Situation dégradée

Par Kamel Moulfi – Le commerce informel que l’on croyait en voie d’éradication, depuis l’annonce d’opérations musclées commencées il y a deux ans contre ses innombrables marchés et étalages de rues, connaît en ce Ramadhan un nouvel essor, perceptible dans tous les endroits publics squattés par les vendeurs illégaux qui proposent toutes sortes de marchandises, importées le plus souvent. C’est le signe évident de l’inefficacité des services de l’Etat à mener à bien une action qui relève à la fois de la salubrité publique et de la défense de l’économie nationale. Ni l’une ni l’autre de ces motivations ne semblent suffisantes à convaincre de l’urgence, pour les pouvoirs publics, à intervenir sur ce fléau. Un grand plan de «nettoyage» avait été lancé il y a deux ans pour débarrasser la capitale d’abord, et aussi tous les centres urbains du pays du commerce de rues, mais, à ce jour, celui-ci prospère, de plus belle d’ailleurs, dans l’informel au détriment des commerçants qui s’acquittent de leurs obligations légales et de la production nationale soumise à une concurrence déloyale. Le plan de lutte contre l’informel a échoué, tout comme a échoué le fameux «nettoyons les villes !» qui consistait pourtant, seulement, à ramasser les ordures et laver les trottoirs, une opération sans «ennemi » réel et donc sans risque et qui, au contraire, rencontre l’adhésion de tous, mais là aussi l’inefficacité des services de l’Etat reste inexpliquée. Depuis des années, durant le Ramadhan, le ministère du Commerce bat tous les records de publication de communiqués sur le «contrôle de la qualité» et sur la «répression de la fraude», mais jamais il n’a pu surveiller la sphère informelle, tout simplement parce qu’elle ne relève pas de ses prérogatives ; heureusement pour ses agents, à qui est épargnée la mission impossible de faire respecter la loi algérienne qui interdit toute vente et tout commerce non déclaré et autorisé. Dans la «drôle» de guerre menée contre l’informel, c’est l’illégalité qui prend le dessus. Las d’attendre, déçus par l’inefficacité des pouvoirs publics et attirés par le gain facile, des pans entiers du secteur formel, producteurs et commerçants, se sont mis à fournir le marché informel, rendant la tâche plus difficile qu’il y a deux ans. Cela s’appelle : une dégradation de la situation.
K. M.
 

Comment (19)

    zyriab
    16 juillet 2014 - 7 h 26 min

    Mon dieu à la lecture de tous
    Mon dieu à la lecture de tous les post de ce forum on dirait la catastrophe la plus totale et l’enfer .Pourtant ce peuple vit se développe et avance beaucoup mieux que beaucoup d’autres pays ou c’est la récession une misère grandissante Mes chers compatriotes on dirait que personne ne veut que l’Algérie grandisse se développe et avance .Tous à pleurnicher sans aucune proposition personne ne fait rien et toujours à critiquer ce que font les autres « Il n’y a que ceux qui agissent qui se trompent » Les bras cassés sont là à critiquer ceux qui veulent faire des choses .Et comme le disait (Allah yerhamou le professeur Chaulet)le dénigrement c’est notre sport national .

    RAMO
    15 juillet 2014 - 23 h 13 min

    Wallah que c’est des
    Wallah que c’est des parasites,et ceux qui s’arrêtent aussi pour eux en engendrant des bouchons énorme, pas assez de mots pour vous d’écrire tout cela,il faut que les lois changent pour ces racailles.

    New kid
    15 juillet 2014 - 23 h 05 min

    L’informel ?
    D’où vient

    L’informel ?
    D’où vient l’informel ?
    Peut-on trouver la source de l’informel ?
    Si l’on suit la méthode à qui profite le crime, notre enquête nous mènera au coupable.
    Cette méthode mafieuse est reconnue dans le monde entier comme la source d’un état dans état.
    Le clientélisme et la corruption sont les alliés de l’informel. Donc la gouvernance est directement liée à l’informel. La promotion du billet de 2000 dinars n’est pas pour les beaux yeux de l’ouvrier, mais ceux qui entrepose des « shkaras » dans des entrepôts aussi grand que des hangars d’avions.
    L’injection de l’informel dans la vie d’un état, est comme l’introduction du cancer dans un corps saint. Et bientôt les effets néfastes apparaissent. Las conclusion n’est qu’une question de temps avant que le pourrissement vienne avant que la mort s’ensuive !

