L’Algérie ne doit rien à la France : faux milliards contre vraie dette du sang

France
La lourde dette de la France envers l'Algérie sera bien à l'ordre du jour du Conseil des ministres un jour... D. R.

Une contribution de Benyoucef Bedouani – Depuis des décennies, l’Algérie est la cible de campagnes médiatiques et politiques destinées à la dénigrer. Les relais changent, les chiffres varient, mais le procédé reste identique : présenter l’Algérie comme un fardeau pour la France. De Bruno Retailleau à Sarah Knafo, certains n’hésitent pas à brandir des chiffres imaginaires pour accuser Alger de «coûter des milliards». Ces attaques ne sont que petitesse politique déguisée en scandale budgétaire. Or, la vérité est inverse : l’Algérie ne doit rien à la France. C’est Paris qui reste redevable, après cent trente-deux ans de colonisation, 5,6 millions de martyrs et des essais nucléaires dans le Sahara, dont les séquelles persistent encore. Aucune pression, qu’elle soit diplomatique, médiatique ou lobbyiste, n’a jamais réussi à infléchir la constance algérienne, forgée par son histoire de lutte, sa fidélité à la mémoire des martyrs, sa défense de la souveraineté nationale et son engagement indéfectible pour la cause palestinienne. Comme le rappelait Frantz Fanon, la colonisation peut réduire un peuple par les armes ou l’asphyxier économiquement, mais elle ne peut abolir sa conscience et son identité profonde.

Depuis l’indépendance, les adversaires de l’Algérie n’ont cessé d’activer des leviers multiples pour tenter de la neutraliser : plans militaires étudiés puis abandonnés, pressions économiques, campagnes médiatiques ou diplomatiques. Tel-Aviv, qui n’a jamais digéré le refus algérien de toute normalisation, a multiplié les relais pour isoler Alger. Mais ces efforts sont restés vains.

L’Algérie est née d’une guerre de Libération qui a inscrit dans la conscience collective un principe intangible : ne jamais se soumettre. Contrairement à d’autres régimes arabes qui ont choisi la normalisation, l’Algérie a accepté de payer le prix fort – une décennie noire de terrorisme importé, un isolement diplomatique, des difficultés économiques – sans jamais céder. Cette fermeté explique pourquoi, malgré des milliards dépensés pour l’affaiblir, ses adversaires se heurtent toujours à un mur.

Mensonges chiffrés et dette historique

C’est dans ce climat qu’émergent des voix françaises en quête de notoriété. Bruno Retailleau affirme que «l’Algérie humilie la France», tandis que Sarah Knafo brandit une prétendue «facture» de neuf milliards d’euros par an. Ces proclamations ne reposent sur rien de sérieux : elles additionnent aides sociales, transferts privés de la diaspora, impayés hospitaliers ou pensions de retraite légitimes. Jusqu’à inventer des coûts attribués à une soi-disant «délinquance par nationalité», elles relèvent davantage de la propagande que de l’analyse.

Les faits sont pourtant clairs. L’aide publique au développement destinée à l’Algérie est de 136 millions d’euros en 2022, selon le ministère français des Affaires étrangères (1). Le président Abdelmadjid Tebboune a rappelé que les montants réels tournent autour de 20 à 30 millions par an, et que l’Algérie n’en a nul besoin (2). Les pensions de retraite versées en Algérie – environ 1,1 milliard d’euros – ne sont pas un cadeau, mais le fruit des cotisations versées par des ouvriers algériens qui ont bâti la France (3). Quant aux transferts privés de la diaspora, environ 2 milliards d’euros par an (4), il s’agit d’argent privé, déjà imposé, et non d’une dépense publique.

Mais au-delà des chiffres, la véritable question est historique. Si une dette existe, elle est française. 132 ans de colonisation, 5,6 millions de martyrs, 17 essais nucléaires dans le Sahara, dont les séquelles perdurent : voilà la vraie facture, qui se compte en milliers de milliards d’euros. Le président Tebboune a fait preuve de sagesse en affirmant que l’Algérie ne réclame pas d’argent, mais avant tout la reconnaissance officielle des crimes coloniaux et la réparation des dommages liés aux essais nucléaires. Pourtant, cette ligne digne n’a trouvé aucun écho à Paris. Au contraire, les héritiers idéologiques du colonialisme, incapables d’accepter leur défaite de 1962, persistent à inverser les rôles.

