La fortune du monarque dévoilée par Forbes met le feu aux poudres au Maroc

Mohammed VI Maroc
Une des dernières apparitions du roi du Maroc, très amaigri par la maladie. D. R.

Par Abdelkader S. – Le sujet est tabou au Maroc, où les médias reprennent le classement des plus grosses fortunes mondiales par Forbes, mais omettent sciemment de citer celle du roi et de sa famille prédatrice. Mohammed VI est, en effet, assis sur un patrimoine évalué à quelque dix milliards de dollars, pendant que tous les indicateurs dans son royaume exsangue sont dans le rouge. Le chômage y atteint des proportions invraisemblables, l’indice du développement humain est un des plus faibles au monde, la dette abyssale dépasse 100 milliards de dollars, près de la moitié des Marocains souffre de troubles psychiatriques, le taux d’analphabétisme dépasse l’entendement, alors que 72% de la population vit sous le seuil de pauvreté.

De nombreux Marocains, lassés par leur situation de sujets soumis de force à un régime monarchique moyenâgeux et corrompu, appellent désormais à boycotter toutes les entreprises appartenant au roi, notamment Maroc Télécom, Attijariwafa Bank et Marjane, la chaîne d’hypermarchés la plus importante du pays. Les Marocains résidant à l’étranger sont notamment appelés à retirer en masse leur argent de cet établissement financier qui sert au blanchiment des revenus de la drogue, dont la production est monopolisée par Mohammed VI et sa clientèle, qui ont réduit les pauvres paysans rifains à l’esclavage.

Les médias marocains détournent l’attention des citoyens en focalisant sur trois hommes d’affaires, parmi lesquels le Premier ministre, Aziz Akhannouch, ami intime du roi, dont la gestion des affaires du pays a plongé les Marocains dans une misère jamais égalée, appliquant à la lettre un programme d’ajustement structurel imposé par le Fonds monétaire international (FMI), lequel programme a provoqué une hausse vertigineuse des prix des produits de première nécessité, privant des millions de familles marocaines du minimum vital. Le chef de l’Exécutif, qui a augmenté sensiblement le prix de la bouteille de gaz butane, se trouve être, comble de l’ironie, le patron de la plus grande société de commercialisation de ce produit énergétique.

Deux autres businessmen marocains, Anas Serfioui (groupe Addoha) et Othman Benjelloun (Bank of Africa), sont évoqués aux côtés d’Aziz Akhannouch par les outils de propagande du Makhzen, pour faire oublier la fortune du monarque, au moins quatre fois supérieure à celle des trois autres réunies et orienter la colère de la rue vers le Premier ministre, et ainsi justifier son éventuel limogeage par l’intouchable roi aux dizaines de châteaux et aux centaines de voitures de luxe et de montres suisses. Cependant que les victimes du séisme du Haouz dorment toujours sous les tentes et que des régions entières sont privées d’eau potable, tandis que de nombreuses autres vivent à l’âge de la pierre, pour n’avoir jamais connu l’électricité.

A. S.

Comment (19)

