Bensalah maintient le cap sur l’élection présidentielle du 4 juillet

Bensalah discours
Abdelkader Bensalah. PPAgency

Par Mounir Serraï Dans un discours à la nation prononcé ce soir au journal de 20 heures de la télévision publique, le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, affirme le maintien du processus électoral tel que défini par la Constitution. Il appelle ainsi à un «dialogue intelligent» pour créer les conditions de la tenue de ces élections.

«Un dialogue intelligent, constructif, de bonne foi, reste en effet, l’unique moyen pour construire un consensus fécond, le plus large possible, de nature à permettre la réunion des conditions appropriées pour l’organisation, dans les délais convenus, de l’élection présidentielle, seule à même de permettre au pays de sortir définitivement et durablement de l’instabilité politique et institutionnelle», assure Abdelkader Bensalah pour lequel «un président de la République issu d’une élection incontestable aura, en effet, toute la légitimité nécessaire et toutes les prérogatives requises pour concrétiser l’aspiration profonde au changement et satisfaire l’ensemble des revendications populaires légitimes».

Le chef de l’Etat estime à cet effet que «la voix du peuple a été entendue. Elle a trouvé en l’Etat réactivité positive, promptitude et compréhension à l’égard des revendications, aspirations et attentes de notre population». Le processus de changement connaît, au quotidien, des avancées incontestables. Les objectifs de ce processus font l’objet d’un très large consensus au sein de toutes les sphères de la société et des institutions. Ces dernières sont particulièrement attentives à ce mouvement et œuvrent à accompagner notre peuple dans cette phase cruciale de son évolution», ajoute-t-il dans le même discours.

Selon lui, «au cœur des revendications populaires, la lutte contre la corruption et la dilapidation des deniers publics a ainsi connu une accélération qui laisse entrevoir une prise en main déterminée par la justice des dossiers qui ont défrayé la chronique mais aussi, et surtout, une action méthodique, inscrite dans la durée et induisant un impact salutaire sur l’économie nationale, débarrassée de l’impact néfaste des pratiques qui ont profondément gangréné son fonctionnement».

«Il va sans dire, cependant, que l’intérêt suprême du pays impose la préservation de l’Etat, le respect des institutions ainsi que la sauvegarde de la sécurité et de la stabilité du pays et ce quelles que soient les circonstances», précise encore Bensalah pour lequel «cette responsabilité incombe, en premier chef, aux institutions de l’Etat mais elle est aussi la responsabilité de tous».

Le chef de l’Etat estime dans ce sillage que «les menaces auxquelles fait face notre pays ne sont pas une vue de l’esprit. Elles sont multiformes, d’origine exogène mais avec des relais internes, elles sont pernicieuses et de plus en plus sophistiquées. L’affaiblissement et la déstabilisation de l’Algérie constituent, pour certaines parties, une option stratégique». «Nier cette réalité ou tenter d’en minimiser la dangerosité serait au mieux faire preuve de naïveté et au pire de complicité», relève-t-il, appelant le peuple «à faire preuve de la plus grande vigilance» pour faire barrage aux «intentions malveillantes et aux agissements hostiles de ces parties, qui cherchent à semer les graines de la discorde et à porter atteinte aux institutions de l’Etat».

M. S.

Comment (37)

    Zaatar
    7 mai 2019 - 8 h 33 min

    J’ai l’intime conviction que H’mida veut mettre le feu aux poudres. Mettre ainsi des œillères pour des élections présidentielles le 4 juillet sachant que personne ne va aller voter et que le peuple demande son départ est tout simplement suicidaire pour le pays. On s’obstine à maintenir un cap qui nous conduiras directement vers le gouffre…il semble que H’mida c’est exactement ce qu’il cherche. Sinon pourquoi?

