Le prix Goncourt, le pseudo-intellectuel Kamel Daoud et l’anti-algérianisme

Kamel Daoud
Kamel Daoud, pseudo-intellectuel fabriqué par l'establishment politico-littéraire françasi. D. R.

Par Sid-Ahmed Ghoul(*) – L’anti-algérianisme se manifeste par des attitudes, des comportements et des discours hostiles envers l’Algérie et les Algériens. C’est un problème compliqué à multiples facettes, politiques, sociales et culturelles, dû, d’une part, à l’histoire complexe entre l’Algérie et d’autres pays, mais particulièrement entre la France et l’Algérie, en raison du poids de la colonisation, et, d’autre part, à l’incessante tension politique postcoloniale.

Contexte historique

La colonisation, faite de brutalité, de violence et de massacres, a donné naissance à une administration afin d’instaurer une domination par la discrimination d’un peuple, en lui imposent par la force une culture étrangère à la sienne et, de ce fait, procéder à sa christianisation. Ouassila Saadia a noté, dans son livre L’Algérie catholique du XIXe au XXe siècle, que «pendant cent trente ans, l’église catholique en Algérie fut un pilier du système colonial». Les Algériens étaient marginalisés et privés de leurs droits fondamentaux. Apres l’indépendance, les tensions persistent et sont mises en scène par le discours politique. Les Algériens issus d’immigrations sont associés à la délinquance et à la religion musulmane à travers le discours médiatique. Tout le livre de Thomas Deltombe, L’islam imaginaire, la construction médiatique de l’islamophobie en France, traite de ce sujet. Le processus électoral exploite les questions l’immigration et de la sécurité chères à l’extrême-droite pour influencer l’opinion publique.

Cette représentation stéréotypée et négative des Algériens véhiculée par les médias alimente une haine à tout ce qui est algérien et favorise ainsi l’islamophobie. Par conséquent, les Algériens vivent au quotidien des discriminations à l’emploi et au logement.

La polémique autour du foulard, du bikini de l’abaya et des produits halal, montre à quel point les médias les instrumentalisent au nom de la laïcité. Bien évidemment, c’est la laïcité des politiques et des journalistes qui contredit le sens originel de cette notion. Emile Poulat, historien et spécialiste de la laïcité en France, a raison de souligner qu’il existe une laïcité dans les têtes et une laïcité dans les textes.

Une réflexion et une discussion savante sur l’islam dans un cadre académique est légitime, mais le débat se fait dans un lobby médiatique non spécialisé. On est donc passé de l’islamophobie coloniale à l’islamophobie postcoloniale.

Kamel Daoud et le Goncourt de la honte

Que reste-t-il du Goncourt, le prix littéraire décerné auparavant à des auteurs de talent, tels que Proust, André Malraux, Marguerite Duras ou encore Amine Malouf ?

Cette question trouve tout son sens quand on voit que ce prix est entaché de scandales tout au long de son histoire. Rappelons-nous des petits arrangements des jurys dans la sélection du prix.

Goncourt 2021. En effet, le roman Les enfants de Cadillac de François Noudelmann fut sélectionné. Or, il se trouve que ce dernier est le compagnon de Camille Laurens, critique littéraire et membre du jury qui a certainement influencé la décision lors du vote. Elle va jusqu’à faire une critique virulente d’un autre roman concurrent, La carte postale d’Anne Berrest. «Elle a carrément assassiné l’une des candidates», remarque l’universitaire et spécialiste de l’histoire de l’édition Jean-Yves Mollier –

Exaspéré par ce scandale, Bernard Pivot affirme qu’«il est évident qu’en tant que président de l’académie Goncourt, je n’aurais pas accepté que le roman du mari ou de la femme, de l’amant de l’amante soit sur la liste».

Dans un article du New York Times, l’auteur se demande si «le Goncourt renoue avec les conflits d’intérêts».

