Un disciple des wahhabites brûle la carte d’identité algérienne

Installé en Arabie Saoudite, un jeune Algérien endoctriné par les wahhabites, a posté sur Internet des photos de lui en train de brûler la carte nationale d’identité algérienne, en signe de défiance envers l’Etat, d'insulte au peuple algérien et de déni de son appartenance à l’Algérie. Largement partagées sur les réseaux sociaux, ces photos suscitent l’indignation des internautes dont certains réclament qu’il soit déchu de sa nationalité suite à ce qu’ils considèrent être une «profanation». Cet acte ignoble est encore une fois le signe que les wahhabites font tout pour porter atteinte à notre pays, dénoncent les internautes, estimant qu’«il est de notre devoir de les combattre». Il est tout a fait clair que ce jeune Algérien formé à l’intégrisme le plus radical et le plus ignoble, a dû recevoir un endoctrinement en règle. Un fait qui rappelle la dangerosité des écoles wahhabites qui continuent de former des terroristes qu'elles réexportent aux autres pays arabes, dont l'Algérie. Sur cette question, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs a toujours été ferme, affichant un discours sans équivoque. Mohamed Aïssa a, en effet, dénoncé maintes fois les dérives des extrémistes religieux et autres sectaires qui s’autoproclament exégètes et promulguent des pseudo-fatwas. Comme nous l’écrivions dans un précédent article, Mohamed Aïssa avait notamment estimé qu’il ne pouvait y avoir de place pour le wahhabisme en Algérie. «Le wahhabisme est bénéfique pour le peuple au sein duquel il est né et non dans notre sphère», avait-il déclaré, affirmant que l’Algérie était déterminée à lutter contre tous les courants religieux sectaires qui tentent de semer la «fitna» en Algérie. Mohamed Aïssa a ainsi mis, depuis quelque temps, dans son viseur les courants islamistes et extrémistes étrangers qui tentent de s’infiltrer en Algérie à travers les campus universitaires. Il avait assuré dans ce cadre que son département ministériel travaillait en étroite collaboration avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique pour contrecarrer ce qu’il qualifie de sectes maléfiques. Un exemple de ces traitres a été donné par ce fanatique qui a vendu son âme au diable.
Lina Saouli

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