La propagande liée au Covid-19 inspirée des méthodes de l’Américain Bernays

Ed B Covid-19
Edward Bernays est le fondateur de la notion de relations publiques. D. R.

Par Mesloub Khider – «La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter.» (Aldous Huxley.) Pour mieux appréhender la propagande virale actuelle provoquée par l’épidémie du Covid-19, il serait utile de se référer à la propagande de guerre, cette arme classique d’endoctrinement idéologique, de manipulation psychologique. Cette immersion dans les arcanes de la propagande de guerre nous aidera, à notre époque actuelle marquée par la psychose distillée par les gouvernants et les médias, à mieux saisir les ressorts psychologiques de l’embrigadement des populations actuellement en œuvre dans tous les pays.

L’histoire bégaie. S’il y a bien une analogie historique, c’est bien entre la crise sanitaire et économique actuelle et la Première Guerre mondiale, toutes deux caractérisées par le recours massif à la propagande. Et pour cause. Les deux ont subi des bombardements de mensonges meurtriers. Dans les deux contextes historiques, les Etats ont érigé le despotisme en mode de gouvernance pour terroriser leurs populations par des lois liberticides et des atmosphères apocalyptiques, pour les mener à l’abattoir (la troisième guerre mondiale est imminente). Toutes les deux auront été marquées par un climat de fin du monde, des convulsions politiques, des révoltes sociales, des fins d’empire, des surgissements de totalitarismes.

Le président Macron (comme tant d’autres chefs d’Etat), au début de l’épidémie du Covid-19, pour justifier le confinement pénitentiaire et les mesures de restriction des libertés, n’avait-il pas inauguré son discours par cette déclaration martiale : «Nous sommes en guerre !» L’instance étatique censée lutter contre la propagation du virus, maladie virale, n’a-t-elle pas été paradoxalement affublé du nom de «Conseil de défense» (où siègent curieusement des généraux) ? Une chose est sûre : dans la majorité des pays, la gestion, par ailleurs délibérément chaotique, de la crise du Covid-19 s’apparente davantage à une opération musclée sécuritaire et militaire qu’à une intervention médicale et sanitaire.

La gestion propagandiste de la crise sanitaire du Covid-19 rappelle étrangement la manipulation psychologique dont ont été victimes les populations lors de la Première Guerre mondiale pour justifier et légitimer leur enrégimentement militarisé, la privation totale de leurs libertés, leur incorporation totalitaire dans l’économie de guerre, mesures décrétées au nom de la menace d’un ennemi (létal) censé mettre en danger la patrie.

Historiquement, la Première Guerre mondiale s’est illustrée par le recours à une propagande d’une dimension industrielle inégalée. Pour la première fois dans l’histoire, pour museler toute voix discordante et caporaliser l’état d’esprit collectif, l’Etat allait s’employer à réduire l’ensemble de la population au contrôle social, l’intégralité des organes de presse à la surveillance totalitaire de l’information, notamment par le biais de la censure. Pareillement, les partis politiques, en particulier d’obédience socialiste, seront réduits au silence. Le Parlement, au moment où la Grande Muette se mettait à faire parler bruyamment ses armes, perdait éloquemment la parole : toutes les formations politiques tairont leurs divergences pour œuvrer au service de la guerre. C’est le début de l’ère du contrôle de la pensée, de la pensée contrôlée. De la propagande générale.

En 1914, force est de constater que le dessein principal de la propagande étatique visait à regrouper toutes les énergies de la nation pour les convoyer dans une seule direction : le champ de guerre afin d’infliger une défaite cuisante au pays étranger désigné comme l’ennemi (du moment). Aujourd’hui, en 2020, avec une propagande habilement menée, sous couvert de lutte contre un virus invisible, dans une forme d’inversion de l’adversité, le véritable ennemi, en réalité visé, est tapi à l’intérieur du pays : c’est le peuple, le prolétariat, particulièrement virulent ces dernières années au plan de la contestation sociale. Pour les classes dominantes, sous couvert de lutter contre le Covid-19, l’objectif politique est d’enrayer le virus des révoltes populaires, d’endiguer les foyers de contagion de contestation sociale. Non d’enrayer le coronavirus, leur meilleur allié actuellement, dans la guerre de classes qu’elles mènent contre les peuples opprimés et le prolétariat.