    Anonyme
    6 mai 2019 - 23 h 42 min

    De quel mal peut bien être atteint une personne qui tient absolument à imposer sa feuille de route à plus de 42 millions de personnes, alors que ces derniers ne le reconnaissent même pas et ne lui accordent, de surcroit, aucune espèce de crédit ?!
    Le dictatorisme ? Le donquichottisme ? Le gaïdisme ? Le toufikisme ? Le fakhamatouhisme ?…

      Zaatar
      7 mai 2019 - 3 h 58 min

      C’est le serkisme a touprisme de la rentisme. Le ga3disme à la masmarisme.

    dzl G ri
    6 mai 2019 - 22 h 20 min

    je ne te reconnais cette autorité tu dég ? age ,qu e que tu ne comprend pas personne ne veut de toi pour qui te pend tu roi de pacotilles plus tu reste plus tu te fait détester par contre si tu veut avoir une fin honorable de ton court régné certainement trop lourd pour tes frêles épaules ,tu dissous le FLN,,, SI NON TU ES LA CONTRE LA VOLONTÉ DE 40 MILLIONS D ALGÉRIENS POUR QUI TE PREND TU PETIT DICTATEUR A LA NOIX

    Intikhabetes
    6 mai 2019 - 21 h 06 min

    Si les autorités algériennes, vestiges de l’ancien régime, réussissent la mission quasi impossible d’organiser les prochaines élections présidentielles, prévues le 4 juillet prochain, sans candidats et sans électeurs et aboutir contre vents et marais à élire un président légitime de la république, le monde entier enregistrera cette performance inédite comme étant un chef d’oeuvre universel unique dans l’histoire de l’humanité.

    Rien n’est impossible, ces mêmes autorités ont habitué le peuple algérien à les voir réussir des scrutins inimaginables et une gestion de l’état hors cadre. .

    Anonyme
    6 mai 2019 - 19 h 13 min

    est le peuple qui décide quand comment qui ou toi tu te casse c est la volonté du peuple alors tu t en va et attend ton tour comme les autres,

    Felfel Har
    6 mai 2019 - 17 h 31 min

    A Messieurs Bensalah, Gaïd Salah, Bédoui et les autres rêveurs qui s’entêtent à croire qu’ils peuvent encore rouler le peuple algérien dans la farine aprés démonstration de sa compréhension des enjeux politiques, de sa détermination, de sa tenacité et surtout de sa volonté de changement en profondeur: vouloir dialoguer maintenant avec l’opposition et maintenir les élections présidentielles pour le 4 juillet (avec le secret espoir de voir votre joker sortir vainqueur des urnes que l’on sait manipulées) est une utopie à laquelle le peuple ne croit pas. Vous voulez aller vite en besogne pour imposer une feuille de route qui a été maintes fois rejetée, car ne répondant pas aux attentes du peuple.
    Les conditions actuelles ne sont pas propices aux changements salutaires réclamés par ce peuple que vous avez longtemps bafoué, en décidant pour lui, souvent à son détriment (donc à votre avantage exclusif).
    Parce que je vous sais incultes et ignorants de l’Histoire du monde, je me fais un plaisir de vous vous faire lire cette phrase de Louis XIV, vous savez ce roi qui pensait être dieu sur terre et qui se disait tout puissant: « C’est toujours l’impatience de gagner qui fait perdre. » Comprenez donc que nous voulons mettre de l’ordre dans notre maison en la débarrassant de tous ceux qui l’ont détruite, qui l’ont conduite à la ruine.
    L’Algérie de demain se fera sans vous. Mettez-vous ça bien dans la tête! Ceux qui ont longtemps choisi l’inertie se sont disqualifiés pour parler maintenant de changements salutaires.

    ABDEL
    6 mai 2019 - 15 h 20 min

    mr « happy' »est entrain de pourrir la situation pour rester au pouvoir sans aucune limite de durée ,comme le prévoyait la feuille de route établie par le clan bouteflika..en vue d’une transition organisée par ce meme clan…..SI NON., comment imaginer des élections normales le 4 juillet ,sans candidats serieux ni électeurs,qui ne vont pas se déplacer et cautionner une fois de plus, une mascarade prévue a l’avance !!

