La Banque mondiale énumère les quatre principaux risques pour l’Algérie

chômage Banque mondiale
La crise du chômage reste persistante en 2021. New Press

Par Mohamed K. – «Les perspectives économiques laissent présager une reprise fragile en 2021», indique le dernier Bulletin de conjoncture de la Banque mondiale, qui prône une accélération du rythme des réformes pour protéger l’économie algérienne. «En 2020, un double choc est venu s’ajouter aux difficultés économiques de l’Algérie, causé à la fois par la pandémie de Covid-19 et une forte chute des recettes issues des hydrocarbures», note le rapport de l’institution financière mondiale. «Si l’Algérie a montré des signes de reprise sur la seconde moitié de 2020, entreprises comme travailleurs ont été profondément touchés par la récession économique», relève le rapport.

«La baisse temporaire des prix internationaux du pétrole a détérioré plus encore le solde budgétaire, la disponibilité de la liquidité bancaire et le solde extérieur, malgré la dépréciation du dinar algérien. Le déficit budgétaire global s’est considérablement creusé en 2020, dans un contexte de forte baisse des recettes pétrolières et fiscales, et d’augmentation des dépenses budgétaires. La liquidité bancaire a diminué et la croissance du crédit s’est ralentie malgré des politiques d’assouplissement monétaire fortes de la part des autorités, sous l’effet de la chute des recettes extérieures, de la mobilisation des dépôts bancaires pour financer le déficit budgétaire global et du retrait de l’épargne bancaire par les particuliers», diagnostique la Banque mondiale.

«Les besoins de financement externe se sont accrus, conséquence du creusement du déficit de la balance courante. Les importations d’équipements et d’intrants dans la production nationale ont considérablement diminué avec la poursuite des politiques de réduction des importations visant à protéger les réserves en devises, qui sont tombées fin 2020 à environ 12,8 mois d’importations de biens et services», soulignent encore les auteurs du rapport, selon lesquels la durabilité de la «reprise fragile» prévue en 2021 «dépendra de l’accélération des réformes permettant de favoriser la croissance du secteur privé et de rétablir les équilibres macroéconomiques».

«Alors que l’économie algérienne devrait bénéficier du rebond de la production de gaz en 2021, la reprise dans les secteurs hors hydrocarbures devrait être lente et progressive», prévoit la Banque mondiale, qui estime que «les besoins de financements budgétaires et extérieurs resteront importants» et que ceux-ci «risquent de provoquer un retour au financement par la Banque d’Algérie afin de combler le déficit budgétaire, ainsi que la poursuite des politiques de réduction des importations, tandis que la dépréciation du taux de change devrait se poursuivre».

«Comme la hausse des dépenses publiques en 2021 devrait être de courte durée, et que les réserves en devises couvrent désormais moins d’un an d’importations, l’accélération des réformes visant à encourager le développement du secteur privé sera essentielle pour conduire la transformation structurelle de l’Algérie vers son indépendance des recettes provenant des hydrocarbures, et pour qu’elle s’engage sur la voie d’une croissance économique durable et inclusive», conseille l’institution de Bretton Woods. «Les principales sources de risque pour les perspectives économiques incluent la détérioration de la situation sanitaire, la reprise de la mobilisation sociale à grande échelle, des recettes en devises moins importantes que prévu et une réponse insuffisante du secteur privé au programme de réformes».

M. K.

Comment (21)

    chaoui40
    4 août 2021 - 8 h 12 min

    Pour faire des réserves de devises, il y a trois moyens :
    Ne plus rien acheter de l’extérieur autrement que par le troc.
    Permettre aux émigrés de grossir notre PIB.
    Vendre à l’étranger nos produits et services.

    Oublions dans l’immédiat la dernière solution, vu que nos propres ventres sonnent creux !

    La première solution est réalisable à condition de se doter d’une politique économique autarcique et nationaliste. Je l’ai dit ici mille fois : seul la mise en commun des biens de production nous permettra de survivre (nationaliser, au lieu de privatiser. La Chine est le parfait exemple, n’en déplaise aux pays capitalistes !)

