Le procès de l’attaque contre le site de Tiguentourine en 2013 s’ouvre le 27 mai

Ouverture le 27 mai du procès de l’attaque terroriste du site de Tiguentourine
Des gendarmes en faction à Tiguentourine après l'attentat. New Press

Par Houari A. – Le procès de l’attaque terroriste contre le site gazier de Tiguentourine, à In Amenas, dans la wilaya d’Illizi, en 2013, s’ouvre le 27 mai prochain au tribunal de Dar El-Beïda, à Alger, indique le journal arabophone Echorouk. L’attaque avait impliqué 33 terroristes et s’était soldée par la mort de 37 personnes, dont des étrangers.

Citant une source judiciaire, le Soir d’Algérie révélait, en 2018, que le dossier de l’affaire terroriste de prise d’otages survenue en 2013 à Tiguentourine «a été scindé en deux parties». Une première partie concerne les accusés en détention provisoire, au nombre de quatre, dont le dossier a été renvoyé devant le tribunal criminel de première instance de Dar El-Beïda, à Alger, et l’autre partie concerne les accusés qui étaient en fuite et dont le dossier était toujours en cours d’instruction. Un des avocats constitués dans ce dossier avait ajouté à nos confrères du Soir d’Algérie que cette affaire allait être programmée lors des prochaines sessions criminelles, sans toutefois préciser la date de sa tenue.

Les accusés sont de nationalités algérienne, marocaine, tunisienne et libyenne. Les chefs d’inculpation retenus contre les prévenus sont l’«appartenance à un groupe terroriste armé, prise d’otages, homicides volontaires avec préméditation et guet-apens et détérioration de biens de l’Etat». Il s’agit des nommés A. Derouiche, alias Abou Al-Bara, Keroumi Bouziane, connu sous le pseudonyme de Redouane, Laroussi Derbali et Bouhafs Djaâfar.

Le site gazier de Tiguentourine employait 790 personnes, dont 134 de 26 nationalités. Durant l’intervention des forces combinées de l’Armée nationale populaire, 29 terroristes du groupe qui avait mené l’attaque contre ce complexe gazier avaient été éliminés et trois autres capturés, selon un bilan officiel. L’acte terroriste avait été revendiqué par un groupe armé qui se donne pour nom «Les signataires par le sang», dirigé à l’époque des faits par Mokhtar Belmokhtar, dit Belaouar, qui avait été signalé comme ayant été abattu en Libye dans un raid coordonné par les forces françaises et américaines.

H. A.

Comment (18)

    Anonym3
    6 mai 2024 - 17 h 22 min

    C’est ca que malheureusement certains de nos compatriotes ne comprennent pas le fond du probleme du terrorisme dans notre region et l’immigration clandestine vers l’europe qui touche comme par hasard que les pays des Republiques populaires et jamais les pays des abous Djahel avec le poste avancer el marrouk.meme pas un printemp arabe . Sarkozy et son frere sont partis en Tunisie pour l’entrainer a les joindre a continuer leur guerre contre les pays souverains la syrie et l’Algerie .Aujourdhui la libye une grande tarte est occuppee par 13 pays et plus d’armes dans notre region que les populations du Sahel.le premier a blamer c’est seif el islam qui etait premier ministre qui avait reussi a convaincre son pere a changer sa politique de s’ouvrir et faire confiance aux frenchis et a Sarkozy qui avait recu un cadeaux de sa main que tout le monde connais la somme et apres il l’as poignarder au dos. Sarkozy avait regler le probleme de l’immigration? avait reussis a nettoyer les cites de la delinquance,de la drogue et aider les enfants a l’ecole, les Jeunes aux lycees et ouvrir des postes d’emplois a Ahmed ,Mamadou etc etc Sauf a ses « amis » geostrategique les shashis Kapoor pour emmerder dans aeroports les passagers musulmans avec des questions discramatoires. Ces laches de multiples nationalites sont des touwars de la libye, les memes qui faisaient le bon boulot en syrie. cree le mal pour affaiblir et detruire les peuples musulmans , cree le ko et l’anarchie dans leurs pays .dans l’interet de qui ?Aujourd’hui la libye est devenue une plaque tournante des traffics de drogues, l’immigration international clandestine et le pillage du petrole.

