Y a-t-il des traces d’alcool dans les Coca et Pepsi fabriqués en Algérie ?

En voulant justifier la présence de traces d’alcool dans ses boissons, la firme Coca-Cola aggrave son cas. «Il est possible qu'il y ait des traces d'alcool qui viennent du processus de fabrication du Coca-Cola», a déclaré un responsable de la société américaine. «Certains fruits par exemple en contiennent des traces», a-t-il expliqué. Or, si la recette de la boisson la plus bue dans le monde est toujours maintenue secrète et s’il est assuré qu’elle ne contient pas d’alcool, le fait de confirmer la présence de traces d’alcool qui viennent du processus de fabrication signifie que même le Coca-Cola fabriqué en Algérie devrait en contenir, la technique de fabrication étant partout la même. C’est l'Institut français de la consommation (INC) qui a fait cette découverte suite à des tests demandés par la revue 60 Millions de consommateurs parue hier jeudi. Près de la moitié des boissons testées contenaient de l'alcool à des doses très faibles, jusqu'à 10 mg par litre (près de 0,001% d'alcool), a conclu l’étude. Cependant, tous les Coca-cola testés ne contiennent pas cette substance dont la consommation est illicite en islam. En France, c’est le dosage autorisé par la loi s’agissant des boissons non-alcoolisés qui doit être respecté. Celui-ci ne doit pas dépasser 1,2%. Dans les pays musulmans, une boisson non-alcoolisée, comme son nom l’indique, ne doit pas contenir d’alcool du tout. En Algérie, il existe trois embouteilleurs de la marque Coca-Cola, Fruital à Alger, la SBOA à l'Ouest et la SBC à Skikda. Pepsi-Cola est, quant à elle, fabriquée depuis 1998 par Atlas Bottling Corporation (ABC), appartenant à l’homme d’affaires Djilali Mehri, dans son usine de Rouiba, à l’est d’Alger. Nous ne savons pas, à l’heure actuelle, si le ministère du Commerce a pris ses dispositions pour contrôler la version made in Algeria de ces boissons à la lumière de cette nouvelle étude. Nous y reviendrons.
Lina S.

Comment (9)

    khazdi
    24 septembre 2016 - 22 h 09 min

    salam, je voudrai répondre à
    salam, je voudrai répondre à mr mansour, le legmi qui est le jus du palmier est interdit par le coran au même titre que le jus de raisin.
    revenons au coca voici un long article (si le modérateur le laisse passer) sur l’histoire de coca et autres breuvages avec ses sources.
    Coca-Cola une boisson dangereuse et cancérigène
    24 avril 2011
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    Le Coca-Cola Light, le Coca-Cola Zero et autres dérivés sans sucre contiennent des édulcorants :

    L’aspartame (E951)
    Sans refaire tout l’article consacré à l’aspartame (consultable ici), ce faux sucre est tout simplement à l’origine de 92 troubles et maux divers tels que (pour n’en citer que quelques-uns) : Alzheimer, cancers, tumeurs, lupus, lymphomes, problèmes cardiaques, dépression, diabète, prise de poids, etc.
    Classé, dans l’article Les additifs alimentaires, à la rubrique « à éviter (!) ».
    L’acésulfame K (E950)
    Édulcorant 200 fois plus sucrant que le sucre. Il serait plus dangereux que la saccharine et l’aspartame.
    Risque pour la santé : hausse de cholestérol, cancers, problèmes aux poumons, hypoglycémie, etc.
    Classé, dans l’article Les additifs alimentaires, à la rubrique « à éviter (!) ».
    Le colorant de Coca-Cola et Pepsi serait cancérigène

    Le CSPI (Center for Science in the Public Interest) a récemment expliqué au Daily Mail que Coca-Cola et Pepsi utilisent un caramel, pour colorer leurs boissons, qui serait cancérigène. En effet, deux substances chimiques provoqueraient des cancers : le 2-MI et le 4-MI.
    Le porte-parole de l’organisme précise que : « Contrairement au caramel préparé chez soi, en faisant fondre du sucre dans une poêle, la version artificielle à l’origine de la couleur « coca » est le fruit de la réaction chimique obtenue par l’association de sucre, d’ammoniac et de sulfites portés à haute température ». Ce processus aurait pour effet de créer ces deux substances toxiques qui, d’après les études menées sur des rongeurs, provoquent des« cancers du poumon, du foie, de la thyroïde et de la leucémie ». Les experts affirment que ce type de caramel pourrait provoquer des milliers de cancers.
    L’institut de prévention toxicologique américain aurait confirmé le fait que ces deux substances seraient cancérigènes chez les animaux et donc potentiellement chez l’homme.
    Le CSPI estime que ce colorant artificiel n’apporte aucun bienfait nutritionnel aux boissons d’autant plus que des alternatives existent pour donner cette couleur marron-noire comme les betteraves et les carottes par exemple.
    Le directeur du CSPI demande ainsi tout simplement à la FDA (Food and Drug Administration) que ces deux boissons soient interdites !
    Cette nouvelle n’a visiblement pas plu à tout le monde. Coca-Cola a réagi en affirmant que « nos boissons sont totalement sûres » et ajoute que les « extrapolations de CSPI pour la santé humaine et le cancer sont totalement infondées ».
    Raisons pour arrêter de boire des sodas :

    • Les sodas sont inutiles sur le plan nutritionnel. Ce n’est que de l’eau sucrée avec des additifs.
    • Ils augmentent le risque de devenir obèse, diabétique, de développer des caries.
    • Ils peuvent provoquer de l’ostéoporose et ralentir la croissance des os.
    • Ces boissons sont dangereuses pour les reins, le foie et le pancréas.
    • Ils entravent le bon fonctionnement de l’appareil digestif.
    • Par la forte concentration en caféine ils favorisent la déshydratation et la fuite des minéraux par l’effet diurétique (auxquels se rajoutent tous les effets secondaires indésirables à une surdose de caféine).
    • Le colorant utilisé dans certains sodas est très probablement cancérigène pour l’homme.
    • Les sodas qui contiennent de l’aspartame sont dangereux : l’aspartame possède à lui tout seul 92 effets néfastes pour la santé !
    Changez de boisson, beaucoup d’autres alternatives existent :
    • Boire tout simplement de l’eau
    • Du thé
    • Des jus de fruits (de préférence pressés fraichement soi-même, et encore mieux avec des fruits bio)
    Suggestions pour approfondir le sujet :
    Le documentaire « L’affaire Coca-Cola » (The Coca-Cola case) :
    « Dans certains pays, on ne s’embarrasse pas des syndicalistes. On les tue! Depuis 2002, plus de 470 leaders ouvriers y ont été abattus par des milices paramilitaires à la solde de compagnies prêtes à tout pour empêcher leurs employés de se syndiquer. Au nombre de ces entreprises figurerait Coca-Cola ! Dans ce fascinant road-movie judiciaire, trois militants américains acharnés se lancent dans une véritable croisade contre le géant, à coups de poursuites devant la Cour fédérale des États-Unis et de campagnes de dénonciation chocs. Les victimes obtiendront-elles enfin justice ? Et que choisiront-elles : l’argent, le pouvoir ou la dignité? »
    Le livre Coca-Cola : L’enquête interdite
    « Connaissez-vous les véritables origines de la marque ? Saviez-vous que la boisson a contenu de la cocaïne ? Le journaliste lève le voile sur Coca-Cola qui a construit une véritable légende pour dissimuler la vérité. Les mythes de l’inventeur, de la fabrication et bien d’autres sont autant d’armes commerciales qui ont permis à la célèbre boisson d’Atlanta d’étendre son empire. Un empire qui ne se vante pas, en revanche, de son rôle trouble pendant la Deuxième Guerre mondiale… Une enquête passionnante, des révélations multiples. »
    Boissons énergisantes : du mythe à la réalité
    30 octobre 2010
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    Avec un marché qui s’élevait en 2006 à 3,4 milliards de dollars US et avec l’apparition de 500 nouvelles marques cette même année, la boisson énergisante est un créneau visiblement porteur.
    Les campagnes publicitaires de ces boissons énergisantes font référence aux sports extrêmes mettant en avant des athlètes de haut niveau. Les fabricants misent tout sur la puissance de leurs boissons avec des ingrédients stimulants tels que la caféine, le guarana (plante contenant de la caféine), le sucre (Glucuronolactone par exemple), la taurine, l’arginine et des vitamines.
    La promesse de ces boissons est clairement la performance.
    Elle vous « donne des ailes » (Red Bull), stimulerait votre corps et votre esprit. Les energy-drinks ciblent clairement les adolescents et jeunes adultes qui les consomment surtout dans les bars, discothèques, manifestations sportives (VTT, Kite surf, sports mécaniques etc.) ou lors de périodes d’examens pour se concentrer.