    La seconde solution demande le respect de nos émigrés et une politique qui leur redonne la confiance dans notre gouvernement et nos institutions. Je rappelle que les émigrés entrent pour 30 % dans le PIB du Maroc. Sans eux, le roi aurait mangé l’herbe par les racines depuis longtemps …

    chaoui40
    4 août 2021 - 7 h 57 min

    Merci la Banque mondiale et le FMI se vous soucier de nous. Quand vos pays « riches » et « libéraux » seront moins endettés, on écoutera vos conseils !

    Asyar
    4 août 2021 - 6 h 15 min

    Banque Mondiale, Fond Monétaire International, Organisation des Nations pour leurs Unions , Organisation du Traité de l’Atlantique Nord, Organisation Mondiale de la Santé…
    Sans ordre ou dans le désordre, peut importe.
    Ne sont que des organisations affamées responsables du désordre organisé.

    Brahms
    3 août 2021 - 20 h 15 min

    Crise de liquidités en Algérie,

    Des longues file d’attente pour retirer 4 sous devant les bureaux de poste mais qui s’amuse à faire ça ?

    Il faut que les immigrés s’acquittent de la ZAKAT (AL MALH, AL FITHR) fassent des SADAKA, Achoura via le site MONEYGRAM, le prix du virement est dérisoire 3,99 € et pour le deuxième virement, vous avez moins
    20 % de réduction donc à 3,08 €. L’argent arrive en 2 minutes en Algérie (1clic).

    A ce titre, je connais des citoyens qui n’ont pas fait de SADAKA depuis au moins 10 ans. Vous additionnez 250 € par an fois 10 ans = 2500 € et vous envoyez cet argent à un nécessiteux en Algérie via Moneygram.

    Ainsi, la Banque BDL sera contente, elle recevra des euros lui permettant de financer l’économie nationale ou d’embaucher du personnel tandis que le destinataire sera aussi heureux car il recevra un bon pécule et le donneur d’argent sera vis à vis de Dieu en conformité avec sa religion et il recevra durant l’année des récompenses sans qu’il s’en rend compte.

    Mais, si vous êtes égoïste, hypocrite ne pensant qu’à vous même ou à votre petit confort, vous n’aurez aucune récompense, pire vous aurez des problèmes car vous n’aurez pas solder votre dette sociale de la Zakat, Sadaka, Achoura etc.. etc…vis à vis des nécessiteux.

    Regardez le pilote de Formule 1 (Schumacher) ne voulant que gagner, gagner sans faire des SADAKA, il y a plein d’exemple comme celui – là. Tout son argent est parti dans les hôpitaux (frais).

      chaoui40
      4 août 2021 - 8 h 01 min

      Il y a des nationaux qui roulent 4×4 intérieur cuir que 10 générations de nos valeureux émigrés n’arriveront jamais à se payer ! L’argent, il est plus en Algérie qu’à l’étranger … Les responsables de notre misère sont ceux qui ont fait fuir nos frères et soeurs (plus de 100 000 personnes éduquées, compétentes et prêtes à faire grandir le pays, rien qu’au Canada, d’après les statistiques). Pas l’inverse !

        Brahms
        4 août 2021 - 10 h 43 min

        A Chaoui40,

        En réponse, si vous raisonnez de la sorte, vous n’arriverez jamais à rien. Exemple : Jeff Bezos est riche alors je dois être jaloux de lui mais non.

        Dans tous les pays du monde, vous avez des gens qui profitent des autres ou d’un système dit faible pour s’enrichir puis se sauver.

        Faîtes votre devoir vis à vis de vos concitoyens et vous verrez cela ira beaucoup mieux mais si vous restez dans la polémique, ce sera parlote sur parlote sans jamais avancer.

        Il faut des actes du concret et non de la jalousie.

