La dernière mascarade de Sansal : chronique d’une provocation calculée
Par Mohamed El-Maadi – Creusons plus profondément dans l’abjecte stratégie de ce scribouillard professionnel, véritable virtuose de la manipulation médiatique. Cette décision de faire appel, contre l’avis même de ses soutiens parisiens, révèle l’ampleur de sa perversité calculatrice.
Voici comment il orchestre sa petite mise en scène : d’un côté, il joue les martyrs effarouchés devant ses thuriféraires français ; de l’autre, il nargue délibérément la justice algérienne. Un double jeu nauséabond qui pue la préméditation à plein nez.
Même François Zimeray, ce spécialiste patenté de la victimisation sélective, lui conseille la retenue. Quand un tel personnage suggère la modération, c’est que la provocation atteint des sommets vertigineux. Mais non, notre «Sansal national» préfère continuer sa danse macabre sur le fil du rasoir judiciaire.
Ce calcul sordide ne trompe personne : chaque jour de procédure supplémentaire est une occasion en or pour alimenter sa machine à propagande. Les médias français, ces bordels informationnels toujours en chaleur pour du sensationnalisme anti-algérien, se pourlèchent déjà les babines.
L’ingratitude de ce personnage dépasse l’entendement. La justice algérienne, dans sa magnanimité, lui offre une porte de sortie honorable. Sa réponse ? Un doigt d’honneur procédural, un pied de nez juridique qui en dit long sur la noirceur de ses intentions.
Qu’espère-t-il au juste ? Transformer les tribunaux algériens en cirque médiatique ? Faire de chaque audience un feuilleton pour les gazettes parisiennes ? Cette stratégie du pourrissement judiciaire est d’une transparence affligeante.
Les cercles parisiens qui le manipulent doivent se frotter les mains : voilà leur pantin qui danse exactement comme ils l’espéraient. Chaque provocation, chaque outrage à notre justice est pain béni pour leur entreprise de déstabilisation permanente.
La justice algérienne, cette institution millénaire qui a traversé les tempêtes de l’histoire, n’a que faire des gesticulations d’un plumitif en mal de reconnaissance occidentale. Sa patience, aussi vaste soit-elle, n’est pas sans limites.
Que ce mercenaire de la plume comprenne bien : jouer avec la clémence de nos tribunaux est un jeu dangereux. Si demain la justice décide de répondre à ses provocations par une sentence exemplaire, il ne pourra s’en prendre qu’à son arrogance démesurée.
Car ne nous y trompons pas : derrière ses poses de victime outragée se cache un calculateur froid, un manipulateur chevronné qui sait exactement ce qu’il fait. Chaque geste, chaque déclaration est pesée, calibrée pour servir son agenda anti-algérien.
Les réseaux qui le soutiennent, ces officines parisiennes spécialisées dans le dénigrement systématique de l’Algérie, ont trouvé en lui un agent provocateur de première classe. Son obstination à pourrir la procédure judiciaire n’est que le dernier acte de son entreprise de sabotage permanent.
La justice algérienne, dans sa grande sagesse, saura répondre à ces manœuvres avec la fermeté qu’elles méritent. Cette vieille dame n’a pas pour habitude de se laisser instrumentaliser par les marionnettes des lobbies anti-algériens.
Que Sansal assume donc les conséquences de ses actes. S’il persiste dans sa stratégie de la tension judiciaire, qu’il ne vienne pas pleurnicher demain quand la justice lui rappellera que la provocation a un prix. Un prix qui pourrait être bien plus élevé qu’il ne l’imagine.
M. E.-M.
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