Deux nouvelles élucubrations idiotes du «doublement aveugle» Xavier Driencourt

Xavier Driencourt
Xavier Driencourt n’existe médiatiquement que grâce à l’Algérie. D. R.

Par Kamel M. – Le plus algérophobe des Français, Xavier Driencourt, est revenu à la charge, ce mardi, dans un entretien à Sud Radio, pour présenter son dernier-né, France-Algérie : le double aveuglement. L’ancien ambassadeur à Alger, outre ses déclarations pléonastiques et redondantes, son disque étant rayé jusqu’à l’usure, a rajouté à sa collection d’idioties deux nouvelles élucubrations complètement surréalistes.

Selon lui, en effet, la date du 24 juin, choisie par le «pouvoir algérien» pour trancher dans l’affaire de Boualem Sansal, est symptomatique de décisions politiques qu’Alger pourrait prendre à l’occasion de la fête nationale du 5 Juillet, une date, comme il l’a dit, proche de celle du verdict qui sera prononcé dans le procès en appel de son ami, dont la mort en prison mettrait le «régime algérien» dans une grande gêne (sic). Xavier Driencourt pense que le président Tebboune pourrait soit accorder une grâce à Boualem Sansal à l’occasion de la célébration du Jour de l’Indépendance, soit faire un geste extrême qui consisterait en l’annonce d’une rupture totale des relations avec la France.

S’agissant de la première hypothèse, le diplomate à la retraite estime que l’Algérie réclamerait, en contrepartie d’une libération du pseudo-écrivain pro-marocain incarcéré à la prison de Koléa, un abandon par la France de toute velléité de dénoncer les accords de 1968 auxquels, nous apprend-il sans ciller, l’Algérie tient absolument (sic). L’autre dividende que l’Algérie glanerait en renvoyant Sansal chez les siens dans sa mère patrie serait un soutien de Paris à Alger dans la renégociation des Accords d’association avec l’Union européenne. La France plaiderait, alors, la cause d’un «régime algérien qui ne connaît que le rapport de force».

En tenant tête à l’ancienne puissance coloniale, l’Algérie ne fait pas preuve de dignité et de fermeté en exigeant d’elle une reconnaissance et des excuses pour les crimes contre l’humanité qu’elle y a commis pendant près d’un siècle et demi, mais elle agit par «calcul politicien», pour «se construire une légitimité». «C’est un peu le propre des régimes faibles», a persisté et signé ce Français, issu d’un pays, dont son bambin de chef d’Etat vient de se faire maraver par son épouse au vu et au su de tous, en pleine visite officielle au Vietnam.

De quel honneur et de quelle grandeur ce diplomate d’un Etat dirigé par un pitchoun peut-il encore se prévaloir ? Pathétique !

K. M.

Comment (51)

    Bouziane Al Kalii
    31 mai 2025 - 17 h 19 min

    Vous ne ferez jamais un cheval de course à partir d’un âne !