        Celui qui a 4/4 puissant aujourd’hui, peut – être que demain ou dans 6 mois, il mourra d’une grave maladie car il aura mangé le salaire, les primes et les indemnités des veuves, des orphelins, des chômeurs, des harragas etc.. etc..

        Vous savez, tout se paie en centuple dans la vie.

    Elephant Man
    3 août 2021 - 19 h 46 min

    Pour reprendre un lecteur d’AP @Ferial «on s’en fout du FMI et la banque mondiale, ce sont des prédateurs et rien d’autre».
    Je rajoute une bande de voleurs néocoloniaux qui ne parlent jamais de l’endettement des « grands » des pays dits riches qui ne respectent même pas les accords de Bretton Woods ….

      chaoui40
      4 août 2021 - 8 h 03 min

      Exact ! La planche à billet et le vol des réserves d’or n’étaient pas au programme de Bretton Woods. C’est avec ces deux armes que les USA dominent le monde …

    Anonyme
    3 août 2021 - 19 h 34 min

    S’il y a une cause fondamentale de la disgrace,l’arabisation est l’une des causes sinon la plus importante de toutes. De file en aiguille, pour cacher l’illégitimité on inflationne l’arabisation en la couplant à l’islamisme. Un cocktail arabislamique qui vous tourne la tete et regarde le monde par derriere..

    Les jeux des 3 cartes!
    3 août 2021 - 18 h 07 min

    Vous confondez les problèmes!
    Un système économique est avant tout une convention entre citoyens sur un socle fondamental de valeurs. De ces valeurs on extrait des normes juridiques, qui font la constitution. Souvent plus vous avez de cohésion sociétale moins de lois dont vous avez besoin en aval.
    L’ économie est une branche des sciences sociales, si bien qu’on ne peut tricher sur un niveau de cette infrastructure sans discréditer le tout, comme dans les jeux d’ équilibre.
    L’ urgence pour le régime algérien est de trouver des solutions techniques pour venir à bout du manque de confiance qui mine à la base ce qui ressemble plus à une truffe, cycliquement le FMI est convoqué pour délivrer des  » aspirine, comme solution miraculeuse, qui pourrait faire gagner du temps à ceux qui veulent  » halaliser » le magot issu du vol des biens de tous. Disposer de ressources humaines n’est pas suffisant Sans adhésion et confiance entre État et peuple. On a feint de nous exhiber quelques arrestations de nababs, un vrai populisme de mauvais goût, dans la mesure où la totalité des capitaux que ces emprisonnements n’ atteindra pas les 30milliards $, Or les sommes siphonnées sont de l’ ordre d’ au moins 500milliards $! L’ illégitimité politique devient convertible en monnaie sonnante.

    Une relance Sans vérité ni justice, c’est l’ espoir de ce nouvel épisode, ce que le peuple a refusé au travers des dernières élections avaient largement boycotté, en kabylie c’est 100%, preuve que c’est plus profond que la simple  » gouvernance  » mais bien un changement qualitatif que le peuple exige.
    Sans confiance les empires écroulent, mais le régime compte sur la baraka comme antidote aux urnes. La mosquée d’ Alger devait jouer le rôle de catalyseur, mais la mèche était mouillée, donc pas de ceux d’ artifices, place au fait accompli, et la somme zéro, vendue comme orgueil arabe islamique conjuguée aux jeux de prestige est une tentation qui a eu mal à prendre forme. Comme les jeux des 3 cartes.

    Brahms
    3 août 2021 - 16 h 47 min

    Il faut envoyer des devises au pays,

    J’ai envoyé des virements via MONEYGRAM sans bouger de chez moi. Il est indiqué la transaction est approuvée et la personne peut retirer ses fonds à la BDL (Banque). Vous donnez un numéro de référence à la personne concernée et c’est bon.

    Sincèrement, j’appel la personne concernée, une voix cassée me réponds le matin, je lui dis, écoute va à la BDL car il y a de l’argent pour toi, un virement en ta faveur qui est arrivé en 2 minutes chrono. La personne pense que c’est une blague, je lui dis non vas y, prend ta pièce d’identité et donne le numéro de référence. Pour le rassurer, je lui adresse un sms avec le détail de la transaction.