    Taghananete
    6 mai 2019 - 14 h 28 min

    Je me demande s’il y a vraiment un pilote dans l’avion Algérie. Une sorte de commandant de bord, raisonnable, qui aurait pour tache d’assurer la transition conduisant vers l’Algérie nouvelle que réclament et qu’attendent des algériens par millions.
    Ceux qui sont aux commandes actuellement semblent diriger ce pays vers une destination obstruée qui est beaucoup plus caractérisée par sans ambiguïté,une voie sans issue en raison de sa feuille de route plus que rejetée par la quasi majorité de nos concitoyens.
    Si on continue sur cette voie on se dirige inéluctablement vers le mur.
    Mais les « décideurs » semblent déterminer à poursuivre en empruntant ce chemin…qui ne mène à rien?

    Digage!
    6 mai 2019 - 11 h 56 min

    Dialogue de sourds ou plutôt Monologue d’un Pouvoir sourd, car le peuple entend très bien et comprend la combine.
    Des semaines que le peuple dit « système digage! » et voilà Gaid-Ben-Salah qui nous disent : « On vous entend, on vous comprend, on est avec vous, on va organiser des élections avec le même système qui reste ».
    Problème de traduction ?

      SoyonsLogiques
      6 mai 2019 - 14 h 19 min

      Le système maintient la cap pour faire elire son candidat contre la volonté du peuple.C’est la raison pour laquelle il s’accroche à la constitution bouteflikienne qui avantage le système.Le peuple vivra le meme scenario que celui de 1992 qui a vu l’ascension du FIS lequel a profité de l’abstention massive des algériens pour rafler la mise due seulement au vote de ses partisans et des demunis de l’algérie profonde qu’ils a dirigés vers les bureaux de vote à l’aide d’autobus.C’est ce qui se passera le 4 juillet.Le systeme ira chercher le vote des pauvres djounouds,les partisnas de l’alliance presidentielle et de l’immense administration etatique ministerielle,wilayale etc qui ne veulent pas perdre leurs avantages etc..

      Bof
      6 mai 2019 - 14 h 51 min

      1/3 du discours consacré au ramadhan et saupoudré de citations et hadiths pour mousser la plèbe islamo-consarvatrice.
      2/3 du discours pour répéter ce que son Patron a déjà dit mardi passé.
      On avait droit à 1 discours chaque Mardi, maintenant on aura 2 discours identiques chaque semaine, pour bien passer le ramadhan.

    Mimi bram
    6 mai 2019 - 11 h 11 min

    LA SOLUTION DU PEUPLE

    Vue la situation de blocage qui sévit depuis la démission de Bouteflika, le peuple imposera une proposition pragmatique et efficace pour la sortie de crise.

    La force de cette idée c’est d’établir un lien de confiance et de sérénité pour la poursuite du processus du renouveau.

    Les partis politiques, la société civile et l’armée nationale accepteront sans aucun doute cette initiative citoyenne

    1- Le HIRAK désigne une personnalité consensuelle autant que candidat pour les élections présidentielles (Benbitour).

    2- L’armée s’engage à ne pas avoir de candidat et accepte celui choisi par le peuple.

    3- Maintenir la date du 4 juillet pour les élections présidentielles, notre armée sortira ainsi gagnante aussi.

    4-Aucune modification de la loi électorale ni dans les institutions existantes.

    5- Le candidat choisi s’engage pour une durée de deux ans

    6- Le futur président de la république entamera des discussions et des consultations pour préparer le changement que le peuple a demandé.

    Enfin, il faut agir vite avant que ça soit trop tard et il faut savoir faire des concessions pour notre Algérie. Ainsi personne ne sortira perdant de cette situation inédite.

    Le peuple est souverain et la révolution intelligente vaincra.

    La nouvelle devise de la nouvelle génération sera:  » Sourire – Paix et Efficacité « 

    Anonyme
    6 mai 2019 - 10 h 58 min

    « MR HAPPY » comme tous les autres ne retient pas l’histoire du passé,ainsi si boureflika avait eu la sagesse de partir a la fin du 2e mandat,il serait a coup sur,glorifié aujourd’hui !!MR HAPPY ,nommé président,pour lui qui a toujours ete un servile serviteur,est une chose inespérée pour lui,il fait comme tout les potentats arabes,il s’accroche au pouvoir malgré les protestation de tout un peuple!!!