L’attribution de ce prix à Kamel Daoud relance de nouveau le débat sur la crédibilité et la neutralité du choix des jurys. Nous pouvons affirmer sans hésitation que les intérêts politiques et diplomatiques priment sur les qualités littéraires du roman Houris. A cela s’ajoute l’histoire de saada Arbane, similaire à celle racontée dans le roman avec les moindres détails. Quelle coïncidence ! Si c’est le cas, Saada Arbane fut doublement victime. Victime du terrorisme et victime de Kamel Daoud. C’est le scandale Houris. C’est le Goncourt de la honte.

Certains journalistes français aiment à dire que le roman de Kamel Daoud est le premier à avoir abordé la «guerre civile» algérienne pour donner une importance à ce roman. Mais il se trouve que d’autres écrivains bien avant lui ont déjà brisé ce tabou. Christiane Chaulet-Achour, professeure de littérature comparée à l’université de Cergy Pontoise nous cite à titre non exhaustif quelques titres. «En 1997, Ghania Hammadou publie Le premier jour d’éternité […]. En 1998, Rose d’abîme d’Aïssa khelladi et Les amants démunis d’Anouar Ben Malek et quelques nouvelles de recueils de Maissa Bey dans Nouvelles d’Algérie. En 1999, L’insurrection des sauterelles de Hassan Bouabdallah, Les amants de Sheherazade de Salima Ghezali. En 2001, Imzad de Fatima Gourari. En 2002, La chair et le rodeur de Karima Bergeret, le roman de Malika Madi, Les silences de Médéa, en 2003. Je rajouterai que des travaux non romanesques ont également traité le sujet dit tabou de la décennie noire. En comparant, en sa qualité de critique littéraire, Christiane Achour conclue que le roman de Kamel Daoud «a de la difficulté à atteindre le statut d’œuvre littéraire majeure».

Par conséquent, il n’est ni le précurseur ni l’initiateur. Son roman trouve sa valeur dans la polémique qu’il a suscitée. Sa consécration politique n’est certainement pas une surprise pour Christiane Chaulet-Achour qui savait déjà que ce roman «aura certainement des prix mais pas pour des raisons littéraires».

Un éditeur français est également déçu par le niveau bas du roman. Il affirme : «Pour le roman Houris, j’en suis à la page 188 et, franchement, pas super écrit ni proche de la bonne littérature, ni du niveau de Goncourt.» Et de conclure : «Je suppose que ceux qui l’ont vraiment lu sont les membres de jury qui ont voté contre.»

Kamel Daoud a acquis sa notoriété pseudo-intellectuelle grâce à ses positions politiques. Il participe par ses écrits à l’anti-algérianisme de l’extrême-droite. Il reprend à son compte tous les thèmes d’Eric Zemmour et défend même le discours du Rassemblement national, qu’il considère comme «républicain», pourtant hostile aux immigrés et aux musulmans. Une lecture de ses chroniques publiées dans Le Point nous révèle sans peine son adhésion à cette idéologie islamophobe. Au moment où il s’attaque à La France Insoumise (LFI), en qualifiant Jean-Luc Mélenchon d’«auto hamassisé», de «cheikh Mélenchon» ou encore «les musulmans de France sont-ils les idiots utiles des insoumis ?», peut être que Kamel Daoud se considère indirectement comme l’idiot utile du Rassemblement national.

Kamel Daoud reprend donc les clichés traditionnels et classiques de l’orientaliste Samuel Huntington sur le choc des civilisations.

Il s’implique dans ladite histoire de Cologne quand la presse occidentale révèle que des centaines de femmes ont été violées par des migrants. Cela n’empêche pas Kamel Daoud d’écrire un article dans le journal Le Monde pour dénoncer et condamner ces actes imaginaires en stigmatisant les musulmans. La faute à qui ? L’islam. Mais il voit sa gloire s’effondrer lorsque l’écrivain Ahmed Bensaada publie son livre très documenté sur cette affaire, Cologne contre-enquête, démontrant que cette histoire est pure fabulation. Silence total de la presse française qui voyait en Kamel Daoud le défenseur des droits des femmes, alors qu’il a été condamné par la justice algérienne pour avoir battu violemment son ex-femme.