    Depuis leur mise sur le marché des études ont été faites sur l’impact qu’elles ont sur la santé d’une manière générale, mais également lorsqu’elles sont consommées avant une pratique sportive ou mélangées à de l’alcool.
    Effets des boissons énergisantes en général :
    Rappelons que ces boissons sont déconseillées aux enfants, adolescents et femmes enceintes ou qui allaitent.
    Ces boissons sont très acides et très sucrées (l’équivalent de 5 sucres pour une canette de 250ml) ce qui attaque l’émail des dents provoquant des caries à répétition.
    D’autres effets indésirables liés à une consommation excessive de boissons énergisantes sont les vomissements, les troubles du rythme cardiaque et les nausées (plus de détails ci-dessous).
    Boissons énergisantes et le sport :
    Attention tout d’abord à ne pas confondre boissons énergisantes (Dark Dog, Red Bull, Burn etc.) avec les boissons dites énergétiques (Powerade, Gatorade etc.) ! Ces dernières sont adaptées à l’effort et répondent à des critères nutritionnels très précis (apport énergétique, réhydratation, assimilation des nutriments etc.)
    Les boissons énergisantes tirent parti, entre autres, de la combinaison sucre et caféine pour fournir de l’énergie. Elles ne sont quand à elles pas du tout adaptées à la pratique sportive et sont littéralement néfastes comme nous allons le voir.
    En effet le docteur Frédéric Maton de l’IRBMS (Institut Régional de Biologie et de Médicine du Sport) fait l’analyse des principes actifs d’une canette de « Red Bull » de 250ml en comparant les doses apportées par la boisson et les doses nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme tout en relevant leurs effets sur la santé. Voyons un par un ces principes actifs :
    La Caféine contenue dans une canette (80mg) est proche de la dose ou l’on commence à ressentir son effet indésirable (entre 100 et 160mg) tout en sachant que la limite supérieure de consommation de caféine par jour est de 200mg. Il existe ainsi un risque d’absorber une dose toxique de caféine qui entraine des effets secondaires néfastes comme des problèmes :
    – Cardiovasculaires (hypertension artérielle, tachycardie) pouvant dans des cas extrêmes entrainer une mort subite.
    – Urinaires par la fuite des minéraux (magnésium, sodium, calcium) ce qui peut accentuer des désordres électrolytiques lors d’un effort, entrainant blessures et diminuant la récupération. L’effet diurétique entraine quand à lui la déshydratation.
    – Respiratoires (brochodilatation)
    – Digestifs (stimulation de la motricité intestinale, augmentation de l’acidité gastrique etc.)
    – Neuro comportementaux (anxiété, irritabilité, tremblements etc.)
    Notons également que la caféine n’est pas un bruleur de graisse et donc n’a qu’une faible utilité dans un période de « sèche » en musculation par exemple.
    La Taurine (extrait de la bile de taureau et non des testicules comme le veut la rumeur) contenue dans une canette est de 1000mg. Or avec une alimentation équilibrée on arrive aux alentours de 120mg par jour sans dépasser 180mg par jour (avec une canette on multiplie par plus de 5 la dose maximale quotidienne absorbée en temps normal). Aucune étude ne montre un quelconque effet positif d’une « surdose » de taurine. On peut toutefois craindre qu’à une dose aussi forte la taurine puisse avoir un effet inverse (pro oxydatif) comme beaucoup d’autres antioxydants quand ils sont consommés en surdose.
    Le Glucuronolactone (un sucre naturellement présent dans l’organisme) est présent à hauteur de 600mg par canette alors que l’apport naturel est de 1 à 2mg par jour, soit environ l’équivalent de 600 jours d’apports alimentaires ! A une forte dose la Glucuronolactone est toxique pour les reins.
    Les Vitamines (B5 : 5mg, B6: 5mg, B12: 0,005mg)
    Les besoins en vitamine B étant normalement couverts par les aliments d’origine animales, il y a « aucun bénéfice sur la santé, ni sur les performances » en augmentant ces apports selon l’IRBMS.
    Une surdose en vitamine B entrainerait, même si la toxicité n’a pas clairement été démontrée, des problèmes neuro comportementaux (troubles comportementaux et problèmes mnésiques).
    L’Acide Nicotinique (20mg par canette) est naturellement présent dans le corps car fabriqué par le foie. Nous n’avons ainsi pas d’utilité à le consommer dans notre alimentation. La dose d’une canette est d’autre part proche de la limite de sécurité (33mg par jour).
    L’Arginine (un acide aminé) présent dans le « Bullit » a une utilité controversée chez les sportifs, et peut à de fortes doses déséquilibrer le pool circulant des acides aminés et rompre leur équilibre.
    Les boissons énergisantes et l’alcool :
    Mélangées à de l’alcool elles masquent les signes d’ébriété du consommateur avec tous les risques qui en sont liés. «Quand on boit trop d’alcool, le corps envoie des signes. On a la bouche sèche, un petit mal de tête… Les boissons énergisantes annulent ces signaux. Et puisqu’on se sent bien, on continue de boire.» Hubert Sacy, directeur général d’Educ’Alcool (Canada). Ceci rejoint l’avis de l’AFSSA qui déconseille également ce mélange.
    Ainsi on se sentira capable de conduire sa voiture malgré un taux d’alcoolémie trop élevé par exemple, se blesser sans en mesurer la gravité ou encore d’avoir des rapports sexuels dépourvus de protection d’après Johanne Dubé, infirmière à la Clinique Jeunesse.
    Comment les boissons énergisantes sont elles apparues en France ?
    Nous nous rappelons tous de la polémique autour de la commercialisation de la « Red Bull » en France.
    Pourquoi Red Bull ? Tout simplement parce que c’est le stéréotype des energy-drinks qui possède à elle seule 52% des parts de marché pour le début 2010 (d’après http://www.rayon-boissons.com).
    Ce produit était commercialisé depuis des années à l’étranger mais posait problème en France (interdit depuis 1996). En mai 2008 la Red Bull (une version sans Taurine et sans Glucuronolactone) finit par être mise sur le marché français car l’Etat n’a pas pu démontrer la nocivité de cette boisson. A partir du 15 juillet 2008 c’est la « vraie » Red Bull qui est commercialisée. La demande explose de la part des consommateurs et les prix augmentent.
    Les « shots » : de véritables bombes !
    Le marché des boissons énergisantes s’essoufflant peu à peu incite les fabriquant à sans cesse innover. La dernière trouvaille est ce qu’on appelle les « shots » directement venus des Etats Unis. Vous pouvez désormais vous rebooster avec ces mini-bouteilles de 5cl ou 2,5cl qui se boivent en « complément » des canettes classiques selon le chef de produit Burn de chez Coca-Cola, Cloé Von Kraufe. En effet elles peuvent être transportées partout, dans une poche, dans un sac à main pour être bues à n’importe quel moment de la journée (ou de la nuit).
    Ces petites canettes sont extrêmement puissantes : elles sont environ 5 fois plus concentrées que les canettes classiques ! Absorber en une ou deux gorgées une boisson contenant une énorme quantité de caféine et autres stimulants est bien évidement dangereux pour la santé d’autant plus que pour se désaltérer on peut être tenté d’en boire plusieurs. L’association Consommation logement Cadre de Vie (CLCV) met en avant une étude aux Etats Unis de 2008 qui constate une augmentation des cas d’intoxication à la caféine par les energy-drinks. Certaines marques ont été retirées du marché du Canada, de l’Angleterre et de l’Australie car leurs produits étaient clairement nocifs pour la santé.
    La responsable nutrition de chez Coca-Cola recommande de « ne pas dépasser plus d’un shot par jour » et déconseille la consommation aux enfants et aux personnes sensibles à la caféine. Ceci n’empêche pas le groupe « d’organiser des soirées étudiantes parrainées par Burn energy ce qui incite évidemment les jeunes à associer boissons énergisantes et alcool » d’après agoravox.fr. Le distributeur de Dark Dog invite quand à lui à « diluer un volume de shooter dans trois volumes du liquide de votre choix » toujours d’après agoravox.fr.
    Ou en est-on a l’heure actuelle ?
    Les petites canettes ont, 6 mois après leur lancement, des résultats plutôt mitigés et sont même un « flop » d’après rayon-boissons.com. En effet, peu de distributeurs commercialisent ces mini-canettes car elles sont très fréquemment volées du fait de leur petite taille ! Un système d’antivol ou un meilleur positionnement, proche des caisses (à la manière des chewing-gums) est envisagé pour qu’il y ait moins de vols et une « impulsion » d’achat.
    D’une manière plus générale notons que le marché de la boisson énergisante est probablement arrivé à son apogée. Les consommateurs sont de plus en plus conscients de la composition « chimique » et potentiellement « dangereuse » de ces energy-drinks et seront peut être amenés à consommer d’autres types de boissons.
    Certains groupes misent sur des boissons énergétiques naturelles (Chamane par exemple de Deveurop au guarana). D’autres misent sur des boissons « bio » mélangeant des ingrédients bio (gingembre, jus de fruit, antioxydants naturels etc.) comme la marque Power Shot.
    Certains fabricants vont même jusqu’à proposer des boissons qui sont au contraire apaisantes pour l’organisme en surfent peut être sur le créneau porteur de demain…

