Adhésion de l’Algérie aux BRICS : avantages, risques et défis

Algérie BRICS
Bientôt, le drapeau de l'Algérie flottera aux côtés de ces cinq. D. R.

Une contribution de Ben Youcef Bedouani (*) – «Les BRICS sont une force motrice pour l’économie mondiale et constituent un potentiel de croissance immense pour les années à venir.» (Jim O’Neill.) L’Algérie a noué depuis plusieurs années des liens économiques solides avec les pays des BRICS, en particulier la Chine et la Russie, comme elle le fait au sein de l’Union africaine (UA) et de la Ligue arabe (LA), ce qui offre au pays des opportunités de coopération économique et politique avec toutes les nations concernées. En tant que membre de ces différentes organisations, l’Algérie peut bénéficier de diverses initiatives et programmes visant à promouvoir l’intégration régionale, le commerce et l’investissement. Par ailleurs, de par sa doctrine centriste et non alignée, l’Algérie entend intensifier ses relations économiques avec les Etats-Unis, l’Italie, l’Allemagne, la Turquie, la France, le Royaume-Uni et l’Union européenne dans son ensemble.

Avec le bouleversement géopolitique mondial actuel et l’avènement de la nouvelle Algérie, avec ses ambitions, ses défis et ses attributs, l’Algérie a officiellement demandé son adhésion au groupe des BRICS. Dans l’ensemble, devenir membre des BRICS pourrait potentiellement apporter à l’Algérie plusieurs avantages qui pourraient contribuer à promouvoir la croissance économique, la stabilité politique et la coopération régionale. Cependant, cette adhésion s’accompagne également de certaines obligations et responsabilités, de même que des risques et défis potentiels, et l’Algérie devrait peser soigneusement les avantages et les coûts potentiels de son adhésion et prendre des mesures pour atténuer les risques.

Qu’est-ce que les BRICS ? Un survol

Les BRICS sont un groupe de grandes économies émergentes qui jouent de plus en plus un rôle important dans les affaires mondiales. Les pays membres fondateurs ont mis en place plusieurs institutions de financement, dont la Nouvelle Banque de Développement (NBD) et la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (BAII), leur permettant d’accéder à des sources de financement supplémentaires pour des projets d’infrastructure et d’autres investissements. Ils disposent, en outre, d’une expertise importante dans des domaines tels que la technologie, l’énergie et le développement des infrastructures. Les pays BRICS représentent 40% de la population mondiale, 31% du PIB mondial (1) mais ses membres ne disposent que de 15% des droits de vote à la Banque mondiale et au FMI. Une revue succincte des attributs de chaque pays du groupe BRICS nous démontre que le Brésil a de profonds problèmes économiques et des scandales de corruption récurrents et présents.

L’économie russe, principalement captée par ses immenses réserves énergétiques et son industrie militaire, est en bonne santé avec une croissance annuelle comprise entre 6 et 7%, mais le pays présente un manque important d’infrastructures bancaires et fait face à un crucial défi démographique. Pour l’Inde, bien que possédant une croissance de PIB considérable, autour de 7%, elle aurait l’un des revenus par habitant les plus bas au monde. Quant à la Chine, la deuxième plus grande économie du monde, elle a un très bas revenu par habitant et une dette publique colossale. Enfin, l’Afrique du Sud possède d’importantes richesses naturelles mais a aussi l’un des taux d’inégalité les plus élevés au monde.

De par leur décentralisation et leurs différents niveaux économiques, plusieurs défis attendent les BRICS. Un des plus cruciaux reste celui de la création de leur monnaie de réserve commune, tel qu’annoncé lors du 14e sommet des BRICS à Moscou en 2022 (2). Une monnaie commune décentralisée qui serait composée des monnaies des cinq pays du BRICS et, pour ce faire, les cinq pays ont considérablement augmenté leurs réserves d’or (3). Ce qui fera de cette monnaie, adossée à l’étalon or, une monnaie non manipulable et non dévaluable. En clair, pas une monnaie-dette comme c’est le cas aujourd’hui avec le dollar américain depuis 1971 (4). Un véritable virage névralgique dans le fonctionnement de l’économie mondiale. Par contre, comme ce fut le cas avec l’euro, chaque pays devrait avoir des régulations, des structures bancaires adéquates et des organisations monétaires, de même que rendre des comptes sur ses finances publiques. La question est de savoir si les pays, hors Russie-Chine, vont adhérer et participer. De plus, est-ce que les pays occidentaux, particulièrement les Etats-Unis, vont rester sans rien faire ? Verra-t-on une multiplicité de conflits de type soft-power des Etats-Unis ?

Flairant le grand potentiel d’une adhésion aux BRICS, une occasion rêvée à saisir, plusieurs pays tapent à la porte des BRICS dont l’Egypte, l’Argentine, l’Arabie Saoudite, l’Indonésie, la Turquie, de même que l’Algérie. L’adhésion de l’Algérie aux BRICS s’accompagne également de certaines obligations et responsabilités, de même que des risques et défis potentiels, et elle devrait peser soigneusement les avantages et les coûts potentiels de son adhésion et prendre des mesures pour atténuer les risques potentiels.

L’Algérie dans les BRICS, un potentiel conséquent

L’Algérie dispose d’un emplacement stratégique et d’importantes ressources naturelles, notamment des réserves de pétrole et de gaz, qui pourraient en faire un partenaire attractif pour les pays du BRICS. Cependant, l’Algérie est également confrontée à plusieurs défis, notamment un manque de diversification de son économie et une politique en mutation «positive» mais pas encore optimale qui pourraient entraver sa capacité à tirer pleinement parti des avantages de liens plus étroits avec les BRICS. Bien que l’Algérie ait fait des progrès notables ces dernières années, surtout sa position de pays sans dette extérieure, il lui reste encore du chemin à parcourir pour assainir son économie, asseoir sa stabilité politique et atteindre ses objectifs.