A l’occasion de la journée des violences faites aux femmes, le président Emmanuel Macron affirmait que sa priorité était la lutte contre cette violence, mais comment expliquer sa rencontre avec Kamel Daoud ? Jacques-Marie Bourget avait raison de dire avec ironie : «Si tu veux être sélectionné pour le prix Goncourt, cogne ton ex-femme.»

Maintenant que la «mafia» du Goncourt lui décerne ce prix à celui qui se voit plus français que les français, donc moins algérien que tous les Algériens, Kamel Daoud mène un combat par procuration. «Le Goncourt est devenu une arme politique contre l’Algérie et les Arabes», conclut Jacques-Marie Bourget. C’est le même constat fait par l’anthropologue Yazid Ben Hounet sur la fabulation de Kamel Daoud, qui «n’aurait toutefois pas pu se propager de la sorte sans l’apport de journalistes passe-plats, naïfs, ethnocentriques, arrogants et/ou qui dédaignent l’Algérie». Contrairement à d’autres intellectuels qui sont au service de leur pays, de leur identité et de leur culture.

L’intellectuel universel et l’engagement

Prenant le cas du philosophiste Bernard-Henri Levy. Il n’hésite pas à s’engager pour défendre les intérêts d’Israël. Il devient ministre bis de Nicolas Sarkozy et participe activement, pour son enquête, dit-il, au drame libyen. Invité par le CRIF, il déclara : «C’est en tant que juif que j’ai participé à cette aventure politique, que j’ai contribué à définir des fronts militants, que j’ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays une stratégie et des tactiques.» Et il ajoute même : «J’ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël.»

Il existe cependant des intellectuels sans frontières idéologiques ou religieuses. Des intellectuels engagés au nom de l’humain, qui sont en harmonie avec eux-mêmes et avec leurs principes.

«L’Algérie n’est pas la France» est le titre d’un article de Jean-Paul Sartre, figure incontournable de l’engagement des temps modernes contre la Guerre d’Algérie.

Dans son article «Le colonialisme est un système», le philosophe souligne que «le colonialisme refuse les droits de l’Homme à des hommes qu’il a soumis par la violence, qu’il maintient de force dans la misère et l’ignorance, donc, comme dirait Marx, en état de sous-humanité. Dans les faits eux-mêmes, dans les institutions, dans la nature des échanges et de la production, le racisme est inscrit.»

Dans un autre article, «Les somnambules», Sartre exprime encore une fois sa colère. «Il faut dire que la joie n’est pas de mise : depuis sept ans, la France est un chien fou qui traîne une casserole à sa queue et s’épouvante chaque jour un peu plus de son propre tintamarre. Personne n’ignore aujourd’hui que nous avons ruiné, affamé, massacré un peuple de pauvres pour qu’il tombe à genoux. Il est resté debout. Mais à quel prix !» (*)

Kamel Daoud peut-il avoir le même cri, la même colère, les mêmes mots et le même engagement pour le peuple palestinien dépourvu de tous ses droits ? Au contraire, il explique explicitement pourquoi il n’est pas solidaire de Gaza. Mais, au moment où il se désolidarise avec le peuple palestinien, il écrit une postface du livre Un pogrom au XXIe siècle, condamnant l’attaque du 7 octobre.

Parlons de Michel Foucault, un autre grand philosophe français qui, avec Sartre et Simone Weil, ont applaudi la révolution iranienne et se sont déplacés à Téhéran pour apporter leur soutien en sachant qu’ils ne sont ni perses, ni arabes, ni musulmans.