La constance algérienne face aux manipulations

L’Algérie n’a jamais quémandé. Elle a donné : ses pilotes et ses blindés dans les guerres de 1967 et 1973, son soutien constant à la Palestine, sa solidarité avec toutes les causes anticoloniales. Elle a été le premier pays à reconnaître l’Etat de Palestine proclamé par Yasser Arafat en 1988 à Alger. Elle a résisté à l’effondrement de l’URSS, à l’isolement diplomatique et aux tentatives de déstabilisation. Elle a refusé les mains empoisonnées tendues dans ses moments de faiblesse (5). Aujourd’hui encore, sa diplomatie prive Israël et ses soutiens de ce qu’ils recherchent le plus : la normalisation et la respectabilité.

Face à cette constance, les slogans de Retailleau et les chiffres farfelus de Knafo apparaissent pour ce qu’ils sont : des aboiements creux. Ils n’ont ni la légitimité des faits ni le poids de l’Histoire. Ce sont les cris d’héritiers idéologiques d’un système colonial criminel, humilié en 1962 et incapable d’accepter la victoire d’un peuple souverain.

Vérité et justice comme riposte

Il ne suffit plus de répondre par des démentis. Les attaques répétées contre l’Algérie doivent désormais être traitées comme des diffamations politiques et médiatiques, et combattues juridiquement. L’Algérie a les moyens d’engager des actions devant les tribunaux français et les instances internationales. La souveraineté se défend aussi par le droit.

L’Algérie ne doit rien à la France. C’est la France qui doit à l’Algérie, et pas seulement des excuses : une reconnaissance officielle de ses crimes coloniaux et une réparation des crimes nucléaires. Tant que Paris n’assumera pas cette vérité, les aboiements des héritiers coloniaux continueront. La réponse doit être ferme : à chaque mensonge, la vérité ; à chaque provocation, la justice.

B. Y.-B.

1) Ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères, chiffres APD 2022–2023 ; TF1 Info, 26 juin 2024.

2) Entretien du président Abdelmadjid Tebboune à L’Opinion, 3 février 2025.

3) Cour des comptes, Rapport sur la fraude aux prestations sociales, 2020.

4) Banque mondiale, Migration and Development Brief 2023, section Algérie.

5) Saïd Abadou, La décennie noire et l’Algérie souveraine, Alger, ENAG, 2005.

Comment (16)

    Anonyme
    27 août 2025 - 15 h 51 min

    « Toi qui veut rentrer chez toi et qui attend un certificat de conformité pour transférer le bien de ton pére en ton nom »
    Sans polémiquer avec toi sur ce que tu a compris ou pas dans cette démarche, je te conseille, plus simplement de mettre la main dans ta poche pour rétribuer un BE ou expert immobilier en Algérie, afin qu’il prenne en charge ce dossier et clarifier TOUTES les démarches techniques et administratives afin de parvenir à la mutation du bien réclamé. PS en Algérie aussi, il y a une administration telle qu’il y a en France, alors respecte celle de « ton » pays d’origine.

    La France doit à l’Algérie une reparation inestimable
    27 août 2025 - 15 h 29 min

    Il y a une reparation inestimable que la France doit à l’Algérie, c’est 132 ans de privation d’éducation de base à 5 generations (1830-1962) de la population .

    Lhadi
    27 août 2025 - 15 h 22 min

    Le politique post-indépendance a marqué profondément son temps par l’efficience intransigeante sur les principes. Force est d’admettre qu’au jour d’aujourd’hui, il s’illustre par des gesticulations de surface qui rentrent dans le cadre du jeu de miroir de la société spectacle.

    On peut raisonnablement dégager le noyau rationnel de ce propos sans s’enfermer dans une polémique : on ne gouverne pas le pays d’un million et demi de martyrs si on ne fait pas sienne cette maxime : « Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maitre, s’il ne transforme sa force en droit et l’obéissance en devoir ».