    Antisioniste
    6 mai 2019 - 10 h 48 min

    Pour moi tout ceci est la preuve de l’existence des mondes parallèle, des voyages dans le temps, mais surtout de l’infinité de la bêtise et la sottise, bref la lutte continue non-stop.

    M. Gaïd Salah a fait...
    6 mai 2019 - 10 h 16 min

    …Fort en démissionnant Bouteflika, mais curieusement, Ben salah lui fait de la résistance. Sommes-nous entrain d’assister à un tandem « Gaïd-Ben » comme ce fut le cas avec les bouteflika « Abdelaziz-Saïd », c’est de tradition en Algérie. On en sortira donc jamais !

    RAMADHAN KARIM
    6 mai 2019 - 9 h 29 min

    NE NOUS TROMPONS PAS DE CIBLE. Bensalah et Bedoui KHODRA FOUG TA3M !
    ILS N’ONT PAS VOULU ET NE VEULENT PAS DE LEURS POSTES. Ils ont le couteau sous la gorge. Leur seul désir c’est de partir et se faire oublier quitte à solliciter un passeur de harraga.
    NE SOYONS PAS LÂCHES, car c’est ce que nous sommes. Le vrai pouvoir a toujours été militaire. Boutef a manœuvré pour leur enlever une partie du pouvoir en les fagocitant, mais l’interlude a été de courte durée. Le reste n’est que lutte de clans résultat de la division créé entre eux par ce même boutef. Si le HIRAK échoue, ils vont ressouder leurs rangs et nous coloniser pour un autre siècle. LA PLACE DE L’ARMÉE EST DANS LES CASERNES ET LA DÉFENSE DES FRONTIÈRES. LA POLITISATION DE L’ARMÉE COMME CELLE DE LA RELIGION EST MORTELLE POUR UNE NATION.

    lhadi
    6 mai 2019 - 9 h 18 min

    Durant cette période fertile en trahisons en tous genres et d’intrigues qui se trament, le destin de l’Algérie est lié à des hommes et des femmes de responsabilité, efficaces et compétents-es, ayant une conception exigeante et passionnée du service de l’Etat ; des hommes et des femmes fidèles à la règle de nos institutions qui veut que la responsabilité de la politique gouvernementale, sous le contrôle du parlement, incombe au seul premier ministre nommé par un Président de la république élu au suffrage universel comme le stipule la constitution algérienne à qui nous devons fidélité, respect et loyauté.

    L’intérêt de l’Algérie passe avant toute considération personnelle.

    Fraternellement lhadi

    ([email protected])

    ZORO
    6 mai 2019 - 8 h 49 min

    Toutes les peines que se donne ce valeureux peuple seront perdues si le FLN ,LE RND et l UGTA ne seront pas dissouts ils ont ete le laboratoire de creation de tous ces monstres qui ont pour noms ,SAADANI ,OULD ABBES ,SELLAL BENSALAH ,OUYAHIA ACIDE SAID,etc etc la liste est longue et sans fin elle s etale sur 50 ans.
    SigneZORO. ..Z…..

    taghast
    6 mai 2019 - 8 h 38 min

    Tout le monde parle maintenant au nom du peuple! Ce sont les urnes qui décident et non pas FB. L’Algérie profonde, elle, veut seulement des élections propres.

    Si KADDOUR
    6 mai 2019 - 6 h 27 min

    L’effet d’annonces des journées d’attente, juste pour nous annoncer qu’il se plaît bien à la présidence et il compte rester, soit avec l’appui son clan d’oujda, soit par Mr le Général Si El Gaid,Monsieur vous oubliez que le peuple a décidé autrement, fini les bandes de voyous corrompus, fini les bandes des fraîchement naturalisés, c’est au peuple de prendre son destin en main, vous avez raté gloire et histoire mais vous avez pillé toute une nation, mais vous l’emporterez pas avec vous dans vos tombes

