Le Mali des putschistes : le Canada refuse la désignation du général Dahirou comme nouvel ambassadeur

Comment (4)

    Anonyme
    6 mai 2025 - 21 h 06 min

    CEDEAO + UA = 🇩🇿🦁💪
    L Afrique terna ! 🇩🇿❤️ Bientôt l Europe aussi inch’Allah avec l Italie Espagne l Allemagne et tt les pays européens qui sont en bons termes la fameuse triangulaire avec l Algérie, qui est au milieu ? Vous avez cru quoi qu on allait tjrs vous regardé faire votre cuisine à vos sauces , Ben oui je vous ai tjrs dit que nous ferons de notre pays plus qu une puissance régionale inch’Allah . Mot d ordre et feuille de route imparable oblige malgré tt ces obstacles de ces envieux et de ces jaloux ennemis de l Algérie, on est partout et on prend tout. 😁🇩🇿
    (…)

    Anonyme
    30 avril 2025 - 14 h 44 min

    https://youtu.be/uIeWP99HE9g?si=cO1q7O7pT5LjGsjd
    Il explique vers la 8 ème minutes de cette vidéo la différence entre un chef de village et un chef de Canton .

    Anonyme
    29 avril 2025 - 18 h 34 min

    Il y a pas qu eux qui le sont un peu partout dans le monde occidental en France Europe ect. Je crois qu on est mal placé question visas nous autres algériens , mêmes notre passeport n est pas très apprécier ces dernières années, j en parle en connaissance de cause, biensur les doubles ne sont pas concernés puisqu ils voyagent partout dans le monde avec le passeport français sauf pour aller en Algérie bizarrement ? À d autres svp.

    MEME AU CANADA CE SONT DES PESTIFERES
    29 avril 2025 - 14 h 11 min

    Même au Canada, personne ne veut vraiment de cette francophonie importée. Le vrai problème — le handicap structurel du Canada — c’est la présence d’un territoire majoritairement francophone, le Québec, dans un pays qui fonctionne presque entièrement en anglais. Ce n’est pas normal, surtout quand on sait que c’est le Canada anglophone qui porte l’économie nationale, qui alimente le PIB, qui attire les investissements, et qui fait rayonner le pays à l’international.

    Pendant ce temps, le Québec s’accroche à une identité francophone déconnectée de la réalité nord-américaine, avec un modèle économique souvent subventionné et peu performant par rapport à l’ouest anglophone. Cette situation entretient un décalage constant, culturel et économique, au sein même du pays.

    Le problème ne s’arrête pas là : à travers sa politique d’immigration francophone, le Canada ouvre la porte à une vague migratoire en provenance du « tiers monde » francophone — des pays où les systèmes éducatifs, les compétences techniques ou l’intégration professionnelle sont souvent en décalage avec les standards canadiens et mondiaux. Contrairement aux immigrants anglophones, qui s’intègrent généralement plus vite et apportent des compétences directement utiles au marché du travail canadien, une bonne partie des migrants francophones finissent dans des situations précaires, avec peu de perspectives d’avenir.

    Il est temps que les Canadiens anglophones ouvrent les yeux : cette double identité linguistique freine le pays. Il faudrait sérieusement remettre en question la place de la francophonie dans les politiques publiques, mais aussi dans les choix migratoires. Le Canada gagnerait à se recentrer sur une identité claire, cohérente, et tournée vers l’avenir, au lieu de s’enliser dans une logique de compromis avec un modèle francophone qui ne fonctionne plus.

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