En 1914, parce que toute la population devait participer directement à l’effort de guerre, elle devait être convaincue que la guerre était juste et nécessaire. Aussi, l’Etat devait-il actionner sa machine de manipulation psychologique ou plutôt instrument de mensonge : la propagande. En 2020, parce que la population doit participer, sous la terreur, à l’effort de la reconfiguration économique dictée par le grand capital financier, à l’instauration d’un nouvel ordre mondial, elle doit être persuadée qu’elle est attaquée par un microscopique virus invisible. Aussi doit-elle s’enterrer socialement vivante en acceptant tous les sacrifices économiques, les immolations de toutes ses libertés.

En 1914, la totalité de l’appareil productif du pays, industriel et agricole, devait fonctionner de manière optimale et être orienté vers des finalités militaires. Corrélativement, cette conversion de l’économie vers des objectifs militaires impliquait-elle pour la majorité de la population l’austérité et le sacrifice. Mais plus fondamentalement, l’économie de guerre signifiait aussi un grand bouleversement dans l’organisation de l’industrie et de l’agriculture : il ne faut pas oublier que c’est au cours de la Première Guerre mondiale que seront jetées les bases du modèle économique capitaliste moderne (fordisme, taylorisme, marketing, management, OST, etc.). De même, c’est la Première Guerre mondiale qui enfantera les divers totalitarismes du XXe siècle (fascisme, nazisme, stalinisme, maoïsme, kémalisme, etc.). En 2020, la totalité de la production doit être restructurée dans le dessein de la transformer en une économie dématérialisée, numérisée, ubérisée, dominée par le télétravail, autrement dit, cette fois avec un minimum d’hommes et de femmes sur le champ de guerre économique totalement financiarisé, sur fond d’un despotisme rampant.

Certes, la propagande n’a pas été inventée au cours de la Première Guerre mondiale. Mais c’est la première fois dans l’histoire où la propagande revêtait une dimension industrielle et scientifique. Dès cette époque, la propagande allait être intégrée dans les formes de gouvernement comme moyen d’asservissement de la population et de dévoiement politique totalitaire. La propagande peut être définie comme la fabrication de l’information idéologique par l’Etat aux fins d’endoctrinement mental de la population. Les régimes nazi et stalinien se serviront abondamment de cet instrument d’intoxication psychologique. Cependant, la propagande ne sera pas exclusivement l’apanage des régimes dictatoriaux. L’Occident démocratique, dans un raffinement de politesse dictatoriale veloutée, l’exploitera également, mais avec des techniques plus sophistiquées, avec l’assentiment servile de la population persuadée de vivre dans un pays libre. Il n’y a pas pire malade qui s’ignore. Il n’y a pas pire aliéné qu’un citoyen qui se croit libre.

Les techniques de propagande élaborées par l’Etat au cours de la Première guerre mondiale, perfectionnées au cours de la Seconde Guerre mondiale, seront transposées par la suite dans la vie sociale et économique, notamment par le biais de la publicité et le contrôle électronique de la population. Depuis lors, dans les démocraties totalitaires de l’Occident, la propagande a été intégrée dans tous les rouages de la société. La propagande est devenue si omniprésente dans la vie quotidienne, notamment dans la politique et l’économie, qu’elle agit de manière quasi invisible, voire naturelle, tel un virus doctrinaire asymptomatique, distillé dans le corps social déjà amplement contaminé par d’autres formes de microbes idéologiques imprimés depuis l’enfance dans le cerveau.

En 1928, Edward Bernays, fondateur de la propagande politique et entrepreneuriale, avait écrit dans son livre Propaganda : «La manipulation habile et consciente des habitudes et des opinions des masses est une composante majeure de la société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme secret de la société constituent un gouvernement invisible qui est la véritable puissance dirigeante de notre société.» (…). «Le gouvernement invisible tend à être concentré entre les mains de quelques-uns à cause de la dépense engendrée par la manipulation de la machine sociale qui contrôle les opinions et les habitudes des masses.» Comme il est explicitement mentionné dans ce passage du livre de Bernays, la manipulation est opérée secrètement par un «gouvernement invisible». Il est manifeste que Bernays faisait référence à la grande bourgeoisie, voire au grand capital.

