La pluie qui s’est abattue sur Alger était accompagnée d’une substance étrange

pluie Alger substance explications
Cette substance inodore ressemble au soufre. AP

Des citoyens intrigués nous ont fait parvenir des images et des vidéos prises dans différents lieux d’Alger, montrant une substance jaunâtre étrange qui a accompagné la pluie qui s’est abattue sur Alger ces derniers jours.

Ces citoyens ne comprennent pas que personne n’ait remarqué ce phénomène inexpliqué, d’autant que cette substance, qui semble ressembler à du soufre, mais qui ne dégageait aucune odeur, a été aperçue un peu partout.

S’agit-il d’un produit chimique dégagé par une usine près de la capitale ou n’est-ce que du sable ? En certains endroits, l’eau de pluie a séché, mais les traces indélébiles de cette matière sont restées, notamment dans les rigoles et les nids de poule.

Aucune autorité officielle n’a signalé la présence de substances dangereuses et les citoyens qui se sont adressés à notre site ont exprimé leur étonnement sans pour autant craindre quelque effet néfaste de ce composant insolite.

L. S.

Comment (21)

    SAHRAOUI
    8 mars 2018 - 15 h 18 min

    DES SUBSTANCES ÉTRANGEMENT INCONNUES POLLUANTES DE L’EAU DE PLUIE SONT TOMBÉES AVEC LES DERNIÈRES CHUTES DE PLUIES SUR LE SOL EN ALGÉRIE .

