir..

          Ext
          18 décembre 2018 - 10 h 16 min

          L’Algérie indépendante a construit en 56 ans 50 fois plus d’infrastructure que la France colonialiste en 132 ans.
          Quant à l’agriculture, il est aberrant de comparer l’agriculture de l’Algérie au temps de la France qui produisait à peine quelques centaines de millions $ de richesse chaque année, avec l’agriculture de l’Algérie d’aujourd’hui, qui en produit 25 milliards $.

      Yeoman
      16 décembre 2018 - 15 h 05 min

      Des économistes pourraient nous en dire davantage, mais il semble que la Corée du Sud était globalement au même niveau que l’Algérie. C’est vrai que dans les années 70, elle disposait déjà d’une industrie naissante et qu’elle a toujours été aidé par les Etats-Unis. Mais on peut dire autant des Philippines, de la Thailande, etc. Si la Corée s’est développée, c’est grâce à une poignée d’entrepreneurs authentiques et honnêtes aidés par leur gouvernement. Chez nous, depuis l’arrivée de Chadli (paix à son âme), c’est le desert total, suivi de l’époque actuelle où les trabendistes d’hier font la pluie et le beau temps.

      kim
      16 décembre 2018 - 17 h 32 min

      CORÉE DU SUD en 50 ans est passée du niveau nul à pays développé !

        Vector
        16 décembre 2018 - 19 h 07 min

        Dés les années 1920, la colonisation japonaise a construit en Corée du Sud une industrie moderne ce que la France n’a jamais fait en Algérie donc la Corée du Sud ne démarrait pas de zéro contrairement à l’Algérie !

          Anonyme
          16 décembre 2018 - 23 h 41 min

          Que voulez-vous prouver? Que les Coréens du sud, qui avaient un niveau de vie inférieur à celui des Algériens de 1962, n’ont aucun mérite pour être arrivés au niveau économique, technique, démocratique scientifique et culturel que nous connaissons? C’est grâce aux japonais et/ou aux américains qui… etc, on connait votre chanson.
          Mais pourquoi ne faites-vous pas allusion à ce qui s’est passé du 25/06/1950 au 27/07/1953, 3 années pendant lesquelles la Corée a été ravagée par une guerre civile atroce.
          On estime que le conflit a fait plus de 800 000 morts parmi les militaires coréens, nordistes et sudistes. Le nombre de victimes civiles est estimé à 2 millions et le nombre de réfugiés à 3 millions. La péninsule a été complètement dévastée par les combats et les bombardements ; Séoul fut ainsi détruite à plus de 70 %.
          Contrairement à ce que vous affirmez en 1953 la Corée redémarrait à moins 10. Et en 50 ans, elle est devenue une des nations les plus dynamiques du monde. Et cela sans une goutte de pétrole dans son arrière pays!
          Seulement avec du courage, de l’intelligence, de l’organisation, du réalisme et une Ecole performante capable de prodiguer une instruction de qualité basée sur le développement des aptitudes intellectuelles complétée par une excellente éducation où le respect et la discipline primaient… tout a été possible. Mais cela n’a pas été facile pour les Coréens, cela est certain.
          Vous dites que si nous n’avions pas d’industrie en 1962 c’est à cause de fafa qui n’en avait pas crées ! Et qu’a fait Boumedienne ?

      Tu te tromp
      16 décembre 2018 - 17 h 46 min

      La chine est devenue une super puissance en 20 ans

      Zaatar
      16 décembre 2018 - 19 h 11 min

      Si la coree du sud… a peine 50 ans qu’elle nous vend ses smartphones, son electromenager, ses voitures…et bien d’autres choses. Rien que dans l’automobile la coree du sud s’est imposee dans le marche mondiale, aves ses Daewoo au debut, hyundai, kia. Sans omettre bien sur de mentionner l’enseigne Samsung. Ben voila, il leur a suffit d’a peine une cinquantaine d’annee. D’ailleurs on compare nos annees d’independances a celles d’existences de la coree du sud, mais la comparaison s’arrete la….au nombre d’annees seulement. Savez vous que les coreens sont actuellement en train de nous faire le montage de nos centrales electriques en cycle combine?

    Bouzorane
    16 décembre 2018 - 13 h 19 min

    d’ici 2030, l’ENSSP pourrait éventuellement intégrer le club très fermé des universités qui ont un site internet!

