L’armée va-t-elle exclure les partis politiques du dialogue national ?

partis chef d’état-major
Les partis de l'opposition rejetés et par le peuple et par l'institution militaire. PPAgency

Par R. Mahmoudi – Dans son discours prononcé mardi à Tamanrasset, le chef d’état-major de l’ANP a fait montre d’un esprit d’ouverture qui tranchait nettement avec les sermons habituels et le ton toujours martial qui imprégnait ses adresses. Il a, pour la première fois, osé appeler ouvertement au dialogue, qu’il décrit comme l’«unique voie» ou comme la «bouée de sauvetage» pour sortir de l’impasse actuelle. D’aucuns y ont vu un premier pas vers une solution politique à la crise, quand bien même le général Gaïd-Salah se dit plus que jamais attaché au processus électoral, en mettant de nouveau en garde contre les risques d’une transition prolongée.

Cela dit, le plus curieux dans son appel au dialogue est qu’il n’a, à aucun moment, évoqué les partis politiques. Il s’est exclusivement adressé aux «personnalités» et aux «élites nationales». Des notions qui restent aussi larges que vagues. Or, dans une situation normale ou même de crise, les premiers interlocuteurs de tout pouvoir sont les formations politiques. A moins que, dans sa façon de voir les choses, la participation des différents partis doive être réduite à leurs seuls dirigeants. Ce qu’il aurait bien pu préciser.

Ce qui conforte encore davantage cette tendance chez le chef d’état-major de refuser d’associer les partis politiques, c’est lorsqu’il dira : «Aujourd’hui, l’Algérie est dans l’attente de tout effort sincère et dévoué de la part de ses enfants, notamment les personnalités nationales, qui ont une capacité réelle à apporter la contribution judicieuse de façon à trouver les solutions escomptées.»

L’institution militaire a indirectement reproché aux partis d’encourager des «débats stériles» et de chercher à récupérer le mouvement citoyen, en essayant de l’infiltrer et d’y introduire des slogans «irraisonnables». Elle sait, par ailleurs, qu’une présence massive des anciens partis de l’alliance présidentielle au dialogue préconisé ne pourrait que le discréditer aux yeux de l’opinion publique. Autant donc les rejeter tous…

R. M.

Comment (37)

    A3ZRINE
    29 mai 2019 - 22 h 20 min

    NON, pas de participation des partis de l’Alliance présidentielle ni les partis satellitaire, tous ont prouvé leur incompétence et doivent être sanctionnées. Pour l’Algérie de demain elle doit se construire sans eux, ces partis portent les germes de l’échec et par vengeance ils peuvent torpiller tous les efforts de construction rien que pour sauver leur image.

    Zombretto
    29 mai 2019 - 21 h 23 min

    Le dialogue selon Gaïd Salah, c’est quoi ? Les concessions de part et d’autre c’est quoi ? Le peuple demande a récupérer sa propriété confisquée par le Pouvoir depuis 1962. Le peuple ne devrait pas avoir à marchander avec ceux qui lui ont volé sa propriété. Le voleur doit rendre toute la propriété volée à son propriétaire légitime sans rouspéter. Il n’y a pas à discuter combien il va restituer et combien il va garder pour lui-même. Il doit tout rendre et tout de suite, et il est bien chanceux s’il ne se fait pas punir sévérement pour son méfait.
    Gaïd est du côté des voleurs. Il veut que le peuple accepte de récupérer une toute petite partie de ses biens volés et se sente reconnaissant envers lui de ne pas avoir tout perdu.

    Abdellatif
    29 mai 2019 - 20 h 37 min

    De quels partis parle t-on ! il n’y a aucun parti dans ce pays ! un grand Zéro pointé à tous !
    Dieu Merci qu’il existe une Armée la seule institution Dieu Merci encore qui nous évite d’aller dans le gouffre !

    Kahina-DZ
    29 mai 2019 - 18 h 54 min

    Avons nous des partis politiques ??
    Nous avons des partis de la stérilité et de la brosse…
    Des partis qui ne défendent pas l’Algérie et les intérêts du peuple deviennent des parasites de la société.
    Il faut un renouveau à tous les niveaux.

