L’identité du sulfureux homme d’affaires marocain qui finance le MAK révélée

Mustapha Aziz
Mustapha Aziz, dit le docteur, finance le MAK. D. R.

Par Houari A. – Ce sont des opposants marocains au régime de Mohammed VI qui ont remonté la piste jusqu’au bailleur de fonds du MAK de Ferhat Mehenni, organisation classée terroriste par l’Algérie, mais dont les membres sont protégés par la France. Son nom : Mustapha Bouizid, dit Aziz. Sa fonction : intrigant homme d’affaires et «conseiller» auprès de chefs d’Etat africains – le Gabonais Omar Bongo et l’Ivoirien Laurent Gbagbo, entre autres. En clair : agent de la DGED. Se disant lui-même opposant au pouvoir au Maroc, ce Parisien vient de fonder un mouvement qu’il a appelé «Maroc de Demain». Dans le siège de sa (ses) société(s), ce délinquant financier dresse fièrement le portrait de son roi sur son bureau, ostensiblement exposé pour mieux affirmer sa loyauté au monarque, dont la justice l’a condamné à de la prison ferme pour mieux camoufler son activité d’espionnage.

Une recherche sur Internet nous apprend que ce sulfureux personnage a été exfiltré du Gabon où un mandat d’amener avait été livré à son encontre. On apprend également qu’au début des années 2000, il s’est mêlé d’un cas de prise d’otages français en Irak et qu’il avait actionné ses relais pour fourrer son nez dans une affaire d’Etat alors qu’il n’est pas censé occuper quelque fonction officielle ou officieuse qui lui en donne la qualité pour ce faire. Ce Mustapha Aziz a pourtant servi d’intermédiaire et fourni la logistique – notamment un avion emprunté au président ivoirien – à des sénateurs français qui s’étaient rendus à Bagdad pour tenter de négocier la libération des deux journalistes enlevés en Irak, Georges Malbrunot et Christian Chesnot.

Puis, une découverte compromettante qui confirme l’activisme pro-MAK de cet escroc marocain. En effet, des enquêtes de confrères français révèlent une proximité entre ce Mustapha Bouizid et le Franco-Israélien William Goldnadel, l’avocat qui vient de plaider la cause d’un des nervis du MAK dont l’Algérie a demandé l’extradition. Autre fréquentation hérétique du Marocain : Claude Guéant, ancien secrétaire général de l’Elysée et ancien ministre de l’Intérieur sous Nicolas Sarkozy, impliqué dans l’affaire des fonds libyens qui ont valu à l’ancien président une humiliante condamnation au port d’un bracelet électronique.

Le puzzle de la nébuleuse MAK à Paris s’est complété avec cette révélation, qui lève tout doute possible sur la compromission de Ferhat Mehenni et ses acolytes avec les services secrets marocains et israéliens.

H. A.

Comment (19)

    Azzeddine Sadki
    6 juin 2025 - 3 h 06 min

    Tout en respectant votre analyse de ce que dit ce criminel et de comment il s’agite, je voudrais apporter mon jugement personnel en toute objectivité, car j’ai combattu à plus grandes échelles cet escroc criminel depuis qu’il est rentré au Maroc.

    D’ailleurs, vous deviez savoir que ce criminel a été arrêté et emprisonné en Algérie en 1975 à cause de trafic d’armes qu’il voulait réussir avec le Polisario derrière le dos des services de feu kasdi Merbah.

    Depuis il n’a jamais plus pu rentrer au Maroc, car il avait pour cible un richissime homme d’affaires marocain au Gabon, dont la fortune s’élevait à 1,3 milliards euros. Il a inventé du faux pour amener le patron, malade à remettre en cause la fiabilité de son propre fils et de le mettre en prison.

    Croyez moi, cette photogénique avec le Mak c’est juste une image qu’il voulait produire, sans plus, d’ailleurs il n’a plus d’argent à donner, la justice française l’a jugé coupable dans le trafic d’un testament pour mettre main basse sur la fortune de l’homme d’affaires décédé, de saisir ses biens et comptes en France, au Maroc, il a été condamné à six ans pour des crimes qu’il commis, cet idiot a détruit une famille , son patrimoine, son passé et a marqué pour de bon son avenir.