Le livre de Bernays, écrit en 1928, s’était inspiré de son expérience de propagandiste durant la Première Guerre mondiale. C’est au cours de cette guerre que, pour la première fois dans l’histoire, la propagande avait été utilisée à une échelle industrielle. En effet, comme on l’a souligné plus haut, c’était la première guerre totale de l’histoire. Elle avait mobilisé d’immenses contingents militaires. Jamais, dans l’histoire, il n’y avait eu une telle masse de la population masculine enrôlée dans les armées (comme, en 2020, jamais 4 milliards de personnes dans le monde auront été totalement confinées, séquestrées, assignées à résidence, durant presque trois mois ; des centaines de millions auront été jetées dans l’enfer du chômage, précipitées dans la paupérisation). De même, cette guerre totale génocidaire avait eu pour corollaire d’incorporer toute la population civile dans l’effort de guerre, notamment par la production de matériels militaires et l’embrigadement des femmes dans les usines comme dans les hôpitaux. Pour assurer une telle impressionnante mobilisation et justifier la guerre, l’Etat avait dû recourir à une campagne de propagande d’une dimension industrielle.

La propagande consiste à façonner l’opinion par tous les moyens possibles, en s’appuyant en particulier sur les médias chargés de la communication. Au reste, Edward Bernays nommait cette communication la «fabrique du consentement». Actuellement, en 2020, à la faveur de la crise sanitaire et économique, cette fabrique du consentement est la seule à ne pas connaître la crise : elle tourne à plein régime (fasciste).

Ironie de l’histoire, Edward Bernays avait participé, aux côtés du président américain Wilson, à la Commission Creel, convoquée pour convaincre l’opinion publique américaine «pacifique» de la justesse de la participation des Etats-Unis dans la guerre. Au final, grâce à la propagande, la Commission Creel avait permis de retourner le peuple américain en faveur de l’entrée dans la Première Guerre mondiale. Toute ressemblance avec les comités scientifiques actuels, pollués par l’implication de véreux viraux médecins œuvrant pour les groupes pharmaceutiques et officines étatiques, n’est pas fortuite. Leurs recommandations médicales criminelles n’ont rien à envier aux conseils génocidaires des politiciens de l’époque de la Première Guerre mondiale appelant les populations à porter impérativement l’uniforme de guerre, pour se protéger soi-disant de l’ennemi, non sans avoir livré bataille la fleur au fusil et drapeaux fièrement flottant au vent, selon la rhétorique propagandiste usitée en période de guerre, pour le grand profit des industriels de l’armement et le bénéfice des classes dominantes (aujourd’hui pour les Big pharma, la BCE, FMI, empires financiers).

Il est utile de rappeler qu’Edward Bernays s’est fait connaître non seulement sur le champ meurtrier de guerre, mais aussi dans le domaine belliqueux de l’économie capitaliste. En effet, le parcours professionnel de cet austro-américain est singulièrement atypique. Dans les années 1920, il travaille pour plusieurs entreprises, notamment une marque de bacon. Cette fois, au lieu d’employer ses talents de propagandiste publicitaire pour vanter les vertus du bacon, Bernays préfère enrôler une dizaine de médecins qui vont recommander aux Américains de prendre chaque matin un copieux petit-déjeuner, de préférence avec des œufs et du bacon (aujourd’hui, les médecins, enrôlés par l’Etat, vantent les vertus du confinement pénitentiaire, du port du masque à l’extérieur en dépit de son inefficacité, participent avec les apprentis sorciers gouvernementaux à la politique pyromane de la destruction psychologique de la population par la création d’un climat apocalyptique).

Décidément, la corruption morale des médecins est ancienne. Grâce aux recommandations, médicalement criminelles du fait du surpoids généré par la consommation de cet aliment hyper-calorique, de ces médecins corrompus, les œufs au bacon sont devenus un référent diététique, une institution du petit-déjeuner américain.

Edward Bernays est aussi l’homme de la fumeuse émancipation de la femme américaine. En effet, travaillant pour une firme de cigarette, Bernays avait eu la lumineuse et incandescente idée, pour flamber les ventes des cigarettes, d’allumer la consommation des femmes en leur offrant l’occasion d’égaler les hommes par l’accès à la liberté de fumer dans l’espace public. Jusque-là, les femmes ne fumaient pas dans les lieux publics. C’était moralement réprouvé. Bernays va brûler et réduire en cendres ce tabou infiltré par la morale patriarcale. Car Edward Bernays avait présenté la cigarette comme un symbole phallique, et donc un instrument de la domination masculine. Aussi, va-t-il inviter les femmes de mettre le paquet pour briser le monopole de la cigarette masculine. Pour ce faire, il va embrigader des femmes de la bourgeoisie émancipée pour embraser la scène médiatique. Comment ? Le jour du rituel défilé de Pâques, des femmes déambuleront dans la cinquième avenue de New-York en fumant des cigarettes. Cette entrée en scène spectaculaire sera immortalisée par une expression soufflée par Bernays, devenue légendaire : «Leurs cigarettes sont des torches de la liberté.» Aussitôt, la gente féminine va s’enflammer pour la nouvelle mode de la «sucette à cancer». En quelques mois, la consommation de tabac chez les femmes va flamber et consumer leurs poumons.