    YALATIF YA STAR!
    29 mai 2019 - 18 h 40 min

    S’ils continuent sur leur lancée, le commandement militaire et le chef des armées; Gaid Souilah, ils vont exclure tout le monde du dialogue, les personnalités algériennes, politiques et autres, les membres de l’opposition et l’avant garde du mouvement populaire, pour que le Képi puissent rester seul sur le terrain des décisions devant hypothéquer le devenir de l’Algérie, des jeunes et des générations futures.
    Ce qui ne manquera pas de permettre audit Képi, c’est à dire, les plus galonnés d’entre eux, de poursuivre tranquillement et sereinement son hégémonie sur le pays et sur les algériens et algériennes.
    Dans ce cas là, le Képi sera à son aise et n’aura même pas besoin d’une transition ou d’une nouvelle constitution pour continuer sa domination, qu’il exerce depuis l’indépendance, et pourra assurer sans aucun obstacle le rôle de décideur qu’il s’octroie depuis belle lurette sans qu’il ne soit géné ou qu’il prenne en considération les prérogatives et les limites que la constitution algérienne est sensée lui dicter et tracer.
    Si les desseins du Képi aboutissent, la République entre les mains des civils devra patienter quelques siècles avant de prétendre voir le jour.

    Abou Stroff
    29 mai 2019 - 15 h 18 min

    « L’armée va-t-elle exclure les partis politiques du dialogue national ? » s’interroge R. M..
    je pense que gaïd (et ceux dont il est le représentant) a enfin compris qu’un parti politique « activant » au sein d’un système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation était une aberration.
    en effet, un parti politique, au sens conventionnel du terme, représente une classe sociale (ou diverses couches sociales aux intérêts convergents) et agit pour prendre le pouvoir et réaliser un projet de société qui répondent aux intérêts et aux aspirations de la classe sociale (ou aux diverses couches sociales) qu’il représente.
    or, il s’avère qu’en Algérie, il n’y a, en caricaturant un petit chwiya, que deux ensembles non-disjoints qui se complètent dans la consommation non-productive de la rente ( la marabunta qui nous gouverne en gérant la distribution de la rente, d’une part et ses clients, les tubes digestifs ambulants qui reçoivent une portion de la rente, d’autre part). ces deux sous-ensembles n’ont pas besoin de partis politiques, étant donné qu’il n’y a pas de contradictions antagoniques entre eux (il y a, essentiellement, une lutte sourde pour un partage particulier de la rente), contradictions qui nécessiteraient une activité politique en vue de trouver des compromis de classe.
    moralité de l’histoire: l’absence d’un société civile (au sens de Gramsci) et du citoyen conscient de ses droits et de ses devoirs ne peut que pousser le « puissant du moment » (gaïd en l’occurrence) à agir en démiurge (le précédent démiurge ayant été bouteflika) et à imposer son point de vue de gestionnaire principal de la rente. en d’autres termes, il suffit, pour dépasser la crise du moment, à gaïd de satisfaire le désirs de vengeance de la plèbe agissant au sein du hirak et de proposer SA solution qui ne pourra pas être refusée par des tubes digestifs affamés,

      Arf
      29 mai 2019 - 16 h 23 min

      Comparé Gaid à Bouteflika a complètement détruit votre longue ( et pénible) tirade… Les Hommes, leur Histoire, leur fonction, leurs felonies, leur trahisons et compromissions….tout les oppose et surtout leur dessein et leur destin.

      Comme dirait l’autre ça a mis un coup de mou au raisonnement…
      Du coup, bah… C’est à côté.

        Santa Claus
        30 mai 2019 - 11 h 34 min

        nous aurions aimé que vous soyez plus constructif en commentant la question posée par R. M. au lieu de balancer des propos stériles sur apostrophe, propos qui peuvent indiquer des frustrations mal assumées et qui suggéreraient que vous n’êtes qu’un simple zélateur du soldat en exercice le plus vieux du monde.
        en d’autres termes, vous semblez être le genre d’hurluberlus qui manque de maturité et qui a constamment besoin d’un mentor pour donner un sens à sa morne vie.