    Le Gabon Aussi l’a condamné, il est quelque part oui, mais il n’est plus dans le somptueux appartement de la rue de Varenne, les impôts l’ont saisi et c’est même moi qui les avais informé de ses fausses déclarations.

    Et Franchement, vous avez vu comment il parle, de quoi il parle ? Vous croyez vraiment qu’il a le profil d’un grand gradé de la DGED ? Il a essayé d’escroquer tout le monde, l’argent de Satram Gabon et ses filiales lui a certes permis certaines rencontres, mais de là à vraiment lui donner l’importance d’instrumentaliser le MAK, c’est inapproprié. J’ai beaucoup écrit sur ce Criminel, et le retentissement de ce que j’écrivais en Afrique, en France et principalement en Afrique s’est retenti partout, mettez son nom Aziz Mostapha sur Google, associé à Sénégal, Macky Sall, Aussi des recherches justes sur nom ajoutant Mali pat exemple vous allez être servi.

    À votre avis, si cet escroc et trafiquant d’armes international n’est rentré au Maroc qu’en 2010/2011 , ce qu’écrivait à son propos la presse du monde et pire encore celle du Maroc serait passé inaperçu par la DGED pour miser sur lui ? Et en faire un grand manipulateur ?? Quand même personne ne peut faire d’un âne un cheval, tout le monde le sait

    Mohamed El Maadi
    26 mai 2025 - 17 h 29 min

    # *Algérie, souveraineté menacée : entre submersion migratoire, infiltration marocaine et guerre identitaire globale*

    À l’heure où le monde se recompose sous les coups de boutoir des crises économiques, climatiques et sécuritaires, l’Algérie émerge comme un pôle de stabilité relatif, de souveraineté affirmée, et de reconstruction silencieuse mais déterminée. Cette posture, loin de la protéger, en fait une cible : non plus par des armes visibles, mais par des moyens invisibles, insidieux et diffus.
    L’époque des conquêtes coloniales classiques est révolue. Désormais, les offensives s’opèrent par le biais de flux humains incontrôlés, de naturalisations opportunistes, de noyautages culturels et économiques. L’ennemi ne vient plus du dehors : il s’installe à l’intérieur, s’acclimate, tisse des réseaux, puis réclame des droits avant même d’assumer des devoirs.
    La question migratoire n’est donc pas qu’une affaire humanitaire ou administrative : elle est une **question de souveraineté, de survie historique et de continuité civilisationnelle**. Face à cette nouvelle donne, l’Algérie ne peut plus se permettre l’angélisme ou l’aveuglement.

    ### **I. Une démographie continentale explosive face à un État encore solide**

    Le continent africain s’apprête à connaître un bouleversement sans précédent. D’ici 2050, il comptera près de 2,5 milliards d’habitants. Dans certains pays sahéliens, la moitié de la population aura moins de 18 ans. La pression migratoire qui en découle est colossale, inédite, et déjà palpable.

    L’Europe, quant à elle, a fermé ses portes. Les murs se dressent, les bateaux sont repoussés, les frontières extérieures militarisées. Dans ce contexte, **l’Algérie devient mécaniquement une destination de repli, voire un objectif stratégique.**
    Les récits circulent, notamment dans les forums de jeunes Africains : *« l’Europe est finie, l’Algérie est la nouvelle porte »*. On y décrit Alger comme une capitale accessible, Oran comme une ville hospitalière, le Sud algérien comme une terre de transit où il est facile de disparaître.

    ### **II. La stratégie de submersion : naturalisations, mariages, clandestinité organisée**

    Ce ne sont plus quelques centaines, mais **plusieurs milliers de clandestins qui vivent aujourd’hui en Algérie**, souvent en toute impunité, parfois avec la complicité de réseaux mafieux organisés. Loin d’être un phénomène accidentel, cette présence devient une constante, un fait social, voire une stratégie.

    Les mariages mixtes servent souvent de cheval de Troie. La régularisation par alliance ne répond pas à un projet d’intégration mais à une logique d’appropriation.
    Ce phénomène est aggravé par un laxisme hérité d’une époque où l’État fermait les yeux, préférant l’image flatteuse d’une Algérie accueillante plutôt qu’un contrôle rigoureux des flux.