    Achour Bachir
    30 mai 2025 - 14 h 43 min

    Le communiqué de l’Agence Presse Services (APS) traduit avec justesse la posture ferme, lucide et souveraine de l’Algérie face aux manœuvres déloyales et aux menaces même pas voilées du régime français. Dans une période où Paris, embarrassé par ses échecs diplomatiques en Afrique et hanté par la perte de son influence stratégique, semble s’engager dans une diplomatie de provocation et de chantage, la réponse algérienne se distingue par sa dignité, sa maîtrise et sa haute tenue républicaine.
    Une diplomatie française en dérive : l’amateurisme érigé en méthode. Les menaces agitées par certains cercles du pouvoir français — suppression de l’accord de 1968, gel des avoirs, pression sur les visas ou les échanges — relèvent d’un niveau affligeant d’amateurisme diplomatique. Pensant contraindre l’Algérie à revenir à une table de dialogue imposée unilatéralement, ces tactiques rappellent davantage les réflexes coloniaux que l’art du dialogue entre États souverains. Plutôt que de bâtir une relation fondée sur le respect mutuel et la reconnaissance des responsabilités historiques, la France semble préférer la stratégie du coup de menton, croyant qu’à coups d’injonctions, elle pourra faire plier un État comme l’Algérie, dont l’histoire a été forgée dans la résistance et la souveraineté conquise au prix du sang. Messieurs les nostalgiques de la colonisation, l’Algérie nouvelle n’est plus cette terre asservie d’autrefois, et même pas si longtemps que ça, que vous exploitiez impunément, tel un réservoir inépuisable au service de vos intérêts et de vos caprices.
    La réponse algérienne : froide, ferme et profondément républicaine. Dans ce contexte, la réplique des autorités algériennes — « Après vous Mesdames et Messieurs, n’hésitez point, mettez à exécution vos menaces, mettez à exécution ce dont vous parlez, et vous n’aurez que mépris et indifférence comme réponse à vos viles manipulations » — est un chef-d’œuvre de diplomatie ferme. Elle refuse l’escalade émotionnelle, ne tombe pas dans le piège de la surenchère, mais oppose à l’arrogance une froide indifférence stratégique. Ce ton n’est pas celui de l’agressivité, mais de la souveraineté assumée : l’Algérie n’est ni dans l’attente d’un pardon, ni dans la position d’un vassal quémandant un dialogue biaisé. Elle parle d’égal à égal, et rappelle à ceux qui auraient oublié que la dignité d’un peuple ne se négocie pas sous pression diplomatique.
    Une leçon de verticalité diplomatique. Dans un monde multipolaire où les anciennes puissances doivent apprendre à parler avec le langage du respect, l’Algérie donne ici une leçon de verticalité diplomatique. Elle affirme sans ambages que sa politique étrangère ne se fait ni sous influence, ni sous menace, et que les temps de la docilité sont révolus.
    Ce communiqué de l’APS, par sa clarté et son aplomb, s’adresse aussi bien à Paris qu’à tous les peuples et gouvernements du Sud global : il rappelle que le respect d’un pays commence par le respect qu’il exige pour lui-même.
    Ce que l’on peut conclure :
    Une diplomatie française ravalée au rang de stratégie de fuite. Le communiqué de l’APS met crûment en évidence un glissement préoccupant de la diplomatie française : au lieu d’un dialogue structuré et responsable avec l’Algérie, Paris semble désormais se complaire dans une gestion approximative, brouillonne et souvent malveillante des relations bilatérales. Le recours à des « fuites » organisées dans la presse, comme l’article de L’Express, révèle à la fois un manque de courage politique et une volonté d’alimenter un narratif fantasmé sur l’Algérie à des fins strictement internes. Ce que l’on observe ici, c’est la conversion de la diplomatie en manœuvre de communication, orchestrée non depuis le Quai d’Orsay, mais depuis les arrière-boutiques idéologiques où se conjuguent règlements de comptes postcoloniaux, intérêts sécuritaires et gesticulations politiciennes. Que des hauts responsables français puissent croire un instant que menacer l’Algérie par voie de presse — en évoquant le gel de biens ou de comptes d’officiels — constitue une stratégie diplomatique efficace, en dit long sur la profondeur de la crise intellectuelle et morale qui mine la pensée stratégique française.
    L’Algérie choisit le silence hautain face au chantage. À cette diplomatie du soupçon, l’Algérie oppose une posture de hauteur, de souveraineté, et surtout de lucidité historique. Le ton est ferme, sans concession, mais dénué de vulgarité : « Passez à l’acte ! », dit l’Algérie, en défiant ceux qui agitent les menaces comme des épouvantails politiques. Cette réplique traduit une souveraineté assumée, une forme de mépris stratégique pour les manipulations mesquines, et une conscience aiguë de la dignité nationale, forgée dans les douleurs de la colonisation et de la libération. Le texte rappelle avec précision que les pratiques de complaisance judiciaire de la France à l’égard des personnes recherchées pour corruption ou crimes économiques par l’État algérien la rendent elle-même coupable de duplicité, sinon de complicité passive. Alors que l’Algérie multiplie les demandes d’entraide judiciaire, la France oppose silence et inertie, révélant ainsi une asymétrie de traitement qui décrédibilise toute prétention française à la moralité ou à la rigueur judiciaire.
    L’Algérie fantasmée vs l’Algérie réelle. L’un des passages les plus puissants du texte réside dans cette dénonciation de l’Algérie fantasmée par les élites françaises. Une Algérie réduite à des clichés coloniaux : régime, nomenklatura, pouvoir opaque — autant de mots qui traduisent l’incapacité chronique de certains cercles français à actualiser leur regard sur l’Algérie contemporaine. À cette vision anachronique, le texte oppose l’Algérie réelle : un pays doté d’institutions judiciaires actives, d’un peuple souverain, et d’un État qui assume ses responsabilités dans la lutte contre la corruption. Ce contre-récit structuré déconstruit avec finesse les projections néocoloniales et invite la France à sortir de sa logique de domination morale.
    Entre déni français et affirmation algérienne: En définitive, le communiqué de l’APS marque un tournant dans la relation algéro-française. Il ne s’agit plus pour Alger de quémander un dialogue biaisé ou de tolérer les injonctions paternalistes, mais de réaffirmer les termes d’un partenariat d’égal à égal. À la petitesse stratégique, l’Algérie répond par la hauteur de vue. Aux menaces, elle oppose le mépris souverain. Et à la manipulation médiatique, elle répond par la vérité historique et la constance diplomatique. Ce texte n’est pas un simple communiqué, c’est un acte de souveraineté intellectuelle et politique. La France ferait bien de l’écouter. Pas par crainte, mais par respect de ce que le mot partenaire devrait encore signifier.
    À ceux qui, en France, s’accrochent encore à une vision surannée d’une Algérie à leur dévotion, il convient de rappeler avec fermeté que le temps des dépendances est révolu. L’Algérie d’aujourd’hui n’est plus cette ancienne colonie docile qu’on exploitait à loisir, jusqu’à une époque encore proche, mais un État souverain, conscient de sa dignité, et déterminé à défendre ses choix sans se plier aux diktats d’un autre âge.
    L’Algérie nouvelle s’affirme avec lucidité et constance sur la scène régionale et internationale. Portée par les aspirations profondes de son peuple et ancrée dans les principes de souveraineté, de non-alignement et de justice, elle fait entendre une voix indépendante, affranchie des tutelles et des influences étrangères. Ses choix politiques, dictés par l’intérêt national et le respect de ses engagements historiques, ne répondent ni à la pression extérieure ni aux calculs opportunistes. L’Algérie nouvelle privilégie le partenariat équitable, le dialogue entre égaux, et la défense des causes justes, tout en refusant fermement toute forme d’ingérence ou de diktat. Ainsi se construit, pas à pas, une Algérie résolument tournée vers l’avenir, fidèle à sa mémoire, attachée à sa dignité, et décidée à tracer son propre chemin, dans le respect de ses principes et de sa souveraineté retrouvée.
    Il est tout de même saisissant de constater que, sitôt l’Algérie rendue à ses véritables héritiers, ceux qui en ont longtemps profité sans légitimité ni scrupule s’agitent avec une nervosité fébrile. Cette agitation n’est pas anodine : elle traduit un profond malaise face à une souveraineté aujourd’hui pleinement assumée, face à un État qui affirme ses choix, dicte ses priorités, et refuse désormais d’être perçu comme une arrière-cour docile. Les crispations que suscite l’Algérie nouvelle ne relèvent pas du hasard, mais d’un réflexe postcolonial encore bien vivace chez certains. Ce qui dérange, ce n’est pas ce que fait l’Algérie — c’est ce qu’elle n’accepte plus : les injonctions, les ingérences, les relations déséquilibrées, les discours paternalistes.
    L’Algérie d’aujourd’hui appartient à son peuple, et c’est cette réalité, pourtant légitime et naturelle, qui semble insupportable à ceux qui peinent encore à tourner la page de leur propre histoire impériale.

    Brahms
    30 mai 2025 - 8 h 28 min

    LA NOTE DE LA FRANCE va être dégradée ce soir par MOODY’S, agence de notation.

    C’est donc la fin du crédit facile, les taux vont monter et les intérêts de la dette seront très lourd à régler.

    Pour payer, il faudra vendre la TOUR EIFFEL ou le château de Versailles ou encore les stocks d’or mais ne comptez plus sur les africains pour payer vos ardoises comme à l’époque du DEY D’Alger en 1830.

    Un mauvais payeur, un voleur restera toujours dans les dettes à l’infini.

      L’Italie , pays ami de l’Algerie va baisser les Impôts
      30 mai 2025 - 13 h 41 min

      L’Italie , pays ami de l’Algerie va baisser les Impôts
      Le PIB par Habitant de l’Italie 🇮🇹 prend 10% et pour la 1ere fois va bientôt dépasser le PIB par habitant en France 🇫🇷

    Brahms
    29 mai 2025 - 20 h 16 min

    Mr Emmanuel Macron fait des chèques pour l’UKRAINE, Mr Driencourt, il faut aller compter combien d’argent public parti en dépense. Ce sont des milliards d’€ qui sont partis ?

    Il est vrai que ça sert à créer un Etat Israélien en Europe donc vous ne regardez pas à la dépense.

    Remboursez donc ce que vous devez à l’Algérie et restituez les canons de baba Marzouk que vous gardez illégalement en France ainsi que le Trésor du Dey d’Algérie au lieu de faire diversion.

    On paie ses dettes d’abord et après on fera causette pour le reste.

    Un simple regard comme tant d'autres
    29 mai 2025 - 12 h 45 min

    Cette esclave à vraiment du mal à reconnaitre son nouveau statut certainement dû à son âge avancé .

      Pourquoi Xavier ?
      30 mai 2025 - 8 h 43 min

      Pourquoi Abandonner l’Agent Sang Sale qui s’est sacrifié volontairement et qui a fait tout ce que tu lui a demandé

    Lucifer
    29 mai 2025 - 12 h 34 min

    L’Algérie doit sanctionner la France au niveau économique (partenariats, import de sa merdasse ..etc). Dans tous les cas, les réduire au plus proche du zéro , tracer sa route et laisser braire la jalouse .

      Sprinkler
      29 mai 2025 - 12 h 45 min

      Le Train des sanctions avance à Grande Vitesse : blé, automobiles, médicaments, services, etc…Les 6000 entreprises françaises qui font leur « beurre » sur le marché algérien et les 400 autres qui y sont établies se tiennent le…ventre !