    Vox
    29 mai 2019 - 15 h 13 min

    Les partis politiques ont une grosse responsabilité vis à vis du chaos qui s’est progressivement installé dans le pays, et qui le tient paralysé aujourd’hui. Ils ont joué le jeu malsain de fausse opposition en votant des textes contre le peuple. Ils parlent de constitution maintes fois violée. Mais qui a permis le vote de ces nouveaux textes cousus sur mesure, si ce n’était leurs députés respectifs infâmes et corrompus?! Ces manigances ont largement contribué à l’installation de ces maudits clans qui se font la guerre à l’Assemblée, et à la vox populi sur tous les terrains. Maintenant que le pays est mis à genoux, Ces pseudo partis continent à conspirer tout en prononçant ça et là des litanies pour endormir les plus naïfs.
    Entre partis traitres et guignols wahad fihoum ma yanfaâ.
    Dégagez! Il y’a plein de professeurs universitaires, de sociologues, d’experts en économie, d’ingénieurs, de jeunes talents des 2 sexes dans tous les domaines d’activité, et dans les 48 wilayates du pays,tous intègres et honnêtes qui sont prêts à relever le défi pour la construction de l’Algérie de demain. Ils attendent d’être sollicités,parce que humbles et méconnus des médias. Le peuple n’est pas dupe, il saura choisir ses représentants le moment venu.
    La contribution des partis politiques algériens a toujours été nulle dans l’apport des solutions. Ils sont le problème. Champions dans le blabla et la controverse, ils n’ont jamais proposé un projet de société. Ils ont été créés pour pour être constamment dans le conflit pour mieux servir le régime sous forme d’une vitrine, ô combien cupide, et hypocrite.

    Droit Au But
    29 mai 2019 - 13 h 48 min

    Beaucoup se battent non pas pour une nouvelle Algérie, mais pour la vache à lait qu’elle représente.

    Anonyme
    29 mai 2019 - 13 h 19 min

    Tous les soutiens du troisieme,quatrième et cinquième mandat de Bouteflika n ont aucun droit à participer au dialogue ,y compris le chef d État major qui était partie prenante.
    Si les algériens sont sortis en masse pour réclamer une deuxième république ce n est pas pour remettre en selle des gens qui ont fait de l aplaventrisme devant les tenants du pouvoir!!!!
    Le dialogue avec compromis que propose Gaïd Salah est une vaste fumisterie car c est lui qui décidera en dernier ressort…
    Les algériens doivent continuer à sortir ,ils sont prêts du but….rien n est encore acquis ,le système veut continuer à exister ,il ne lâchera que sur des broutilles …

      Yahia
      30 mai 2019 - 14 h 16 min

      Oui pour le dialogue prôné par le chef d’état-major mais avec la société civile ( universitaires, médecins, avocats, étudiants, syndicalistes, jeunes intègres…) sans les partis politiques.

    Lyes-DZ
    29 mai 2019 - 13 h 15 min

    LE DIALOGUE GENERE LE DIALOGUE ET LE DIALOGUE OUVRE LA VOIE, Depuis 1962 Les rapports entre le pouvoir politique et l’armée ont longtemps été régis selon des règles simples, non écrites mais connus par tous nos compatriotes, en quelque sorte un pacte secret, créant de facto un déséquilibre des forces dans la gestion de notre pays: l’armée ne s’abstenait pas de s’immiscer dans la politique en imposant ses hommes et le pouvoir civil ne s’ingérait pas dans la conduite des affaires militaires de surcroit n’avait pas d »influence sur les questions de défense. il va falloir redéfinir ceci en identifiant les rôles de chacun avec un périmètre analytique bien précis, par une mise en place d’une nouvelle constituante ( UNE TRACE ECRITE) par VOIE REFERENDAIRE, Quant aux partis d’opposition sont qualifiés de partis de complaisance, un melting-pot de débarqués, d’arrivistes, d’opportunistes, monnayant leurs services avec des CHKRAS DE BILLETS , démunis de toute culture politique intellectuelle et une force de propositions au service des intérêts sacrés de la nation et des citoyens, il serait souhaitable de les écarter en majorité ( pas tous) de tout dialogue constructif, car faisant partie du système, maintenant aurions-nous les moyens de les substituer? aurions nous une relève qui dialogue avec intelligence sans tomber dans les émotions et les excès? Pourquoi pas !! des représentants du HIRAK issus de la société civile (Retraités, Etudiants, Professions libérales, Médecins, Ingénieurs, Avocats, Commerçants , Chômeurs) au niveau des 48 wilayas chapeautés par des technocrates Enarques intègres et patriotes pour assurer un dialogue national répondant aux aspirations du peuple algérien