    Brahms
    6 mai 2024 - 9 h 25 min

    Après la destruction de certains pays musulmans, voilà ce que donne l’islam radical en FRANCE ?

    Sur le front de l’immigration et à l’approche des échéances européennes, l’exécutif veut afficher son volontarisme. Un bilan du ministère de l’Intérieur porté à la connaissance du Figaro révèle que 1 666 étrangers auteurs de troubles à l’ordre public ont été expulsés depuis janvier, soit une augmentation de 28 % par rapport à la même période de l’année précédente. En 2023, quelque 4 689 mesures d’éloignement forcé ont frappé les immigrés délinquants (+ 30 % par rapport aux 3 615 en 2022). Globalement, 11 722 étrangers ont été renvoyés, contre leur gré, dans leurs pays l’année dernière, soit là encore un bond de 22 % par rapport à 2022.

    Ce bilan à la hausse est notamment imputable, selon Gérald Darmanin, aux placements désormais prioritaires des clandestins les plus dangereux dans les centres de rétention administrative (CRA), jadis occupés par des familles et qui ont vocation à être l’antichambre de l’expulsion. Près de 500 places y ont été créées depuis 2017, pour un nombre total qui s’établit à près de 2 000 sachant que l’État va devoir mettre les bouchées doubles pour arriver aux 3 000 places promises d’ici à 2027. Ce lundi, le ministre de l’Intérieur est d’ailleurs attendu à Olivet, dans le Loiret, pour y inaugurer un nouveau centre tandis que d’autres CRA devraient sortir de terre à Béziers, Aix-en-Provence ou encore dans le Dunkerquois.

    Propos haineux envers les juifs.

    Pour expliquer l’augmentation des expulsions, l’hôte de Beauvau y voit les premiers fruits de la loi immigration. « Ce texte a permis d’exécuter 1 000 nouvelles obligations de quitter le territoire français qui ne pouvaient pas être prises auparavant contre des étrangers délinquants arrivés en France avant leurs 13 ans ou ayant développé des liens familiaux sur le territoire national », se félicite-t-on dans l’entourage du premier flic de France. Parmi les « têtes d’affiche », figure Mohamed Tataïat, condamné en 2022 pour avoir prononcé dans un prêche des propos haineux envers les juifs. Imam de la grande mosquée de Toulouse, il a été expulsé le 20 avril dernier vers l’Algérie. Un autre musulman radical, l’imam de Bagnols-sur-Cèze (Gard), Mahjoub Mahjoubi, a lui aussi été contraint de monter dans l’avion pour un aller simple vers sa Tunisie natale. Début mars dernier, le tribunal administratif de Paris avait rejeté le « référé liberté » de l’imprécateur qui s’était illustré en parlant des « drapeaux tricolores qui nous gangrènent ».
    Vidéo associée: L’expulsion des délinquants étrangers accélérée ? (Dailymotion)

    À plus bas bruits, les expulsions s’enchaînent. Comme celle, vers un pays du Maghreb, de cet immigré de 33 ans entré régulièrement en France en 2010 : père d’enfants français, il a été condamné à de multiples reprises pour trafic de stupéfiants – trente kilos de cannabis ont été retrouvés dans son coffre de voiture – et menaces de mort à l’encontre d’un dépositaire de l’ordre public. Dans un document porté à la connaissance du Figaro, figure aussi ce quadragénaire, étranger originaire d’Afrique subsaharienne entré irrégulièrement sur le territoire en 1989 avant d’être condamné à plus de trente reprises notamment pour des vols en récidive. Il a été conduit dans l’avion de force le 21 mars dernier, avec une interdiction de retour de cinq ans.

    Toujours selon nos informations, 60 étrangers islamistes radicaux, tous inscrits au fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), ont été expulsés depuis janvier. Même si c’est deux fois plus qu’il y a un an, le gouvernement, tenaillé par l’opinion, sait que cela n’est pas assez. Dans un télégramme adressé ce dimanche à tous les préfets, Gérald Darmanin veut donc augmenter la cadence. À propos du « suivi des étrangers inscrits au FSPRT », le premier flic de France y rappelle que « 1 535 ressortissants, dont 700 en situation irrégulière, sont actuellement suivis ».