    Sprinkler
    29 mai 2025 - 12 h 19 min

    Tapageur Xavier « bruit en cour » ! L’Algérie ne vous appartient plus ! Étanchez votre haine, tout votre soûl jusqu’au rot qui vous emportera…C’est votre impuissance congénitale qui secrète ces aigreurs caustiques qui imprègnent les « pages algériennes » de votre minable existence !

    Achour Bachir
    29 mai 2025 - 11 h 34 min

    L’usage systématique de l’expression « régime algérien » par une grande partie des médias, journalistes et responsables politiques français pour désigner le pouvoir en place en Algérie n’est ni anodin ni neutre. Ce choix lexical renferme une charge politique implicite et traduit une certaine posture idéologique.
    Voici une analyse nuancée de ce terme et de ce qu’il suggère :
    En sciences politiques, le mot régime désigne l’ensemble des institutions et des règles qui organisent l’exercice du pouvoir. Mais dans le langage courant et médiatique, en particulier en France, le terme « régime » est souvent utilisé de manière péjorative, pour désigner un pouvoir perçu comme : Autoritaire ou non démocratique, Opaque dans son fonctionnement, Peu représentatif du peuple, concentré autour d’un cercle restreint d’acteurs.
    Ainsi, parler du « régime algérien », au lieu de dire simplement « gouvernement algérien » ou « pouvoir exécutif algérien », revient à dévaluer la légitimité politique des institutions algériennes — quelles que soient par ailleurs leurs forces ou leurs faiblesses.
    Ce terme est toujours une provocation délibérée ; il traduit : Une vision condescendante ou postcoloniale des rapports avec l’Algérie, Une volonté implicite de délégitimer le pouvoir algérien aux yeux de l’opinion publique, Parfois, un alignement idéologique avec certaines critiques internes ou exilées qui contestent l’État algérien en bloc.
    Cela dit, il convient de noter que les médias français n’emploient pas ce terme de façon aussi fréquente lorsqu’ils parlent d’autres pays où les institutions sont pourtant moins transparentes. Ce traitement asymétrique alimente chez de nombreux Algériens le sentiment d’un discours biaisé et stigmatisant.
    La question qui est tout à fait pertinente est celle qui soulève une contradiction souvent passée sous silence dans le discours médiatique et politique occidental. En effet, si l’on applique les mêmes critères utilisés pour qualifier le pouvoir algérien de « régime », alors le pouvoir français pourrait, lui aussi, être qualifié de « régime », dans une certaine mesure.
    1. Une représentativité en question : Lors de la présidentielle de 2022, Emmanuel Macron a été réélu dans un contexte de forte abstention (plus de 28% au second tour). Son élection s’est faite en grande partie par vote par défaut, beaucoup d’électeurs ayant voté contre Marine Le Pen plutôt que pour lui. Aux législatives, son parti n’a pas obtenu de majorité absolue à l’Assemblée nationale, ce qui a fortement limité sa capacité à gouverner sans alliances forcées ou 49.3.
    2. Un pouvoir de plus en plus contesté :
    Le recours répété au 49.3 (passage en force législatif) a renforcé l’image d’un pouvoir vertical, centralisé et déconnecté. De nombreux mouvements sociaux (Gilets Jaunes, retraités, etc.) ont dénoncé un déficit démocratique, voire une crise de légitimité.
    3. Un pouvoir concentré dans les mains d’un homme sous influence de Lobbys : Le système politique de la Cinquième République française, instauré en 1958 sous l’impulsion du général de Gaulle, a été conçu pour renforcer l’autorité du chef de l’État. Il se distingue par un exécutif puissant, centré sur le Président de la République, qui dispose de prérogatives étendues, bien supérieures à celles d’un président dans un régime parlementaire classique. Dans un contexte de faible soutien parlementaire, l’usage renforcé des leviers institutionnels peut être interprété, par certains analystes, comme une dérive vers un exercice de pouvoir de type “régime”.
    Mais dans la réalité, le mot « régime » n’est presque jamais utilisé pour la France, ce qui illustre un biais de langage profondément ancré. Il s’agit d’un traitement inégal qui nourrit une rhétorique à deux vitesses : légitimité pour soi, soupçon pour les autres.
    Dans un autre registre, les intentions évoquées du régime français — à savoir, par exemple, la suppression de l’accord bilatéral de 1968 sur la circulation et le séjour des Algériens en France, ou le gel d’avoirs supposés de dignitaires algériens, ets… — relèvent d’une stratégie politique qu’on peut interpréter à plusieurs niveaux. Ces annonces ou menaces, même lorsqu’elles ne sont pas formalisées, portent une charge hautement symbolique et traduisent un climat de tension diplomatique, mais aussi de recentrage électoral français. Ces déclarations s’inscrivent d’abord dans un registre électoraliste et populiste. En période de tensions sociales ou d’échéances électorales, certains cercles politiques français exploitent la relation avec l’Algérie comme levier d’influence intérieure, afin de : Flatter un électorat de droite ou d’extrême droite, souvent sensible aux thèmes de l’immigration, de l’autorité, et de l’identité nationale. Détourner l’attention des crises internes françaises (pouvoir d’achat, sécurité, contestation sociale) en relançant un discours de fermeté face à « l’étranger », en l’occurrence l’Algérie.
    Menacer d’appliquer des sanctions unilatérales contre l’Algérie — un pays souverain — révèle aussi une incapacité de certains cercles de pouvoir en France à se départir de réflexes postcoloniaux : Le rapport asymétrique, où la France se réserve le droit de sanctionner sans négociation équitable, reflète une posture de puissance tutélaire. Ces menaces sont souvent brandies en réponse aux demandes algériennes de reconnaissance des crimes coloniaux, comme s’il s’agissait d’un affront inacceptable à « l’honneur français ».
    D’autre part, l’Algérie affirme de plus en plus son autonomie stratégique, notamment : Par ses rapprochements avec d’autres puissances (Chine, Russie, Turquie, etc.), Par son refus de se soumettre aux conditions migratoires ou mémorielles imposées par la France. Par sa critique directe du double discours français sur la mémoire, les visas ou les droits humains.
    Ainsi, l’agitation de sanctions peut être vue comme une tentative d’intimidation ou de rétorsion diplomatique, face à un partenaire qui ne se laisse plus dicter sa ligne.
    Ces menaces sont souvent plus rhétoriques que réalistes, car : Supprimer l’accord de 1968 pourrait déclencher des contre-mesures algériennes sur les ressortissants français, et perturber des liens humains, économiques et consulaires très denses, Geler des avoirs de « dignitaires algériens » nécessiterait des preuves judiciaires concrètes, non de simples considérations politiques, sous peine de dérive arbitraire.
    Les intentions affichées de sanctionner l’Algérie relèvent moins d’un programme rationnel que d’une gesticulation politique, nourrie par des tensions mémorielles, électorales, et géopolitiques. Elles trahissent une forme de mal-être postcolonial, où la France peine à accepter une Algérie qui n’est plus en position de subordination, mais qui exige désormais un dialogue d’égal à égal.
    Une autre question aussi pertinente est celle qui soulève une contradiction fondamentale dans l’attitude du régime français vis-à-vis de l’Algérie : multiplier les menaces et les gestes hostiles, tout en lançant des appels récurrents au dialogue. Cette posture ambivalente peut être interprétée à la lumière de plusieurs éléments :
    1. Une stratégie paradoxale de domination déguisée : L’appel au dialogue, lorsqu’il est formulé en parallèle de menaces (suppression de l’accord de 1968, restriction des visas, critiques politiques, pressions mémorielles), n’a rien de sincèrement diplomatique. Il s’agit d’un dialogue asymétrique, où la France cherche, non pas un échange sur un pied d’égalité, mais à ramener l’Algérie dans un cadre de soumission diplomatique, en lui dictant les termes de la discussion. Autrement dit, ce « dialogue » n’est qu’un habillage lexical, une manière de dire : venez négocier, mais selon nos conditions.
    2. Une posture révélatrice d’un désarroi postcolonial : La France officielle, notamment dans certaines sphères politiques et diplomatiques, n’a jamais vraiment digéré la perte de l’Algérie, ni accepté son affranchissement total — surtout dans un contexte où Alger s’émancipe de plus en plus de l’influence occidentale. Dès lors, appeler au dialogue pendant qu’on menace, revient à exprimer un malaise postcolonial profond : Une incapacité à traiter l’Algérie comme une puissance souveraine, et une nostalgie confuse d’un rapport où la France décidait unilatéralement du cadre relationnel.
    3. Double discours pour ménager l’image extérieure : Ces appels au dialogue permettent aussi à la France de sauver la face sur la scène internationale : En se posant comme nation ouverte au dialogue et à la coopération, Tout en menant, en parallèle, une vaine politique dure, voire punitive, envers l’Algérie. C’est une forme de communication diplomatique calculée, car la France veut apparaître comme « raisonnable » à l’extérieur, tout en restant ferme pour son électorat interne.
    4. Un rapport de force qui n’est plus à sens unique : Ce paradoxe traduit aussi une prise de conscience française que l’Algérie ne répond plus aux injonctions comme par le passé ; elle refuse de céder aux pressions migratoires ou mémorielles, diversifie ses alliances stratégiques, s’impose comme un acteur régional indépendant.
    Les appels au dialogue deviennent alors une main tendue intéressée, non pas au nom du respect, mais pour préserver des intérêts économiques, sécuritaires et diplomatiques communs, que la France ne peut plus garantir seule.
    L’attitude française — alterner les menaces et les appels au dialogue — reflète une posture confuse, marquée par une tension entre volonté de contrôle et perte d’influence réelle. C’est une stratégie vouée à l’échec tant qu’elle ne repose pas sur le respect mutuel, la reconnaissance historique, et une égalité souveraine réelle.

