Par Kamel M. – L’affaire est désormais derrière nous, mais elle mérite qu’on y revienne, ne serait-ce que pour en tirer quelques leçons sur la stratégie pitoyable du Makhzen en matière de guerre médiatique. La pseudo-affaire montée de toutes pièces autour du général Abdelkader Haddad, ancien patron de la DGSI, s’est évaporée dans l’indifférence générale, tout comme ceux qui l’ont brandie avec fracas avant de ravaler leurs salades.
L’objectif de cette opération était limpide : provoquer une réaction officielle de l’Algérie, l’amener à commenter, à se justifier. Bref, à tomber dans le panneau grossier tendu par les services marocains, via leurs relais habituels. Ces derniers, marocains comme certains algériens notoirement connus pour leur statut de serpillères, se sont alors livrés à leur sport favori, celui d’hurler à la «grande révélation», en espérant créer une tempête médiatique. Peine perdue.
Alger n’a pas bronché. Pas une déclaration, pas un communiqué, rien. Le silence comme réponse à l’agitation, l’indifférence comme méthode face à l’intox. Et ce silence a été terriblement efficace, car il a laissé les faussaires patauger dans leur propre marécage, affirmant que le général Nacer El-Djen avait pris la fuite, puis, 24 heures plus tard, le disant arrêté à Alger. On a même vu certains évoquer des «sources très bien informées» pour justifier leurs contradictions flagrantes.
Résultat ? Un discrédit total. La montagne de mensonges a accouché d’un vide. Ni preuve, ni cohérence, ni suivi. Juste une cacophonie pathétique de blogueurs, youtubeurs et pseudo-journalistes en mal d’audience, relayant des fantasmes mal ficelés, souvent contradictoires, et toujours creux.
Ce qui frappe, avec le recul, c’est à quel point cette opération ressemblait à un test grandeur nature : jusqu’où peut-on pousser la désinformation avant que la bulle n’éclate ? Et elle a éclaté, violemment. Ce qui était censé être une opération de «dévoilement» de prétendues tensions internes à l’armée algérienne s’est transformé en mise à nu des méthodes du Makhzen : manipulation grossière, relais douteux et, surtout, incapacité à tenir une ligne cohérente.
Et pendant ce temps, ceux qui ont hurlé à la «bombe» continuent de gesticuler, espérant qu’on oublie leur plantage monumental. Certains souffrent manifestement d’une forme avancée de schizophrénie médiatique : un jour, ils affirment que le général est en cavale à l’étranger ; le lendemain, ils jurent qu’il a été arrêté ou s’est rendu dans la capitale. Faut-il leur suggérer l’adresse d’un bon hôpital psychiatrique ? De préférence un centre bien spacieux, car vu le nombre de cas, il va falloir de la place.
Le Makhzen, lui, se mord les doigts. Sa manœuvre a échoué, son appareil de propagande a été démasqué, et sa crédibilité – déjà bien entamée – vient de prendre un nouveau coup. A l’avenir, qu’il réfléchisse à deux fois avant de lancer une opération d’intox… ou qu’il recrute de meilleurs scénaristes. Parce que, là, franchement, on touche le fond.
K. M.
Plantage ou pas! Nos responsables au haut niveau devront y bien réfléchir, un jour ils feront une erreur plus grave dommageable pour le pays et c’est maintenant qu’il faut commencer à expulser massivement leurs pervers qui séjournent chez comme dans un hôtel. Il faut les vider tous et les renvoyer à leur expéditeur!
Excellent article de Kamel M.
La stratégie du makhzen et de ses sujets-esclaves consentants : des manipulations dignes de la maternelle. Pensant qu’avec le temps, leurs basses manœuvres vont réussir. Mdr
L Algérie avance, le makhzen aboie, Mimi 6 trépasse… 😁
Les relais de l’intox comme par exemple sur le site « reseauinternational.net » sous la console de Marianne Maiga, elle relais d’un site guinéen. Aujourd’hui comme on dit en langue scandinave le « skräpmat » =bouffe ordure c’est le menu journalistique en quête de scoop, la poubelle n’a pas de fond, ne pas vérifier, comme sur X on insulte d’abord, on s’excuse après. Messieurs les détracteurs de l’Algérie, si vous avez de l’eau chaude allez vous lavez le postérieur…!
La Menace est concrète !
Quand est-ce que les hautes autorités de mon pays comprendront que la PRÉSENCE SAUVAGE des sujets D’AZOULAY sur le sol ALG est un DANGER imminent…??? أعذر من أنذر
Les vrais valeurs ont presque disparue il et temps de les sauvé il ya que les Brics qui y arrivé donc sa sa saute pour cela fini le dollars boycotte des usa et leurs suiveurs et on verra si ça va pas bouger enfin
très bon article, la réponse du berger à la bergère.Point.
Il y’a des khawawistes même au plus haut niveau
Comment un esclave peut prétende être un cerveau qui réfléchi à des opérations de cette envergure ???
Les relais des intox, outils de pervers toxiques. Ce sont des dealers de fake news. Ceux qui gobent ces intox sont vraiment accrocs à de la merde.
Le Maroc exige un visa pour les supporters de la prochaine Can 2025. A notre ministre de l’intérieur pour exiger la réciprocité afin de nettoyer notre pays des clandestins marrokis et subsahariens.