    Anonyme
    15 juillet 2014 - 22 h 45 min

    L’informel ?
    D’où vient

    L’informel ?
    D’où vient l’informel ?
    Peut-on trouver la source de l’informel ?
    Si l’on suit la méthode à qui profite le crime, notre enquête nous mènera au coupable.
    Cette méthode mafieuse est reconnue dans le monde entier comme la source d’un état dans état.
    Le clientélisme et la corruption sont les alliés de l’informel. Donc la gouvernance est directement liée à l’informel. La promotion du billet de 2000 dinars n’est pas pour les beaux yeux de l’ouvrier, mais ceux qui entrepose des « shkaras » dans des entrepôts aussi grand que des hangars d’avions.
    L’injection de l’informel dans la vie d’un état, est comme l’introduction du cancer dans un corps saint. Et bientôt les effets néfastes apparaissent. Las conclusion n’est qu’une question de temps avant que le pourrissement vienne avant que la mort s’ensuive !

    Laetizia
    15 juillet 2014 - 22 h 20 min

    Bravo à vous deux !
    Par

    Bravo à vous deux !
    Par Anonyme (non vérifié) | 15. juillet 2014 – 21:37
    Par ugustin n ‘taghast (non vérifié) | 15. juillet 2014 – 18:28
    Un réquisitoire cinglant justifié par anonyme et un plaidoyer sincère et patriote par Augustin !
    Tout va à vau-l’eau, une malédiction semble avoir frappé El Djazaïr.

    Anonyme
    15 juillet 2014 - 20 h 57 min

    L’Algérie est un pays virtuel

    L’Algérie est un pays virtuel qui n’existe pas en réalité.
    L’Algérie existe juste sur des projets maquettes et des promesses dans l’air… Qu’attendez-vous d’un pays dirigé par un Fantôme…

    Nous avons un pouvoir incapable corrompu soumis aux forces étrangères…Il faut qu’il parte…Il n’ya pas d’avenir avec ce pouvoir…

    Y’ a-t-il un général fils du pays pour néttoyer l’Algérie de cette vermine qui nous gouverne …

    Anonyme
    15 juillet 2014 - 20 h 37 min

    Ce régime est incapable de
    Ce régime est incapable de diriger le pays, depuis 1999, il le mène vers la catastrophe : nos frontières sont devenues des passoires pour les illégaux, les trafiquants de drogue, marocains, nous sommes envahis par les sahéliens qui s’installent dans nos villes et refusent d’aller dans les camps pour être pris en charge, la corruption à pris de proportions alarmantes, le pays est livrée aux marchés informels, il ne se crée rien dans ce pays pour stimuler l’emploi tout est importé par ce régime minable qui s’est mis au service de la France et de toutes les puissances impérialo sionistes, la population n’a jamais été aussi désespérée tout le monde cherche à piller le pays, le patriotisme a laissé place à l’anarchie, profit personnel etc…Le Sud algérien livrée aux mafias de la drogue et au salafiste, que fait ce régime il s’accroche au pouvoir, alors qu’il est incapable de diriger le pays, il s’accroche au pouvoir pour échapper à la justice, on n’entend d’ailleurs plus parler des affaires de corruption.

    ugustin n 'taghast
    15 juillet 2014 - 17 h 28 min

    Mass k.Moulfi,juste quelques
    Mass k.Moulfi,juste quelques chiffres qui donnent froid dans le dos,et qui montrent combien l’algérie est rendue vulnérable par une NON POLITIQUE d industrialisation et de développement ,qui consiste ,hélas,a juste exploiter une RENTE PETROLIERE ET GAZIERE non renouvelable pour « vivre au jour le jour » avec d un côté des régions deshéritées où l’insécurité régne ,troubles ,rapt,kabylie,mzab et où la mal vie est quotidienne,tisemsilt,les piedsmonts des babors,banlieues ,villes et villages oubliés du constantinois,de l’oranie,de annaba,en pays chawi….