    Four Loko : la boisson énergisante alcoolisée
    24 décembre 2010
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    Four Loko, de la marque Phusion Projects, est une boisson énergisante commercialisée aux États-Unis et fait en ce moment beaucoup parler d’elle. Le nom « Four » (qui signifie quatre en français) vient de ses quatre ingrédients principaux qui sont : la caféine, la taurine, le guarana et l’alcool.
    Cette boisson est aussi appelée « blackout dans une canette » ou encore« cocaïne liquide » tellement ses effets sont dévastateurs ! Les canettes Four Loko ont une contenance de presque 700ml chacune, soit presque 3 canettes de Red Bull. Une seule canette contient autant de caféine que 2 grandes tasses de café et avec ses 12° autant d’alcool que 3 bouteilles de bière !
    Les jeunes sont la cible
    Avec ses couleurs vives et attrayantes la boisson Four Loko cible clairement les adolescents et étudiants. Cette boisson est déclinée en de multiples saveurs : citron, fruits rouges, orange, pêche etc. Le goût est cependant, d’après certains témoignages, horrible car ressemble à « des médicaments mixés avec de la bière daubée épongée du sol d’un bar ». Cela ne freine pas les jeunes qui se jettent littéralement dessus. Autre argument marketing, une canette Four Loko est deux fois moins chère qu’une canette de boisson énergisante classique. C’est une aubaine pour tous les ados et étudiants qui n’ont pas d’argent.

    Image de Drinkfour.com
    Des risques bien réels
    Dans un précédent dossier sur les boissons énergisantes (consultable ici) nous avons vu les risques pour la santé des boissons énergisantes seules et accompagnées d’alcool. Rappelons que la boisson énergisante masque les signes de l’alcool. La personne n’aura donc pas conscience de son ébriété et continuera de boire, s’exposant ainsi à d’énormes risques d’accidents en tous genres.
    Qu’en dit le gouvernement ?
    Après au moins un décès et un nombre alarmant de jeunes ayant fait des comas éthyliques, de multiples universités ainsi que deux états du pays, l’Oklahoma et le Michigan, ont définitivement banni cette boisson de la vente. Pour information, avec sa politique plus stricte sur l’alcool, l’Utah est le seul état à ne jamais avoir commercialisé cette boisson.
    Le 17 novembre la FDA (Food and Drug Administration) a déclaré que « la combinaison de caféine et d’alcool pose de toute évidence un problème de santé publique ». Toutes les boissons énergisantes alcoolisées comprenant de la caféine, du guarana et de la taurine ont été retirées des étalages. Cette mesure n’a pas empêché un bon nombre de personnes d’acheter d’énormes stocks de Four Loko, juste avant l’interdiction, pour les revendre ensuite illégalement sur Internet.
    L’interdiction a même propulsé les ventes de la boisson car les médias en parlent presque quotidiennement. La popularité de cette boisson se ressent jusqu’au clip à l’effigie de la boisson sur Youtube qui a été visionné plus de 1,6 millions de fois. Les vidéos de consommateurs buvant un maximum de canettes en un minimum de temps se bousculent sur ce même site.
    Le point de vue de la marque
    Phusion Projects se défend, sur son site Internet, en affirmant que boire une canette de Four Loko n’est pas différent « d’un café après un repas accompagné de 2 verres de vin ». Une rubrique « Consommer responsable » fait également bonne figure sur le site.
    La boisson se couvre avec des mentions « peut causer des problèmes de santé », « déconseillé aux femmes enceintes » etc. Une carte d’identité est également demandée à l’achat de cette boisson alcoolisée (il faut avoir aux États-Unis plus de 21 ans pour en consommer). Tout ceci n’empêche pas les mineurs d’en consommer jusqu’à ce qu’ils en soient malades.
    A en suivre les actualités outre Atlantique, cette boisson est en plein cœur d’un virulent débat. A moins qu’une nouvelle loi n’interdise complètement ce type de boissons, la marque a encore de beaux jours devant elle.
    Produits Light et Aspartame = Danger !
    30 novembre 2010
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    L’aspartame qui est utilisé dans la grande majorité des produits allégés est, à première vue, une innovation miraculeuse. C’est un édulcorant de synthèse qui permet de remplacer le sucre ordinaire et a même un pouvoir sucrant 200 fois supérieur au sucrose et au saccharose ! Il suffit donc de petites quantités pour avoir un goût sucré. Il est donc, à priori, l’ingrédient idéal pour aider une personne qui est soucieuse de sa ligne, ou faisant un régime, qui n’est ainsi plus obligée de diminuer les proportions des aliments qu’elle consomme (les produits light ont entre 10% et 25% de calories en moins).
    Les produits light coûtent plus cher
    Un autre intérêt, et non des moindres, est que l’aspartame coûte beaucoup moins cher que le sucre « classique » permettant aux industriels de faire des économies. Ceci n’empêche pas les produits light d’être significativement plus chers que leurs homologues « classiques ». La réaction du nutritionniste Jean-Philippe Zermati est sans appel : « Il est totalement inutile de consommer des produits allégés pour réduire le poids ou prévenir le surpoids. Ces produits n’empêchent pas de grossir (…), ils n’ont aucune influence positive, ils coûtent seulement plus chers ».
    Les produits allégés incitent au contraire à manger plus et font même grossir !
    Premièrement, un consommateur se dira plus facilement que le fait d’en consommer plus n’aura pas d’incidence sur son poids. Or c’est une grossière erreur! (Attention aux promesses des labels 0% par exemple). Deuxièmement l’aspartame est censé faire perdre du poids, or des chercheurs de l’Illinois ont menés une expérience sur des rats et arrivent étrangement à une autre conclusion :
    Il y a deux groupes de rats. Le premier groupe reçoit comme nourriture du yaourt sucré (avec du vrai sucre : le glucose). Le deuxième groupe reçoit le même yaourt mais où le glucose a été remplacé par des édulcorants (aspartame, saccharine et xylitol). Ils ont constatés que le deuxième groupe avait pris 40% de poids en plus que le premier groupe !
    Conclusion : les édulcorants poussent l’organisme à consommer plus de nourriture. En effet le corps s’attend à avoir du glucose et les calories associées (avec le goût sucré de l’aliment) mais n’en reçoit pas. L’organisme sera poussé à manger plus car continuera de réclamer ces calories et donc grossira d’avantage.
    Nous voyons déjà clairement le problème des produits allégés sur leur but : manger plus léger et faire perdre du poids. Ceci n’est rien à côté des graves troubles occasionnés par l’élément clé des produits allégés : l’aspartame.
    L’aspartame met en péril notre santé
    Présent dans une multitude d’aliments tels que les desserts glacés, les sucrettes, les chewing-gums, les boissons (sodas, jus de fruits etc.), céréales, yaourts, glaçages, confitures … et même dans les médicaments (plus de 600 médicaments selon l’AFSSA), vitamines et suppléments de synthèse sans que pour ces derniers l’aspartame soit noté sur la liste des ingrédients. Nous le voyons, l’aspartame est partout, et pas seulement dans les produits light.