Michel Foucault, l’inventeur de l’intellectuel spécifique, ose écrire dans le quotidien italien Corriere della Sera, en parlant de cette révolution, ce qui suit : «C’est l’insurrection d’hommes aux mains nues qui veulent soulever le poids formidable qui pèse sur chacun de nous, mais plus particulièrement sur eux, ces laboureurs de pétrole, ces paysans aux frontières des empires. Le poids de l’ordre du monde entier. C’est peut-être la première grande insurrection contre les systèmes planétaires, la forme la plus moderne de la révolte et la plus folle.» Il va jusqu’à qualifier Khomeiny de «Saint homme exilé à Paris».

Kamel Daoud n’est ni un grand écrivain ni un intellectuel. Son engagement est pour la notoriété personnelle et l’argent, quand il fait tout pour avoir ce prix au détriment de son pays. Sartre, en intellectuel engagé et indépendant, rejette toutes les distinctions prestigieuses. Il refuse le prix Nobel, la Légion d’honneur et même la chaire au Collège de France.

«L’Algérie n’aime pas ses écrivains», dit-il. Quelle absurdité et quelle ingratitude venant d’un enfant du pays qui est né en Algérie, a fait ses études, a écrit tous ses romans en Algérie et sans être inquiété par le pouvoir en place ! Le voilà maintenant trahir ce que l’Algérie lui a offert.

L’Algérie aime les écrivains qui l’aiment. Lisons ces paroles de Yasmina Khadra, l’auteur le plus prolifique : «Vous avez vu ces coquilles qui sont collées aux baleines. Moi, je suis cette coquille qui est collée à l’Algérie. Et peut-être que le fait même d’aimer mon pays, c’est la raison aussi de mon exclusion, de ma disqualification par les institutions littéraires françaises. J’aime ce pays et peut-être qu’ils attendent de moi que je fasse ce qu’ils voudraient que je dise. Ça, ils ne l’auront jamais ! Ils ne l’auront jamais ! Je suis un homme digne. J’ai toujours été honnête même avec mes ennemis. Et tout ce que je sais, c’est que ça ne m’empêche pas de bien écrire et ça ne m’empêche pas de rayonner à travers le monde. Je suis aujourd’hui, malgré les exclusions en France, je suis quand même l’écrivain de langue française vivant le plus traduit au monde. Et c’est ça mon triomphe.»

S.-A. G.

(*) Sociologue et conférencier

Comment (25)

    La boucle est bouclée
    11 mars 2025 - 0 h 29 min

    Ce petit wistiti d’arrière train doit méditer sur le caractère unique de ses fautes et errements et devra bien entendu en assumer seul les conséquences comme personne morale et responsable.

    Green day
    10 mars 2025 - 23 h 58 min

    Ce misérable ver de terre à contribué à augmenté mon capital sympathie envers le président Teboune , nos institutions et l’ANP.

    Anti harkis
    10 mars 2025 - 23 h 47 min

    Quand il croisera marine le pen , elle refusera de lui serrer la main et c’est normal au fond car la raison d’être d’un harki est la trahison dès qu’il se sent en position de force donc dans l’obligation de le maintenir dans son rôle d’asservissement .

    Anonyme
    10 mars 2025 - 23 h 41 min

    Cette merdasse avec son français saccadée et vas y bon débarras et reste la bas en France . On à pas besoin d’un sale vicelard qui tabasse les femmes.

    Assia
    10 mars 2025 - 23 h 36 min

    Curieux qu’il n’ai pas encore remarqué sa condition de pestiferé au sein du club des sans honneurs et sans dignités mais bon , comme le dicte le proverbe qui se ressemblent s’assemblent .

    Cheyenne
    10 mars 2025 - 23 h 29 min

    Ses maîtres vont bientôt en avoir marre de cette gueule de cul terreux et lui donner des savonettes à l’eau de javel pour parfaire ce nouveau résident de la république taeh franssa , devoir faire la vaisselle , les poussières et plus tard une perruque de cheveux blonds dans la plus pure tradition de madame la marquise de Simone de Beauvoir . Aussi tondre la pelouse et préparer la popote .
    Le petit chien chien à sa mémère.

