Féminicide : concept idéologique de victimisation féministe

crime fraude des mots
Le schéma patriarcal infériorisant la femme est toujours présent.

Par Mesloub Khider – «La perversion de la cité commence par la fraude des mots», (Platon). «Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté», (Confucius). La classe dominante, faute de révolutionner les forces productives atones pour nourrir l’humanité, transforme constamment sa sémantique pour alimenter le peuple en souffrance de termes euphémistiques censés moderniser la société, moyen lexical littéralement créatif pour tenter de perpétuer son système moribond. Ainsi, pour mystifier le peuple, elle fabrique à profusion de nouveaux termes pour doter la réalité effroyablement délabrée et vétuste d’un langage prétendument moderne. Cette novlangue a pour dessein de reconfigurer la même misère par l’esthétisation lexicale, de régénérer artificiellement la même réalité par les mots. Au lieu de soigner les maux elle préfère créer de nouveaux mots pour maquiller les maux. Cette chirurgie esthétique lexicale tente de redonner une nouvelle jeunesse à une réalité tailladée par les injustices sociales, entaillée par la lutte des classes.

Ce n’est pas le lieu ici d’inventorier l’ensemble des néologismes euphémistiques, souvent inventés pour atténuer ou mystifier une réalité effroyablement épouvantable. Pour détourner la réalité, contourner un problème, la classe dominante se paye de(s) mots. Elle préfère dire «croissance négative» pour éviter le terme de récession. Technicienne de surface au lieu de femme de ménage. Facteur se dit aujourd’hui préposé aux postes. L’aveugle, un non-voyant ; le sourd, un non-entendant ; un coiffeur, un visagiste capillaire ; un chômeur, un demandeur d’emploi. Le terme bourgeois a été banni du langage (car il fait sale. Effectivement, le bourgeois est moralement sale). Prolétaire est devenu une honte, une insulte (on avait «salaud de pauvre», on aura bientôt «canaille de prolétaire»).

Dernière lubie des lexicographes du sérail journalistique et universitaire féministe, sous l’effet de la féminisation de la modernité, l’invention du terme «féminicide», pour qualifier les assassinats de femmes par leurs conjoints. Camus a écrit que mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde. Les mots ne sont jamais neutres, plus particulièrement de nos jours, avec la féminisation de la langue : les mots se sont mis à porter la culotte pour habiller la réalité de termes enrobés de connotations féministes. Ainsi, sous l’effet de l’efféminisation de la société, par la grâce d’une opération lexicale féministe, on est passé de la qualification de crime conjugal ou passionnel à l’appellation «féminicide».

Que désigne en vérité ce nouveau vocable ? Confectionné avec le mot femme et le suffixe «-cide» (du latin caedere, qui signifie tuer), ce néologisme désigne le meurtre d’une femme «en raison de son sexe». Ce mot féminicide ne figure pas dans tous les dictionnaires du fait de sa définition controversée. Au reste, en matière juridique, le concept n’existe pas en droit pénal. Le droit utilise le concept d’«homicide conjugal» pour caractériser ce type de crime, commis aussi bien par le conjoint ou la conjointe. En vérité, le vocable féminicide est une notion politique, idéologique. En effet, ce néologisme a été forgé à la faveur de l’invasion indécente de l’idéologie impérialiste féministe. Amorcée ces trente dernières années, cette entreprise de fabrication idéologique conceptuelle s’est appuyée sur une abondante littérature sociologique féministe. Pour légitimer l’usage du concept de «féminicide», des psychanalyses et des sociologues, intellectuellement émasculés et politiquement castrés, prétendent que les motivations profondes des meurtres commis par un homme ou une femme seraient diamétralement différentes. Comme le certifient doctement certains idéologues universitaires féministes : si «les hommes tuent pour garder les femmes, les femmes tuent pour se débarrasser des hommes. Il y aurait donc deux profils complémentaires de criminels passionnels : le macho féminicide et la femme battue qui tue. Dans l’enchaînement des faits, tout commence par la violence masculine…».

Indirectement, ces plumitifs féminisés perpétuent les stéréotypes de la femme faible, vulnérable, soumise, toujours victime de la violence masculine en raison de sa faiblesse congénitale (voire du fait de sa complaisante résignation à la violence endurée avec son masochiste acquiescement). Mais surtout, du fait de sa sensibilité infantile, elle serait incapable de commettre des violences (sic), encore moins de se muer en meurtrière sinon pour se défendre contre le méchant homme machiste. C’est une éternelle victime, que la société doit protéger, au même titre qu’un enfant. Dans notre société surprotégée, quand on parle de la femme, c’est toujours comme un être singulier, comme une personne infériorisée, distincte de l’homme. Ironie de l’histoire, le meilleur allié du patriarcat, c’est le féminisme.

