Une contribution de Ramdane Hakem – Aux racines du nom de l’Algérie

Alg racines
Les termes Algérie et Algériens ont été introduits à compter du 14 octobre 1839. PPAgency

Par Ramdane Hakem – Alors qu’une inquiétude grandissante quant au devenir du pays se fait sentir, et que d’aucuns s’interrogent sur le sens même de leur appartenance à l’Algérie, je me suis amusé à creuser l’origine de ce vocable. Certes, les racines de l’Algérie remontent très loin dans l’histoire du Nord de l’Afrique : «Les Berbères nous paraissent présents, dès la plus haute Antiquité, dans le pays où nous les trouvons aujourd’hui ; ils étaient alors connus sous les noms de Numides, Maures, Gétules et, plus globalement, Libyens. Ces populations étaient là avant les premiers intervenants historiques que furent les Phéniciens, fondateurs d’Utique, Lixus et Carthage.» [1].

La constitution en nation spécifique des habitants du Maghreb central est toutefois très récente et intimement liée aux bouleversements introduits par la colonisation française, à partir de 1830. On peut dire que l’Algérie n’existe vraiment comme nation spécifique qu’à partir de 1962, année de son indépendance.

Jusqu’à la Première Guerre mondiale (1914-1918), le terme d’Algérie, identifiant aujourd’hui la nation et l’Etat algérien, n’avait pas de sens pour les «indigènes». Ou, s’il en avait un, ce sens était éloigné de celui que nous lui prêtons communément. Il désignait les pieds-noirs, les Européens d’Algérie, comme l’écrit Mohamed Harbi : «Jusqu’à la fin du XIXe siècle, l’expression peuple algérien désignait les Européens. (…) C’est plus particulièrement entre les deux guerres que le terme Algériens sera employé pour nommer ceux que le discours colonial définissait alors par leur confession (les musulmans), leur langue (les Berbères, les Arabes) ou leur région (les Kabyles, les Mozabites, les Chaouia, etc.)» [2].

Le discours colonial n’était pas le seul à désigner par ces termes les autochtones d’Algérie ; eux-mêmes ne s’identifiaient pas autrement. Jusque dans les années 1930-40, l’idée nationale telle que nous la concevons aujourd’hui n’avait pas encore mûri dans les consciences : «Il faut bien réaliser l’état d’inconscience dans lequel nous étions. Je crois que la majorité des gens qui habitaient l’Algérie – je ne dis pas les Algériens – étaient dans un état d’inconscience. Il y avait une minorité d’hommes politiques qui avaient conscience de ce qu’ils étaient, de ce qu’ils voulaient, mais la majorité des habitants, à mon avis, non. Et pour moi – si je dois retrouver un sentiment de mon enfance –, c’était l’évidence que je n’avais pas d’autre pays. Ce pays était tellement mien que je ne pouvais même pas m’imaginer dire que c’était le mien. Je n’en avais pas d’autre. Mon pays, c’était la place de la Lyre, c’était Alger.» [3].

C’est, paradoxalement, l’administration coloniale qui a introduit l’usage des termes d’Algérie et d’Algériens à compter du 14 octobre 1839. A cette date, le ministre de la Guerre – la France ayant délibérément violé le traité de paix signé avec l’Emir Abdelkader – avait décidé d’appeler «Algérie» les nouvelles «conquêtes» d’Afrique du Nord : «Le pays occupé par les Français dans le Nord de l’Afrique sera, à l’avenir, désigné sous le nom d’Algérie. En conséquence, les dénominations d’ancienne Régence d’Alger et de possessions françaises dans le Nord de l’Afrique cesseront d’être employées dans les actes et les correspondances officielles.» [4].

Les Français n’ont toutefois pas inventé le mot d’Algérie. L’Emir Abdelkader a parlé de «Watan El-Jazaïr» dans une (une seule !) de ses lettres aux juristes de Fès, en 1836 [5]. De même, et surtout, il y avait la Régence et la ville d’Alger, terme générique dont seront issus les mots d’Algérie et d’Algériens.

La Régence d’Alger, c’était ainsi que les Turcs – qui régnèrent sur la région de 1515 à 1830 –appelaient les territoires, au centre de l’actuelle Algérie, passés sous leur domination. L’Est du pays était sous l’autorité du bey de Constantine, tandis que l’Ouest était sous la domination du bey du Titteri. Ces différents beyliks étaient, selon les époques, plus ou moins rattachés au dey d’Alger, lui-même plus ou moins dépendant de la Sublime Porte.

Certains ont cru avoir trouvé dans ce règne ottoman les origines de l’Etat algérien [6]. Il reste que les Turcs, pas plus que les Français, n’ont inventé le terme d’Alger. Alors, d’où vient ce mot dont l’extension a donné Algérie et Algériens ?

La thèse d’une origine arabe est souvent citée par les historiens, déjà à l’époque coloniale, puis après l’indépendance du pays.

Selon une première hypothèse, ce nom aurait été donné au VIIe siècle à toute la région du Maghreb par les Arabes conquérants, le terme se serait par la suite, en quelque sorte, restreint à la partie centrale de l’Afrique du Nord : «Les Arabes, qui vinrent de l’est, baptisèrent Djezira El-Maghreb, l’Île de l’Occident, tous les pays à l’ouest de l’Egypte et, plus proprement, Maghreb El-Aqça, l’extrême occident du Maghreb.» [7].

Une autre version considère que le vocable El-Djezaïr, signifiant «îles» en arabe, a été donné à la ville qui porte le nom par Bologhin, émir de la dynastie ziride, en raison des nombreux îlots présents dans la baie : «A l’époque romaine, cette cité s’appelait Icosium. Dans la seconde moitié du IXe siècle, le prince ziride Bologhin lui a redonné vie. Il l’a baptisée El-Djezaïr, les Îles, à cause de quatre îlots rocheux situés à quelques encablures au large. Sur l’un de ces îlots, l’Espagnol Pedro Navarro a fait bâtir le fameux Penon, forteresse dont les canons pointent dangereusement sur les murs de la cité.» [8].

Cette citation de P. Montagnon nous introduit à une connaissance, nous semble-t-il, plus proche de la vérité. Effectivement, Alger a été construite par Bologhin Ibn Ziri, émir de la dynastie ziride, sur les ruines de l’ancienne Icosium, un parmi les nombreux comptoirs puniques [9] édifiés par Carthage sur la côte nord-africaine. Les Zirides régnèrent au Maghreb central entre 973 et 1060. Mais le terme d’Alger ne renvoie pas à un vocable arabe signifiant «les îles».

Ziri Ibn Manad était le chef d’une tribu sanhadja de la Petite Kabylie qui sauva, en 944, le calife fatimide El-Mo’iz assiégé à Mahdia, au sud de l’actuelle Tunisie, par l’insurrection d’Abou Yazid, dit «l’homme à l’âne». L’ambitieux calife chiite El-Mo’iz rêvait de régner sur l’ensemble du monde musulman à partir de la Mecque. Il conquit l’Egypte vers 970 et choisit de s’y installer. Bologhin Ibn Ziri, fils de Menad et chef de guerre reconnu, fut alors désigné comme émir du Maghreb. C’est lui qui fonda la ville d’Alger dont un quartier porte toujours son nom : Bologhin.

Ziri est le patronyme de la dynastie berbère de Kabylie qui édifia la ville d’Alger. «Izri» signifie la vue en tamazight. L’on en a tiré ziri (ou thiziri) pour le clair de lune auquel les Kabyles conféraient un pouvoir occulte. Il est possible que la tribu des Ziri tira son nom d’un culte qu’elle vouerait à thiziri, la lumière d’étoile. Elle fonda Alger en tant que capitale de toute l’Afrique du Nord. Telle est l’origine amazighe du nom de l’Algérie.

R. H.

[1] G. Camps, Les Berbères, Edisud, France, 1996, pages 11 et 12.

[2] Mohamed Harbi, séminaire, Sociologie de l’Algérie contemporaine, in Archives aquitaines de recherche sociale, département de sociologie, université Victor-Segalen, Bordeaux 2, numéro spécial 1996-1997, p. 48.

[3] D. Timsit, Algérie, récit anachronique, éd. Bouchène, 1998.

[4] P. Montagnon, p. 157.

