Consolidation des acquis des pillards ?

Abdelaziz règne
Bouteflika s'est servi de l'Algérie pour assouvir ses ambitions personnelles. D. R.

Par Mourad Benachenhou – Il est indispensable de revenir encore une fois sur la qualification des vingt années de règne d’Abdelaziz Bouteflika, le président «démissionné», mais non encore déchu, c’est-à-dire dépouillé officiellement et clairement de tous les privilèges, quels qu’ils soient, associés à ses anciennes fonctions étatiques. Il n’a jamais été au service d’une autre cause que la sienne et d’autres intérêts que les siens propres. Il a été loin d’avoir servi l’Algérie ou son peuple. Au contraire !

Bouteflika s’est servi de l’Algérie pour assouvir ses ambitions personnelles

A-t-on à le prouver par des arguments autres que la situation dans laquelle il a laissé le pays ? Pas besoin d’être une encyclopédie vivante pour constater qu’il a livré, en héritage aux dirigeants actuels, un pays en ruine, une société dans le désarroi, une économie au bord de l’effondrement, une diplomatie en déroute, une université forcée à l’autoconsommation de ses docteurs, et machine à entretenir la fuite des cerveaux, un désordre linguistique inextricable, une situation morale délétère, une classe politique parasite et marginalisée, des institutions étatiques supposées représenter la volonté populaires, mais réduites à la figuration servile humiliante, un sentiment national ébréché et violemment attaqué, etc.

Il n’y a pas de formules passe-partout pour sortir le pays de la déchéance

On pourrait, sans exagération, continuer sur des dizaines de pages cette liste des dommages, dont certains difficiles à corriger sans brutalité, si ce n’est violence.

Comment sortir le pays et la société de cette situation inextricable, qui n’est pas seulement le fait de l’ex-Président, mais également de ceux qui avaient les moyens légaux et extra-légaux de l’écarter du pouvoir, mais ont choisi la solution confortable de simplement le laisser briser vicieusement chaque os de ce pays, avant de finalement l’écarter, non par décision prise en toute réflexion, mais parce que le peuple algérien a décidé de mettre fin à cette mascarade en exprimant pacifiquement son rejet de ce mode de gouvernance ubuesque ?

Y-a-t-il des solutions miracles qui permettent de panser du jour au lendemain les multiples blessures visibles et invisibles causées à ce vaste corps qu’est la nation algérienne ? Existe-t-il quelque part une feuille de route détaillée traçant les étapes par lesquelles devrait passer le pays pour sortir de cet abyme dans lequel l’a jeté l’ex-Président, dont nombre de comparses et de complices sont frappés des foudres de la justice, tandis qu’il continue à jouir des privilèges et de la protection attachés à son ex-fonction ?

Qu’on ne se fasse aucune illusion. Il n’y a ni solution facile ni formule miraculeuse permettant de dépasser cette dangereuse situation et remettre le pays et sa société sur la voie du redressement et de la renaissance.

Invocations verbales volontaristes sans effets autres que sentimentaux

Les appels au patriotisme apparaissent comme de simples invocations dont l’efficacité ne dépasse la chaleur qui remplit le cœur quand il est fait appel à ce noble sentiment, qu’il est plus facile de susciter que d’asseoir sur des décisions et des actes concrets prouvant qu’il n’est pas un simple slogan sans contenu.

Il n’est nullement question ici de dévoiler un chemin sûr qui ferait passer ce pays de la situation désespérée dans laquelle il a été mis par l’ex-Président à une ère d’espoir et d’enthousiasme.

Nul, quelles que soient l’ampleur et la profondeur de son expertise, ne peut prétendre qu’il a découvert la formule secrète permettant de sortir «en une minute ou moins» le pays de cette crise multidimensionnelle. Il n’existe pas, non plus, dans la littérature politique, de «manuel du parfait gestionnaire de pays en crise». Il ne faut pas accorder trop de crédit aux différentes voix qui s’expriment à travers différents types de médias, et qui assurent soit avoir dans leur boîte à outils tous les instruments indispensables pour résoudre cette crise «en deux temps, trois mouvements», soit connaître le nom d’une «personnalité-miracle» capable de prendre la barre d’un pays en désarroi.

La prestidigitation ne fait pas partie des arts de la parfaite gouvernance. On ne peut donc pas blâmer les autorités actuelles pour ne pas avoir déjà conçu un programme exhaustif, cohérent et pratique de sortie de crise.

Le retour aux sentiers battus routiniers

Mais, de l’autre côté, on ne peut non plus manquer d’observer que ces autorités n’ont fait preuve ni d’un excès d’imagination ni d’un surcroît de courage politique dans l’exercice de leurs lourdes responsabilités politiques. Car, ce qu’on constate, c’est qu’elles ne sont pas sorties des sentiers battus, maintes fois suivis pour extirper le pays des tensions internes.