    Hamid
    5 mars 2025 - 16 h 42 min

    The french reward system is clearly designed to recognise any anti-algerian for their services for them , so this apparent heartlessness is the only pretext of deep-rooted hatred of our country by the right to demonise us, and the campaign has nothing to do with great works of Intellectuals because we all know that sandal and his friend are both cheap and docile with no genuine knowledge .That’s my view on these traitors . Bye ! May Allah bless our country ! Tahia Eldzair now and always ………….

    IZEM N'DJARDJAR
    5 mars 2025 - 11 h 22 min

    Non, mais vous avez vu un peu cette tête-là de BICOT qui se prend et qui se la joue, en plus, à la frangao ? INCROYABLE…..!!!

    Anonyme
    5 mars 2025 - 3 h 47 min

    La déchéance de nationalité existe en droit.
    Il serait bon de réfléchir à l’utilisation de cet instrument en attendant une refonte profondes du droit sur la question de la conservation de la nationalité algérienne en cas d’allégeance à un état tiers.

    Mohand N'NA
    4 mars 2025 - 17 h 35 min

    Que devons-nous attendre d’un HARKI….. FILS DE HARKI ? RIEN….. ABSOLUMENT RIEN !!! Un COMPLEXÉ fini qui a honte de lui-même et de ce qu’il est. Alors, il se dénigre et s’insulte à longueur de journée pour assouvir sa haine de l’ALGÉRIE et de l’ALGÉRIE croyant qu’en agissant de la sorte il sera « accepté » par les ENNEMIS DE L’ALGÉRIE. Pour toute réponse, je lui dis ceci : MONTE LÀ-DESSUS TU VERRAS MONTMARTRE……

    Lahouaria
    4 mars 2025 - 15 h 22 min

    Ce débile  » KD  » et son acolyte le taulard  » BS  » voudraient que les algériens restent des indigènes sous l’occupation de Fafa pour assouvir leurs fantasmes dangereux
    Quand je vois sa gueule, j’ai l’urticaire, on dire un diable personnifié.
    N’est-ce pas que l’Algérie se débarrasse de ce molosse. Bon débarras, ne retournez plus en Algérie , que l’État algérien lâche l’autre fossile calciné Mahroug la3dam.

    Anonyme
    4 mars 2025 - 6 h 50 min

    il ne vaut même pas un harki! honte ç lui sa bonne pute et qu’Allah le maudisse pour l’éternité.

      Waouh , rien que çà !!!
      4 mars 2025 - 13 h 43 min

      J’ai remarqué chez nous les algériens, dès qu’on ne peut pas personnellement châtier quelqu’un qui nous plait pas, on fait tout de suite appel à Allah pour le punir sévèrement là haut …. en l’enfer si possible !

      Je crois qu’au fond de lui, vu les sollicitations quotidiennes et toutes les minutes, d’une manière permanente de la part de millions et de millions de musulman pour lui demander de sévir et de sanctionner, Allah doit se sentir tout le temps dérangé ou même fatigué par ses demande alors qu’il a un gros travail difficile de surveillance du mouvement des planètes et du bon fonctionnement de l’Univers.

      Waouh rien que çà !!!!
      4 mars 2025 - 13 h 47 min

      J’ai remarqué avec nous les algériens, dès qu’on ne peut pas personnellement châtier ou punir nous même quelqu’un qui ne nous plait pas, on fait tout de suite appel à Allah pour le punir à notre place, et sévèrement là haut …. en l’enfer si possible !

      Je crois qu’au fond de lui, vu les sollicitations quotidiennes et toutes les minutes, de manière permanente de la part de millions et de millions de musulman pour lui demander de sévir et de sanctionner, Allah doit se sentir tout le temps dérangé ou même fatigué par ses demande alors qu’il a un gros travail difficile de surveillance du mouvement des planètes et du bon fonctionnement de l’Univers.

    Spess
    3 mars 2025 - 23 h 38 min

    On ne fait pas tomber un régime comme ils disent avec des soldats en 💩.