Si le concept de féminicide existe depuis plusieurs décennies, il n’a pas la même acception idéologique propulsée par les féministes hystériques. Selon l’OMS, le féminicide est défini comme le meurtre d’une ou plusieurs femmes du fait de sa condition féminine. Dans l’optique criminologique de l’OMS, le concept inclut également les homicides commis par une femme sur une autre femme en raison de la qualité féminine de la victime. En l’espèce, le sens n’est pas restrictif. Contrairement à la définition tronquée des féministes doctrinaires, définition réélaborée dans les laboratoires médiatiques efféminés pour servir leur propagande victimaire

Aussi, selon l’acception objective de l’OMS, le féminicide se définirait comme un meurtre perpétré par tout homme misogyne et phallocrate qui voue une haine inexpiable aux femmes. On a affaire à une espèce de psychopathe mû par un instinct pathologique de massacrer la gente féminine. On est loin du pauvre conjoint qui, à la suite d’une annonce de rupture conjugale ou autre motif, par désespoir, commet l’irréparable : tuer sa femme (qu’il a aimée des années durant, comme il a aimé d’autres femmes). Contrairement aux assertions féministes pétries d’idéologie revancharde «masculinophobe», il s’agit en l’espèce d’un crime passionnel, qu’aux Etats-Unis on désigne sous l’appellation de violences domestiques (les hommes sont aussi victimes de cette violence).

Force est de constater que, dans une optique manichéenne où les femmes sont toujours des victimes et les hommes des oppresseurs, l’usage du terme féminicide est employé et encouragé par les féministes pour singulariser ces homicides. Selon ces féministes bourgeoises, parler de féminicide, c’est transformer un fait divers en fait social. Cette lecture «genrée» d’un homicide est une entreprise idéologique destinée à assigner un caractère social, de surcroît spécifiquement féminin, à un fait divers sociétal. Cette lecture genrée dégénérée est le complément de la conception dominante consistant à réduire les phénomènes sociaux et politiques éminemment humains à des faits divers insignifiants. De fait, par cette entreprise de manipulation idéologique féministe, on politise un fait divers mais on dépolitise un fait social. Voire on l’ignore.

La preuve : que des millions de femmes soient réduites à la misère, soient exploitées dans les entreprises, doivent élever durement seules leurs enfants, en d’autres termes qu’elles meurent à petit feu à cause du système capitaliste «prolétairicide» n’offusque  aucunement ces féministes bourgeoises. Pour ces féministes, la cause de ces millions de femmes assassinées socialement ne mérite aucune attention, aucun combat. Pour les féministes, l’ennemi, c’est l’homme et non pas le capitalisme. C’est la raison pour laquelle le capital aime et protège les féministes.

Paradoxalement, par leur action d’«essentialiser» les meurtres des femmes, par leurs mobilisations exhortant les pouvoirs publics à protéger les femmes, à voter des lois spécifiques pour les femmes, elles perpétuent le schéma patriarcal qui infériorise et infantilise la femme. Par leur politique féministe essentialiste, elles détachent les femmes de leur communauté humaine universelle pour les assigner à des statuts particuliers inférieurs, réduites à une minorité à protéger. Ce féminisme bourgeois cultive une politique victimaire. En réalité, ce féminisme hystérique, favorisé par le capital, s’intègre dans le processus de désagrégation de la communauté humaine en de multiples segments : ethniques, religieux, communautaires, identitaires, dans le dessein de briser l’élément essentiel social, l’appartenance de classe. En lieu et place de la lutte des classes sont ainsi favorisés la lutte des races, les conflits de religions, la guerre des sexes, les tensions communautaires. Pour le grand profit du capital qui peut continuer à nous livrer sa guerre sociale en paix.

Loin de nous l’idée de nier l’explosion de la violence commise contre les femmes par leurs conjoints, en particulier la multiplication des assassinats des femmes ; il convient néanmoins de replacer cette violence et ces meurtres dans le contexte actuel du développement exponentiel de la violence protéiforme, générée par le système capitaliste en plein putréfaction (comment définir et qualifier ces meurtres de masse perpétrés fréquemment par des jeunes à peine pubères, dans la plus grande démocratie du monde, les Etats-Unis, mais aussi dans de nombreux pays civilisés occidentaux ?).

De manière générale, le meurtre d’une femme commis par son conjoint est souvent motivé par la jalousie ou la décision de rupture conjugale. Ainsi, la motivation première plonge ses racines dans la nuit des temps : la jalousie. La rupture conjugale initiée par la femme suscite également chez certains hommes une réaction de refus violent en raison de leur esprit de possessivité, vestige psychologique des anciennes sociétés archaïques patriarcales. Pour ces hommes, le sens de la propriété a toujours dominé leur relation avec la femme (ce phénomène est un reliquat des modes de production archaïques fondés sur la force physique qui disparaît peu à peu avec la robotisation-numérisation de la production). Mais ces deux facteurs millénaires n’expliquent pas la récurrence des actuels meurtres des femmes commis par leurs conjoints. De surcroît, il existe également de nombreux hommes assassinés par leurs épouses, mais minorés par les médias. Les homicides conjugaux remontent à l’origine de l’humanité.