    Que contient l’aspartame ?
    L’aspartame (ou E951) se compose de :
    1. Phénylalanine 50% (un acide aminé)
    2. Acide aspartique 40% (un acide aminé)
    3. Méthanol 10% (alcool de bois)
    4. Dioxopipérazine ou DKP (quand l’aspartame se dégrade)
    En effet, l’aspartame est stable à l’état sec mais se dégrade à 30°C où il devient très dangereux. Mais revenons tout d’abord aux effets des différents composés de l’aspartame :
    La Phénylalanine

    La phénylalanine est un acide aminé présent normalement dans le cerveau et apporté par l’alimentation. Il a été démontré qu’en ingérant de l’aspartame on pouvait avoir des taux trop élevés de phénylalanine dans le cerveau et dans le sang. Des taux excessifs peuvent diminuer la sécrétion de sérotonine et conduire à la dépression. Une étude a été faite sur des rats et a démontré que certains de ceux nourris à l’aspartame développèrent des tumeurs au cerveaucontrairement au groupe référent (il faut également savoir que l’homme est beaucoup plus sensible que les animaux à l’aspartame). Le neurochirurgien Dr Russel Blaylock affirme qu’un taux excessif de phénylalanine peut provoquer de la schizophrénie et une attaque d’apoplexie (suspension brutale des fonction du cerveau).
    L’acide aspartique
    L’acide aspartique est un acide aminé qui provoque (dans sa forme libre c’est à dire non relié aux protéines) une élévation de neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau. En temps normal ils facilitent la transmission de l’information entre les neurones dans le cerveau. En excès « ils détruisent certains neurones en autorisant l’invasion de calcium en surdose dans les cellules ce qui déclenche une augmentation excessive de radicaux libres qui tuent les cellules nerveuses et crée des trous dans le cerveau » (Sortir & Choisir Autrement n°17). Ce processus de destruction des neurones se fait lentement et progressivement. Il faut par ailleurs qu’au moins 75% des cellules nerveuses d’une zone du cerveau soient tuées avant de pouvoir déceler une maladie chronique comme la sclérose en plaque, la perte d’audition, la perte de mémoire, les crises d’épilepsie, la démence du Sida, la maladie d’Alzheimer, deParkinson etc.
    Les acides aminés ne sont donc pas sans danger contrairement à ce que l’on peut croire, en particulier lors de transformations chimiques engendrées par la chaleur.
    Le Méthanol
    Aussi appelé alcool de bois, le méthanol est un poison dangereux ! Dans l’organisme il se dégrade avec la chaleur en Acide Formique et en Formaldéhyde (une neurotoxine mortelle). L’EPA (Agence de protection de l’environnement aux Etats-Unis) affirme que le méthanol « est un poison cumulatif compte tenu de la faible proportion éliminée après son absorption ». La dose limite journalière autorisée (DJA) de méthanol est de 7,8 mg/jour. Or en buvant un litre de boisson à l’aspartame on est à 56 mg de méthanol ! On dépasse donc très rapidement la dose autorisée.
    Le vin et autres boissons alcoolisées contiennent également beaucoup de méthanol mais sont, eux, pourvus d’un « antidote » : l’éthanol le rend inoffensif pour l’organisme car empêche sa transformation en formaldéhyde qui est très toxique. Même si le vin contient beaucoup plus de méthanol que les sodas par exemple on ne peut pas les comparer en terme de toxicité.
    Troubles dus au méthanol : trous de mémoire, maux de tête, névrite, troubles du comportement, engourdissements, bourdonnements d’oreilles, frissons, problèmes gastro-intestinaux, vertige, problèmes de vue ( vision obscurcie, embrumée, dommages rétiniens, perte de vue etc.).
    Le formaldéhyde est cancérigène, nuit à la reproduction de l’ADN, altère la rétine et cause des malformations prénatales.
    La DKP
    La DKP est un produit dérivé du métabolisme de la phénylalanine qui est impliquée, entre autres, dans l’apparition de tumeurs au cerveau et provoque des modification du taux de cholestérol selon la toxicologue américaine Jacqueline Verrett. La DKP se synthétise dans les boisson contenant de l’aspartame après un stockage prolongé.
    Effets constatés après consommation d’aspartame :
    (source : sortir-autrement.com)
    Pendant la guerre du Golfe les soldats ont bus de très grandes quantités de boissons à l’aspartame qui étaient, par la température ambiante, chauffées à plus de 30°C. Beaucoup d’entre eux ont développés des maux inconnus résultant d’un empoisonnement au formaldéhyde.
    Entre 1983 et 1987, aux Etats-Unis, le taux de tumeurs a augmenté de 6% chez les hommes et de 11% chez les femmes, période qui coïncide avec la mise sur le marché alimentaire de l’aspartame.
    Pourquoi l’aspartame n’est-il pas interdit ?
    250 millions de personnes consomment quotidiennement de l’aspartame dans le monde (d’après sortir-autrement.com).
    Le consommateur ne fait que rarement le rapprochement entre une migraine et une prise d’aspartame. Le fait que certains symptômes n’apparaissent que des années après la consommation renforce également cette idée.
    Le pouvoir des industries chimiques et pharmaceutiques est énorme car elles arrivent à corrompre des agences gouvernementales tels que la FDA (Food and Drug Administration) aux Etats-Unis. Ils commanditent de fausses études sur l’aspartame, falsifient les données et dissimulent les dangers. D’après sortir-autrement.com, « 40% d’entre elles furent financées par l’industriel Monsanto, producteur du produit ». L’aspartame est deux fois moins cher que le sucre et rapporte aux industriels plus d’un milliard de dollars par an !
    En 1985, le toxicologue Adrian Gross affirme devant le congrès américain « Il n’y a pas l’ombre d’un doute, l’aspartame cause des tumeurs au cerveau… ». Malgré cela la FDA n’a pas enlevé l’aspartame de la liste des additifs alimentaires « sans danger ». Le nouveau responsable de la FDA de l’époque, le Dr Arthur Hull Hayes a réfuté sa propre commission d’enquête et autorisa même l’aspartame dans les boissons ce qui le rend encore plus dangereux.
    En autorisant l’aspartame la FDA viole l’Amendement Delaney qui est sensé éviter l’introduction de substances cancérigènes tels que le méthanol (avec le formaldéhyde) et la DKP. Si une agence gouvernementale enfreint ses propres règles, sensées protéger le consommateur, qui le protègera en dernier recours ?
    Quelle solution ?
    Corinne Couget a publié dans son article « Aspartame : un poison violent ! » (paru dans Biocontact en 2005) que les effets indésirables de l’aspartame sont souvent réversibles. Elle propose en effet d’arrêter totalement, pendant 60 jours, la consommation d’aspartame, d’éviter les viandes rouges (qui contiennent naturellement de la phénylalanine), cuisiner soi-même les plats et de boire 2 litres d’eau par jour.