    Anti harkis
    3 mars 2025 - 23 h 36 min

    Le harki à cette particularité de le porter sur son visage in fine.

    Cheyenne
    3 mars 2025 - 23 h 33 min

    Il à vraiment l’air con sur toute les coutures ce te débile profond méconnaissable pour vercingetorix et ses semblables.
    Français parait il ou plutôt déjà assimilé comme l’autre bougnoul de zemmour .

    Anonyme
    3 mars 2025 - 22 h 59 min

    Cet Immense RIEN ne mérite pas que l on s en preoccupe autant si ce n’est pour suivre les progrès de la Plainte de sa victime au niveau de la Justice de Fafa .
    Un pitoyable parvenu qui s écorcherait Vif pour faire oublier à ses DIEU P’Tits blancs qu il n est qu un Zzzzzaaarrrrrabe à leurs yeux , finira comme tous les Bougnoules jetables après usage .

    Anonyme
    3 mars 2025 - 21 h 50 min

    Un blédard .

    Mohamed El Maadi
    3 mars 2025 - 21 h 19 min

    Dans les salons feutrés de la République, une comédie grotesque se joue, où les fossoyeurs de la pensée authentique paradent sous les ors de l’intelligentsia française. Au premier rang de cette farce tragique : les stratèges sionistes, véritables marionnettistes d’une islamophobie savamment distillée, qui orchestrent un théâtre d’ombres où se pavanent leurs pantins consentants.

    L’establishment sioniste, dans une chorégraphie machiavélique, a érigé une forteresse idéologique où l’islam est dépeint comme le grand Satan moderne. Leur obsession ? Étouffer dans l’œuf toute émergence d’une élite musulmane française susceptible d’ébranler leur mainmise sur l’échiquier diplomatique, particulièrement dans le dossier brûlant israélo-palestinien. La France, avec son précieux droit de veto au Conseil de sécurité, représente leur police d’assurance face aux caprices de la fidélité américaine.

    Dans ce grand cirque médiatique, Kamel Daoud incarne le parfait exemple du renégat professionnel, ce mercenaire de la plume dont la survie sociale dépend des miettes tombées des tables du pouvoir. Prisonnier volontaire d’une cage dorée, il personnifie le colonisé parfait : celui qui, dans un acte d’auto-flagellation permanent, crucifie sa propre culture sur l’autel d’une reconnaissance parisienne éphémère.

    Les « Algériens de service », ces Janissaires modernes, croupissent dans leur ghetto de luxe, enchaînés par leurs propres trahisons. Leur existence, aussi pathétique que lucrative, se résume à servir de caution morale à un système qui les méprise tout en les utilisant comme boucliers humains contre les accusations de racisme systémique.

    L’histoire de l’Algérie, pourtant, rayonne de figures littéraires authentiques, d’écrivains majeurs dont la plume, aussi acérée que digne, n’a jamais cédé aux sirènes de l’auto-dénigrement. Ces intellectuels d’envergure ont compris que leur pays dérangeait précisément parce qu’il refuse obstinément de revêtir l’habit de l’esclave, fût-il taillé dans le plus fin des tissus occidentaux. Leur défense de l’Algérie ne relevait pas d’un aveuglement patriotique, mais d’une lucidité implacable face aux mécanismes persistants de domination.

    La « haine de l’Algérien » qui suinte des écrits des renégats révèle un paradoxe psychologique saisissant : elle n’est que le reflet déformé d’une admiration inavouable, étouffée sous le poids d’un complexe de supériorité racial moribond. Aujourd’hui, l’Algérie force le respect sur la scène internationale, au point que certains ressortissants des pays voisins s’approprient l’identité algérienne en Europe, leur véritable nationalité étant devenue un fardeau trop lourd à assumer.