    Achour Bachir
    29 mai 2025 - 20 h 05 min

    Oui, effectivement « Le sujet est tabou au Maroc ». L’article dresse un portrait accablant et sans détour du règne de Mohammed VI, soulignant avec force le décalage vertigineux entre la fortune colossale du monarque et la misère chronique de ses sujets. Il met en lumière une réalité sociale brutale, que les propagandes officielles marocaines s’emploient à dissimuler derrière des façades médiatiques trompeuses. Le document révèle que Mohammed VI détient une fortune estimée à plus de 10 milliards de dollars, une richesse obscène dans un pays où : L’indice de développement humain est parmi les plus faibles au monde, Le taux de chômage est dramatique, Le taux d’analphabétisme défie l’entendement, et 72 % de la population vit sous le seuil de pauvreté.
    Le contraste est saisissant : le faste royal cohabite avec la misère structurelle, l’abandon social et l’archaïsme des conditions de vie, notamment dans les zones rurales.
    L’exemple du séisme du Haouz est emblématique : des mois après la catastrophe, les sinistrés vivent toujours sous les tentes, sans eau potable, sans électricité, ni espoir concret de relogement. Certaines régions, comme le rappelle le texte, n’ont jamais connu l’électricité, et vivent littéralement à l’âge de pierre. Dans ce Maroc rural et abandonné, la bouteille de gaz est un luxe dont le prix ne cesse d’augmenter, au profit direct de ceux qui en contrôlent la distribution — notamment Aziz Akhannouch, Premier ministre et patron de la plus grande société de gaz du royaume. Ce conflit d’intérêts cynique illustre la captation totale de l’économie marocaine par une oligarchie liée au palais.
    Le contraste avec l’Algérie est perçu avec un mélange d’incompréhension et d’admiration par les citoyens marocains qui n’hésitent pas à se demander : Comment est-il possible que l’Algérien, dans le confort de sa maison, obtienne du gaz en ouvrant simplement un robinet ? C’est vraiment « quelque chose » qui les dépasse, qui relève pour eux de la magie noire. Cette image simple, mais puissante, symbolise un modèle d’équité dans la redistribution des richesses naturelles aux algériens, là où le Maroc continue d’imposer à ses citoyens les charges d’un service public privatisé, inéquitable et inaccessible.
    Un système féodal maquillé en modernité. Le régime marocain fonctionne comme une monarchie féodale du XXIe siècle, où les ressources nationales sont monopolisées par une élite autour du roi, tandis que le peuple, tenu dans l’ignorance et la dépendance, est sacrifié sur l’autel de la stabilité monarchique. Le document souligne le rôle des médias du Makhzen dans la distraction orchestrée, désignant quelques hommes d’affaires comme boucs émissaires pour détourner la colère populaire du véritable centre de pouvoir : le roi et sa fortune opaque. Le boycott populaire de Maroc Télécom, Attijariwafa Bank et Marjane apparaît comme un acte de révolte civique, d’un peuple qui cherche à rompre l’emprise de la monarchie sur la vie économique.
    Une monarchie d’apparat sur un champ de ruines sociales. Le document met en lumière une vérité brutale : le Maroc officiel vit dans le luxe, le Maroc réel survit dans la douleur. Il est légitime de dire qu’un peuple qui vit encore sans toit, sans électricité, sans eau potable, après un séisme destructeur, alors que son roi possède des châteaux par dizaines et des montres suisses par centaines, n’est pas gouverné mais exploité.
    La France, alliée du régime monarchique, devrait aussi s’interroger : peut-on continuer à défendre un pouvoir qui nie à son peuple l’essentiel, tout en affichant une façade de modernité économique ?