    JE SAIS QUE L’ÉPANDAGE DES PRODUITS CHIMIQUES TELS QUE LE STRONTIUM , L’ALUMINIUM ET LE BARYUM DANS L’ATMOSPHÈRE TELS QUE CES SUBSTANCES ÉTRANGEMENT INCONNUES PRÉCIPITÉES AVEC LES PLUIES DE CES DERNIERS JOURS EN ALGÉRIE A POUR BUT EGALEMENT DE RÉPANDRE LES MALADIES INCURABLES TELLES QUE LES DIFFÉRENTS CANCERS POUR PERMETTRE AUX LOBBYS DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE D’ENGRANGER ENCORE UN PROFIT FINANCIER COLOSSAL DANS LA VENTE DES NOUVEAUX TRAITEMENTS QU’ON POURRAIT ENCORE PRODUIRE POUR PEUSO LUTTER CONTRE L ÉMERGENCE DES NOUVELLES MALADIES ……ETC . TOUT COMPTE FAIT , CES ÉPANDAGES DE SUBSTANCES TOXIQUES PAR LES AVIONS A HAUTE ET MOYENNE ALTITUDES NE VISENT PAS DONC SEULEMENT LA PRODUCTION DES EFFETS REFROIDISSANTS POUR LUTTER CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE OU FAIRE ECRAN AUX RAYONNEMENT IONISANTS NÉFASTES EN PROVENANCE DU SOLEIL ET DE L’ESPACE EXTRA ATMOSPHÉRIQUE , TOUJOURS EST-IL QUE MEME CES ÉPANDAGES FONT PARTIE DU PLAN DES MODIFICATIONS VOLONTAIRES DU TEMPS A DES FINS COMMERCIALES ET NON POUR LUTTER CONTRE LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE CAR LE RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE C’EST DE LA FOUTAISE… RIEN DE MOINS QU’UNE VULGAIRE ESCROQUERIE POUR FAIRE DU FRIC !!! »
    Le réchauffement climatique est une grande arnaque qui sert a imposer la taxe carbone a tous les citoyens du monde et aux entreprises qui polluent a des fins d’engranger des recettes colossales d’argent comme on l’a fait avec le trou d’ozone qui a toujours existe depuis la nuit des temps . C’est également inscrit dans un but d’empêcher les pays en voie de développement de progresser technologiquement et de leur faire payer abusivement l’accès aux nouvelles technologies pour l’usage des nouvelles énergies renouvelables a coup de milliards de dollars ….etc . Je sais une chose en tant que Climatologue et Astronome algérien, c’est que les changements climatiques et le réchauffement climatique ainsi que le refroidissement climatique sont engendres exclusivement par les cycles d’activité solaire et les paramètres orbitaux de Milancovich ( ce fameux astronome yougoslave) ( Nutation, précession des équinoxes, variation de l’axe d’inclinaison de la terre …etc) a l’origine du réchauffement climatique de l’ère médiévale ( optimum médiéval ) ainsi que la glaciation du quaternaire et également le volcanisme pour les petits âges glaciaires
    Le seul réchauffement que nous voyons, année après année, est un réchauffement médiatique tentant désespérément de nous faire croire qu’une pomme est une orange. L’annonce que 2014 a été l’année la plus chaude était une action désespérée de la part de ceux qui vivent des carbo-dollars afin de camoufler une réalité non lucrative. » LE RÉCHAUFFEMENT PLANÉTAIRE – UNE ESCROQUERIE POUR TAXER ET CONTRÔLER. L’ARNAQUE DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE À NOUVEAU DÉNONCÉE. iL N’Y A PLUS AUCUN RÉCHAUFFEMENT. LE RÉCHAUFFEMENT DE LA PLANÈTE – IL S’AGIT D’UNE ESCROQUERIE. LE TERME « RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE » BANNI AU MINISTÈRE DE L’ENVIRONNEMENT DE FLORIDE. C’EST DE LA PROPAGANDE ET NON DE LA SCIENCE. CE QU’ON NE VOUS DIT PAS SUR LE CALCUL DE LA TEMPÉRATURE MONDIALE. « Depuis plusieurs années, les médias nous martèlent avec des nouvelles en continue liées au réchauffement climatique, que le réchauffement sans l’ombre d’un doute et a été causé par les activités humaines (toujours selon les médias et la science officielle). Des scientifiques dissidents ont exprimé des doutes quant à la véracité de ce phénomène « irréversible » et ont été contraints de se rétracter, sous peine d’expulsion des services météo ou de l’isolation professionnelle… » Le réchauffement climatique anthropique est « devenu une véritable religion à laquelle nous devons croire aveuglément« . Tout autour de notre planète, la plupart des stations météorologiques sont presque constamment surveillées. Je dis presque parce que dans certaines grandes zones, ces stations sont totalement absentes. Dans d’autres, cependant, elles sont très rares. Comme vous pouvez le voir au delà du 60e parallèle sud vers le pôle Sud, il en n’est même pas question. L’absence totale, dans le nord de la Sibérie, du Groenland ainsi que dans la partie occidentale. Elles sont très rares voir peu nombreuses en Asie, en Amérique du Sud et en Afrique (les territoires les plus vastes du continent).
    On ne pourra pas échapper au fait que l’endroit le plus froid sur Terre, en Antarctique, est absent comme si ce lieu faisait parti d’une autre planète. Aucune mesure n’est effectuée dans le nord de la Sibérie (endroit très inhospitalier), et même à travers le Moyen-Orient ou même le Groenland. Par conséquent, l’emplacement des bornes météo crée lui-même une forte déformation de la réalité et d’un climat sous contrôle. Mais cela ne s’arrête pas là. La plupart des stations existantes ont été construites il y a plusieurs décennies dans le voisinage des zones urbaines. L’expansion urbaine a fait que ces stations ont été incorporées dans les villes, ce qui créé une autre forme de lourde distorsion, parce que nous savons tous que les zones urbaines génèrent des îlots de chaleur réels qui créent inévitablement des anomalies positives, alors que les températures sont à surveiller dans les zones rurales non urbanisées. Un autre point de contraste est le traitement des données pour de plus amples informations. Souvent, nous entendons les gens dirent, « cela a été le 6e mois d’avril, le plus chaud depuis les 30 dernières années en Europe » ou « a été le 10ème mois de décembre, le plus chaud au Canada » ou « la 3e année en France le plus chaud du siècle »… etc. « Il suffit de