      Finesse-Aures
      6 mai 2019 - 9 h 20 min

      Ce Bensalah joue bien la comédie de Don Quichotte, il sait qu’il n’est plus audible, il a perdu toute crédibilité morale, politique et citoyenne, il fait parti des dirigeants qui n’ont pas le sens de l’honneur pour quitter proprement, ils se fiche royalement de ses compatriotes, obsédé par un koursi bien chaud et étoffé, il a dû mal à s’en défaire, il est dans cette spirale aveugle du pouvoir, il devrait capituler et ses alter ego face au soulèvement du peuple, Nous ne voulons plus de cette constitution rafistolée par des prédateurs dont les origines laissent à supposer des doutes et des supputations, on devrait créer le vide constitutionnel pour les pousser vers la sortie, nous devrions dissoudre les deux chambres du parlement et le conseil constitutionnel, la corruption est logée dans tous les étages de la société, rejetons cette opposition traditionnelle, elle même rejetée par le peuple, mettons le FLN parti des affairistes au musée d’Alger et déclarons le patrimoine national, réduisons l’influence des partis islamistes en refusant tout agrément, modifions cette constitution par voie référendaire et non parlementaire
      Vive le Changement pour cette Authentique Algérie.

    Anonyme
    6 mai 2019 - 6 h 15 min

    Ils doivent remplir les urnes like always

    Hamlaoui
    6 mai 2019 - 5 h 04 min

    Un élément clé du problème ne peut pas un élément de la solution. La meilleur façon de résoudre le problème c’est l’identification des éléments du problème l’est neutraliser pour enfin proposer une solution qui prend sa source sur une base saine. Bensalah est un élément du problème . Il est enfanté par le système mis en place par Bouteflika. Il doit être neutralisé. En aucun cas un élément de la solution. Les virus mis hors d’État de nuire . Nous passons à la recherche de la solution . Le dialogue le consensus la sagesse déboucheront sur une solution acceptable et acceptée pour les vrais citoyens vive l’Algérie aux pluriel.

    Zaatar
    6 mai 2019 - 4 h 30 min

    Comme nous l’avons suggéré il y a quelques temps, nous y voilà. Brave H’mida. Il savait ce qu’il faisait depuis le début. Il nous a mené en bateau depuis tout ce temps. Moi qui n’avait jamais voulu croire j’ai du embarqué aussi. Mais très honnêtement je me demandais à chaque fois qu’est ce qu’il va nous sortir de son chapeau cette fois. La réponse on l’a. Des sacrifices. C’est comme dans la chanson d’amel Bent « c’est ma philosophie », des sacrifices s’il le faut j’en ferais…mais je suis l’as qui bat le roi. Toute une vitrine sacrifiée. Reste à savoir jusqu’où va s’il aller. Mais enlevez tout espoir d’un réel changement.

      Abou Langi
      6 mai 2019 - 9 h 54 min

      La force d’inertie ya Si Zaatar. Croire une seule seconde qu’il allait venir à la télé annoncer sa reddition c’est tout simplement croire aux miracles. Ce n’était qu’une façon de plus de marquer sa présence et de signifier au Dindou que h’na imout Qaci !

      Karamazov
      6 mai 2019 - 10 h 52 min

      Des sacrifices ???

      Atounavi qui du Dindou, du président, du Gininar va être sacrifié ?

        Luipa
        6 mai 2019 - 14 h 08 min

        Le Dindou .

    ALI 8
    6 mai 2019 - 2 h 39 min

    J’y suis j’y reste;le régime des traitres doit continus à imposés ses lois et ses conditions;Mr Bensalah n’a pas encore compris et aussi entendu les revendications du peuple Algérien;vous avez détruit toute une nation et ses quarante millions de citoyens,et vous voulez l’achevé encore,mais vous n’arriviez ni vous;ni vos chefs

      Thebest
      6 mai 2019 - 10 h 12 min

      Bensalah là vous prenez le peuple algérien pour des ploucs. Vous proposez des élections avec les mêmes acteurs qu’on avait avant le hirak, c’est à dire des guignols du système. Excuse moi je ne veux avoir le choix entre benflis et ghediri (soutenu pas rebrab et Toufik) ou Louisa Hanoune et son copain du système said Saadi. Non monsieur bensalah, les algériens veulent un vrai débat avec toutes les forces vives pour dégager de nouveaux candidats, ne connaissant pas les magouilles du système. Vos élections sont une bombe à retardement.