Diversification du potentiel énergétique

L’Algérie a un grand potentiel pour diversifier son économie en utilisant ses ressources pétrolières et gazières, en persévérant dans le développement des industries en aval qui peuvent produire divers sous-produits destinés à l’exportation. L’Algérie pourrait intensifier la construction des usines pétrochimiques pour produire une gamme de produits chimiques et de plastiques, qui sont utilisés dans une variété d’applications industrielles. Ces produits peuvent être exportés vers l’Europe et d’autres marchés. Les usines d’engrais spécialisés produisant de l’ammoniac, de l’urée et d’autres engrais, sont très demandés en Europe et sur d’autres marchés. Ces produits peuvent être fabriqués à partir de gaz naturel, abondant en Algérie. De plus, l’Algérie pourrait intensifier le raffinage de son pétrole brut pour produire des produits à plus forte valeur ajoutée tels que le diesel, l’essence et le carburéacteur.

L’Algérie est déjà un important exportateur de gaz naturel liquéfié (GNL) vers l’Europe. Le pays pourrait accroître sa capacité de production et d’exportation de GNL, ce qui lui permettrait de capter une plus grande partie de la valeur ajoutée de ses ressources en gaz naturel. Le pays dispose d’un important potentiel d’énergies renouvelables, notamment solaire et éolienne, mais aussi l’hydrogène, et devrait accroitre son investissement dans le développement de projets d’énergie renouvelable, ce qui réduirait sa dépendance aux combustibles fossiles et offrirait de nouvelles opportunités d’exportation. L’Algérie s’oriente positivement vers le développement des industries lourdes telles que la production d’acier, ce qui nécessiterait d’importants apports énergétiques. En utilisant ses propres ressources en gaz naturel pour alimenter ces industries, l’Algérie produirait des produits sidérurgiques destinés à l’exportation.

Dans l’ensemble, en diversifiant son économie par le biais d’industries en aval, l’Algérie pourrait capter une plus grande partie de la valeur ajoutée de ses ressources pétrolières et gazières, créer de nouveaux emplois et de nouvelles sources de revenus et réduire sa dépendance à l’égard des exportations de matières premières. Cela contribuerait à rendre l’économie algérienne plus résiliente et durable à long terme. Les investissements directs des pays du BRICS seraient un ajout considérable.

L’Algérie, un pays pivot non-aligné

L’Algérie a traditionnellement poursuivi une politique de non-alignement dans les affaires internationales, ce qui signifie qu’elle cherche à maintenir de bonnes relations avec tous les pays et à éviter de s’aligner sur un bloc ou une alliance en particulier. En tant que tel, devenir membre des BRICS ne serait pas nécessairement incompatible avec la position non alignée de l’Algérie, car cela n’obligerait pas l’Algérie à prendre parti dans des conflits ou des problèmes géopolitiques particuliers. Cependant, les liens plus étroits de l’Algérie avec les pays BRICS, en particulier la Chine et la Russie, pourraient potentiellement tendre ses relations avec les Etats-Unis et d’autres pays occidentaux. En effet, les Etats-Unis et de nombreux pays occidentaux considèrent la Chine et la Russie comme des concurrents stratégiques et cherchent à contenir leur influence de diverses manières, notamment par des sanctions économiques et des pressions diplomatiques.

L’Algérie devrait soigneusement équilibrer ses relations avec les pays BRICS et ses liens avec les Etats-Unis et d’autres pays occidentaux. En fin de compte, la décision de poursuivre des liens plus étroits avec les BRICS dépendra des priorités stratégiques de l’Algérie et des risques et avantages potentiels associés à une telle démarche. Bien qu’il puisse y avoir certains risques associés à des liens plus étroits avec les BRICS, il peut également y avoir d’importantes opportunités de croissance économique et de coopération régionale qui pourraient profiter à l’Algérie à long terme.

Avantages et défis économiques de l’adhésion de l’Algérie aux BRICS

En tant que membre des BRICS, l’Algérie pourrait accéder à de nouveaux marchés pour ses exportations et accroître son volume d’échanges avec les autres pays membres. En 2021, le PIB combiné des BRICS dépassait 24,73 trillions de dollars (5) et le groupe représentait environ 40% de la population mondiale, ce qui en faisait un marché important pour les biens et services algériens. L’intensification des échanges pourrait contribuer à stimuler la croissance économique de l’Algérie et à réduire sa dépendance à l’égard des exportations de pétrole et de gaz. De plus, les pays BRICS sont connus pour leurs économies importantes et en croissance, et l’Algérie pourrait potentiellement bénéficier d’investissements accrus des pays membres. Par exemple, la Chine a investi massivement dans les pays africains ces dernières années, y compris l’Algérie, et a fourni un financement important pour des projets d’infrastructure. Les investissements russes dans le secteur pétrolier et gazier pourraient également être bénéfiques pour l’Algérie, qui est un important producteur de ces matières premières.

Par ailleurs, les pays BRICS sont connus pour leurs avancées scientifiques et technologiques, et l’Algérie pourrait bénéficier d’échanges technologiques accrus avec les pays membres. Cela pourrait inclure le partage d’expertise dans des domaines tels que les énergies renouvelables, les télécommunications et la biotechnologie, ce qui pourrait aider l’Algérie à moderniser son économie et à accroître sa compétitivité sur les marchés mondiaux. En tant que membre des BRICS, l’Algérie pourrait potentiellement bénéficier d’une intégration et d’une coopération régionales accrues avec d’autres pays africains. Les pays BRICS ont été actifs dans la promotion de liens économiques et politiques plus étroits en Afrique, et l’Algérie pourrait jouer un rôle clé dans la promotion de ces efforts. Cela pourrait inclure des initiatives telles que le Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) et la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA).