Au reste, l’instinct meurtrier, rarement étudié ni évoqué, est bien ancré dans la psyché des êtres humains (ex-chasseurs). Instinct régulièrement réactivé sous l’effet de graves crises civilisationnelles ou lors des guerres, dans lesquelles le meurtre est officiellement légitimé. On l’oublie souvent : les périodes de guerres ou d’agitations-réactionnaires terroristes transforment l’homme et la femme en êtres sanguinaires, capables des pires barbaries (Daesh, décennie noire en Algérie). Au nom de quelle valeur humaine les meurtres commis lors des guerres sont-ils tolérés, légitimés, encouragés par les Etats, tandis que ces mêmes Etats, en période de «paix», condamnent fermement les mêmes personnes coupables de meurtres ? La violence étatique est légitimée en toute circonstance… car c’est sur cette violence que s’érige le pouvoir de la classe dominante, les rapports sociaux d’exploitation. Sans cette violence étatique légitime, aucune société de classe (autrement dit, aucune classe dominante) ne survivrait vingt-quatre heures.

Au reste, des études canadiennes récentes ont démontré que 80% des hommes et 60% des femmes ont déjà pensé au cours de leur existence à tuer quelqu’un. Toutefois, entre l’homme et la femme, la différence est purement temporelle : chez la femme son envie de meurtre ne dépasse jamais quelques secondes, tandis que chez l’homme elle dure des heures. Cette différence s’explique par la phylogenèse : l’homme a toujours été un prédateur-chasseur, c’était son occupation principale dans la famille, au sein de la tribu.

Comment expliquer ce fléau ? Les meurtres des femmes commis par leurs conjoints auraient-ils réellement augmenté ces dernières années ou serait-ce seulement l’effet de leur visibilité médiatique ? Quoi qu’il en soit, en cette période de crise économique et sociale profonde, les causes majeures de ces meurtres tiennent au développement de l’anomie générée par le capitalisme, à l’expansion des comportements déviants et immoraux (chaque individu isolé, endoctriné, est converti en narcissique potentiellement prédateur et criminel, plutôt qu’en fraternel camarade solidaire). Mais surtout à l’explosion de la misère sociale, à la désagrégation des statuts maritaux, à l’éclatement des liens familiaux, au délitement des valeurs morales, à l’expansion de la paupérisation. Les médias contaminés par l’idéologie féministe éludent cette variable sociologique : nombre de meurtriers sont au chômage. Or, sociologiquement, toute séparation conjugale induit une déchéance sociale et financière. Dans les situations de séparation problématique, ces deux facteurs concourent souvent à l’aggravation de la déstabilisation psychologique, favorisant ainsi la commission de l’homicide. Autre point important à souligner : la majorité des divorces sont demandés par les femmes. Cette initiative est perçue comme une trahison de la part du conjoint abandonné, particulièrement l’homme vulnérable imprégné de valeurs archaïques patriarcales. Pour lui, il s’agit d’un «coup de poignard dans le dos». Il se sent meurtri. Sa raison d’être (sa femme qu’il a déifiée) tue leur amour. Sa raison est aussi atteinte par ce coup mortel conjugal. Aussi, inéluctablement, décline-t-elle, dépérit-elle, s’altère-t-elle. Il vit la séparation comme un meurtre perpétré par sa conjointe. Dès lors, livré, dans sa brutale solitude, à ses démons intérieurs, il rumine la vengeance.

En outre, dans une société urbanisée aux liens sociaux totalement déficients, dominée par l’individualisme, la perte de son unique partenaire sociale (conjugale) assurant la préservation d’une relation humaine, provoque inévitablement des réactions de panique, de détresse, des sentiments abandonniques. La peur angoissante d’être réduit à la solitude, dans un univers violent tenaillé par l’adversité, le sentiment de déréliction, de honte sociale et d’échec conjugal, expliquent également le passage à l’acte meurtrier.

Qu’il soit clair : on tente d’expliquer et non de justifier ces barbares assassinats de femmes et, surtout, de bien identifier la source de cette déviance sociale car il n’est pas dans les projets de la nature humaine de s’autodétruire.

Par ailleurs, dans une société urbaine capitaliste individualiste, marquée par l’amenuisement des relations sociales, la complication de tisser des liens d’amitié et la difficulté de nouer une nouvelle relation conjugale, la perspective de cette solitude sociale et conjugale, doublée d’une misère sexuelle, est terriblement angoissante pour nombre d’hommes vulnérables confrontés à une rupture conjugale brutale. Sans omettre la dégradation de la situation financière provoquée par la séparation maritale, la rupture des liens avec leurs progénitures, vécue comme une amputation parentale, un déni de paternité. Tous ces facteurs anxiogènes participent à la dégradation psychologique de certains hommes vulnérables, à l’enchaînement pathologique et criminologique de la situation conjugale marquée par la rupture.