    Xavier Deriencourt = Le Tartuffe moderne
    29 mai 2025 - 10 h 47 min

    À chaque fois que j’entends Xavier Driencourt parler je me dis mon Dieu comment cet individu a pu accéder aux fonctions qu’il a pu occuper? X. Driencourt est une Gabegie française. L’administration française n’a pas nommé un ambassadeur à Alger animé de bonnes intentions pour faciliter et améliorer les relations, mais un vulgaire petit opportuniste, petri de poncifs coloniaux, rempli de rancœurs et un ignare arrogant qui prend les vessies pour des lanternes.

    Depuis que ce « diplomate » à la mord-moi le noeud disserte sur l’Algerie, il nous a prouvé que toutes ses déclarations et prédictions sur l’Algerie ne sont que de simples élucubrations d’où son échec et fiasco total en tant que diplomate. à Alger il a nullement cherché à améliorer l’image de la France en l’Algerie, comme l’ont fait les ambassadeurs des USA et d’Italie pour leur pays, il n’a œuvré que pour intriguer et tisser des réseaux d’agents nuisibles, corrompus et traîtres néo-harkis dont Bouchouareb et Sansal fesaient partie ce qui explique l’acharnement de Driencourt pour les défendre.

    Par bonheur, l’histoire nous démontre que toutes les déclarations des politicards et journaleux français sur l’Algerie se sont avérées fausses et absurdes a commencer par le sinistre « Algérie française ».

    Xavier Driencourt n’est donc qu’un tartuffe des temps moderne, il va continuer à tromper les français avides de ses tartufferies, et prêts à le croire et lui donner le bon Dieu sans confession, car ils ont besoin de le croire pour se remonter le moral, c’est dans cet objectif qu’il continue à passer sur les chaînes de télé spécialisées en tartufferies anti-algeriennes.

    Le temps se chargera pour démasquer le Tartuffe Driencourt, comme il a démasqué les tartufferies du colonialisme français en Algerie. La caravane Algérie passe son chemin en laissant Driencourt et ses acolytes à leurs conjectures qui n’ont de sens que pour eux.

    lhadi
    29 mai 2025 - 9 h 08 min

    L’algérien que je suis, a compris que les vilénies de cet ultracrépidarien, en mal de notoriété, rentrent dans le cadre d’actes algérianophobes de nos ennemis traditionnels.

    Ce personnage trouble, vilain Roy des aveugles, ne recule devant rien, calomnie, invente, accuse sans preuve ni vraisemblance. Avec son livre, il n’a d’autre souci que de faire de l’argent d’une république algérienne qui ne mérite pas tant de malhonnêteté ni de mauvaise foi.

    Ayant connu les épreuves à nulles autres pareils, la jeune nation algérienne est stimulée par l’envie de son peuple de vivre son temps, bâtir son avenir tout en bâtissant l’avenir du pays.

    Nul ne pourra briser la solidarité fraternelle pas plus que la volonté de désensabler l’Algérie pour la mettre à la taille des géants qui cornaquent ce monde de globalisation politiquement dangereux et économiquement injuste.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Jeantonneau
    29 mai 2025 - 7 h 36 min

    L’ivrogne Alias Pris de Court
    Chacun a son défaut où toujours il revient :
    Honte ni peur n’y remédie.
    Sur ce propos, d’un conte il me souvient :
    Je ne dis rien que je n’appuie
    De quelque exemple. Un suppôt de Bacchus
    Altérait sa santé, son esprit et sa bourse.
    Telles gens n’ont pas fait la moitié de leur course
    Qu’ils sont au bout de leurs écus.
    Jean de la Treille

    Nermal
    29 mai 2025 - 6 h 49 min

    Le nombre d’Anonyme… certains sont louches

    Mohamed El Maadi
    28 mai 2025 - 23 h 40 min

    (…)

    Les campagnes de dénigrement contre l’Algérie se suivent et se ressemblent : accusations de dictature, soupçons de dérive mafieuse, procès d’intention constants. Pourtant, à y regarder de près, l’acharnement médiatique et diplomatique dont fait l’objet notre pays relève moins de la critique objective que d’un agenda politique bien huilé. Il faut dire que dans un monde où l’indépendance dérange, l’Algérie paie le prix fort de sa souveraineté.

    ### La dictature des soumis

    Le premier procès absurde est celui d’un régime « dictatorial ». Étrange dictature, tout de même, qui ne se plie ni aux injonctions de Washington, ni aux caprices de Tel-Aviv, ni aux chantages voilés de Paris. Dans la majorité des dictatures bien établies, le schéma est simple : le pouvoir se maintient en s’adossant à des parrains occidentaux, en se soumettant aux règles de l’OTAN ou du FMI, en livrant ses richesses naturelles à vil prix en échange d’une survie politique garantie.