mettre parmi les nombreuses anomalies mondiales, la réalité locale, puis cela montre avec force que le seul but est d’«impressionner» le public ou les masses en déformant la «réalité» mondiale. » Un autre exemple flagrant : la gestion de l’information sur la banquise. Au cours des dernières années, alors que l’Antarctique était le premier sujet des médias, rien n’a été oublié : la catastrophe des mers antarctiques qui vont augmenter de plusieurs mètres, les pingouins condamnés à l’extinction etc., etc. Comme vous le savez, rien ne s’est passé, même que la glace de l’Antarctique a atteint des niveaux records et personne ne nous en parle. Plutôt, on ne fait que parler de l’Arctique : que l’Arctique va fondre complètement, que les ours polaires sont voués à l’extinction, que le pôle Nord va être libre de glace en été. Pourquoi ? Simple : l’Arctique fait la une des médias. Cela, amis et lecteurs, malheureusement, c’est le système. La science doit se soumettre à la politique de diktat pour des raisons économiques.
    Quant à mon opinion personnelle, le réchauffement climatique du 20ème siècle a existé, mais il a été largement surestimé, parfois de mauvaise foi, et en tout cas, il y a eu un réchauffement très naturel généré par la forte activité solaire, qui n’a jamais été si intense depuis les 400 dernières années. Mais maintenant les choses sont en train de changer et de changer très rapidement. Le Professeur Hathaway, n°1 de la physique solaire américain, après avoir prédit un cycle solaire explosif en 2006, a été obligé de se reprendre subitement et admettre que nous sommes en présence de cycles solaires faibles de 200 ans.
    « Très ironiquement : même s’il s’agit d’un cycle faible, il y aura pas d’impact sur le climat mondial !? C’est comme si vous disiez que le four est allumé ou éteint, cela ne changerait rien : la nourriture serait réchauffée de toute façon ! » « Taxe$ carbone oblige… »
    En toute franchise, Al Gore n’était pas, loin s’en faut, le seul militant hystérique catastrophiste à se couvrir de ridicule. En décembre 2007, la BBC signala de prétendues « études de modélisation » qui étaient censées indiquer qu’ « il pourrait ne plus y avoir de glace en été dans les eaux du pôle Nord d’ici cinq à six ans à peine ». De facon incroyable, certains des soi-disant « experts » ont même soutenu que ça pourrait arriver avant ; en se basant sur des calculs effectués par des « superordinateurs » qui, selon la BBC, « participent aux recherches standard en climatologie ces dernières années ».
    « Notre prévision de 2013 de la disparition de la glace en été ne tient pas compte des relevés minimums de 2005 et 2007 », a déclaré le Professeur Wieslaw Maslowski, présenté comme chercheur de l’Ecole Navale, qui a travaillé avec des collègues de la NASA à l’invention des prévisions aujourd’hui sérieusement discréditées concernant la glace polaire. « À partir de là, on peut débattre du fait que peut-être (sic) nos prévisions de 2013 sont trop prudentes. » D’autres « experts » cités dans l’article de la BBC partagent le même délire.
    Cependant, dans le monde réel, des preuves scientifiques qui anéantissent les théories du réchauffement climatique prônées par Al Gore, l’ONU et les climatologues payés par le gouvernement, continuent à grossir, en même temps que les calottes glacières des deux pôles. En Arctique, par exemple, les données obtenues par le satellite européen Cryosat indiquent environ 9 000 km³ de glace à la fin de la saison de la fonte 2013. En 2012, certes une année basse, le volume total s’élevait à environ 6 000 km³ – quelques 50 % de moins que le total de 2013. Les ours polaires ne se sont jamais aussi bien portés non plus.
    Dans tout l’hémisphère Sud, les données se révèlent encore plus dévastatrices à l’encontre des prétendus « climatologues » et de ce qu’ils appellent leur « cause », dans les emails profondément embarrassants du ClimateGate [10]. D’abord, les chiffres de 2012 indiquent un niveau record de couverture de glace – plus important à chaque endroit depuis qu’on a commencé à tenir les statistiques en 1978. On a établi un nouveau record cette année : en septembre, la glace couvrait plus de 19,5 millions km² de l’océan Antarctique.
    Et pendant ce temps, partout dans le monde, des records de basses températures continuent de ridiculiser les théories du « réchauffement climatique ». Bien que cela soit anecdotique, évidemment, Le Caire, en Égypte, a vu ses premiers flocons de neige depuis plus de 100 ans [11]. Aux États-Unis, il y a eu des centaines de nouveaux records [12] de basses températures et de chutes de neige. Étrange retournement de situation : certains climatologues ont alors commencé à affirmer que les températures glaciales étaient en fait autant de preuves du « réchauffement climatique ».
    Pour expliquer l’absence de réchauffement des dix-sept dernières années, universellement reconnue, au mépris des théories climatiques de l’ONU, les « climatologues » subventionnés par le gouvernement et l’ONU ont de plus vendu l’idée de ce que leurs détracteurs nomment la théorie « L’Océan a mangé mon réchauffement climatique ». L’ONU, soumise à une forte pression politique exercée par l’administration Obama et celle d’autres gouvernements [13], a suivi cette théorie, malgré le manque de preuves observables pour signaler que les profondeurs marines absorberaient en fait le réchauffement climatique prédit par elle-même.