[5] Pierre Montagnon, op cité, p

 

 

Comment (82)

    Algerien Pur Et Dur
    25 mai 2020 - 18 h 24 min

    @Ayweel
    19 mai 2020 – 21 h 19 min
    Comme je parle chaoui, j’ai pu suivre votre enchainement d’idees (train of thought). Pour moi, votre explication me parait encore plus pausible et plus digne que les autres. Reconnaissant que ce que je vais dire pourrait etre interprete par certains comme sauter du coq a l’ane mais pas par d’autres, je me rappelle ce debat que j’ai eu avec un ami tres proche, eleve lui dans un milieu occidental, et qui croit dur comme fer que sa civisation (western civilisation) est generatrice de toutes les civilisations; en fait il la croit etre le nombril du monde. On parlait ce jour la de la decouverte des ameriques commencant par Christophe Colombe qui a debarque en amerique latine ensuite du viking Eric le rouge qui lui a touche la terre ferme beaucoup plus au nord, du cote du Canada. Apres l’avoir ecoute « batifoler » minutieusement et sans interrompre, je fis une recherche rapide sur Internet pour lui demontrer que les habitants originaux des iles canaries (les indigenes) sont d’origine berbere. Ce qu’il ne savait pas. Je lui fis comprendre ensuite que le Maroc, aussi peuple de berberes, etait a un jet de pierre de ces iles sur le continent africain (un mot berbere qui vient d' »afri », il faut aussi le dire). Apres l’avoir convancu qu’il ne pourrait qu’y avoir des contacts maritimes entre ces iles et le Maroc, il me fut facile de lui rappeler que ces gens la n’avaient pas de GPS sur leurs embarcations, peut etre de fortune, et qu’il etait tres facile et donc tres probable pour beaucoup d’entre eux, se croyant a destination des iles canaries, de se retrouver perdu en plein ocean. Pour ceux qui ont survecu, leur terre d’arrimmage ne pouvait donc etre que les ameriques et cela bien, bien, et encore bien avant eric le rouge et christophe colombe. Pas etonnant que des chercheurs etonnes ont trouve des traces de genomes berberes en amerique du sud comme en amerique du nord. Je ne dis pas que nous sommes les ancetres des indiens des ameriques, mais il est tres probable qu’on ait contribue modestement a la constitution de leur genome. Ca lui a bouche un coin et c’est l’une des nombreuses raisons qu’on s’apprecie enormement (c’est un anglophone) au fur et a mesure de nos debats, malgre nos vastes differences culturelles et religieuses. Maintenant, en quoi mon histoire rejoint la votre? Contrairement a mon ami occidental qui croit que tout vient de l’occident (complexe de superiorite), beaucoup d’entre nous, au contraire, croient dur comme fer que rien ne peut venir de chez nous, meme pas le nom de notre propre pays (complexe d’inferiorite du aux occupations successives). Meme pas un effort, comme vous l’avez si bien fait, pour trouver une origine bien de chez nous au nom de notre propre pays. C’est surement du au fait que l’auteur de l’article et beaucoup de commentateurs ne parlent pas tamazight. Je ne m’etonnerai d’ailleurs pas qu’un jour on trouvera une origine arabe a un dicton bien de chez nous qui decrit for bien notre charactere d’algeriens: « ghat oula haffar (en chaoui). » (qui est devenu au fur des dires « maaza oula tarat ».) Merci pour votre explication ou saha eidek.

    Hmed hamou
    20 mai 2020 - 18 h 46 min

    @ Zaatar,

    « . L’être humain descendant de sapiens… (avec des) gènes de Néandertal et… (de) Denisovien… Alors que le terme origine… signifie le début de la chose… qui… a conduit à l’être dont on pose la question de l’origine… Je n’ai jamais compris ceux qui posent le problème des origines d’un être ou de quelque chose remontent le temps jusqu’à une date qui les arrangent. »

    Tu penses pas que les paléontologues ou plus exactement, le cas échéant, les anthropologues, qui étudient l’origine et l’évolution de l’homme, font exactement la même chose. Autrement pour quoi débuter l’origine de l’homme à homo-sapiens puisque on dit,la paléontologie dit, toujours d’après la théorie de l’évolution, que nos origines remontent jusqu’à la cellule originelle qui remonte elle aussi aux acides aminés de la soupe originelle… (que certains voient même venir de l’espace, des comètes qui tombent sur terre, d’où notre origine poussière d’étoiles,…)
    Et pour finir où… Pour finir zaatar , au big bang! Au commencement.
    Tout ça pour ça donc. tout se résume à ça, big bang. Un seul début à tout, une seule origine à tous. Donc, non seulement nous sommes tous des homo-sapiens mais au-delà, des mammifères,… Voire encore au-delà, des poussières d’étoiles,…
    Pourquoi des nom de peuples, pourquoi des langues, pourquoi des frontières, pourquoi des guerres, pourquoi l’esclavage, …
    Oui, pourquoi débuter l’origine de l’homme à homo-sapiens seulement, puisque ça remonte encore plus loin, très loin même ? Pour nous distinguer de nos frères les primates (homonoides) avec qui il partage un ancêtre ou bien pour nous désolidariser des grounouilles (amphibiens et batraciens) avec qui homo-sapiens partage aussi un ancêtre ancien , ou alors pour nous distinguer des moutons (autres mammifères ) avec qui on partagerait un ancêtres commun aussi (sachant que homo-sapiens est un mammifère avant tout (un animal qui allaite)); pour quoi donc zaatar ? pour continuer à faire des mechouis des pauvres moutons (nos frères donc) et continuer à les sacrifier sans remords et sans problèmes de consciences pour ne pas se dire cannibales mangeant leurs propres cousins (les moutons, des cousins lointains certes, mais néanmoins, d’après le Darwinisme, des cousins quand même)….
    Ce que je veux dire par là. Il n’y a rien à comprendre, Chercher ses origines est simplement humain…et placer l’origine, le point de départ d’une chose , ou d’un évènement répond toujours à des considérations subjectives, point objectivité (sauf pour les faibles, par opposition aux puissant qui l’intérêt prime) . Chacun cherche donc à marquer le début, là où il serait à son avantage et jamais à son désavantage, soit par la dissuasion ou par la force…
    Autrement nous sommes tous frères et sœurs, et partant de cette conviction, on doit être tous des végétariens et renoncer à manger des animaux pour éviter de manger un cousin, un mouton, un poulet, …
    C’est humain, c’est juste humain,…

    Ps. Le Darwinisme nous apprend que nous sommes tous frères et sœurs, nous descendrons tous d’un ancêtre commun, mais en meme temps le moteur de l’évolution est la survie au plus fort… La Selection naturelle !

    Tu comprends toujours quelque chose ?

      Zaatar
      20 mai 2020 - 22 h 13 min

      C’est exactement ce que je dis et que j’ai répété à plusieurs reprises ici sur AP des que la question des origines des un et des autres est mise sur la table. Nos atomes ont tous été fabriqués dans les creusets stellaires et on est tous issues du même point de départ..

    Hmed hamou
    20 mai 2020 - 13 h 36 min

    Dire que l’Algérie tire son nom de ses îles: « al djazaïr ou al » « djozor ( île au pluriel en arabe). Admettans. Mais vous ne trouvez pas anormal de continuer d’appeler un pays d’une superficie de presque 2,4 million de kilomètres carrés (aujourd’hui ) toujours par apport à un petit cailloux insignifiant, un nom que les arabes nous ont donné il Ya 14 siècles. Si les Arabes ont appelé notre pays » al djazaïr et trouve que c’est pertinent, à l’époque (pas aussi grand) de le nommer ainsi pour un îlot riquiqui au large et j’en doute et pour cause. Les arabes sont venus par terre ferme (ils sont pas venus par mer, ils aiment trop voyager à dos de chameaux qu’à dos de bateaux !), donc ils sont venus par terre ferme (par la tunisie ou la libye (libye moins probable), puis ils sont arrivé chez nous, ils nous ont conquis, ils ont dansé un peu, puis…ils se sont rappelés qu’ils savent plus où ils sont, dans ce pays sans nom ! Pour nous nommer ils se sont dits: mais comment on va appeler ces barbares maintenant ? Un parmis eux, le plus petit, le plus malin au regard perçant , en regardant vers le large il a aperçu quelque chose qui ressemble à un cailloux ! Euh…je sais que, comme tout le monde, j’ai forcé un peu sur le vin hier soir et je vois encore flou mais je crois pas dire une bêtise si vous disais, comme qui dirait qu’il y a une îles là bas… Et voilà, c’est comme ça que tout à commencé avec notre al djazaïr ! Ça c’est la première hypothèse et vous laisse juger.
    Autrement, combien de pays par qui sont passés nos arabes avant d’arriver à alger et son petit îlot si particulier au point qu’elle va lui devoir son nom; oui comme bien de pays ils ont traversé, des pays qui ont plus d’îles, en nombre, et beaucoup plus grandes, à commencer par L’Égypte avec ses innombrables îles et îlots , tout le long de la mer rouge, et dont les plus fameuses sont celles restitués récemment à l’Arabie saoudite !! Ils ont dû donc appelé en priorité L’Égypte par al djazair, et juste titre !
    Il Ya aussi la Tunisie, par où ils ont dû passer encore avant d’arriver chez nous, qui possède des îles encore plus grandes, notamment celle justement à l’Est du pays, en face de sfax, qui se nomme d’ailleurs île al sharqui…
    Moralité de la historia, ou de la hysteria , que le nom de notre pays al djazaïr soit tiré d’Alger qui tirerait à son tour son nom d’icosium (îles, époque romaine) ou djozor (îles en arabe, donc avec l’arrivée des arabes)… Cest la même chose , cela changerait quoi à notre petite l’histoire, car la grande y en a pas!? En effet, quelle fierté en tirer des unes ou des autres… Toutes nous viennent des étrangers. On se dit qu’on a vécu là de puis le Big bang, même un peu avant car on y a assisté, au bouquet final, mais on est pas foutu de nommer sa propre terre soi-même !!! Et on continue aujourd’hui encore dans tout les domaines . Quand Certains disent l’Est c’est mieux, d’autres disent non l’ouest c’est encore beaucoup mieux, où inversement… On est donc condamné à suivre un camp où un autre.
    On a toujours subi l’histoire et aucun signe de changement à l’horizon…