    Abou Muppet Show
    29 mai 2019 - 13 h 15 min

    Iben Moua, je dis que 3ammi Gaid a encore enfiler une belle quenelle ( une de plus..) à la petite meute de hyènes qui lui collent aux basques…La hyène est un animal comme le rat, c’est une raclure finie et incorrigible. Elle se nourrit sur le dos des vrais prédateurs, elle n’a aucune morale, ni éthique.
    Dans le cas présent, on peut être attaquer par tous les pays qui nous entourent, la hyène restera fixée sur 3ammi Gaid. Peut importe ce qu’il ferait de bien pour le pays, 3ammi Gaid est de facto l’obsession figée de la meute de hyène.
    Meute qui se contente d’observer de loin, bien installée, qui ne met jamais la main à la poche et qui s’assied sur tous les principes moraux. Le but c’est 3ammi gaid…
    Alors Moua je pars à la pêche aux brochets, afin de fournir 3ammi Gaid de ce poisson qui peut entrer dans une des recettes de la Quenelle, dont sont si friands les Hyènes et pour laquelle, 3ammi Gaid, force est de le constater, est devenu un expert de la fabrication et de la distribution…

    Vas y 3ammi, continue ta feuille de route afin de permettre au pays et à son peuple de repartir sur des avenirs sereins. Tu verras, la hyène, quand elle n’a plus l’occasion de montrer sa légendaire lâcheté, finit par se muer en parasite de la famille des saprophytes et viendra vite récolter les fruits de l’action de 3ammi Gaid…sans aucunes dignité.
    Mais une hyène digne c’est comme de dire un netanyahou pacifiste…

      YALATIF YASTAR!
      30 mai 2019 - 4 h 37 min

      @abou Muppet Show, le moins que l’on puisse dire c’est que tu mérites bien ton pseudonyme, qui dégage une odeur forte du Kachir et n’exprime que quelque chose de comique et de désolant, au même temps.
      Ton ammikh Gaid Salah n’a enfilé « une belle quenelle » à personne, si ce n’est peut être à lui même et à des individus comiques de ton acabit.
      Par ailleurs, je ne vois aucune hyène à l’horizon algérien si ce n’est ce valeureux peuple et ces pacifiques jeunes qui réclament clairement et légitimement l’amélioration dans tous les domaines de la situation de leur pays par l’établissement d’une nouvelle République sur des bases et des textes de lois sains, acceptés et respectés par tous
      Dans cette République de demain, les hyènes, bouffeuses de kachir, et les requins suçant la sueur et le sang des algériennes et des algériens n’auront plus leur place.
      Par ailleurs, la feuille de route de ton 3mmikh, Gaid Salah, c’est à dire, du commandement militaire dont il n’est que le porte voix, qui ne tient pas compte de la volonté populaire et des revendications exprimées de manière limpide et par la voie des plus pacifique par des millions d’algériens lors des marches historiques, ne peut que conduire l’Algérie vers une impasse et, forcément, sera vouée à l’échec.
      Bien entendu, les algériens sont généreux et en mesure d’aller vers le compromis, sachant que ce n’est pas du domaine du possible de les dégager tous, en laissant une porte entre ouverte à 3mmikh, Gaid Salah et tous qui ont pris part à la gabegie et désastre du pays, notamment, en soutenant, contre vents et marées, les mandatures illégales du président Bouteflika et de son clan et, surtout, l’incroyable idée du cinquième mandat, de se retirer et de prendre leurs retraites, même si ces dernières sont loin d’être méritées.

        Anonyme
        30 mai 2019 - 8 h 00 min

        @Yalatif Yastar,
        il ne faut pas répondre aux rigolos du genre. Il faut les laisser gigoter seuls dans leurs méandres d’idées. Ils se perdent tout seuls et ne savent plus où donner de la tête par la suite. débattez plutôt les idées des autres, qui débattront les vôtres, ainsi il y aura probablement quelque chose de constructif. Ces gigolos de Muppet Show ne sont là que pour polluer les débats. Donc à ne pas prendre en considération.