    Au delà de cet essai il faut tout simplement lire les étiquettes et éviter d’acheter les produits contenant l’aspartame ou E951. D’après le Dr Russel Blaylock, tous les aliments transformés, ou presque, contiennent des excitotoxines : E621, GMS (Glutamate monosodique) qui sont tout aussi dangereux pour l’organisme. Nous en trouvons par exemple dans les chips, les soupes en sachets, les aliments de régime, les plats cuisinés, le jus de viande, les épices, les bâtonnets de crabe etc.
    C’est une raison de plus pour cuisiner soi-même ses plats et éviter d’acheter des plats tout prêts. Comme le dit Yves Donadieu, « Ce n’est pas l’abondance de la nourriture qui fait la bonne santé, mais son excellence. »
    Aspartame : l’EFSA et l’ANSES réfutent deux études alarmantes
    6 mars 2011
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    Deux études, qui sont parues dans l’une des meilleures revues en nutrition : The American Journal of Clinical Nutrition [1], révèlent encore une fois la dangerosité de l’aspartame ! Ces études pourtant très sérieuses sont réfutées par les pouvoirs publics européens qui ne réviseront donc pas (encore une fois) la dose journalière admissible de l’aspartame (DJA).
    L’étude danoise
    Une étude danoise montre que la consommation de boissons édulcorées, chez la femme enceinte, provoque un risque accru d’accouchement prématuré. Cette étude est très importante car a été portée sur 59 334 femmes.
    L’étude italienne
    Une étude italienne faite par l’institut Ramazzini montre que l’aspartame a uneffet cancérogène. C’est la 3ème étude menée par cet institut qui apporte encore une fois les mêmes conclusions. Le protocole utilisé par l’institut dépasse les exigences du protocole classique car correspond plus à la réalité de l’exposition humaine (durée d’exposition des animaux plus longue, nombre d’animaux plus important pour augmenter la précision des statistiques, etc.). Le RES (Réseau Environnement Santé) affirme que « l’Institut Ramazzini est le seul centre mondial avec le National Toxicology Program des Etats-Unis en capacité de mener des expérimentations de cette ampleur » et parle de « méga-expérimentation ».
    Lettre du Réseau Environnement Santé (RES) à l’ANSES
    C’est dans une lettre adressée à l’ANSES (Agence Nationale Française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) [2] que le RES demande à l’agence de « rouvrir le dossier d’évaluation de l’aspartame et plus largement celui de l’utilisation des édulcorants ». La dose journalière admissible (DJA) est à l’heure actuelle de 40 mg/kg/jour, or, selon les études elle devrait être de 2 µg/kg/jour soit… 20 000 fois moins que la dose actuelle !
    Réponse de l’ANSES et de l’EFSA
    Dans le journal de l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) nous pouvons lire la chose suivante : « L’aspartame a été considéré sûr pour la consommation humaine. » [3] et dans un communiqué de presse que «L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) conclut que les deux études récemment publiées sur la sécurité des édulcorants artificiels […] ne justifient pas une révision des évaluations précédentes de l’aspartame ou d’autres édulcorants actuellement autorisés dans l’Union européenne. L’EFSA a réalisé l’examen de ces études en collaboration avec l’Agence nationale française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES)» [4].
    Le RES est stupéfait
    L’EFSA reproche aux deux études de ne pas apporter suffisamment de preuves scientifiques ce qui fait bondir le RES. « Il est stupéfiant que l’EFSA continue de repousser pour la 3ème fois une étude de cancérogénicité positive, mais ne remette pas en cause sa DJA fondée sur 2 études datant de 1973 et 1974 qui n’ont JAMAIS été publiées. Le RES demande que toutes les études soient évaluées avec la même grille d’analyse » affirme le RES et conclu que « l’EFSA confirme une fois encore ses déficiences du point de vue de la déontologie de l’expertise ».
    La journaliste et réalisatrice Marie-Monique Robin (« Le monde selon Monsanto » et « Notre Poison Quotidien ») dénonce quant à elle l’ESFA pour l’emploi de chercheurs qui ont des conflits d’intérêt avec les industries chimiques (Monsanto, Coca-Cola, Nestlé, etc.).
    Le nutritionniste Laurent Chevallier trouve que cette décision est « incompréhensible » et que « le texte de l’EFSA indique clairement qu’il y a un doute, mais le doute profite aux industriels, pas aux consommateurs ». En effet, comme nous l’avons vu dans l’article « Produits Light et Aspartame = Danger ! », les industriels ont un pouvoir et un impact énorme auprès des administrations de santé publiques (corruption de la Food and Drug Administration – FDA) car l’aspartame est une superbe aubaine pour eux car génère des bénéfices colossaux !
    Il est également regrettable de voir tous ces journaux qui publient des articles, après les déclarations de l’ANSES et de l’EFSA, sans le moindre discernement où l’on voit « Aspartame : aucun risque pour la santé », « L’aspartame sans danger », ou encore « Cancer, accouchement prématuré : l’aspartame déclaré sans danger ».
    Nous espérons vous avoir apporté quelques pistes de réponse et des éléments qui vous permettront de vous faire votre propre opinion sur ce sujet.

    Le Livre « Coca Cola l’enquête interdite » de William Reymond
    Les Mensonges de Coca Cola
    Coca Cola, l’entreprise la plus connue au monde nous raconte une version officielle de son histoire complètement faussée de ses débuts ou un pharmacien aurait trouvé par « hasard » cette recette en cherchant un médicament, en passant par l’époque de la seconde guerre mondiale ou les dirigeants de coca cola se sont alliés sans hésiter avec les nazis pour leur proposer une boisson similaire au coca cola, utilisant ainsi les travailleurs forcés dans les usines nazis et mettant en place un plan pour contourner les restrictions d’approvisionnement imposées par les pays limitrophes aux nazis jusqu’a ses récents déboires en inde, sans oublier le fait que coca cola contenait (comme son nom l’indique) de la cocaine à ses débuts et est le dérivé d’une boisson française très connue à cette époque appelée le « vin mariani ». Ces articles présente les principaux aspects du livre « Coca Cola l’enquête interdite » de William Reymond et en développe d’autres comme l’affaire en Inde.