    ZORO
    20 mai 2020 - 11 h 38 min

    @HMED HAMOU 19 mai 21h 42
    Ya si hamou ,durant ces quarante dernières annees,je lis de nombreux ecrits a travers lequels leurs auteurs essayaient de faire le l algerien un etre immuable ,figé qui essaye du point où il est né et qu il na jamais quitté , de s accaparer et de dominer le monde
    .Comme je l ai déjà dit concernant l histoire de l Algerie ,je préfère la puiser du terroir et de la poésie elle me parait plus unificatrice et réconfortante.
    Ceci dit et puisque tu raffoles ya Si HAMOU de mes anecdotes en voila une sur le sujet.
    Au cours des années cinquante ‘dans notre quartier arabe que la France appelait Village Negre, ensuite faubourg bugeaud, et que nous, appelions graba, notre voisin musicien et poete avait écrit et chanté un poeme a l honneur d un des marabouts de notre ville en locurence sidi Amar.
    L auteur disait dans cette chanson.
    Sidi Amar dellali nzourek ya del ouali
    Fi hammar ( coline ) gbali ( devant moi ).
    Quoique n etant pas originaire de la region, le nom de l auteur dont la famille prefera Sidi bel abes pour y vivre, restera gravé dans la memoire des anciens belabesien a travers cette inoubliable chanson qui eut un énorme succes , dédiée a sidi amar l un des nombreux marabouts de notre ville Sidi bel abbes.
    Notre voisin artiste avait pour nom: KADRI DZIRI.
    Voilà donc un Algerien DZIRI qui chante SIDI AMAR A SIDI BEL ABBES , C est de cette ALGERIE que ZORO parle..
    SigneZORO. .Z…

    Benali
    20 mai 2020 - 10 h 16 min

    On trouve sur le site de la mairie d’Alger une histoire de la ville. d’autres part le « penon d’Alger » et les ilots qui ont donné leur nom à la ville sur Wikipedia. Voici un résumé:
    Vers l’année 950, le Roi Bologhine Ibn Ziri Ibn Menad Al-Senhadji restaura la ville et lui donna
    lui aussi, le nom d’El-Djazaïr, par référence aux quatre îlots qui faisaient face au rivage. Elle
    était appelée assez souvent « Djazaïr Béni Mezghenna » qui veut dire « les îlots des Béni
    Mezghenna » du nom de la tribu Berbère Senhadjienne « Aït Mezghen » qui s’y été installée à
    l’époque. A l’est du Maghreb central, il y avait les tribus berbères Ketama, à l’ouest les tribus
    Berbères zénata et au centre les Senhadja ou les Zénaga (Iznagen). La tribu des Senhadja
    était composée des : Metennan, Boutouïa, Béni Djad, Béni Ouannour’a, Béni Osman
    Telkata Aïfaoun et les Béni Mezghenna (Imezghen).
    Les Andalous sont venus s’établir à Alger en deux vagues :
    -Celle des « Mudéjars Andalous » qui sont arrivés juste après la chute de Grenade, à la fin
    du XVème siècle, en 1492. Il s’agissait d’Andalous vivant sous autorité Chrétienne en
    Espagne, au moment du règne de Ferdinand d’Aragon.
    -Celle des « Morisques Andalous » qui sont arrivés entre le début du XVIème siècle et le début du XVIIème siècle, en 1609. Il s’agissait d’Andalous qui ont été christianisés de force durant les règnes de Ferdinand d’Aragon,
    Certains d’entre eux, surtout les habitants d’Al-Djazair, participèrent à la course maritime en Méditerranée contre l’Espagne, bien évidemment : C’est la raison pour laquelle, en 1510, les espagnols se sont établit dans le penon d’Alger et y ont installés une batterie de canons pointés vers la médina d’Alger. Lors du flux migratoire des tribus arabes des Béni Hilal de l’est vers l’ouest, la tribu arabe des Thaaliba est venue s’installer dans la région. Le nom de cette ville est devenu « Al-Djazaïr » . Au cours du XVème siècle, c’est la tribu Arabe des Taaliba, qui gouverna la ville d’Alger jusqu’à l’arrivée de Baba Aroudj en 1515 à Alger. De cette tribu est issu le célèbre penseur, théologien et soufi de la ville d’Al-Djazaïr, Sidi Abderrahmane de son vrai nom Ibn Zeïd Ibn Makhlouf Abderrahmane El-Thaalibi. Il est né en Kabylie.
    En 1510, les Espagnols sous le règne de Ferdinand le Catholique, assiégèrent la ville d’Alger
    et bâtirent sur un îlot de la baie d’Alger une forteresse, appelée le Peñon d’Alger. Cette
    citadelle en bordure de mer était destinée à : éviter qu’Al-Djazaïr serve de refuge pour les Corsaires, bombarder la ville d’Alger et à empêcher son approvisionnement, en cas de besoin.
    en faire un pont, une étape, dans son expansion vers la rive sud de la Méditerranée.
    En 1516, le Cheikh d’Alger Salem Al-Toumi et la population d’Alger, demandèrent de l’aide à
    Baba Aroudj et Kheir-Eddine contre les agressions espagnoles et surtout contre la
    construction du Peñon d’Alger. En 1516, Baba Aroudj après s’être déplacé sur Alger, devient
    maître de la ville, suite au décès du Cheikh Sélim Al-Toumi, gouverneur de la cité,
    vraisemblablement mort assassiné. Kheir-Eddine, qui succède à la gouvernance d’Alger,
    après la mort de son frère Baba Aroudj en 1518, fait face à de nombreuses attaques
    espagnoles. La ville d’Al-Djazaïr est attaquée par des expéditions espagnoles. Deux fois celles-ci tournent au désastre. Le Dey Kheir-Eddine Barberousse détruisit la forteresse du Peñon d’Alger, le 17 mai 1529 et y construisit la jetée qui porte son nom <>, reliant les îlots à la terre ferme grace aux débris du fort et constituant ainsi le premier abri du port d’Alger en 1529. Durant cette période, Alger fut une place forte disposant d’une flotte redoutable qui lui confère une autorité sans égale dans la Méditerranée.
    .

    Abou Stroff
    20 mai 2020 - 8 h 46 min

    je pense que cette histoire d’origine indique un dilemme qui se résume à une quête de « qui sommes nous? » qui, objectivement devrait nous ramener à l’apparition de l’homo-sapiens, il y a 200 000 ans.
    en d’autres termes, toute analyse qui n’aboutit pas à la conclusion imparable que tous les humains « descendent » de l’homo-sapiens ne peut être qu’une construction idéologique et uniquement une construction idéologique.
    en effet, cette quête de l’origine camoufle et escamote la question primordiale de « vers où allons-nous? » qui est plus pertinente pour autant que le mouvement envisagé soit notre réintégration dans l’histoire humaine qui se fait, pour le moment, sans nous.
    j’ajoute que cette histoire de notre origine est à mettre sur le même plan idéologique que cette quête permanente de certains idéologues à « démontrer » que les découvertes et conquêtes scientifiques sont, par un curieux hasard, mentionnées par la coran.
    en effet, essayer de confirmer et de justifier sa foi (un sentiment qui ne repose sur aucune base scientifique) en introduisant les découvertes scientifiques me semblent indiquer une faiblesse de la foi pour ne pas dire un doute certain concernant les dogmes auxquels on croit.
    moralité de l’histoire: des tubes digestifs ambulants dont la seule activité est de manger pour ensuite déféquer ont nécessairement besoin d’occuper leur esprits à pratiquer l’onanisme sous toutes ses formes. en effet, le peu de connexions neuronales qu’ils possèdent doivent bien leur servir à se donner l’impression qu’ils sont des êtres humains, n’est ce pas?

      Anonyme
      20 mai 2020 - 9 h 37 min

      NON !

      NON
      20 mai 2020 - 9 h 46 min

      NON! Tu as tout faux. Sinon mais alors pourquoi il y a des pays, des peuples des sexes des appellations de tous genres des catégories des types des classes …..et surtout pourquoi tu commentes avec un pseudonyme faisant comprendre aux autres que tu as un fils ou une fille ( donc une ramification de ton petit arbre individuel) en insistant en plus sur son nom Stroff !!!!!
      Tu es la juste pour taghnanet, d ailleurs on ne t’as jamais vu approuver quoique ce soit de la part des autres, tu es toujours contre tout le monde et toujours entrain de jouer le donneur de morales. Alors NON, tu as tout faux même religieusement, et si tu insistes je peux t en ramener des preuves.

        Merouch
        20 mai 2020 - 13 h 43 min

        Et taghanant takhassart c’est connu !

      Zaatar
      20 mai 2020 - 11 h 44 min

      Cher Abou Stroff je te salue,
      Tu as parfaitement raison. Clair net et précis.

        Levkhour
        20 mai 2020 - 13 h 21 min

        Cher zaâter je te salue,
        Tu as tout faux, vrai net et précis.

          Zaatar
          20 mai 2020 - 15 h 21 min

          Cela voudra tout simplement dire que tu ne connais rien de l’histoire de l’humanité, et des hommes préhistoriques qui ont conduit dans leurs évolution à la venue de sapiens et de l’être humain d’aujourd’hui sur la planète. Je te recommande de jeter un œil sur cette tranche de l’histoire et des résultats des recherches de l’homme moderne sur son passé. Tu apprendras pas mal si tu as l’esprit ouvert et non volatile comme levkhour.