    C’est en patriote intransigeant que le citoyen algérien que je suis, fidèle à lui-même, se montre un critique impitoyable contre cette gouvernance qui n’a jamais pris la mesure du cocuage de l’Algérie adamantine ballotée dans les certitudes du conservatisme alors que le monde, en perpétuel changement, se mue, bouge, avance.

    Je vitupère l’indécrottable médiocrité et les insuffisances dans la conduite de cette gouvernance qui administre le pays à hue et à dia et je dénonce la pensée magique qui réduit l’appréhension à solutionner tous les maux inhérents au sous développement.

    Il ne faut pas se leurrer. La source de la prospérité et de la puissance de notre pays c’est son propre développement qui a besoin de ses propres moyens pour y parvenir, et qui n’entend pas les engouffrer indéfiniment dans des tâches sans issue.

    Pour contenir le néo-patrimonialisme plus ou moins autoritaire, le laxisme plus ou moins complaisant, et le conformisme plus ou moins sclérosant, le citoyen algérien que je suis, plaide pour des reformes politiques, économiques et sociales profondes qui répondent aux besoins les plus extraordinaires et ce, en changeant de cap.

    Cette lueur d’optimisme dans l’histoire tumultueuse de la politique algérienne et de la vie de notre nation, montre à tous le monde que les algériens veulent passionnément, ils veulent absolument une Algérie indépendante aujourd’hui et demain. Ils veulent une Algérie qui reprenne, la tête haute, sa place dans la marche du progrès et qui soit présente dans tous les domaines de la création humaine, une Algérie libre, forte et heureuse.

    Cette passion-là, ce patriotisme intransigeant animent la majorité silencieuse dont il appartient de construire une Algérie nouvelle en adéquat à une vision politique et économique, sociale et culturelle conforme à la loi fondamentale de la république, aux intérêts les plus élevés de la nation et in fine au bonheur des citoyennes et des citoyens de notre pays.

    Ces objectifs sont à la fois neufs et ambitieux. Je crois que nous pouvons, nous devons, tous ensemble, faire de l’Algérie un pays qui fonctionne bien, non pour quelques rares privilégiés mais pour chacun d’entre nous.

    Bâtir une grande Algérie meilleure qu’elle ne l’est aujourd’hui, telle sera la mission première qui incombe à tous ceux qui aiment leur patrie avant leur âme.

    Quand allons nous tirer les enseignements de tout cela ? Quand allons nous comprendre que sans développement politique, il n’y aura point de développement économique, social et culturel.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Kasso
    27 août 2025 - 14 h 00 min

    C’est la France qui était redevable envers l’Algérie j’ai l’occasion une fois de ce rendre à la FNAC de Châtelet dans le rayon bibliothèque j’ai lus un livre qui a été écrit par un écrivain français sur la guerre de l’Algérie a même soulever les problèmes et les causes de la colonisation de l’Algérie par les Français et parmi ces causes il y a le trésor ils ont volé en Algérie par les militaires Français et son estimation plus de 5 milliards d’euros.

    Dante
    27 août 2025 - 12 h 55 min

    Je suis absolument sûr et certain que les Bousbiriens Parasites Clandestins ( plus de 1,2 MILLIONS ) avec la complicité des autres MILLIONS de Snp Bousbiriens ils sont derrière les incendies récentes en Algérie et ça sans le moindre doute.

    Free PALESTINE, Free WESTERN SAHARA et ZÉRO BOUSBIRIEN sur le SOL ALGÉRIEN

    🇩🇿 Fodil Dz
    27 août 2025 - 11 h 50 min

    L’Algérie n’est en rien redevable à la france. C’est plutôt la patrie d’adolphe crémieux qui a des obligations envers notre pays. C’est la france qui a un lourd passif qu’elle n’arrive pas à régler car elle refuse de reconnaître les nombreux crimes coloniaux qu’elle a commis.

