Quelle culture et quel patrimoine ?

couscous culture
Couscous, raï... Le Makhzen ne cesse de piller notre patrimoine. New Press

Par Ziri Warsenis La politique nationale de gestion de la culture n’a jamais été une priorité pour les fossoyeurs de l’identité et du patrimoine mémoriel national. La plupart des responsables de ce volet d’importance de la composante culturelle et identitaire du pays brillent par leur ignorance et leur inculture.

Le fait désastreux, également, de la politique implacable d’éradication durant des décennies de tout ce qui touche à la dimension historique et culturelle amazighes, par l’imposition au forceps, entre autres, d’une idéologie moyen-orientale importée, négatrice des fondements historiques de la nation, a mené à la catastrophe qui sévit dans ce domaine particulièrement et à la falsification de l’Histoire. L’aliénation fait corps avec le quotidien national.

Nos enfants ne connaissent pas l’Histoire de leur pays, ils vaquent dans un désert culturel en dehors du champ religieux institutionnalisé qui a généré la bigoterie nationale. D’autres sont pris aux couches, on les nourrit avec une idéologie mortifère en les gavant dès leur arrivée en crèche avec les préceptes obscurantistes que rapportent les médias sociaux, jumelés au battage des télés ou des hurluberlus et autres gourous (Belahmar, Bonatero, Chemsou, Hamadache, Belhadj, etc.). Le peuple est livré en fagot à la disposition d’incultes personnages qui élèvent au rang de sciences et de connaissances les plus vils élucubrations et fourberies superstitieuses et mythologiques.

La culture dites-vous ? Les Marocains ont profité du laxisme et de l’indifférence, pour ne pas dire inculture, de nos responsables successifs de ce domaine pour subtiliser et accaparer des pans entiers de notre patrimoine.

Dire que le couscous ou la musique rai sont marocains, il faut avoir un haut degré de culture du mensonge et l’effronterie pour asseoir et assumer une telle contre-vérité.
Dans notre Histoire, aujourd’hui, il est connu que, contrairement à ce qui a toujours été avancé, le blé existait en Afrique du Nord depuis la nuit des temps, particulièrement chez nous et ce ne sont pas les Phéniciens qui l’ont introduit. La preuve est que dans des fouilles archéologiques dans une des grottes de la région de Béjaïa on a retrouvé des grains de blé, dont la datation remonte à 5 000 ans, ceci donc bien avant l’arrivée des Phéniciens.

Par ailleurs, il est aussi connu que la culture céréalière était une des forces économiques des rois amazighs de la dynastie massyle (Massinissa, Maksan, Jugurtha, etc.) et que sa commercialisation dans le bassin méditerranéen est connue, plusieurs études ou thèses universitaires, disponibles sur le web, l’ont confirmée. Il est tout autant connu qu’au IVe siècle, Gildon (Agueldan) souverain de l’époque, suite à un différend avec les Romains, avait bloqué la flotte annonaire qui livrait le blé à Rome. Ce qui lui a valu les hostilités des Romains et une guerre s’ensuivit.

Les Marocains ne peuvent aucunement prétendre à la paternité du couscous, les faits historiques les confondent, pas plus que le raï, dont les premiers représentants de cette musique sont, entre autres, Cheikha Remitti et Bellemou qui ne sont pas marocains. Cette musique puise ses sources dans la tradition de Cheikh Hamada, Cheikh El-Djillali Aïn Tedlès, etc. qui ne sont pas marocains non plus.

Et le comble est de voir les Marocains présenter le buste du roi Juba II à l’exposition internationale Dubai 2020 comme souverain marocain ! Un descendant de la lignée de Massinissa marocain ! Pourquoi ? Le prétexte étant que Juba II avait une résidence secondaire à Volubilis (Oualili), hors de sa capitale Cherchell.

Z. W.

Comment (29)

    Le Berbère
    21 décembre 2020 - 1 h 24 min

    Un ami américain m’a demandé si la reine des Touaregs été une marocaine car il a tombé sur une page de wikipédia dont le lieu de naissance de TIN Hinan est au Maroc d’après celui qui crée cette page de wikipédia.
    les voyou de la culture de makhzen avec laide des voyous naturalisés algeriens de de nationalité marocainne veulent s’accaparer de l’histoire de materiel culturel des algeriens. j’ai bien compris porquoi les algeriens sont devenus de accro à la religion et l’arabisme et ils ne cherchent plus a savoir leur histoire et leur culture ..Le makhzen à fait de mouvement berbère algerien une pont pour s’accaparer de la culture et l’identité amazighe algerienne..Quand parle de l’amazighité de l’afrique du nord, il n’y a ni le maroc , ni la Libye, ni la Tunisie , ni la Mauritanie , ni le Niger, ni le Boukinafaso , c’est l’algerie qui est le berceau de l’amazighité car tous les grands rois unificateurs sont bel est bien des Numidiens ( algériens )..Dans ce pays de khoroto de Boukharouba et Co, la culture , l’histoire et l’identité amazighe algerienne et la culture ancestrale de notre pays ont subi un sabotage planifié par les arabo islamistes pour rendre l’algerien inculte et ils sont réussi .Durant l’admisitration nazi de chansolier allemand Adolf Hitler , le poste de ministre de la culture été désigné par une commité d’intelectuels et avec l’accord final de fuhrer vu l’importance de ce poste .