    Vérité
    16 décembre 2018 - 13 h 15 min

    C’est que la propagande de nos corrompus dirigeants ils se préparent pour les prochaines élections;alors il faut inventé les mérites mensongère;impossible qu’une personne avec un vrai cerveau puisse vivre avec des voleurs;alors tout nos génies sont parti ailleurs aux USA CANADA.EUROPE.QATAR,pour certains ont put quitté le territoire alors ils font le profil bas et survivent comme des otages aux mains des Hors la Loi

    Hakikatoune
    16 décembre 2018 - 12 h 50 min

    Tout souhait positif prévisionnel pour le futur de l’Algérie n’est recevable et concevable que s’il est accompagné du théorème (ou axiome) de base suivant : à condition de changer de système politique et de gouvernance économique et à condition de fonder un Etat de Droit ! Tout le reste est superfétatoire. Tout le reste est supposition oiseuse et superflue !

    Dav
    16 décembre 2018 - 12 h 42 min

    Si ce professeur extrapole son raisonnement en disant que l’Algérie peut se joindre au cercle restreint des BRICS en 2030. Les traitres de l’intérieur et les ennemis de l’extérieur, eux, reconnaissent implicitement que l’Algérie fait déjà partie des BRICS!
    Il ne faut pas oublier que ce que l’Algérie a construit ces dix-quinze dernières années comme infrastructure, aucun pays au monde ne l’a fait. Et l’Algérie a importé une moyenne de 50 milliards $ de biens et services chaque année pendant toute cette période et injecté 20 milliards $ de transferts sociaux, chaque année, vers sa population(subventions, aides sociales etc.).Et tout cela, sans les 900 milliards $ qui ont disparu(sic!). Donc, pour la brigade des traitres et autres ennemis de l’Algérie, qu’est-ce que vous choisissez:
    1-Les 900 milliards $ ont disparu?
    Donc, vous reconnaissez que l’Algérie est une vraie puissance économique qui fait déjà partie des BRICS(vu les données citées ci-dessus)
    Ou
    2-Les recettes des hydrocarbures pendant cette période ont été utilisées dans l’économie du pays et le financement du bien être social de ses citoyens.Ce qui enlève toute crédibilité a votre réthorique.

    Anonyme
    16 décembre 2018 - 12 h 37 min

    l’Algérie dans 10 ans ??? a cette allure on sera comme Bangladesh ,

    khssara
    16 décembre 2018 - 12 h 30 min

    Mosquées ou Aérogare ? Ils n’ont pas vu venir ou ça les dépasse? je sens comme un air de sauve qui peut…
    On ne progresse pas avec des projets éternellement en étude et en laissant la démographie la religion et l’arabisation faire leurs ravages.

    Lyes Oukane
    16 décembre 2018 - 11 h 51 min

    Bonjour à toutes et à tous .
    En 2030 et c’est El moudjahid qui l’annonce ! Ce journal ne supporte aucune contradiction ,ne supporte rien . Pas même un kilo de sardines .
    Waou , l’ère du Meiji à l’algérienne ! Les Japonais ont mis 50 ans pour passer de l’ère féodal à l’ère industriel . Nous allons donc ,dans 11 ans , intégrer les BRICS et sans casser d’œufs . Ca fera les BRICAS pour rallumer le feu sacré ?
    De bric et de broc comme le métro d’Alger . Nous avons eu l’idée de ce transport en commun moderne en 1970 ,nous avons commencé à creuser dans les années 80 et nous avons réceptionné la première ligne des 10 premiers misérables kilomètres en 2011 !
    C’était ça l’astuce . On creusait tellement que j’avait cru qu’on allait arriver jusqu’en Afrique du Sud pour rejoindre les BRICS ,pardi . Mon jeune voisin m’avait dit  » walla c’est la classe ,on pourra aller voir la coupe du monde à pied  » …

    Bon , je pourrais me défouler encore longtemps sur cette annonce ridicule . Si en 2030 nous arrivons à fabriquer des allumettes qui s’enflamment au premier coup de grattoir c’est qu’on progresse . Sinon , makla ou tmangi ou nastanaou fel congi comme dab .

    Hakikatoune
    16 décembre 2018 - 11 h 39 min

    Heureusement que l’auteur de l’article R. Mahmoudi a pris la précaution dès le début de l’article de nous avertir que cette prétentieuse prévision vient du Directeur de l’École Nationale Supérieure de Sciences Politiques (ENSSP) de l’Université d’Alger 3, Mustapha Saïdj, qui comme chacun le sait a été lui aussi placé par le pouvoir comme la totalité des responsables d’institutions algériennes !