    Si l’Algérie était réellement une dictature, elle aurait, comme tant d’autres régimes arabes dociles, signé les accords d’Abraham, normalisé avec l’entité sioniste, ouvert ses marchés à la prédation néolibérale et accepté d’être le gendarme du Sahel pour le compte de l’Europe.

    Elle aurait, comme le Maroc, abandonné la voix de ses peuples en échange du silence bienveillant de BFM TV et de France 24.

    Mais elle ne l’a pas fait. Elle ne le fera pas.

    ### Le mythe d’un État mafieux

    Deuxième calomnie : l’Algérie serait un régime « mafieux ». Mais que vaut cette étiquette, sinon comme un masque commode pour discréditer un État qui refuse de s’aligner ? Une mafia, par définition, tisse des alliances pour survivre, se fond dans les structures dominantes, s’intègre dans le système en corrompant les leviers de pouvoir.

    Or l’Algérie agit à rebours de cette logique. Elle ne pactise pas. Elle ne plie pas. Elle refuse les injonctions et revendique hautement une diplomatie fondée sur la justice, la solidarité des peuples, et la non-ingérence. On peut tout reprocher à Alger, sauf de céder à la facilité des combines et des compromissions.

    Une véritable mafia politique cherche la tranquillité, pas le bras de fer. Elle joue la carte de la normalisation, pas celle de l’obstination morale. Pourtant, l’Algérie maintient coûte que coûte son soutien à la Palestine, son refus de normaliser, sa méfiance envers les jeux troubles du Sahel et son attachement farouche à la souveraineté nationale.

    ### Un État qui dérange les réseaux

    Alors pourquoi tant de haine ? Parce que l’Algérie refuse de « baiser la main du parrain », pour reprendre une image parlante. Ce parrain, aujourd’hui, ce n’est plus seulement Washington ou Bruxelles, c’est un système hybride où la finance apatride, les lobbies militaro-industriels et l’État profond israélien dictent la conduite à tenir.

    L’Algérie ne s’est jamais pliée à cette mafia planétaire. Elle ne reconnaît pas leur leadership moral, ne valide pas leurs guerres d’agression, et ne renonce pas à ses positions historiques. Elle n’achète pas sa sécurité au prix du reniement.

    C’est ce qui la rend « infréquentable », « archaïque », « autoritaire », aux yeux d’une presse occidentale plus préoccupée par le sort des oligarques que par celui des peuples.

    ### Le Maroc : la dictature qui plaît

    L’exemple du Maroc est éloquent : un régime monarchique, où les libertés fondamentales sont écrasées, les médias bâillonnés, les prisons pleines d’opposants. Mais ce régime a l’intelligence – cynique – de « s’ouvrir », d’accueillir les entreprises françaises, de se rapprocher d’Israël, de jouer la carte de la « start-up nation » maghrébine. Résultat : il est « fréquentable », « réformateur », « moderne ».

    Mais à quel prix ? Celui de l’endettement massif, de l’abandon des causes arabes, du sacrifice de sa souveraineté et de la résignation face à la misère sociale.

    Le régime marocain est salué car il a compris la règle : il faut plaire pour exister. L’Algérie, elle, préfère déranger pour rester libre.

    ### L’Histoire jugera

    Ce n’est pas la première fois que l’Algérie subit les attaques des puissants. Pendant la guerre de Libération, on la disait perdue, désunie, incapable de vaincre. Elle a pourtant humilié l’empire colonial le plus arrogant de l’époque. À chaque étape de son histoire, elle a défié les pronostics, et prouvé que la dignité n’est pas un luxe, mais une vocation.

    Le bruit médiatique n’efface pas les réalités géopolitiques. L’Algérie est debout, souveraine, seule parfois, mais droite dans ses bottes. Et cela suffit à la rendre suspecte aux yeux de ceux qui ont vendu leur âme.

    Le monde change. Les rapports de force aussi. Et lorsque viendra l’heure des bilans, l’Algérie pourra se regarder dans le miroir de l’histoire avec fierté.

    Captain
    28 mai 2025 - 20 h 34 min

    Selon une communication de ce jour d’un canal très proche du pouvoir islamophobe de Paris, celui-ci s’apprêterait à prendre des mesures de rétorsions financières et « patrimoniales » contre des officiels algériens « qui veulent mettre à mal nos relations bilatérales » en réponse aux refus justifiés d’Alger de se plier au diktat français et de se soumettre à ses desiderata loufoques.

    Une liste de 800 officiels algériens occupant des postes de haut rang dans les diverses administrations algériennes, y compris sécuritaire et politique, qui auraient selon cette même communication, des propriétés ou des intérêts financiers en France et s’y rendraient régulièrement, aurait même été dressée à cet effet.

    Les premières exactions pourraient avoir lieu dans un premier temps contre une vingtaine d’entre eux.
    Une expropriation brutale des individus accompagnés de violences physiques et sexuelles sont malheureusement à craindre. Des emprisonnements arbitraires touchent en ce moment même des élus « de la République » qui défendent le droit à l’existence du peuple palestinien sur sa terre ancestrale comme Ismaël Boudjekada qui dispose normalement d’une immunité diplomatique et qui se plaint déjà de multiples infractions pénales contre ses geôliers, croulent actuellement en prison; c’est dire qu’ils feront peu de cas des responsables Algériens visés dont la liste est pour le moment tenu secrète.

    L’ensemble des responsables algériens devraient immédiatement rentrer en Algérie et ne plus voyager en France jusqu’à nouvel ordre.

    Cette source proche des dignitaires islamophobes du régime sioniste de Paris soulève même de vagues menaces contre des « militaires » algériens, sans que l’article du journal l’Express n’en dise plus sur leur teneur probablement en raison de la nature sensible des « représailles » que la France entend exercer contre des militaires Algériens.

    Ceci est un avertissement pour tous les responsables algériens qui ont des intérêts en France de prendre toutes diligences pour liquider tous les biens acquis sur le territoire français, de rapatrier et d’investir leur argent en Algérie et de cesser tout commerce avec la France à l’avenir.

    En tout état de cause, le chantage exercé par la partie française à l’endroit des intérêts algériens en France ne doit pas servir à faire courber l’échine à une Algérie fière de sa lutte légendaire contre une occupation française sanglante et qui a offert au monde quelques-unes des pages les glorieuses de la résistance anticoloniale et parmi ses plus illustres figures.

    Une rupture franche et brutale avec la France est plus que jamais requise pour extirper définitivement les germes restants de la domination putride coloniale encore agissant dans la psyché algérienne et permettre à la jeunesse algérienne de se régénérer loin de cette putréfaction française.

    Anonyme
    28 mai 2025 - 20 h 25 min

    Pourquoi il ne parle jamais de son régime sioniste français et par tt les moyens en utilisant les institutions françaises justice éducation nationale police ect à poursuivre et empêcher des français à condamné le massacre de masse à Gaza, non lui préfère bifurquer sur l Algérie comme tant d autres qui lui ressemble. Vielle punaise va !
    (…)

    Anonyme
    28 mai 2025 - 13 h 55 min

    Sachant que ça leur romge le foie aux algerofob je prend haut la main mon pied.
    ça les rapprochemt de l AVC

    Pas d'émotions avec les ennemis.
    28 mai 2025 - 13 h 36 min

    JAMAIS Boualem Sansal ne doit sortir de prison.
    Le gracié serait contre productifs vis-à-vis de l’Algérie.
    Chassé le naturel français il reviendra toujours au galop.
    Jamais ils aimeront l’Algérie et les algériens, même que vous leurs offriez l’Algérie sur un plateau D’OR.
    Depuis le temps les dirigeants devraient connaître à fond le comportement des français.
    Il

      Algérien
      28 mai 2025 - 17 h 54 min

      Je dirais plutot qu’ils aiment l’Algérie sans les Algériens.