    Cet article est principalement basé sur le livre « Coca Cola, L’enquête Interdite » de William Reymond dont je présente certaines grandes parties. Ce qui saute aux yeux dès le début du livre est l’ommerta et le silence de Coca Cola qui dès qu’ils ont appris que l’auteur écrivait un livre sur la marque ont reçu la consigne de ne plus lui répondre, sauf si il acceptait que la publication du livre soit supervisée et autorisée par Coca Cola, même une association d’anciens de la marque ont refusé de lui répondre, ayant visiblement reçus des consignes dans ce sens. Un tel silence ne peut qu’éveiller la curiosité et donner l’envie d’aller rechercher plus loin ce qui se cache là derrière…
    La Stratégie Publicitaire
    Ce qui est choquant et très visible dans ce livre (voir aussi l’interview de l’auteur) est d’abord la stratégie publicitaire de la marque de mettre les consommateurs au centre de leur spots, pour nous faire croire que leur priorité c’est nous, qu’ils font attention à nous, et non plus à leurs bénéfices [voir « coca cola, l’enquête interdite », p196] ! Ils nous font croire que nous somme au centre de leur préoccupations, alors qu’en réalité, c’est seulement l’augmentation du bénéfice qui est en cause. En fait, ils nous montrent dans ces spots que c’est grâce à nous qu’ils font plein de bénéfices…

    Une de leur stratégie est donc de mettre les consommateurs / spectateurs au centre de leurs spots et de présenter comme depuis le début coca cola comme un complément indispensable à ces réussites sportives, au succès. En buvant coca cola, on a l’impression d’avoir participé à ce succès. Ce sont ceux qui boivent cette boisson qui sont mis en avant, en boire devient un symbole de réussite, de joie, qui réussit surtout aux bénéfices des patrons de l’entreprise…

    Cela est très visible sur leurs spots pour la coupe du monde de 2006 :
    http://cocacolawebads.online.fr/ads/fr_on_parle_tous_football_1.mpg

    Ou encore l’euro 2004 :
    http://cocacolawebads.online.fr/ads/coca-cola_fr_euro2004.mpg
    Et aussi dans un spot qui passe en ce moment à la TV ou l’on voit des gens dans un village se réunir autour d’un repas dans la joie et la présence de la bouteille de coca cola est très peu mis en avant mais assez pour qu’on la voie, cela ressemble aux images subliminales ou l’on est influencé sans même le savoir.

    On voit clairement dans certains spots leur volonté de cacher la réalité et d’inventer une jolie histoire qui évite de montrer les aspect négatifs de cette entreprise, voilà comment est fabriqué leur boisson selon coca cola qui est présenté comme une « usine à bonheur », ce qui reste une constante de la marque, faire croire qu’elle permet le bonheur, la libération, en oubliant les aspects plus sombres de son histoire et en ne présentant que les aspects positifs (comme leur engagement pour l’environnement en oubliant les dangers et les risques de certaines produits utilisés dans la fabrication du coca cola ou leur spoliation de l’eau dans certains pays ou l’usine de coca s’implante, voir plus bas), depuis le début, cette boisson à pour but de donner un « coup de fouet ») à ceux qui la boivent, comme une dose de drogue (le coca cola contiendra en effet à ses débuts de la cocaine) et/ou de vin dont on ne connaissait pas à l’époque les dangers :

    http://cocacolawebads.online.fr/ads/usa_coca-cola_happiness_factory_2006.wmv
    Dans un article de 2003, on trouve une explication sur un changement de méthodes publicitaires de la marque ou l’on cite un dirigeant de coca cola qui dit que « Le choix américain repose sur l’idée que le consommateur souhaite aujourd’hui être plus authentique,explique André Maestrini, directeur marketing France et Benelux de Coca-Cola. », mais comme vous le verrez tout au long de l’article, ce n’est que ce que l’entreprise veut faire croire (son image de façade) et non ce qu’elle est réellement (authentique) :
    « 07/03/2003 – La marque mise en France sur une communication plus offensive. Publicité, produit, identité visuelle, marketing relationnel : tout y passe.
    Fini les films intimistes d’Erick Zonca signés « Sourire la vie ». Adieu, la bande de jeunes attablée au café évoquant avec un brin d’optimisme des sujets très sérieux : l’amour, le premier emploi, l’avenir… Coca-Cola revient à une communication plus offensive en attaquant sur tous les fronts. Le géant des soft-drinks a d’abord décidé d’adopter, en France, un film signé McCann-Erickson Madrid. Plus festif, plus dynamique, il dépeint un monde idyllique où l’on chante de joie dans le métro et où les bouteilles de Coca-Cola tombent gratuitement des distributeurs de boisson. Plus précisément, le spot montre un guitariste, dans une rame de métro, entonnantChihuahua, un mambo des années cinquante remixé par un DJ suisse de renom, DJ Bobo. Un jeune passager lui offre une gorgée de Coca-Cola. Ragaillardi par la fraîcheur du soda, il entraîne la rame dans un mambo endiablé… »
    « Ce nouveau ton publicitaire marque un tournant dans la stratégie de Coca-Cola. Aux États-Unis, où les ventes du groupe se sont tassées ces deux dernières années, le groupe vient de changer d’agence. Berlin Cameron-Red Cell a succédé à McCann-Erickson. Et le slogan « Life Tastes Good » s’est transformé en « It’s the real thing ».« Le choix américain repose sur l’idée que le consommateur souhaite aujourd’hui être plus authentique,explique André Maestrini, directeur marketing France et Benelux de Coca-Cola.Mais chaque pays doit s’interroger sur la meilleure façon d’exprimer les valeurs de la marque. Pour nous, le film  » Chihuahua  » est un excellent relais de dynamisme et d’innovation. »
    On parle même dans le livre de distributeurs de boissons dont les prix seraient ajustées automatiquement en fonction de la demande, en traduction, plus il fait chaud ou lors d’événements sportifs les distributeurs concernés pourraient voir leur prix augmenté, il semble que cet aspect ai été abandonné par la marque, mais ce n’est pas si sûr au vue des nouveaux distributeurs de boisson que la firme teste actuellement :
    « Coca-Cola effectue des tests de son nouveau distributeur de boisson, qui se verra doter d’un écran tactile fonctionnant sous Windows CE. Du nom de « Freestyle », cette machine peut distribuer jusqu’à 120 différents types de soda, tracer les ventes selon le moment de la journée, et il peut être géré à distance. Coca-Cola aura toutes les informations pour que la firme puisse mieux positionner ses futurs produits au meilleur moment de la journée. »
    Source :
    http://www.ubergizmo.com/fr/archives/2009/07/test_du_distributeur_coca-cola_sous_windows_ce.php
    Mais ce n’est qu’une infime partie des mensonges de cette marque, leur plus grand mensonge tient à leur version « officielle » de leur propre histoire, on a tous entendu parlé de scientifique qui aurait découvert cette boisson « par hasard » en cherchant un médicament, mais en fait elle fut en vérité le fruit de longues recherches pour mettre au point une boisson que les gens « adoreraient » et non mise au point par un médecin recherchant des médicaments.
    L’origine de la boisson est en fait une boisson française appelée « Vin Mariani » qui avait un grand succès et qui était importé aux Etats Unis à cette époque dont l’inventeur du coca cola a commencé par imiter la recette en la modifiant puis a du la modifier à nouveau pour être conforme à une nouvelle loi interdisant la vente d’alcool à Atlanta ou ils vendait son brevage, devenue depuis la capitale de coca cola, il a donc mélangé de la cocaine (qui était une substance autorisée à l’époque) avec de la caféine pour reproduire l’effet « coup de fouet » du vin, on comprend mieux alors pourquoi la marque ne nous raconte pas sa véritable histoire, mais, attention, ce n’est que le début qui est beaucoup moins glorieux que ce que l’on peut croire…
    Des Débuts Scabreux
    La recette de la boisson n’a sans doute pas été acquise légalement par coca cola contrairement à ce qu’elle affirme, le début de l’entreprise étant un méli mélo inextricables de non dits, de vols de recettes et autres manipulations, la société bien connue n’a jamais simplement « acheté » la recette comme le présente la compagnie dans ses discours officiels. La firme oublie de préciser que l’inventeur de la recette n’a pas grand chose à voir avec la compagnie Coca Cola car il a a fondé une autre compagnie (vendant du « Coke » qui était en fait la même recette que la boisson produite par Coca Cola), et que c’était lui en son nom propre qui avait la propriété de la recette et non ses associés du début. L’entreprise mondialement connue n’a sans doute jamais détenu légalement la recette de leur boisson qu’ils vendent pourtant depuis plus de 100 ans !
    Le fils de l’inventeur de la fameuse boisson a été retrouvé mort dans des conditions douteuses [chapitre « Suicide », p.116], laissant penser à un suicide mais laissant planer un doute, étant donné que son « suicide » est arrivé à un point nommé pour éviter de sérieux problèmes à la compagnie, qui aurait peut être été coulée, étant donné qu’elle n’avait pas les moyen de prouver que la recette avait été acquise légalement et qu’elle ne l’avait sans doute pas été, tandis que le fils de l’inventeur avait des parts de la société concurrente à cette époque de Coca Cola qui avait été fondée par l’inventeur du Coca Cola et proposant exactement le même brevage que la compagnie Coca Cola, et avait sans doute la recette transmise légalement par son père avec les parts de la société, sans parler de fausses signatures présentées sur des documents de coca cola présentés à des procès pour faire croire que l’entreprise avait acquise légalement cette recette, il semble donc que l’entreprise repose sur non pas une vente légale de la recette et autres parts, mais bien de vols et de fausses signatures et de destructions de preuves parce que le président avait demandé de brûler les livres de comptes et autres documents de la compagnie que l’on connait si bien… [chap. « Faux », p. 99].