      Hmed hamou
      20 mai 2020 - 16 h 10 min

      @ Abou Stroff,

      l’homo-sapiens, d’il y a 200 000 ans, est notre ancêtre commun, au sens Darwinien (car il faut laisser la place à Adam aussi, sinon ZORO va nous le rappeler pendant des semaines). Mais, maintenant que nous savons tous que nous descendons, tous, toute l’humanité, de Homo-sapiens, comment arriver à faire émerger un homo-sapiens-algerianus ou un homo-sapiens-dzirianus peu importe l’appellation? Un consensus, mais un consensus dont tout le monde se reconnaîtrait et dont la main de l’étranger quelle qu’elles soit et d’où qu’elles vienne n’aura pas son mot à dire. On fera une ratatouille géante qu’on appellera tchektchouka ou autre , elle vaut ce qu’elle vaut, mais on la mangera tous ensemble, et tout le monde la trouvera bonne, et celui qui osera dire
      qu’elle n’est pas assez bonne on lui accrochera une casserole qu’il sera obligé de traîner derrière lui des jours et des jours…
      Comme ça, si on doit être fier, avec notre fierté légendaire, d’une bêtise autant qu’elle soit la nôtre de bêtise, une bêtise de notre invention(pourtant c’est pas qui manque)…

        Abou Stroff
        21 mai 2020 - 8 h 08 min

        mister H. H., je vous salue!
        je crois que l’homo-sapiens-algerianus émergera lorsque les algériens du moment retrousseront leurs manches et se mettront à travailler et à produire. cette activité (le travail qui débouche sur le production) est la seule activité qui distingue et différencie l’être de l’homme des ses cousins primates (et de tous les êtres vivants, sans exception). en travaillant, en produisant et en innovant, les algériens du moment produiront de nouveaux concepts, enrichiront leur langue qui, sans aucun miracle, et sans faire appel à la mythologie, s’imposera au niveau local pour affronter les autres langues, sans aucun complexe.
        PS1: bien que je ne crois guère à l’existence d’un gus appelé adam, je suis prêt à accepter que l’adam de la religion est aussi l’adam de l’anthropologue. après tout, le déluge de noé, peut être expliqué par la déferlante d’un tsunami (causée par un tremblement de terre, par exemple), n’est ce pas?
        PS2: je crois qu’un langue ne s’impose pas par décret et par conséquent, on aura beau inscrire l’arabe, le tamazight et d’autres choses encore dans tous les textes juridiques, si les algériens en remettent pas en cause leur état de tubes digestifs ambulants, ils continueront à tourner en rond en attendant d’être pris en charge par la faucheuse.

    Mohamed Anis
    20 mai 2020 - 2 h 10 min

    Salem M.Ramdane
    J’apprecie beaucoup votre contribution, moi meme je fais mes recherches et j’espère que les Algériens vont prendre conscience de leur longue histoire. J’aurai juste besoin de clarification pour votre info a propos de l’Emir disant ‘Watan Al-Jazair’ si vous pouviez donner le livre/ page exacte de cette citation je vous serai reconnaissant.
    Je vous encourage VIVEMENT a créer une chaine Youtube afin d’éduquer les malheureux qui ne connaissent que la guerre de libération.

    Anonyme
    20 mai 2020 - 2 h 07 min

    Algérie ; vient naturellement du mot Alger capitale de l’Algérie depuis 1519;les espagnols appelaient Alger Algier et les italiens Algeri;pour les français il y a eu près de 68 accords et traités entre l’Algérie et la France de 1529 à 1830 et l’Algérie y était décrite République d’Alger ou Etat d’Alger alors que dans tous ces traités et accords écrits tous en Arabe pour la parti algérienne et non en turc on parlait de ELDJAZAIR, Alger apparaît au 17eme siècle dans la littérature française notamment dans la pièce de théâtre « les fourberies de scapin de Mollière. Mieux vaut se référer aux historiens algériens comme Sahli,Tewfik el Madani ou Abferahmane ell Djilali;et comme l’écrivait Sahli,il est temps de décoloniser l’histoire;un autre livre à consulter de Ferhat Abbas « la nuit coloniale »La nouvelle école historienne algérienne ne néglige pas l’origine du nom de Ziri et pas des iles a Alger l est prononce dziri et dzair et non jazairil

    Zaatar
    19 mai 2020 - 22 h 27 min

    Encore des contes à dormir debout. Mais pourquoi bon dieu parler d’origine et ne s’arrêter qu’à une date en remontant le temps? Pourquoi dérouler à partir du 7ème siècle et pas avant? Pourquoi ne pas remonter l’histoire de l’Afrique 4 à 5 millénaires avant? Et pourquoi pas plus antérieur ? Origine signifie bien cela je crois non?

      Anonyme
      20 mai 2020 - 4 h 54 min

      Parfaitement raison le zaatar.

      Abou Stroff
      20 mai 2020 - 8 h 17 min

      Zaatar, je te salue!
      je suis tout à fait d’accord avec toi!
      pourquoi certains gaspillent ils leur précieux temps à rechercher une quelconque origine des algériens alors que la science (l’anthropologie et la génétique, particulièrement) nous confirme quand tous les êtres humains sont des homo-sapiens (apparus il y a 200 000 ans en afrique)?
      j’ajoute, que les recherches récentes montrent que nous possédons des traces de des gènes néandertaliens et des gènes dénisoviens (il parait que certaines peuplades -du moyen-orient particulièrement- possèdent, en outre, des gènes de l’homo-erectus mais cela est une autre histoire).

        Zaatar
        20 mai 2020 - 11 h 41 min

        Cher Abou Stroff je te salue,
        Parfaitement, c’est ce que je viens d’écrire sur un fil à cité. L’être humain descendant de sapiens a bien une proportion de gènes de Néandertal et une proportion du Denisovien dont on vient tout récemment de le mettre en évidence (mars 2020). Je n’ai jamais compris ceux qui posent le problème des origines d’un être ou de quelque chose remontent le temps jusqu’à une date qui les arrangent. Alors que le terme origine lui meme signifie le début de la chose ou de l’événement qui, dans son évolution, a conduit à la chose ou l’être dont on pose la question de l’origine. Aussi, en parlant d’ethnies, de peuples, de races…etc, toute cette fantaisie à bien une origine et tout indique scientifiquement que c’est la même origine pour tous, aussi bien en remontant le temps jysqu’a la préhistoire et l’homo-erectus et l’Australopithèque, ou bien jusqu’au premières lueurs stellaires ou dans les creusets des étoiles nos atomes ont été fabriqués. Cela fait taire toute polémique quant la différenciation des êtres humains et des êtres vivants sur terre en général. Et on peut généraliser cela à toute la matière visible du cosmos.

          Krimo
          20 mai 2020 - 22 h 21 min

          Zaatar,

          T e casses pas la tete sur l’origine. Depuis que l’homme s’est rendu compte du “je pense donc je suis” il se foule la rate sur le sujet. Quelqu’en soit l’approche religion – sciences anthropo et paleo ……. ramene a se convaincre que l’on pourrait toucher l’horizon. Darwin a bave sur cette question et d’ailleurs sa conclusion est d’une prudence qui n’a toujours pas dit son nom s’apparentant quelque peu au comle du géologue : “il voit la faille sur le terrain et ne la voit pas au lit “

          Bien a toi

          Krimo
          21 mai 2020 - 6 h 35 min

          Zaatar,

          Bonjour,

          Cela fait des lustres que l’homme se foule la rate sur le sujet en accord avec le degre d’evolution des sciences du moment mais un autre aspect est aussi determinant l’a priori sur les propres convictions de l’analyste, qui pourrait tanguer entre Science et Foi.
          D’ailleurs note la prudence de Darwin sur le sujet alors que pour d’autres especes vivantes sa theorie tient :  » Cela dépend du sens que nous attachons au mot Homme. Dans une série de formes partant d’un être à l’apparence simienne et arrivant graduellement à l’homme tel qu’il existe, il serait impossible de fixer le point défini auquel le terme ‘homme’ devrait commencer à s’appliquer. »

          Lucy et Toumai un gap de plus de 4 millions d’annees entre les deux et bientot un autre os fossilise dans les sediments d’age intermediaire risquera de tout foutre en l’air au titre de developpement de nouvelles technologies usites pour l’analyse et ainsi de suite …… et c’est pas demain la veille. Beaucoup s’egarent et recourent meme a la science fiction pour etayer leur hypothese.

