De l’instrumentalisation du terrorisme à l’orchestration de la terreur virale

Covid reconfigurations politiques
Reconfigurer le monde ? Et si on créait un virus ? D. R.

Par Mesloub Khider – Les attentats du 11 septembre 2001 avaient constitué le prétexte à la mise en œuvre de nouvelles reconfigurations politiques et géostratégiques impulsées par l’hyperpuissance américaine. Sur fond de sidération mondiale suscitée par la psychose généralisée, dès le lendemain des attentats, les autorités américaines avaient déployé promptement leur stratégie machiavélique : mobilisation de la population derrière l’état de guerre, renforcement de l’appareil répressif de l’Etat, réaffirmation de la puissance de l’Amérique matérialisée par une politique interventionniste impérialiste tous azimuts opérée au nom de la lutte contre le terrorisme islamiste. De fait, immédiatement après les attentats du 11 septembre 2001, les instances politiques et médiatiques américaines ont été embrigadées pour enrôler la population dans les entreprises guerrières impérialistes. Tous les pays stratégiques du tiers-monde étaient susceptibles d’être envahis, toutes les nations économiquement concurrentes, torpillées, toutes les puissances militaires potentiellement rivales, neutralisées.

Dans le même temps, au niveau national, en un temps record, l’appareil politique a mis en œuvre ses plans de durcissement de la machine judiciaire et policière répressive, sa nouvelle législation sécuritaire liberticide. Du jour au lendemain, la crise terroriste (aujourd’hui on parle de crise sanitaire du Covid-19) a servi de prétexte à l’aggravation de la récession économique et au démantèlement des budgets des programmes sociaux. Tous les fonds étaient désormais alloués à l’effort de guerre impérialiste et à la sécurité nationale. La promptitude avec laquelle ces mesures ont été adoptées révèle qu’elles avaient été ficelées depuis longtemps, préparées et planifiées par les cercles restreints opaques américains (à l’instar des mesures antisociales et liberticides décrétées actuellement dans la majorité des pays).

Sur le plan international, le dessein réel de la guerre n’était pas tant l’anéantissement du terrorisme islamiste que la réaffirmation de la domination militaire américaine sur tout le globe, implantée au lendemain de l’effondrement du bloc impérialiste rival soviétique. Durant deux décennies, les Etats-Unis ont ainsi mené plusieurs opérations militaires d’envergure : contre l’Irak, l’Afghanistan, la Serbie, le réseau Al-Qaïda, etc. Dans chacune de leurs interventions impérialistes, les Etats-Unis avaient contraint leurs alliés, telles la France, la Grande Bretagne, l’Allemagne, à s’enrôler sous le drapeau américain ; l’ensemble des pays du monde à se plier au calendrier géostratégique étasunien, à s’incliner devant la volonté de l’Oncle Sam, à se soumettre devant les intérêts de la grande puissance victorieuse de la Guerre froide.

Cependant, ces dernières années, le terrorisme islamiste étant devenu inopérant en matière de manipulation idéologique, pour avoir épuisé toutes ses potentialités de dévoiement politique et d’enrégimentement caporalisée, les classes dominantes (occidentales) se sont résolues à s’offrir un autre ferment terrorisant, le coronavirus, pour passer à un degré supérieur en matière de gouvernance par la manipulation et la terreur de la population, exercée dans le cadre du nouvel ordre mondial chaotique menacé d’éclatement sous l’effet de la récession économique.

Sans conteste, le Covid-19 signe l’entrée des Etats occidentaux, en particulier, et des pays du tiers-monde, en général, dans l’ère du despotisme, autrement dit de l’extinction de la «démocratie» représentative. Désormais, toute la planète, depuis le simple village jusqu’à la grande mégalopole, en passant par toutes les «maisons» sont soumis aux lois d’exception, à l’état de siège, au couvre-feu, à la surveillance technologique. A la dictature du confinement. Au confinement de la démocratie. Au nom de la prétendue lutte contre le virus, l’ensemble des Etats du monde, dans une action concertée, ont décrété des mesures de confinement pénitentiaire, des recommandations sanitaires spécieuses, de despotiques prescriptions médicales suspectes d’inanité. Le coronavirus devient le catalyseur de l’aggiornamento planétaire et l’agent dérivatif de divertissement de la foule mondiale, plongée dans la psychose généralisée, orchestrée par les médias inféodés aux puissances financières et étatiques.