    Entre la France et le Maroc, une alliance politique au prix du silence moral : La France, partenaire historique et stratégique du régime monarchique marocain, entretient avec le royaume une relation complexe, mêlant intérêts économiques, coopération sécuritaire et héritages postcoloniaux. Cette proximité diplomatique, souvent qualifiée de « relation spéciale », s’accompagne d’un silence complice sur les dérives autoritaires, les inégalités sociales criantes et les violations récurrentes des droits fondamentaux au Maroc. Il est donc légitime de s’interroger : Peut-on encore prétendre incarner les valeurs des Lumières et des droits de l’homme, tout en soutenant — tacitement ou activement — un pouvoir qui confisque les richesses nationales, asphyxie la liberté d’expression, instrumentalise la religion à des fins de légitimation, et laisse une grande partie de son peuple sombrer dans la misère et l’abandon ?
    Une modernité de façade, un archaïsme structurel : La monarchie marocaine aime projeter à l’international l’image d’un royaume « stable », « réformiste » et « tourné vers l’avenir ». Elle mise sur des vitrines séduisantes : TGV, panneaux solaires, sommets internationaux, start-ups… Mais ce vernis de modernité ne résiste pas à l’examen de la réalité sociale : Les zones rurales vivent sans routes, ni écoles, ni centres de santé. Le taux de pauvreté atteint des sommets dans les montagnes du Rif, du Moyen Atlas et dans le Sud. Les sinistrés du séisme du Haouz attendent toujours, des mois après, un simple logement de secours, pendant que les palais royaux s’étendent, s’enrichissent, se rénovent. Cette fracture brutale entre apparence et réalité devrait interpeller non seulement les Marocains, mais aussi les alliés internationaux du régime, au premier rang desquels la France.
    La responsabilité morale de la République française : La France ne peut pas, sans se contredire profondément, critiquer les dérives autoritaires ailleurs dans le monde, tout en continuant à soutenir un régime marocain qui criminalise l’opposition, musèle la presse indépendante, et détourne les richesses nationales au profit d’une élite ultra-concentrée autour du trône. Ce soutien, fût-il diplomatique ou économique, revient à valider une structure de pouvoir profondément inégalitaire, autoritaire et archaïque.
    La République française, si elle veut rester fidèle à ses principes proclamés, ne peut plus ignorer que le régime qu’elle soutient au sud de la Méditerranée sacrifie sa population pour préserver les privilèges d’une monarchie accaparatrice.
    Il est temps pour elle de rompre avec une logique de convenance géopolitique, et de regarder en face la souffrance réelle d’un peuple maintenu dans la dépendance et la précarité par un pouvoir qu’elle continue, officiellement, à appeler « modéré ».
    Chantage insidieux exercé par la monarchie marocaine sur les régimes français et espagnol : Il est aujourd’hui difficile de ne pas voir dans le silence pesant de l’Élysée et dans la soumission embarrassée de La Moncloa les signes d’une diplomatie sous contrainte. Le royaume marocain, usant de l’arme invisible du logiciel espion Pegasus, semble avoir tissé un réseau de surveillance visant les plus hauts cercles du pouvoir en France comme en Espagne. Le président Emmanuel Macron et le chef du gouvernement Pedro Sánchez, tous deux nommément cités parmi les victimes d’espionnage par Pegasus, se retrouvent otages d’une monarchie autoritaire qui a su transformer la collecte clandestine d’informations sensibles en levier diplomatique. Dès lors, les décisions politiques et les revirements spectaculaires de ces deux pays — notamment la volte-face espagnole sur le Sahara Occidental ou les tentatives françaises de rapprochement unilatéral avec Rabat — ne relèvent plus d’une simple stratégie d’apaisement, mais portent les marques d’un chantage numérique d’État à État. Face à cette réalité, Paris et Madrid ont abdiqué, se pliant aux injonctions d’un pouvoir qui instrumentalise l’espionnage comme outil de domination géopolitique, dans le silence assourdissant des chancelleries européennes. Ce renoncement constitue une atteinte grave à la souveraineté, à la dignité étatique et à l’indépendance diplomatique.