Dans l’ensemble, l’adhésion aux BRICS pourrait potentiellement offrir à l’Algérie de nouvelles opportunités de croissance économique et de diversification, tout en contribuant à réduire sa dépendance aux exportations de pétrole et de gaz. Cependant, il est important de noter que les avantages de l’adhésion aux BRICS dépendraient de la capacité de l’Algérie à s’engager efficacement avec d’autres pays membres et à tirer parti de sa position au sein du groupe pour atteindre ses objectifs stratégiques.

Néanmoins, en ce qui concerne les énormes dettes publiques des pays des BRICS, l’Algérie devrait examiner attentivement les risques potentiels associés à des liens économiques plus étroits avec les pays BRICS et l’impact que leurs niveaux élevés de dette publique pourraient avoir sur sa propre économie. Alors que les pays BRICS comptent parmi les économies à la croissance la plus rapide au monde, plusieurs d’entre eux, dont le Brésil, l’Afrique du Sud et la Russie, ont lutté avec des niveaux élevés de dette publique ces dernières années. La Chine, qui possède la plus grande économie des BRICS, a également un niveau de dette publique important. Cependant, il convient de noter que l’Algérie a des niveaux de dette publique relativement faibles par rapport à de nombreux autres pays en développement, ce qui pourrait l’aider à atténuer certains des risques associés aux économies endettées. En outre, l’adhésion potentielle de l’Algérie aux BRICS n’impliquerait pas nécessairement des engagements financiers directs ou la prise en charge d’une dette.

Avantages et défis politiques de l’adhésion de l’Algérie aux BRICS

En tant que membre des BRICS, l’Algérie aurait une plus grande voix dans les forums internationaux, telles que les Nations unies, où les pays BRICS coordonnent souvent leurs positions sur diverses questions. Cela pourrait aider l’Algérie à faire avancer ses objectifs de politique étrangère et à gagner plus d’influence sur la scène mondiale. Notons aussi le rôle actif des BRICS dans la promotion de liens économiques et politiques plus étroits en Afrique, et l’adhésion de l’Algérie au groupe pourrait contribuer à renforcer ses relations avec d’autres pays africains. En tant que pays leader du monde arabe, l’appartenance de l’Algérie aux BRICS pourrait également contribuer à promouvoir des liens plus étroits entre le groupe et d’autres pays arabes. Elle jouerait un rôle médian, tout en bénéficiant d’un soutien diplomatique accru des autres pays membres dans les affaires internationales. Par exemple, la Chine et la Russie ont traditionnellement soutenu la position de l’Algérie sur le Sahara Occidental, et leur soutien pourrait être précieux pour faire avancer la position de l’Algérie sur cette question.

Dans l’ensemble, l’adhésion de l’Algérie aux BRICS pourrait lui conférer une plus grande influence dans les forums internationaux et renforcer ses relations avec d’autres pays africains et arabes. Cependant, il est important de noter que les BRICS ne sont pas une alliance formelle et que les pays membres peuvent avoir des priorités et des intérêts différents qui pourraient limiter l’étendue de leur coopération avec l’Algérie sur certaines questions. «Le commerce qui, sans force ni autorité, soumet naturellement les nations les unes aux autres au bénéfice du plus fort, renforce les liens d’amitié et les relations mutuelles entre les différents gouvernements.» (Adam Smith.)

Conclusion

L’adhésion de l’Algérie aux BRICS pourrait lui offrir des opportunités accrues de commerce, d’investissement et d’échange technologique avec les pays membres, ce qui pourrait conduire à une plus grande croissance et diversification économiques. Cependant, les pays BRICS ont des niveaux élevés de dette publique, ce qui pourrait aussi constituer un risque pour l’Algérie si les pays membres connaissaient une instabilité économique. En outre, bien que minime et connaissant la position diplomatique inébranlable de l’Algérie, il existe un risque que les liens étroits de l’Algérie avec les pays occidentaux, en particulier les Etats-Unis, soient tendus si elle devenait membre des BRICS. Par contre, elle pourrait accroître son influence dans les forums internationaux, renforcer ses relations avec d’autres pays africains et arabes et lui donner accès à un soutien diplomatique et à des partenariats stratégiques. Cependant, il est important de noter que les BRICS ne sont pas une alliance formelle et que les pays membres peuvent avoir des priorités et des intérêts différents qui pourraient limiter l’étendue de leur coopération avec l’Algérie sur certaines questions.

En conclusion, les avantages et les risques potentiels de l’adhésion aux BRICS pour l’Algérie sont complexes et multiformes. Bien que rejoindre le groupe puisse offrir à l’Algérie de nouvelles opportunités de croissance économique et d’influence politique, il est important d’examiner attentivement les risques potentiels et de les peser par rapport aux avantages potentiels. En fin de compte, la décision de l’Algérie d’adhérer ou non aux BRICS dépendra de ses objectifs stratégiques et de son évaluation des avantages et des risques potentiels associés à l’adhésion.

Pour équilibrer son appartenance aux BRICS et maintenir ses relations avec les pays occidentaux, en particulier les Etats-Unis, l’Algérie pourrait poursuivre une stratégie de «multi-alignement», qui consiste à diversifier ses relations extérieures et à entretenir des relations amicales avec une variété de pays et de groupes. Cette approche permettrait à l’Algérie de poursuivre ses intérêts stratégiques, tout en minimisant le risque d’être considérée comme alignée sur une puissance ou un groupe en particulier. A l’Algérie de clairement signifier que son appartenance aux BRICS est principalement de nature économique et ne représente pas un changement politique loin des pays occidentaux. Maintenir un rôle actif et constructif dans les organisations et forums internationaux où les BRICS et les pays occidentaux sont représentés, comme les Nations unies. Poursuivre la coopération économique et diplomatique avec les pays occidentaux, tout en explorant de nouvelles opportunités de coopération avec les BRICS. Etre transparent et ouvert dans sa communication avec les pays occidentaux sur sa relation avec les BRICS et ses objectifs stratégiques.