    FERMETURE DE L’UNESCO !
    20 décembre 2020 - 3 h 50 min

    Il est temps de FERMER cette Organisme INUTIlLE qui n’a RIEN apporte ni a la Science ni a la Culture..
    Cette planque pour fonctionnaires en disponibilité et parasites qui n’ont rien d’autre a faire… a part bidouiller des Listes de patrimoines Culturels pour se donner l’impression qu’ils servent a qqchose.
    1. Qui finance l’Unesco et pourquoi faire ?
    2. Quel est le Bilan de ce Truc ?
    A part les Cartes postales de l’Unesco, qui finissent pour la plupart a la Poubelle.
    ……FERMEZ CES BUREAUX BIDONS de l’UNESCO et que chaque pays recupere l’Argent!

    Anonyme
    19 décembre 2020 - 20 h 03 min

    la race maudite de mokokos ne parlent jamais de leurs prouesses en termes de pédophilie, de tourisme sexuel, de sorcellerie, de femmes mullets, de zatla et j’en passe. Tout ce qui est beau et algérien ils se l’accapparent avec l’aide des traitres locaux

    Que font nos consulats?
    19 décembre 2020 - 17 h 33 min

    Si des pans de notre culture sont accaparés par les morokhorotos, la faute revient aux responsables de notre culture, à ceux qui vendent et décident de la politique étrangère de l’Algerie. J’étais sur le point de me bagarrer il Ya 5 ans alors que j’étais en visite dans un pays scandinave lorsque j’ai été visiter une exposition sur la culture de l’Afrique lorsque j’ai entendu la musique de notre célèbre créateur du genre Foundou, le sublime luthiste Alla El Bechari, je me suis rapproché de la personne qui gérait ce stand, il me disait que c’est de la musique marocaine. Le sang tourna À 4 pi dans mon cerveau et Je l’ai humilié devant le monde en lui montrant sur place des extraits YouTube sur les œuvres artistiques de Alla en lui racontant meme pour quoi il a nommé cette musique Foundou. Là il y a eu intervention d’un membre de leur consulat pour apaiser les mœurs et Je me suis dis pourquoi nos ambassades, nos consulats ne font rien pour vendre, faire connaître notre culture, notre patrimoine dont 7 entités sont reconnus par l’UNESCO. La réponse est que nos membres des ambassades et consulats tous corps confondus sont parachutéset sont là à être payes en euros ou dollars juste pour remplir ou signer quelques documents pour les émigrés. Dans ce cas, il vaut mieux faire rentrer tout le monde et acheter un logiciel qui gérera cette corvée et comme ça le pays économisera des millions de dollars. Et on se demande pourquoi on n’a pas assez de touristes. Il fallait attendre peut être que des TV étrangères fassent des documentaires comme l’Algerie vue du ciel ou bien l’Algerie secrète pour promouvoir notre patrimoine et nos trésors naturels, c’est comme si nous on ne possède ni drone, ni hélicoptère pour filmer notre pays d’en haut et vendre nos capacités touristiques. D’aucuns parleront de secrets défense et blabla, mais ils oublient que plus de 5000 satellites militaires et d’espionnage rodent autour de tous les pays aujourd’hui.

    Hmed hamou
    19 décembre 2020 - 11 h 45 min

    @ Marir,

    [« … l’origine est multiple (seksou, couscsi, couscoussi,taam,barboucha, … ), il n’en reste pas moins que le plat n’est en rien maghrébin ou algérien. Il remonte à des milliers d’années et son origine est probablement moyen-orientale, région qui a développé l’agriculture et surtout la culture du blé il y a des milliers d’années (autour de 10 000 ans avant Jésus-Christ).
    De visu j’ai constaté des bédouins du désert syrien faire… »] patati patata.

    C’est ça, c’est exactement, enfin en gros, et après coup, ce que j’avais dis dans mon premier commentaire. Le couscous n’est en rien maghrébin et encore moins algérien . Le couscous appartient à la oumma. Et comme la oumma c’est avant tout une marque déposée de nos freres arabes d’Arabie, et par conséquent le couscous ne pouvait qu’appartenir à nos frères arabe et ne peut être qu’ originaire d’Arabie.
    Et Ya pas que le couscous…
    Même le fromage (oui, le camembert, le picorino…), la crème pâtissière, la crème chantilly et donc le millefeuille et les éclairs au chocolat, donc la fève de cacao,… Et oui, tout ça (et c’est rien) c’est les arabes. Car c’est les arabes qui, en premier, ont cultivé le blé pour faire la farine de la pâte à choux et autre pâte feuilletée; c’est encore les arabes qui les premier à découvrir le lait (donc dont sont issues les crèmes; et oui c’est les arabes qui en premiers ont eu l’idée de domestiquer la vache et surtout de traire la chèvre et à faire pondre les poules pour inventer l’omelette norvégienne et la meringue italienne…
    Même le moteur diezel est originaire d’Arabie parce que c’est les arabe qui en premier ont découvert le minerai de fer, le bitume et le pétrole qui suintent à la surface dans la région de la mer morte…