          YALATIF YA STAR!
          30 mai 2019 - 12 h 23 min

          @anonyme, oui, je me rends à l’évidence, il vaut mieux chercher à être constructif au lieu de perdre du temps avec ces guignols qui continuent à ramer à contre courant de la volonté et des revendications populaires, maintes fois exprimées de manière pacifique et millionnaire par notre peuple et nos jeunes.

    Bensmain
    29 mai 2019 - 12 h 20 min

    Le peuple n’à demandé que ce qu’il a de plus raisonnable et sereinement, alors pourquoi faire des concessions au profit encore aux destructeurs de l’Algérie. La seule solution, c’est de suivre le peuple ou partir pour le bien de tous et pour l’avenir du pays.

    Anonyme
    29 mai 2019 - 12 h 20 min

    Il n’y a pas de Partis d’opposition en Algérie , et doivent se reconstruire pour leurs crédibilité , l’opposition doit se construire . .Jusqu’au mois de Février 2019 il n’y avait aucune respiration Politique , un handicap pour un Pays . .Même en France ou Belgique ou Usa..ou Gb.il y a une fausse respiration Politique , gauche ou droite c’est droite , gauche..tous gris . .Alors en Algérie grace au Mouvement Populaire , dont le monde entier nous envie , soyons à la hauteur , …une chose aussi produisons Algérien et arrêter la folie importation à tout va , car c’est cette politique d’importance depuis 1962 qui a généré la corruption et stagnation de l’Algérie en dépendance de marché extérieurs .

      CHAOUI40
      30 mai 2019 - 8 h 07 min

      Anonyme 29 mai 2019 – 12 h 20 min

      le seul parti crédible est le MDS et Fethi Ghares

      En finir avec l’importation tout azimut !

      Nous devons tous participer à bâtir la nouvelle économie algérienne de demain.
      Les compétences et les talents ne manquent pas en Algérie pour que chacun se lance dans la production et la fabrication nationale et en finir avec l’importation de tout et n’importe quoi !!
      Il est temps de produire nos besoins sur place, ainsi offrir des emplois au peuple au lieu d’alimenter de notre argent les pays étrangers alors que notre peuple est au chômage.

      Oui à l’exportation, non à l’importation !

      Un responsable tunisien dans le tourisme a dit en souriant : l’Algérie nous exporte surtout des touristes…

      Pour un retour massif de notre diaspora à l’étranger

      la Chine du temps de Deng Xiaoping, le président qui dans les années 80 a commencer à rendre l’économie chinoise ce qu’elle est aujourd’hui, avait dit aux immigrés chinois de rentrer au pays et participer au développement de leur pays. 5 millions sont rentrés d’Europe, des USA etc…Nos immigrés compétents doivent en faire de même pour apporter leur savoir faire et leurs idées !

      Aller vers l’autosuffisance alimentaire et l exportation
      L’argent du pétrole doit uniquement servir à l’investissement productif

    EXLURE LES PARTIS DE L ALLIANCE DU DIABLE ... OUI !!!
    29 mai 2019 - 12 h 06 min

    Vouloir mettre tous les partis dans le mème SAC est une manœuvre Dangereuse … Non a vouloir Diaboliser les partis d Opposition comme le faisait le Destructeur BOUTEFLIKJA !!! Ne tombant pas dans ce piège qui sert surtout le pouvoir actuel en place, car c une Force de propositions … Les CACHIRISTES sont connu de Tous …ATTENTION !!!

    Vroum Vroum ????..
    29 mai 2019 - 11 h 53 min

    Il n’y a pas de Partis d’opposition en Algérie , et doivent se reconstruire pour leurs crédibilité , l’opposition doit se construire . .Jusqu’au mois de Février 2019 il n’y avait aucune respiration Politique , un handicap pour un Pays . .Même en France ou Belgique ou Usa..ou Gb.il y a une fausse respiration Politique , gauche ou droite c’est droite , gauche..tous gris . .Alors en Algérie grace au Mouvement Populaire , dont le monde entier nous envie , soyons à la hauteur , …une chose aussi produisons Algérien et arrêter la folie importation à tout va , car c’est cette politique d’importance depuis 1962 qui a généré la corruption et stagnation de l’Algérie en dépendance de marché extérieurs .