    L’ONU apparaît de plus en plus déconnectée de la réalité [14] aux yeux des scientifiques indépendants, en affirmant dans son dernier rapport être certaine à 95 % [15] que les émissions de dioxyde de carbone générées par l’humain étaient responsables de la hausse des températures. Ces affirmations, aujourd’hui largement ridiculisées partout dans le monde, ont été lancées bien que l’absence de réchauffement climatique depuis les dix-sept dernières années ait discrédité absolument tous les modèles informatiques. Plusieurs experts prévoient même un refroidissement mondial [16].
    Les meilleurs experts et scientifiques du monde – même ceux, nombreux, qui ont collaboré au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l’ONU – ont raillé l’équipe mondiale et ont discrédité leur rapport sur le « climat » [17]. Plusieurs gouvernements et dictateurs, cependant, continuent à jouer le jeu, jeu que certains experts appellent la « comédie » ou le « canular » du climat, principalement à cause de primes qui en dépendent et des fonds publics qui aident à perpétuer ce catastrophisme injustifié. Pour les dictateurs du tiers monde, le but semble de s’assurer des milliers de milliards de dollars qui viennent des contribuables occidentaux [18] sous le prétexte de réparations « climatiques » et de « justice ». Pour les gouvernements des pays plus riches, le but paraît être celui de la taxe carbone et celui d’une politique « climatique » mondiale avec des pouvoirs sans précédent sur l’humanité [19]. Réunis à Varsovie pour le dernier sommet du climat de l’ONU, alors que la « science » derrière les théories sur le réchauffement climatique implosait [20], les membres de ces régimes se mirent d’accord pour finaliser un traité avant 2015 sur le climat dans le monde [21].
    Les sondages montrent que malgré les centaines de millions de dollars du contribuable gaspillés en faveur de l’alarmisme pro-réchauffement climatique, le public américain refuse toujours majoritairement ces théories de réchauffement à cause des activités humaines, théories mises en avant par l’ONU et ses alliés, de plus en plus discrédités. Un sondage Rasmussen fait en septembre sur un échantillon d’électeurs éventuels trouve [22], par exemple, que seuls 43 % des votants éventuels croient que le prétendu « réchauffement climatique » est dû aux activités humaines. À peu près le même nombre croit qu’il ne l’est pas.
    Malgré des attaques malveillantes et des menaces – certaines furent dévoilées dans le scandale du ClimateGate [23] – les scientifiques quittent de plus en plus le navire du naufrage « climatique » [24]. Et même certains gouvernements, des plus importants, travaillent à contenir ce catastrophisme incontrôlable, comme par exemple les autorités australiennes qui connurent une victoire électorale écrasante un peu plus tôt cette année, en promettant de libérer la nation de la « taxe carbone » [25] tout en supprimant une grande partie de la force de la théorie du « réchauffement climatique » subventionné par le contribuable. Des demandes pour poursuivre en justice « les impostures » des « climatologues » se font aussi entendre.
    Jusqu’ici, malgré la surmédiatisation des absurdités d’il y a cinq ans, la presse officielle n’a pas réussi à informer son lectorat en diminution que les affirmations d’Al Gore et de ses compagnons catastrophistes se sont révélées honteusement fausses. De plus, aucune excuse n’est venue de la part d’Al Gore, aucun des « scientifiques » qui ont émis ces prédictions ridicules ne s’est excusé ni n’a perdu son poste, payé par le contribuable. En fait, c’est presque incroyable, les médias officiels répètent comme des perroquets [26] de nouvelles affirmations provenant des mêmes experts déjà discrédités qui indiquent qu’ « il n’y aura plus de glace » en Arctique d’ici 2016.
    « De toute évidence, le ridicule ne tue pas… »
    Il n’est pas scientifiquement établi par les observations que les concentrations atmosphériques mondiales de dioxyde de carbone sont majoritairement la conséquence des émissions de dioxyde de carbone liées à l’utilisation des combustibles fossiles depuis 1750. Bien que le bilan carbone soit des plus complexes, le GIEC prend pour hypothèse que les échanges naturels de dioxyde de carbone entre les océans et les terres émergées sont connus et constants et que seul le dioxyde de carbone « fossile » s’accumule dans l’atmosphère. Cette façon simpliste de voir les choses est pourtant en contradiction avec des études qui tendent à montrer que la hausse de la température précède celle du CO2, autrement dit que le GIEC confondrait l’effet avec la cause et inversement. À l’appui de sa thèse le GIEC invoque certaines tendances : – la teneur en isotopes de carbone – la différence de concentration en CO2 entre l’hémisphère Nord et l’hémisphère Sud – la concentration en oxygène dans l’atmosphère – la constatation d’une acidification des océans – l’étude du bilan carbone En l’état actuel des connaissances : – « Le fractionnement isotopique (exprimé en δ 13C), les variations saisonnières de concentration en CO2 dans l’hémisphère Nord et le délai entre les variations des taux de CO2 dans les hémisphères Nordet Sud, ne peuvent pas encore être expliqués de manière satisfaisante. » – si la combustion des combustibles fossiles utilise de l’oxygène, on connaît mal, voire ignore, les flux nets entre l’atmosphère, la biosphère et l’hydrosphère. Plus, pour ce qui concerne les autres tendances : – la diminution du PH basique des océans est minime et cela ne prouve qu’une chose, que le dioxyde supplémentaire anthropique y est dissous – l’équation simple du GIEC : augmentation dans l’atmosphère = émissions anthropiques – puits de carbone, ne tient compte ni de l’augmentation naturelle du CO2 atmosphérique, suite à l’élévation de température des océans, ni de l’augmentation du CO2 due à l’activité volcanique. Les reconstitutions historiques, toute imparfaites qu’elles soient, montrent qu’une teneur élevée en carbone n’est pas incompatible avec le début d’une nouvelle période glaciaire… et que la teneur en CO2 de l’époque industrielle n’est pas plus importante que celle des 1300 dernières années. Commentaire : Concernant le CO2 : – Propagande climatique : Pauvre CO2 ! – Un rapport sur le CO2 déboulonne les Catastrophes du Changement Climatique L’élévation de la température moyenne globale du demi-siècle passé n’est pas atypique par rapport aux 1300 dernières années