    Ps. [« De visu j’ai constaté des bédouins du désert syrien faire « tchicha », « frik » (dénommé frikké) et ce dernier réalisé exactement comme en Algérie (blé dur cueilli encore vert et grille salé ensuite puis concassé). J’ai aussi vu un genre de couscous (à gros grain) que les gens du nord de la Syrie faisait chez eux. « ]!

    Moi, j’ai vu de visu et entendu de mes oreilles entendants le grand historien nationale Mohammed Amine Belghit dire à la télévision, et la vidéo est encore en ligne sur YouTube, que [ » c’est Djamel abdel Nasser qui a déclenché notre révolution en 1954, c’est lui qui a tout planifié ; c’est le grand zaim Nasser qui a donné le feu vert à Benbella « ] , et donc à nos révolutionnaires…, révolutionnaires composés (tant qu’on y est ) essentiellement de nos frères moyen-orientaux, égyptiens, syriens, Palestiniens, libanais,… Et à leur tête Omar charif (à la tête des hommes) et oum keltoum (à la tête des femmes, bouhired, ben Bouali,…)! C’est pas beau la oumma, que ce qu’on ferait pas pour elle.

    N’est ce pas ?

    Moralité de la tchekhtchoukha. Aulieu de nous offusquer à l’idée de partager la paternité du couscous avec trois autres prétendants ( tunisie, Maroc, mauritanie) on aurait dû accepter le deal sans faire trop de bruit. A quatre c’est mieux qu’à quarante ! Parceque maintenant, avec tout ce remue ménage et autre « offusquages », on a fini par attirer l’attention; et maintenant, au mieux la liste des prétendant risque de s’allonger davantage pour inclure nos freres du moyen Orient, et ils sont, Allah ibarek, nombreux et surtout moins patageurs eux; soit, et c’est le pire mais c’est l’hypothèse la plus probable, qu’on y soit carrément éjecté de la liste des couscoussiers … Ya encore « plus » pire, On risque même d’être accusé de plagiat voire de devoir payer des siècles de royalties arriérés, d’exploitation de la recette. Le couscous risque d’être salé, ce sera du couscous, au boulghour, bel guedid !

    Anonyme
    19 décembre 2020 - 11 h 14 min

    Les meilleurs connaisseurs de la culture algérienne sont à l’étranger. Tous les domaines sont touchés par l’exode. La culture ne fait pas exception. On pourrait aussi parler des compétences de la ministre de la culture qui est une enseignante qui n’a aucune compétence dans les questions ethnographiques…

    Marir
    19 décembre 2020 - 1 h 35 min

    Hum hum s’il est vrai que nous avons le « couscous » (dénomination française) dont l’origine est multiple (seksou, couscsi, couscoussi,taam,barboucha, … ), il n’en reste pas moins que le plat n’est en rien maghrébin ou algérien. Il remonte à des milliers d’années et son origine est probablement moyen-orientale, région qui a développé l’agriculture et surtout la culture du blé il y a des milliers d’années (autour de 10 000 ans avant Jésus-Christ).
    De visu j’ai constaté des bédouins du désert syrien faire « tchicha », « frik » (dénommé frikké) et ce dernier réalisé exactement comme en Algérie (blé dur cueilli encore vert et grille salé ensuite puis concassé). J’ai aussi vu un genre de couscous (à gros grain) que les gens du nord de la Syrie faisait chez eux. D’ailleurs le Liban, la Palestine et la Syrie participent à toutes les fêtes et cérémonies autour du couscous en Algérie (dont le festival actuel en Algérie autour du couscous).
    Rouler le couscous se dit la-bas « el fetl » exactement comme on dit dans l’Est de l’Algérie.
    Une dernière chose, le « couscous » est traditionnellement « blanc » (pas de sauce rouge qui vient de la tomate qui est arrivée d’Amérique il y a à peine 5 siècles, comme les pommes de terre, le maïs, …) accompagné de pois-chiches, artichaut sauvage (el khourchef – garnoun) et de viande salé (khlii, guedid, …).
    Même les « bédouins » du désert arabique le connaissaient puisque eux aussi connaissaient « el fetl ».
    Pour le reste « el ghraief » (baghrir ou « korsa ») qui a donné « tighrifine » vient de l’arabe « raghif » (le nom du pain ancien en arabe). Il est circulaire et plat comme il se fait encore dans le cham (Syrie, Liban, Palestine, Jordanie …).
    Il y a eu des améliorations et des modifications …
    Le problème avec les marocains (et aussi avec les tunisiens) est que ce grand pays l’Algérie est une fixation maladive pour eux. Salim Hellali a été longtemps revendiqué comme chanteur marocain alors que lui et sa famille sont natifs de Souk Ahras.
    Le pouvoir algérien a toujours mis de coté les aspects culture et patrimoine, il ne s’est soucié que de lutte de pouvoir entre clans pour le partage de la rente et la population a suivi.
    Pour finir je signale un livre à lire « Voyage dans les régences de Tunis et d’Alger » de Jean-André Peyssonnel, voyages que l’auteur a fait vers 1720 où il parle d’un plat le « couscoussous » (en Tunisie et en Algérie) ce qui permet de penser que ce plat existait depuis longtemps dans ces 2 pays (Tunisie et Algérie actuels). La description en est exactement celle que nous connaissons aujourd’hui pour notre « couscous ».