    ### **III. L’infiltration marocaine : l’arme de l’économie, le levier de la démographie**

    Le cas des clandestins marocains doit être traité à part. Il ne s’agit plus ici de misère ou d’exode mais d’un **projet délibéré et hostile.** Depuis des années, l’infiltration économique marocaine en Algérie a été documentée. Une étude de la Chambre de commerce au début des années 2010 avait révélé que **le nombre d’entreprises enregistrées par des ressortissants marocains était le plus élevé parmi les étrangers**, notamment dans les régions frontalières et commerciales.

    Cela ne relevait pas du hasard. Ce que le Maroc n’a pu obtenir par la force – notamment lors de la guerre des Sables et d’Amgala – il tente aujourd’hui de l’obtenir par **la ruse économique et l’installation progressive.**
    Le slogan « Khawa khawa », qui servait à masquer les tensions, n’a jamais été partagé sincèrement par un royaume qui nourrit, structurellement, une haine anti-algérienne dans ses manuels scolaires, ses séries télévisées, sa diplomatie et même sa diaspora.

    ### **IV. La normalisation avec Israël : un tournant stratégique et une ligne de fracture**

    La normalisation entre Rabat et Tel-Aviv est venue ajouter un **facteur de risque inédit.** En scellant un pacte sécuritaire avec Israël, le royaume marocain ne fait pas qu’un choix diplomatique : il s’aligne stratégiquement avec un État qui a historiquement combattu les souverainetés arabes et qui maîtrise l’ingénierie du contrôle intérieur.

    Dans ce nouveau paradigme, **l’infiltration migratoire peut devenir un relais du renseignement, un vecteur d’instabilité, voire un outil de manipulation sociale.** Certains agents naturalisés ou installés ont déjà été impliqués dans des affaires d’espionnage.

    Il serait naïf de croire que la population marocaine, élevée dès l’école à mépriser l’Algérie, pourrait servir de force modératrice. Le ressentiment territorial, le mythe du Grand Maroc, et la frustration diplomatique font d’une partie de cette population une caisse de résonance de la propagande makhzénienne.

    ### **V. Le cas du Koweït : préserver l’identité nationale n’est pas du racisme**

    D’autres nations ont compris l’enjeu. Le **Koweït, par exemple, a adopté une politique stricte de limitation des naturalisations**, réservées à des cas exceptionnels et soumises à des critères culturels, linguistiques et sécuritaires sévères. Il s’agit pour cet État de **préserver une identité minoritaire dans un océan humain instable.**

    L’Algérie, bien plus vaste et peuplée, devrait s’en inspirer, non par imitation mais par lucidité. Préserver le socle historique et mémoriel d’un peuple n’est pas du racisme : c’est de la **résistance identitaire**.

    ### **VI. L’arme migratoire dans le projet mondialiste : dilution, déracinement, uniformisation**

    L’immigration n’est plus seulement une conséquence : elle est devenue un **instrument politique au service d’un projet globaliste.** Celui de la dilution des peuples dans une masse indistincte, gérable, déracinée, sans mémoire ni résistance.

    Ce « citoyen universel », sans histoire propre, sans culture, sans passé glorieux, devient la figure idéale pour les architectes d’un monde unipolaire. À l’inverse, les peuples fiers de leur histoire, attachés à leur langue, à leurs martyrs, à leur indépendance, deviennent des obstacles à abattre.

    Le véritable objectif n’est donc pas seulement économique : il est **ontologique**. Rendre un peuple méconnaissable à lui-même, l’éparpiller dans des identités secondaires, le rendre suspect s’il revendique son algérianité.

    ### **VII. L’Algérie face à l’assaut silencieux : entre vigilance et législation**

    Il ne s’agit pas de rejeter l’autre, mais de **défendre le soi.** L’Algérie ne peut pas rester passive devant un phénomène qui vise, à terme, sa transformation interne.

    Les outils existent : réforme du code de la nationalité, encadrement strict des régularisations, audit de la population étrangère, coopération sécuritaire, suivi des flux économiques suspects, refonte du discours officiel sur la fraternité africaine.
    La solidarité ne peut se faire **au prix de la disparition**. L’humanisme n’est pas le suicide.