    Il faut d’abord dire que la température moyenne globale n’a pas de signification physique. C’est seulement un « indicateur synthétique commode ». Toutes les reconstitutions historiques de température moyenne globale montrent qu’il y a bien eu un Optimum médiéval, entre 1100 et 1300, et un Petit âge glaciaire, entre 1500 et 1700, à l’exception de la fameuse « courbe en crosse de hockey », élaborée par Mann et al., dont se sert le GIEC et qu’elle a remplacée en 2007 par son célèbre « plat de spaghettis », volontairement illisible…Pourquoi la courbe de Mann se singularise-telle ? parce qu’elle est « le résultat de l’application en statistique d’une méthode incorrecte » : on y accorde « un poids considérable aux années de la période la plus récente au lieu de donner la même importance dans l’analyse à toutes les valeurs » – parce qu’elle utilise des reconstitutions historiques à partir de cernes des arbres : or, en vieillissant, les anneaux extérieurs des arbres deviennent plus épais… – parce qu’elle est le résultat d’une combinaison, qui fausse l’image, de températures reconstituées à partir d’échantillons situés en pleine nature et de températures par thermomètre réalisées dans ou près des villes ou dans des aéroports… La courbe de Mann est donc fortement sujette à caution, scientifiquement parlant.Sur la courbe publiée par le CRU de l’université d’East Anglia, qui sert aujourd’hui de référence au GIEC, « on observe une hausse de la température « globale » jusque dans les années 1940 (qui ne peut être attribuée aux combustibles fossiles). Il s’ensuit une diminution légère, puis une stagnation dans les années 1970, et enfin [entre 1979 et 1998] une nouvelle augmentation jusqu’à la fin des années 1990″. C’est cette seule période de 20 ans qui sert de justification au réchauffement climatique, attribué, de plus, à la seule activité humaine… et la courbe s’arrête opportunément à l’année 2002, ce qui ne permet pas de vraiment visualiser la période de stagnation de la température moyenne globale observée depuis 1998… La quasi totalité des modèles climatiques sont passés à côté de cette stagnation. Ils ont surestimé peu ou prou la température moyenne globale future, l’écart grandissant au fil des années avec les températures mesurées. Cette stagnation est d’autant plus gênante que, dans le même temps, la teneur en CO2 a augmenté considérablement… Le CO2 provenant des combustibles fossiles ne contribue pas, en tout cas pas significativement, à la hausse de température depuis le milieu du XXe siècle . La mesure de la température moyenne globale pose problème, du fait que le nombre de stations a fortement diminué après l’effondrement du bloc soviétique en 1990 et que les deux tiers de celles qui restent se trouvent aux États-Unis… De plus, ce sont les stations rurales qui ont le plus diminué. Le CRU n’en continue pas moins à calculer une température moyenne globale… Quoi qu’il en soit, localement on n’observe pas de tendance généralisée au réchauffement. En effet, il n’y a pas de relation causale directe entre les variations de température et du taux de CO2 : à certains endroits il y a réchauffement, à d’autres refroidissements, et au même endroit il peut y avoir des oscillations importantes de température. En fait il existe des périodes de hausse et de baisse de la température moyenne globale, sur des échelles de temps très variables, allant de quelques années à une centaine d’années, indépendamment de la teneur en CO2. La température moyenne globale peut baisser, alors qu’augmente la teneur en CO2 , ou augmenter fortement, alors que baisse la teneur en CO2 . Ce qui signifie en clair, tout simplement, qu’il n’y a pas corrélation. Une corrélation inverse est même plus vraisemblable : la variation de la température induirait celle du CO2. Comment expliquer l’augmentation de la teneur en CO2 observée pendant la période industrielle ? Son taux est :« probablement lié au dégazage des océans et aux variations de la biosphère suite à une augmentation de température et cela peut s’appliquer à la période depuis 1850 ».La théorie du « changement climatique dû à l’homme » Elle s’appuie sur des modèles ou simulations numériques avec tous les aléas, hypothèses et approximations que de tels modèles comportent. Les modèles sont une aide à l’analyse mais ils ne constituent en aucun cas une preuve scientifique. Un moyen simple de vérifier l’exactitude des prévisions d’un modèle est de le calibrer sur les résultats expérimentaux jusqu’à une date donnée, par exemple l’année 2000, et comparer sa prédiction pour la décennie suivante, de 2000 à 2010, avec l’évolution observée. Las, tous les modèles utilisés par le GIEC divergent fortement des températures mesurées, sans doute parce qu’ils partent de l’a priori d’une hypersensibilité de la température à la teneur en CO2. Et ne tiennent pas suffisamment compte de la complexité du système climatique. Et plus ses modèles divergent, perseverare diabolicum, plus le GIEC a la certitude que le « réchauffement climatique » est dû à l’Homme :« Cette confiance dans la cause anthropique (action néfaste de l’Homme sur le climat) augmente de manière proportionnelle à l’écart entre les valeurs réelles et calculées. »…Quant aux prédictions apocalyptiques du GIEC, dûment datées, elles