          Bien a toi

    Anonyme
    19 mai 2020 - 22 h 27 min

    J’ai du mal à croire que le nom de la ville d’Alger serait d’origine arabe en référence à des hypothétiques îles (qui auraient comme par hasard disparues entre temps).
    Les îles se dit « djouzour » (al djuzur) en arabe. Alors qu’on dit toujours dzaïr ou dzayer pour désigner Alger.
    Je pense qu’il est plus probable que le nom dérive du nom de la tribu amazighe Ziride qui ont réhabilité la ville en en faisant leur capitale.
    Je trouve que le nom a plus de proximité avec Bologhine Ibn Ziri (Bolghine nath Ziri en Amazigh).
    Dzaïri étant un habitant de la ville de Ziri.
    Le nom Djazaïr est une peut-être une déformation de Tazaïrit (qui signifie en amazigh « celle des Zirides », sous-entendu la capitale des Zirides).

    en tout cas les français appelaient "algériens" en 1725
    19 mai 2020 - 21 h 55 min

    déjà en 1750 un siecle avant la colonisation française voilà comment s’appelait  » l’algérie », « algeria », « algieri », « gézair », « el djazair » était dans ce livre écrit en « 1750 » bien avant la colonisation française, d’après ce livre écrit en 1750 et dont le titre est État général et particulier du royaume et de la ville d’Alger, de son gouvernement, de ses forces de terre et de mer … donne moi un livre histoire du maroc qui parle de puissance maritimes et terrestres? Ne cherche pas car vous un pays de bergers! http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55342281/f39.image.r=%C3%A9tat%20g%C3%A9n%C3%A9ral%20de%20la%20ville%20d'alger
    le mot algériens pour désigner les algériens était déjà utilisé par la france même en 1725 avec ce livre Histoire du royaume d’Alger avec l’état présent de son gouvernement, de ses forces de terre & de mer, de ses revenus, police, justice politique & commerce / par M. Laugier de Tassy,… page 301 Auteur : Laugier de Tassy, Jacques Philippe. 1725
    ou ça « le roi du maroc avait plusieurs fois insulté les algériens, et les avait traité avec peu de ménagement et même avec hauteur, chaaban dey résolut d’aller en personne se venger. Il partit avec 6000 turcs de sa milice et environs 4000 maures, il entra dans le royaume de fez, où le roi du maroc vint aussi en personne avec 60,000 hommes. Les Algériens bâtirent et taillèrent en pièce l’avangarde de cette nombreuse armée, qui prit l’épouvante et se débanda. De sorte que le roi du maroc voyant la lâcheté de ses troupes, et le succès des Algériens, et désespérant de les rallier, fut obligé de demander la paix. » « Le dey pouvait largement conquérir le maroc mais a plus peur des maures (algériens) que des marocains ». http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b525059762/f329.item.r=etat%20du%20royaume%20d'alger.zoom
    et en fin le chant sur RAÏS HAMIDOU traduit de l’arabe:
    L’éclair brille, la foudre gronde ; Pourtant l’azur des cieux n’est terni d’aucun nuage; – L’air est transparent, l’horizon limpide; – La brise légère caresse la mer bleue, dont les molles ondulations miroitent au soleil en paillettes étincelantes.

    II Que tes yeux étonnés, voyageur, cessent de chercher le sombre nuage qui laisse échapper le tonnerre.- Ce n’est pas au firmament que tu trouveras ce formidable orage, c’est sur la mer.
    III Vois-tu là-bas ? C’est la frégate du raïs Hamidou ! Sa majestueuse voilure, qui se gonfle légèrement sous l’effort de la brise, est dorée par le soleil. Son pavillon et sa flamme flottent noblement dans les airs. Elle fend les flots avec grâce.
    IV De ses flancs redoutables jaillissent les boulets dévastateurs, les obus terribles, la mitraille meurtrière. La mousqueterie pétille sur ses bastingages et dans sa mâture, et une épaisse fumée lui forme une auréole de gloire !
    V Hamidou resplendit d’orgueil, son cœur est plein d’allégresse ! Il ramène une frégate portugaise et son triomphe est éclatant ! Les mécréants sont vaincus et asservis. Il se rend au palais du Sultan, traînant après lui les esclaves chrétiens et nègres.
    VI Hamidou s’avance vers Tunis : il est le chef de la flotte, et ses canons tonnent. Le ministre du Bey observe avec sa longue vue. Il leur dit : Voici les Algériens ! Mais bientôt Hamidou a enlevé la frégate tunisienne et il rentre triomphant, tandis que l’ennemi s’empresse d’aller cacher sa honte !
    VII Fuyez, mécréants, fuyez! Hamidou parcourt les mers en maître. Les parages qu’il a sillonnés restent vides d’ennemis. Fuyez, infidèles! Que vos navires de guerre se réfugient à la hâte dans leurs ports : ils deviendraient la proie du champion de la guerre sainte !
    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6548537r/f9.image.r=rais%20hamidou

    Le raïs Hamidou : notice biographique sur le plus célèbre corsaire algérien du XIIIe siècle de l’hégire, d’après des documents authentiques et pour la plupart inédits / par Alfred Devoulx,…
    Auteur :
    Devoulx, Albert (1826-1876

    Hmed hamou
    19 mai 2020 - 21 h 42 min

    Donc, au lieu de l’Algérie on devrait écrire plutôt l’Alziri de « ath-Ziri » en langue nationale n 2) et de « al-ziri » (en langue nationale n1)…

    J’attends la validation de ZORO. ZORO de ath-ZORO ou al-ZORO.

    Ziri (Clair de lune, nom masculin) est donné comme nom aux garçons. Ziri qui dérive de thiziri ou thaziri (nom féminin, clair de lune, selon les régions)

    Ça c’était donc avant l’arrivée de ZORO des al-ZORO, chasseur de lumière d’étoiles, et de capter toute la lumière du clair de lune et de laisser Ziri patauger dans l’obscurité à ne plus savoir d’où il vient et où il va…

      s31
      20 mai 2020 - 0 h 59 min

      justement maintenant on l apelle lal-giri il suffit d’ un « g »

        Zaatar
        20 mai 2020 - 3 h 50 min

        Plus moderne ils mettent un « N » maintenant au lieu du « G ».

          Anonyme
          20 mai 2020 - 9 h 50 min

          Ça rime a quoi l´al-niri alors ?

          s31
          20 mai 2020 - 10 h 52 min

          @zaatar
          vous soutenez la theorie a l aquel l’ homme est homosapiens et donc son parcour est une pure perte de temps et d’ energie , oui mais la realité est tout autre l homme est beaucoup plus complique il ne suffit pas à la date de sa production , il veut connaitre tout , surtout s il a été denie de son histoire et lui a menti sur son passé identitaire , apres le 22 fevrier les jeunes ont sauté le verouillage historique , pas question que
          l histoire s arrete en 1954 , c’ est la liberte et l independance de l histoire qui est en marche , personnelement er pour revenir au sujet la capitale devra reprendre son nom et s appelle dzair دزاير ni alger qui est une nomination colonialiste occidentale ni الجزاءر qui est nomination arabe …je suis pour la refondation de notre socle algerianiste unificateur sinon on restera dans l etrnel bagarre à la Tom et dziri .

    Anonyme
    19 mai 2020 - 21 h 29 min

    Bel article, exactitude pour l’origine de Le Djazair, et pertinence historique avec Bologhine ibnou Ziri. Mon épouse est une descendante de la tribu des Zirides, et ses descendants ne vivent pas en Kabylie , mais à …900 km plus à l’ouest d’Alger et de la petite Kabylie, depuis…plusieurs siècles déjà, et sans le savoir vu qu’on les appelles au jour d’aujourd’hui la tribu des « Ouled Dziri »….

    Ayweel
    19 mai 2020 - 21 h 19 min

    ZIR, AZIR, IZRI, ANAR, ADAZE, AYER, ANZAR, ADAZ AYER (IYER), THAZIRI OU THIZIRI.
    pour les autochtones ,ZIR est un contenant pour conserver le blé, l’orge et d’autres aliments, fait à partir de alhalfa. AZIR une plante médicinale dont j’ignore le nom en français ou en langage algerien, de même aussi pour IZRI ( achih) une autre plante médicinale. ADAZE (écraser), AYER OU IYER (champs de blé, orge…). ANZAR (arc en ciel) et dieu, probablement de la pluie. ce qu’on peut retenir c’est que le dieu de la pluie ANZAR nous donne de la pluie pour arroser nos champs de blé ( IYER ou AYER), vient la période de la moisson pour récolter le blé, l’étaler dans un ANNAR pour ensuite l’écraser (ADAZAYER ) et ceci en période de canicule où une tisane de (IZRI) bien chaude nous permet d’atténuer les effets des coups de soleil et sous l’ombre d’un cèdre ou d’un chêne une tasse de alben à l’arome d’AZIR puisée d’une chekoua bien traitée , avec un rakhssis juste cuit, pour bien colmater le ventre. une fois le travail achevé, tôt le matin en pleine ATHZIRI , les graines sont ramassées et transporter pour être conservées dans des grands ZIRs. Donc en finalité tout tourne autour des céréales et leurs dérivées, de ce qu’on produit l’été pour le consommer en hiver, et ADAZAYER et bien connue comme étant grenier de Rome.

    Aldebaran
    19 mai 2020 - 19 h 37 min

    Bonjour,
    cet article a le mérite de faire apparaître les pour, ou contre, sur l’histoire de l’Algérie et sur l’origine de certains mots employés aujourd’hui.
    J’espère, un jour, avoir le temps de me plonger dans la recherche historique de ce formidable pays qu’est l’Algérie. Tellement de choses ont été écrites sur son sujet. Il y a du faux et du vrai.
    Malheureusement, jusqu’à aujourd’hui, la plupart des livres, employés comme source d’information, ont été écrit par des français ( par d’autres européen aussi). Et, pire encore, beaucoup d’historien algériens continuent de les citer et ne donnent donc qu’une version de l’histoire de l’Algérie et de ses différents contacts forcés ou non : dans la guerre ou la paix. Du coup, lorsqu’un historien algérien ose écrire autrement, il est catalogué de « traître » ou de « patriote ». Surtout par des personnes qui ne lisent pas ou très peu. L’objectivité ne peut apparaître que si l’on est libre dans sa tête. L’honnêteté intellectuelle est essentielle pour pouvoir établir ou approcher la vérité.