    Seul un millier d’entre eux est en France, dont la moitié est déjà incarcérée, en CRA ou placés en structures psychiatriques. Pour l’heure, il reste donc 500 étrangers islamistes en puissance en liberté sur le sol national, tous suivis par les services, dont un tiers est des « irréguliers » faisant l’objet d’une procédure. Aux préfets, Gérald Darmanin demande à ce que soit engagé « dès que possible, et le cas échéant au prix d’un risque de contentieux des procédures d’éloignement ou d’expulsion pour tous les étrangers inscrits au FSPRT ». « S’agissant de ceux en situation régulière, vous procéderez chaque fois que possible au retrait des titres de séjours, et le cas échéant à la demande du retrait de la protection asilaire à l’Ofpra (Office français des réfugiés et apatrides) », poursuit le télégramme ministériel qui invite aussi à « analyser sans délais la situation des étrangers en lien avec les pays présentant un haut niveau de menace terroriste ». En filigrane, apparaît l’ex-théâtre syro-irakien, la région du Khorasan en Asie centrale et bien sûr les pays caucasiens d’où émergent de plus en plus de fous de Dieu.

    Sur la question des immigrés délinquants, Gérald Darmanin veut que soit procédé le « réexamen de toute situation individuelle d’étranger à l’origine des troubles à l’ordre public et dont l’éloignement n’avait pu être engagé sous l’empire des dispositions antérieures ». Avant de prévenir : « Cet examen doit être systématiquement effectué lors des interpellations réalisées par les forces de sécurité intérieure, ou à l’occasion de la délivrance et du renouvellement des titres de séjour. » En clair, chaque étranger ayant un casier se promène avec une épée de Damoclès sur la tête. « Vous veillerez à vous saisir personnellement de la compétence qui vous est donnée par la loi en matière d’expulsion », exhorte le ministre qui demande aussi à « solliciter les magistrats » pour procéder des « visites domiciliaires », autrement dit des perquisitions administratives, chez les étrangers ciblés « au fin de rechercher et de procéder à la retenue de tout document attestant de leur nationalité, permettant le cas échéant de se dispenser de l’obtention d’un laissez-passer consulaire auprès de son pays d’origine ». Une manière pour Darmanin de se montrer « méchant avec les méchants », même si sa bonne volonté se heurte au faible taux des reconduites effectives qui plafonne, selon les propres chiffres de Beauvau sous la barre des 20 %, avec 20 000 expulsions sur 110 000 mesures prises en 2023. Fustigeant la stratégie « inefficace » du gouvernement, un rapport de la Cour des comptes a même affirmé en janvier dernier que « seule une petite minorité – autour de 10 % – des OQTF est exécutée ».

    Derrière tout ce bazar, se cache en réalité, le Maroc avec son trafic de stupéfiants (153 000 tonnes) par an en Europe + l’islamisme radical vendu aux populations immigrés via les bédouins de la bédouinerie et leurs représentants en Europe qui sont distillés dans des mosquées.

    Résultat des courses, impossible de s’intégrer en Europe car l’immigré serait devenu délinquant de cités, un dealer, un islamiste donc incompatible ave le vire ensemble.

    S’agissant de l’usine de Tighnetourine, imaginez si ces fous de terroristes avaient fait sauter l’usine de gaz, le dégât environnemental considérable dans la région.

    En résumé, tous ces islamistes sont pour la plupart des malades mentaux, ils vivent dans leurs pensées, une prison mentale, ils pensent rejoindre un paradis alors que les arabos musulmans pratiquaient l’esclavagisme durant 13 siècles. Dans la vie, il n’y a pas de hasard, on a ce que l’on mérite.

      Anonyme aussi
      6 mai 2024 - 15 h 08 min

      Il n’y a pas d’islam radical. Il n’y qu’un seul islam respectueux de la vie humaine et qui dit clairement que seul dieu donne et prend la vie. L’islam radical dont vous parlez est un faux islam et ceux qui le pratiquent sont de faux musulmans. Il ne faut pas tomber dans le piège des mots crées dans les laboratoires de ceux qui haissent l’islam. On n’entend jamais parler de christianisme radical pourtant les radicaux existent chez eux aussi.