Quelles ont été les véritables motivations de la tactique politique de confinement total apparemment préjudiciable aux intérêts économiques et sanitaires des pays ? Aujourd’hui, il est clairement établi, eu égard aux conséquences catastrophiques provoquées par la décision d’arrêter la production (du moins certains secteurs industriels) et la commercialisation (secteurs tertiaire et quaternaire), de mettre en quarantaine des centaines de millions de travailleurs (producteurs de valeur), qu’il s’est agi là d’une véritable volonté de torpiller l’économie, chapeautée par quelques factions du grand capital financier. Cette entreprise de torpillage répond a priori à une réaction mécanique du capital actée officiellement par les gouvernements.

A première vue, certes, les intérêts ayant présidé à la tactique de confinement généralisé ont semblé opposer aux intérêts vitaux des bourgeoisies nationales. Mais, ils sont conformes aux intérêts du grand capital international. Une chose est sûre : le cataclysme économique actuel ne doit rien au hasard. Ce désordre apparent s’inscrit dans la stratégie de la théorie du «chaos constructif» (ou «destruction créatrice», selon l’expression de Joseph Schumpeter) visant la mise en œuvre accélérée de la gouvernance mondiale du grand capital financier (occidental), dans le cadre d’une économie dématérialisée, numérisée, ubérisée, assujettie au télétravail et l’e-commerce (économes en coûts de locaux, en facturations diverses liées à l’entretien, électricité, eau, assurance, frais de repas et de transport dus aux salariés, etc.). L’ère de l’économie «physique» et réelle est révolue. Bienvenue dans l’économie dématérialisée et virtuelle à entreprises évanescentes, à réglementations salariales disloquées, à avantages sociaux démantelés, à rémunérations drastiquement comprimées.

Faut-il mentionner que le camp sino-russe ne compte pas assister impuissant à cette tentative de reconfiguration du monde actionnée par le grand capital occidental, au plan économique comme au plan militaire ? A cet égard, dans un contexte de crise économique aiguë et de menace d’éclatement imminent de la «bulle financière», la pandémie du Covid-19 a constitué, pour le grand capital financier, une opportunité inespérée pour accélérer le processus de purgation de l’économie et de concentration de la propriété des moyens de production, de commercialisation et de gouvernance mondialisée. Par cette opération de purge économique exécutée à la faveur du confinement généralisé où les populations ont été mises à la disette et les grandes entreprises généreusement subventionnées, le grand capital financier escompte relancer l’économie à son profit, après avoir éliminé les secteurs et les entreprises insuffisamment adaptés à la globalisation contemporaine, ou plus exactement instaurer une économie de guerre destinée à neutraliser l’adversaire économique extérieur (le camp rival chinois), et surtout l’ennemi intérieur (le prolétariat) par la répression de toute velléité de résistance populaire. Ce maquignonnage économique, effectué dans une période de paix, donc sans conflits armés, a pour dessein la concentration monopolistique des moyens de production et de commercialisation, mais également la destruction simultanée d’une grande partie des forces productives (comme lors des deux Guerres mondiales) et d’une partie des capitaux financiers superflus, afin d’éviter la réitération rapide de la constitution de la «bulle financière» susceptible de compromettre la reconstruction économique numérisée.

Aujourd’hui, le manque de réactivité des Etats devant la pandémie du Covid-19 s’éclaire à la lumière de l’actualité a posteriori moins dramatique en matière de mortalité que les prévisions catastrophistes annoncées par les médias inféodés aux puissances financières (l’Impérial College London annonçait insidieusement, au début de l’épidémie, pour créer un climat de psychose légitimant les mesures de confinement et d’arrêt de l’économie, des millions morts).Tout s’était passé comme si toutes les conditions avaient été délibérément réunies pour favoriser la tactique de confinement total avec son corollaire d’arrêt de l’économie. Ces «défaillances» sanitaires programmées, illustrées notamment par les carences en matière d’urgence médicale et l’absence d’équipements médicaux, laissent subodorer une stratégie du chaos planifiée, fomentée par les différents gouvernements inféodés aux puissances financières.