    Voici un extrait de la présentation historique officielle qui est une infime partie de la véritable histoire, grossièrement simplifiée et faussée, (http://www.thecoca-colacompany.com/…, le 29/06/2009)
    « Dr. Pemberton never realized the potential of the beverage he created. He gradually sold portions of his business to various partners and, just prior to his death in 1888, sold his remaining interest in Coca-Cola to Asa G. Candler. An Atlantan with great business acumen, Mr. Candler proceeded to buy additional rights and acquire complete control.  »
    Traduction :
    « Dr.Pemberton (NDT : l’inventeur de la recette) n’a jamais réalisé le potentiel du brevage qu’il avait crée. Il a graduellement vendu des parts de son entreprise à différents partetaires et juste avant sa mort en 1888, a vendu le reste de ses parts de Coca-Cola à Asa G.Candler. Business man originaire d’Atlanta, Mr.Candler à procédés à l’achat de droits supplémentaires et à acquis le contrôle complet de la compagnie. »

    Voici la présentation sur le site officiel au 29/06/2009, http://www.formulesecrete.fr/FR/ :

    « A la fin du XIXème siècle, on pouvait trouver des centaines de boissons qui vantaient leurs effets tonifiants.Mais il n’y en avait qu’une qui se détachait du lot. Une boisson unique à base de cola, à la fois rafraîchissante et dynamisante. Il n’y a rien d’étonnant à ce que cette boisson soit l’œuvre d’un médecin célèbre qui n’a jamais renoncé à améliorer sa formule et a constamment recherché les meilleurs ingrédients. Il répondait au nom de Dr. John Pemberton.Certains affirment que même ses propres enfants ne connaissaient pas les ingrédients exacts de la recette. D’autres prétendent qu’il commandait de grandes quantités d’extraits végétaux qu’il n’aurait jamais utilisés, juste pour tromper la concurrence. Ce dont nous sommes certains, c’est qu’un jour John Pemberton finit par concevoir la formule parfaite, et cela de manière authentique et artisanale. Les ingrédients sont bien entendu indiqués sur chaque bouteille de Coca-Cola. Mais ce qui ne figure pas sur les étiquettes c’est la formule secrète. Le mélange exact d’extraits végétaux reste jusqu’à ce jour la formule secrète la plus célèbre du monde. Nous ne vous révèlerons pas ce que contient notre formule secrète, mais nous pouvons vous dire ce qu’elle ne contient pas. Sans conservateurs ajoutés. Sans arômes artificiels. Depuis 1886  »
    Il semble faux de dire que son propre fils ne connaissait pas la recette comme il la vendait par petites annonces dans les journeaux et peut être même que le fils de l’inventeur du coca cola à été tué parce qu’il détenait légalement la recette et pas l’entreprise, ce qui le mettait en danger.
    Il n’est pas juste non plus de dire que la recette était artisanale, car il apparait que l’inventeur du coca cola allait publier un livre contenant ses 12000 (!) expériences chimiques et qu’il avait déjà une renommée dans le domaine des brevages redonnant « un coup de fouet » [chap. « Corse », p.57]. Il était donc surtout chimiste et non médecin comme on nous le fait croire…
    On peut remarquer que Coca Cola oublie de dire que la recette originelle contenait durant des années de la cocaine et des résidus de cocaine même après son interdiction officielle, le patron de l’époque ayant apparemment réussi à empêcher la divulgation de cette information au public à l’époque, mais l’auteur ne site pas de références sur ses propos [chap « Embarras », p.71 et note de bas de page p.77].

    Dominer le Monde

    L’ambition de coca cola semble être depuis longtemps non pas simplement de devenir une entreprise prospère mais de « dominer le monde », ce qui semble être déjà atteint dans certains pays ou villes où des statistiques montrent que l’on en consomme plus de litres par habitants que d’eau, mais c’est une entreprise ayant acquis un très grand « savoir faire » dans les manipulations pour arriver à imposer leur marque, comme on le découvre tout au long du livre, mais la résistance Française à la sortie de la guerre à cette marque est devenu un « cas d’école », chez les commerciaux de l’entreprise et on découvre la guerre sans merci qu’elle livre à son concurrent direct : Pepsi [voir notamment Chap. « Espion », p.247].