    Chark
    29 mai 2025 - 18 h 48 min

    Avec une telle fortune , il à été incapable de régler la somme de 3 millions d’euros que la compagnie marocaine de transport de voyageur ( comarit ) résultat de cette affaire qui avait éclaté en 2012 , la CMA-CGM ( armateur français ) avait décidé de faire saisir les trois ferry marocain qui assuraient les liaisons avec séte , la justice française avait réussi à vendre un ferry un armateur grec , et les deux autres ont été vendu au poids de la ferraille , inutile de vous dire que cette affaire à été une véritable honte , le personnel naviguant sur ses trois ferry sont resté plusieurs mois confinés à bord sans salaires , survivant seulement avec l’aide de la croix rouge française , depuis 2012 , cette monarchie qui construit des lignes TGV à crédit , ne possède aucun ferry pour transporter ses ressortissants qui admirent encore LE ROI DE LA HONTE , qui les à envoyés dans les bras des compagnie de transport espagnole et italienne avec les prix des billets qui dépassent l’entendement .

    https://lemarin.ouest-france.fr/shipping/comanav-comarit-le-troisieme-ferry-abandonne-a-sete-vendu-b37b2b1a-b9c7-4262-b2bb-a9ed806d30f4

    Achour Bachir
    29 mai 2025 - 17 h 10 min

    Oui, effectivement « Le sujet est tabou au Maroc ». L’article dresse un portrait accablant et sans détour du règne de Mohammed VI, soulignant avec force le décalage vertigineux entre la fortune colossale du monarque et la misère chronique de ses sujets. Il met en lumière une réalité sociale brutale, que les propagandes officielles marocaines s’emploient à dissimuler derrière des façades médiatiques trompeuses. Le document révèle que Mohammed VI détient une fortune estimée à plus de 10 milliards de dollars, une richesse obscène dans un pays où : L’indice de développement humain est parmi les plus faibles au monde, Le taux de chômage est dramatique, Le taux d’analphabétisme défie l’entendement, et 72 % de la population vit sous le seuil de pauvreté.
    Le contraste est saisissant : le faste royal cohabite avec la misère structurelle, l’abandon social et l’archaïsme des conditions de vie, notamment dans les zones rurales.
    L’exemple du séisme du Haouz est emblématique : des mois après la catastrophe, les sinistrés vivent toujours sous les tentes, sans eau potable, sans électricité, ni espoir concret de relogement. Certaines régions, comme le rappelle le texte, n’ont jamais connu l’électricité, et vivent littéralement à l’âge de pierre. Dans ce Maroc rural et abandonné, la bouteille de gaz est un luxe dont le prix ne cesse d’augmenter, au profit direct de ceux qui en contrôlent la distribution — notamment Aziz Akhannouch, Premier ministre et patron de la plus grande société de gaz du royaume. Ce conflit d’intérêts cynique illustre la captation totale de l’économie marocaine par une oligarchie liée au palais.
    Le contraste avec l’Algérie est perçu avec un mélange d’incompréhension et d’admiration par les citoyens marocains qui n’hésitent pas à déclarer : Comment est-il possible que l’Algérien, dans le confort de sa maison, obtienne du gaz en ouvrant simplement un robinet ? C’est vraiment « quelque chose » qui les dépasse. Cette image simple, mais puissante, symbolise un modèle d’équité dans la redistribution des richesses naturelles aux algériens, là où le Maroc continue d’imposer à ses citoyens les charges d’un service public privatisé, inéquitable et inaccessible.
    Un système féodal maquillé en modernité. Le régime marocain fonctionne comme une monarchie féodale du XXIe siècle, où les ressources nationales sont monopolisées par une élite autour du roi, tandis que le peuple, tenu dans l’ignorance et la dépendance, est sacrifié sur l’autel de la stabilité monarchique. Le document souligne le rôle des médias du Makhzen dans la distraction orchestrée, désignant quelques hommes d’affaires comme boucs émissaires pour détourner la colère populaire du véritable centre de pouvoir : le roi et sa fortune opaque. Le boycott populaire de Maroc Télécom, Attijariwafa Bank et Marjane apparaît comme un acte de révolte civique, d’un peuple qui cherche à rompre l’emprise de la monarchie sur la vie économique.
    Une monarchie d’apparat sur un champ de ruines sociales. Le document met en lumière une vérité brutale : le Maroc officiel vit dans le luxe, le Maroc réel survit dans la douleur. Il est légitime de dire qu’un peuple qui vit encore sans toit, sans électricité, sans eau potable, après un séisme destructeur, alors que son roi possède des châteaux par dizaines et des montres suisses par centaines, n’est pas gouverné mais exploité.
