La révolution joyeuse

Comment (15)

Un Lecteur Lambda
26 février 2019 - 17 h 14 min
Le 22 février s’inscrit dans l’histoire comme un point de départ. Il est vrai que le peuple algérien n’a jusqu’à ce jour fait montre d’aucune volonté annonçant un quelconque objectif pouvant crédibiliser aujourd’hui sa démarche revendicative ni aucune motivation palpable allant dans le sens d’un changement radical de régime.
Ce qui est visé, au-delà du refus du 5e mandat, n’est certes pas encore tout à fait perceptible (comment peut-il l’être après 56 ans de FLN et 20 ans de règne absolutiste !) mais qu’importe ! Le peuple a été privé de sa parole, son imaginaire confisqué, son rêve brisé. Mais aujourd’hui, il s’exprime et c’est le plus important, il est enfin arrivé à formuler en termes clairs ce qu’il ne veut pas. Pour le reste, on sait que cela prendra du temps.
Notre rêve à tous, c’est une société juste, généreuse, ouverte et unie dans sa diversité. Nous pouvons le réaliser, c’est à notre portée, il nous suffit de le vouloir…
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MELLO
26 février 2019 - 14 h 58 min
Je suis sidéré et touché par cette agression sur la personne du président de la JS KABYLIE , devant le siège du club , par des baltaguias voyous engagés par ce système despotique. Je condamné cette lâche agression.
PAS DE PROVOCATION SVP.
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Nacera
25 février 2019 - 19 h 50 min
NON… MAIS POURQUOI PAS, AUTANT QUE VOUS Y ÊTES, L’APPELER LA « RÉVOLUTION GAY » POUR FAIRE PLAISIR A VOS MAÎTRES DE tel-aviv ?
MAIS VOUS ÊTES… DINGUE OU QUOI !?
VRAIMENT, ON N’A PAS IDÉE…..
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lhadi
25 février 2019 - 15 h 34 min
L’analyse d’une situation politique exige que l’on parte de la réalité telle qu’elle est, non pas, bien sur, pour s’accommoder, mais pour la comprendre et mieux oeuvrer à la modifier par la pratique révolutionnaire. La politique ne saurait être une science sans cela.
Toute théorie et toute action politique, qui au lieu de se fonder sur les réalités de la vie sociale, sur le rapport réel des forces politiques à un moment donné, part par des propres désirs de l’observateur, individuel ou collectif, n’est que fantaisie vaine ou utopie mortelle.
Pour ma part, je mettrai toujours en garde contre l’aventurisme et dévoilerai sans pitié les illusions qui se terminent nécessairement par une déception totale.
On doit se souvenir que tout mouvement populaire prend des formes, infiniment variées, en élaborant constamment de nouvelles, rejetant les anciennes, créant des variétés ou de nouvelles combinaisons de formes anciennes et nouvelles. Et notre devoir est de participer activement à ce travail d’élaboration des procédés et des moyens de luttes.
Je fais le partage entre les erreurs qui sont le fait de la jeunesse par nature inexpérimentée et se laissant prendre au coté superficiel des choses, à la « phrase » en premier lieu, et les erreurs des vieux politiciens qui eux savent consciemment ce qu’ils font.
Il importe donc de conseiller à la compréhension pour les erreurs commises tout en demandant qu’on travaille à les corriger par une critique sans complaisance.
Fraternellement lhadi
([email protected])
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socrate
25 février 2019 - 12 h 22 min
Pour parler de révolution, il faut que le régime en place s’effondre, ce qui est loin d’être le cas actuellement. On en est qu’au stade de la manifestation donc attendons et voyons.
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Aziz
25 février 2019 - 12 h 20 min
Ne gâchez pas la fête.
Demandez pardon au peuple algérien, il saura être avec vous et vos familles, pour une véritable réconciliation nationale ! Chiche !!!!!!!
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anonyme
25 février 2019 - 11 h 11 min
De tous ces « vive », je ne retiens que « Vive l’Algérie ! »
La République, c’est la « chose publique » que certains se sont appropriée; donc elle n’existe pas réellement.
Le peuple algérien n’a rien de vivant. Sa vaste majorité est politiquement inculte parce que égoïste et tribale. Son pays s’arrête à son village ou son clan.
Vive la police algérienne !
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Benali
25 février 2019 - 16 h 25 min
Oui le peuple algérien est magnanime et pardonnera à ses mauvais enfants leurs folies à condition qu’ils lui demandent pardon et qu’ils cessent de le menacer comme le font Sellal et Ouyahia.
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Karamazov
25 février 2019 - 10 h 22 min
Les peuples qui attendent des sauveurs ou des messies , Godot ou le Mahdi s’accrochent à leur lubies vaille que vaille. Le moindre signe est annonciateur de leur venue. Ils sont preneurs du moindre espoir. D’autant plus qu’ils n’ont rien fait pour le réaliser. Si on ne peut pas les empêcher de réaliser leurs espoirs dans leurs rêves, il ne faut pas absolument pas essayer de les convaincre qu’ils ont rêvé.