On voit, avec étonnement, se dérouler exactement la même démarche que celles répétées des dizaines de fois dans le passé, pour reprendre en main le pays, d’une élection présidentielle dont le candidat remplit toutes les conditions nécessaires pour une cooptation suivant des critères tenus secrets, en passant par un nouveau texte constitutionnel amendé, mais sans rupture avec le mode de rédaction en cercle fermé, sans oublier des élections nationales et locales, tout le reste étant égal, par ailleurs, et, évidemment, les remaniements ministériels à répétition d’autant plus aisés que les «ministres» sont cooptés et n’ont ni base politique, ni convictions idéologiques les rendant indispensables pour le maintien d’un équilibre politique entre différentes options. Telles des marionnettes, et quelles que soient leurs propres qualités personnelles intellectuelles ou morales, ils sont simplement jetés, quand, pour quelque raison que ce soit, on n’a plus besoin d’eux.

Il y a de la gesticulation, mais pas de mouvement. C’est-à-dire qu’on fait semblant de changer le mode de fonctionnement du système et le mode de gouvernance du pays sans y apporter quelque modification que ce soit. On feint répondre aux vœux de la population, ou de prendre au sérieux les principes de gouvernance qui définissent la transparence dans la gestion des affaires collectives, mais on refuse d’aller au fond du problème, c’est-à-dire le démantèlement du système politique de manière à laisser une nouvelle élite politique, émanant du peuple, émerger et prendre les rênes du pouvoir en rupture totale avec l’ancien système qui a prouvé, au-delà de tout doute, qu’il n’est plus capable d’assumer ses tâches.

Même la politique économique ne fait que renforcer le statu quo

On aurait cru que, nonobstant cette volonté de maintenir à tout prix un statu quo politique assurant la survie du système et de ses animateurs, le domaine économique, qui, d’apparence, ressortit uniquement de la sphère technique, comme se plaisent à l’affirmer des commentateurs savants, à longueur de colonnes de journaux et de débats dans les médias lourds, ferait l’objet d’une approche nouvelle, collant aux réalités nationales, et pas exclusivement un «copié-collé» importé «clefs en main», du résultat d’expériences de réformes économiques réussies, mais dans des contextes socio-historiques totalement différents du contexte «spécifiquement algérien».

Or, là aussi, on constate également la même volonté de statu quo et de refus de toucher aux distorsions économiques qu’a causées le système de distribution de la rente dont certains, minorité privilégiée, ont tiré plus profit que d’autres.

Il n’est question ni de revisiter les différents aspects de la politique économique passée, qui ont abouti à la quasi-mise en état de cessation du pays, à la destruction des faibles capacités de production industrielle, à l’accroissement du chômage dans les catégories les plus éduquées du pays, à l’accentuation de la dépendance du pays à l’égard de l’étranger dans le moindre détail de la vie du commun des Algériens, de la vaisselle, en passant par les ustensiles de cuisine, sans oublier les cadenas, le serrures, les vêtements, sans compter évidemment les produits alimentaires, des plus banals aux plus luxueux, y compris évidemment le chocolat, les petits fours, la glace à consommer, etc.

Une nouvelle classe de «milliardaires» subventionnée par l’Etat

On ne peut tout de même pas affirmer que les lois de la concurrence, à laquelle on croit fermement, aient donné aux prédateurs archi-milliardaires qui voient leurs noms reconnus dans la fameuse «liste Forbes» une âme d’entrepreneurs «sans peur et sans reproches, qui aient fait preuve d’un grand esprit de risque ou d’inventivité pour accroître le potentiel de production nationale.

Non contents de chevaucher les vagues de l’importation-importation, subventionnée par un taux de change surévalué du dinar, et par des taux d’intérêt débiteurs de loin inférieurs au taux d’inflation réel, que ne reflète pas du tout le taux d’inflation officiel, ces prédateurs ont fait de l’exportation illicite des devises provenant exclusivement des recettes d’hydrocarbures une part importante de leur «business plan». Ils ont collectionné les importations de produits de luxe, des voitures de grande marque, en passant par les yachts de plaisance, sans compter les ameublements et les vêtements signés.

Mais ils ont aussi accumulé des actifs en centaines de millions de dollars en biens immobiliers et en comptes bancaires profusément alimentés, dans les capitales les plus prestigieuses du monde, dont Alger ne fait évidemment pas partie.

Bref, ils ont accumulé des richesses de manière indue, sans ajouter, à y voir de près, un seul dinar à la capacité de production nationale ou à l’élévation du niveau de vie moyen de la population.

Une leçon de morale au lieu de mesures fermes de redressement ?

Au lieu d’examiner de plus près leurs sources d’enrichissement sans cause, voici que, non seulement, les autorités maintiennent en place tous les mécanismes qui ont permis cet enrichissement, dont l’Accord d’association avec l’Union européenne, mais qu’elles leurs garantissent également la consolidation du fruit de leur prédation, en les soumettant seulement à une leçon de morale, accompagnée d’appel à leur «patriotisme». Si ces prédateurs avaient le moindre sens du patriotisme, l’Algérie n’en serait pas à ce point de déchéance économique et sociale, et notre économie aurait la santé et la diversité de l’économie sud-coréenne au lieu de ressembler à l’économie du Népal, un des pays les plus pauvres du monde. Bref, même dans le domaine économique, on est dans le statu quo et dans la consolidation des «acquis» d’une classe d’entrepreneurs parasites, et dont il est prouvé maintenant qu’ils font, eux aussi, partie intégrante du système politique.