    L’Algérie est le plus grand pays d’Afrique et du bassin méditerranéen, mais elle n’est pas considérée comme une grande puissance mondiale, même si elle possède des atouts considérables, tels qu’une position géostratégique, d’importantes réserves d’hydrocarbures et une armée puissante. D’autre part, notre pays a aussi de puissants alliés, la Russie (quoi qu’on pense) et la Chine, qui restent puissants et sont capables de tenir à distance l’ensemble du monde occidental, y compris les États-Unis. Et, bien sûr, la Chine peut remplacer la france et d’autres pays européens dans les échanges commerciaux sans difficulté logistique. La proximité de l’Algérie avec les BRICS et son adhésion récente à la Nouvelle Banque de Développement (NBD) sont des éléments à prendre en compte dans l’exercice de la pression.

    Notre pays, colonisé et asservi pendant 132 ans, qui, par sa victoire pour sa liberté, a pris son destin en main pour bâtir une économie et des infrastructures gigantesques, des réalisations dans tout le pays et des projets d’avenir en cours, planifiés et étudiés, une stabilité politique et sociale, des relations internationales et une coopération avec les pays du monde, sans dette extérieure qui laisse beaucoup à désirer, toute cette belle œuvre n’a été accomplie par aucun pays au monde, sauf par un seul: l’Algérie. Il faut donc se méfier de la jalousie, une émotion qui s’empare d’une personne, l’asservit à ses peurs et à ses angoisses et la pousse vers des comportements potentiellement destructeurs, et peut se transformer en crise pathologique si elle devient obsessionnelle et étouffante (ex. Retuyo et les amateurs politicards algérophobes français!).

    La justice est là pour trancher équitablement entre tous les pays, qu’ils soient français, algériens ou internationaux, afin que chacun puisse réclamer ses dettes, qu’il les reçoive ou les paie. Il suffit de présenter une preuve de ce qu’on a emprunté ou donné. Les mots ou les larmes de crocodile pour accuser les autres n’ont de valeur que pour celui qui les prononce. La justice se moque des mots vides. Oui, Monsieur Bedouani, combien de fois cette sordide menteuse nazi sioniste, la knafo, a-t-elle diffusé de fausses informations, avec des chiffres exorbitants, que son pays d’accueil, la «france Zone B», avait dépensé 800 millions d’euros/an pour l’Algérie, et qu’elle avait même été traînée devant les tribunaux pour les convertir en quelques centaines de millions, dépensés en fait pour le bénéfice de la France en Algérie sur une durée de cinq (5) ans. Malheureusement, en france, le «pays des droits de l’homme», la justice « franco-israélienne » a rejeté la plainte d’un pays musulman contre une franc-juive! knafo est une chenille juive avant de devenir une papillon juive, et ayant une vie très courte, sautant sur les épaules d’hommes stupides.

    Pour l’instant, je ne pense pas que nos politiciens avisés s’aventureront en terrain marécageux et incertain et seront enclins à se réconcilier avec la france, car le climat politique français est opaque et manque de visibilité. Nous attendons de voir ce qui se passera après le 10 septembre, et même si cela signifie après l’élection présidentielle de 2027, nous sommes des patients expérimentés et attendons de voir ce que demain nous réserve avec ces politiciens amateurs, frivoles et vantards.

    🇩🇿 Fodil Dz
    27 août 2025 - 11 h 26 min

    L’antisémitisme est une valeur refuge côté en bourse sur tous les marchés financiers d’occident depuis 80 ans. Depuis quelques temps, il a été déprécié au bénéfice d’un éveil des consciences au niveau mondial. De toute façon, à force de vider les caisses le chantage risquait de ne plus faire recette. C’était prévisible.

    🇩🇿 Fodil Dz
    27 août 2025 - 10 h 30 min

    Une des dettes que la france a envers l’Algérie est une dette morale. Et je ne parle pas de repentance. Car c’est un mot ayant une connotation religieuse qu’on ne doit pas appliquer à un état surtout quand on sait que la fille aînée de l’église est désormais soumise à l’église de satan des zemmour et knafo.
    Que la france reconnaisse tous les crimes coloniaux qu’elle a commis en Algérie et qu’elle arrête de chercher à nous attaquer à travers des campagnes politico-médiatiques montées de toutes pièces.