    La France, alliée du régime monarchique, devrait aussi s’interroger : peut-on continuer à défendre un pouvoir qui nie à son peuple l’essentiel, tout en affichant une façade de modernité économique ?
    Entre la France et le Maroc, une alliance politique au prix du silence moral : La France, partenaire historique et stratégique du régime monarchique marocain, entretient avec le royaume une relation complexe, mêlant intérêts économiques, coopération sécuritaire et héritages postcoloniaux. Cette proximité diplomatique, souvent qualifiée de « relation spéciale », s’accompagne d’un silence complice sur les dérives autoritaires, les inégalités sociales criantes et les violations récurrentes des droits fondamentaux au Maroc. Il est donc légitime de s’interroger : Peut-on encore prétendre incarner les valeurs des Lumières et des droits de l’homme, tout en soutenant — tacitement ou activement — un pouvoir qui confisque les richesses nationales, asphyxie la liberté d’expression, instrumentalise la religion à des fins de légitimation, et laisse une grande partie de son peuple sombrer dans la misère et l’abandon ?
    Une modernité de façade, un archaïsme structurel : La monarchie marocaine aime projeter à l’international l’image d’un royaume « stable », « réformiste » et « tourné vers l’avenir ». Elle mise sur des vitrines séduisantes : TGV, panneaux solaires, sommets internationaux, start-ups… Mais ce vernis de modernité ne résiste pas à l’examen de la réalité sociale : Les zones rurales vivent sans routes, ni écoles, ni centres de santé. Le taux de pauvreté atteint des sommets dans les montagnes du Rif, du Moyen Atlas et dans le Sud. Les sinistrés du séisme du Haouz attendent toujours, des mois après, un simple logement de secours, pendant que les palais royaux s’étendent, s’enrichissent, se rénovent. Cette fracture brutale entre apparence et réalité devrait interpeller non seulement les Marocains, mais aussi les alliés internationaux du régime, au premier rang desquels la France.
    La responsabilité morale de la République française : La France ne peut pas, sans se contredire profondément, critiquer les dérives autoritaires ailleurs dans le monde, tout en continuant à soutenir un régime marocain qui criminalise l’opposition, musèle la presse indépendante, et détourne les richesses nationales au profit d’une élite ultra-concentrée autour du trône. Ce soutien, fût-il diplomatique ou économique, revient à valider une structure de pouvoir profondément inégalitaire, autoritaire et archaïque.
    La République française, si elle veut rester fidèle à ses principes proclamés, ne peut plus ignorer que le régime qu’elle soutient au sud de la Méditerranée sacrifie sa population pour préserver les privilèges d’une monarchie accaparatrice.
    Il est temps pour elle de rompre avec une logique de convenance géopolitique, et de regarder en face la souffrance réelle d’un peuple maintenu dans la dépendance et la précarité par un pouvoir qu’elle continue, officiellement, à appeler « modéré ».
    Chantage insidieux exercé par la monarchie marocaine sur les régimes français et espagnol : Il est aujourd’hui difficile de ne pas voir dans le silence pesant de l’Élysée et dans la soumission embarrassée de La Moncloa les signes d’une diplomatie sous contrainte. Le royaume marocain, usant de l’arme invisible du logiciel espion Pegasus, semble avoir tissé un réseau de surveillance visant les plus hauts cercles du pouvoir en France comme en Espagne. Le président Emmanuel Macron et le chef du gouvernement Pedro Sánchez, tous deux nommément cités parmi les victimes d’espionnage par Pegasus, se retrouvent otages d’une monarchie autoritaire qui a su transformer la collecte clandestine d’informations sensibles en levier diplomatique. Dès lors, les décisions politiques et les revirements spectaculaires de ces deux pays — notamment la volte-face espagnole sur le Sahara Occidental ou les tentatives françaises de rapprochement unilatéral avec Rabat — ne relèvent plus d’une simple stratégie d’apaisement, mais portent les marques d’un chantage numérique d’État à État. Face à cette réalité, Paris et Madrid ont abdiqué, se pliant aux injonctions d’un pouvoir qui instrumentalise l’espionnage comme outil de domination géopolitique, dans le silence assourdissant des chancelleries européennes. Ce renoncement constitue une atteinte grave à la souveraineté, à la dignité étatique et à l’indépendance diplomatique.