    **Conclusion : pour une doctrine algérienne de souveraineté démographique**

    Ce qui se joue aujourd’hui, ce n’est pas un simple problème de frontière ou de statut. C’est **une guerre d’usure civilisationnelle.** L’Algérie, qui n’a pas été vaincue militairement, risque d’être affaiblie de l’intérieur si elle ne pose pas, dès aujourd’hui, les fondations d’une doctrine de souveraineté démographique.

    Car le plus grand danger n’est pas l’envahisseur déclaré, mais **le passager clandestin devenu électeur, commerçant, relais, et bientôt acteur politique.**
    L’Histoire nous enseigne que les civilisations ne meurent pas toujours dans le fracas des armes : elles meurent souvent dans le brouhaha de l’oubli de soi.

    Safarat&Lastipol
    24 mai 2025 - 11 h 16 min

    Il faut étouffer toutes ces voix haineuses par une politique démontrant leurs maivaises intention et ça sans dédaigner personne. Les kabyles sont nos frères tout comme les mozabites, le tlemceniens ou autres. Il faut que chacun se sente algerien et personne ne peut se croire plus algeriens que les autres. Sinon on risque d’avoir d’autres Mhenni en plus.
    Il nous faut une nouvelle capital avec de nouvelles règles pour éviter que les postes soient occupés par le même groupe qui devenu de plus en plus grand au fil du temps.

    Business is business
    24 mai 2025 - 7 h 56 min

    les TRAÎTRES du MAK , RACHAD ou la BADISSIA prennent l’ARGENT des Investisseurs du MALHEUR et de la DESTRUCTION de Paris , Tel Aviv , Rabat , Dubai qui donnent a ces Larbins des Avances sur Recettes futures
    OK
    Sérieux Il reste encore des IDIOTS qui croient et qui ACHETENT la Tamazgha virtuelle , le discours victimaire , la transition bidon ou la nation arabe….

    Brahms
    24 mai 2025 - 6 h 25 min

    Il regarde de haut, il a le regard mauvais, il veut jouer à AL CAPONE.

    Encore un vendu, un branquignole, dommage que l’on a plu le crack Mr Houari Boumédiène, il manque énormément au pays pour liquider toutes ces vermines du Maroc ou d’ailleurs.

    Hubert Lyautey a mis le Maroc sous sa coupe depuis 1880 en endettant le Maroc et en 2025, le Maroc est toujours surendetté jusqu’au cou 70 milliards d’euros de dettes amenant la captation du Sahara occidental par la France qui veut se payer en y pompant les richesses naturelles.

    Anonyme
    23 mai 2025 - 18 h 50 min

    Le Mak ne représente en rien l’Amazighité de l’Algérie.

    AURES
    23 mai 2025 - 15 h 22 min

    JE SUIS SURPRIS ET RAVIE DES COMMENTAIRES sur Algériepatriotique notre pays est attaqué de toute part seulement certains kabyle suivant Ferhat Meni
    NE sont pas algerien car l’Algérie c’est la Kabylie nous somme algerien aucune division ne pourra créé une frontière entre l’est est l’ouest algérien nous COMBATTRONS nos ennemis jusqu’à la mort si il le faut vive l’Algérie

    Anonyme
    23 mai 2025 - 13 h 55 min

    Macron ne manquera jamais de el-ghobra. Le fournisseur est son ami.

    Brahms
    23 mai 2025 - 6 h 04 min

    (…)
    Cette vermine finance surement avec l’argent des stupéfiants, des escroqueries. Il devrait plutôt financer la pauvreté de son pays au lieu de perdre son temps et son argent dans son délire psychiatrique.

    (…)

    Sprinkler
    22 mai 2025 - 20 h 03 min

    Clone raté du soudard Bob DENARD, en babouches et djellaba, avec une tête à tenir quelque « maison de joie » de la grand-mère de Boualem SANSAL…Ainsi va la vie au royaume des songes et des mensonges, où le roi NARCO VI rêve éveillé de conquêtes et de Grand Maroc en coloriant des cartes de l’Afrique du Nord…

    La République du Rif Demain
    22 mai 2025 - 18 h 26 min

    Ce sujet marroki ce n’est qu’un vulgaire microbe pour l’Algerie. Si ce factotum makhzenien croit pouvoir nuire à l’Algerie en débourssant son argent ou celui de ses maîtres c’est qu’il est taré.