    Dans pas longtemps, c’est à dire dès la prochaine campagne présidentielle (avec ou sans Bouteflika), on va nous saouler au Whisky et aux coteaux du Dahra avec les réalisations de fakhamatouhou Bouteflika (lui qui n’a fait que profité d’un baril de pétrole à 100 $ pour faire des autoroutes à la Ghoul, le métro, la mosquée, … etc..) et avec son chant des sirènes qu’il nous rabâche comme par exemple celui d’amarrer dans quelques années l’Algérie au lot des nations puissantes, modernes, démocratiques, développées, industrialisées et numérisées ! Rien que çà ! Les Algériens voudraient bien, ils ne souhaitent que çà mais la réalité est tout autre car la gouvernance politique et économique n’est pas prête à changer de cap !

    Izem
    16 décembre 2018 - 11 h 32 min

    l’Algérie doit intégrez la communauté des état indépendants de maniérè symbolique pour prendre c’est distance de la France et de l’occident.

    l’Algérie pays des guerrier doit avoir une économie militaro-industrielle avec des société militaire privée national
    une armée de milice comme en suisse avec le permis port d’arme et des armurerie comme au usa. ils faut devenir un hub en Afrique des arme; formation militaire; sécurité privée; notre première force c’est notre mentalité de guerrier autant sans servir pour gagner beaucoup d’argent y a rien de mal a ça, la guerre fait partie de la vie.

      Moh
      16 décembre 2018 - 12 h 32 min

      « notre première force c’est notre mentalité de guerrier autant « sans » servir pour gagner…  » voilá pourquoi on avance pas, avec des arguments farfelus et pleins de fautes, c´est súr que le chemin est encore trés long…

    Anonyme
    16 décembre 2018 - 11 h 15 min

    La voie a suivre c est le parrainage des universites et leurs centres de recherche par les entreprises Algeriennes….il faut tisser ces liens entre les universites et les entreprises pour encourager la recherche scientifique

      anonyme
      16 décembre 2018 - 21 h 48 min

      Anonyme
      16 décembre 2018 – 11 h 15 min

      Avec notre Bill gates alias Haddad « le patron des patrons »

    Chibl
    16 décembre 2018 - 10 h 52 min

    Du grand n’importe quoi, ils nous prennent pour des imbéciles, en 50 ans nous n’avons rien fait et en 12 ans nous allons etre une puissance, YAKHI HALA YAKHI.

    MOND'AIR'MER
    16 décembre 2018 - 10 h 50 min

    BRAVO ! Bientot on va accompagner nos HARRAGA avec des Drones jusqu’au en Europe;limité les disparition et espéré les envois de devises pour permettre a nos tete pensante d’aller passer leur vacance au Panama et en Colombie

    Souk-Ahras
    16 décembre 2018 - 10 h 32 min

    Les BRICS, avant qu’ils ne deviennent BRICS, avaient rejeté énergiquement l’idée de dédier un ministère à leurs anciens combattants et un autre à leur religion. Ils ont tous « ouvert » (c’est le cas de le dire) des vrais ministères dédiés à l’éducation moderne et au renforcement de la recherche scientifique.
    Chez nous, le ministre de la religion Aïssa et le syndicat de dieu sont là pour nous rappeler que toutes les issues proposées pour les algériens sont porteuses de voiles, qamis, turbans, rolex et nike qu’ils appellent modernité.

      Zaatar
      16 décembre 2018 - 11 h 24 min

      Quand on fait partie du Bric à Brac depuis plus de cinquante ans maintenant, je ne vois comment du jour au lendemain on se projette pour faire partie du BRICS….

    anonyme
    16 décembre 2018 - 10 h 11 min

    Voilà un autre qui vient encore nous bassiner avec cet horizon 2030 une formule magique, alors que le pays est livré aux prédateurs où nous importons jusqu’à notre pitance quotidienne
    C’est pas avec un haddad tahkout et autres zigotos qu’on va s’émanciper
    AKHTOUNA MEN EL FESTI

      Karim
      16 décembre 2018 - 11 h 08 min

      Quand ils font des prévisions, ça nous plait pas
      Quand ils ne font pas de prévisions, ça nous plait pas
      Faudra bien qu’un jour, ils commencent!