    De père en fils le + de Milliards et + de pauvres”
    29 mai 2025 - 10 h 26 min

    Lorsqu’il est arrivé en 1999 , Mimi 6 s’est auto-proclamé “Roi des Pauvres”
    Le prochain lui sera
    le “Roi des encore plus Pauvres”

    Aderre
    28 mai 2025 - 23 h 45 min

    Ses Services et ses ‘Momo boys’ auront des soucis à se faire. Les Etats du Benelux plus la France, et l’Espagne commencent à s’intéresser de très près aux lessiveuses à Narco-euros amassés depuis les années 2000 ; surtout aux activités « économiques » de certains ressortissants marocains en Europe et aux Emirats.
    Tous ces pays se dotent d’un arsenal juridique anti-narcotrafic, et ils sont particulièrement armés d’une volonté politique pour combattre le crime organisé, le blanchissement, le rapatriement de sommes astronomiques vers des banques à Rabat et Casa par l’intermédiaire de leurs filiales en Europe.

    Apres les menaces reçues du 1ere ministre hollandais, l’UE plus singulièrement, Interpol s’est concerté afin d’analyser et de documenter sérieusement l’enrichissement subite d’une certaine communauté magrébine, leur ultras activisme économique. Ces nouveaux argentés achetaient :

    -1ere étape : le financement de commerce [Sandwicheries, salon à Chicha, Solderies éphémères].
    -2eme sera la prise de participations ou recapitalisation de PME en difficultés, en passant par le rachats d’hôtels, Bars, PMU dans les zone rurales souvent désertes, à la marge des grands centres urbains.
    -3eme c’est de l’immobilier, de la voiture de luxe à Dubaï, et après la vente de ces biens l’argent sort Dubaï vers le Maroc.
    Alors, tous les indices et fuseaux d’indices remontés par Interpol ont conduit aux commanditaires, aux organisateurs-sponsors des petits vendeurs de hachich, et de la poudre blanche motivante.

    Comme par hasard, c’est encore à Dubaï, la terre Sainte des blanchissements, où agissaient en toute impunité les comptables, les notaires, desTaghi ; Ils transféraient des fonds blanchis vers les holdings détenues par des marocains.
    Ces Taghi, [Barons du hachich, Père et ses fils 02] aussi Otheman El Ballouti, Nordin El Hajjioui (c’est de la cocaïne) ; vu leur niveau d’instruction, toujours selon la police européenne, ne pouvaient entreprendre, gérer, de tel projet de vie sans une main protectrice et un œil approbateurs de gens très haut placés à la fois à Rabat et à Dubaï.

    Toto
    28 mai 2025 - 20 h 50 min

    Je pense au discours de sa majesté lorsqu’on lui avait annoncé une prétendue découverte de gaz. Il avait commencé par avancer que « Nous » (pour éviter d’employer « Lui », politesse de roi oblige) allons géré avec prudence et pas gaspillé les ressources comme certains pays (sous entendu l’Algérie).
    Je pense également au discours des makhzeniens aidé par les médias occidentaux qui cachent la réalité en présentant ce pays qui ne possède pas de bien et qui fait des miracles économiques contrairement à d’autres pays mieux lotis (toujours sous entendue l’Algérie).
    Aucun sujet sérieux sur le narcotrafic, sur le blanchiment de la drogue,sur le tourisme sexuel, sur l’impérialisme et le non respect du droit international avec le Sahara occidental, …
    La partie pris de ces médias font qu’ils oublis la réalité sociale, économique de ce pays.

    Avec toute cette propagande qui imprègne la société marocaine et avec un peuple qui a « la tête sous l’eau », la révolution est encore bien loin. Mais un peuple qui commence à se révolter peut espérer arrive à changer les choses seulement c’est au seul peuple marocain à le faire et personne ne pourra le faire à sa place.