    Nadjib
    6 mai 2019 - 2 h 10 min

    C’est encore un coup tordu. Ils savent que l’immense majorité du peuple n’ira pas voter, les seuls électeurs seront ceux du FLN ou du RND Résultat des courses le prochain président élu sera l’un d’eux et sans a avoir besoin de bourrer les urnes. Donc rebelote pour les algériens en reprendrons pour 5 ans. Simple mais efficace.

    SaidZ
    6 mai 2019 - 2 h 03 min

    au pays des aveugles les borgnes sont rois……….lah yerhem les Hommes!

    Vroum Vroum ????..
    6 mai 2019 - 1 h 28 min

    Voilà , pour que l’Omelette mains propres soit délicieuse , il faux casser tous les Oeufs !!.. Et la Mr Gaid Sallah Chef d’État Major casse certains Oeufs et ignore les autres , moi je le soutient dans son opération mains propres , Hadad , Kouninef , mais sous certaines conditions d’égalité , mais Sadani ou Sahraoui et certains autres sont tranquilles , épargnés !! Pourquoi ? Quel est le Patrimoine de Gaid Sallah et de celui de ces Fils si il y a lieu , leurs Entreprises si ils en procèdent , leurs associés si il y a lieu .comment ils ont amassé leurs fortunes si ils en ont ? Quand on aspire à diriger l’Algérie , on doit rendre son Patrimoine public et transparent et donner l’exemple , alors que sortit de la pauvreté ils habiteraient des Villas de plusieurs milliards , auraient des privilèges … Alors Mr Gaid Sallah doit donner l’exemple et montrer son Patrimoine ainsi que les entreprises de ces Fils si ils en ont , tout doit etre transparent , honnête ! Le nombres de Villas , le Prix , d’où vient l’argent !!? , et alors je soutiens à 100% Mr Gaid Sallah ou tout autre Dirigeants , mais ils doivent montrer leur Patrimoines , Comptes en Bank , provenance des Milliards du Patrimoine si il y à lieu … ! Sans ces conditions pas de confiance . .Toute ma vie j’ai travaillé pour finir même pas riche !.. et Eux on commencé simple ouvrier ou simple soldat et finieraient Milliardaire ou Habitant des Villas de plusieurs Milliards !! Un Dirigeant doit déclarer son Patrimoine si il n’a rien à cacher . .C’est mon avis légitime pour donner ma confiance , c’est à ce prix , ma confiance vaux tres chère elle est pas gratuite . .On est en droit de connaître le Patrimoine de Gaid Sallah , il doit montrer l’exemple en premier .

    Anonyme
    6 mai 2019 - 1 h 03 min

    C’est pas possible ! Ou il n’a encore rien compris à rien, ou il fait semblant de ne pas comprendre !
    C’est purement et simplement de la provocation ! Le Ramadhan s’annonce difficile et insupportable avec des gens pareils.

    Anonyme
    6 mai 2019 - 0 h 53 min

    «Bensalah maintient le «cap» de l’élection présidentielle le 4 juillet».
    ————————————————————————————————————————————————-
    C’est son choix à lui, et non celui du peuple algérien. Alors qu’il assume et tienne son cap tout seul contre la volonté de 42 millions d’algériens. On verra bien qui va être emporté par… vents et marées !

    hibeche
    5 mai 2019 - 23 h 41 min

    Ben Salah vous dit qu’il est toujours le chef de l’état. Il vous emmène droit aux élections du 4 juillet. Qu’il était dans un état comateux alors il n’a pas entendu vos revendications.

    Anonyme
    5 mai 2019 - 23 h 33 min

    Bensalah n’a pas été nommé au Conseil de la nation par hasard par Bouteflika c’était dans le but d’hériter son poste au cas où comme aujourd’hui, Bensalah peut manœuvrer dans l’ombre au profit de sa bande.
    La solution c’est de faire table rase et de coffrer toute cette bande d’escrocs et naturalisés.

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