      Anonyme
      19 décembre 2020 - 10 h 32 min

      Nimporte quoi

    lhadi
    18 décembre 2020 - 23 h 22 min

    Madame la ministre de la culture,

    Une politique d’encouragement à la création dans tous les domaines stimulera la progression de la nation et ouvrira la perspective d’un développement sans précédent des personnalités et des relations entre les hommes. Elle s’accompagnera d’un effort de diffusion de la culture, de conservation du patrimoine et d’extension des échanges culturels internationaux. Elle s’associera ainsi à la réforme de l’Education nationale et à l’effort de la recherche.

    Cette tâche est inséparable d’une politique de progrès social, du dégagement de ressources élevées, d’une démocratisation générale de la vie.

    Pas d’épanouissement de la création sans liberté de la création. Pas d’essor de la pensée sans liberté de la pensée. Pas de liberté de création et de pensée sans liberté de leur expression et de leur diffusion. L’intelligence doit enfin cesser d’être en butte aux contraintes et aux entraves matérielles et idéologiques que cette loi impose. La culture doit recevoir les moyens qui garantiront son expansion. D’où les relations essentielles entre l’essor culturel et la transformation politique et économique de la nation.

    Pas d’accès de tous à la culture sans que l’ensemble de la population ait le temps et les moyens de vivre, sans qu’un équipement culturel moderne, dynamique, diversifié, soit implanté sur tout le territoire, sans que soit formé un personnel qualifié, capable de mettre en valeur le patrimoine et d’animer la vie culturelle.

    Madame la ministre de la culture

    – Démocratiser les moyens modernes d’information et de diffusion.

    Liés à des techniques d’avant-garde en voie d’évolution rapide, s’adressant à des publics étendus, les moyens modernes d’impression et de diffusion doivent bénéficier des conditions leur permettant de jouer le rôle qui leur revient dans la diffusion des connaissances et dans la transmission des oeuvres littéraires et artistiques.

    – Décentraliser.

    L’extension des libertés communales, l’accroissement des ressources des collectivités locales et le développement de leur coopération permettront à ces collectivités d’enrichir leur apport à la diffusion, à la création et à la conservation du patrimoine.

    Le développement de l’infrastructure culturel devra remédier, en particulier, au sous-équipement des quartiers périphériques des grandes villes et des régions rurales.

    La contribution de l’Etat devra tenir compte des exigences de décentralisation et en particulier des vocations affirmées par les villes et les régions.

    Les associations culturelles disposeront de moyens accrus pour développer le rôle très important qui leur revient dans le travail d’initiation culturelle, de diffusion de la culture et de contribution de nouveaux talents. En particulier, des subventions et des facilités pour la formation d’animateurs bénévoles ou permanent doivent être accordées. Cet effort devra bénéficier également aux comités d’entreprises.

    – Ouvrir la culture à l’enfance et à la jeunesse

    Parallèlement à la réforme de l’Education nationale – condition majeure de la réussite d’une politique culturelle -, et pour contribuer à lui donner toute sa portée, la création littéraire, théâtrale, cinématographique destinée à l’enfance et à la jeunesse, doit bénéficier de mesures destinées à en stimuler le développement. La protection morale de l’enfance et de la jeunesse fera l’objet bien entendu d’un examen entre tous les intéressés.

    Un ensemble diversifié d’activités de cercles ou de clubs doit être organisé à l’école, autour d’elle ou en liaison avec elle ; l’école s’ouvrira, de son coté, aux activités culturelles qui lui sont extérieures, elle conduira les élèves à leur rencontre. Les associations, les collectivités locales joueront, en même temps que le corps enseignant, un rôle capital pour assurer ces relations vivifiantes. Les circuits de diffusion réservés à l’enfance doivent être considérablement étendus (bibliothèques pour enfants, horaires et programmes adaptés dans les salles de théâtre et de cinéma,etc.).