    Il va à la BDL, on lui donne son argent et je lui dis qu’il en fasse un bon usage, course pour la maison et la viande, je lui conseille d’acheter des steaks et il me dit oui oui, j’y vais et j’entends merci beaucoup avec une voix très joyeuse.

    Il faut donc que chaque algérien ou algérienne agisse de la sorte. Imaginez un peu, 1 000 000 de citoyens font une transaction vers une personne qu’il connaisse en Algérie (un nom et un prénom suffisent) et vous donnez 350 € par exemple MONEYGRAM vous autorisant jusqu’à 8500 € par mois.

    Ce qui donnerait 1 000 000 x 350 € = 350 000 000 (350 millions d’euros) en 1 mois.

    Il n’y a que comme cela que l’on développe son pays, il n’ y a pas d’autres façons, chacun apporte sa pierre à l’édifice mais si vous allez au marché parallèle, vous enrichirez la Turquie, Dubaï, France, Chine et il n’y aura rien dans le pays.

      chaoui40
      4 août 2021 - 8 h 16 min

      Cher Brahms, avec Moneygram vous enrichissez vous-même la Chine (Alibaba) et tous les autres pays que vous avez cité, puisque votre gère achètera leurs produits … en Algérie !

        Brahms
        5 août 2021 - 18 h 26 min

        A Chaoui40

        En réponse, vous avez tout faux.
        MoneyGram est une entreprise américaine de transfert de fonds, basée à Dallas au Texas. Elle possède un centre d’opération à Saint Louis Park dans le Minnesota et des bureaux régionaux et locaux dans le monde entier. MoneyGram est une société anonyme par actions enregistrées sous le code mnémonique MGI. Les activités de MoneyGram sont divisées en deux catégories : les transferts de fonds internationaux et les produits financiers en papier. L’entreprise travaille avec des particuliers et des entreprises à travers un réseau d’agents et de clients d’institutions financières.

        MoneyGram est le deuxième plus grand fournisseur de transferts de fonds dans le monde. L’entreprise est présente dans plus de 200 pays avec un réseau international d’environ 347 000 agents.

        Enfin, les chinois transfèrent chaque semaine de Paris vers la Chine (1 million d’euros) via des collecteurs qui passent dans tous les commerces chinois.

        A méditer.

    Abou Stroff
    3 août 2021 - 15 h 59 min

    « La Banque mondiale énumère les quatre principaux risques pour l’Algérie » titre M. K..
    je pense que la banque mondiale est à côté de la plaque.
    les principaux risques énumérés par la banque mondiale ne représentent guère l’essence de la crise en algérie, bien au contraire. ces soi disant risques ne sont que de simples problèmes techniques dont la solution ne peut s’inscrire que dans le cadre d’une remise en cause intégrale d’un système particulier, i. e. le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation qui domine la formation sociale algérienne et qui nous réduit à des infrahumains..
    je persiste donc et signe: la crise en Algérie ne relève aucunement d’une problématique économique et/ou managériale qui serait dépassée par l’application de « recettes » avancées par des experts, fussent ils mondiaux. en effet, le système capitaliste auquel s’appliquent les dites recettes ne domine pas la formation sociale algérienne.
    par conséquent, les recettes ou les recommandations des experts en économie et/ou en management relèvent d’une forme d’onanisme aigu qui ne dit pas son nom.
    en Algérie, le système dominant est un système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation et tant qu’on n’aura pas compris que ce système est à la base du mouvement circulaire au sein duquel s’inscrit la formation sociale algérienne dans son ensemble, nous continuerons à appliquer une cautère sur une jambe de bois.
    en termes crus, ce que ne semble pas comprendre les augustes experts de la banque mondiale est que la crise en algérie ne peut point être dépassée si le système basé sur la distribution de la rente et la prédation tout azimut n’est pas dépassé. en d’autres termes, les chiffres et figures (les faits) que présente l’auguste institution sont totalement incompréhensibles et insaisissables s’ils ne sont pas insérés dans le tout (la formation sociale algérienne) qui, nécessairement, les éclaire.
    moralité de l’histoire: la marabunta qui nous gouverne (i. e. l’ensemble des couches sociales dont les intérêts reposent sur la pérennisation du système rentier) doit adorer la vision des choses et des phénomènes que développent la banque mondiale et ses experts attitrés.
    en effet, cette vision qui relève de l’économisme le plus plat ne remet pas en cause la système basé sur la distribution de la rente mais suggère de simples réaménagements pour lui garantir un futur « radieux ». la vie, n’est elle pas belle pour les rentiers du système?