L’absence d’adoption de mesures sanitaires précoces, telles que les contrôles aux frontières et aux aéroports, la défaillance médicale illustrée par les pénuries des équipements (masques, tests, gants, gels hydro-alcooliques, respirateurs) semblent constituer des preuves de la volonté des pouvoirs de favoriser cette refondation du monde par la destruction de pans entiers de l’économie considérés comme obsolètes. Cette refondation économique est devenue primordiale pour le grand capital mondial en proie à une crise de revalorisation. Elle s’inscrit dans la politique de financiarisation de l’économie. Pour pérenniser sa domination des classes au moyen d’une restructuration du capitalisme, le grand capital est résolu à sacrifier des pans entiers de l’économie planétaire et à réduire à la misère des centaines de millions de personnes. Quitte à financer la «nouvelle économie», reconfigurée selon les intérêts du capital financier, par les Etats, autrement dit avec l’argent des contribuables (des travailleurs) et l’endettement (payé également par les futures générations de travailleurs au moyen de l’augmentation des impôts).

Par la faute de l’application de cette mesure de confinement totalitaire, même les pays sous-développés et émergents, quoiqu’épargnés par la pandémie du Covid-19, ont subi les conséquences dramatiques de l’arrêt mondial de l’économie, par la précipitation de centaines de millions de personnes dans le chômage endémique et la misère. Indéniablement, à la faveur de la pandémie du Covid-19 à la gestion sanitaire délibérément calamiteuse, le monde (occidental) a basculé de la démocratie formelle au totalitarisme réel. Que le contexte viral soit l’œuvre de la nature ou d’une main invisible d’un laboratoire, importe peu. Assurément, le virus existe. Les Etats s’en servent comme arme de terrorisation et de neutralisation des populations, aujourd’hui condamnées à vivre sous la terreur sanitaire pour les soigner de leur «maladive propension subversive», très virulente ces dernières années. Ainsi, le virus aura permis d’appliquer diligemment et intelligemment la stratégie de confinement, cette forme d’internement carcéral de la population mondiale, prémices à la militarisation de la société et à l’enrégimentement guerrier.

 

De surcroît, toutes les classes dirigeantes ont entrevu l’opportunité offerte par la pandémie, notamment la possibilité d’étriller les archaïques Constitutions, les libérales règles politiques et les lois sociales protectrices, devenues des entraves à la nouvelle gouvernance despotique dictée par la situation de crise économique systémique mondiale, vectrice de menaces d’explosions sociales. De manière générale, en période de crise instrumentalisée avec cynisme par les classes dominantes, l’état de nécessité exonère toutes les transgressions juridiques, toutes les illégalités politiques, toutes les violations des libertés, tous les crimes sociaux perpétrés contre la population par l’Etat.

Aujourd’hui, à la faveur de la crise sanitaire du Covid-19, au nom du prétendu sauvetage de la santé de la population, les gouvernants mutilent tous les droits politiques et sociaux de cette même population. Incontestablement, le monde est entré dans l’ère de la gouvernance par le terrorisme viral, devenu l’unique modalité d’administration totalitaire, indispensable aux classes possédantes dans cette période de récession économique travaillée par la recrudescence de la lutte des classes. En tout état de cause, la promptitude avec laquelle l’ensemble des Etats ont mis en œuvre leur stratégie contre-insurrectionnelle, matérialisée par les mesures de confinement et d’état de siège, les spécieuses prescriptions sanitaires comminatoires, révèle les intentions réelles de cette guerre sanitaire, menée non pas contre le virus mais contre toutes les réglementations politiques et sociales libres, contre toutes les institutions sociales et législations protectrices encore en vigueur ; en un mot, contre les peuples, les travailleurs, le prolétariat, dans le cadre de la reconfiguration despotique d’un nouvel ordre économique.