    Slims12
    4 mai 2024 - 22 h 22 min

    le petit royaume n’est que le préservatif occidental pour pénétrer et saboter en Afrique

    Brahms
    4 mai 2024 - 22 h 11 min

    Avant le terrorisme, les bédouins de la bédouinerie avaient mis en place le système des esclaves,

    Petit rappel, le 10 mai est la journée nationale des mémoires de la traite et de l’esclavage en France.

    La traite arabo-musulmane, elle, s’est étendue sur 13 siècles. Dès les débuts de l’Islam, au 7e siècle, elle s’est répandue dans tout le Maghreb d’où partaient des caravanes qui traversaient le Sahara pour ramener des esclaves noirs de la côte subsaharienne.

    Ensuite, tous ces bédouins voudraient aller au « paradis » alors qu’ils massacraient plein d’esclaves.

    En clair, tous en enfer ces bédouins.

    Brahms
    4 mai 2024 - 19 h 31 min

    Le soi disant djihad vendu par les bédouins de la bédouinerie,

    Derrière ces petits maillons de la chaine de terrooristes, se cachent en réalité tous les bédouins de la bédouinerie qui financent en sous main et jouent à la playstation comme des gamins gâtés en manipulant les pauvres citoyens qui se sacrifient pour des clopinettes leur faisant croire à un vaste « paradis ».

    Ensuite, le bédouin malfaisant reste dans sa belle villa à Dubaï avec son puissant 4/4, ses putes, son or et ses diamants et rigole du pauvre qui ira sacrifier sa vie maussade au nom d’un prétendu « paradis » dont aucune personne au monde en aurait vu 1 centimètre.

    Vivre dans ses pensées en érigeant une prison mentale voilà ce qu’ils vendent ces bédouins de la bédouinerie en sorte que le Tribunal criminel gérera les conséquences mais pas la cause exact de cet attentat meurtrier.

    Il est temps de dire HALTE à tous ces bédouins en leur présentant les factures de leurs dégâts causés.

    zz
    4 mai 2024 - 19 h 19 min

    REVEILLEZ VOUS ces islamistes agressent que des pays musulmans syrie algerie mais silence radio contre l entite bizarre non ??????

    Rabia W7
    4 mai 2024 - 12 h 50 min

    À ce que je sache , le gaz en bonbonne n’est pas si chère que ça en Algérie si besoin s’en faut pour ces débiles.

    M
    4 mai 2024 - 11 h 35 min

    Chaque fois qu’il y a un sale coup, les marocains (…) il faut qu’ils en soient .

      Anonyme
      4 mai 2024 - 12 h 30 min

      D’après l’article, des Algériens aussi .

        dz
        4 mai 2024 - 19 h 15 min

        des algeriens d origine marocaine faut le preciser

          Anonyme
          5 mai 2024 - 13 h 36 min

          Et madani il est aussi d’origine marroki ?

    Djebour de tlemcen
    4 mai 2024 - 11 h 17 min

    L’on remarque à chaque fois cette idée saugrenue chez ces individus de déshonorer leurs parents en changeant leurs noms et prénoms vers des Abou dadjal de la bedouinerie. Déjà des problèmes à la naissance .

    Assia
    4 mai 2024 - 10 h 58 min

    Cette affaire avait défrayé la chronique en France ou notre valeureuse armée aurait commis de graves fautes d’appréciation .Selon la théorie de gèze françois : Sauver et protéger les terroristes ..

    Anonyme
    4 mai 2024 - 10 h 51 min

    Il est extrêmement dommage que les 3 capturés n’aient pas comme les 29 autres rejoins leurs paradis.

    Moskos dz
    4 mai 2024 - 9 h 04 min

    Rappelons qu’Ali-Benhadj s’est inquiété sur le sort de ceux qui voulaient saboter l’économie de son pays,allant jusqu’à les qualifier de Khawa.

    Anonyme
    4 mai 2024 - 8 h 47 min

    Ça va être dur de ne pas prouver que cette attaque provient de nos meilleurs ennemis ( France, Maroc, usa, kippaland) avec qui nous ne cessons d’attribuer tous les contrats.
    Vivement l’(…)

      Anonyme
      4 mai 2024 - 11 h 09 min

      En effet, il manque à l’appel des f d p planquer dans des bureaux occidentaux.

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