ne se sont pas réalisées…Les observations mettent en évidence d’autres facteurs majeurs (Soleil, volcans, courants océaniques, nuages, etc.) dans l’évolution du climat, dont le GIEC ne tient pas ou pas suffisamment compte. Le GIEC ne tient surtout pas compte, ou pas suffisamment, des phénomènes cycliques observés. Ils sont en effet plus visibles à l’échelle régionale qu’à l’échelle globale… La fonte de l’Arctique, par exemple, que le GIEC considère comme anormale et due au réchauffement climatique, est un phénomène ancien qui a débuté à la sortie du Petit âge glaciaire. Le GIEC insiste d’ailleurs sur la fonte de la banquise en été, mais ne parle guère de sa reformation en hiver… Quant à l’Antarctique, c’est vraiment pas de chance pour sa thèse, il « s’enrichit chaque année de quantités croissantes de glace » : « À l’heure d’aujourd’hui [2014], l’Antarctique compte plus de 1 million de km2 de surface de glace supplémentaire par rapport à l’année de référence 1979. À cette même date, la banquise arctique possède 0,792 million de km2 en moins, ce qui fait un bonus global de l’ordre de 0,2 million de km2 ! »Plusieurs cycles, à périodicité très variable, relativement longs (de 1000, 1200 ou 1500 ans) ou relativement courts (11, 27, 78 ou 181 ans), ont été mis en évidence. Selon d’aucuns, ces fluctuations seraient dues à la circulation thermohaline, selon d’autres à l’activité solaire et aux champs magnétiques terrestres. En prenant une fenêtre de temps bien déterminée, telle que la période de 1979 à 1998, pour base de ses prédictions, le GIEC a introduit un biais parce que cette période peut très bien être une partie ascendante d’un cycle. En effet, comme les méthodes d’analyses du GIEC « sont essentiellement basées sur le calcul d’une moyenne mobile et de droites de régression », l’étude de cette seule fenêtre l’a conduit à prédire une augmentation de température qui peut très bien être terriblement contredite si advient une partie descendante d’un cycle… Conclusion Compte tenu de ces cinq vérités qui dérangent, le collectif, auteur du livre, pose la question qu’il importe de se poser : « Et s’il s’avérait que le CO2 fossile n’était pas responsable de la température et qu’au contraire nous subissions dans les prochaines décennies un refroidissement naturel global ? » Eh bien, on serait mal, très mal même, parce qu’on aurait pris les mauvaises décisions et qu’on n’aurait plus les moyens de prendre les bonnes. Commentaire : Bah, la clique politicienne pourra toujours vertueusement s’indigner d’avoir été induit en erreur par les scientifiques. En attendant, il faut faire feu de tout bois : si le réchauffement anthropique rapporte du pognon, profitons-en ! :
    Propagande climatique : bientôt l’apocalypse, c’est sûr… sauf avec notre pognon, heureusement – Business du « réchauffement climatique » : mode d’emploi pour du pognon
    Si ça peut restreindre la liberté de penser, c’est encore mieux : – Le fascisme climato-excité français – Un petit goût de fascisme climatique – Propagande climatique : Hitler, enfin ! Et si en plus les vilains terroristes, c’est aussi à cause du climat, c’est le nirvana !! Morceaux choisis Cette tribune, qui fait coup double en dénonçant aussi l’interdiction de la fiesta manifestation pour sauver la Galaxie le 29 novembre, explique en effet que : Combattre le changement climatique, c’est aussi mettre en œuvre des solutions aux crises géopolitiques que nous traversons et dont les attentats du 13 novembre sont un sanglant symptôme. C’est bien connu en effet : pour régler un problème, il suffit d’essayer d’en régler un autre – de préférence imaginaire (une solution plus ancienne consiste à créer une commission). La démonstration de nos vainqueurs est imparable : N’oublions pas que Daech se finance en partie par le pétrole de contrebande. Or, c’est bien la fin du tout pétrole et des énergies fossiles qui est visée avec la conférence sur le climat, via une plus grande autonomie énergétique des États permises par les performances toujours plus grandes des énergies renouvelables. On ignorait jusque là que les principaux pays émetteurs de CO 2 que sont la Chine, les États-Unis, l’Inde ou la Russie achetaient leur pétrole à Daech. Mais ce n’est pas là la seule info décoiffante de la tribune. En effet, nous apprenons aussi que la COP21 n’aura pas que pour fonction d’empêcher les pays émergents d’émerger de bannir le vilain CO 2 : elle va aussi régler le reste des problèmes du monde. Guérir les écrouelles et sauver le scarabée pique-prune, bien sûr, mais pas seulement :Et que dire de la lutte contre les paradis fiscaux, places financières opaques ou transitent les flux financiers des réseaux mafieux et terroristes, et permettent leur blanchissement ?
    La conférence sur le climat intègre des discussions autour de l’assainissement des circuits financiers internationaux. Là encore, il s’agit de lutter pour le climat et contre les groupes terroristes qui en usent. L’enjeu est d’importance! Si des engagements en ce sens sont pris dans la déclaration des États à l’issue de la COP, les collectivités et les entreprises du monde seront invitées à les rejoindre pour ne plus être, indirectement, les complices de nos bourreaux. Il a peut-être manqué à nos lauréats de cette semaine une touche de poésie pour mettre en balance les flux de gaz satanique avec les flux de l’argent sale. Ou pour dresser le parallèle entre réseaux électriques exploitant des centrales à charbon et réseaux mafieux et terroristes exploitant le fondamentalisme. Mais ne nous laissons pas emporter par le lyrisme : après avoir lu cette tribune, frappée au coin de la science et de la géopolitique de comptoir bon sens, la seule chose à ajouter est : CQFD.