En tout état de cause, la question des homicides des femmes n’est pas un problème féminin (féministe) mais un dramatique problème de société (encore une fois, il n’est pas dans les projets de la nature humaine de s’autodétruire : le ver n’est pas enfoui dans la tête de l’homme mais tapi dans le giron de cette société capitaliste criminogène). Aussi les féministes ne contribuent-elles nullement, par leurs gesticulations stériles et leur combat sectaire, à féconder le débat, à sensibiliser l’ensemble des membres de la communauté humaine à cette cause sociale universelle. Mais plutôt à en brouiller le sens par leur sémantique tirée par les cheveux, tressée idéologiquement sur mesure par les féministes pour isoler la femme de l’homme, son compagnon égal et vice-versa.

M. K.

 

Comment (30)

    Krimo
    30 janvier 2020 - 18 h 12 min

    Mesloub Khider,

    Au dela de votre article …. juste dans la forme .

    Je vous cite :

     » Ce mot féminicide ne figure pas dans tous les dictionnaires ….  »

    Et plus loin, je lis ceci :

     »Cette lecture «genrée» d’un homicide ………Cette lecture GENRÉE dégénérée ……… à des faits divers insignifiants. »

    Genrée que vous utilisez n’existe dans aucun dictionnaire de la langue francaise. Vous le mettez entre guillemets a son premier usage comme il est de regle et puis de facto vous le repetez …… comme pour l’imposer.

    Alors :  » lecture genrée degenérée » . Je vous rends la copie de ce que j’en comprends : lecture specifiquement feministe et abatardie,

    Je vous renvoie a Platon :  » La connaissance des mots conduit à la connaissance des choses » mais pour ma part, avec un mais ………  » La connaissance est de savoir qu’une tomate est un fruit. La sagesse c’est ne pas mettre une tomate dans une salade de fruits  »

      Anonyme
      30 janvier 2020 - 19 h 22 min

      Chercher des poux au lieu de répondre est de la pure diversion. Pas étonnant que nous stagnons autant. Nous aimons avoir raison, plus que réfléchir ensemble. Le niveau de certains est inquiétant. Car quand on comprend mal, on saisit mal et on agit de travers.

        L' islamisme est l' arabisme sont unis contre les femmes
        31 janvier 2020 - 0 h 04 min

        Votre misogynie vous vient de l’ islam.L’ oppression des femmes est consubstantielle à l’arabislamisme, comme les arabes, laïcs soient ils, n’ ont jamais dis-joint le religieux du politique, ce qui fait que l’ islamisme a de longs jours devant

          Anonyme
          31 janvier 2020 - 14 h 09 min

          je ne suis pas arabe, ni islamiste, ni même un misogyne …
          désolé pour vos préjugés, mais vous avez le droit d’y croire

        Krimo
        31 janvier 2020 - 0 h 54 min

        Anonyme 30 janvier 2020 – 19 h 22 min

        Premierement attribuez vous un pseudo pour que l’on puisse vous repondre et ne pas vous confondre. Anonymat sous anonyme ……..

        Voici une phrase extraite du texte ci-dessus :
         » Dernière lubie des lexicographes du sérail journalistique et universitaire féministe, sous l’effet de la féminisation de la modernité, l’invention du terme «féminicide» « .
        Tout porte sur le mot «féminicide» et voici ce que l’auteur ose GENRÉE d’ou mon commentaire que vous ramenez : a chercher des poux (la perruque cela vous dirait elle quelque chose ?) ……

        Vous ou autres anonymes qui savez bien lire : c’est quoi « la feminisation de la modernite » ??????

        Cher madame ou monsieur, qu’y a-t-il a comprendre ?
        Une ex secretaire d’etat ou quelque chose du genre de madame la france veuille introduire ou imposer sous couvert de feminisme le mot  » feminicide  » dans le serail juridique d’une societe qui n’est pas la notre. Je ne vois pas en quoi cela nous concernerait-il ? De plus son pays dispose de l’Academie francaise. Malheureusement Assia n’est plus la (Allah yarahmak)

        A contrario les lois algeriennes disposent du code de la famille, une veritable insulte a la femme, la famille et a l’intelligence. Alors osez un article et debattons …… sans oublier qui nous sommes.

        Une anecdote, en 1968- 69, jeune lyceen avec des copains, nous attendions le bus Place Audin et assis sur les barrieres nous facions le trottoir et juste sous nos yeux une jeune dame en minijupe passait. Deux b’ni hab hab l’accosterent et lui chuchoternent des mots inconvenants sans la toucher. Sous l’effroi la jeune dame poussa un cri, et de partout des bars avoisinants, des flaneurs des hommes accourerent, ils s’excuserent du geste indigne commis et certains aggriperent les deux malotrus pendant que d’autres s’affairaient a ouvrir la bouche d’egout pour y mettre les deux sinistres individus. Ils durent leur salut a une voiture de police qui descendait la rue. Ce n’etait ni la Suede, ni la France ou je ne sais quel haut lieu qui se targue de l’appanage de la moralite, c’etait l’Algerie.

