Indépendantisme
Par Kamel Moulfi – Les particularismes locaux s’avèrent suffisamment forts pour réveiller des sentiments séparatistes qui conduisent à la partition d’un pays aussi stable que l’Espagne.
Non à l’amnésie !
Par R. Mahmoudi – La diffusion par la télévision nationale d’un court documentaire rappelant la violence des années 1990 a tout d’un coup mis en émoi partis politiques et commentateurs de presse…
Du séparatisme
Par R. Mahmoudi – Le référendum d’indépendance du Kurdistan irakien a été, partout en Occident, accueilli avec enthousiasme et très rarement avec réserve. Et si c’était la Catalogne ?
Revoilà Al-Baghdadi !
Par R. Mahmoudi – Comme Ben Laden, Al-Baghdadi a plusieurs fois été donné pour mort par les services secrets occidentaux, mais, à chaque fois, il réapparaît pour lancer de nouvelles croisades.
Recadrage d’Ouyahia ?
Par Kamel Moulfi – La pédagogie politique alarmiste utilisée par Ahmed Ouyahia est-elle le meilleur moyen de faire sortir les Algériens de leur léthargie provoquée par des années d’aisance financière ?
Ruse islamiste
Par Kamel Moulfi – Les contours d’une fracture dans le MSP se révèlent chaque jour un peu plus, à travers les positions prises à l’égard du pouvoir par ses différents leaders.
Un sommet, une gifle
Par Ramdane Yacine – La transformation d’un sommet UE-Afrique en sommet UE-UA met le Maroc dans ses petits souliers. La raison ? Ce recadrage signifie que la RASD y prendra part !
Et l’informel ?
Par Sadek Sahraoui – L’’essentiel de la thérapie de choc que le Premier ministre se prépare à administrer à notre agonisante économie consiste à faire tourner la planche à billets durant trois ou quatre années.
Et le consensus ?
Par Kamel Moulfi – Deux mots, récurrents durant la courte période où Abdelmadjid Tebboune a été Premier ministre, ont quasiment disparu du discours politique du pouvoir : dialogue et consensus.
Le roi et le parapluie
Par Sadek Sahraoui – Le silence qu’observe le gouvernement français à l’égard de la répression sanglante que mène le Makhzen dans le Rif prouve qu’il demeure son protecteur.