En fin de compte, la clé pour démontrer son non-alignement sur une superpuissance sera pour l’Algérie de poursuivre une politique étrangère guidée par ses propres intérêts et priorités stratégiques plutôt que d’être guidée par des pressions ou des alliances extérieures. En mettant l’accent sur son engagement en faveur du non-alignement et en adoptant une approche équilibrée et stratégique de sa politique étrangère, l’Algérie peut établir des relations solides avec les BRICS et les pays occidentaux, tout en préservant son indépendance et sa souveraineté en tant que nation.

B.-Y. B.

(*) Analyste financier senior et économiste

1- https://www.letemps.ch/economie/reunis-pekin-brics-refusent-un-monde-unipolaire

2- https://lesfrancais.press/les-brics-veulent-creer-leur-monnaie-de-reserve/

3- https://fr.tradingeconomics.com/country-list/gold-reserves

4- https://www.federalreservehistory.org/essays/gold-convertibility-ends

5- https://www.statista.com/statistics/254281/gdp-of-the-bric-countries/

Comment (29)

    Chark
    5 avril 2023 - 5 h 45 min

    L’ intégration de l’Algerie à l’organisation des BRICS est nécessaire pour plusieurs raisons , d’abord , l’ordre mondial occidental est entrain de basculer sous nos yeux , l’Eurasie est sur le point de dominer l’occident sur le plan de la croissance économique , et militaire , le système financier et monétaire occidental est entrain de s’effondrer, les monnaies fiduciaires frauduleuses euro/dollar ( sans valeur intrinsèque ) sont entrain de s’effondrer , et l’Algerie est exposé à ces monnaies car ses réserves de change libellés en euro/dollar , risque d’être prochainement anéantis , à ce sujet , je conseille vivement aux stratèges Algerien , de prendre rapidement des mesures afin de protéger toutes les réserves de changes se trouvant dans les banques étrangéres ,de les convertir en or physique , et de rapatrier cet or , il n’y à plus de temps à perdre ! l’euro et le dollar sont gravement menacés, l’otan et les usa vont certainement déclencher une guerre dévastatrice en europe pour sauver leur monnaies frauduleuses !

    Parler ne Suffit plus , Place aux Jeunes
    3 avril 2023 - 21 h 31 min

    Du Temps de BOUMEDIENNE , et malgré toutes les Erreurs ..On avait PEU de MOYENS mais beaucoup plus d’AUDACE et de GÉNIE , d’AMBITION , de l’ENTHOUSIASME…et des tonnes de RÊVES a RÉALISER !
    Les quelques CENTAINES de CADRES Patriotes dont disposait l’ALGERIE avaient su Rassembler leurs Connaissances et leurs Compétences pour réaliser ces Rêves.
    ..
    Ils avaient bâtit une Vraie CAPACITÉ INTELLECTUELLE d’ANTICIPATION , de PLANIFICATION et d’EXPERIMENTATION
    Avec des
    Approches INNOVANTES et Solutions de RUPTURES TECHNOLOGIQUES AVANT-GARDISTE pour RATTRAPER les Retards.
    ..1 EXEMPLE :
    Le GNL ALGÉRIEN

    C’est La RUPTURE TECHNOLOGIQUE de la LIQUÉFACTION de GAZ NATUREL (L’ALGERIE a été le 1er PAYS à faire du GNL INDUSTRIEL) pour l’EXPORTATION qui donnera a l’ALGERIE une Capacité de Projection à l’INTERNATIONAL de son Influence ÉNERGÉTIQUE.

    On était beaucoup moins dans les DISCOURS et beaucoup plus dans la RÉFLEXION et dans l’ACTION !
    PLACE AUX JEUNES !

    lhadi
    3 avril 2023 - 11 h 29 min

    l’A.D.N de ce conglomérat de pays-continents, non fiables politiquement et économiquement, porte la marque de la banque Goldman Sachs dont le siège social mondial se trouve à New York.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

      Comprends pas
      3 avril 2023 - 12 h 33 min

      Quel ADN ?
      Goldman Sachs n’ont pas attendu les BRICS pour travailler avec les États et les Gouvernements..
      Désolé, je comprends pas ce Comm..

    Le PIB seul reflète-t-il la PUISSANCE ?
    3 avril 2023 - 1 h 36 min

    La Réponse est probablement Oui et Non.
    Oui car c’est le reflet d’un VOLUME Quantitatif
    Non car la Qualité première et le RÉVÉLATEUR d’une ÉCONOMIE SOLIDE comme l’a montré le Conflit UKRAINE- RUSSIE est
    la RÉSILIENCE à travers des Éléments CONCRETS :
    – L’INDUSTRIE y-compris l’Industrie de Défense
    – L’AGRICULTURE et l’ALIMENTATION
    – L’ÉNERGIE
    – La SANTÉ
    – L’EDUCATION
    – La DEMOGRAPHIE et les JEUNES
    – La Vigueur Sentiment NATIONAL
    ..
    La Russie représente moins de 5% du Total des PIB de l’Occident Collectif…
    ..
    A MÉDITER sur les véritables ATTRIBUTS de la PUISSANCE