    Mass Djilali Tariket,pdg de la cagex(caisse assurance et garantie des exportations) a,pour l’année 2013,déclaré que la recette annuelle des exportations algériennes hors hydrocarbures est évaluée à 02 MILLIARDS DE DOLLARS (deux milliards de dollars)!!!Vous avez bien lu chers ami(e)s D’ALGERIE PATRIOTIQUE 02milliards de dollars seulement ,bark!,pour un pays de 38 millions d habitants et qui est l’un des plus grands au monde 2,5MILLIONS ET DEMI DE KM2!! .

    Et encore plus grave 70% de cette recette,donc 1,4milliards de dollars , provient de la commercialisation de dérivés du pétrole, du gaz, ainsi que de produits miniers comme le phosphate!!!

    Le reste les 600 millions de dollars sont la recette de produits viticoles(vins,jus de raisins,raisins…),datte( une deglet nour ,que j’ai vu de mes yeux, algerienne exportée en norvége SOUS LE LABEL TUNISIEN,j’en avais les larmes aux yeux de rage de cette humiliation des produits de notre terre l’algérie!!) et d autres produits agricoles transformés.

    En outre le cuir algérien bradé,POURTANT QUI VAUT DE L OR ,participe à cette MISERABLE RECETTE D EXPORTATION hors hydrocarbures!! selon le même responsable.
    Encore ,une donnée ,chers ami(e)s de ce site AP que nous apprécions pour sa LAICITE ET SON PATRIOTISME algerie algeriens ,figurez vous que ce petit portefueille exporté de 2 MILLIARDS DE DOLLARS BARK!!!,nos sages diront « baraka efla qlil »(la baraka est dans ce qui est petit,mais la sagesse on le sait ne suffit pas à nourrir son homme!!
    Elmouhim!ces 2 milliards ne sont la recette d exportation que d’à peine 380 exportateurs!!!et il ya dejà combien D IMPORTATUERS qui exercent en algerie? PLUS DE 30 000 IMPORTATEURS!!en 2004 ils téaient dejà plus de 14000!!
    En pourcentage nous avons 380/30000 % soit:1,26%
    Pour à peine 1 exportateur SUR 100 OPERATEURS!!!
    Et ce seul exportateur peut être lui même importateur comme le sont rebrab,benamor…..
    Il est urgent et plus que temps que nos responsables et notamment notre ministre de l’industrie bouchouareb ,son collégue du commerce benyounes et surtout le premier ministre et les vrais décideurs impulsent une dynamique sérieuse pour que notre pays sorte de cette situation ,hors hydrocarbures ,qui hypothéque la venir de LEURS ENFANTS ET DE TOUS LES GENERATIONS A VENIR DE L’ALGERIE ALGERIENNE8
    Oui ,bien sûr!il ya le gaz de schistes!!mais n est ce pas là UNE ARME A DOUBLE TRANCHANTS lorsqu on pense à cette d algerie et à son environnement que nous devons préserver pour les generations futurs?
    Il est temps yalkhawa de se RETROUSSER LES MANCHES ET D AIMER ENFIN CE PAYS!

    Zerrouk
    15 juillet 2014 - 15 h 25 min

    Un jour un coopérant français
    Un jour un coopérant français venu en Algérie, a vu plusieus façade de sociétés ou est écrit en début du mot, SONA, et à lui de s’exclamer « ça sonne partout mais ça ne répond pas », c’est une blague que répète beaucoups d’algériens à l’époque, mais qui reste valable jusqu’à nos jours, comment éradiquer le commerce informel alors que la corruption gangrène notre société, saha, supposant qu’on respecte la loi algérienne qui interdit toute vente et tout commerce non déclaré et autorisé et faire dispersé ces vendeurs, sans leurs proposer autres choses, on veut les envoyer vers le vol ou le meurtre, il faut savoir que ces jeunes vendeurs pratiquent des prix qui sont plus bas que chez un marchand légal c’est une aubaine pour la majorité des citoyens, qui peuvent se permettre des trucs, à des prix abordables, nos gouvernants veulent la solution facile, matter par la police ces vendeurs sans se soucier des conséquences parfois désastreuse comme à Douéra ou le probleme perdure, il faut savoir que ce commerce fait vivre des centaines pour ne par dire milliers de familles.

    raselkhit
    15 juillet 2014 - 14 h 59 min

    Le commerce informel dans le
    Le commerce informel dans le monde entiers à l’instar de nos voisins Italiens ne peut être éradiquer sans la participation totale et entière des forces vives de la nation « Tous les partis politiques la population la société civile la presse et les médias .Une lutte nationale et non les pouvoirs politique œuvrent et le rte du pays reste au bord du trottoir à regarder comment le pouvoir se débat et les trafiquants volent le peuple .