Le filet social : une subvention supplémentaire au profit des prédateurs

De l’autre côté, on constate de violentes et répétées attaques contre le système de filet social, sous le couvert d’équilibre des finances publiques, passant par la réduction de certains postes de dépenses destinés à assurer un minimum de décence dans la vie des couches les plus démunies de la population.

Il faut souligner qu’effectivement ce système de filet social comporte des faiblesses majeures, car il couvre même ceux qui n’ont en pas besoin, et dont le niveau de revenu est suffisant pour leur permettre de se passer de cette aide budgétaire. Mais, en même temps, dans les analyses de ce système, on met excessivement l’accent sur l’aspect budgétaire, qui, effectivement, prend d’autant plus d’importance que les finances publiques voient leurs ressources fiscales diminuées du fait du ralentissement des activités économiques entraîné par la pandémie et de la réduction du montant des recettes en provenance du secteur des hydrocarbures.

On oublie de mentionner que les plus gros bénéficiaires de ces subventions ne sont pas les salariés, mais les chefs d’entreprises privées, qui ont le plein contrôle de leurs prix et de leurs bénéfices, et dont le coût de leur main-d’œuvre, comme le coût des revendications syndicales, sont réduits par ces subventions. D’ailleurs, les plus puissants des prédateurs se payent le privilège d’interdire l’exercice du droit syndical à leurs travailleurs, droit pourtant reconnu par la Constitution.

Dans l’enrichissement de ces «milliardaires-minute», ces subventions participent pour une part importante, d’autant plus qu’elles s’accompagnent de la précarité de l’emploi, maintenant reconnue par la loi, et de la fraude répandue en matière de sous-déclaration de la main-d’œuvre utilisée et des obligations envers les différentes caisses sociales.

Faire rembourser par les prédateurs les subventions provenant du filet social

Il faut donc aller au-delà du simple aspect budgétaire du problème et probablement passer au crible fin la gestion des ressources humaines des plus gros employeurs privés, et leur imposer une contribution forfaitaire destinée au remboursement des subventions «salariales» que sont les mécanismes de soutien des prix, d’accès au logement social et à la médecine gratuite.

On ne peut pas mettre exclusivement en relief, dans la mise en place d’un système plus ciblé, les aspects budgétaires du problème.

On peut, au-delà des mesures de rattrapage imposées aux employeurs privés très bien concevoir des mécanismes de financement de système qui font appel à des taxes spécifiques frappant les plus riches de la population et les produits de luxe. Il ne s’agit nullement de poser le problème en termes d’équité ou de moralité, en arguant de la nécessité de répartir le poids de «sacrifices indispensables pour redresser l’économie», mais en termes exclusivement monétaires et comptables.

Les employeurs reçoivent des indues subventions par le biais de la prise en charge par l’Etat de certaines dépenses sociales, subventions qui réduisent d’autant les charges salariales et bloquent les revendications sociales. Ils doivent donc rendre à l’Etat une partie des indus bénéfices qu’ils ont obtenus grâce à ces subventions.

Il faut ajouter à ces observations l’opacité dans la tenue de la comptabilité des grosses entreprises privées, dont les propriétaires sont passés maîtres en fausses déclarations et en dissimulation d’activités, sous forme de ventes en gros sans facturations, de fausses facturations, de surévaluation des actifs pour l’obtention de crédits bancaires, de fraude au poids des produits ensachés ou autres vendus au grand public, de stockage illicite de produits subventionnés, etc. On en passe et des meilleures.

On montre du doigt le marchand à la sauvette et le secteur informel. Le problème, c’est que même les entrepreneurs qui exercent leurs activités au vu et au su de tout un chacun pratiquent de manière massive l’informel.

En fait, le gouffre financier des «prédateurs» est autrement plus important que le gouffre financier des entreprises publiques, qui, elles, sont tenues d’avoir une comptabilité rigoureuse, payent leurs salariés dans la transparence, gèrent leurs transactions commerciales en respect des lois, tiennent leur comptabilité de stock à jour, etc.

En conclusion

Il faut reconnaître que l’ex-Président déchu a laissé un lourd héritage aux autorités actuelles, et que le redressement du pays demandera non seulement du temps, mais également de l’imagination et de l’audace car il n’existe pas de formule toute prête pour gérer cette situation.

On constate, avec grand chagrin, que la crise multidimensionnelle que connaît le pays, du fait du mode de gouvernance imposé unilatéralement pendant deux décennies par l’ex-Président, n’a pas encore convaincu les autorités publiques à briser le statu quo institutionnel et politique et à changer de démarche.

Même la politique économique, qui, pourtant, ressortit de mesures d’ordre technique, et telle qu’annoncée, ne prend pas en charge les réformes de fond nécessaires pour redresser la barre.

Les leçons de morale, l’appel au patriotisme ne remplacent pas les mesures de politique économique indispensables pour permettre de briser le cercle vicieux dans lequel la rente pétrolière a emprisonné le pays.