    La culture est la nourriture de l’esprit !

    fraternellement lhadi
    ([email protected])

      aderre
      19 décembre 2020 - 10 h 17 min

      Non cher ami, ou amie, vous, apparemment voyageur, Venez en Kabylie, haute ou basse, et vous constateriez de vous même; il y’a une dizaine de type de Skscou, du blanc, du marron, du vert, une cinquantaine de recettes, selon les saisons et les ingrédients,si ce n’est pas plus. en sauce, sans sauce, viande sans viande…. On le confectionne même comme un dessert.
      -Pour la propagation du Skscous au pays du Cham, (Liban, Palistine…. ) n’oubliez Madame, Monsieur, que c’est les Hadjaj des lieux saints de l’Islam, partant de Kabylie et d’autres région d’Algérie qui prennent le couscous sec et autres nécessité avec eux; car le pèlerinage, dure 6 à 7 mois de voyage . Ils se repose En Palestine, et au Liban, avant d’y aller à la Mec. Même jadis, visiter la Mosquée d’Omar fait partie du Hadj.
      vous, écrivain, avec votre science,et connaissances, vous ne pouvez pas nous pondre un hadith, ou un Versé coranique, du style …. A âkoulou, wa, Achrabou ma thaba, lakoum mina el kouskoussi….; de cette façon ou allez remontez le Skscous au prophète et ses descendants . C’est de l’humour je ne suis pas raciste.

    Aderre
    18 décembre 2020 - 20 h 14 min

    Même le S’Kscou « le Couscous, » de nos valeureux aïeux,a fait l’objet l’accaparement Gargantuesque sans vergogne des lobbyistes MAKOKO. On n’a pas était chercher leur Tagine nous , Le couscous est d’Algérie, veut qui veux, et mal aux envieux. Les Pieds noirs l’on adopté, l’immigration algérienne en France, l’a domestiqué. Ensemble ses deux population l’on internationaliser à partir de la France. Et point barre. Merci Mme Azoulay Ex conseillère culturelle de Hollande François, parachutée Directrice de l’Unesco, fiasco, fille de son père, qui fut l’ami du roi des MAKOKO. Mme Azoulay , par son entremise à jouer le contentement de tout le monde; de la Mauritanie jusqu’en Égypte, pour ne pas reconnaitre que le S’Kscou et algérien. Les Makokos revendiquent tout, le Sahara, c’est à eux, le Couscous , c’est à eux, la moitié de l’Algérie nation indépendante  » normalement c’est à eux. je ne sais pas où s’arrêtera leur gourmandise éhontée.

    Lghoul
    18 décembre 2020 - 18 h 51 min

    Voila ce qu’une personne sensée « cultivée », représentant la culture en Algérie pense:
    Elle s’appelle Malika BENDOUDA. Elle est enseignante-chercheuse à l’université d’Alger, membre du réseau international des femmes philosophes à l’UNESCO, actuelle ministre de la culture et des Arts dans le gouvernement de « La nouvelle Algérie ». Mais, dans son discours à l’occasion de l’inscription du couscous au patrimoine immatériel de l’Humanité à l’UNESCO, Il n’y avait ni art, ni culture, ni encore moins de philosophie. Voilà ce qu’elle déclarait : « une femme qui ne sait pas faire du couscous, est un danger pour sa famille. »

    Elephant Man
    18 décembre 2020 - 18 h 00 min

    La directrice de l’UNESCO n’est autre que la fille Azoulay.
    Le makhnaz en faussaire de l’Histoire ne fait que s’acheter via son lobbying notamment franchouillard une crédibilité inexistante.

    Hmed hamou
    18 décembre 2020 - 15 h 38 min

    On passe notre temps à adopter et à faire notres les patrimoines culturels de nos frères orientaux (jusqu’au moindre langage, à la moindre intonation de la voix, … ), on a adopté avec avidité leurs traditions culinaires, et modes vestimentaires, le hidjab,le tchador, la burqua,… la culture du kamis-tongues, la culture du jean serré- khimar turque,… La culture du chèche et du keffieh …et autres bizzareries de mauvais goût…
    On a tourné le dos à tout ce qui est authentique algérien comme si c’était honteux et rétrograde , Après on parle du couscous, on parle du rai… On crie qu’on se fait voler, on se fait déposséder ! On s’est dépossédé nous même et volontairement ! Les autres n’ont fait que récupérer ce que nous avons jeté dans les poubelles de l’histoire et des patrimoines. On ne peut pas accuser quelqu’un qui fouille dans une décharge, ou même dans votre poubelle (que vous posé sur le trottoir,attendant le passage du camion poubelle ) qu’il est entrain vous voler !! Où est le bon sens ?
    Et puis, on parle bien de la oumma, que ce que se soit arabiya ou islamiya! Donc, ce qui nous appartient leur appartient à eux aussi logiquement, non ?! Bien entendu, l’inverse n’est pas toujours vrai, car les autres ne sont pas aussi partageurs que nous ! Eux peuvent disposer de notre patrimoine voire se l’approprier à leur guise sans soucies, en revanche nous, nous quand on on empreinte quelque chose, nous devons toujours cité la source pour le restituer après lui avoir fait la publicité…

    D’autre part, On a surnommé khaled le roi du rai, mami le prince du rai, bilal le duc ou le marquis (ou je he saus quoi) du rai,… Or, tout ce beau monde a élu, et ce depuis longtemps déjà, domicile au royaume enchanté… Or, le roi, que je sache, quand il part, il déménage, il part avec ses bagages ; le patrimoine du roi suit toujours le roi là où il va, là où il établi son nouveau royaume, non ?