      JIder45
      28 mai 2025 - 20 h 34 min

      Pas faux.
      Il faut aussi le priver d’une partie de ses médicaments pour qu’il souffre en prison.
      On n’a pas à utiliser des médicaments pour les algériens pour cette ordure de traitre.
      Il faut aussi l’interdire de revoir sa famille et la lumière du soleil.
      Sans pitié avec ce genre de merde.

    Achour Bachir
    28 mai 2025 - 13 h 32 min

    Mémoire, vérité et dignité : réponse à une vision dépassée des relations franco-algériennes
    Les prises de position répétées de M. Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France en Algérie, ne cessent d’alimenter une lecture réductrice, univoque et parfois condescendante des relations franco-algériennes. Loin de proposer un regard lucide et apaisé sur le passé colonial, ses propos semblent s’enfermer dans une grille d’analyse qui nie à l’Algérie sa pleine souveraineté mémorielle et politique. Dans ses interventions médiatiques, M. Driencourt affirme que les demandes algériennes de reconnaissance et d’excuses pour les crimes coloniaux relèveraient de « calculs politiciens » et seraient motivées par un besoin de légitimation propre aux « régimes faibles ». Ce type de déclaration, outre qu’il repose sur des jugements de valeur peu nuancés, révèle une posture paternaliste profondément ancrée dans une vision postcoloniale non dépassée.
    Une réduction dangereuse de la mémoire à l’instrumentalisation
    Réduire la mémoire à une simple variable d’opportunisme politique revient à nier les réalités historiques documentées, à effacer les souffrances vécues et à disqualifier la parole d’un peuple. Ce n’est pas l’Algérie qui politise la mémoire, mais bien ceux qui refusent d’y répondre autrement que par le mépris ou l’évitement. La colonisation de l’Algérie ne fut pas un épisode anodin de l’histoire commune ; elle s’est accompagnée d’expropriations massives, de déportations, de répressions sanglantes et de déstructuration sociale profonde. Exiger la reconnaissance de ces faits, loin d’être un caprice diplomatique, est une démarche de dignité, de vérité et de justice historique.
    La réconciliation n’est possible que par la reconnaissance
    Les peuples ne se réconcilient pas dans le silence ni dans l’amnésie. La reconnaissance des torts historiques est un acte fondateur de toute relation saine entre deux nations marquées par une histoire douloureuse. Le refus persistant d’une partie des élites françaises à regarder ce passé en face ne peut que retarder ce processus et générer rancœurs et incompréhensions durables. M. Driencourt, en tant qu’ancien représentant diplomatique, avait la responsabilité morale de jeter des ponts, de favoriser le dialogue, et non d’ériger des murs par des jugements simplistes. En multipliant les attaques verbales contre l’Algérie, il contribue à figer les positions, à entretenir les blessures, et à miner toute dynamique de rapprochement sincère.
    Une relation d’égal à égal, fondée sur le respect mutuel
    La nouvelle génération, de part et d’autre de la Méditerranée, aspire à des relations décomplexées, fondées sur le respect mutuel, la reconnaissance des responsabilités et le dépassement lucide du passé. Cela suppose, de la part de la France, non pas un effacement, mais un acte de lucidité historique, une parole juste, posée, courageuse. Plutôt que de réduire les revendications mémorielles de l’Algérie à une stratégie de légitimation politique, il conviendrait de reconnaître qu’aucune construction institutionnelle ou diplomatique durable ne peut reposer sur le déni de l’histoire de l’autre. Toute réconciliation authentique suppose d’assumer collectivement les vérités que l’histoire nous impose. Ce n’est pas l’Algérie qui instrumentalise la mémoire ; c’est le refus de reconnaître cette mémoire qui devient une entrave au respect mutuel. On ne bâtit rien de solide sur l’oubli des autres. La dignité commence là où commence la vérité.
    Il est devenu courant, chez certains anciens diplomates français, de disqualifier toute revendication mémorielle algérienne en la réduisant à une manœuvre politique. On accuse l’Algérie de « calcul politicien », de faiblesse institutionnelle ou d’obsession identitaire dès lors qu’elle réclame reconnaissance et vérité sur les crimes de la colonisation. Ce discours, au fond, n’est rien d’autre que le prolongement d’un regard colonial qui refuse de reconnaître à l’autre sa dignité historique.

    Alors ..y a ou y a pas d’ambassadeur ??
    28 mai 2025 - 11 h 06 min

    Driencourt en interview hier 27/05
    ..
    Questionne sur Sansal
    “Notre Ambassadeur de France à Alger n’a pas de nouvelles”
    …..5 Minutes plus tard
    Sur la Suite
    “…Nous n’avons plus d’ambassadeur à Alger…”
    .
    Xavier Faudrait savoir
    Alors ..y a ou y a pas d’ambassadeur ??
    .
    Mais bon
    C’est pas bien de lâcher un Agent qui a fait tout ce que tu lui a demandé

    Erratique
    28 mai 2025 - 9 h 01 min

    -Oú tu-vas ?
    -Nulle part.
    -Allons-y ensemble.

    En effet, il répète inlassablement la même absurdité: cet idiot n’existe que dans les médias algériens. Personne au monde ne savait où parler de ce vieux crétin. Il n’apparaît dans aucune discussion ou information comme les hommes de Trump, de Poutine ou de Xi. La presse algérienne a créé cet animal avec toutes ses idioties ironiques, et aujourd’hui, tout un peuple et son gouvernement sont perturbés par ses diatribes. Mais arrêtez d’imprimer les visages des détracteurs et leurs conneries, ne faites jamais d’histoires sur quoi que ce soit qui pourrait vous mettre mal à l’aise plus tard.
    Ce Driencourt, dans chaque incarnation, est typique des personnes insidieuses qui cachent leur véritable nature raciste, islamophobe et xénophobe derrière les masques d’un pédo-ambassadeur aliène et ses écrits des salons de médias racistes et des petits bars locaux.
    Mais soyons réalistes: Dieudonne a fait un spectacle pour rire, et les français ont dit qu’il contenait des remarques antisémites, donc il a été jugé. Driencourt est un cornard qui critique un pays souverain à chaque occasion de venger son amant emprisonné à El-Harrach ; pour lui, c’est permis… est-ce normal? Ah bon, en france, c’est comme ça que fonctionne la liberté d’expression, avec des gifles homme-femme à bord des avions!
    Quelle est la meilleure façon de repérer un idiot? Eh bien, Driencourt a toujours été un imbecile, et il voit sa cruauté comme un moyen intelligent de prendre les francais pour des brebis sauvages ou de se vanter d’en savoir plus que les autres clowns politicards du regime parisien.
    C’est son secret: l’empathie et la gentillesse, même chez la personne la plus intelligente, pour cet idiot qu’il est encore, sont perçues comme des faiblesses.
    Il n’a jamais forcé son cerveau animal à évoluer au-delà de son instinct primaire, ni forgé de nouvelles voies mentales pour surmonter sa propre peur instinctive.
    En conséquence, sa capacité de raisonnement et de résolution de problèmes manque d’imagination et de créativité, contrairement aux personnes les plus bienveillantes qui en possèdent en abondance.
    Enfin, la voix de la sagesse vaut toujours mieux que les provocations politiques, ne commettons pas la même erreur avec les balivernes des idiots, ignorons-le et laissons-le aboyer.