          Anonyme
          31 janvier 2020 - 10 h 54 min

          Assia Djebbar ? Celle qui a adopté un garçon, dont la mère fut torturée par des soldats française de la pire espèce et qui ensuite a lâchement abandonné ce garçon adoptif pour sa carrière ? Il a écrit son histoire, n’a jamais donné le nom de sa mère adoptive. C’est un journaliste qui a lâché la vérité.
          Informez-vous sur les idoles pour lesquelles vous vous prosternez. Assia Djebbar un modèle ? Laissez-nous rire.

          Anonyme
          31 janvier 2020 - 13 h 07 min

          Khazzat, Le respect de la femme n’est pas du ressort de la morale, pour que ce soit les « hommes venus au secours de la femme en minijupe qui l’affront de deux jeunes ». La morale impose sa loi là où le respect du droit n’est pas intériorisé. La Femme aurait eu le droit de vivre la cité en minijupe en pantalons, si l’Etat n’avait pas subordonné la femme aux males dans la « constitution », qui est la copie de la société saoudienne.

          Anonyme
          31 janvier 2020 - 14 h 17 min

          oui je confirme l’Algérie d’avant était dans ce domaine mieux
          qui a emmené l’islamisme ? Nasser a vidé ses prisons, nous a collés ses freres musulmans devenus prof de langue arabe
          elle est là l’origine de nos problèmes
          cela n’a rien à voir avec la religion, nos grands-parents étaient musulmans et les femmes montaient à cheval seules d’une montagne à l’autre sans se faire agresser (ma grand-mère le faisait et n’a pas reconnu le cinéma du prétexte de la pudeur auto-proclamé)
          on disait autrefois : Attention bint ness
          cela a à voir avec la secte pourrie des frères musulmans et leur suiveurs de salafistes, des frappadingues obsédés de sexe
          tous nos parents étaient musulmans et cela n’existaient pas chez nous
          durant la décennie noire, en kabylie, les hommes sortaient dehors faire des battues quand une fille avait disparu et tout le monde sortait avec mégaphone de l’imam appelant à la raison
          nous l’avons vu de nos yeux
          le problème ce sont ces sectes

          Krimo
          31 janvier 2020 - 17 h 08 min

          Anonyme 31 janvier 2020 – 10 h 54 min

          Je vous laisse rire et moi je me bidonne a vous lire.

          Assia Djebbar est morte le 6 fevrier 2015 et l’illustre individu une semaine plus tard va contacter quel journal Echourouk pour raconter son histoire !!!!!!! Il a acquis la nationalite francaise en 1996 ….. que la presse people francaise si friande en scoop aurait negligé un tel evenement qui dans l’air du temps (September eleventh) concernerait une academicienne de surcroit algerienne, meme a titre posthume ……. devrait vous donner a reflechir
          Bonne madame ou bon monsieur tenez vous-en, a Echourouk et vous parviendrez meme a boire le mythe d’Anastasia.
          Il lui aurait vole un collier, tout au plus age de 15 ans et pris de remord il va confesser son geste …. mais a quel age . Sa mere adoptive aux depens de sa reputation et comme une  »bonne Thenardier » le fait envoyer a Berrouaghia pour 3 ans et demi !!!!!!!

          Krimo
          31 janvier 2020 - 18 h 35 min

          Anonyme 31 janvier 2020 – 13 h 07 min

          Au premier mot de votre post, cette interjection suffit ….. pour la moralitè et ce qui s’en perçoit.

          Anonyme
          31 janvier 2020 - 19 h 36 min

          Krimo
          31 janvier 2020 – 17 h 08 min
          Vous dites des bêtises. Cela se sait et vous ne l’avez su qu’en 2015. Idem pour la chanteuse libanaise Fairouz qui a fait pareil avec son fils eu avec un grec. Vous pensez que les journaux algériens auraient pris ce risque de le faire au regard de la renommée de l’académicienne française Assia Djebar ? idem pour les journaux français ? Mais aussi de la mentalité algérienne qui refuse de voir les choses en face quand il s’agit de mœurs, d’enfants abandonnés, etc. Votre naïveté vous honore mais vous dessert.

          Krimo
          31 janvier 2020 - 22 h 43 min

          Anonyme 31Janvier 17:08

          Allez je l’ai appris par vous. En bon objecteur de conscience la vie privée vous dirait-elle quelque chose ?

          Puisque vous citez Fairouz pour donner plus de coffre a vos sustentations, citez ausi Sheila (son propre fils) ou ce bon Daniel Prevost qui a 57ans se decouvre une famille …….. un rouleau de papier de la longueur de l’hygienique ne suffirait pas a lister ces drames familliaux.

          Je reviens au concerne, il a ete declare zvingue de la tete par la Justice de son nouveau pays pour une obole, l’obsession devint credo et comme une celebrite n’est pas loin alors a moi les feux de la rampe.

          Ma prime naivete est d’avoir cru que vous etiez un peu plus sagace. Maalich, mais je peux vous rassurer vous n’etes pas une decouverte.

          Vous dites les journaux algeriens …….. et juste pour le besoin ils deviennent crédibles. Vous rappelez vous le cirque orchestre par feu le directeur d’Echourouk y a moins d’un an, son enlevement par les Services …. .