    Abou Stroff
    27 août 2025 - 10 h 15 min

    « L’Algérie est née d’une guerre de Libération qui a inscrit dans la conscience collective un principe intangible : ne jamais se soumettre. » souligne B. Y.-B.

    je pense que tout est dit dans cette remarquable sentence puisqu’elle indique, avec toute la clarté nécessaire, notre ALGÉRIANITÉ en tant que produit d’une lutte anti-coloniale qui a duré plus d’un siècle et d’une guerre d’indépendance qui a duré plus de sept années

    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part que notre « ADN » historique exige de nous, les algériens du temps présent, que nous soyons à la hauteur de ceux qui se sont sacrifiés pour que nous soyons ALGÉRIENS.

    wa el fahem yefhem

    PS: s’il n’y a rien d’étonnant à ce que les nostalgiques de l’Algérie française ne cessent d’activer divers moyens pour tenter de neutraliser l’Algérie souveraine, je trouve exaspérant que nos augustes dirigeants continuent à nous raconter des histoires de « fréritude » arabe et de « fréritude » musulmane alors que les régimes arabo-musulmans dans leur grande majorité, pour ne pas dire dans leur totalité, sont des vestiges coloniaux au sens propre du terme et des vassaux des puissances impérialistes dans leur pratiques palpables et quantifiables.

    wa el fahem yefhem

    Oud
    27 août 2025 - 9 h 55 min

    Moi pendant ce temps là qui veux rentré chez moi en Algérie dans la maison de mon défunt père j attend depuis 21 mois un document administratif « un certificat de conformité  » Un simple document de la part de l apc de bethioua wilaya d oran afin de mettre la maison à mon nom chez le notaire. Rien aucune reponse il ne vienne jamais faire le constat tout le monde s en fou 21 mois que l on attend 3 relances . Est ce normal voilà mon problème qui s en préoccupe personne et on me parle d un renouveau en Algérie moi qui veux rentrer finir mes jours en Algérie mais apparemment je ne suis pas le bienvenu et nous sommes des milliers dans se cas … eperons que mon témoignage puisse éveillé la curiosité de quelque responsable consciencieux ce que je doute …

    Dr Kelso
    27 août 2025 - 9 h 41 min

    Je reprends encore une ÉNIÈME fois @Anonyme 13/07/19 :
    Un raciste restera toujours un raciste.
    Il est temps pour nous Algériens de changer notre politique envers cette France pour le bien de l´Algérie.
    Une des priorités de la nouvelle république….est de régler le contentieux historique avec la France!
    La France devra ou pas demander pardon pour ces crimes, c est son affaire: on ne peut pas exiger de la grandeur de celui qui n´en a pas.
    Mais on doit obligatoirement exiger des réparations pour 132 années de crimes et d’exploitation de pillage.
    C est meme une question d´estime de soi!
    Sans omettre la guerre terroriste sioniste par procuration décennie noire.

      Un passant
      27 août 2025 - 13 h 44 min

      Que la France rembourse ses dettes vis à vis de l’Algérie
      (…)

    🇩🇿 Fodil Dz
    27 août 2025 - 9 h 37 min

    sarah knafo qui se la raconte plus française que les français. C’est comme zemmour qui parle de racisme anti-blanc comme s’il en était un. Car éric zemmour est « juif arabe » d’après benjamin stora même s’il préfère se présenter comme « juif berbère ». Ces judéo-sionistes sont des menteurs compulsifs. C’est inscrit dans leur gènes. Ces clandestins de l’histoire sont des faussaires et des manipulateurs qui ont toujours trahi les nations et les peuples qui les ont accueilli.

    MDZ12
    27 août 2025 - 9 h 36 min

    Cette faschosphère a besoin d’un bouc émissaire. L’Algérie est le parfait exutoire de leur frustration. Et ça paye, ça leur permet d’exister. Rien qu’à l’évocation des vocables Algérie et Algériens ça leur provoque une crise d’urticaire et tant mieux. Ils nous démontrent chaque jour qu’on est sur la bonne voie.
    Vive l’Algérie et gloire à nos valeureux chouhadas.

    icialG
    27 août 2025 - 9 h 10 min

    Et si dans un petit moment on s egare puis on fait les comptes juste ce qui ons spolier pendant 130 ans
    Que m retailleu et ces partisans mettons drs centaines de vies a rembourser
    Juste pour la conversation !!!

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