    Aurès
    28 mai 2025 - 20 h 28 min

    Ce qui arrive au peuple marocain est juste. Un peuple n’a que ce qu’il mérite. Le mafieu hassan 2 l’avait bien compris. La dynastie alaouite ayant le long règne à ce jour sur le peuple d’esclaves marocains l’avait très bien compris. Les alaouite ont relevé le côté animal et docile de ce peuple de mouton aimant la soumission et surtout aux caractéristiques masochistes.il suffit de se rappeler de cette phrase d’hassan le voyou sur une chaîne française lorsque le journaliste lui demandait si les difficultés du peuple marocain ne risquaient pas de créer des soubresauts dans le royaume. Il avait répondu avec malice et sadisme  » ne vous inquiétez pas, affamez votre chien et il vous suivra. le peuple marocain est résilient et reconnaissant envers sa monarchie de droit divin. Il comprend qu’avec d’autres gouvernants ça ne peut qu’être pis « . A bon entendeur. Bien à vous.

    Le Berbère
    28 mai 2025 - 19 h 15 min

    Le petit roi des pauvres dort sur un joli p’tit pactole ! Dix milliards de dollars, voilà la recette de deux décennies de dur labeur en tant que chef suprême du cartel. On comprend mieux maintenant comment il possède 36 montres de luxe de genre , Patek Philippe, Panerai, Cartier, Rolex, etc..Comme elle dît la chansonnette : Ma p’tite entreprise, connaît pas la crise.. voilà le slogan de chef de cartel de Fès et de Marrakech.

    Brahms
    28 mai 2025 - 17 h 11 min

    Il a quand même une tête de tortue, il pense à la drogue et à l’argent.

    Bientôt, un démon va le prendre pour l’emmener dans son royaume chez Belzébuth.

    Qu’il aille se saouler à Paris à coup de litron de whisky, la nuit dans les bars, personne ne le verra.

    Kahina-DZ
    28 mai 2025 - 15 h 23 min

    Les rentes de la drogue + Les méthodes Lyautey = $$$$$$ qui vont à la poche de Amir des pauvres et des hallucinés.
    C’est lui la Suisse de l’Afrique et non pas le marrouk et ses misérables…

    Moskos dz
    28 mai 2025 - 14 h 52 min

    Sachant qu’en aucun cas l’économie de l’état voyou ne dépend de l’autorité du roi supplétif,dont la traîtrise se transmet de pères en fils,pour mener donc à bien l’agenda de ses maîtres,automatiquement ceux-ci n’ont de choix que placement de leur vassal sur une montagne d’or,pour qu’il puisse à son tour corrompre les antis Algérie,Sahara Occidental,ainsi que certains petits états Africains nostalgiques de l’époque coloniale.

    Moskos dz
    28 mai 2025 - 14 h 26 min

    Sachant qu’en aucun cas l’économie Marocaine ne dépend de l’autorité du roi marionnette plus au service des puissances étrangères qu’à sa populace,automatiquement ses maîtres placent leur supplétif sur un tas d’or pour qu’il puisse à son tour bien rémunérer les antis-Algérie,Sahara Occidental et corrompre les petits états Africains nostalgiques de l’époque coloniale.