    LOUCIF
    29 mai 2019 - 11 h 47 min

    Monsieur R. Mahmoudi , il serait heureux que Gaid Salah ne fasse pas appel aux partis politiques car dans les négociation de sortie de crise car même le FLN, le RND, le TAJ, le MPA et les autres partis politiques satellites du pouvoir , et il y en a une flopée, vont venir exiger une participation et çà va complètement perturber le débat au sein du hirak ! Il faut mieux laisser la société civile, les associations, les ligues des droits de l’homme, les syndicats et les diverses corporations comme les avocats, les travailleurs, les magistrats, les étudiants, les enseignants, les médecins, etc… etc.. représentaient le hirak ! Mais chacun de ces partis politiques, que se soit de l’ancienne alliance du précédent clan du pouvoir et les autres partis politiques, ont le droits d’avoir leur avis, leur opinion, de se prononcer sue la situation politique du pays, de faire des propositions ! Mais la conduite des opérations doit se faire à partir des représentants élus au sein du mouvement du hirak.

    Si les partis politiques entre en danse trop tôt, ce sera la cacophonie, même si on doit avoir du respect pour les partis politiques et que leur existence est une nécessité ! De toute façon, la société va avoir besoin d’eux quand les règles institutionnelles seront claires, que l’Etat de droit sera enfin installé pour que le combat politique partisan reprenne ses droits !

    Digage!
    29 mai 2019 - 11 h 34 min

    Le dialogue à la sauce Cachiriste ?
    Qui va dialoguer avec qui ? Sur ce point crucial Gaid Salah évite d’en parler.
    On connait les dialogues chez nous, je t’invite à dialoguer mais à condition que tu sois d’accord avec moi et c’est moi qui décide.
    Le Système va se retrouver à dialoguer avec ses clients cachiristes qui seront tous d’accord avec lui.
    Il est urgent pour le Hirak de trouver un moyen de s’organiser et délire ses représentants avant que ce pouvoir ne rentre dans la combine et choisisse lui même ses interlocuteurs.

    Bouzorane
    29 mai 2019 - 11 h 27 min

    -dégager bensalah et bedoui
    -l’état major doit se contenter du stricte accompagnement de la transition en assurant la sécurité. Il ne doit plus s’ingérer dans la politique. Il doit s’engager pour une loyauté et une obéissance sans faille aux civils élus par le peuple. Le Peuple n’est pas au service du l’armée. C’est l’armée qui est au service du Peuple
    -nomination d’une présidence collégiale avec pouvoir de légiférer et prendre les mesures suivantes :
    -Mise à la retraite de tous les généraux de plus de 65 ans, y compris et surtout le chef d’état major et le remplacer par un jeune compétent et Nationaliste
    -possibilité d’accorder une immunité juridique au chef d’état major pour qu’il ne soit pas poursuivi pour des faits antérieurs de corruption et de collaboration avec des puissances étrangère. C’est le seul sujet de négociation possible. Tous les autres points sont des exigences non négociables, pour lesquels les militaires n’auront aucun avis à formuler. Par exemple, ce n’est pas aux militaires de fixer la nature ou la durée de la transition.
    -Nomination d’un gouvernement
    -Dissoudre le parlement et le sénat
    -Dissoudre tous les partis politiques
    -Accorder des agréments à des nouveaux partis, avec comme seul critère d’agrément : ne pas être de tendance internationaliste (ni arabo-islamisme, ni nord-africanisme ni baathisme,ni ni…).
    – les partis connus pour leur accointance avec l’étranger (france, maroc, turquie, pays du golf, egypte..) seront définitivement interdits. RCD, MSP et bien d’autres seront dissous et les responsables poursuivis pour intelligence avec l’ennemi.
    -ceux qui veulent mettre l’Algérie sous tutelle, quelle que soit cette tutelle (arabo-islamisme ou berbèro-nord-africanisme) seront interdits. Défendre la berbérité de l’Algérie, oui, à condition de le faire dans un cadre strictement National et Nationaliste. Idem pour l’islam, nous sommes tous musulmans et la religiosité doit etre encadrer par le Nationalisme.
    Pas de fanatisme religieux, pas de fanatisme racial… et surtout surtout pas d’internationalisme!!
    En revanche, le Nationalisme Algérianiste peut se permettre, a le doit et même l’obligation d’être fanatique, extrémiste, radical, primaire!
    Pour une 2ème République Algérienne et Algérianiste dirigée par des civils Ultra-Nationalistes