    Aures
    2 avril 2023 - 15 h 26 min

    Adhérer à un espace économique n’a d’intérêt que si un pays dispose d’une économique puissante et donc capable de se montrer pertinente et supérieure dans les principaux domaines d’activités sur lesquels repose solidement l’économie du pays en question.
    Aujourd’hui l’Algérie a une économie très fragile et ne reposant que sur les hydrocarbures.
    On constate qu’il y a une réelle volonté du président Tebboune de mener une politique de développement et de diversifier l’économie algerienne dans les domaines de l’agriculture, de l industrie, des mines, de la pharmacie, de la pétrochimie, etc..
    Reste que pour développer et mettre à niveau ces activités dans les standards mondiaux, il faudrait à Monsieur Tebboune 4 à 5 mandats avec les meilleurs collaborateurs algériens existants dans le monde.
    L’ Algérie a perdu 10 ans dans une guerre civile et 20 ans avec la bande de clowns d’Oujda.
    30 année ne se récupéreront pas en 1 ou 2 mandats de Monsieur Tebboune même si ses successeurs poursuivent dans la même voie.
    Par conséquent avant de jeter l’Algérie dans les bras des BRICS ou dans tout autre espace économique , s’assurer d’abord d’avoir les reins solide. En effet, ouvrir son espace économique à des pays comme la Chine, l’Inde, la Russie, le Brésil, l’Afrique du Sud, il faut vérifier ce que nous pouvons vendre concrètement à ces pays et qui nous apporterait une valeur ajoutée car qui exporte juste de la matière première à l’état brut ne peut être considéré comme une économie viable et pérenne.
    Seul la transformation du produit avec un savoir-faire exclusif et de surcroît demandé par les marchés peut être considéré comme étant le moyen de faire sa place sur ces marchés avec une garantie de ressource tout en veillant à la pérennité de son produit sur les marchés par une amélioration continue et sa compétitivité. A défaut, d’un savoir-faire, l’économie algerienne se fera ravagée par les produits de ces pays à qui nous voulons ouvrir grand la porte de l’Algérie. L’ Algérie finira chaque année avec une balance commerciale en déficit.
    L’Algérie doit diversifier et consolider son économie avant de monter sur le ring. L’ objectif étant d’amener le trophée c’est à dire inverser la courbe de la balance commerciale en finissant avec un excédent chaque année et constituer ainsi des fonds de réserves solides avec pour objectif de prendre des part de marchés dans des groupes internationaux solides pour se projeter économiquement à travers le monde avec des retours sur investissements conséquents. La finalité est de faire du dinar une monnaie internationale adossée à nos réserves d’or (174 tonnes) que nous devons multiplier par 10, 20 ou 30 sur les 30 ans à venir.
    Depuis le temps que nous prédisons de l’Algérie qu’elle sera les États-Unis d’Afrique et du monde arabe. Chiche ?
    Bien à vous

    L'Algérie un Électron libre
    1 avril 2023 - 23 h 12 min

    L’Algérie doit rester un électron libre.
    L’Algérie doit être un pays non alignés.
    L’Algérie doit-être libre de défendre en portant secour aux pays amis, sincère de longue date, seulement quand elle pense, en son âme et conscience qu’elle doit le faires sans la moindre pression.
    L’Algérie doit commercialisé et faires du business avec les membres du BRICS et les non membres à son bon vouloir qui est basé en primauté sur ces intérêts personnels
    L’Algérie doit pouvoir payer en monnaie exiger par les membres du BRICS et en autres monnaie pour les non membres.
    L’Algérie ne doit en aucun cas être la 5 ème roue du carrosse au sein du BRICS et au sein des pays oligarques occidentaux.
    L’Algérie doit-être libre de se positionner selon ces principes, objectifs, toutes ces valeurs immuables que l’on lui connaît depuis toujours et d’autres spécificités spirituelle et humanitaire…
    L’Algérie doit réunir l’Afrique, pour qu’ensemble, entre africains, ils créeront un bloc Unis et fort, dont ils pourront s’imposer en tant que nation qui a son mot à dire et choisir seul leurs destin par choix et non plus jamais par défaut.
    Tous le monde sait que l’Afrique est vierge, très riche, non polluer, tout est à faire et à créer….
    L’Algérie doit rester en dehors des deux blocs.

      DZ
      2 avril 2023 - 19 h 58 min

      l algerie devrait aider ces pauvres qui sont nombreux et arreter de jouer les bons samaritains avec les autres l argent pour les algeriens chacun ces problemes

        Elephant Man
        3 avril 2023 - 5 h 52 min

        @DZ
        Exactement. D’ailleurs où étaient passés ces pays lors de la guerre terroriste sioniste par procuration décennie noire, sans omettre lors de l’invasion de la Libye… Et l’assassinat BARBARE DÉLIBÉRÉ du Guide le Colonel Gueddafi Allah yarehmou qui pourtant, tout comme Bouteflika Allah yarehmou, a financé écoles infrastructures et cie sans que ces pays africains ne lèvent le petit doigt !!
        CHARITÉ BIEN ORDONNÉE COMMENCE PAR SOI-MÊME.

    Anonyme
    1 avril 2023 - 19 h 02 min

    Merci AP de m avoir éclairé un peu plus sur ce modèle de coopération du BRICS mais l auteur a la même conclusion que la mienne à ce sujet. L emballement et l enthousiasmant ne font pas tout et puis faut jamais se pressé dans la vie pour quoique ce soit acheter ou vendre ou adhérer à quoique ce soit. Il faut faire le tour et bien réfléchir avt de s engagé.

      Anonyme
      7 avril 2023 - 2 h 31 min

      L’impératif premier de l’Algérie,
      c’est de se concentrer sur la
      valeur ajoutée, et la haute valeur
      ajoutée, voir la très haute valeur
      ajoutée, de sa
      productions / services
      aux standards internationaux.

      Un recours aux cadres
      supérieures / cadres moyens /
      / personnels qualifiés de la
      diaspora, doivent être sollicité.
      Afin, d’infuser une culture de
      travail du venant d’ailleurs.
      Il faut stimuler et confronter
      les approches.
      Ce sont les différentes fleurs,
      qui font les beaux jardins.

      La création d’une banque
      de données, relative aux
      Entrepreneurs- Chefs d’entreprises
      d’origines Algériennes exerçant
      à l’étranger. Tout secteur confondus.
      Ces entreprises doivent être
      démarché directement par
      les attachés économiques des
      des ambassades Algériennes.