      Anonyme
      28 mai 2025 - 21 h 46 min

      Son amant est un prétexte chère camarade internaute,c’est l’économie qui est en jeu .
      La France crée ses propres problèmes en cherchant inlassablement à nous y imbriquer .
      Cela étant dit il est fort probable qu’il soit pédé.

    Brahms
    28 mai 2025 - 6 h 46 min

    Feignant de Driencourt,

    Les taux d’intérêts augmentent en flèche, la faute à Donald Trump donc la dette française va grimper et il va falloir payer les intérêts de la dette à au moins 70 milliards d’euros pour 2025.

    C’est colossal mais c’est la réalité du terrain. Avec 2470 tonnes d’or, à 3300 dollars l’once, vous pourrez payer, bien mieux, que de raconter des histoires de foufou sur l’Algérie afin de faire diversion.

    Algérien
    27 mai 2025 - 23 h 32 min

    L’époque où Bouteflika et sa bande d’escrocs finançait le Trésor public français en payant le blé français aux triple du prix du marché y compris pour les autres produits, c’est ça ui rend malade ce malade il regrette l’Algérie de papa de Bouteflika où il était roi.

    La Kermesse est terminée espèce de moins que rien tu ne mérites même pas le mépris de l’Algérie car il à plus de valeur que des nains comme toi et tes protégés.

    Chaoui
    27 mai 2025 - 21 h 21 min

    Le Drien court vient ENCORE de venir cracher son venir anti Algérien sur « Sud Radio » !

    Voici le com’ que j’ai laissé à son intention…

    De quoi est fait le nom Driencourt ! Il le porte sur sa face : hypocrisie, malhonnêteté, petitesse, jalousie où l’art de faire dans l’inversion accusatoire en faisant une fixation que sur la seule Algérie qu’il traite comme bouc émissaire de tous les maux de la société française !

    On voit combien il enrage de voir que l’Algérie et les Algériens ne se prêtent plus à se « l’écraser » et se soumettre aux désidératas de l’Etat qui, hier, les a agressé et occupé militairement durant une nuit noire indicible et coloniale de 132 longues et épouvantables années, faites de massacres sans nom, de vols et de viols.

    A le voir courir sur tous les plateaux télé et à l’écouter ‘chouiner’ jour après que sur la seule Algérie’, on dirait que c’est l’Algérie qui a exterminé plus de…5 millions de français !

    Hé ! Le Driencourt ! C’est l’inverse. Mieux ! Ce sont 173 000 d’entre eux (soit les 2/3 du contingent de l’Armée d’Afrique qui en comptait 250 000) qui avaient débarqué pour vous libérer, au prix de leurs vies, du joug nazi quand la majorité d’entre-vous collaborait avec le III Reich et qu’en remerciement, le même jour qu’on fêtait la victoire et la libération de la France le 08 mai 1945, vous massacriez froidement 45 000 Algériens par air, terre et mer !…).

    Tu fais mine de l’oublier ! Les Algériens, non. Pas demain qu’ils vont oublier tout ça ni les premiers fours crématoires de l’histoire dans lesquels vous avez froidement jeté et brulé des milliers des leurs, ni les enfumades des Bugeaud, Saint Arnaud et consorts ou les « colonnes infernales » de soudards illettrés à leur tête les Pélissier razziant et brulant sans pitié tous les villages et hameaux qu’ils rencontraient, avec femmes et enfants à l’intérieur, afin de faire place nette aux colons…Il n’est non plus d’Algérien qui n’oubliera les campagnes de bombardement au napalm et aux gaz toxiques interdits par les Conventions internationales auxquelles pourtant la France avait souscrit, sans parler des 17 explosions nucléaires totalisant en kt plus de 50 fois Hiroshima et effectuées près de populations laissées dans l’ignorance totale et dont les radiations à aujourd’hui continuent de faire des victimes comme celles des 20 millions de mines anti personnel disséminés aux frontières Est et Ouest de l’Algérie continuant de tuer et estropier des Algériens et dont la ‘patrie de droits de l’homme’ se refuse à aujourd’hui de remettre les cartes de leurs emplacements !…
    Driencourt ! D’une même voix, à l’unisson les Algériens te disent : Sans haine, et sans oubli !

    Sous forme d’un ‘Postscriptum ‘, ils t’ajoutent un : « Hé ! Tu n’as pas d’autres sujets à invoquer que de jeter ton fiel tel un maladie matin, midi et soir uniquement sur….l’Algérie !

    Ah ! On comprend que trop ! On regrette toujours ce qu’on avait quand on ne l’a plus !….
    Vous déclamez quasi quotidiennement que ce qui faisait hier la ‘grandeur’ de la France, c’était…l’Algérie !
    Mais voilà ! L’Algérie depuis qu’elle s’est libérée grâce au sacrifice de ses enfants est et reste grande toute seule.

    On vous voit et vous écoute à tenter de rameuter nombre de pays européens pour venir à votre rescousse (comme hier en 1830…) dans vos dénigrements contre l’Algérie, mais ces derniers voyant la ‘ficelle’ trop grosse refusent de s’y prêter.

    Pendant ce temps, l’Algérie, elle, ne rameute personne ni contre la France, ni contre quelconque autre pays. Elle reste seule (pas tout à fait, elle est avec ses enfants).

    Le mec ! Il ose dire que l’Algérie ‘humilie » la…France ! Mais quel culot ! L’Algérie n’humilie personne. En revanche il zappe juste le fait que la France, elle, plus qu’humilier elle nous a massacré par millions durant son occupation coloniale de 1830 à 1962.

    Anonyme
    27 mai 2025 - 21 h 01 min

    WALAH EL 3ATHIM, 3TATLOU SAKLA GADOUM RABI WA 3BADOU, YA SAHBI KOUDHE MA 3TAK ALLAH, merci pour le cerbe MARAVER, vous venez de m’apprendre quelque chose.

    Aurora
    27 mai 2025 - 20 h 27 min

    Moi je le considère comme un urinoir ce sinistre personnage et vais directement aux commentaires poster une vacherie sur ce débile . Au dela de ça je pratique régulièrement un sport, étudie la physique quantique et kiffe Shakespeare .

    Zoldehar
    27 mai 2025 - 20 h 16 min

    Bouffer vos crottes de nez en publique ne vous mèneras nulle part mr driencourt .
    Nous vous considérons ni plus ni moins comme une anomalie génétique , des sous créatures d’une sous espèce vouée à la disparition .

    Bou-vilène
    27 mai 2025 - 19 h 54 min

    Reste sur ton tweet que tu attends de trump pour libérer ta moeuf qui arrivera certainement à la saint glin glin vieille (…)

    Sorter les kleenex
    27 mai 2025 - 19 h 04 min

    La mayo n’a pas pris et puis c’est tout .
    Tous le monde s’en tape de la story sansal.

