ERA 2018 : le groupe Condor présente ses nouvelles technologies

condor ERA
Condor participe à ERA 2018. D. R.

Condor group prend part au Salon international des énergies renouvelables (ERA) du 15 au 17 octobre 2018 au Centre des conventions d’Oran.
Acteur incontournable dans l’économie algérienne, Condor group, marquera sa présence par un stand de 100 m² dans un emplacement stratégique à travers sa filiale spécialisée dans la fabrication de panneaux photovoltaïques ainsi qu’ENICAB, société dans laquelle Condor détient 70% des actions. Les ingénieurs et commerciaux du groupe Condor exposeront les dernières nouveautés technologiques pour répondre aux préoccupations des professionnels à travers une panoplie d’offres.

Panneaux photovoltaïques 

A travers une surface de 74m², Condor group exposera toutes les nouveautés dans le domaine photovoltaïques dont la nouvelle ligne de production automatique, installée fin 2017, dotée de la dernière technologie allemande, ce qui a doublé la capacité de production de l’unité photovoltaïque de 75 à 130 méga watts/ an. Il faut savoir que l’unité de fabrication des panneaux photovoltaïques de Condor est passée de la fabrication des panneaux en 4 BB (Bus Bar) à des panneaux en 5 BB avec des modules à 72 cellules d’une puissance de 370 watts pour un rendement qui s’est développé de 16,5% à 19,5%. Condor présentera également la technologie de fabrication de panneaux photovoltaïques PERC (Passivated Emeter Rear Contact) pour un rendement meilleur et une meilleure absorption des rayons photovoltaïques pour atteindre un rendement de 18,3%.

ENICAB : «Tous les produits pour tous les marchés»

ENICAB, entreprise algérienne pionnière dans la fabrication des câbles d’énergie, avec plus de (30) trente ans d’expérience dans le domaine, offrant à ses clients une gamme large et diversifiée de produits comprenant les câbles basse tension, les câbles industriels, les câbles moyenne tension et les câbles nus haute tension. Enicab a investi dans de nouvelles unités de productions tels que le fil Trolley, le câble sans halogène, le câble anti-feu (Mokawim) ainsi que le câble solaire (Chemssi).

A travers un espace de 24m², la société dont le groupe Condor détient 70% des actions, suite à l’acquisition de ces dernières en 2017, vise dans ce salon les acteurs locaux qui activent dans les secteurs des : énergies électriques, énergies solaires, infrastructures, bâtiment et diverses industries. L’un des objectifs d’ENICAB est également la visibilité d’une gamme de produits plus large et plus diversifiée mais aussi de promouvoir l’image de marque des nouveaux produits : les câbles de haute sécurité (câble sans halogène et le câble anti-feu), câble solaire, fil de contact pour traction électrique ferroviaire (fil Trolley).

Organisé par Myriade communication, sous le haut patronage de Son Excellence le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, et avec le soutien actif de la wilaya d’Oran, le Salon ERA 2018 accompagne, de fait, le programme national de développement des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique en Algérie.

Sa 9ème édition bénéficie du contexte extrêmement favorable créé après les directives du chef de l’Etat visant à poursuivre et à dynamiser le programme des énergies renouvelables, qualifié de priorité nationale. Le Salon  international des énergies renouvelables (ERA), qui verra la participation d’une soixantaine d’entreprise,  est un événement très attendu par les professionnels, car il offre un cadre favorable au développement de partenariats dans le domaine de l’énergie renouvelable.

C. P.

Comment (2)

    Anonyme
    16 octobre 2018 - 15 h 24 min

    le groupe condor ne produit rien il importe et assemble point barre !…

    Energiquement... désabusé
    16 octobre 2018 - 11 h 01 min

    Deux ans que mon fils a terminé ses études Master 2 en mécanique option énergétique et pourtant il ne trouve pas de boulot….et dire qu’on veut développer l’énergie renouvelable. C’est que du Blabla. D’ailleurs, voyant qu’il n’y a plus d’espoir ici, il compte aller voir ailleurs. On n’a aucun piston et on ne peut rien pour lui que de l’encourager à aller construire son avenir loin de nous.; c’est triste et pour nous et pour notre pays mais c’est comme ça.
    Pour travailler à Sonatrach ou une quelconque entreprise d’état, il faut connaître le PDG ou le ministre. Je n’ai pas cette chance. Quant au privé, ce n’est pas mieux. il faut toujours avoir des connaissances.

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