      La force de frappe de l’Allemagne
      c’est son tissu de petite, et
      moyenne entreprise,
      et souvent
      entreprise familiale. Opérant
      à l’exportation.
      Marché à l’international.
      Elles sont 8 millions en
      Allemagne,
      5 millions en Italie, en France
      moins de 3 millions.
      Ce tissu d’entreprise génère
      70 pour cent des emplois.

      Alors, que les multinationales
      représentente moins 20 % de
      l’emploi.

      L’intégrité, et la probité
      intellectuelle, doivent
      être la règle.

    Brahms
    1 avril 2023 - 18 h 31 min

    En Algérie c’est une politique d’étouffement qui se pratique,

    En effet, Si vous allez en Algérie, un jeune qui voudrait travailler n’arrive même pas à s’acheter une voiture d’occasion car sur les marchés de voitures cela tourne entre 1 500 000 dinars à 15 000 000 de dinars donc comment voulez vous que leurs parents financent de tels achats pour que leurs enfants aillent travailler et sortent du cocon familial.

    Ouvrez donc le marché des voitures d’occasions via l’importation de voitures de moins de 15 ans comme le faisait Houari Boumédiène au lieu de fermer le marché pour le profit d’une caste qui n’a accumulé que ruine et faillite à tous les niveaux.

    Je vous le dis, donnez le marché à Fiat ne permettra jamais à un jeune de s’acheter un véhicule de type Fiat 500 à (2 750 000 dinars) d’où des harragas qui préfèrent partir à l’étranger pour s’acheter un véhicule

    L’adhésion aux BRICS ne changera rien sachant qu’il existe toujours un marché parallèle de la devise et des déficiences dans dans beaucoup de domaines.

      Nadir Zergaoui
      2 avril 2023 - 7 h 53 min

      Moins de 15 ans, nous sommes un pays ou une poubelle oun cimetière pour les voitures du monde?

        Brahms
        2 avril 2023 - 15 h 09 min

        @Nadir Zergaoui,

        En réponse, je constate que vous ne connaissez rien aux voitures. En effet, moins de 15 ans ne veut pas dire voiture foutue. Vous savez, il y a des personnes qui entretiennent très bien leur voitures par des visites régulières chez des concessionnaires pour les vidanges, plaquettes de freins, filtre à gazole, filtre à essence. Allez donc sur le site Comparis Auto, il y a une OPEL à 2700 CHF, la voiture est nickel, vendue par un garagiste ci – dessous :
        OPEL Astra GTC 2.0i 16V Turbo Sport
        Véhicule situé à : 8452 Adlikon b. Andelfingen. 1ère mise en circulation : 03.2006. Kilométrage : 62’042 km

        Vous voyez cette voiture serait parfaite en Algérie (170 chevaux) pour 2700 CHF avec 62 042 kilomètres visible sur le site Comparis Auto.

        Pour un jeune voulant travailler cela suffirait amplement, pourquoi mettre des millions de dinars dans du neuf ?

        C’est cela que le Gouvernement ne comprend pas ce qui fait que des jeunes restent jusqu’à 40 ans chez leurs parents car impossible pour eux de trouver un travail sans voiture donc impossible de s’émanciper, le jeune étant obligé de rester à vie chez ses parents.

        Il faut donc un marché de l’automobile pour toutes les classes afin que le citoyen ou la citoyenne puisse conduire au moins un véhicule dans sa vie.

        Je vous le dis, les règles algériennes sont discriminatoires favorisant une catégorie au détriment d’autres. Or, dans la vie, on commence tous avec des petites voitures puis tout doucement, on arrive à des véhicules plus performants dès que l’on a de l’ancienneté dans l’entreprise mais avant, il faut trouver un véhicule pour aller au travail. Voilà, la réalité et faites un tour en Europe, vous pouvez acheter un véhicule selon vos moyens financiers de 1 000 € à + dans tous les pays d’Europe chose impossible en Algérie car le marché est fermé pour une caste de privilégiés.

      dz
      2 avril 2023 - 20 h 03 min

      brahms tres a terre et realisme bravo

        Brahms
        3 avril 2023 - 7 h 23 min

        @DZ

        En réponse, vous avez des voitures qui coutent moins chères que des scooters de 125 cm3 qui tournent entre 4000 € à 8900 € sur LEBONCOIN.

        Sincèrement, cette voiture OPEL à 2 700 CHF serait parfaite en Algérie mais ce Gouvernement organise des blocages et vous perdez beaucoup de temps car les gens sont soient incompétents, soient jaloux où alors ont des intérêts dans le marché automobile algérien de sorte qu’ils organisent des hausses pharaoniques ce qui fait que le petit citoyen n’arrive même pas à s’acheter une voiturette à 60 chevaux de type Picanto donc impossible pour ce citoyen ou citoyenne de travailler, de faire ses courses, de chercher un emploi en dehors de sa ville, de partir en vacances, de se rendre dans un supermarché pour faire ses courses, d’aller dans un hôpital pour se soigner et ce, faute de moyens de locomotion. je trouve donc que c’est grave.

          dz
          4 avril 2023 - 14 h 48 min

          avec un salaire moyen de 260 EUROS comment voulez que le salarie algerien puisse vivre deja pour ce nourrir c est complique alors acheter une fiat ! pour les brics cela est complique aussi nous avons pas d economie reelle (50 POURCENT de marche informel il faut tout reformer de a a z et c est pas pour demain les brics faut oublier pour le moment nous allons nous faire manger tout cru

    Sprinkler
    1 avril 2023 - 18 h 30 min

    Cet agrégat hétéroclite de pays – BRICS – compte deux pays – l’Inde et le Brésil – qui ont peu à envier au suprématisme Occidental, cette calamité de l’Humanité…L’Inde et le Brésil – comme l’Israël de l’Apartheid – sont deux Etats racistes qui mènent la vie dure à leurs minorités, religieuse pour le premier et ethniques pour le second…Véritable enfer pour les musulmans indiens, l’Inde de MODI, survivance du ségrégationniste blanc le Brésil de LULA ! L’envers du Brésil des cartes postales est une société foncièrement raciste à l’égard des Noirs et des indiens d’Amazonie qui sont…chez eux, contrairement à cette frange de la population brésilienne descendant des colons portugais qui perpétue la discrimination raciale comme au bon vieux temps des colonies…Alors tempérons un peu notre ardeur à rejoindre ce bloc économique que tout oppose !