Voilà une bonne nouvelle qu’il ne faut pas laisser passer.
Je me répète et je ne suis pas le seul, ca sert à quoi de revélér les coups tordus et surtout minables du traitres bousbirland, quand notre gouvernement EST INCAPABLE de dégager d’Algérie le millions voire plus de bousbiriens TOUS AGENTS du bousbirland enjuivé… jusqu’a quand la présence de cette 5ieme colonne sur le sol sacré de nos martyrs…
Parce que, je suis désolé de le dire, cette histoire de bousbiriens est imaginaire. Il n’ y a pas ces chiffres, c’est juste du fake pour alimenter la machine à blabla stérile, on a autre chose à penser en Algérie
La projection est le seul mécanisme de défense que le Bousbirien peut utiliser pour se consoler, pour minimiser ses malheurs et surtout pour surmonter son complexe d’infériorité envers l’Algérien.
En général c’est l’arme préférée et unique des sous hommes, des lâches et des racailles. Ça a toujours été ainsi depuis la nuit des temps.
Free PALESTINE, Free WESTERN SAHARA et absolument ZÉRO BOUSBIRIEN sur le SOL ALGÉRIEN !!
je félicite notre journal pour sa nouvelle version j’ai l’impression de voir plus nette les visages de ces rats Marocains avec mes respects pour les rats.
À force de répéter la même partition, le Makhzen finit par ressembler à un vieux tourne-disque rayé. Chaque « opération » de déstabilisation contre l’Algérie suit la même recette : une rumeur en carton, des relais à bout de souffle, et l’espoir que l’Algérie se laisse entraîner dans ce bal des imbéciles. Mais le peuple algérien, lui, a mûri. Les slogans creux de fraternité — le fameux « khawa khawa » — se sont effacés face à la réalité : derrière la façade marocaine se cachent des sbires au service d’Israël, des exécutants d’une diplomatie au rabais qui sous-traite même sa pensée à l’étranger.
Car enfin, pourquoi l’Algérie devrait-elle communiquer sur le vide ? L’absence de réaction officielle n’est pas faiblesse, c’est mépris. Comment commenter le néant ? Pourquoi se pencher sur une fosse à purin quand son odeur suffit déjà à désigner les exécutants ? Le silence algérien est une réponse : il rend l’intox dérisoire et expose au grand jour la médiocrité d’une officine marocaine qui se noie dans ses propres contradictions, pendant que ses services, éclaboussés de scandales, se vident comme un navire en perdition.
Il faut dire que dans toute tentative de manipulation visant l’Algérie, on retrouve toujours le même trio : Israël, discret mais présent en coulisses ; la France, avec sa presse poubelle, ses « crapouillots » médiatiques dignes des officines de la rue Lauriston ; et le Maroc, réduit au rôle d’épicier du coin, bâclant un travail qui n’a jamais la moindre consistance. À chaque fois, le scénario est identique : intox, bruit, incohérences, puis… le vide.
Alors non, il n’y a ni coup d’État, ni général en cavale, ni crise interne. Il n’y a que l’arrière-boutique du Makhzen qui s’agite, transformant ses frustrations en fumigènes, espérant masquer l’évidence : quand l’Algérie avance, le Maroc s’affole. Et dans la panique, son cerveau prend feu, au point de réserver une place de parking aux ânes, tant la mise en scène est grotesque.
Quant à la presse française, elle s’empresse d’enfiler son rôle de perroquet. *Le Monde* surtout, ce journal jadis respecté et désormais déchu, qui se transforme en simple chambre d’écho des fadaises marocaines. Un journal qui prétend éclairer le monde, mais qui n’est plus que l’ombre de lui-même. À ce stade, il mérite un nouveau nom, à la hauteur de ses torchons : **« Li Monde »**, puisque c’est tout ce qui lui reste — des mensonges.
En vous lisant, je comprends mieux pourquoi le cheval qui porte des oeillères n’est pas capable de voir que ce qui l’entoure est plus riche que le chemin qu’on lui a tracé.
En termes crus, ayez, en tant qu’intellectuel, au moins l’intelligence de voir qu’il n’y a pas que du noir d’un côté et du blanc de l’autre et que la nuance, i. e. l’absence de certitude, est la caractéristique essentielle de ceux qui pensent.
« Alors non, il n’y a ni coup d’État, ni général en cavale, ni crise interne. »
êtes vous sûr de ce que vous avancez?
J ai vu (a la tele bien sûr) le général Chengriha qui a vocation de speaker (tele) recevoir les russes qui apparemment vu leurs têtes n aprécisés pas du tout les cameras d ailleurs je crois pas qu’ils soit venus pour ça
Apperment y a qui n apprécie pas certains commentaires on est pas duoe VU qui faut laisser son adresse mail pour vous tracez d ou l adieu a la liberté d expression promise a l anonymat vous allez être ciblez écoutez surveillez sinon pourquoi cette nouvelle méthode ? Reflechissez avant de rouler votre clavier
Dernièrement 6 de leurs frangins du côté de tebessa se sont envolés au paradis, aujourd’hui assis juste à côté de leur dieu de la haine telles de gentils chérubins en mode images de synthèse.
Si rachad and co avait un minimum de jujote et respect pour ses abonnés, qu’il commente sur ce sujet.