    L’arrogance de Daoud atteint des sommets vertigineux lorsqu’il ose, dans un délire mégalomaniaque, pontifier sur l’incompétence présumée des intellectuels algériens. Ce paon déplumé, qui parade dans les dîners mondains, n’est que l’expression la plus grotesque d’une caste de vassaux culturels, prêts à brader leur âme pour quelques hochements de tête approbateurs de leurs maîtres.

    Pendant que ces charlatans s’égosillent dans leur cage dorée, l’Algérie réelle, celle qui fait trembler les stratèges néocoloniaux, poursuit son ascension. Le Sahara algérien, joyau convoité, attire les regards admiratifs du monde entier, narguant les prophètes de malheur qui prédisaient son effondrement.

    L’algérianité, loin d’être un carcan, constitue un socle identitaire inébranlable, une fierté que seuls les esprits colonisés cherchent à renier. Ces « intellectuels » qui crachent dans la source qui les a abreuvés souffrent d’une pathologie mentale profonde, celle de la haine de soi. Leur dénigrement systématique n’est que le symptôme d’une faiblesse intérieure, d’une mentalité de colonisé qu’ils projettent sur leur pays d’origine.

    Les architectes de l’islamophobie découvrent avec effroi que leur stratagème s’effrite. La France, engloutie dans ses propres contradictions, ne peut plus servir de rempart à leurs ambitions hégémoniques. L’Algérie, tel un phénix renaissant des cendres coloniales, dispose désormais d’arsenaux diplomatiques et économiques qui font trembler les derniers nostalgiques de l’empire.

    Que les apprentis sorciers de la diplomatie française en prennent note : l’ère où l’on pouvait impunément instrumentaliser les conflits culturels est révolue. L’Algérie nouvelle se dresse, implacable, devant ceux qui rêvaient de perpétuer leur domination par vassaux interposés. Les fossoyeurs de la pensée libre, qu’ils soient manipulateurs sionistes ou leurs laquais musulmans, découvrent que leur château de cartes s’effondre, emportant dans sa chute leurs illusions de grandeur.

    La vérité éclate enfin au grand jour : l’islamophobie « intellectuelle » n’est que le masque hideux d’une stratégie géopolitique en déroute, où les Daoud et consorts ne sont que les bouffons tragiques d’une pièce dont le rideau tombe inexorablement. Pendant qu’ils s’agitent dans leur cage dorée, l’Algérie continue de se dresser, fière et indomptable, rappelant au monde que la dignité d’un peuple ne s’achète pas avec des hochements de tête complaisants ni des prix littéraires de complaisance. Les véritables intellectuels algériens, eux, continuent d’écrire l’histoire d’un pays qui refuse de courber l’échine, quand d’autres préfèrent monnayer leur âme dans les salons parisiens.

    Mongson
    3 mars 2025 - 21 h 10 min

    Pendant que nous les bi nationaux s’échignont sur les drames sociétaux et leurs répercussions des dossiers très lourd à l’image d’un pélicot, d’un Joël le scouarnec, l’affaire bhetaram . Daoud ne se prononce que sur des Algériens sans jamais évoquer les pires exactions des monstres des sociétés occidentales qui sont en majorité des whites. Le bon bwana d’intérieur comme le dirait un certain malcolm x..

    Les droits de l'homme en solde toute l'année
    3 mars 2025 - 20 h 59 min

    Accepter sans jamais rechigner de pourvoir à être l’arabe de service number one .

    si vous permettez de donner mon avis sur Kamel Daoud !!!
    3 mars 2025 - 20 h 34 min

    En ce qui me concerne, et çà n’engage que moi, je pense pour ma part que Kamel Daoud est un intellectuel, un romancier bien que je n’aime pas trop son style littéraire. C’est même un bon journaliste dans son genre et on l’a constaté avec ses chroniques journalières dans le Quotidien d’Oran où il parle de faits de société, de politique, de la sociologie algérienne, de la philosophie en général, et même de politique etc.. Bon ce n’est pas le top du top, mais çà se tient.