    kad
    29 mai 2019 - 11 h 18 min

    Chaque fois qu’on nous montre une image de cet aréopage de conspirateurs en train de chuchoter les uns avec les autres, ça me donne un haut le cœur. Il complotent même les uns contre les autres alors qu’ils sont censés être alliés, on en a eu récemment la preuve puisque l’un d’eux avait rencontré Said Bouteflika et Tartague à l’insu des autres. Oui, il est très souhaitable que ces énergumènes soient exclus du dialogue national, ils n’apporteront rien de positif ces perfides opportunistes.

    DZA
    29 mai 2019 - 11 h 09 min

    Ce discours de GS, proposant le dialogue, tout vague qu’il soit, nous démontre que le peuple est en position de force dans ce bras de fer qui l’oppose à un système corrompu bien enraciné dans le pouvoir et les structures étatiques.
    Autant, attendre la suite des propositions de concertation et d’agir ensuite. les spéculations ne servent qu’à créer de la confusion sans plus.
    Le mouvement populaire, doit surtout veiller à ce que ses revendications soient respectées et mises en pratique par les hommes qu’il aura mandaté à cet effet.
    Quant au partis politiques de tous bords, que représentent-ils, sur cette masse populaire qui manifeste tous les vendredis sur tout le territoire national ?
    Effectivement, c’est le peuple qui a disqualifié les partis politiques. Le peuple ne croit plus en personne, surtout ceux qui font parti du pouvoir et de ses satellites.
    Un peuple qui scande les mêmes slogans, sait ce qu’il veut et ce qu’il ne veut pas.
    Au point ou vont les choses , à bien y regarder , c’est le peuple qui est en train de mener le jeu.
    Le défi, c’est d’être déterminé à ne pas céder le gouvernail.

    TOLGA - ZAÂTCHA
    29 mai 2019 - 11 h 08 min

    L’armée va-t-elle exclure les partis politiques du dialogue national ? Moi, je dis, CHICHE !!!
    Que l’armée entame des DISCUSSIONS DIRECTES avec les représentants du hirak en passant outre les pseudo-partis qui bouffent aux écuries d’Augiat depuis 62 sans jamais avoir prouvé quoi que ce soit. Bien au contraire !
    Au moins, nos jeunes révolutionnaires du hirak auront une chance, fût-elle minime, de prouver leurs compétences dans tous les domaines d’activités de la société Algérienne afin de sauver le pays.
    Mais le nihilisme de leur dégagisme total, assourdissant, risque de tout faire capoter…

    PEUPLE
    29 mai 2019 - 10 h 32 min

    NON A CEUX QUI ONT TREMPE AVEC BOUTEF. ET NON AUX PERSONNALITES CACHIR ET INCONNUES DU MOUVEMENT CITOYEN.
    NON AUX DIALOGUES FARCES OU ON NOIE LES PARTIS ET HOMMES INTEGRES DANS UNE PLETHORE DE BENI OUI-OUI SANS HONNEUR NI DIGNITE.
    DE TOUTE FACON LE PEUPLE VEILLE ET NE RENTRERA PAS A LA MAISON SANS INSTAURER UNE 2EME REPUBLIQUE.
    ET POUR COMMENCER JUGER LOUH ET SES COMPLICES DE GHARDAIA ET D’AILLEURS, ASSASSINS DE FEKHAR ET TAMALT ET LIBEREZ TOUS LES PRISONNIERS D’OPINION.

    Norebi
    29 mai 2019 - 10 h 21 min

    Les partis politique sont les premiers concernés par ce qui se passe en Algerie, c’est trop tard pour eux , il ne reste plus qu’un moyen c’est de choisir des représentants du Hirak pour reprendre le gouvernement, qui est assuré par le système à ce jour, l’armée doivent avoir pour mission de défendre le pays et être des observateurs pas plus.

    FAID
    29 mai 2019 - 10 h 20 min

    J’ose à peine y croire à cette énième mascarade de dialogue par ses initiateurs ils croient que nous allons prendre au sérieux cette proposition qui s’assimile à une fable envoyer des agneaux discuter avec des loups ;

    Les partis politiques n’ont aucune base populaire tous sans exception.