    New kid
    15 juillet 2014 - 14 h 46 min

    Mind you it takes two to
    Mind you it takes two to tango!
    Le peuple n’est pas plus intelligent de renier l’informel ccomme il se doit. Les algeriens c’est vrais, ils sont feneants et improductifs. la rente oul banane ou ragda c’est tout ce qu’ils demandent

    New kid
    15 juillet 2014 - 13 h 17 min

    Peut etre que Sarkozy devrait
    Peut etre que Sarkozy devrait revenir, car Hollande et sa clique sont mous.
    Le Karcher Allemnad serait le bienvenu!

    mellah hocine
    15 juillet 2014 - 13 h 11 min

    LE GOUVERNEMENT algérien,
    LE GOUVERNEMENT algérien, auquel il est attrubué des prérogatives de gestion de ce pays,est constitué de ministres TECHNOCRATES sans appartenance partisane, applique le programme du Président.
    Comme ce président était l’élève de BOUMEDIENNE, alors il agit de la même manière,dans ce secteur suivez moi:
    Une «campagne d’assainissement » décidée par le président Houari Boumediene (président de 1965 à 1978). Là aussi, chasse aux étals sauvages. Interdiction d’étendre le linge au balcon ou de traverser en dehors des passages pietons.
    Quelques arrestations, quelques blagues vite inventées par le bon sens populaire («enlève la culotte», aurait dit un policier, à travers la porte, à une vieille femme à propos d’un dessous séchant au balcon).
    Mais, très vite, le feu de paille. Retour à l’état initial. Pénuries et contrebande.
    Pas cette fois, promet le gouvernement d’Abdelmalek Sellal .
    Le message est claironné à longueur de journaux écrits et télévisés: l’informel, c’est l’ennemi de l’économie, l’Etat algérien va frapper dur. Les «citoyens» comptent les points et attendent les résultats.
    Au fond d’eux-mêmes, ils savent que rien ne changera vraiment tant que les autorités ne s’attaqueront pas aux grands importateurs qui inondent le pays de produits fabriqués aux quatre coins de la planète.

    mellah hocine
    15 juillet 2014 - 12 h 33 min

    J’ai relevé cet article d’un
    J’ai relevé cet article d’un journal en OCT 2012:
    La chasse à l’informel a commencé. Amendes, marchandises saisies voire détruites, arrestations.
    La présence policière est bien visible et entend dissuader les mis en cause de reprendre leurs mauvaises habitudes. Ici et là, il y a eu des émeutes. Mais rien de nouveau sous le ciel d’un pays qui en compte des dizaines par jour, sans qu’elles n’aboutissent à un mouvement de protestation nationale.
    Les Algériens, les «citoyens», dit la presse locale, respirent et applaudissent. Terminé le temps où il fallait s’excuser en enjambant un tas de pastèques pour pouvoir rentrer chez soi.
    Bien sûr, il reste encore la saleté. Car, des mois, des années, de présence du bazar ont laissé des traces gluantes et sombres. Mais les Assemblées populaires communales (APC, l’équivalent de la mairie) promettent qu’eau, savon et karcher en viendront à bout.
    De son côté, le nouveau gouvernement n’entend pas s’arrêter là. Les «gardiens de parking» sont avertis. Le bon temps est terminé. Ils n’ont plus le droit de racketter les automobilistes. Là aussi, les «citoyens» sont satisfaits mais demandent tout de même à voir.
    Qu’en sera-t-il dans une semaine, dans un mois? Combien de fois de telles campagnes se sont-elles terminées en queue de poisson, le bazar reprenant tranquillement ses droits?
    EH OUI, ON EST EN 2014 celà fait à peine deux ans

    mellah hocine
    15 juillet 2014 - 12 h 02 min

    Pour 00213 (non vérifié) |
    Pour 00213 (non vérifié) | 15. juillet 2014 – 11:39

    entièrement d’accord avec toi, ces gouvernants ne lancent que des opérations qu’ils ne maîtrisent pas.
    Déjà, les plus simples à savoir l’addition, la multiplication , la soustraction et la divsion qui sont le BABA de toute gestion, ne sont pas maîtisées par ces gens du pouvoir.
    La seule opération maîtrisée par ces gens est l’opération d’alimentation des comptes à l’étranger, et encore, puisque ce sont leurs « valets » qui les éxecutent.
    Un pays, dont les capacités sont inestimables, qui se retrouvent bloquer par l’inconscience de ces gens.