    Comment les pouvoirs publics peuvent ils laisser faire une telle entreprise au détriment de la santé des citoyens, qui veut remplacer l’eau par une boisson extrêmement sucrée et très acide, ce qui peut conduire à des problèmes de santé si elle est consommé en grande quantité à cause du sucre et de composants acides qu’elle contient ?
    Après tout, la marque entretient son succès sur le mythe du pharmacien cherchant un remède et ayant découvert le Coca Cola (on associe donc facilement cette boisson à un médicament), bien sûr, on ne peut plus se permettre de dire que c’est un médicament clairement à l’heure actuelle, mais lorsqu’on en boit, on a tout de même l’impression de se faire du bien, et comme cité plus haut dans la présentation officielle, on nous présente cette boisson comme étant une sorte de médicament : « Il n’y a rien d’étonnant à ce que cette boisson soit l’œuvre d’un médecin célèbre ». On sous entend clairement que c’est un médicament.
    C’est toujours cette ambiguité entre le discours officiel véhiculé par les pubs et les médias traditionnels (même des journalistes dans de grands médias semblent en effet avoir utilisé comme source pour l’histoire de la marque seulement la version officielle) et ce qui se cache derrière cette façade qui n’est qu’un simple décor sans aucun fondements comme le mythe du « médecin » étant tombé « par hasard » sur cette boisson, à part que c’est un simple plaisir instantané qui n’en en rien un véritable remède, c’est simplement certains composant de la boisson qui peuvent apporter un soulagement passager (avec un effet similaire à un calmant) dans certains cas, les effets positifs de cette boisson sont largement exagérés…

    Les Dangers du Coca Cola

    On s’étonne que les dangers du coca cola ne soient pas plus pris au sérieux par les pouvoirs publics, notamment avec le principe de précaution, le Vénézuela à même totalement interdit la commercialisation du nouveau Coca Cola Zéro sans toufefois donner apparemment de raison.
    Mais les dangers de l’acidité du coca cola à plus ou moins long terme sont reconnus dans certaines études tendant à montrer le danger d’en consommer à cause de son acidité :
    « Si actuellement, il est déjà recommandé aux personnes atteintes d’une maladie rénale d’éviter le coca et les autres aliments riches en acide phosphorique comme la viande, il serait sans doute intéressant d’élargir ce conseil. En attendant les résultats d’autres études sur ce sujet, les personnes à risque de maladie rénale doivent se méfier du coca et veiller à ne pas en consommer quotidiennement. Et de façon plus générale, tous ceux qui consomment du coca tous les jours devraient le signaler à leur médecin, et discuter de la pertinence d’un dépistage de l’insuffisance rénale… »
    Voir aussi :
    Pour faire de vieux os, évitez les sodas
    Pourtant les pouvoirs publics ne diffusent pas vraiment de messages de prévention spécifique et n’imposent pas à l’entreprise d’indiquer les risques de consommer leur boisson, ce qui serait la moindre des choses.

    L’ Aspartame est un autre produit à risques, peut être dangereux, présent dans de nombreux produits dont le coca cola « sans sucres » et nombre d’autres produits qui n’était pas autorisé à la vente durant des années à cause de résultats d’étude scientifiques, encore un produit dangereux que le lobby des compagnies ont réussis à imposer malgré leur dangers reconnus par de nombreuses recherches et études, cela ressemble fort aux fabricants de cigarettes qui connaissaient les dangers des cigarettes depuis longtemps mais l’on cachés comme l’on démontré des procès à leur encontre :
    « L’aspartame n’a été autorisé qu’en 1981, pour les aliments
    solides. Pendant plus de 8 ans, la FDA refusa son autorisation
    à cause des crises d’épilepsie et des tumeurs cancéreuses du
    cerveau provoquées par ce produit sur des animaux de
    laboratoire. La FDA continua à refuser cette autorisation
    jusqu’à l’arrivée de Ronald Reagan à la Maison Blanche (un ami
    de Searl) qui démit de ses fonctions le Commissaire de la FDA
    responsable de cet état de fait. Le Dr. Arthur Hull Hayes fut
    alors nommé Commissaire. Cependant, il y avait alors tellement
    d’opposants à l’autorisation qu’un Commission d’Enquête fut
    créée. La commission statua : « Il ne faut pas autoriser
    l’aspartame. » Le Docteur Hayes REJETA les conclusions de sa
    propre Commission d’Enquête.
    Peu de temps après, le Commissaire Arthur Hull Hayes, Jr.,
    autorisa l’utilisation d’aspartame dans les boissons gazeuses. »

    Source :
    http://www.dorway.com/badnewsf.pdf

    Licencié en sciences islamiques
    3 septembre 2013 - 12 h 17 min

    Ajout concernant mon
    Ajout concernant mon commentaire afin d’éviter d’éventuels malentendus:
    ce qui précede signifie que consommer même une goutte de biére, de vin ou de quelque liqueur qu’elle soit est illicite (haram)
    par contre si la même goutte tombait par exemple dans la citerne de la ville ou dans la mer elle n’influencerait pas cette eau et on trouverait des traces infinitésimales d’alcool dans cette eau
    tout ceci ne doit pas ouvrir la voie à ceux qui prétenderaient licite la consommation -ou l’utilisation- de boissons enivrantes à faible doses…
    revenons aux spécialistes de la matiére et ne parlons pas sans science: des livres comme charh mouslim d’elnawawi ou fath al bari étaient la question

    Licencié en sciences islamiques
    3 septembre 2013 - 11 h 52 min

    esalamou alaykoum
    Dans

    esalamou alaykoum
    Dans l’Islam rien n’est interdit à cause de la présence de traces d’alcool: ces méthodes d’analyse infinitésimales n’existaient pas avant et Allah ne nous a pas chargés de procéder à ces analyses mais d’éviter ce qui énivre
    ce qu’on appelle « el iskar »: ce qui enivre est interdit même en petites quantités
    d’autre-part tout aliment contenant des sucres est susceptible de contenir une certaine proportion infime d’éthanol (qui est le constituant de tous les alcools enivrants) sans que l’aliment lui-même n’enivre: cette fermentation est tout à fait normale et s’accelere avec la chaleur, par exemple
    et selon ce que l’on sait, jamais personne ne s’est enivré en buvant de grandes quantités de cette boisson, de même que l’on ne s’enivre pas en buvant de grandes quantités de jus de fruit ou le processus naturel de fermentation a demarre en produisant des quantites infimes d’alcool ethanoïque
    cette question a été traitée trés anciennement par les savants de l’école Chafféïte plus particuliérement et alahamdoulillah

    moi
    18 décembre 2012 - 22 h 19 min

    Mr l’homme d’affaires djilali
    Mr l’homme d’affaires djilali mehri est propriétaire d’une usine de bière en canette appelée « la bavaroise » aux environs d’Annaba!

    ELKSEUROIS
    19 octobre 2012 - 8 h 14 min

    Eh !! pas encore la fin du
    Eh !! pas encore la fin du monde .. rangez bien votre mot « bigoteries » … « les valentiniens » ou les libres de mœurs et de propos non pas de place dans notre culture

    mia
    16 septembre 2012 - 12 h 01 min

    et bien le secret de la
    et bien le secret de la fabrication de coca cola a était révélé sur le site tisamericanlife.org coca contient de l’alcool et voila la preuve http://www.thisamericanlife.org/radio-archives/episode/427/original-recipe/recipe
    ya pas de doute

    Anonym
    29 juin 2012 - 17 h 09 min

    Pas de politique sur les
    Pas de politique sur les boissons gazeuse je suis persuadé qu’il n’y a pas d’alcool dans les boissons citer c’est formelle

    kawa
    29 juin 2012 - 13 h 44 min

    Il est de notoriété publique
    Il est de notoriété publique que les soda (coca cola, sprite…) sont nocifs pour la santé, car trop sucré et le colorant que l’on trouve dans ces boissons est aussi cancérigène.
    Maintenant on nous dit que la boisson coca cola contient de l’alcool.. je rajoute que Coca cola soutient l’armement israélien qui tue tous les jours femmes et enfants palestiniens… combien de preuves faudra t’il encore pour que nous bondonnions tous cette boissons de malheur !?

    Mansour
    29 juin 2012 - 8 h 02 min

    Encore un sujet pour
    Encore un sujet pour détourner l’attention sur les vrais problèmes.Combien le raïb(lait fermenté)contient-il d’alcool? Et je ne parle pas du légmi(jus de palmier)qui lui en contient presqu’autant qu’une bière.Coca Cola est un des meilleurs sodas et le moins nocif et on veux nous en priver sous prétexte qu’il contient 0.001% d’alcool.Assez de bigoteries SVP.

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