    Je pense aussi que Kamel Daoud n’est pas un anti algérien. C’est plutôt un anti islam, et encore pas un anti islam de nos aïeux, l’islam d’antan comme on dit mais contre l’islam politique et surtout l’islam rigoriste. Il pense que le Coran est plutôt liberticide, trop répressif. C’est peut être un jugement trop restrictif ou erroné, mais son avis.

    Il est aussi connu que Kamel Daoud a toujours critiqué l’Algérie pour son exploitation politique exagérée et répétée de la guerre de libération , à tel point qu’il dit qu’on a l’impression que l’Algérie n’a connu que cette période de l’histoire. C’est son opinion.

    Par contre, là où on peut dire qu’il est condamnable c’est à partir du moment où son roman fiction « Houris » a été basé apparemment d’une manière fidèle sur l’histoire dramatique vécue par la pauvre Saâda Arbane. C’est pour cela elle l’a poursuivi pour violation du secret médical et pour non-respect de la vie privée. Il est vrai que Saada a été suivi par l’épouse psychiatre de Kamel Daoud vrai. Mais la justice tranchera, et je pense très prochainement.

    Il y a quelques temps aussi Kamel Daoud avait déclaré qu’il ne se sent pas obligé de soutenir la Palestine au motif que c’est un pays arabe et musulman ! Pour lui, il s’agit plutôt de dénoncer le colonialisme israélien et pas plus. Mais il refuse de se ranger du côté de la Palestine parce que c’est un pays musulman. Là aussi, c’est son opinion d’ailleurs pas partagé de tout le monde, mais c’est son opinion.

    Chacun son point de vue, chacun son parti pris partisan, politique, philosophique et idéologique.

    Brahms
    3 mars 2025 - 19 h 26 min

    Il y a beaucoup de harki de ce type qui sortent du bois,

    Ils aiment la France car c’est la liberté, ils trainent les bars, les brasseries, vont aux putes comme s’ils allaient au restaurant, cercle de jeux, poker, pensant gagner des fortunes et crachent sur l’Algérie, son peuple, son histoire et minimisent les crimes coloniaux car ne cherchant qu’à leur confort personnel.

    Alors, pour se faire aimer par la France, ils crachent dans son sens comme les crapules de la chaine CNEWS. Ensuite, le jour où ils se font essorer par le système français, ils ne peuvent plus faire marche arrière et fuient au Maroc ou en Tunisie comme le vendu de Cheb Khaled, Faudel, Amar Saadani et plein d’autres encore.

    Pour finir, ce clown de Daoud n’a jamais payé 1 dinar d’impôt en Algérie par contre pour la France, il sera le premier à payer l’impôt pour se faire aimer, mais une tête d’africain restera toujours une tête d’africain.

    En clair, le français se méfiera toujours de lui car à la base, c’est un vendu capable de vendre son peuple, son pays et de fuir ses origines pour s’habiller d’une autre nationalité donc le français n’aime pas ce genre d’individu qui n’a pas d’âme, qui n’a pas de coffre et qui se vend comme une dévergondée.

    Bon vent, l’Algérie n’a guère besoin de lui, elle cherche des hommes.

    Lee Chung
    3 mars 2025 - 18 h 52 min

    Notre ami n’arrête pas de tirer sur la sonnette d’alarme dans les colonnes qu’il écrit dans le Point et
    dont je lis quelques lignes vite fait sur internet ( pas question de m’abonner pour lire un ringard écrivant dans un magazine ringard) : la civilisation occidentale est en danger parce que le barbu syrien a refusé de serrer la main de la ministre allemande qui fait du trampoline, l’architecture coloniale a Oran est en ruines ( il aime bien la jouer Oranais le mesraoui) . Heureusement que les dirigeants européens le connaissent et se contentent de lui jeter une cacahuète de temps en temps. Sinon,ils auraient déjà envahi la Syrie pour lui faire plaisir le jour de son anniversaire 🙂. Bref,nous remercions Dieu, créateur de tous ces ploucs pour nous faire sourire

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.