La nouvelle classe des «prédateurs» créée pour servir de bouclier au système politique, et qui a bénéficié en premier chef de la distribution de la rente, se voit légitimer ses richesses, mal acquises, par la politique économique annoncée.

Le système de filet social n’est pas d’abord et avant tout un problème de bonne gestion de ressources budgétaires réduites, il doit être abordé dans sa dimension comptable microéconomique comme d’abord une subvention aux salaires ayant été une des sources de l’enrichissement de cette classe de prédateurs.

Toute réforme de ce système doit passer par la récupération auprès des employeurs privés, et sous forme fiscale, de cette subvention, qui s’est accompagnée de la violation du droit syndical, pourtant inscrit dans la Constitution.

Finalement, et il faut le répéter aussi souvent que nécessaire : l’ouverture économique, l’encouragement à l’entreprenariat privé, la privatisation ont échoué à donner à l’économie la dynamique dont elle a besoin pour réduire le chômage, mieux utiliser les ressources naturelles du pays, diminuer la terrible dépendance à l’égard de l’étranger.

La solution à la sortie de crise n’est pas encore plus de libéralisation, mais plus de rationalité et plus de transparence dans les activités du secteur privé, ce qui ne peut être obtenu que si sont prises des mesures fortes, tant sur le plan monétaire et fiscal que sur le plan des relations commerciales internationales, impliquant l’éventuelle dénonciation totale à l’Accord d’association avec l’Union européenne, accord déséquilibré sur le plan économique, et humiliant sur le plan politique.

M. B.

Ancien ministre de l’Economie

Comment (27)

    Anonyme
    11 janvier 2021 - 14 h 25 min

    La plus grande perte de l`Algérie est sa matière grise, ses cerveaux, ses millions de personnes instruites et surtout éduqués qui ont compris ou plutôt ne pouvaient continuer à vivre dans le chaos totale d`un pays sans état et sans autorité. Une Algérie de TAG 3ALA MAN TAG. Sois vous pillez comme tout le monde soit on vous écarte. Tous les gens intègres qui respectent les principes fondamentaux d`éducation ont fuient la mère patrie et on été respectueusement reçus ailleurs avec leurs enfants (bien éduqués aussi) pour grossir les rangs des pays développés. Qu`est ce qu`il est resté d`après vous …. juste des pillards (hacha li mayasthalche) entre eux qui veulent remonter le Tatanic Algérie du fond de la mer..(d) avec des slogans. Nos chouhadas ont il eu tord de nous offrir cet indépendance ? NOOON Monsieur …. C`est les traitres de la nation qui nous ont vendu et détruits et qui ne se sont jamais inquiétés …Coupez la tête à un ou deux pilleurs et plus personne ne volera un seul dinar à l`état.

    lhadi
    11 janvier 2021 - 13 h 01 min

    Je constate avec beaucoup d’inquiétude que le Président de la république, par manque d’audace et d’hauteur de vue, peine à installer un système politique qui épouse notre époque, à actionner une vision politique conforme au standard des sociétés dites développées, à mettre en oeuvre un projet de société en adéquation avec nos moeurs, notre culture, notre identité.

    Comment pouvons nous faire face à la complexité croissante des problèmes que le pays et les citoyens ont à affronter dans tous les domaines de la vie nationale et internationale si son empreinte sur la jeune nation algérienne, au demeurant, prête à libérer le meilleur d’elle même pour peu qu’on lui montre l’horizon d’un avenir meilleur, est inexistante.

    Tout en moi s’insurge contre cet état d’esprit qui voudrait qu’une nation comme la nôtre doive s’en remettre à ces maux si répandus qui s’appellent le fatalisme et la résignation

    Le chef de l’Etat, garant de tout ce qui fait l’histoire, le destin, l’âme de la nation, se doit de mettre l’accent sur une vigoureuse volonté de se démarquer de l’idéologie d’un autre temps et de la pratique du pouvoir d’un autre âge qui ont obéré tout développement d’un Etat fort, d’une république solide, d’une Algérie apaisée.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    sifa
    11 janvier 2021 - 9 h 25 min

    Excellent article

    karimdz
    10 janvier 2021 - 20 h 48 min

    Il ne faut pas tomber dans le pessimisme en encore moins être fataliste. C’est clair nous avons perdu du temps et de l argent avec le système des Bouteflika. Pour autant, il reste de la ressource, on a pas que du pétrole et du gaz, loin de la, et aussi des compétences humaines.

    Il y a surtout aujourd’hui une volonté de vouloir développer le pays et de garantir son indépendance économique et alimentaire. Cela passe par des réformes et cela s inscrit bien dans l agenda du Président Tebboune, certes bousculé par la pandémie du coronavirus.

    Il y a des pays qui sont partis de rien, et sont arrivés à un niveau de développement sans précédent. L Algérie possède de nombreux atouts, et je suis confiant dans l’avenir.