De manière générale, comme l’avait bien compris Bernays, influencé par les théories psychanalytiques de son oncle Sigmund Freud et la psychologie des foules de Gustave Le Bon, la propagande est le meilleur instrument idéologique pour influencer les foules en s’adressant à leurs émotions et à leurs instincts. En effet, la propagande n’a pas pour tâche de manœuvrer l’esprit conscient, mais de manipuler l’inconscient. Car la mentalité collective n’est pas régie par la pensée rationnelle, mais par la passion, les impulsions, les émotions. «Par conséquent, si nous comprenons le mécanisme et les motivations de l’esprit de groupe, n’est-il pas possible de contrôler et d’enrégimenter les masses selon notre volonté sans qu’elles le sachent ?» avait-il écrit.

Aussi, les desseins de toute propagande ne se réduisent pas uniquement à l’inculcation et à la propagation. La propagande a surtout pour mobile de dissimuler les véritables motivations d’une opération politique, économique, étatique, religieuse. La propagande avance toujours masquée, les mains gantées de légalité pour ne pas laisser d’empreintes coupables visibles, le corps institutionnel protégé d’une armure pour assurer ses arrières et les édifices carcéraux prêts à suppléer les officines d’endoctrinement défaillantes et à embastiller les dissidences suspicieuses.

Comment persuader des millions d’hommes d’aller sacrifier leur vie sur le champ de guerre, sinon par l’usage de l’arme de la propagande destinée à dissimuler les mobiles de la guerre : la défense des intérêts d’une classe d’exploiteurs drapée dans le discours patriotique. Comment persuader des milliards d’individus d’accepter le confinement meurtrier, les restrictions de leurs libertés, les sacrifices sociales, le carnage économique, sinon par le recours à une campagne de propagande étatique et médiatique destinée à masquer les véritables motivations de la gestion apocalyptique de la crise sanitaire du Covid-19 : créer un climat de psychose et de sidération pour justifier et légitimer la reconfiguration despotique de l’économie sur fond de la militarisation de la société.

Si le terrorisme vise à pulvériser les corps humains, la propagande entend superviser les esprits. Les deux modes de gestion et de gouvernance complémentaires sont inhérents au monde capitaliste totalitaire et décadent contemporain.

«L’appareil de propagande de Staline et Brejnev semble, en comparaison [au mensonge médiatique], un jeu de faussaires amateurs.» Alexandre Zinoviev.

M. K.

Comment (7)

    Apulée de Madaure
    11 septembre 2020 - 16 h 02 min

    Merci infiniment Mr Mesloub Khider pour votre article ayant comme conclusion ; «L’appareil de propagande de Staline et Brejnev semble, en comparaison [au mensonge médiatique], un jeu de faussaires amateurs.». Que dire aussi de :

    1 – Interrogé par le Dr Jean-François Lemoine pour le journal audio quotidien de Pourquoi Docteur.
    Le virologue français, Luc Montagnier, a estimé que le coronavirus (covid-19) est sorti d’un laboratoire chinois avec de l’ADN de VIH dans un entretien. Le professeur Montagnier a expliqué qu’il ne croit pas que le coronavirus provienne d’une contamination dans un marché aux animaux sauvages de Wuhan en chine. «C’est une belle légende, ce n’est pas possible. Le virus sort d’un laboratoire de Wuhan», a-t-il dit.

    « Avec mon collègue, le bio mathématicien Jean-Claude Perez, nous avons regardé de près la description du génome de ce virus à ARN », a expliqué Luc Montagnier, en ajoutant que d’autres avaient déjà exploré cette piste: « Des chercheurs indiens avaient déjà tenté de publier les résultats d’analyses montrant que ce génome abritait des séquences d’un autre virus qui est … le VIH, le virus du SIDA, mais ils ont été obligés de se rétracter, les pressions étaient trop fortes ! ».

    Selon Pr. Montagnier, la séquence de VIH aurait été insérée dans le génome de covid-19 pour tenter de faire un vaccin contre le VIH.