    HANNIBAL
    28 mai 2025 - 11 h 46 min

    Le roi des Povres est classé parmi les plus fortunés , et sa populace la plus aplaventriste qui
    soit et qui existe au monde se pressant , comme des Limaces pour lui baiser les pieds adulé et
    se nommant amir el mouminine se croit au moyen age pour etre si vénéré par un peuple
    analphabète admirant chlomo VI comme le garant de leur misère , ses sujets n’ont que ce qu’ils méritent
    c’est pas moi qui va les plaindre voyant leur comportement a l’étranger je pense toujours a ces vermines
    qui traine en Algérie , et a leur expulsion tous les marokés sont fourbes ils sont comme un épi de grain
    ils se ressemble tous ,ils ne se plaigne pas de vivre dans cette narcomonarchie pas d’empathie pour les mauvaises graines qui colonise les Saharaouis , dans une interview hassan dos a déclaré qu’il était
    pret a sacrifié un tiers de son peuple pour le Sahara Occidental, on voit la valeur du marokin donné par
    leur monarque , qui déclare sa flamme a sa populace chaab el aziz quelle horreur pour perpétrer et
    faire avancer son indice de développement ,de plus en plus dans la misère meme quand ils ont un toit dans
    un bidonville il le rase pour donnerle terrain aux $ionistes , faut pas chercher loin quand on a le cerveau embrumé c’est voulu , ils ne peuvent qu’obéir sans réfléchir tout est bien et ça continu a crier aich yal malik voyont !!

      Thifran
      28 mai 2025 - 17 h 29 min

      Le roi ne doit son existence qu’à la présence sioniste sur son territoire et les facilités qu’il donne cette entité manipulatrice, ne leur a-t-il pas ouvert toutes les portes du royaume au dépens de son propre peuple ? Si les marocains ne font pas le ménage rapidement cette présence finira par les achever complètement et n’auront que les yeux pour pleurer sur leur sort. Le roi lui s’en fout tout ce qui l’intéresse vivre comme un roi et comme disait un empereur romain « qu’ils me haïssent pourvu qu’ils me
      craignent » cela illustre parfaitement la situation marocaine.

    Le roi des pauvres 😂 😂
    28 mai 2025 - 11 h 15 min

    Les Marrokis se font Tondre comme des Moutons …et ils en redemande
    Gallek …le roi des pauvres 😂
    Pardon mais les Mokokos sont vraiment trop cons !😂

    Luca
    28 mai 2025 - 10 h 17 min

    Ça paye super la drogue en quantité industrielle. J’aimerais bien connaître aussi la fortune de ses patrons , les dirigeants politiques français

    Sprinkler
    28 mai 2025 - 10 h 12 min

    Ses sujets soumis consentants se comptent par dizaines de millions…Si la pauvreté humaine inspire la commisération, il est difficile de compatir avec cette « peuplade » miséreuse qui se complaît dans un asservissement héréditaire à un tyran qui « palpe » des millions et brasse des milliards d’euros ! Cette vieille monarchie véreuse moribonde couche avec le sionisme et rêve de noces en « robe blanche »…

      Un Peu De Respect CAMEME
      28 mai 2025 - 12 h 13 min

      C’est AMIR EL MOUMINE YA SAHBI, un peu de respect pour ce peuple élu, les marocains ont la chance et le privilège d’être dirigé par un envoyé d’ALLAH, la famille narcotique est envoyée par WIFI ou peut être par téléchargement rapide via la fibre depuis les cieux en direction du peuple esclave.

    Brahms
    28 mai 2025 - 10 h 09 min

    Qu’ils se débrouillent entre eux et leur protectorat français qui a commencé en 1880.

    En tant que DZ, nous n’avons pas à nous mêler de leurs problèmes, qu’ils se débrouillent entre eux.

    Pour rappel, sa richesse vient essentiellement de Chadli et Bouteflika qui lui ont donné du gaz gratuit de 1979 à 2019 soit durant 40 ans. Ensuite, ce rapiat revendait ce même gaz à ses entreprises marocaines ainsi qu’aux particuliers pour s’enrichir couplé au trafic de stupéfiants (cannabis).

    Le Maroc n’a aucune indépendance, c’est la France qui dirige ce pays et met ses marionnettes comme elle l’entends et si vous avez un rebelle comme BEN BARKA, le Mossad israélien se chargera de l’élimination.

    Sa fortune est donc illusoire, l’argent change de main tous les jours en fonction des décès. Aujourd’hui, vous êtes riche et demain, votre argent partira dans les caisses de l’Etat. Tout est éphémère dans la vie.

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