    Des personnes écrivent que l’Algérie, son nom en tous cas, existait bien avant l’invasion de l’état français. En effet, c’est ce que j’ai découvert. Ensuite, toute évolution positive de l’Algérie serait due, à chaque fois, aux étrangers en particulier : romains, turcs, français etc,. Là, je ne suis pas d’accord.
    Si on regarde profondément, ces présences qui ont existé, elles n’ont pas souvent donné lieu à des évolutions, mais plutôt à des soumissions, des divisions voire même des régressions spirituelle.
    A part l’apport de l’Islam et de la culture arabe qui en est dérivée (les comportements (Souna) du prophète ont été utile pour les croyants : respect de soi et de son prochain qu’il soit faible ou prisonnier, façon de pratiquer l’Islam, le plus proche des textes divin…), sinon le reste était déjà présent en Algérie.
    Je sais que ceux qui ne sentent pas musulman, basiquement, vont attaquer.
    Seulement, moi qui suis français et pas musulman (je crois en Dieu mais je ne veux pas développer), je découvre que c’est l’Islam, en France et là où il est présent dans le monde, qui préserve beaucoup les personnes de la dégénérescence moderne. Beaucoup, en France, quelles que soient leurs origines deviennent musulman pour arrêter l’alcool, de se droguer, de voler etc,. Même en prison. C’est un constat !

    Le respect de la famille n’existe nul part, aussi fortement dans le monde, que dans les pays composés à majorité de musulman.
    Je l’ai observé lors de la révolution (Hirak) de 2019 (qui n’est pas fini).
    Les jeunes et moins jeunes se respectaient. La femme, l’enfant et les personnes fragiles étaient protégés. Les manifestants se partageaient l’eau et des fruits lors des marches et sous la chaleur.
    Vu de la France, cela était magique. Des français, de non culture maghrébine, étaient admiratif et beaucoup sont descendus du « piédestal » où on les avait mis depuis des dizaine d’année.
    En France, par manque de respect et de spiritualité, les policiers n’ont pas hésité à frapper, quel que soit le sexe et l’état physique du manifestant. Je n’ai pas écrit que « l’Algérie c’était le paradis ».
    Mais il y a pire ailleurs. Il faut juste que le peuple algérien prenne sa place et les commandes de son pays. Il a l’intelligence de la paix et celui de son devenir avec les autres.

    J’avais écrit que « je souhaiterai que l’arabe et le berbère soient enseigné dès la petite école dans toute l’Algérie ». Car, pour ma part, si la langue n’est plus un problème, alors les algériens, de toutes les régions, pourront se concentrer sur l’essentiel : développer leur pays et y vivre en paix. Plus aucune division extérieure car plus de faille où l’ennemi pourrait s’engouffrer.
    La vraie histoire du peuple algérien et de ses origines millénaire doit être enseignée.
    Et pas en français ! Il ne faut plus employer la langue de son colonisateur génocidaire pour s’exprimer et exprimer sont être profond. Avoir perdu, par massacre, près de 10 millions d’algériens par l’état français, est-ce une évolution pour les algériens ?

    Avant 1830, l’Algérie nourrissait en blé, en céréales et fruits, le sud de l’Europe et en particulier la France et l’Afrique subsaharienne. 80% d’analphabète en France et 80% d’instruit en Algérie. (une source historique dès 1830 : lire « histoire d’un parjure » de Michel Habart, préface de Pierre Péant, censuré à la diffusion mais téléchargeable sur internet).
    La modernité occidentale, par son occupation française violente, a ralenti une évolution qui aurait été ce qu’elle aurait donné : meilleure ou moins bonne.
    Si l’Algérie était si bien positionnée, avant 1830, pourquoi n’aurait-elle pas évoluée positivement avec des alliances libre.
    L’Algérie tombée, l’Afrique est tombée.
    L’Algérie libérée, l’Afrique s’est libérée.

    L’état français, après ses massacres, a créé des divisions et s’en est servi. Il reste encore des traces. La preuve sur ce site. Tous les sujets finissent en pugilat entre « arabe et berbère », « berbère et arabophone ou arabisé » etc… Quel perte de temps !

    Pour moi, dans son fondement l’Algérie est berbère. Du Maroc à la Palestine, les peuples sont des berbères. Ensuite, certains envahisseurs sont passés. Les seuls qui ont marqué toute cette zone, et même le reste du monde, sont les musulmans.
    Je n’ai pas écrit les arabes, mais les musulmans.
    La langue arabe était peu différente de celle des berbères. De plus, l’Islam était compatible avec les cultures berbère et c’est pour cela, je pense, que même s’il y a eu des batailles, elles ont été moins violente qu’ailleurs. De là est née, en Afrique du Nord, une nouvelle civilisation musulmane. La plus importante du monde. Plus importante que celle de Bagdad. Mais là, j’attends d’avancer.

    S’il vous plaît, il est inutile, pour me critiquer, si vous n’êtes pas d’accord, de m’insulter ou de me réciter ce que vous avez lu (en particulier wikipedia qui n’a rien de crédible sauf pour les fainiants).
    Si vous ne l’avez pas trouvé par vous même, évitez de vendre les informations des autres. Cela s’appelle de la propagande ou du révisionnisme. C’est aux algériens de faire leur histoire la plus sincère possible.
    Moi j’essaye de comprendre.
    Cordialement,
    Benali

      Anonyme
      20 mai 2020 - 7 h 24 min

      Salut (…), t’es pas français car si tu l’étais tu aurais constaté que les italiens tes voisins possèdent un esprit de famille hors paire, les grecs aussi, les espagnols, et tout le bassin méditerranéen, notamment les africains du nord et les pays africains en général et ce n’est ni la religion musulmane ni aucune culture étrangère venue d’orient qui a fait de ces peuples des peuples où la famille passe avant tout. Les exemples sont légions chez les siciliens où le mot la familia est tatoué aujourd’hui chez les jeunes. Pareil constat en Kabylie, mozabites, chaouis, touaregs, chleuhs. En Amérique latine aussi l’esprit de famille et le respect est de mise. Les indiens d’Amérique,les aborigènes d’Australie aussi. En un mot, le respect de la famille est présent chez tous les peuples autochtones du monde entier. Je ne vois aucun esprit de famille apporté par l’islam quand on sait que le cousin du prophète Ali, son fils, pourtant appartenant à la famille de Mohamed ont été assassinés, sans oublier les autres califs avant Ali. Et quand on voit les luttes familiales au sein des familles royales dans les pays du golf arabe, on constate bîen que ta thèse ne tient même pas un millième de seconde. Amicalement.

        Merouch
        20 mai 2020 - 14 h 09 min

        Soyez moins affirmatif !
        Partout dans le monde, dans le cas du pouvoir, les familles s’entre-déchiraient (et actuellement aussi …).
        Juste pour ce qui nous concerne, la lutte pour pouvoir dans la Numidie a occasionné des luttes et des trahisons sans nom. Il faut juste lire ce qui s’est passé entre les descendants de Massinissa après sa mort.

        Aldebaran
        20 mai 2020 - 15 h 20 min

        Bonjour,
        ne me faites pas dire ce que je n’ai pas écris.
        Je faisais cas de la déchéance dans les pays comme le mien, la France, l’occident en général et même dans le monde. Les pays musulmans sont plus protégés sur ce qui concerne l a décadence familiale. La femme domine en Europe. Elle est le centre de beaucoup de convoitise. Son corps ne lui appartient plus. L’homme n’a plus as place. La société est féminisée. On cherche à casser la famille sous la responsabilité du père. Ne parlez pas de Sicile et autres pays latin. Vous êtes en retard!
        La mondialisation a fait son chemin depuis longtemps. Les familles on les veut identique. Le LGBT n’a pas encore sévit dans les pays musulmans ou presque. Les gay pride n’ont pas encore fait leur apparition dans ces pays. Ils essayent mais n’y arrive pas encore. Voilà ce que je souhaitais faire part. C’est plus vicieux que cela . Aujourd’hui, l’Islam est un rempart contre cela. Contre une modernité décadente.
        Vous en connaissez d’autre de rempart ?
        Posez-vous la question, pourquoi s’acharnent-on sur les musulmans s’ils étaient comme les autres? Ils essayent, les vrais musulmans, de protéger leur famille et des valeurs de respect partout où ils sont.
        En Europe, les églises sont vides, pourquoi?
        Ensuite, même s’il pouvait vous arriver d’avoir raison sur un sujet concernant le pays de quelqu’un, ne mettez pas en doute sa citoyenneté. Entre les gens qui vous traitent de marokini ou de kabyle ou de traitre ou de je ne sais quoi, c’est lassant.
        Sinon, merci pour votre remarque.
        Cordialement,
        Benali

    El haquiqa.
    19 mai 2020 - 18 h 20 min

    Bologhine na jamais connu ou mis lès pieds en kabylie et il était un pur musulman que ce anonyme de (…..) et ses copains ne cessent d’insulter.