      Elephant Man
      3 avril 2023 - 6 h 10 min

      @Sprinkler
      Les BRICS ne sont pas l’UE cf. Dette publique d’un pays qui impacte sur tous les membres.
      Ensuite je reprends mon commentaire pour l’occasion : 2022 07 04 :
      «L’alliance anti-occidentale est politiquement et économiquement de plus en plus puissante.
      Lijian Zhao, porte-parole du MAE Chinois a déclaré la population totale des pays composant le G7 est d’un peu plus que 770 millions de personnes, celle des BRICS représente plus de 3 milliards d’habitants de la planète et d’ajouter «la prochaine fois qu’ils parleront de communauté internationale vous saurez ce que cela signifie» !
      Malgré les sanctions occidentales, les Russes peuvent désormais utiliser le système Chinois UnionPay (180 pays du monde).
      Sans omettre l’OCS.»
      Je rajoute : l’OCS comprend huit pays asiatiques : la Chine, l’Inde, le Pakistan et la Russie, ainsi que quatre États d’Asie centrale (Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan et Tadjikistan).
      L’organisation chapeautée par Pékin et Moscou représente 40% de la population mondiale et 28% du produit intérieur brut (PIB) mondial.
      L’Iran a adhéré en 2021, l’Arabie Saoudite vient d’y adhérer : la société d’État saoudienne Aramco a révélé une coentreprise pour construire une raffinerie et un complexe pétrochimique à Panjin, dans le nord-est de la Chine, aux côtés de ses partenaires Norinco et du groupe industriel Panjin Xincheng.
      Riyad entretient également des liens étroits avec la Russie (OPEP+).

    GHEDIA
    1 avril 2023 - 17 h 02 min

    S’il y a un mot que j’ai bien détesté aujourd’hui, c’est bien le mot « potentiel »… et ses dérivés. Pourquoi cette tendance à la répétition ? Ceci d’une part (j’espère que l’auteur de cet article ne me tiendra pas rancune). D’autre part, le problème étant simple, on ne comprend pas pourquoi se compliquer la tâche en disant une chose et son contraire. Ce qu’on voudrait savoir c’est est-ce dans l’intérêt de l’Algérie d’adhérer à cet ensemble géo économicopolitique ou pas. Là est la question. Question qui nécessite une réponse claire et concise. A notre humble avis, la réponse ne peut être qu’affirmative. En effet, il est de l’intérêt de l’Algérie, qui a plusieurs atouts à faire valoir, d’adhérer aux BRICS, Et elle doit le faire le plutôt possible parce qu’il ne faut pas oublier qu’il y a de nombreux autres pays du Sud qui frappent à la porte. On ne doit pas tergiverser. Ni avoir une quelconque appréhension des Etats-Unis ou d’autres pays de « l’Occident collectif » qui est de toute façon sur son déclin. Pour terminer ce petit plaidoyer en faveur de l’adhésion de l’ALGERIE aux BRICS, j’emprunte l’adage suivant : l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt.

      Anonyme
      1 avril 2023 - 22 h 51 min

      Justement ce fut et c’est un cercle restreint le BRICS , avoir bcps de membres mtn qd la Russie et la Chine sont opposés au USA et son camp occidental, ouvrir le BRICS a de gros pays à potentiel énergétique et autres ne peut qu’être avantageux pour ceux qui l ouvrent à plusieurs et pas n importe lesquels ? . Tout ces pays du BRICS indépendamment ont toujours les 5 membres entretenus des relations commerciales avec les USA et l Europe même Aujourd hui. Tout ces pays ne sont pas develloper comme l occident et surtt les USA en tt cas pour le moment. Le BRICS avancent certes mais ces membres comme le rappelle l auteur sont endettés à part la Chine peut être ? Tout ces pays Russie Inde Chine la majorité de leurs populations sont pauvres et ils sont très nombreux dans ces pays, c’est un facteur aussi qui fait que l Algerie doit faire le contour des avantages des inconvénients et si c est profitable à l Algerie son peuple et ces intérêts tt en restant un pays non aligné ou que ça soit préjudiciable pour le pays , c’est un engagement avant tout national qui engage le pays et son peuple et pour des années, je pense aussi que les autorités algériennes et ces experts économico politico seront faire la bonne expertise à savoir engager ou pas tt un pays et son peuple. Le fait de l ouvrir à plusieurs tt en cherchant des pays intéressant m interroge en tt que citoyen lambda hada maken ? Je ne veux pas user mon peuple et mon pays pour quelques uns donc je vais quitter ce que j ai pour trouver peut être pire ou meilleur donc je pèse le pour et le contre avant de m engager. Quand tu signes c est trop tard suivi de la mention lu et approuvé. Les grandes puissances sont toutes des prédatrices et dominatrices après c est la manière de faire qui est différente mais ça n engage que moi.

      dzcca
      2 avril 2023 - 19 h 51 min

      l occident en declin ? vous etes serieux ?