    00213
    15 juillet 2014 - 10 h 39 min

    L’Algérie c’est le pays des
    L’Algérie c’est le pays des grandes opérations sans lendemain.
    Opération Algérie blanche.
    Opération couffin du Ramadan.
    Opération de relogement.
    Opération de caravane médicale dans le Sahara.
    Opération de rénovation des routes.
    Opération de pavage des trottoirs.
    Opération d’assainissement des rivières.
    Opération port bleu.
    Opération éradication de l’informel.
    Opération plantation de palmiers.
    Opération embellissement des façades.
    Et tellement d’autre bêtises conçues dans des salles pleines de têtes de vides.
    En bref, ils misent tout dans la forme et rien dans le fond, et encore la communication qui entoure ces initiatives bancales est d’une grande médiocrité.
    .
    Aucune étude tactique, aucune vision à long terme, aucune anticipation sur les réels défis du pays.
    Y’en a pas un pour dire autres : »Eh stop les gars, on est entrain de faire de la grosse mer** ! »
    Ils croient pouvoir apporter des réponses-éclairs à des problèmes systémiques.
    .
    De toute façon quand on a une institution publique qui ne respecte rien, comment voulez vous qu’elle fasse respecter la loi ?
    Qui plus est, quand ils ne se respectent pas eux-mêmes en faisant fi de l’héritage et du sacrifice de nos chouhadas.
    D’ailleurs si dans la capital du plus grand pays d’Afrique, il y en encore des citoyens qui n’ont pas d’eau au robinet c’est de la faute d’Al Qaïda.

    New kid
    15 juillet 2014 - 10 h 38 min

    Cet état qui pousse et tolère
    Cet état qui pousse et tolère le travail au noir est dû aux institutions étatiques mal gérées. Pour commencer les petits commerçants taxés au maximum et non au réel sont ignorés et saignent a mort. Par contre l’informel passe-droit s’enrichi aux yeux de tous sans se soucier du social et de l’avenir du peuple.
    Tant qu’un recensement des commerces qui opèrent dans l’informel (achètent sans factures et sans comptabilité) n’est pas puni par dix fois plus son capital, ne serai qu’aboyer a la forêt et non à l’arbre ou le voleur a trouvé refuge.
    Qui commande les ports et aeroports ? qui donne les licences d’importations ? a qui profite l’informel ? Tant que ces questions n’auront pas de réponses, la république bananière continuera sa démagogie.
    Les communes dont les maires ont été réduit au rôle de serpillière, la, réside le grand tort. La base est la plus importante structure d’un état, réduite, sans pouvoir réel, les Walis sont loin de voir de leur tour d’ivoire, le peuple errer sans berger et sans défense.

    Anonyme
    15 juillet 2014 - 10 h 29 min

    le commerce n’est pas chargé
    le commerce n’est pas chargé de combattre l’informel; ce sont les services d’ordre qui s’en occupent ; ils le font « sans faire de vagues » et cette idée est partagée par tous les niveaux ,au point où elle finit par être exploitée pour d’autres fins répréhensibles ;

    tant que cet informel avec ses nuisances sont « tolérés » par les habitants et que certains vendeurs peuvent être « utiles » on laisse faire jusqu’à ce que cela déborde et nécessite la répression;
    cette façon d’agir diffère les bonnes solutions et épargne pour un temps ceux en charge du respect de la loi ,se substituant ainsi à la LOI .

    ugustin n 'taghast
    15 juillet 2014 - 10 h 16 min

    L’algérie va à vau l’eau et
    L’algérie va à vau l’eau et droit dans le mûr!
    90% du salaire d un algérien sont assurés grâce aux revenus des hydrocarbures!!
    Ainsi,un salarié algérien qui touche 50000DA, n’a en faite,que 5000da qui sont le résultat de la production interieur brut HORS HYDROCARBURES et 45000 da!!!complétés à son salaire qui proviennent de la vente d hydrocarbures et surtout du gaz algérien!!!
    Comment est on arrivé là?!
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