      Anonyme
      11 janvier 2021 - 0 h 03 min

      On a des compétences humaines oui, par centaines de milliers, mais…à l’étranger!! Ils ont fait le vide autour d’eux en poussant à l’exil toutes ces compétences. Ces
      Ceux qui vivent dans des démocraties n’accepteront jamais de repartir si le système politique ne change pas profondément

      Djamel
      11 janvier 2021 - 18 h 16 min

      Les cerveaux ont quitte le pays il y a belle lurette. Ils ne restent que les tubes digestifs.

    Algerien Pur Et Dur
    10 janvier 2021 - 18 h 03 min

    Que peut on dire de ces hommes qui se laissent angoisser par leur calvitie au point de friser le ridicule en se laissant pousser les cheveux assez long d’un cote pour ensuite se les plaquer sur le crane? Que peut on dire de ces hommes qui ne peuvent pas s’accepter telle que la nature voudrait qu’ils nous apparaissent. Vanite diraient certains? D’autres iraient jusqu’a suggerer une faiblesse de caractere. Dans le cas de Bouteflika (et de Donald Trump qui a recours au meme « stratageme ») je me rangerai plutot du cote du second groupe. Deux hommes qui partagent le meme art de la parlote sans substance et qui tous deux ont lamentablement echoue a la tete de leurs pays respectifs. La difference: Trump n’a dure que 4 ans avant d’etre mis a nu alors que notre hableur national (?) en a dure 20 grace au faux FLN d’apres 1962. L’Amerique est aussi un pays riche qui se relevera alors que notre Algerie est un pays avec enormement moins de moyens qui a encore ete plus apprauvie par un homme (?) qui l’a trahi dans tous les sens du terme et qui mettra donc beaucoup plus de temps a se relever. De plus, Trump, bien qu’en fin de parcours, risque un deuxieme « impeachment » d’ici peu rien que pour ternir son histoire alors que notre Bob le fambleur (?) est en train de se faire toujours soigner avec le peu de deniers publiques qui lui ont survecu alors que le chaab passe regulierement l’arme a gauche dans les mouroirs qui nous servent d’hopitaux, un autre de ses multiples echecs. Comme quoi il faut se mefier de ceux qui se couvrent le bourrichon de maniere aussi austentoire car cette tare peut en cacher bien d’autres beaucoup plus serieuses comme l’a si bien prouve Bouteflika. Pour que mon commentaire ne prete pas a equivoque surtout aupres de ceux qui exhibent une calvitie, je leur dirai que je suis l’un d’eux aussi mais je ne me suis jamais plaque des meches sur le crane meme quand mon coiffeur me l’a suggere. Au contraire je l’exhibe fierement comme le vieux combattant de la vie que je suis.

    Hmed hamou
    10 janvier 2021 - 17 h 08 min

    Parlons franchement et parlons vrai.
    Pour sortir le pays de sa d’échéance et sa décrépitude inéluctables , il n’y a pas trente-six solutions. Il ya une seule solution, très simple, prête à l’emploi et la moins chère qui soit. Que demander de plus au bon dieu !
    La solution se trouve dans l’histoire de l’équipe nationale de football. Et ce n’est pas de la caricature! Il suffit de considérer le parcours de l’équipe nationale et d’en tirer les enseignements.
    1.Avec des joueurs locaux (« formés localement) et des sélectionneurs locaux… Les résultats sont catastrophiques, malgré les moyens mis en œuvre ;
    2. Avec les des joueurs locaux et des sélectionneurs étrangers (même des pas mauvais) … Les résultats sont catastrophiques, et beaucoup d’argent dilapidé;
    3. Avec des joueurs de la diaspora (formés dans des écoles européennes de haut niveau) et des sélectionneurs locaux (même avec nos « meilleurs », nos choyoukh al moudaribine « ) … Les résultats sont catastrophiques, sans economiser pour autant le moindre sou;
    4. Avec des joueurs de la diaspora et un sélectionneur de la diaspora (formes dans les mêmes écoles, de haut niveau, que les joueurs) … Les résultats sont au rendez-vous, en un temps record, avec l’art et la manière !! Sans que cela ne coûte plus cher que les fois d’avant, bien au contraire! En plus du plaisir des yeux, le baume au cœur, tous des jeunes, beaux, compétents et sans complexe aucun ni à l’échelle mondiale qu’ils soient russes, américains ou autres; ni à l’échelle africaine, devant les crâneurs égyptiens devant lesquels d’ordinaire nous tremblons rien qu’en entendant leur nom en les croyant réellement « mère du monde »; héritage de notre école des mille et une nuits, dont nos jeunes de la diaspora sont épargnés !!