    Amonymous.
    19 mai 2020 - 18 h 06 min

    Le prénom de Ramdane est kabyle et l’origine du mot berbère est barbarus chassé de Grèce.bologhine ziri était un amazighi de l’Ouest du pays.cessez de dire du n’importe quoi .le peuple Algérien est amazighi et na jamais était berbère qui est une création de mohand aarav qui voulait séparer lès kabayiles du reste de la population.

      algérie multi millénaire
      19 mai 2020 - 21 h 36 min

      Axil (Axel) est aussi de l’ouest, mais en Algérie on fait semblant de ne pas comprendre.
      Et voila pourquoi les mokokos n’arretent pas de divaguer pendant leur séances de Zatla royale et de blablater sur la marocanité de l’ouest grace aux traitres au pouvoir. Tant qu’on ne donne pas a chaque mm2 de l’Algérie son importance, tout le monde essaiera d’accaparer notre histoire (surtout le Sud qui regorge de richesses culturelles qui pourra changer la perception du monde quant a ses origines et ses mecaniques), spécialement la race maudite de mokokos : le royaume de débauches de tous genres

      message a AP: merci de nous parler du Hoggar

        ZORO
        20 mai 2020 - 4 h 27 min

        Chabane aussi est un prenom kabyle ainsi que belaid, achour et achoura, alors que chavane ( christophe de.. ) est un prenom arabe.
        SigneZORO. ..Z….

      Dubitatif
      20 mai 2020 - 2 h 36 min

      Dans quelle université avez-vous fait vos études supérieures (si vous en avez fait) ? Et en quelle langue ?
      Ramadhan est le mois de jeune prescrit pour les musulmans dans le Coran. C’est le 9ème mois du calendrier lunaire dans l’Arabie anté-islamique. .
      Donc le mot existait en arabe avant que les arabes arrivent en Afrique du Nord.
      Vous trouverez de nombreux moyen-orientaux qui portent ce prénom (ex le non-fréquentable Tariq Ramadan).

    ???????
    19 mai 2020 - 17 h 28 min

    Je n’ai absolument rien compris à ce papier et que vient-il faire là ? AL DJAZAÏR est UN MOT ARABE que je sache qui signifie les îles… Non ? Ce n’est pas Ziri… et encore moins tiziri… donc, ce n’est pas un nom kabyle. C’est de la provocation ou quoi ? A l’auteur de ce papier qui n’a aucun sens. Laisse-nous passer notre RAMADHAN tranquillement, merci. Arrêtez vos manips à deux sous… Les kabyles n’ont absolument rien à voir avec le nom AL DJAZAYER… a gadh Rabi !!! Ya Si Ramdhane Hakem…. AKHZOU CHITANE AGMA !!! Matchi Aya khir…? Arrêtez vos divisions. LE PEUPLE ALGÉRIEN EST UN !!! Vous faites le jeu des services étrangers : le mossad, le makhnez et la france. Comme de bien entendu.

      Dubitatif
      20 mai 2020 - 2 h 41 min

      Beaucoup d’internautes vous disent que « îles » en arabe c’est jouzour et non jazair !!!
      Si vous avez un doute prenez un dictionnaire ou faites une traduction sur internet !!!

        AKER !
        20 mai 2020 - 22 h 24 min

        Comme on dit chez nous :
        MAÂZA OUALOU TARAT…!!!
        T’es allergique a tout ce qui est ARABE, n’est-ce pas ? Eh bien, il faut malgré toi l’admettre… AL DJAZAYER EST BIEN UN NOM… ARABE !!! Que tu le veuilles ou pas….. C’est ainsi. Tu ne peux pas effacer l’Histoire de notre pays L’ALGÉRIE. Akan i danane si zik…

    Anonyme
    19 mai 2020 - 17 h 10 min

    Le nom d’El Djazair vient de « Iles » en arabe car en face du massif d’Alger il y avait des iles et sur l’une d’entre elles était construit le penon un fort espagnol. Aujourd’hui ces iles ont disparu ainsi que le fort. Les Zirides de la confédération Berbère des Senhadja (Sanhadja qui regroupent les Touaregs et les berbères vivant en Mauritanie) dont Ziri Ibn Menad Al-Senhadji et les Kétama se sont alliés aux Fatimides, vers l’an 900, contre les Omeyyades d’Al-Andalous et leurs alliés les Zenata : Maghraoua,… Au départ Al-Djazaïr, était un territoire qui appartenait au Maghraoua, une tribu Berbère Zénète en bonne relation avec les Omeyyades d’Al-Andalous et par conséquence contre les Fatimides et leurs alliés les Zirides et les Kétama. En 947, Ziri Ibn Menad Al-Senhadji s’empara du Maghreb central contre les Maghraoua, Banou Ifren,… et fonda Achir, comme capitale des Zirides. En 952, la ville d’Al-Djazaïr fût reconstruite, fortifiée et agrandie par Bologhine Ibn Ziri Ibn Menad Al-Senhadji à la demande de son père Ziri Ibn Menad, ainsi que les villes de Miliana et de Médéa. Bologhine se chargea de la gouvernance de ces trois villes, à la demande de son père Ziri Ibn Menad. Les Almoravides (berbères de Mauritanie et Sahara occidental) prennent Al-Djazaïr en 1082, grâce à Youssef Ibn Tachfin qui défait tous les Zenata. La première grande mosquée du rite Malékiste appelée <> ou <> fut construite par Youssef Ibn Tachfin à Alger. Les Almoravides n’ont jamais fait la guerre contre les Zirides, compte tenu que les deux tribus sont des Sanhadja.

      s31
      19 mai 2020 - 18 h 53 min

      anonyme
      expliqué al jazair par des  » iles » encore plus, disparus ne veut absolument rien dire , la mideteranée c est pas les caraibes et les seuls iles qui ont disparus en miditeranne sont l atlantide , l histoire ecrit par les francais et les arabes ne peut admettre que dzair c est el jazair ..la reapropriation de l algegrianite de notre histoire s impose .

    Lacan
    19 mai 2020 - 17 h 02 min

    Les racines du nom Algerie – est le sujet de cet elan de contribution. Je comprends qu’il y a une pensee bienveillante, mais peut-il y avoir bienveillance sans bonnefaisance. Par bonne-faisance, je veux dire faire bien, c.a.d. y mettre l’effort et le temps. Traiter le sujet veritablement necessite beaucoup de temps, ce que l’auteur n’a evidemment pas investi. J’y voit plutot l’assemblage de references googliques ajuste’es a la va-vite, dans l’espoir de satisfaire tout le monde. Je decommande cette facon de faire, pour 1000 et une raisons, hors-propos ici.

    Le sujet est a mon avis une intersection de 2 diciplines: La 1ere est l’Histoire des faits/evenements et la 2nde est la Linguistique.

    L’evenement principal est l’emergence des etres Humains, reconnu par le simple fait d’observation. Nous sommes la ! De ce fait principal a maintenant/aujourd’hui se sont produits beaucoup d’evenements dont certains
    (1) ont laisse’ des traces – dans la nature meme [geologie, archeologie]
    (2) d’autres sont deduits, – Soumettant (1) aux connaissances et savoirs scientifiques de differentes epoques
    (3) d’autres raconte’s – principalement les histoires orales souvent valide’es pae (1) et (2)
    (4) d’autres encore documente’s.- sur tablets dechiffre’s ou documents ancients.

    De ces 4 sources/methodes, on construit un recit plus ou moins romanise(dit a partir d’histoires a personnages). Il faut souvent le melange des 2, quand on connait avec certitude(4) les personnages mis en action. Je remarques 2 commentaires(contributions) d’interet de Zombreto et Hourya. Pour m’etre investi longtemps dans les 2 domaines, j’ajoute ceci:

    Zombreto:
    Zombreto fait reference a la Linguistique moderne la plus juste qui met a profit en plus de tout ce qui connu les trouvailles des Sciences Cognitives, c.a.d. comment les cerveaux humains operent/fonctionnent et apprennent, c.a.d. les mecanismes mis en jeu le comportement et expression Humains. Les travaux de Jacques Lacan eclaircissent cela, c.a.d. la mecanique linguistique extension de la psychanalyse, au-dela de Freude, c.a.d. la mecanique symbolique qui cree le lien entre ce qui est ressenti/exprime’ et le real qui lui donne naissance. Les deux constituent un evenement cognitif. L’etude des langue de Tamazight et ses variations regionales demontre qu’il n’y a aucun lien entre les ecritures Orientales et nord-Africaines, sinon un lien d’ordre cognitif, c.a.d. que leurs cerveaux et les notres fonctionnent d’un point biologique voir electrique, de la meme facon. La similarite’ etant d’ordre celle de la reaction a un medicament, commune a tous les Humains. A un niveau plus evolue’, dans le sens developemental comme temporel, il y a separation.
    Cet aspect des choses, il est demontre’, que les Orientaux, les Egyptiens(ancients) et les Amazighs ont develope’s les methodes de parler et ecrire independemment au fil de leurs developements respectifs, et que ces notions d’influences ou X a apporte’ l’alphabet/langue a l’autre, est de l’exageration. De l’ordre des anciennes pratiques de ne pas chercher a decouvrir mais a trouver des indices racordables a la these religieuse Brahmaique. (tous enfants d’Abraham, etc.).
    Regles Fondamentale: Les sons emis par des etres deviennent des mots significatifs par REFERENCE SYMBOLIQUE a des objects et actions (evenements) – qui sont partage’s par une communaute'(ensembles d’etre avec liens biologiques et presence simultannee dans le meme espace). Meme les silences sont des contenant d’espaces vides, dont on reconnait l’existence et la destine’e(a etre remplis par un solide impulsif). Les sons/bruits humains sont alors un appel/rappel a une pulsion originelle emise par l’impulsion d’un objet.[vous voila donc au noyau du desir et sexualite’ humaine]- Le silence entre un homme et une femme est donc parlant des lors qu’il fait reference a l’objet destine’/suppose’ occuper un espace pour y faire resonner une pulsion.