    Anonyme
    3 août 2021 - 14 h 59 min

    Pourquoi, Port Said empeche les Algériens de travailler?
    Port Said n´est en rien dans les difficultés de l´Algérie mais bien les mauvaises habitudes de tricher dans son travail.
    Il n y a que le travail honnete qui rendra l´Algérie riche et sa population implicitement.

    Depoussierer les cerveaux!
    3 août 2021 - 11 h 51 min

    Le risque en Algerie est de brider et d’atrophier les cerveaux Algeriens, première matière première du pays. Il faut dépoussiérer les cerveaux de nos bureaucrates et technocrates, libérer les initiatives et cultiver l’esprit Entreprenarial. Le reste viendra de fait, arrêter de penser hydrocarbures, penser creation de richesse, retour sur investissement, miser sur les nouvelles technologies du future, renforcer l’éducation scolaire pour faire des citoyens ayant développés une vrai culture mondiale, internationale et un esprit critique. AVOIR UNE STRATEGIE, UNE VISION SUR 30-50 ANS, LES CERVEAUX PREMIÈRES MATIERES GRISES DU PAYS!!!! PAS GERER LE PAYS COMME UN EPICIER EN REGARDANT TOUT LES JOURS LES COURS DES HYDROCARBURES, LES RESERVES DE CHANGES ET LES IMPORTATIONS.

    Lecteur
    3 août 2021 - 11 h 28 min

    Tant qu’il y’aura un marché parallèle des devises (square) ou le tout n’est ni réglementé ni compté ni suivi , il faudrait mieux ne pas parler d’économie ni de perspectives.

      C'est au square justement
      3 août 2021 - 11 h 47 min

      C’est au square justement que même les centaines de milliers de mendiants étrangers (débarqués de la frontière sud) font le change de milliards de centimes algériens en dollars et l’argent converti est transféré aux illettrés gangs de leurs pays qui ont fait de l’Algérie une monstrueuse décharge publique, ceci en toute liberté à croire que l’Algérie n’a pas de frontières ni de responsables, les mendiants en provenance du sud défient les lois de la nation algérienne, c’est révoltant et la frontière de leur pays a été grandement ouverte à mi-juillet. Soyez les bienvenus les massacreurs horribles du pays.

        Elephant Man
        3 août 2021 - 20 h 04 min

        @C’est Au Square Justement
        Encore une ÉNIÈME fois qu’attend l’État Algérien pour expulser TOUS les clandestins d’où qu’ils viennent j’insiste et de surcroît TOUS les makhnaz et TOUS les naturalisés traîtres à la Patrie etc etc etc
        ALLAH YARHMEK SI EL HOUARI BOUMEDIENNE ALLAH YARHMEK KASDI MERBAH

          Merci
          4 août 2021 - 6 h 32 min

          C’est justement ce que l’état doit faire dans l’immédiat.

          Anonyme
          4 août 2021 - 6 h 38 min

          Récemment une importante délégation nigérienne est venue en Algérie pour demander de l’aide à l’Algérie, quel audace ont ces pays qui ne font rien pour enquêter sur leurs réseaux de banditisme qui dépouillent l’Algérie par tous les moyens et qui nous ramènent des maladies de toutes sortes.

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