    Moralité de l’histoire. On a bradé et troqué l’or contre des épluchures de fèves, et on ose parler? Laissons les autres s’en occuper, aumoins eux ils sauront peut être les préserver voire les développer et au final nous seront gagnant, un jours, si on veut se les réapproprier. C’est mieux que de revendiquer des choses et de les faire siennes si c’est pour les perdre, pour les laisser disparaître définitivement jjuste après ! Pour finalement remplaçer la bonne semoule (tout un art) par du boulghour (un simple concassé de blé) , et le couscous (un chef-d’œuvres culinaire) par du taboulé libanais (une simple salade froide) … Ou encore troquer la bonne galette dure de chez nous, par des baudruches plein d’air: le pain pita, ou le 3ich oriental.
    Ps. Quant au rai de rois et des princes, pour moi c’est pas une grosse perte, tant qu’il ne toucheront pas au bon vieux cha3bi de nos chyoukh,…tant qu’ils nous laisseront al Anka, al harrachi, al zahi, al hasnaoui, azem, khaloui, abdjaoui,… mais, là ce sont mes goûts personnels, cela n’engage que moi.

      Anonyme
      18 décembre 2020 - 18 h 43 min

      Et à moi d’ajouter aissa eldjermouni, beguar hadda, joo le salopard, ali elkhancheli, ahmed saber, elguarouabi, ahmed ouahbi, nourra, khlefi ahmed…..

        Hmed hamou
        18 décembre 2020 - 21 h 59 min

        Oui. On peut même rajouter le rossignol alaoua Zerouki, la sublime des Aures Markunda (tamurt inu); l’extraordinaire groupe ichenwiyen (achemtough achemtetough) ; la maghifique hasna al Becharia (jazair johara), Othman Bali chez nos frères touaregs, et autres excellents groupes des beni mzab, etc, etc.
        la liste est longue,ttrès longue…
        On possède un patrimoine extrêmement riche et varie,jje pense sans exagèrer qu’il est un des plus (sinon le plus) riche au monde, du moins dans le domaine du chant et de la musique . Et on peut dire tout autant en ce qui concerne la richesse et la variété de notre patrimoine vestimentaire…
        On a un patrimoine de quoi faire pâlir de jalouser l’orient et l’occident réunis.
        Mais, dommage, nos médias préférent faire la promotion pour al berani et enjoliver sa camelote, pour nous empêcher de voir les merveilles de chez nous, pour cultiver en nous dès notre jeune âge un complexe d’infériorité vis à vis de l’étranger (tout en nous cassant les oreilles paradoxalement avec le soi-disant amour de la patrie et autre one-tow-threesme de circonstances …).

    Anonyme
    18 décembre 2020 - 14 h 19 min

    Il en est ainsi quand la culture est ramenée à des prêches religieux sur la quasi totalité des chaines TV algérienne où des abrutis complets sont présentés comme des érudits à la science infuse.
    Les peuples avancent, nous faisons marche arrière; nous revenons à l’époque des prêches et des zaouïas comme si celle ci n’avaient pas été par leur doctrine rétrograde l’une des raisons de notre retard de développement.
    Tous ceci n’est bien sur pas gratuit; il s’agit de s’assurer le maximum d’appui auprès des islamistes algériens qui ont obtenu par renoncements successifs ce qu’ils n’ont pu obtenir par les armes. Non seulement ils ont été réintégrés malgré leur crimes mais leurs idées font flores. A croire que les 200 000 morts de la décennie noire ne sont leurs victimes mais seulement ceux d’une dizaine d’entre eux qui purgent d’ailleurs des peines très légères au vu de leurs actes.
    Il en est ainsi quand l’histoire de l’Algérie ne démarre qu’en 1954 et se termine en 1962, tout le reste, c’est à dire les millénaires qui précèdent cette période et l’après indépendance sont à peine à peine enseigné et ne font l’objet d’aucune recherche. Combien de crédits de recherche sont-il-accordés à la préhistoire algérienne, à la période romaine, à la période du moyen age algérien, à la période turque, pratiquement aucuns, comme si nous étions toujours dans la logique de justification de pouvoir à un groupe d’individus qui ont confisqués l’indépendance de ce pays et adapté l’histoire de ce pays à leur propres intérêts.