    2 – Concernant cette vaccination voila ce qu’en pensent certains :
    C’est une polémique sans précédent. Elle voit le célèbre découvreur du virus du sida, affirmer, sans aucune preuve, que des vaccins pédiatriques sont responsables de la mort subite du nourrisson. Elle le voit aussi, corollaire, s’opposer à la nouvelle politique vaccinale du gouvernement. Une « dérive pathétique » estiment des membres de l’Académie de médecine qui réclament publiquement des sanctions.

    Au lendemain de ses déclarations on lui demande de se taire car il est devenu brusquement déchu et sénile (???) et là encore, j’occulte l’histoire de l’éminent Professeur Raoul.

    Etc, etc, etc …

    Dois-je en rire ou en pleurer ? Qui croire entre :
    – Big Pharma et ses gourous d’experts à la solde de ces mêmes laboratoires comme certains médias le pensent et l’en accusent ?.
    – Luc Montagnier récompensé en 2008 d’un prix Nobel ?
    Ou
    – Un malheureux accident qui a coûté très cher à l’humanité ?

    La seule question qui reste donc à me poser :
    Qui est venu au monde le premier, l’œuf ou la poule ?
    En clair, a-t-on fabriqué ce monstre pour permettre aux gouvernants de dominer les peuples ou a-t-on profité de l’existence de ce monstre pour tenter de les dominer ?

      Apulée De Madaure
      13 septembre 2020 - 0 h 32 min

      Coronavirus : une virologue chinoise veut prouver que le virus est “d’origine humaine”. Auteur valeursactuelles.com / Samedi 12 septembre 2020 à 09:18 :
      Le Dr Li-Meng Yan a déclaré que le nouveau coronavirus viendrait bien du laboratoire de Wuhan mais que le gouvernement chinois contrôlait l’information.

      Une nouvelle qui fait l’effet d’une bombe. Une virologue chinoise, nommée Li-Meng Yan, a fait une grande révélation scientifique lors d’une interview sur l’émission anglaise Loose Women, diffusée sur ITV vendredi 11 septembre. D’après elle, le coronavirus serait bien « d’origine humaine », relate le Daily Mail. Elle a d’ailleurs promis d’en donner les « preuves scientifiques » suffisantes. Le Dr Li-Meng Yan – spécialisée en virologie et en immunologie à la Hong Kong School of Public Health – a développé : « Pékin était au courant du coronavirus bien avant que les rapports ne commencent à émerger. »

      « Ce virus ne vient pas de la nature »
      Le Dr Li-Meng Yan est donc formelle : « Le coronavirus vient du laboratoire de Wuhan – il est contrôlé par le gouvernement chinois », a-t-elle ajouté sur Loose Women, en duplex depuis un lieu tenu secret. Pour elle, les informations selon lesquelles le coronavirus proviendrait d’un marché à Wuhan seraient un « écran de fumée ». La virologue a de ce fait prévu de publier un rapport contenant les preuves que le virus est « d’origine humaine ». « Ce virus ne vient pas de la nature », a-t-elle prévenu, affirmant avoir obtenu des informations des « médecins locaux du CDC chinois (Centre Chinois pour le Contrôle et la Prévention des Maladies) ».

      Déjà forcée au silence
      Pour rappel, la scientifique avait déjà voulu donné l’alerte en décembre dernier mais elle en aurait été empêchée par son superviseur… En janvier dernier, il lui aurait rappelé une nouvelle fois de « rester silencieuse » par peur d’avoir des « problèmes » et de « disparaître ». Li-Meng Yan avait alors été forcée de fuir Hong Kong pour les Etats-Unis en avril dernier, afin d’alerter les autorités de la « vérité sur le coronavirus », avait-elle déjà révélé à Fox News en juillet dernier.

      Etc, etc, etc …

      Apulée De Madaure
      13 septembre 2020 - 0 h 50 min

      NB : A titre d’information, ne pas prendre cette information comme argent comptant je n’ai pas les moyens ni d’infirmer ni de confirmer.
      Merci pour votre compréhension.

    Karamazov
    11 septembre 2020 - 11 h 52 min

    L’émergence de la Chine qui a crevé son plafond de verre qui la condamnait à un tiers-mondisme persistant à bousculé l’illusion de l’éternelle suprématie des Etats Unis qui n’entendent pas se laisser distancer . Pendant ce temps le Dieu Capital peine à générer une nouvelle situation qui redonnerait du Punch à l’oncle Sam et c’est là que surgit miraculeusement la Covid, quelle aubaine !