        Stratégie
        16 décembre 2018 - 12 h 38 min

        @karim, pour avoir une prévision, il faut d´abord avoir une stratégie planifiée pour 2030, et avoir les moyens de cette stratégie, nous on arrive même pas á finir une mosquée dans les délais!!!

          Karim
          16 décembre 2018 - 13 h 09 min

          @ STRATÉGIE
          Votre raisonnement me pousserait alors à ne plus m’informer et surtout à ne plus être objective.

    Anonyme
    16 décembre 2018 - 10 h 08 min

    2030 c.a.d. environ 12 ans.
    Voyons voir!!!
    Avril 2019 arrivent les élections. Bouteflika décide de partir. Le système apprend enfin de ses erreurs et nous vend un bon cheval qui mettra en place une équipe travailleuse, éclairée et honnête…
    Après 5 ans la machine se remet en marche. 5 ans plus tard les résultats de ce projet portent leurs fruits.
    On est en 2029. Nous changeons de Président et l’élu a le privilège de nous refaire passer, en 1 année, du sous développement au tiers-mondisme 3.0
    Ouai!
    Faisable…

    Rascasse
    16 décembre 2018 - 10 h 06 min

    Oui avec des étudiantes préparatrices de mhadjeb dans les cités universitaires et des lycéens danseurs de Wayway, barkawna festi khoroto on nous a abreuvé de rêves mensonges depuis 62, a ce rythme des choses il n’y a aucun signe annonciateur de lendemain plus heureux

    Anonyme
    16 décembre 2018 - 10 h 04 min

    Encore du charlatanisme…ce monsieur avance la barre 2030…la maladie de 2030…sans autant prouver quoique ce soit. Monsieur vous êtes du même moule que le fe le ne. Juste parler et vendre du vent…vous avez perdu toute crédibilité.

    Le BRICS c'est maintenant
    16 décembre 2018 - 10 h 02 min

    Il ne faut pas attendre 2030.
    C’est maintenant que l’Algérie doit intégrer le BRICS.
    D’ici 2030 , l’Algérie aura déjà été attaqué par la coalition occidentale de OTAN , qui sont déjà toutes au tour de nos frontières.
    Et nous serons sans doute en état de banqueroute économique.

    M.B
    16 décembre 2018 - 9 h 53 min

    En tout cas, c’est possible, il y a le potentiel, mais qui va orchestrer, installer l’orchestre, et répandre la musique sur chaque pouce du territoire, qui va exclure les fausses notes appelées Médiocrité, Corruption, Malveillance, Laideur, Déchets….

    EL Che
    16 décembre 2018 - 9 h 09 min

    Pourquoi pas ? when there is a will there is a way…..il suffit d’une volonté politique et un accompagnement populaire pour y arrive , l’algérien est capable quand on lui offre les moyens …..

    Zaatar
    16 décembre 2018 - 9 h 07 min

    Bien évidemment on n’a jamais été sérieux dans notre pays. Entarchou à tout va. J’aimerais bien qu’on mette en parallèle de cet article et de ce discours, les propos du ministre de l’énergie. CEla concerne notre consommation moyenne énergétique. Celle ci comme tout le monde le sait croit chaque année. le hic est que pour bientôt, 2 à 3 ans d’après le ministre de l’énergie, on ne pourra plus exporter à cause de la hausse de notre consommation moyenne de gaz. Cela voudra tout simplement dire que nous n’avons pas de responsables qui réfléchissent, qu’il n y a pas de prévisions, qu’il n y a pas de planifications…bref que nous avons des responsables qui font du Kaouar oua3ti la3ouar. Cette remarque bien sur vous pouvez l’étaler dans tous les autres secteurs. Un pays qui regarde son économie qu’au travers des fluctuations du baril de pétrole, il est tout à fait prévisible qu’il va droit vers la guillotine. Et on continue encore à faire des discours politique pour des intérêts de familles….