    TAYEB EL DJILLALI
    18 décembre 2020 - 13 h 19 min

    UN PAYS QUI A HONTE DE SON HISTOIRE . ENTENDRE NAIMA SALHI TRAITER L ILLUSTRE MASSINISSA DE TRAITRE ET DE CHIEN DES ROMAINS C EST MECONNAITRE NOTRE HISTOIRE . LES PHENICIENS ETAIENT DES BRIGANDS ET SYPHAX AGE A ETE MANIPULE PAR HANNIBAL ET QUAND UN LION RUGIT LES HYENES PRENNENT LA FUITE … ET C EST LA RAISON PRINCIPALE POUR MASSI D AVOIR BRULER CARTHAGE CAR L IMPERIALISME D ORIENT EST PLUS HORRIBLE QUE CELUI DE L OCCIDENT. MASSINISSA A TJRS COMBATTU ROME . QUANT AU COUSCOUS DU MAGHRAB POURQUOI MAGHREB PAS AFRIQUE DU NORD OU TAMAZGHA.. JE ME SENS TJRS COLONISE PAR LES ORIENTAUX MAIS JUSQU A QUAND ??? PAS LONGTEMPS CAR LES IMAZIGHEN SONT UNIS GRACE AUX RESEAUX SOCIAUX ..PLUS DE MENSONGES DES @ ZORO BELVEDER NAIMA SALHI OU LES VIEUX CARNASSIERS TELS OTMANE SAADI OU GAID …

      Elephant Man
      18 décembre 2020 - 17 h 42 min

      @TAYEB EL DJILLALI
      Rien d’étonnant à ce que vous réclamiez un « couscous » Afrique du Nord encore une fois ni UMA ni Tamazgha NI QUOI QUE CE SOIT.

      Colonise ?
      19 décembre 2020 - 4 h 22 min

      Oui, je confirme mais pas par les Orientaux,
      Mais par des Idées bien Occidentales.
      Apres c’est Tajine marocain ou Coyscous Algerien.
      Je prends Couscous.
      Si l’Unesco servait a qqchose, il y aurait pas 40% d’analphabètes au Maroc.
      Ca ca m’inquiete franchement plus que le
      Classement de la Semoule par ce machin de l’ONU.
      (…)

    Zyriab
    18 décembre 2020 - 12 h 44 min

    Des années durant sous couvert de lutter contre l’Arabisation notre élite voulait plus imposer la francisation que refaire vivre notre patrimoine Il y a des raisons mais faire porter le chapeau uniquement par le pouvoir ça encore c’est un MENSONGE (C’est toujours la faute des autres) pour ne pas reconnaître nos erreurs Continuons comme ça et plus tard l’Algérie n’existera même plus Savoir faire la part des choses et la priorisation des choses

      Hmed hamou
      18 décembre 2020 - 16 h 04 min

      Avec tous les accoutrement, lles signes de bigoterie , les films, les musique, les modes vestimentaire,…et autres cultures et modes de pensée orientales déversés depuis 60 ans, matin et soir, à l’école, à la radio, télé,…et adoptés par tout le monde. Et vous osez parlez honnêtement de volonté, des élites, d’imposer la francisation et de lutter contre l’arabisation? Si vous êtes sérieux et vous trouvez que notre société n’est pas
      suffisamment arabisée alors il faut se rendre à l’évidence que notre « abrutisation » est très réussie et meme
      quelle est plus avancée qu’on ne le pense…

    Anonyme
    18 décembre 2020 - 12 h 31 min

    De multiples seminaires sur la capitale arabe mais jamais de seminaires sur la capitale amazigh alors la langue ou bien le couscous c pas pr….

    LA FRANCE COMMENCE A DETOURNER NOTRE COUSCOUS POUR LE MAROC
    18 décembre 2020 - 12 h 18 min

    lisez le tweet de l’ambassadeur de france au maroc il est choquant et insultant envers les algériens: je cite « félictations aux marocains pour l’inscription sur la liste du patrimoine immatériel des connaissances, savoir-faire & pratiques liés à la production & consommation du #couscous plat marocain préféré des français, bravo! » il l’a tweeté en arabe aussi. QU4ATTEND L4ALGERIE DE RETIRER CE DOSSIER DE L’UNESCO POUR DETOURNEMENT DE NOTRE PLAT NATIONAL ET LE MOT « COUSCOUS » EST UNE MARQUE DEPOSEE ALGERIENNE. L’INCOMPETENCE DE NOS MINSITRE ME TUE! VIVE LE HIRAK

      Elephant Man
      18 décembre 2020 - 17 h 49 min

      @La France commence à détourner….
      D’ailleurs dans les resto ou même les french appellent le couscous le coucous ROYAL ???????????? une m… finie je ne vous révèle pas quel ingrédient y figure et qui fait que ça n’a rien en soit d’un véritable couscous ……
      L’ambassadeur french plutôt que de s’occuper de la mort de son « compatriote » le consul général français Denis François préfère s’adonner au léchage de babouche et baise-main….