    Seulement, la question qui fâche, sommes-nous prêts à accepter cette solution facile et gratuite, pourtant la diaspora est issue de notre sein, de notre peuple, et surtout qu’elle est connue et reconnue pour son patriotisme et son sens du sacrifice qui ne date pas d’aujourd’hui!? Sommes nous prêts à sauver le pays, dans les faits, en dehors des slogans, des vœux pieux…
    Rien n’est moins sûr.
    À vrai dire, nos frères de la diaspora et leurs compétences, et leur attachement à la patrie (même sans rien attendre en retour) ,… On les regardent toujours avec méfiance comme des concurrents potentiels susceptibles de prendre nos places et nos privilèges même à la loyale, même par le mérite et les compétences ! Nos freres de la diaspora sont bons uniquement pour alimenter l’équipe nationale de bons joueurs (déjà prêts à l’emploi, déjà formés pour palier à notre médiocrité locale; ils sont de beaux arbres à aligner devant pour cacher notre forêt pas belle à voir ) pour permettre à la plèbe de chanter one two three…et pour briller sur les scènes étrangères le temps d’un match! En revanche, pour le reste, pour faire participer cette diaspora dans la gestion du pays, avec ses nombreux cadres de très haut niveaux et déjà prêts à l’emploi,… Ça, non! Certains, vont jusqu’à invoquer le danger pour la sécurité du pays ! Rien que ça. Et pour lui couper l’herbe sous le pied définitivement on est allé jusqu’à voter des lois, article 51 (si je ne me trompe) lui interdisant des postes stratégiques ! À vrai dire, la vraie raison, c’est pour permettre aux borgnes de demeurer toujours rois (sans concurrents et sans efforts) dans le royaume des aveugles !
    Pourtant, il ya quelques jours ouyahia parlait de tchipa ( de lingots d’or) que leurs offraient « leurs amis » du golf pour acheter des passes droits, pour des intérêts personnels, au détriment des intérêts du pays voire de sa sécurité !! Comme quoi le local n’est pas toujours gage de confiance et de patriotisme, compétences en moins!

    Autrement dit, aujourd’hui, on atteint un stade où ni le patriotisme (même le plus sincère qui soit), ni les prières (de tous nos saints), ni la volonté de tous les volontaires,…ne sortiront le pays de sa situation, dans la mesure où la volonté, le patriotisme,…ne suffiront pas ! Certes, Il faut du patriotisme, il faut de la volonté, il faut de la sincérité,… MAIS IL FAUT AUSSI ET AVANT TOUT DES COMPÉTENCES, or on les a pas! La volonté, la bonne foi, le patriotisme…SANS COMPÉTENCES à tous les niveaux c’est peine perdue voire ça risque même d’accélérer sa chute à cause des décisions et des actions inconsidérées (de « nif » désespéré) dont on ne mesure pas les conséquences ! Et pour le moment, dans l’urgence, oui, seule la diaspora peut remplir ce rôle. Pour peu qu’on lui en donne l’occasion, en lui faisant confiance sans entraves et non pas, on ramène des chevaux de course et on met à leur tête un âne; des chevaux de course et on acroche des boulet à leurs pattes…
    Moralité de l’histoire. La situation nécessite des solutions urgentes, des cadres compétents à tous les niveaux.or, ces cadres, qu’on le veuille ou pas, on ne les a pas. Il suffit de voir et d’entendre parler sur nos chaînes télé, toutes aussi médiocres, la crème de nos douctours, la crème de nos professors et la cremes de nos autres experts…pour s’en convaincre que c’est pas avec ceux-là qu’on va faire du beurre !! Et on a pas le temps ni les moyens d’en former d’autres en qualité et en nombre. Et c’est sûrement pas avec une école et un système scolaire hérité de cheikh al ghazali (qui a produit cheikh chemsou, dhina, bengrina,… ) et dont la meilleure de nos universités est classée 40ieme à l’échelle africaine, qu’on y arrivera. Ni dans trente ans ni dans trente mille ans et ce même avec tout le patriotisme, la volonté et les prières de tous les saints prieurs du vendredi, du samedi et même du dimanche.

      Lezarabe
      11 janvier 2021 - 14 h 45 min

      Tout a fait d’accord on a qu,a voir l,exemple d,Israel qui fait appel a ces cerveaux d,Europe et americains pour gerer les etablissements du pays.

    Cette photo ne doit plus exister
    10 janvier 2021 - 14 h 53 min

    Rien qu’à voir la photo de ce massacreur de l’Algérie on est malmenés à chaque apparition de cette image. Prière de nous éviter la tête de cet ex-déchu-président.

    Le Berbère
    10 janvier 2021 - 14 h 04 min

    Bouteflika s’est servi de l’Algérie pour assouvir ses ambitions personnelles, ahh s’il y avait que ça ! ..Il s’est servi de notre pays non seulement pour assouvir ses ambitions macabres mais aussi les ambition de son clan de l’Ouest..Il s’est vengé de nos chouhadas et de peuple algérien à travers l’instauration de l’arabe étant une langue officielle et gracié les hordes de terroristes en piétinant presque 10 ans de lutte antiterroriste et de sacrifice de nos forces de l’ordre ( militaires, policiers, gendarmes et paramilitaires) ..Pour moi , cet homme et père spirituel de la couture de l’impunité qui règne dans notre pays depuis plus de deux décennies et ça continue !

    Anonyme
    10 janvier 2021 - 13 h 23 min

    Quand je pense qu’une parti des impôts paye par les Algériens le maintienne en vie ce personage detestable cela me rend malade , il a fait énormément de mal a l’Algérie , maintenant ce qui est fait est fait on ne peut pas changer le passe mais on peut certainement preparer l’avenir et retenir la leçon pour que cela ne se reproduise plus jamais.