    A ATTAR IGAWAWEN
    29 mai 2019 - 10 h 17 min

    ENFIN, UNE EXCELLENTE CHOSE ! CELA VA NOUS CHANGER DU DECORUM HALUCINANT QUE NOUS SUBISSONS MALGRÈ NOUS DEPUIS 62 EN AYANT EN FACE DE NOUS QUE DES INCOMPÉTENTS ET DES VENDUS QUI NE REGARDAIENT QUE LE FOND DE LEURS POCHES ET LEURS COMPTES BANCAIRES A L’ÉTRANGER.
    OUF ! ENFIN, ON RESPIRE ! ET CE N’EST QU’UN DÉBUT.
    STEP BY STEP WE’LL BUILD OUR NEST….

    MICHOU
    29 mai 2019 - 10 h 12 min

    Personne ne veut se présenter pour gouverner ce pays de 43 millions.
    Les militaires doivent rester dans leurs casernes et ne pas faire de politique comme le fait le général GS.
    Il est mal placé pour nous donner des conseils, lui qui a servi sa majesté avec zèle et qui veut se dédouaner maintenant.
    Il est en âge de prendre sa retraite et nous laisser prendre notre destinée en main.
    On n’a pas besoin de nous faire peur car nous avons survécu à la tragédie et nous survivrons avec ou sans vous.
    De grâce, laissez nous tranquille .

    Karamazov
    29 mai 2019 - 10 h 06 min

    Moua , avec les deux neurones qui me restent , le troisième ayant capitulé devant l’ampleur du dilemme , tout ce que je relève c’est que la période de transition qui était le cheval de bataille de la soi-disant opposition est rejetée. Car transition signifie changement et changement le Système n’en veux pas.

    Il reste donc qu’une trois options sur la table :

    La présidentielle. La présidentielle, et la présidentielle.

    Non , je plaisante ! A peine!

    Je pense que GS a un président «  consensuel ?» « ou pas ? » dans ses tiroirs et il voudrait le proposer au hirak. Et je subodore que GS pourra même surprendre su r ce plan.

    En attendant GS essaie d’épuiser les arguments du Hirak et de développer ses contradictions qui avec le temps ne manqueront pas d’apparaître.

    Dans quelques semaines les principales cibles du Hirak partiront pour donner l’impression qu’il a gagné la bataille et que ses principales revendications sont satisfaites.

    Sur le plan judiciaire , dans un premier temps on ira plus loin, pour ajouter encore plus de poudre aux yeux.

    C’est là que le Mahdi el mountadhar nous sera sorti due la casquette de mon général.

    La deuxième c’est de jouer l’épuisement au début , de sommer le Hirak de proposer un candidat à la présidentielle puis de passer en force .

    La troisième …

    Non la troisième je n’y pense même pas !

    Si j’y pense, mais je vous laisse deviner dans quelle m… on sera .

    Anonimaoui
    29 mai 2019 - 9 h 18 min

    Dialoguer c’est un peu trop tard. Mais admettons que c’est toujours possible, il faut être clair net et précis dans tout appel à un dialogue national. Sur quoi portera ce dialogue, quels sont les objectifs assignés à ce processus, qui participera au dialogue, sous la conduite de qui, la durée du dialogue, ……Le vrai dialogue doit se tenir directement entre l’institution militaire et les représentants du Hirak démocratiquement désignés par le peuple.

    Algérie
    29 mai 2019 - 9 h 02 min

    Se serait une bonne chose étant donné les revendications de l’ouverture des frontières avec le Maroc par les partis politiques de l’opposition comme ceux de l’alliance du pouvoir sans exceptions en dehors de l’ANP et les simples citoyens.
    Ni UMA ni Tamazgha ni Afrique du Nord, l’Algérie et rien que l’Algérie.

    Zaatar
    29 mai 2019 - 8 h 10 min

    Au rythme ou on va, il n y aura que les fantômes du passé qui prendront part au dialogue. Je ne sais pas lesquels vont être ressuscités pour avoir un visage mais vraisemblablement de notre il ne reste plus personne pour prendre part au dialogue prôné par notre général Major.

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