La sioniste Laura Loomer : bête médiatique échappée des caniveaux numériques de Trump

Laura Loomer
Laura Loomer incarne la haine décomplexée qui ose tout. D. R.

Une contribution de Khaled Boulaziz – Qu’on en prenne acte dès le départ : Laura Loomer n’est ni une «journaliste» ni une «influenceuse» digne de ce nom. Elle est une activiste juive sioniste d’extrême-droite, une bête médiatique échappée des caniveaux numériques de Trump, dont la haine des Palestiniens est si incommensurable qu’elle a franchi un pas supplémentaire dans l’ignominie : s’acharner contre des enfants amputés, brûlés, mutilés par les bombes, et exiger qu’on leur ferme la porte des hôpitaux.

Voilà son exploit : transformer des gosses agonisants en «menace nationale», réduire des bébés estropiés en « infiltrés islamistes». On connaissait déjà la bassesse des réseaux sociaux, on découvre avec elle leur gouffre moral. Loomer, c’est l’archétype du monstre sioniste de notre époque : se repaître de la douleur palestinienne, travestir la charité en danger, inverser les rôles jusqu’à faire passer un enfant sans jambe pour un soldat de l’ombre.

Et, comble du scandale, sa bile contagieuse a suffi à tordre la colonne vertébrale d’un Etat. Le département d’Etat américain, dans un communiqué glacé, a annoncé la suspension des visas médicaux pour les habitants de Gaza. Autrement dit, on laisse crever ceux qui espéraient encore une chance de survie hors des ruines, simplement parce qu’une furie sioniste a hurlé sur X. Quelle grandeur pour une superpuissance : se mettre au garde-à-vous devant les éructations d’une hystérique.

Les faits, eux, ne souffrent d’aucune contestation. Le 30 juillet, grâce à l’OMS et à l’ONG HEAL Palestine, onze enfants grièvement blessés et vingt-six membres de leurs familles ont été évacués vers la Jordanie, puis accueillis début août aux Etats-Unis. Prothèses, greffes, rééducation : voilà le programme. Humanitaire, limpide, transparent. Mais pour Loomer, c’était l’«invasion islamique». Voilà sa logique : quand un enfant pleure, elle y voit une cellule terroriste ; quand une mère supplie, elle y voit une espionne ; quand un hôpital soigne, elle y voit un camp d’entraînement.

Qu’un pays comme les Etats-Unis obéisse à ce délire est une honte historique. Les ONG médicales américaines le répètent : depuis trente ans, elles sauvent des milliers d’enfants palestiniens grâce à ces évacuations. Le Palestine Children’s Relief Fund parle de «bouée de sauvetage», de vies suspendues à un visa. Mais pour Loomer et ses apôtres, ces vies ne valent rien : elles sont bonnes à sacrifier sur l’autel d’une croisade anti-palestinienne. Voilà la vérité nue : les enfants de Gaza paient de leur chair les fantasmes d’une militante sioniste en mal de likes.

Appelons un chat un chat : Loomer n’a pas d’humanité. Elle aboie, elle bave, elle s’enivre de sa haine. C’est une hyène qui rôde autour des cadavres, se gorge du sang et ose ensuite poser pour les caméras en patriote. Elle ne protège rien, elle pollue. Elle n’éclaire rien, elle obscurcit. Elle n’a pas d’idées, seulement des obsessions. Et ces obsessions, parce qu’elles sont sionistes, trouvent un relais complaisant dans les sphères du pouvoir américain.

Pire encore : certains élus, loin de s’indigner, la félicitent. Randy Fine, député républicain, l’a remerciée publiquement pour son «courage». Quel courage ? Celui d’empêcher des enfants brûlés de recevoir des soins ? Celui de condamner des amputés à l’agonie ? Si c’est cela le courage, alors c’est le courage des bourreaux, le courage des pompes funèbres.

Qu’on ne nous serve pas l’excuse de la «sécurité nationale». Suspendre des visas médicaux ne protège personne. Cela tue, point. C’est une condamnation à mort prononcée à distance, dans le confort climatisé d’un bureau, sous l’influence d’une agitatrice sioniste qui n’a jamais vu un champ de ruines autrement qu’à travers un écran. Pendant qu’elle se pavane, les hôpitaux de Gaza s’effondrent, les blocs opératoires sont plongés dans le noir et des enfants meurent faute de soins. Voilà la conséquence directe de ses vociférations.

Et que personne n’ose dire qu’il s’agit d’une «controverse». Ce n’est pas une controverse, c’est une abjection. Ce n’est pas un débat, c’est une déchéance. Laura Loomer, activiste juive sioniste, restera comme le visage de cette haine décomplexée qui ose tout : piétiner les mourants, insulter les médecins, transformer la charité en crime. Elle n’a pas seulement perdu son humanité : elle en fait commerce.

Il est encore temps pour l’Amérique de redresser la tête. De dire que la médecine n’est pas une arme, qu’un visa médical n’est pas un privilège mais un droit élémentaire quand il s’agit de vie ou de mort. Mais ce temps se réduit à chaque minute, à chaque enfant privé de soins.

Que reste-t-il alors ? Cette évidence : derrière chaque visa suspendu, il n’y a pas un terroriste, mais un enfant mutilé. Derrière chaque mutilé, il n’y a pas une menace, mais une victime. Derrière chaque victime, il n’y a pas un slogan, mais un crime. Et ce crime porte aujourd’hui un nom : Laura Loomer.

K. B.

Comment (2)

    Dr Kelso
    17 août 2025 - 18 h 59 min

    Avec le énième génocide à Gaza, la shoah peut aller se rhabiller et tomber aux oubliettes.
    Maintenant personne que ce soit pays et population ne pourra dire qu’il n’était pas au courant car tous complices.
    Honte à cette femme voilà à quoi sert le féminisme zaâma.
    Pour reprendre une journaliste de presse écrite libanaise « comme si nos vies de bougnouls ne valaient pas la leur ».
    Allah yrahmoum
    FREE PALESTINE

    🇩🇿 Fodil Dz
    17 août 2025 - 18 h 58 min

    Il y a quelque chose de très sale chez ces nazi sionistes. C’est en eux. Ils ne sont pas humains. Ça transpire la haine et ça sent la mort. La mort est en eux. Elle circule dans leurs veines. C’est pas casher car Yahweh les a maudit. C’est jiffa. Le poison des nations, c’est eux. La maladie des peuples, c’est eux. Le cancer de l’humanité, c’est eux. Les guerres, les destructions, le chaos, c’est eux. Le mal absolu!

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