    Anonyme
    10 janvier 2021 - 13 h 02 min

    En désorganisant à l’extrême la société algérienne, ce personnage inqualifiable, dont le nom à lui seul donne la nausée, a fait des dégâts bien pires que ceux commis par le colonialisme, qui lui au moins a construit, certes pour les européens, mais ce qu’il a construit est resté sur place car il ne pouvait tout simplement pas l’emporter dans ses valises. Je termine par ces dilemmes : Où étaient les protecteurs de ce peuple sans défense pendant qu’on le dépeçait? Je doute fort que cette catastrophe soit l’œuvre des seules personnes se trouvant à El Harrach… ou peut-être même au Sheraton,  » Club de pins », qui sait? . C’EST UN SYSTÈME VOMI PAR TOUT LE PEUPLE QUI DOIT DÉGAGER!!!! Il n’ y a plus rien à attendre, lorsqu’on apprend QUE LE PREMIER MINISTRE D’UN PAYS CONTINENT COMME l’Algérie, le pays de BEN M’HIDI ET DU MILLION ET DEMI DE CHOUHADAS, REÇOIT DES LINGOTS D’OR DES BÉDOUINS….QU’IL REVEND AU MARCHE NOIR!!!????? C’EST LA PREUVE QUE TOUT EST FAUX!!!!! ET DONC YETN3OU GÂA!!!!!!!!!!!!!!!!!

    Omar
    10 janvier 2021 - 12 h 59 min

    Salam
    Merci pour cette petite analyse. Je vois que notre pays possède « d »éminents » économistes qui même propulsés aux commandes de l ‘Etat n’ont rien pu faire pour palier aux différents problèmes qui persistent à freiner l’ensemble de l’activité économique,. Depuis 1962, nous pataugeons sans jamais trouver le vrai modèle économique qui convient. Estimons-nous heureux d’avoir cette rente pétrolière mais qu’en est-il de l’industrialisation comme modèle de développement en Algérie ? Quelles industries industrialisantes seront alors retenues? ou pourquoi pas revenir à la terre comme les physiocrates. Je souhaite qu’un Pool de réflexion regroupant l’ensemble des économistes et autres sera créé dans un site Web et chacun pourra y participer.
    Je suis convaincu que des solutions existent il suffit de prendre cela au sérieux.
    Fraternellement : Omar

      Anonyme
      10 janvier 2021 - 14 h 25 min

      La solution c´est le travail honnete de tous. Ceci, meme désorganisé est plus rentable à l´Algérie qu´une organisation parfaite sans travail honnete. La vision viendra de soi.
      Il faut d´abord changer les mentalités héritées de la rente, moraliser les Algériens les responsabilser et leur faire prendre conscient qu´un pays se développent, parce que ses citoyens l´aiment concretement, par leur travail honnete et leur souci continu de l´élever au rend d´une nation respecté et respectable. C´est ca le vrai NIF!

    Pourquoi au lieu de chercher tout le temps,
    10 janvier 2021 - 12 h 30 min

    à remettre le couvercle sur la marmite, on ne laisse pas cette fois-ci les langues se délier comme commence de le faire Ouyahia ? D’ailleurs, on verra bientôt jusqu’où il pourra y aller comme ça !
    Certes, les choses se sont dégradées ses derniers 20 ans même le mal remonte à bien plus loin que ça !
    Pourquoi on ne laisse pas s’expliquer Bouteflika ? On a peur qu’il éclabousse beaucoup de monde à l’instar d’Ouyahia ? Si on veut sauver l’Algérie, il est temps de crever l’abcès. Car la main de l’étranger derrière laquelle un grand nombre a trouvé refuge s’avère une être une supercherie !

    Anonyme
    10 janvier 2021 - 12 h 06 min

    Monsieur, rappeler vous le discours de Sétif .., monsieur, les élections présidentielles de 2009, 2004 étaient gagnés par boutef haut la main. Certes des chiffres maquillés mais des millions d’Algériens ont voté pour lui.
    Ce que je voulais dire, nous avons les gouvernements que nous méritons

    elhadj
    10 janvier 2021 - 11 h 50 min

    une analyse parfaite de la situation dans laquelle se débat encore le pays qui semble être aux yeux de la société civile être figée malgré les promesses de changement et d amélioration des méthodes de gestion et la volonté verbale de redresser la barre. Cependant l on relève que les méthodes, les mentalités, le comportement des mêmes gestionnaires n ont guère favorablement évolués .mieux encore, la non maitrise de l importation de produits inutiles ou impropres à la consommation , les surfacturations l inflation ,la chute de la valeur du dinar, l érosion du pouvoir d achat du citoyen ont pris de l ampleur ce qui est un risque majeur qui pourrait porter atteinte à la paix et à la cohésion sociale .il est vrai que le citoyen est actuellement angoissé par cet immobilisme devant relancer l économie et le développement

    Brahms
    10 janvier 2021 - 11 h 13 min

    Le mettre au cachot serait la moindre des choses,

    Il s’est moqué du peuple algérien et de ses institutions. Il avait une dent contre l’Algérie depuis son éviction en 1978. Il nous a ensuite ramené les bédouins de la bédouinerie alors qu’ils avaient financé le terrorisme en Algérie pour ensuite, leur distribuer des pans entiers de l’économie algérienne.

