Sidi Saïd appelle les travailleurs à la vigilance

mars 10, 2018 - 9:28 Rédaction 10 Commentaires

Abdelmadjid Sidi Saïd. D. R.

Le secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Abdelmadjid Sidi Saïd, a appelé samedi à partir de Constantine les travailleurs à «être vigilants pour préserver la paix et la stabilité du pays».

Dans une allocution prononcée au cours du congrès extraordinaire de l’union de wilaya de l’UGTA, durant lequel Zoheir Bensaha a été élu nouveau secrétaire général de l’union de wilaya de l’UGTA, Sidi Saïd a appelé les travailleurs à œuvrer en «rangs unis au service du pays».

Qualifiant Constantine de «bastion du militantisme syndical», le SG de l’UGTA n’a pas manqué de rendre hommage aux syndicalistes de la ville, à leur tête le défunt Abdelhak Benhamouda qui avait dirigé la centrale syndicale de 1990 à 1997 avec un «sens profond et fort du militantisme pour la défense des constantes de la République», a-t-il dit.

Le SG de l’UGTA a assisté au congrès extraordinaire de l’union de wilaya de l’UGTA, tenu à la salle Ahmed-Bey, en présence de près de 250 délégués désignés par les travailleurs au cours des assemblées générales tenues dans des entreprises publiques et autres administrations, a-t-on rappelé.

Le nouveau secrétaire général de l’union de wilaya de l’UGTA de Constantine s’est engagé, dans une allocution prononcée à cette occasion, à «être au service des travailleurs et à l’écoute de leurs préoccupations».

L’UGTA compte environ 35 000 travailleurs affiliés à l’union de wilaya de Constantine.

R. N.

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Comment (10)

hrire

11 mars 2018 - 17 h 21 min

Plus de vigilance pour ceux qui paient l’IRG. Ils le painet très fortement comme au temps du colonialisme avec l’impôt Arabe. Et les amis tirent bénéfice avec les exonérations depuis 2006.

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Salamat

11 mars 2018 - 14 h 29 min

Sidi Said s’adresse à quels travailleurs ? A ceux qu’il n’a jamais défendu ???

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Zaatar

11 mars 2018 - 13 h 50 min

Monsieur Sidhoum Said, il y a à ce que l’on dit une véritable pénurie de sachets de lait dans le pays. Et je crois que l’on a pas objectivement identifié les causes. Pourriez vous apporter votre contribution à même de remédier au problème et ainsi soulager beaucoup d’Algériens, des enfants notamment, dans leur administration de leur dose de calcium? merci Monsieur Sidhoum said…

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UMERI

11 mars 2018 - 11 h 44 min

Sidi Saïd,est beaucoup plus proche des patrons que des travailleurs, puisque lui même est patron.L’ U G T A est une centrale qui sert de planque, a tous ceux qui soutiennent la politique de Bouteflika, elle n’a aucun programme valable, pour assister les travailleurs en difficultés, pas de plan de formation. les syndicalistes ne sont plus protégé et même l’inspection du travail est absente. Tout ce beau monde, laisse le champs libre aux Employeurs malhonnêtes. L’ U G T A, ne vit pas grâce aux cotisations des travailleurs, mais des subventions de l’Etat, alors, aller sur le terrain, pour affronter les difficultés, a quoi ça sert.

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mergou

11 mars 2018 - 10 h 13 min

Ce monsieur parle au nom des travailleurs algériens, je voudrais bien qu’il nous révèle le nombre des syndiqués de son organisation.

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Zaatar

11 mars 2018 - 10 h 08 min

Sidhoum Said appelle les travailleurs à la vigilance… quelle trouvaille. sans cet appel, les travailleurs seraient perdus à vie. Heureusement qu’il y a encore sidhoum Said sans les parages…

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Far West

11 mars 2018 - 9 h 16 min

Les seules et unique ennemis de la nation Algérienne ce sont les corrompus et les affairistes ou sein de la pareille dirigeante y compris vous;monsieur le SG de l UGTA vous avez de quoi se nourrir pendant des siècles;alors pourquoi ne pas laisser la place aux jeunes intègre et compétent

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Moh

11 mars 2018 - 4 h 20 min

Les travailleurs dont vigilants contre les voleurs qui font leurs poches comme toi

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Felfer Har

11 mars 2018 - 0 h 03 min

J’ai subitement envie de parler de Béria, alias « Le Janus du Kremlin », l’exécuteur des basses besognes de Staline (surtout lorsqu’il a été placé à la tête du Goulag de sinistre mémoire). On l’appelait aussi le Rastignac georgien, du nom de ce personnage de Balzac qui s’était illustré par son ambition, ses fréquentations de la « bonne société » et qui se montrait prêt à tout pour parvenir à ces fins. Béria et Rastignac ont fait des émules dans le monde et aucun pays n’a échappé à cette malédiction. En conclusion, toute ressemblance avec un Rastignac algérien n’est que fortuite.

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Anonyme

10 mars 2018 - 22 h 34 min

Toute honte bue, il rend hommage à monsieur Abdelhak Benhamouda, alors qu’il s’est attelé à détruire tout ce que celui ci a construit.
L’UGTA n’est plus qu’une coquille vide, gérée par un vieux hibou.

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