    Belveder
    1 avril 2023 - 14 h 52 min

    Tans mieux
    C est ce que je disais il faut tempérer ses Ardeurs
    Cette histoire de Bricks..est un Leurre

      BRICS +
      1 avril 2023 - 17 h 00 min

      Algeria ???????? is a serious candidate.

      pourquoi ?
      2 avril 2023 - 2 h 48 min

      La Place de l’ALGERIE au sein des BRICS s’impose
      – Par la Géographie
      – Par l’Histoire
      – Par le Poids Économique
      – Par son Combat pour le TIERS MONDE et le NON-ALIGNEMENT
      – Par l’Influence Diplomatique
      Voilà pourquoi l’ALGERIE , pays précurseur du NOUVEL ORDRE ÉCONOMIQUE MONDIAL a ss place dans cet Ensemble.

      GHEDIA
      3 avril 2023 - 21 h 30 min

      Evidemment que je suis sérieux. Il n’y a de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Les empires ou les civilisations sont comme des êtres vivants : ils naissent, se développent puis meurent. Et, nous sommes en train d’assister à l’agonie de l’Occident. Mais, comme le disait Antonio Gramsci : l’ancien se meurt et le jeune hésite à naître et dans ce clair-obscur des monstres peuvent surgir. Force est d’admettre que nous y sommes.

    sera juste une SUITE mais pas une FIN…du Chemin
    1 avril 2023 - 13 h 54 min

    Pardon mais Quelquefois a LIRE certaines écrits, je pense qu’il faut se MÉFIER du
    ….. WISHFUL THINKING et les Incantations
    On doit très Vite les Remplacer
    Par
    la VISION STRATÉGIQUE , la PLANIFICATION , l’EXECUTION , la Recherche de Solutions INNOVANTES de RUPTURE et l’ACTION
    => il faut sortir de l’INCANTATION
    …L’ALGERIE devrait
    …L’ALGERIE pourrait
    …L’ALGERIE a le Potentiel pour
    ….
    Oui , J’espère que l’ALGERIE rejoindra les BRICS.
    Mais ce sera la SUITE d’autres choses mais surtout pas une FIN..

    Du Temps de BOUMEDIENNE , et malgré toutes les Erreurs on était beaucoup moins dans les DISCOURS.
    Les quelques centaines de CADRES Patriotes dont disposait l’ALGERIE avaient ;
    -1. Accumule des Connaissances et des Compétences
    – 2. Une CAPACITÉ INTELLECTUELLE d’ANTICIPATION
    – 3. Une CAPACITÉ INTELLECTUELLE de PLANIFICATION
    – 4- Une AUDACE d’EXPERIMENTATION
    ….
    1 EXEMPLE:
    ….
    C’est La RUPTURE Technologique avec la LIQUÉFACTION de GAZ NATUREL pour l’EXPORTATION qui donne a l’ALGERIE une Capacité de Projection à l’INTERNATIONAL de son Influence ÉNERGÉTIQUE

    Il est temps de Remplacer
    …..l’INCANTATION
    …..le WISHFUL THINKING
    Par
    la VISION STRATÉGIQUE , la PLANIFICATION , l’EXECUTION mais aussi la Recherche de Solutions INNOVANTES ou de RUPTURE TECHNOLOGIQUES pour RATTRAPER nos Retards ?

    Dire ne suffit plus.

    Akli
    1 avril 2023 - 13 h 44 min

    L’Algérie a sa place aux BRICS car c’est une puissance montante.Il suffit d’un peu de bonne gouvernance pour devenir au moins la première puissance d’Afrique.Elle a tout pour réussir à émerger.

    Changer soi pour que le regard du monde sur vous puisse changer
    1 avril 2023 - 12 h 19 min

    L’Algérie croit toujours applique la politique à l’économie. Les pays membres de cette organisations sont pour la plupart déjà ouverts à l’économie mondiale où les multinationales ont depuis des décennies leurs productions. En y faisant partie, l’Algérie devra ouvrir son marché aux produits issus de la collaboration des multinationales résidentes dans ces pays. La vraie partie serait jouable seulement si l’économie algérienne se réformait profondément pour dégager des croissances de productivité. Comme l’économie est aussi de la politique, il est donc impératif de :
    1-Pacifier la société en créant une harmonieuse cohabitation entre institutions fonctionnelles et citoyens au centre de la cité, tout cela sans populisme ni paternalisme. Il n’y a pas de compétition sans l’élément moteur : l’humain.
    2-Poser les réelles questions. Si la productivité pays est au niveau zéro, c’est d’abord grâce à l’arabisation.
    3 Une administration au service du citoyen et pas l’inverse : les entreprises qui produiraient algérien ne peuvent le faire sans un contexte harmonieux. Un citoyen qui ne sent pas l’oppression de l’administration est plus productif.
    a) corriger la formation en offrant aux licenciés arabisantes des possibilités de réorientations vers des formations dans le social ou le productif performant, des masters marketing- en Anglais ou francais-. Vous ne pouvez pas continuer avec des lacunes produites par l’ancien système et croire ne pas en subir les externalités négatives.
    4-Les régions doivent avoir des programmes locaux en capacité énergétique : l’accès à l’eau et à l’énergie devrait être accessible, pourquoi pas des centrales solaires régionales et même couplées aux services de gestion de l’eau. Chaque Département – wilaya est un mot étranger qui casse la communicabilité des institutions- doit être le rapporteur qui fait remonter la nécessité au niveau central.
    Morale, le problème n’est ni l’organisation OMC – pendant des décennies on nous bassinait avec l’adhésion à cette organisation comme panacée-, ou Brics aujourd’hui, vendu comme complément identitaire, qui changeraient les donnes. La productivité est dans le système pays. Quand vous l’avez, vous serez compétitif malgré le contexte. Or il y a urgence de toucher à cette gouvernance qui est de l’ordre du magique et porter des réformes structurelles de l’Algérie. Mais dans un regard sincère sur les dégâts de cette visière politique qui subordonne les humains, en même temps croire que le même « citoyen » produise mieux quand il est considéré moins que rien !

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