Les pantins subversifs «algériens» à la solde d’Israël sont au bout du rouleau

Zitout
Larbi Zitout, la serpillère du Mossad, présente des signes d'épuisement. D. R.

Par Karim B. – Les mines cireuses et hagardes de ce quarteron de cyber-marionnettes – pâles clones télécommandés par la DGSE, la DGED et le Mossad – trahissent moins un engagement révolutionnaire qu’une sévère dépression post-manipulation. Ces tristes pantins, dirigés depuis Rabat, Paris, Londres et probablement un sous-sol humide à Tel-Aviv, s’agitent frénétiquement pour tenter d’allumer une étincelle en Algérie. Sauf qu’il n’y a plus d’essence, ni d’audience. Résultat : un pathétique numéro de claquettes géopolitiques, sans public ni effet.

Leur énième coup de théâtre, recyclé après le naufrage d’août dernier, n’est rien de plus qu’un mauvais remake d’une opération cousue de fil blanc par le Makhzen, éternel larbin de l’entité sioniste. L’ironie ? Ces porte-voix de la prétendue algérianité sont les parfaits idiots utiles d’un mauvais scénario que l’Algérie connaît par cœur, générique compris.

Ils appellent à la révolte ? Le peuple regarde ailleurs. Ils agitent les réseaux ? Le peuple scrolle. Leurs incantations révolutionnaires, diffusées depuis des salons cossus ou des caves douteuses, ont fait pschitt plus vite qu’un soda éventé. Car l’Algérien, lui, sait distinguer un combat digne d’un cirque de celui qui mérite son attention.

Ce qui rend ces capitales hystériques, c’est cette posture algérienne, inébranlable, face à la supercherie des accords d’Abraham – ce chef-d’œuvre de cynisme diplomatique, où l’on tente de faire passer une reddition pour une avancée stratégique. Alger, droite dans ses bottes, est cette épine coriace dans le pied bien ciré de la normalisation à sens unique.

Rien n’est improvisé ici. L’Algérie avance ses pions avec une méthode chirurgicale sur l’échiquier mondial, pendant que ses adversaires jouent aux dames… sans dame. Elle se prépare, sur tous les fronts, parce qu’elle sait que les ennemis – en manque chronique de succès – sont prêts à tout, même au ridicule.

Le récent rapport américain sur la puissance militaire algérienne ? Un uppercut diplomatique. A Tel-Aviv, ça tousse sec. Le régime de Netanyahou, pourtant habitué aux crises, digère mal l’idée que l’Algérie, avec l’Iran en allié stratégique, pèse très sérieusement dans la balance régionale. Et pas en faveur de leurs petits calculs.

Alors, bien sûr, dans leur désespoir, le Mossad et ses antennes françaises et marocaines se rabattent sur leur armée de trolls sous Prozac, en espérant provoquer l’illusion d’une agitation populaire. Le résultat ? Une cacophonie de perroquets désorientés qui radotent les mêmes slogans éculés. Des marionnettes détraquées, qui tournent en rond jusqu’à l’épuisement, sans même comprendre qu’elles ne divertissent plus personne.

Cette dernière tentative est un aveu de faiblesse. Ces puissances, si sûres de pouvoir manipuler l’Algérie comme un pion, se retrouvent face à un mur de réalité : l’Algérie n’est ni à vendre ni à plier. Et certainement pas à leur disposition.

Le rideau tombe. Les provocateurs s’essoufflent. Et la lumière crue de la vérité éclaire leurs petites manigances. L’Algérie, elle, reste debout, souveraine, et plus que jamais prête à écraser toute tentative de subversion.

Car ici, on ne vend pas la patrie. On ne la loue pas. Et surtout, on ne la laisse pas aux mains de marionnettistes désespérés en mal de contrôle.

K. B.

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