Même si on ne voit aucune transformation dans notre société si ce n’est sa décomposition dont la bigoterie à tous les niveaux n’est que le signe apparent qui ne présage rien de bon pour le futur proche, on veut à tout prix croire le contraire.
J’ai été au rassemblement « Place de la République » à Paris et j’ai pris une photo , plan large, qui montre qu’à part quelques badauds , les agitateurs habituels en toute circonstances, des curieux comme moi, il n’y avait rien qui puisse le qualifier d’immense , sauf les industriels et les producteurs de spectacles. Et ceux qui en profitent en toute occasion pour se faire mousser aux dépens.
Une chaîne de télévision n’a pas hésité à coller la musique de :  »Hemdoullilah khredj listi3mar mbladna » et  »zinek nhar lyoum saha 3idkoum », pour couvrir ces manifestations. C’est là qu’on mesure l’énorme distorsion entre l’effet médiatique et l’effet réel de ces mouvements de foules.
Le proverbe qui dit  »on reconnaît l’Arbre à ses fruits » n’est ici que plus pertinent. Beaucoup de gens pensent que le départ de Fakhamatouhou découle naturellement des manifestions du 22 février. Et que ce départ est une fin en soi qui ouvrira la voie à un monde nouveau où tous les algériens verront leur existence transformée par effet mécanique , comme quand on met un poids sur une balance.
Même si pour l’instant on ne voit pas l’effet de ces manifestations , on considère que le résultat est quand même atteint par le fait même d’avoir manifesté.
C’est ainsi que le fait de manifester devient l’objectif qui fait oublier sa raison.
On a manifesté pour demander le départ de Fakhamatouhou, c’est une réalisation, une prouesse, une fin en soi. Que Boutef s’en aille ou pas, c’est tout à fait secondaire.
De là à s’interroger sur ce qui se passera s’il s’en allait , c’est une question qui ne s’imagine même pas.
Gare aux rabat-joie !
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Zaatar
25 février 2019 - 12 h 22 min
On a toujours été spécialiste des coups d’éclats. L’endurance n’a jamais été notre point fort. Peu importe ce qui va suivre, l’essentiel est dans le présent et de ce que l’on a voulu atteindre. La pensée se limite à la fraction du temps qui suit, après Rabi ya3mel taouil…. On a crié non au cinquième au mandat, mais on ne sait pas qui on voudrait mettre pour un premier mandat, l’essentiel est dans pas de cinquième mandat en chantant et en dansant, même si c’est un autre bouteflika qui aura la tâche d’assurer un premier autre mandat.
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Anonyme
25 février 2019 - 10 h 20 min
Ca se voit,le Peuple Algérien en a marre de ce régime qui utilise la corruption,le régionalisme,le clientélisme,la force brutale etc…pour s’imposer et en dernier ressort nous imposer un homme de 81 ans lourdement handicapé pour perdurer.Y’en a marre de ce régime comme criaient les manifestants anti-5° mandat de Bouteflika.Le peuple a parlé et ne dit-on pas « vox populi,vox dei »(voix du peuple,voix de Dieu).Mais les engraissés du régime résistent encore et pour cause!!!Seulement ils ont en face d’eux,désormais un mur infranchissable fait surtout de leurs abus flagrants…
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Khoubzi Salim
24 février 2019 - 18 h 00 min
L’Algérie, cette vieille fille de ridée 57 ans de solitude et que nous aimons tous, privée de sa précieuse dignité la  » DÉMOCRATIE  » , elle n’a qu’un seul voeu que les prochaines années ne ressemblent pas aux 57 années écoulées ! Vive l’Algérie !
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Anonyme
24 février 2019 - 15 h 41 min
Les manifestations nationales du 22 Février 2019 contre le 5ème mandat et qui ont drainé des millions de citoyens, ressemblent étrangement à celles du 11 Décembre 1960 pour l’indépendance nationale.
Deux dates qui font partie de l’histoire de l’Algérie moderne.
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Algérie libre
24 février 2019 - 15 h 06 min
Le 22 février 2019 est une date gravée en rouge dans l’histoire de l’Algérie, les futures générations apprendront à l’école la liberté de leur pays en cette date.
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SoyonsLucides
24 février 2019 - 14 h 40 min
eJe suis L’algérie De Novembre
Je suis BenMhidi,Didouche,Belouizdade,AliLaPointes ,LePEtitOmar,Bouhired et toutes et ceux que je n’ai pas nommés qui nous ont rendu notre fièrté,
Je suis le 22 Fevrier2019 comparable à cette mémorable année 1958 qui a montré au monde entier l’aspiration d’un peuple algérien à la liberté,et le rejet de la colonisation.
Je suis l’algérie
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