          En France devenir académicien et vous etes premuni contre tout ……. et c’est moi qui dit des bêtises.

    L'arabislamisme autrement c'est du kifkif...
    30 janvier 2020 - 12 h 59 min

    Vivent les féministes. La laicité/islamique de Sadam est cette mystification qui feint la modernité superficielle mais dont les déterminants sont autant archaiques que les pires islamistes.

    Anonyme
    29 janvier 2020 - 19 h 49 min

    Mr Khider ,vous avez noyé dans un texte d une manière très subtile votre haine de la femme…
    Vous considérez que l assassinat d une femme n est qu une violence conjugale !!! j aimerai bien voir comment vous allez réagir si c est votre fille ou votre sœur qui se fait massacrer à coups de couteau ou de marteau par son mari !!!
    Cela est indigne de la part d un homme de banaliser ce geste ou de le mettre sur le même pied d égalité que le meurtre d un mari par sa femme ,faits qui sont rares ( les chiffres sont là)
    La violence envers les femmes dans notre société est quotidienne, dans la rue ,à la maison, en famille donc ne prenez pas prétexte sur le nouveau terme utilisé «  feminicide  »pour élucider le vrai problème…
    La femme doit être protégée contre ces monstres qui pensent que c est leur propriété…elle a le droit de quitter son homme sans se faire trucider….

      Anonyme
      29 janvier 2020 - 21 h 20 min

      il est maintenant clair que les gens ne savent plus lire !
      Des articles précédents (celui de Ghédia, Benzatat, Bouzidi) ont fait les frais du même genre d’attaques par des personnes qui ont été incapables de lire le message. C’est dingue !

      Ce que Mesloub Khider est hélas la stricte vérité. Il n’attaque pas les femmes, au contraire. Il dit qu’on invente des mots pour ne pas traiter la cause de maux (si vous préférez des malheurs).

      Il dit que le mal existe chez l’homme et la femme et s’expriment différemment.
      Il ne dit pas que les hommes sont des anges, il dit que les hommes réagissent douloureusement à la perte d’une femme (ca ne veut pas dire que les hommes ont raison de tuer leur femme).
      Il dit que les femmes aussi peuvent etre « mauvaises » par la facon dont cela se manifeste est différent (entre nous, vous n’etes pas au courant que les femmes pratiquent plus leur méchanceté au niveau psychique ? Cela vous a échappé ?)

      Le texte de Khider est en fait un vrai appel à l’amour respectueux entre femmes et hommes et surtout au fait que l’amour ne soit pas un objet de pouvoir que ce soit dans le couple ou lorsque le main-stream social veut tout idéologiser toute relation personnelle ou intime.

      Entre nous, vous connaissez les femmes qui finissent seules et qui regrettent de ne pas avoir accepté leur nature. Moi j’en connais des tas de dizaines.

      Oui Khider a raison. La vraie cause c’est que hommes et femmes ne savent pas comment faire pour se rencontrer sans lutte de pouvoir et sans manipulation. Et puisqu’ils ne savent pas le faire, du coup, le schmilblick devient une aubaine pour le féminisme, le capitalisme.

      Apprenez à lire, mais vraiment lire et pas à prendre la mouche parce que le monsieur n’a pas dit les choses comme vous les avez toujours entendu.

        exact
        29 janvier 2020 - 22 h 22 min

        OUI ils ne savent pas lire ! ça ennerve à la fin !
        Il faut écrire comme pour les enfants…
        Sujet verbe complément et mots de la vie courante

        Anonyme
        30 janvier 2020 - 11 h 27 min

        Merci de votre conseil…..je vais réapprendre à lire jusqu’à ce que puisse comprendre le texte comme vous.. bien sûr avec même tous les détours qu il prend pour justifier l injustifiable…

          Anonyme
          30 janvier 2020 - 14 h 00 min

          désolé de le dire mais vous lisez en surface, vous ne savez pas lire un texte dans l’univers de son discours, comme disent les linguistes

          pire vous lisez avec un filtre de préjugé, tout ce qui va contre vos attentes, vous le rejetez

          or pour comprendre il faut vraiment écouter et lire pour pouvoir analyser (sans ca votre pensée est facilement « manipulable »)

          désolé d’être cash, mais vous devez travailler ça si comprendre vous intéresse, ne m’en voulez pas, mais Khider ne dit pas du tout ce que vous dites

          au contraire son article est super analytique

    Anonyme
    29 janvier 2020 - 19 h 16 min

    Le jour où on lèvera le tabou sur les hommes maltraités par leurs femmes, ce jour-là nous aurons fait un grand pas. Eux ne sont pas autorisés à parler, car en plus on dira qu’ils pleurent comme des momes. Le féminisme est l’ennemi des femmes. Avoir une relation respectueuse avec son mari (et l’inverse pareil) n’est pas un acte de faiblesse, c’est un vrai partage. Cette guerre de genre est une horreur. Merci M. Mesloub Khider vous avez mis l’éclairage la où il faut. Rien que le nombre de divorces en Algérie devrait nous alerter, c’est suicidaire à grande échelle.
    Superbe analyse, Bravo M. Khider.