    EDITORIAL DE MONSIEUR
    SAHRAOUI BOUALEM ASTRONOME
    ET MÉTÉOROLOGUE ALGÉRIEN

    Anonyme
    8 mars 2018 - 11 h 07 min

    C’est rien juste la fiente de tayrou ababil.

    citoyen
    7 mars 2018 - 17 h 44 min

    et pourquoi pas matiere radio active …detecteur geiger pour s’en assurer ..
    du pollen en cette quantite et en suspension dans l’air sur l’algerie et ailleurs ..je veux bien croire mais ???

    Pas claire !
    7 mars 2018 - 17 h 08 min

    Que les experts Algériens analyse la chose dans leurs labo !

    BENALI Mohamed
    7 mars 2018 - 12 h 13 min

    Il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Ces dépôts de couleur jaune verdâtre qui se retrouve sur les flaques d’eau de pluie ne sont que du pollen. Ces jours ci les pluies ont été précédées de vents très forts et c’st la période de pollinisation pour certaines variétés d’arbres (les pins par exemple). J’ai remarqué ce phénomène depuis des années en forêt de Canastel près d’Oran. Retrouver ce pollen en ville vient du fait que des vents forts ont dû emporter et maintenir en suspend ces particules de pollen qui sont très fines et très légères. La pluie les a fait retomber au sol tout simplement.

    Hublot
    7 mars 2018 - 8 h 35 min

    N’est aucune crainte c’est la nouvelle couleur du FLN pour les prochaines élections présidentielles,c’est une couleur qui rendent les citoyens amnésique et en somnolence continue,la nation ou chacun fait à sa guise,il suffit de connaître un corrompus ou pouvoir,l’esperance de vie de la population Algérienne et réduite d’un tiers par apport aux autres nations,est-ce que ce n’est pas volontaire pour diminuer la souffrance et aussi les dépenses de cette population affamée et mal soignée,aucune vie humaine n’a la vie éternelle,tot ou tard ces corrompus seront jugés et condamné soit par la génération future et chose est sure par Allah tout puissant

    Zaatar
    7 mars 2018 - 8 h 25 min

    Voici ce qui a été posté en avril 2004 sur un forum d’infoclimat

    L’averse orageuse d’hier soir (0,3 mm, quel exploit!) a fourni un dépôt jaunâtre-verdâtre sur Ste-Geneviève-des-Bois dans le 91 (voitures, mobiliers de jardin etc…). Peut-être du pollen emprisonné dans les pluies??

    J’ai contacté MF de Brétigny qui, je l’espère, éclaircira ma lanterne…

    Et chez vous, la pluie a-t’elle pris une coloration particulière?