Si la pandémie finira par s’éteindre, en revanche toutes les lois liberticides et antisociales votées à l’occasion de cette crise sanitaire du Covid-19 s’implanteront définitivement dans le paysage politique et social de la société, désormais tailladée par la paupérisation absolue et garrottée par le pouvoir absolu du grand capital financier. Sans conteste, le Covid-19 aura été le prétexte à l’instauration d’une guerre contre-insurrectionnelle, menée par les Etats pour tenter de contenir les tempêtes subversives sociales provoquées par la récession économique. Au nom de la lutte contre le virus, il s’agit en vrai d’une guerre de classe contre l’ensemble des peuples, contre les travailleurs, leurs droits, leurs institutions, leurs protections sociales, mis en place depuis plus d’un siècle. Il s’agit ni plus ni moins d’un retour à la tyrannie de l’époque de la monarchie absolue, dépourvue d’institutions démocratiques, d’une volonté de démantèlement de toutes les règles de «l’Etat de droit», devenues inopérantes pour contenir la guerre de classes en germination, en fermentation.

Ainsi, nous vivons la fin d’un monde capitaliste, celui de la démocratie bourgeoise avec ses Parlements, son Etat de droit, ses pouvoirs législatifs désormais superflus car les lois et les mesures sont dictées directement par le pouvoir exécutif (ou plus exactement le grand capital), sans être ratifiées par les représentations nationales, autrement dit les Assemblées nationales. Nous assistons à la fin de la souveraineté du pouvoir judiciaire désormais dépouillée de son apparente et illusoire indépendance, à la mort de la liberté d’expression et de la presse, illustrée par la disparition des fonctions de contrepoids correctif démocratiques défendues par des instances de régulation libres, désormais menacées de disparition car encombrantes en période de guerre de classes. Cela dévoile également le caractère illusoire de la démocratie bourgeoise. En effet, la démocratie est la feuille de vigne derrière laquelle se dissimule la dictature du capital. Dans l’histoire, démocratie et dictature, deux modes de régulation politique au sein du même système de production capitaliste, se succèdent alternativement, au sein du même Etat, au gré des conjonctures économiques et sociales.

La stratégie appliquée à la faveur de la pandémie est avant tout une stratégie totalitaire de contre-insurrection pérenne. Elle ne tolère aucun contre-pouvoir, aucune opposition politique, aucune protestation sociale, aucune grève ouvrière, aucun parti révolutionnaire, aucun «citoyen» subversif, aucune voix discordante, aucune urne électorale, sinon l’urne funèbre des cadavres décimés par la répression ou la guerre, toutes deux appelées à se généraliser, à s’institutionnaliser, à occuper l’espace public déserté par la démocratie, la prospérité économique, le progrès social.

De manière globale, d’un point de vue géostratégique, dans cette période marquée par des tensions commerciales exacerbées, pour l’Occident l’infléchissement vers le totalitarisme moderne est motivé par deux raisons capitales. D’une part, pour une raison endogène, autrement dit pour des motivations de sécurité intérieure. En effet, pour affronter l’inéluctable subversion intérieure prévisible, provoquée par la dépression économique, l’Occident blinde son Etat, caporalise sa gouvernance. D’autre part, pour une raison exogène, autrement dit pour des mobiles impérialistes. Effectivement, pour préparer l’imminente guerre extérieure contre le nouvel ennemi nommément désigné, en l’espèce le dragon économique chinois, nouvelle puissance incontestable économique, l’Occident enrégimente sa population. Dans les deux cas, s’impose la militarisation de la société pour tout à la fois neutraliser et enrégimenter la population, pour transformer chaque «citoyen» en soldat dans la perspective de l’imminente conflagration militaire généralisée.

Ce n’est pas la première fois que l’Occident joue à l’apprenti sorcier. A de nombreuses reprises dans son histoire meurtrière, pour résoudre ses contradictions, il a activé des foyers de déstabilisation contagieuse létale. Il ne faut pas oublier que l’Europe moderne capitaliste est devenue une machine à produire de la destruction tous azimuts dès la fin du XVIIIe siècle, illustrée notamment par le processus de déshumanisation de ses habitants arrachés à leur société villageoise millénaire fondée sur la solidarité, destruction amplifiée par les deux guerres mondiales (le qualificatif «européennes» serait plus approprié), et les totalitarismes fascistes et staliniens (tous deux européens). De même, il ne faut pas oublier que l’Occident «civilisé» a été le laboratoire du terrorisme. Le terrorisme est une invention occidentale. En effet, le terrorisme aveugle comme la guerre génocidaire sont l’apanage des sociétés occidentales capitalistes. Avant de revêtir les oripeaux de l’islamisme fabriqués par ailleurs par les puissances impérialistes occidentales, le terrorisme s’est longtemps, de la Russie tsariste, en passant par la France de la IIIe République et des années 60, l’Italie, l’Allemagne, les Etats-Unis d’Amérique et l’Irlande du XXe siècle, les mouvements sionistes européens (ashkénazes) des années 1930-40, attifé du costume civilisé occidental.

