Sonatrach signe un protocole d’accord avec la société suédoise Tethys Oil AB

Tethys Oil AB Sonatrach
La cérémonie de signature s'est déroulée au siège de la direction générale de Sonatrach. D. R.

Le groupe Sonatrach a signé, mardi à Alger, un protocole d’accord avec la société suédoise Tethys Oil AB, visant à concrétiser un partenariat dans le développement et l’exploitation des hydrocarbures, a indiqué un communiqué du groupe.

La cérémonie de signature s’est déroulée au siège de la direction générale de Sonatrach, en présence de son P-DG, Rachid Hachichi, du P-DG de Tethys Oil AB, Magnus Nordin, ainsi que du président de l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft), Mourad Beldjehem, a précisé la même source.

Ce protocole d’accord traduit «la volonté des deux parties à concrétiser un partenariat pour l’exploration, le développement et l’exploitation des hydrocarbures des zones d’intérêts d’El-Hadjira II et d’El Haiad II», selon le communiqué.

Le protocole d’accord a pour objet, également, de «définir le cadre de coopération entre les parties dans la perspective de conclure des contrats d’hydrocarbures sur les zones d’intérêt identifiées, sous l’égide de la loi num. 19-13, régissant les activités hydrocarbures», a-t-on souligné de même source.

R. E.

Commentaires

    Brahms
    19 avril 2024 - 5 h 38 min

    Assez de braderie dans le pays ?

    La Norvège, c’est mieux que nous : Au cours du seul premier trimestre de 2024, le fonds souverain norvégien, lui, a encaissé une plus-value de 100 milliards d’euros.

    Ce bas de laine censé assurer les dépenses futures du généreux État-providence du royaume scandinave est alimenté depuis 1996 par ses abondantes recettes pétrolières et gazières. Ce trésor est investi pour un quart en obligations et marginalement dans l’immobilier.

    Le plus gros investisseur au monde.

    Sur ces deux types de placements, le fonds pétrolier a enregistré des pertes, de 0,4 % et 0,5 %. Mais près des trois quarts (72 %) de cette « poire pour la soif » sont placés en actions. Et les excellentes performances en Bourse des géants de la technologie ont contribué à doper son rendement, qui a dépassé 9 % pour les actions. Le Oljefondet, son nom local, est, au fil des décennies, devenu le plus gros investisseur au monde, avec des parts dans la quasi-totalité des entreprises cotées de la planète (8859 sociétés), à hauteur d’un ticket moyen de 1,5 %.

    Fort de ses dernières plus-values, le fonds norvégien a accumulé, selon son site officiel, 1473 milliards d’euros. L’équivalent de plus de sept fois les dépenses annuelles de l’État norvégien ou de quoi combler plus de huit fois le déficit public de la France.

    Actuellement, on pourrait acheter ATOS en proie à des difficultés en y en voyant nos ingénieurs.

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