    Zaatar
    7 mars 2018 - 8 h 22 min

    C’est déjà arrivé à Marseille en mars 2011 et il semblerait que ça soit du pollen transporté par le vent…maintenant il est clair que seule une analyse précise de cette substance prélevée à Alger peut nous dire ce que c’est…

    kad
    7 mars 2018 - 8 h 17 min

    Il ne s’agit probablement que du sable. Certaines cellules orageuses aspirent du sable et beaucoup d’autres choses dont le poids ne résiste pas aux vents ascendants de ces cellules. C’est ainsi que parfois il pleut des grenouilles, c’est vrai! aussi les criquets et le sable du Sahara traversent parfois les continents.

    mourad
    7 mars 2018 - 7 h 00 min

    Et après dans leurs statistiques ils font ressortir que les algériens ont un taux de 30 % de cancéreux ou je ne sais quoi d’autre.

    Il y a de la sa… qui nous tombe dessus et personne ne cherche d’où elle vient. Et dans la journée sur les ondes de la radio des médecins conseillent, ne mangez pas de sucre pas de sel. – ils tapent tous dans le vide.

    expression
    7 mars 2018 - 0 h 46 min

    il faut pas s’étonner de la pollution chez nous rien n’ai fait pour.je pleins les générations a venir si rien n’ai fait en urgence.

    Anonyme
    7 mars 2018 - 0 h 27 min

    Ce sont des pluies acides. Elles indiquent un indice de pollution de dioxyde de soufre ( SO2 )élevé dans
    l’atmosphère. L’usage de combustibles fossiles, riches en soufre ainsi que les oxydes d’azote, en sont la cause.
    Les conséquences de ces pluies peuvent être néfastes car leur acidité peut contaminer les cultures maraîchères, les sols,les lacs, les eaux douces et même les océans. Elles peuvent aussi fragiliser l’écosystème et la biodiversité si la faune ( les espèces animales) et la flore( les plantes )ont été contaminées par cette acidité.

    BISKRA
    7 mars 2018 - 0 h 07 min

    Pour ne pas etre un complotiste ce ne sont pas des « chemtrails ». Si c’est uniquement à Alger, mon hypothese est la suivante: les compagnies étrangères qui viennent à Alger peuvent être aussi dans ce complots ou phénomènes observer dans de nombreux points dans les pays occidentaux. A vérifier le contenue par les chercheurs dans les universités Algerienne.

    Kassaman
    6 mars 2018 - 22 h 40 min

    Je pense qu’il ne faut pas chercher bien loin l’explication. Il y a eu ce week end je crois une tempête de sable dans le sud. Et telle que décrites ces traces jaunâtres sont typiques des retombées de poussières sahariennes.

    الهوارية
    6 mars 2018 - 21 h 41 min

    Chez moi, il pleut toujours du souffre jaune sur les bétons ça laisse des marques graphiques
    Quand j’ai demandé pourquoi ya du souffre, on m’a répondu que c’est la faute des avions, ici ya pas d’usines, mais des radars implantés par les USA en forme de dômes pyramidales.
    C’est les nuages qui transportent des crachins sur la couche d’ozone de plusieurs pollutions accumulées par les moteurs, les usines et les fossiles des montagnes ..
    J’habite pas loin de la première station météo de France

    Tinhinane-DZ
    6 mars 2018 - 21 h 09 min

    C’est un symptôme d’une pollution dangereuses.
    Quand on travaille sans le respect des normes de l’environnement, on reçoit des pluies acides sur nos têtes.
    Oh mon dieu, une pensée aux produits agricoles.
    Le sol va devenir acide….Nous avions une bonne qualité du sol ( dans le passé).

      Anonyme
      7 mars 2018 - 1 h 46 min

      Pas de problème, on va importer même l’herbe.

    anti khafafich
    6 mars 2018 - 20 h 57 min

    et si c,était une attaque sioniste a travers leur « geo-engineering » par des substances disséminées dans les avions et largées sur le ciel algérien ? la météo s’est annoncée avantageuse cette saison, qui sait avec ces lâches tout ets possible

    Kahina-DZ
    6 mars 2018 - 20 h 18 min

    Je crois qu’il s’agit des pluies acides causées par deux polluants. Le plus important est l’anhydride sulfureux et les oxydes d’azote .

      Asma
      6 mars 2018 - 21 h 17 min

      Je suis écologiste-chimiste, l’anhydride sulfureux ne peut pas colorer visiblement l’eau de pluie même à des teneurs de rejets industriels sauf si une industrie à proximité d’Alger exploite par excès incontrôlé des produits à base de soufre mais je ne pense pas qu’un tel gaspillage en plus nocif puisse passé inaperçu ????

        Anonyme
        7 mars 2018 - 1 h 48 min

        Il n’y a aucun contrôle justement, tout est possible. Les excès sont non contrôlés

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