    Anonyme
    27 mai 2025 - 18 h 48 min

    Les Français ne savent pas que leur ancien ambassadeur en Algérie (et ailleurs) est un escroc homo qui a gravi les échelons de la diplomatie par la grâce de Sakozy, par son alliance par mariage en épousant la nièce de Michel Debré – dont le grand père est le rabbin Simon Debré – et non par ses qualités intrinsèques.

      Anonyme
      28 mai 2025 - 3 h 33 min

      Il semble que vous soyez homophobe ! Non ?

        Anonyme
        28 mai 2025 - 13 h 25 min

        Et si plutôt l’autre n’affiche plus son orientation sexuelle et garde cela pour lui?.

    Anonyme
    27 mai 2025 - 18 h 45 min

    Je viens de voir cet énième interview que cette radio facho et complotiste a accordé à Driencourt. Sincèrement cette personne est en train de perdre la tête. Les seuls médias qui l’invitent systématiquement sont les médias de la fachosphere vouant une haine sans limites à l’Algérie : groupe Bolloré, sud radio, frontières, le point… ….

    Cheyenne
    27 mai 2025 - 18 h 40 min

    Au départ on cherchait plutôt le jour du binoclar homoss épris d’une pédale qui adoee griffouiller des pages blanches mais cela n’existe pas apparemment .

    Bravo aux 🇮🇹 Italiens
    27 mai 2025 - 18 h 38 min

    Le PIB par habitant de l’Italie 🇮🇹 qui a toujours été plus faible de ~ 10% vient de dépasser celui de la France 🇫🇷…
    ,
    Tout ça , grâce a des Tocards comme Driencourt
    Continuez comme ça

    Nermal
    27 mai 2025 - 14 h 53 min

    Il faut repousser la date pour le 14 juillet pour en faire le feu d’artifice 🔥 .

    Anonyme
    27 mai 2025 - 14 h 46 min

    Pauvre petit toutou , occupe toi de ta France et ferme ton clapet sale bâtard .

    Chelieth
    27 mai 2025 - 14 h 29 min

    Mais pourquoi continuons nous de faire attention et pire encore reporter les dires d’un idiot en retraite. Il semble jouer de la flûte pour meubler le temps et nous on sert d’auditoire. Cessons d’écouter ses fausses notes.

    Mohamed El Maadi
    27 mai 2025 - 14 h 22 min

    ## **Xavier Driencourt ou les spasmes d’un fantôme colonial**

    *Un revenant sans empire, sans lecteurs, sans honneur*

    Il revient. Encore. Comme une chanson de mauvais goût qu’on croyait enterrée, mais que l’on entend ressurgir entre deux pubs de Sud Radio. Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France en Algérie, devenu pamphlétaire à bout de souffle, s’est offert une nouvelle sortie : un livre au titre pompeusement dramatique – *France-Algérie : le double aveuglement*. Sauf qu’il n’y a que lui qui regarde encore dans cette direction, et avec des lunettes du XIXe siècle.

    À défaut de lecteurs, il a Sud Radio. À défaut d’arguments, il a ses ruminations. L’homme qui prétend connaître l’Algérie parle d’elle comme d’un ex mal digéré. Et pour meubler, il imagine. Il suppute. Il projette. Un procès ici, une date là, une hypothèse par-dessus. C’est du Driencourt : une brocante de griefs, d’obsessions et de généralités, posée sur un coussin de suffisance.

    Et il croit encore que ses élucubrations intéresseront une jeunesse de 2025 ? Soyons sérieux. Son livre ne sera probablement lu que par lui-même — et encore, s’il s’ennuie — ou par son chien, s’il ne trouve rien de mieux à mâchouiller. Ce n’est plus 1965. La question algérienne n’est plus un feuilleton parisien. Imposer ce genre de littérature à un lecteur contemporain, ce serait comme vouloir faire lire *L’Écho d’Alger* à un usager du métro TikTok. Même les nostalgiques du gaullisme ont changé de chaîne.

    Mais Driencourt, lui, reste fidèle à son programme : parler de l’Algérie sans fin, sans fond, sans feu. C’est le concept du **“grill”** : maintenir un pays entier sur la plaque brûlante de l’analyse obsessionnelle. On le retourne, on le pique, on l’assaisonne d’insinuations douteuses, mais surtout, on ne le mange jamais. On le regarde suinter, parce que c’est tout ce qu’il reste à faire.

    À l’entendre, Alger n’agit pas, elle manipule. Elle ne décide pas, elle complote. Elle ne gouverne pas, elle menace. Et Boualem Sansal, ce “dissident” soudain devenu totem de liberté pour les nostalgiques du protectorat, serait l’otage idéal d’un chantage fantasmé. Car tout, chez Driencourt, est supposé. Rien n’est affirmé. Il insinue, il s’interroge à voix haute, il “se demande si…”, comme s’il attendait que quelqu’un, quelque part, valide ses délires. Mais personne ne vient.

    Ce n’est donc pas un livre qu’il a écrit. C’est une plainte. Une plainte longue, monocorde, obsessionnelle, contre un pays qui ne l’a pas regardé, pas écouté, pas craint. Il en a fait une mission personnelle : rappeler à chaque occasion qu’il a été ambassadeur, comme d’autres rappellent qu’ils ont été premiers de la classe dans une école qui n’existe plus.

    On ne sait plus s’il faut lui répondre, l’ignorer, ou lui prescrire une retraite dans une abbaye silencieuse. Car ce qu’il nous livre, au fond, ce n’est pas un point de vue : c’est son existence elle-même. Et cette existence, tout entière tendue vers l’Algérie, est une démonstration éclatante de **ce que la bêtise, la frustration et la vacuité peuvent produire quand elles s’imaginent investies d’une mission civilisationnelle**.

    À force de revenir parler de l’Algérie, Xavier Driencourt ne nous apprend rien sur elle. Mais il nous dit tout de lui.

      La voyante 🔮
      27 mai 2025 - 16 h 52 min

      C’est l’histoire d’une Voyante qui multiplie les Prévisions
      Bidons et les Propheties mal inspirées..
      Elle a RIEN compris avant
      Elle comprend RIEN après

      Ouchen azguar
      27 mai 2025 - 20 h 18 min

      Excellent commentaire !

    jasmine
    27 mai 2025 - 13 h 48 min

    Bonjour qu’il libère GEORGE IBRAHIM ABDELLAH lui aussi malade et âgé

      Anonyme
      27 mai 2025 - 16 h 24 min

      ……..et de surcroît Embastillé sans PREUVES , juste parce que Zzzzzzaaaarrrrabe militant anti colonial , et surtout malgré la Décision de Justice portant sa Libération depuis des ……années…..

      Et cette Vermine COLLABO veut nous bassiner avec leur « justice »……………………Indépendante !!!!
      Ahhhhhhhhhh !!!!! Audiard……..Audiard……..!!!!

      Anonyme
      28 mai 2025 - 6 h 40 min

      Ce terroriste a commis des crimes; donc il mérite son châtiment !

        Anonyme
        28 mai 2025 - 14 h 57 min

        Alors cites ces …..Crimes !!

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