Assurément, à la faveur de la pandémie du coronavirus, la fragilité du monde actuel apparaît avec netteté. L’enjeu socioéconomique et politique est autrement plus dangereux que le coronavirus. In fine, le bilan sera plus dramatique après la crise sanitaire et le confinement. Le nombre de morts attendu sera autrement plus important que celui du virus, morts occasionnés à la fois par les famines et les guerres.

Quoi qu’il en soit, la particularité de la crise économique actuelle, dévastatrice par son ampleur, outre le fait d’être présentée mensongèrement comme avoir été provoquée par le Covid-19 – pauvre virus, devenu le bouc émissaire providentiel, voir notre article publié sur Algeriepatriotique le 27 juillet 2020 – est d’apparaître comme totalement étrangère aux contradictions internes du capital. Cette mystification permet à l’Etat (de tous les Etats) de dissimuler les causes profondes de la crise, mais elle lui offre surtout une occasion inespérée de décréter, sous couvert de lutte contre la pandémie du Covid-19, des mesures liberticides, des recommandations coercitives, promulguées avec l’assentiment de la population tétanisée par la terreur virale distillée par les médias inféodés aux puissants. Tout se passe comme si, avant la survenue de l’épidémie, le monde capitaliste filait le parfait amour avec la croissance économique, le plein emploi, l’échange commercial pacifique, l’écoulement fluide des marchandises, la prospérité sociale. Tout allait bien dans le meilleur des mondes du système capitaliste.

En résumé, on vivait dans le capitalisme parfait, comme disaient autrefois les économistes libéraux. Puis, comme à l’époque des impuissantes sociétés primitives dominées par les forces de la nature, soudainement l’irruption d’un microscopique et invisible virus a totalement ébranlé la plus grande civilisation scientifique et technologique de l’histoire de l’humanité, le monde moderne capitaliste qui, soit dit au passage, dépense 2 000 milliards de dollars chaque année dans l’achat de l’armement pour combattre on ne sait quel ennemi «dans cette période censément de paix», mais est incapable d’aligner une armée de médecins et de personnels soignants dotés d’équipements sanitaires pour nous protéger d’un minuscule virus. Ainsi, sans l’envahissement du barbare virus, la civilisation capitaliste aurait poursuivi éternellement sa lune de miel avec la croissance, la prospérité, sa nature pacifique, humaniste, antiraciste, écologique.

Même un homme de Cro-Magnon ne croirait pas à cette supercherie sanitaire, escroquerie médicale, mystification médiatique, tromperie étatique.

M. K.

Comment (14)

    the stranger
    21 août 2020 - 18 h 58 min

    un plaisir de lire un article aussi enrichissant et tellement bien écrit et tellement réel maintenant on peut être d’accord ou pas mais ça donne a réfléchir sur l’avenir car un nouvel ordre mondial est entrain de se créer avec la complicité des états aux détriments des peuples et on assiste a une confiscation du peu de liberté pour cause de covid 19 il y qu’a voir ce couvre feu chez nous de 23 heures a 6 am qui ne veut absolument rien dire et qui surtout ne sert a rien sans parler des autres restrictions pour cause sanitaire

    hamaidi houari
    21 août 2020 - 17 h 14 min

    une fiction Covid19 2019 inspirée d’une réalité grippe espagnole 1919

    Anonyme
    21 août 2020 - 16 h 49 min

    en fait si vous vous replongez dans l’histoire de la grippe espagnole vous aurez la nette impression de revivre l’épidémie de 1919 en 2019 avec presque le même casting : chinois, italiens, américains (surtout), anglais, allemands, français … et le reste du monde avec cependant une distribution des un tantinet différente.