    chaoui40
    29 janvier 2020 - 19 h 06 min

    M. Khider, revenez à la politique et à l’économie de grâce. Vous sombrez dans l’analyse et l’analyse ne mène nulle part ailleurs qu’à l’asile. La femme n’est pas meilleure que l’homme. Attendez qu’elle prenne plus de place dans la vie quotidienne. L’homme est un idiot : il se prête toujours au jeu de la séduction et de la conquête que lui impose la femme. Pourtant, les femmes sont plus nombreuses que les hommes; ce sont elles qui devraient nous séduire. Nous serions alors moins rancuniers le jour de la séparation !

    salia
    29 janvier 2020 - 17 h 41 min

    Les couples NORMAUX, les religieux et les hommes observent sans réagir…l’avènement de l’Occident (du monde) décadent .
    Sois Homo si tu veux mais ne vient pas m’imposer celà (écoles, médias…) comme étant NATUREL !

      Anonyme
      30 janvier 2020 - 14 h 23 min

      Tout à fait ! Les couples normaux sont les couples prévus par la nature. On peut l’accepter ou le refuser. Mais la nature demande de permission à personne, elle impose ses règles et ceux qui refusent ne peuvent pas vivre vraiment. Mais les choses sont comme ça. C’est comme si vous aviez le pouvoir de dire à la mort qui se pointe : attends, viens plus tard. Elle viendra même si vous devenez une chèvre qui veut voler.

      L’homosexualité a toujours existé et a la majorité du temps à voir avec les violences exercées contre les enfants. Le nombre de personnes homosexuelles violées ou abusées psychiquement durant leur enfance est … effarant ! Ils le sont car dans leur fonctionnement ils ont intégré l’agresseur’, comme dans le syndrome de Stockholm, ils n’ont pas résolu leur trauma et le répète de façon inconsciente.

      Juger c’est facile, mais comprendre c’est une lourde lutte

    Mon opinion a moi
    29 janvier 2020 - 16 h 22 min

    Sans oublier les retours de flammes ,divorces,enfants traumatisés en perte de repères,,familles recomposées ,etc etc Les société europeene féminisées et homosexuelle !!!!

    Mon opinion a moi
    29 janvier 2020 - 16 h 12 min

    Tout ce remu ménage capitaliste est une question d’argent ,la femme doit être libre pour dépenser de l’argent et rien d’autre!!Aujourd’hui en France dans le marché du travaill il vaut mieux être une femme qu’un homme ,attendez ce n’est qu’un début!!

    Elephant Man
    29 janvier 2020 - 16 h 04 min

    Excellente contribution.
    Le féminisme est du business de bourgeoises en mal de vivre et une TARTUFFERIE MONUMENTALE.
    Les femmes sont aussi perverses et criminelles que peut l’être un homme, pour ça la parité fonctionne.
    Je parle en connaissance de cause : outre le harcèlement sexuel et moral commis par des femmes 99,99% en milieu hospitalier Lyon à mon encontre, j’ai été victime d’une tentative d’homicide volontaire commanditée par une femme mon ex chef. D’autant que la secrétaire d’État de son slip Schiappa qui pourtant ne rate aucune occasion pour se ruer sur un « féminicide » a fait de moi la victime une menace de mort si si sans blague fallait avoir l’outrecuidance d’exposer sa psychopathie meurtrière !! Et persécution qui se poursuit encore à ce jour et l’on m’expose quotidiennement FIÈREMENT la voiture bélier qui a attenté à ma vie comme un trophée à la nation française…
    Quand un individu quel que soit son sexe commet un meurtre et qu’il n’éprouve AUCUN remords c’est un psychopathe pur et dur et donc malade mental en puissance en plus d’être un criminel d’une barbarie innommable.
    Je prends Bertrand Cantat chanteur français (cf. fille Trintignant) qui a purgé sa peine de prison ferme qui a indemnisé l’intégralité des parties civiles, il n’a JAMAIS prémédité son acte et a toujours fait montre de culpabilité et n’a jamais dit que son acte était louable →→→ selon toujours la secrétaire d’État de rien du tout Schiappa il n’aurait plus le droit de donner des concerts de vivre … avec boycott et des manif de zbel féministes sur ordre meRdiatisées à outrance alors qu’il a payé sa dette et a été condamné.
    Elliott Smith chanteur américain assassiné par sa compagne à coups de poignard dans la poitrine, déclaré « suicidé » si si SANS BLAGUE dans tous les meRdias.
    Et enfin pour illustrer encore à merveille cette tartufferie : ces féministes friandes de #balancetonporc zbel et cie et bien AUCUN # pour la défense des droits des Palestiniennes incarcérées illégalement dans les geôles israéliennes dans des conditions INHUMAINES et qui subissent des violences physiques morales et SEXUELLES …. Une fois que l’on a dit ça on a tout dit.
    Encore une fois excellente contribution.