      Rascasse
      16 décembre 2018 - 11 h 31 min

      Y’a zaatar tu as peut fumer ton breuvage au lieu de le boure????, les déclarations du ministre sont juste une préparation du terrain pour l’exploitation du schiste

        Zaatar
        16 décembre 2018 - 13 h 12 min

        L’ami Rascasse, ce que je veux dire tout simplement c’est que chez nous, et pour nos responsables, demain il fera jour…pour le pays, alors que pour leurs familles l’eden est déjà garanti… Et ce qui est frappant à ne plus rien comprendre, c’est que l’on annonce cela au peuple, en lui disant que d’ici 2 à 3 ans il n y aura plus rien, préparez vous à cela, et il ny a aucune réaction. Preuve que même chez le peuple, demain il fera jour également… c’est ce que je voulais insinuer par mes propos…

      Stratégie
      16 décembre 2018 - 12 h 59 min

      @Zaatar, les hydrocarbures ne sont pas inépuisables, voici ce que disait le PDG de Sonatrach de 2013, M. Abdelhamid Zerguine:  » l’Algérie aura épuisé ses réserves de pétrole et de gaz conventionnel entre 2020 et 2025 en raison d’un double phénomène de baisse de production ajoutée à l’augmentation de la consommation intérieure.  »
      Le ministre ne fait que confirmer ce que prédisent les experts nationaux et internationaux. C´est pour ça qu´on se précipite dans la panique, pour diversifier notre économie, sans aucune stratégie même á court terme.

        Rascasse
        16 décembre 2018 - 16 h 44 min

        Les chiens ne font pas les chats…pour revenir aux réserves , l’Algérie est une terre benite il y aura des réserves jusqu’à l’infini, le problème est que ce pouvoir le sait très bien voilà pourquoi ils veulent pas lâcher le morceau
        PS: l’offshore ça vous parle??

    TARZAN
    16 décembre 2018 - 9 h 06 min

    que l’algérie profite de la politique de trump (qui a beaucoup de respect pour notre pays et qui déteste le maroc) pour encourager les américains à investir en algérie et leur ouvrir les portes du marché africain de même qu’avec la chine. ces deux pays ont besoin de l’algérie et nous on a besoin de leur technologie alors pourquoi on se refuse un tel luxe? l’algérie doit absolument tourner la page de la france qui nous a rien apporté et qui nous apportera absolument rien ou du moins toujours les déchets du maroc que la france fait passer avant l’algérie. ou est notre roujoula quand la france complote contre l’algérie en faveur du maroc? détournement de notre histoire, culture, us et coutumes en faveurs du maroc, soutien politqiue et diplomatique sans limite, mise à disposition du maroc des satellites espions pour renforcer la colonisation du sahara occidental, etc. et certains algériens ne se sont même pas rendu compte. ils soutiennent rebrab et salissent chakib khelil à travers leurs revues. ils ont essayé d’attaquer notre président (rappelez vous des tweets de valls et les unes des journaux comme le monde sur panama papers, etc.), ils ont attaqué notre armée avec le « qui tue qui », ils donnent plus de visas aux marocains qu’aux algériens, il y a presque deux fois plus d’étudiants marocains que algériens en france, et j’en passe. oui la seule réponse à leur donner et qu’ils vont amèrement voire très très amèrement regretter c’est : CHAKIB KHELIL

    Quand on a pas de miroir
    16 décembre 2018 - 8 h 39 min

    Probablement avec le sommet de la mosquée d’Alger il faut parler de G7 plus Alger

    Slim
    16 décembre 2018 - 8 h 08 min

    pour un directeur d’université c’est très grave de faire ce genre d’annonces. Apparemment ce monsieur qui prétend être professeur n’a pas les même chiffres et n’en fait pas la même analyse que tous les économistes . D’ailleurs ce discours n’est pas nouveau, le même discours était colporté par les détenteur du pouvoir dans les années 70 qui promettaient aux algériens d’intégrer le club fermé des pays développé dépassant certains pays de la rive sud de la méditerranée…on sait maintenant que c’était du pipo. Alors un peu de sérieux messieurs les économistes à deux dinars votre incompétence et votre a « plat-ventrisme » nous fait vomir…

    Jean
    16 décembre 2018 - 8 h 05 min

    Seuls le maintien de Bouteflika à la présidence et la continuité peuvent faire éviter au pays une rechute dans le désordre et les querelles intestines. Le changement, si il y en aura un, doit s’opérer dans des conditions économiques et financières meilleures que celles que vit le pays en ce moment.

    K. DZ
    16 décembre 2018 - 7 h 39 min

    Si une décennie noire en tous points de vue et une embellie financière de deux décennies ne nous ont pas inspirés pour des alternatives pérennes au développement du pays, je ne vois pas par quel miracle cela se produira durant la prochaine décennie, marquée du sceau de toutes les incertitudes.

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