    Badre
    21 août 2020 - 15 h 42 min

    Un article captivant avec lexical à la dimension du journalisme de haut niveau.
    Un papier , dont la qualité d’analyse sera mis au banc des complotistes.
    Néanmoins il est factuel , car le monde une situation particulièrement tendue, comme décrit dans cet article .
    Je pense que le capitalise est à son paroxysme systémique , c’est pourquoi de grands bouleversements vont survenir et enfanteront dans la douleur un monstre qui enlisera l’humanité dans le chaos .
    L’arme de destruction massive , en l’occurence Le covid 19 est fomentée dans cette perspective d’aplanir le monde , afin de le réduire dans sa démographie et asservir ce qui en restera .
    D’ailleurs même le supposé antidote ( le vaccin ) est prêt à l’emploi , néanmoins quelques retouches législatives pour le rendre obligatoires aux populations .
    Quant aux populations du tiers monde , leur destinée est scellée .
    En effet une led apôtres du nouvel ordre mondial ont bien ouvert les hostilités contre les peuples ….
    Merci pour l’article , c’est un éveil des consciences

    Les Rois-Rages
    21 août 2020 - 13 h 34 min

    OUI!
    Tout bien réflechi j’en arrive à la conclusion que ce virus était prévu.
    – Raison principale c’est ————–Anti-Chine————— (Mais bravo Beijing ! belles réactions) – Même pas peur !
    – ensuite l’occasion faisant le larron on en profite pour alléger les inutiles (agés) car non programmables et ayant du recul face au passé (arnaques) depuis la 2eme guerre mondiale.
    – A l’heure actuelle on répete, on martèle, mais rien ne prouve vraiment que le virus provient de Chine !
    – On en profite pour secouer fort les systèmes en sachant où on doit aboutir : mainmise.
    – Racket des Rois pétroliers et assimilés.
    – Tentative de docilisations des masses.
    – voir ***
    – Bradage puis acquisition de sociétés entreprises
    – Mouvements financiers
    – Echec de dépopulation des SUDistes…coriaces.
    – Interdiction de médics salvateurs (paracetamol,chloro…)
    – Confiner- déconfiner-reconfiner puis culpabiliser.
    – En France exemple, 10 masks jetables 5€ à 7€ meme si c’est un par jour (ridicule) ca revient plus cher que le pain hebdo.
    – des mois pour obtenir ses masques à l’éfficacité plus que douteuse (pas pratique)
    – Médias tournent en boucle (7 mois) avec les memes mot « Masque » « Confine »…et PUBLICITE ! Les intervenants Medecins xyz amis se font par webcam.
    – L’Europe sous perfusion ! bientôt CRAC.
    – L’Argent est versé aux banques et multinationales pas aux citoyens;
    – Les conflits bizarres avec ingérence se multiplient !
    – Dettes des gros qui ne seront JAMAIS payées (USA gouffre, UK +DE1000 MRD £? FR Enooorme !…)
    – Attention ce n’est que le lancement ! le Film n’a pas encore commencé .
    vous voulez la suite ?
    – juste un avant-goût alors !
    Vous croyez par exemple que Hisrael a vraiment besoin de la reconnaissance et de la servilité (roitelets) des pays arabes…pour annexer ou autre? NON !
    Le but est uniquement le coup de pied dans la fourmilière pour activer les guerres et neutraliser ainsi les pays ayant échappé au printemps-cauchemar arabe et l’Iran . Beau travail au moindre coût avec l’Oncle qui se frotte les mains.
    Voilà le moyen-orient est pris.
    L’Afrique à Pantins de Fafa ? quelques groupes bien guidés et l’affaire est dans le sac, surtout avec les infiltrés de son larbin.
    (LA OU VOUS VOYEZ LE SERVITEUR DE FR ESSAYER DE S’APPROCHER ou proposer des projets « cedeao, Mali, Libye, les 5, UA… » VOYEZ DERRIERE, LES PLANS DIABOLIQUES DE SON MAITRE ! ) vous serez le dindon!
    – SANCTIONS = PILLAGES !
    Seule solution : révolte des pays sous sanctions ! remise en cause de l’ONU(sa) and Co aspirateurs de fric.
    et pour les consentants colonisés du Sud, c’est les peuples qui ont la clef : Virer le malin et ses marionettes !
    ***Conclusion : Les machines remplacent l’homme, la terre est surpeuplée, les états doivent assister leurs pauvres donc devenus inutiles, la selection a commencé !
    Un jeune est plus facile à programmer pour accepter le monde qu’ils veulent offrir : Hommes robots, actions contre-nature devenues modèle, infertilité (perturbateurs…) et unions entre même sexc, séparation des couples…Idolâtrie des « stars » et le FATICAN n’est pas contrte eux!
    Parceque les guerres qui tuent des millions ne se font plus.
    PREPAREZ vous donc au prochain coup qui ne fera pas de détails !
    Ce qu’ils n’ont pas vu venir, c’est que les Russes, Chinois…eux, ont compris : Trouver vite un VRAI vaccin, car celui qu’ILS devaient nous proposer , je vous laisse deviner !
    Avant de macher un « aliment » veillez à bien reflechir (tracabilité des composants).