      Anonyme
      29 janvier 2020 - 20 h 18 min

      Je vous conseille de vous mettre à écrire votre histoire pour plus tard la publier. Il faut lever le voile sur ces choses, cela aidera tout le monde par la suite mais ne réparera pas ce que vous avez vécu. Les femmes détruisent d’abord toutes les femmes qui ne jouent pas les princesses victimes. Rien n’est pire que le féminisme pour les femmes. Quant à la jalousie féminine, c’est pire qu’une bombe. Toutes les femmes qui ont souffert de ces femmes-là le savent.

      Anonyme
      30 janvier 2020 - 6 h 13 min

      Par contre jamais un mot de compassion de votre part envers les militantes algériennes du Hirak qui ont été injustement incarcérées.

        Anonyme
        30 janvier 2020 - 7 h 16 min

        Les gens ne savent plus lire ! C’est fou !!!

        Il parle de son expérience avec des femmes particulières dans un milieu particulier. Quel est le rapport avec les algériennes emprisonnées ?
        Il parle d’une expérience qui l’a marqué et vous, au lieu d’écouter ce qu’il a à dire sur ce qu’il veut dire, vous le renvoyez sur un autre sujet et lui demander pourquoi il ne parle de ce que vous voulez parler et de ce que vous voulez entendre.

        Mais pas étonnant que les gens se bouffent le nez aussi vite, on ne veut plus écouter mais avoir raison (!!!!) : apprenez à écouter quand une personne dit « j’ai vécu.. » et non dire « oui, mais pourquoi vous n’avez pas vécu ça » ??? Il y de quoi devenir fou avec ce genre de diversion des sujets.
        Vous êtes sérieux quand vous faites une diversion pareille ???
        Vous ne pouvez pas etre attentifs à autre chose que vous, vos certitudes ? Mais le cadeau que vient de faire Khider est important, ceci : « je vous montre la lune, ne regardez surtout pas mon doigt ».
        Quand les femmes réaliseront que les hommes aussi sont comme elles dans leur nature (parfois plus sensibles que les femmes eh oui oui car ça c’est l’autre non-dit…) mais qu’ils l’expriment autrement, ce jour-là nous aurons fait un grand pas.
        Les hommes ne sont pas les ennemis des femmes, ils sont justes comme les femmes, mais l’expriment différemment.

        Autre danger du féminisme et de toute la théorie du genre : on veut des gens pareils, l’unification totale, des hommes efféminés et des femmes masculinisées, des produits industriels.
        Pour ce qui ne l’aurait jamais remarqué : plus les gens se ressemblent et plus la violence s’accroît. La différence mais surtout l’accepter est la CLEF de la baisse de la baisse des frictions, à condition qu’on sorte de sa tête.
        Autre chose encore : la misère sexuelle bat son plein partout même en Occident. Or la sexualité est un besoin fondamental comme manger, boire, dormir, marcher. L’un des plus grands malheurs humains c’est de ne pas admettre que la nature humaine les tient du début de leur vie jusqu’á leur fin. Pareil la sexualité est une lutte de pouvoir quand elle pourrait aider les gens à se calmer. Les femmes veulent des hommes comme elles les veulent et les hommes veulent des femmes mais comme ils les veulent. Chacun veut rencontrer un film, mais pas la vraie personne en face. Quand le film est fini chacun est déçu que la vraie personne ne soit pas aussi bien qu’ils l’ont voulu.

        Le capitalisme veut tout régenter. Les sites de rencontres sont nés de l’envie de faire de l’argent. Vendre du pain, des sacs, des balais ou des relations c’est d’abord faire de l’argent.heureusement que le capitalisme ne peut pas tout contrôler et que les sentiments peuvent exister même dans un moyen aussi financier

        Anonyme
        30 janvier 2020 - 14 h 15 min

        c’est quoi ce truc : hommes et femmes sont emprisonnés.
        vous croyez que les femmes et les enfants dont le mari et le père sont emprisonnés sont en hôtel de luxe en prison juste parce que c’est des hommes ???
        réfléchissez un peu, vous sexualisé ou genderisé (on sait plus quoi dire) un problème qui est un problème de citoyenneté

        vous devriez lire le livre « la servitude volontaire » et vous comprendrez ce que veut dire ce texte, ne tombez pas dans le panneau de « la plainte obligatoire »

        Il y a des pépites de textes sur AP et nous on en est au stade de : tu es mauvais si tu me contredis

        réfléchissez

          Anonyme
          1 février 2020 - 3 h 25 min

          Réfléchissez ?? Ahaha
          Réfléchir sur les délires d’Elephant Man, la Troll de service.
          Une fois elle a dit que c’étaient des flics qui avaient cherché à l’écraser avec une voiture bélier, une autre fois c’était le fils d’un Turc, et maintenant elle dit que c’est sa chef qui voulait l’écraser.
          Ce que je constate, c’est qu’à chaque fois qu’il y a eu des articles dénonçant des choses qui ne vont pas au niveau du pouvoir en Algérie, elle cherche à détourner le sujet.

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