    Qu’attendons-nous pour encourager et soutenir la République du Rif, les républicains Rifains, dignes descendants de feu Abdelkrim El Khattabi, ont besoin de l’Algerie pour se débarrasser du régime mécréant makhzenien.

    Anonyme
    22 mai 2025 - 16 h 43 min

    Ce mekhnezien semble outil mais il a l’air d’un baron, tout repose sur la Satrammarine (voir photo) dont tout transit, le reste c’est des miettes aux autres.
    Nota bene : Satrammarine est basé à Casablanca sous forme juridique SOCIETE ANONYME (au moins deux).

    Kahina-DZ
    22 mai 2025 - 14 h 21 min

    Ce Faux docteur fonctionne sous les ordres du roitelet et de la France.

    un phénomène rare, ce «Maroc d'Hier»!
    22 mai 2025 - 13 h 35 min

    Où que cet individu aille, les services secrets de plusieurs pays le poursuivent; tous les agents frontaliers à l’aéroport sont choqués de scanner son passeport et de voir les voyants rouges «danger» clignoter sur leurs écrans d’ordinateur. En lisant des articles sur lui, on constate qu’il est glorifié par la presse gabonaise mais détesté par ses homologues marocains,… et il est Docteur sans diplôme!
    En france, la DGSE le connaît et ferme les yeux sur ses allées et venues (il fait partie de la famille).
    Comprenez-vous pourquoi tous les émirs islamistes criminels, les fugitifs du MAK, les voleurs et pyromanes algériens recherchés, les assassins d’Al-Qaïda, et les djihadistes assoiffés de sang voyagent librement en première classe sans crainte d’arrestation?
    Combien de personnes, comme ce Mustapha Bouizid, dit Aziz, ou pire sont protégées par le régime pourri de paris?
    Tous les pays condamnent et combattent les réseaux de trafic de drogue, à l’exception du royaume du hachisch du vicieux M6 et de la france.
    Combien d’hommes politiques français se sont déplacés en personne dans le royaume du haschisch entre avril 2024 et avril 2025 pour encaisser leurs primes en liquide, étant donné que les chèques ne sont plus acceptables?
    Reste-t-il encore, aujourd’hui, un seul politicard français qui ne trempe pas son doigt dans le pot de miel?

    Z
    22 mai 2025 - 12 h 49 min

    je suis de kabylie et il y a un moment deja que j avais compris le jeu malsain de ce mehenni qui se fout de la kabylie comme sa derniere chaussette ses connivences avec l entite et le maroc pour diviser l algerie et l affaiblir

    Dr Kelso
    22 mai 2025 - 12 h 44 min

    Rien de nouveau sous le soleil.
    Les terroristes du MAK ont leur QG à meknes chez la narco-terroriste-pédophile-monarchie où formation par le Mossad.
    Inutile de rappeler que la France refuse d’extrader ses terroristes du MAK sans OQTF zaâma…

    Abou Stroff
    22 mai 2025 - 9 h 45 min

    piusque l’identité du sulfureux homme d’affaires marocain qui finance le MAK vient d’être révélée, qu’attendent les autorités algériennes pour engager un djinn maléfique qui rencontrera, par hasard, le bonhomme, lui lira ses droits et l’enverra grignoter les pissenlits par la racine?

    quant à la compromission de Ferhat Mehenni et ses acolytes avec les services secrets marocains et israéliens, il pense qu’il est inutile de disserter sur la convergence d’intérêts entre l’impérailisme, le sionisme, le séparatisme et ……………….. l’islamisme.

    wa el fahem yefhem.

    Loupe
    22 mai 2025 - 9 h 28 min

    Derrière lui contre le mur Satram marine sis à Port-Gentil au Gabon, voilà un trabendiste avec un triangle sur le bureau, donc avec des relations occultes (les frères de la truelle? )internationales. C’est peut-être un gars (…)qui manipulent des serpents venimeux, n’approchez qu’avec prudence et circonspection.

    Anonyme
    22 mai 2025 - 9 h 13 min

    Les services secrets russes ont le mérite de beaucoup moins s’embarrasser…

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