    Car n’est-ce pas bizarre que cette Covid apparaisse en ce moment ? C’est à dire au moment où l’oncle Sam commence à ressentir les immenses progrès technologiques et économiques chinois ?

    La Covid n’est elle pas là pour perturber la perturbation  ? Pour bousculer le temps ? En attendant que les uns et les autres ne trouvent une parade?

    Clifford D. Simak, nous projette dans « Demain les chiens » dans un monde post-humain ou les chiens ont remplacé l’homme . La Covid préfigure-elle l’étape d’avant , l’instant où un virus surgit douteusement pour éclipser l’homme de l’histoire et faire de la place pour une nouvelle race animal dominante ?

    Ce n’est pas de la fiction. Et ne dites pas que c’est intempestif. Non je ne sais pas par quel association d’idées j’ai pensé à à Cliford Simak ! Mais ce n’est pas parce que je l’ignore que je n’ai aucune raison d’en parler.

    Après je vous mets 15 lignes sur Machiavel, 30 sur Thucydide , 40 sur la guerre du Péloponnèse et 15 sur la guerre de Troie .Et une fois que j’aurais éreinté la Covid , et vous avoir complètement assommés par mon emphase , Je vous laisse à votre ahurissement .

    Je trouverai bien sur la toile de quoi lier tout ça pour vous prouver que je ne fabule pas et qu’il y a des antécédents.

    Mais jipalata , ipi jiplu l’âge pour raconter des salades .

    Chaoui
    11 septembre 2020 - 11 h 29 min

    Très bel article de Mesloub Khider.
    Il est aussi fort instructif que ce qui y est décrit est bel et bien LA stricte et funeste réalité.
    Depuis un peu plus de 500 ans (et sans besoin encore de remonter aux temps des « croisades »…), il est loisible de relever – l’Histoire nous en témoigne – que l’occident a mis la planète Terre en coupe réglée, imposant son magistère en toutes choses, que ce soit les sciences comme les lois. En un mot : tout ce qui gouverne l’humain jusque vers son mode de pensée…

    Anonyme
    11 septembre 2020 - 11 h 15 min

    Encore une fois bravo Mr Khider!!!
    Texte magistral, dommage que vous n allez convaincre que ceux qui sont déjà convaincus car le mal est déjà fait…
    Deuxième vague, reconfinement continuent à agir comme des épées de Damoclès sur la têtes des peuples qui doivent obéir sinon on les enferme de nouveau…le montant des amendes dans tous les pays ,dissuadent les citoyens de s opposer à cette dictature sanitaire qui en fait n est qu une dictature classique enrobée de slogans mielleux…

    Karamazov
    11 septembre 2020 - 10 h 34 min

    Et vouala encore MK dans ses élucubrations fantasques . La Covid est l’oeuvre de la propagande ou du moins ses conséquences.

    Non ce n’est pas la conséquence d’une absence de solution face un virus qui a déstabilisé tout le monde et auquel aucun pays n’a trouvé de bonne réponse.

    MK est obnubilé par ses lectures il en est devenu l’esclave . Ce sont elles qui le mènent et qui le dirige. Qu’il se passe quoi que ce soit est ça le renvoie vers une de ses lectures .

    Comme sur le net et l’envahissement des moteurs qui tendent à contrôler le moindre de nos cliques .Taper une fois un mot et c’est fini, il vous suffit de taper par la suite la première lettre de ce mot et le moteur de recherche vous suggère des axes de recherche.

    MK n’agit pas autrement , pour rédiger un article il se laisse mener soit par ses lectures soit par internet.

    Il suffit de lire ce texte pour le démontrer . Voyez plutôt comment ça part dans tous les sens .
    Le sujet c’est La Covid 19 , yek ?

    Aldous Huxley romancier qui a versé dans la science fixion ( distopique pour les érudits) dans la parapsychologie et le mysticisme . Quel lien y a t-il entre la Covid et Huxley ? Drôle d’association ? Et non Dans le cerveau il y a des milliard de connexions. Rien ne lui est impossible. ET s’il n’y avait qu’Huxley.

    La première guerre mondiale, la seconde, et le fordisme, taylorisme, marketing, management, OST, etc.). De même, c’est la Première Guerre mondiale qui enfantera les divers totalitarismes du XXe siècle (fascisme, nazisme, stalinisme, maoïsme, kémalisme, etc Zinoviev, Bredjnev…

    Et Edward Bernays, puis suivent pas moins de 100 lignes sur Edward Bernay. Si ça a un lien avec la Cocid ? Biensour que si , tout se tient par la barbichette.

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