    Regardez son visage moqueur, il pense que les algériens sont des c… et qu’ils ne méritent pas de vivre dignement.

    Il faudrait lui saisir tous ses biens qui sont en Suisse et le déchoir de la nationalité algérienne afin de le rendre apatride avant de le jeter au cachot pour ensuite l’expulser au Maroc ou chez ses copains de la bédouinerie.

    Anonyme
    10 janvier 2021 - 11 h 03 min

    le systeme politique engendré par l’ancien chef d’etat a non seulement organisé la corruption,le pillage et enfin la ruine du pays,mais plus grzve,,il a aussi plombée toute une societé, livrée aux charlatants de tout poil ..j’ai lu ici meme une déclaration d’un de ces illuminé,hissé au rang de « savant » par la plèbe,déclarant que certaines disciplines médicales,devaient etre exercées que par des hommes . cette déclaration,est passée comme une lettre a la poste !!!,ailleurs, elle aurait déclenché un scandale… ! et comme les imbéciles osent tout ,sans etre contredits,pourquoi, ne pas eténdre cette mesure a tout le corps médical ,comme les cardiologues,les ophtalmos etc , etc ! et se rendre tous chez merkel pour se soigner !

      LesJumelles
      11 janvier 2021 - 13 h 23 min

      « … le systeme politique engendré par l’ancien chef d’etat a non seulement … »

      Je reprend ce passage, le votre, pas pour vous faire un proces, mais illustrer comment le mal se porte bien. Je m’explique: Y a-T-IL BESOIN d’aller plus dans votre ou quelconque texte, que debut de texte de cette 1ere phrase? un petit … engendre un systeme politique !!!
      (…)

    Anonyme
    10 janvier 2021 - 9 h 13 min

    Merci monsieur Benachenhou pour ce texte sans langue de bois. Entièrement d’accord avec vous surtout quand vous dites « on refuse d’aller au fond du problème, c’est-à-dire le démantèlement du système politique de manière à laisser une nouvelle élite politique, émanant du peuple » sans ça, aucune réforme, aucun plan ne réussira.

    Erreur d’1 homme ou Faillite d’un Système ?
    10 janvier 2021 - 8 h 59 min

    Lorsqu’on lit la Liste des Echecs de La Période de Boutef, on se pose la Question:
    Une Homme Seul fut-il President peut- il infliger autant de Dégâts a un Pays sans aucune Reaction ou Consequences ?
    NON!
    Boutef a Tres bien Vu et Exploité les FAILLES d’un Système de Gouvernance RENTiER et Sans Contrôle Institutionnel ou populaires.
    Il en a été le REVELATEUR TRAGIQUE.
    Si on ne Traite pas les CAUSES PROFONDES, les memes DERIVES seront possibles a l’Avenir.
    On doit remplacer la CONFIANCE par le CONTRÔLE.

      Anonyme
      10 janvier 2021 - 10 h 51 min

      Le système de Bouteflika arrangeait beaucoup de monde. Des milliers ont en profité mais malheureusement il n’y a qu’une trentaine qui s’est retrouvée à El Harrach et sans rembourser un sou!! Le compte est très loin d’être bon…

        Belveder
        10 janvier 2021 - 14 h 09 min

        C est la premiere fois que je Lis un Post raisonné ..bravo a force de le répéter je pensais etre seul sur la place a penser ca
        je réctifie le millier en Millions

          Abdou mlt
          11 janvier 2021 - 1 h 00 min

          Comment repartir les sous qui restent.
          L’action simple en réponse à la complexité du problème. Un but, le plein emploi. Un morceau de pain pour tout le monde. Pas de brioche.
          Il faut segmenter le problème par type et prioriser LES ACTIONS. Faire une estimation ou identification des capacités personnelles par secteur recenser tous les moyens matériels disponibles par type industriel au niveau des wilayas
          et  national. Créer des pôles par domaines technologique pour déterminer ce qui peut être RÉALISÉ avec les équipements recensés.
          Il est urgent de réduire le volume des débats à un minimum nécessaire il faut passer à l’action ç.a.d concevoir et fabriquer. C’est l’emploi et le ventre plein et une vision positive sur l’avenir qui feront s’estomper le marasme.
          Le moteur tourne depuis 60ans mais nous n’avons jamais passé la première vitesse.
          C’est simple il faut laisser les personnes capables travailler.

      Oui le Système Boutef a eu des Tentacules
      10 janvier 2021 - 20 h 02 min

      Partout….
      Au niveau National, des Centaines de Milliers de
      RENTiERS Braqueurs de Banques Publiques ey Pseudo-Businessmans…
      Au niveau International, des Complices payes pour
      Promouvoir l’image du Systeme Boutef en échanges de l’abandon de souveraineté économique…entre autre .

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