        Anonyme
        19 décembre 2020 - 23 h 07 min

        Décidément tes commentaires deviennent de plus en plus stupides. En quoi un couscous royal n’est pas un véritable couscous…délicieux à déguster si celui ou celle qui le réalise emploie les bons ingrédients ? Ah! J’ai compris parce qu’il est cuisiné en France, ce pays qui t’a accueillie et que tu détestes mais que tu ne veux pas quitter.
        Vois-tu, j’imagine qu’une des raisons que les gens comme toi qui s’accrochent à leurs haines avec tellement d’obstination, est qu’ils sentent qu’une fois la haine partie, ils doivent affronter leurs souffrances.

    Anonyme
    18 décembre 2020 - 11 h 59 min

    Chez nous ya de la haine envers tous ce qui est berbere, ca na rien a voir avec l’incompetence ou negligence, la langue berbere passe avant le couscous ou habits, bijoux…et on voit le sort reserve pour cette belle langue, alors le reste c rien

    Moucharabiah
    18 décembre 2020 - 10 h 59 min

    Fichtre ! ces mokokos adeptes de la kachabia sont capables de nous balancer que le Burnous
    est l’oeuvre des femelles marococottes.

    Le plagiat culturel est leur pain quotidien.

    COUSCOUS MAGHREBIN EST LE PLUS GRAND HOLD UP MAROCAIN
    18 décembre 2020 - 10 h 47 min

    AZOULAY ET LES MAROCAINS ONT VOLE LES ALGERIENS. classé le couscous plat national algérien et d’origine algérienne, toutes les études historiques, scientifiques et archéologique l’attestent EST LE PLUS GRAND HOLD UP DU SIECLE PAR LE MAROC. hier, j’étais ulcéré par l’incompétence de la ministre de la culture qui mentait aux algériens en laissant croire que c’est une victoire de l’algérie!!!! mais quelel est cete victoire quand le maroc affiche partout dans les pays que le cosucous est marocain officiellement avec document de l’unesco à l’appui? avez vous lu le message de l’ambassadeur de france au maroc sur tweeter, qui félicite les marocains que le plat « marocain » (et non pas maghrébin) le couscous est devenu international?
    les ministres algérens de la culture, n’ont ils pas encore mesurer la puissance médiatique des marocains dans le monde et surtout dans les pays arabes, qui vont faire passer NOTRE PLAT pour eux?
    HIER C’EST UNE JOURNEE DE DEUIL POUR NOUS ALGERIENS, ON VENAIT D’EYTRE DEPOSSEDE DE NOTRE PATRIMOINE CULINAIRE AU PROFIT DU MAROC!
    L’ALGEREI AURAIT DÜ RETIRER LE DOSSIER COUSCOUS DE L’UNESCO QUE DE LE DONNER AUX MAROCAINS. MAIS ILS ONT FAIT TOUT L’INVERSE ILS ONT RETIRE LE RAI.
    pour le raï ce n’est pas que les chouyoukh c’est aussi LE TEMPO RAI qui est spécifique qu’à l’algérie . c’est le tempo raï qui est devenu célèbre et non pas les paroles qui ont donné au raï sa renommée!
    LES POLITIQUES ALGEREINS SONT TELLEMENT INCOMPETENTS ET LACHES QU’ILS SONT INCAPABLES DE DIRE CLAIREMENT QUE TAREK IBN ZIAD EST ALGERIEN, QUE LES ALMOHADES ET LES MERINIDES QUI ONT FAÇONNÉ LE MAROC SONT ALGERIENS, QUE LES ALGERIENS ETAIENT MAITRES DE L’AFRIQUE DU NORD AVEC LES ZIRIDES, QUE OUJDA ETAIT ALGERIENNE AVANT 1830, ETC. laissant les marocains détourner notre histoire dans tous les pays du monde à l’insu de nos responsables. CONCERNANT JUBA 2, FILS DE JUBA , LE MAROC DIT OFFICIELLEMENT QU’IL EST MAROCAIN A DUBAI ET DANS LE MONDE ENTIER, ET NOS DIPLOMATES PRESENTS RESTENT SILENCIEUX ET DONC CONFIRMENT PAR LEUR SILENCE LES MENSONGES MAROCAINS? N’EST CE PAS DE L’INCOMPÉTENCE DE NOS DIPLOMATES PISTONNES CAR ILS SONT TOUS DES FILS D’ANCIENS DIPLOMATES COMME SI C’EST UN HERITAGE AUTOMATIQUE MEME S’ILS SONT NULS, MONSIEUR TEBBOUNE? MAINTENANT ILS EMBAUCHENT LEURS EPOUSES DANS LE MINISTERE DES AE, LES FONCTIONNAIRE LES PLUS RICHES D’ALGERIE ET PAYES EN DEVISES ET LES PLUS INCOMPÉTENTS

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.