      Anonyme
      21 août 2020 - 16 h 42 min

      Savez vous que la création de L organisation des nations unis ( ONU) est une idée de Mme Rothchild?
      Le reste on sait maintenant pourquoi !!!
      ( source: documentaire sur la Palestine sur la chaîne Arte)

    Anonyme
    21 août 2020 - 12 h 29 min

    Un grand bravo à tous ceux qui ont réussi à déchiffrer cet article!! Ce n’est malheureusement pas mon cas

      Intuitu Personnae
      21 août 2020 - 12 h 49 min

      Article LUMINEUX et BRILLANTISSIME ! Très pédagogique. Merci Mr. Mesloub Khider. Je vous découvre car ça m’instruit. Merci infiniment.

    Belveder
    21 août 2020 - 11 h 11 min

    je propose depuis le Temps que chaque contributeur sur «  »La théorie COVID » » passe un sejour dans une unité spécialisée dans cette pandémie Mondiale
    Les gosses qui crevent de faim de plus de 50ans en somalie au pakistan et ailleurs n ont pas attendu le covid
    les inégalités non plus..

      Anonyme
      21 août 2020 - 11 h 33 min

      Nous ne nions pas la présence du virus, nous déplorons son utilisation pour manipuler les masses populaires…
      Si on va dans les services traitant le cancer nous aurons les mêmes réactions…
      Aucune maladie n est begnine …
      Vous êtes le type même de personnes qu on a terrorisé !!!

        Mounia
        21 août 2020 - 12 h 51 min

        Vous êtes vous mêmes un virus qui nous terrorise par vos « remarques » insanes… de l’air !

          Anonyme
          21 août 2020 - 14 h 41 min

          Mounia, je n ai rien compris à votre commentaire…exprimez vous clairement !!!

        Belveder
        21 août 2020 - 18 h 26 min

        N est Manipulé que celui qui est «  »Manipulable » » Quand chez nous on en arrive a ce que des Péres de Famille rentrent dans le crane de leur enfants que le virus est «  »inventé «  » par ELHOUKOUMMA on aura tout vu..cela dis ailleurs dans le monde la parano des complotistes n est pas d aujourdhui..et je prefére étre incrédule et faire attention aux Miens..Vous vous le type méme du Planqué qui regarde les autres monter «  »Au front » » Amicalement

    Anonyme
    21 août 2020 - 10 h 32 min

    Texte magistral!!!
    L Algérie en est l exemple parfait de cette manipulation au niveau mondial!!!
    Si le terrorisme islamiste a prospéré c est que le terreau existait déjà, préparé depuis des années d abord par l arabisation de l école et la création de chaînes de télévision d endoctrinement salafiste et des frères musulmans.
    Notre pays aurait pu en échapper si nos dirigeants après l indépendance avaient été plus nationalistes et malins et ne s étaient pas laissés manipuler par Gamel Abdenasser et De Gaulle bien sûr qui lui a suggéré de créer un bloc arabe pour contrer le communisme et les velléités impérialistes des américains.
    Actuellement nos dirigeants font la même erreur ou utilise la même tactique pour rester au pouvoir ,il profite du virus pour asphyxier l économie et signer les lois pour réprimer au maximum la liberté individuelle ,le confinement tout azimut et la limitation de la circulation n ont pas pour finalité de protéger le citoyen mais plutôt d éviter qu il se soulève…
    Votre analyse est juste et il faut que les peuples se réveillent et prennent conscience de cette mascarade à l échelle mondiale .
    Ce n est pas le vaccin dont certains parlent qui va tuer des gens mais c est la faim pour des millions de personnes à travers le monde….

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