    Hourya:
    Les videos presente’es sont des interpretations de materiels/resultats de recherches reelles, mais helas plus ou moins arrondies. Le presentateur a emis les resultats d’etudes genetiques recentes. Il simplifie l’histoire ancienne et la fait demarrer a des dates qui arrangent sa propre narrative. Il mentionne Herodutus mais pas Platon, qui est l’auteur veritable. C’est la plus ancienne des REFERENCES ETRANGERES de NOS ANCESTRES et TERRITOIRE.
    Cette reference est decrite par Platon-meme donc, comme celle que les pretres Egyptiens ont intime’e a Erodutus, sur l’existence pas d’etres seulement, mais de tout un MONDE et CIVILISATION AVANCEE, a l’Ouest « juste avant la bouche de l’Atlantique(gibraltar) et se prolongant vers l’Afrique. Ce monde il le Decrit comme une Archipel(pres-ile) observee de/le long de la mer, sans savoir jusqu’ou elle va.

    Voila donc la 1ere, ou si vous voulez, LA GRAINE d’ou sont sorties les autres « racines » interpretatives et traduites de l’ancien Egyptien au Grecque ancient puis au Latin et jusqu’au Francais et Camps(reference ancienne de l’auteur).

    Autres corrections: Ecrit noir sur blanc en Latin dans les Archives Romaines.

    1. Jugurtha est le neveu de Massinissa et non son petit-fils. Jugurtha est le fils du frere de Massinissa et une de ses concubines(tout le monde en avait plusieures)

    2. La querelle de Jugurtha avec Rome est que Jugurtha a ete’ au lit du Roi mourant(Massinissa) auquel il a livre’ ses consignes. Les enfants de Massinissa etaient trop jeunes pour heriter d’un royaume. D’ailleur pris et installe’s a Milan(Provinces des notables Numides) – Les Numides siegeant au Senat a Rome, les passassions de pouvoir sont documente’es. Ces documents, donc de Massinissa, sont introuvables ! probablement pris de Jugurtha.

    3. Contrairement au prudent Massinissa, Jugurtha a enguage’ la rebellion contre Rome, ou tout simplement son eviction, lui qui etait le plus et mieux decore’ des forces coallise’es romaines, ne les craignait pas du tout.Il y a presque un parallele avec les temps modernes.

    4. La derniere 3eme et derniere des guerres puniques(contre les phoeniciens) s’est passe’ a Zama, ou la cavalerie de Massinissa donna le coup de grace aux phoeniciens, par leur agilite’ contrairement aux chariots Romains. Note personnelle: S’il doit y avoir quelque chose qui pousse partout en Algerie, c’est des chevaux. Notre cheval est connu comme le Barbe.

    5. Massinissa a cree sa monnaie, son drapeau, son armee, ses frontieres et sa langue officielle. Le 1er Etat nord-Africain, capable, solvable, actif et reconnu au-dela de la mediterannee.

    Bonne journee et deconfinement.

      Lacan
      19 mai 2020 - 19 h 20 min

      CORRECTION: la 2eme ligne portant sur le commentaire Hourya.
      j’ai ecrit: « … Le presentateur a emis les resultats d’etudes genetiques recentes…. »
      Je voulais dire Omis – comme a neglige’.
      L’absence de melange humain, c.a.d. biologique, renforce l’absence de references pulsatives communes. Nous n’avons pas eut des experiences ou evolutions partage’es a travers le temps, pour avoir vecu/partage’ des evenements ou objets auquels on aurait eut des references symboliques communes. Voici un example: Le son Mmm qui porte la reference maternelle.

      Pour les Orientaux la reference objective construira le mot « Oumi » la mere. Reference et terminologie reprise par les Latins et les autres apres, entre Francais. Mais, la reference change dans le sense inverse « Ibni » dira la mere et « fils » dira le francais. C’est deux constructions differentes a supposer eloigne’s dans le temps et l’espace. Pas sur, mais pret a etre dit: Un Empreint. Chez nous c’est plus congruent, c.a.d. une bijection – la mere et l’enfant partage le meme sens, puisqu’ils partagent la meme experience/evenement(espace et temps) c.a.d. la meme experience. La sequence dit dit que le son initial vient de la mere qui articule pour designer son fils ou lui parler meme. L’enfant evoquera la mere et l’experience(pulsation ressentie) avec la meme reference de la mere dirige’e vers un object de reference qui est la mere. Cette consistence renforce l’hypothese de l’originalite’/veracite’, alors que les autres souleve l’idee d’empreint.
      Le pire c’est qu’on cherche a retenir comment les autres nous percoivent designent etc. plutot d’assumer nos propres references et nous accepter. Avoir subit la force physique/militaire des autres ne signifie point une inferiorite’ intellectuelle ou emotionnelle, du tout.
      Mais tout ca resulte du manque d’investissement en nous-meme. Les gouvernants Algeriens particulierement se sont investis a creer des fausses histoires qui les mettent en position de pouvoir/autorite’ dans un seul but: Voler la rente petroliere !
      La Lybie ancienne s’arrete au Nile et les conflits des frontieres date depuis le debut des temps. Nos premiers ennemis et derniers, puis que ce que nous subissons est leur chef-d’oeuvre contemporain – ben-bella et company.

    Merouch
    19 mai 2020 - 16 h 45 min

    Ces populations étaient là avant les premiers intervenants historiques que furent les Phéniciens, fondateurs d’Utique, Lixus et Carthage.»

    Bon bon, tous les endroits de l’Algérie où se sont établis des phéniciens en y créant des comptoirs (ports essentiellement) ont été occultés !
    Wikipedia :
    Hippone est « le golfe du roi » dont le nom remonte à la Préhistoire, à la suite d’un affaissement dans la masse cristalline du massif de l’Edough. Elle abrite un comptoir phénicien au XIe siècle av. J.-C., une agglomération punique prospère alliée de Carthage. Au IIIe siècle av. J.-C. c’est une métropole numide du roi berbère Massinissa. En 46 av. J.-C., Juba Ier, allié de Pompée, est défait par les troupes de Jules César à la bataille de Thapsus. Hippone est annexé à la province romaine d’Africa Nova, créée par Jules César.

    et tous les endroits commençant par Ras ou Rus (traduisant cap ) qui sont le fait de comptoirs phéniciens à l’origine (à l’origine de Skikda, …).

    Dziri
    19 mai 2020 - 16 h 23 min

    En arabe populaire et en tamazight, l’Algerois s’est toujours appelé Dziri et Alger Dzair: c’est en arabe classique que Djazair (ilôts) est connue; la dissonance est énorme, l’Algerie c’est tout sauf des îles. le véritable nom de l’Algèrie doit être issu de Dziri (de ZIRI) – Iziriouen existent toujours en Kabylie.

    Mounir Sari
    19 mai 2020 - 15 h 47 min

    C’est ça (…) continue à nier et à travestir l’identité berbère de l’Algérie!!!!

      s31
      19 mai 2020 - 18 h 01 min

      ta petit téte ne fais la difference entre discussion et denigrement .

    Merouch
    19 mai 2020 - 15 h 39 min

    Que d’erreurs que d’erreurs !
    « El Djazair » voudrait dire les Iles. Non les iles en arabe, c’est EL Djouzour.
    Je veux bien admettre une évolution à travers le temps et l’espace mais il faut l’expliquer clairement.

    De plus, le nom « Algeri » était donné à Alger depuis longtemps par les italiens :
    L’italiana in Algeri (L’Italienne à Alger) est un opéra bouffe (dramma giocoso) en deux actes de Gioachino Rossini sur un livret de Angelo Anelli. L’Italienne à Alger est le premier opéra-bouffe que Rossini écrit peu après sa première œuvre développée, Tancredi.

    Cet opéra, écrit en 1813 pour le Teatro San Benedetto à Venise et créé le 22 mai 1813, est considéré comme la première comédie « développée » de Rossini, puisque ses opéras précédents (à l’exception de Tancredi et peut-être Demetrio e Polibio) sont très courts et souvent ne contiennent qu’un seul acte, tels que La scala di seta, Il signor Bruschino, L’equivoco travagante, La cambiale di matrimonio, La pietra del paragone et L’occasione fa il ladro.

    En 1813 donc avant l’arrivée des français !!!

    Les noms Algérie, d’Alger et d’algériens étaient utilisés dans les documents français (littérature, échanges entre la Régence d’Algérie, carnets de voyages, …) bien avant la colonisation :
    Pour cela il y a un grand nombre de livres et de carnets de voyages mentionnant cela.
    Par exemple Voyage dans les régences de Tunis et d’Alger » de Jean-André Peyssonnel
    des carnets de voyage effectués vers 1725 (un siècle avant le début de la colonisation)
    Les Editions la Découverte ont réédité ces carnets en 2001.
    De très intéressantes informations sur les us et coutumes des zones traversées, les oppositions à la présence turque partout, … avec un tout petit lexique (phonétique) du vocabulaire chaoui …, les différences entre les villes et les campagnes …
    Une petite mine d’informations mais qu’il faut analyser d’une façon objective, scientifique et historique.
    Il y a de nombreux autres ouvrages .

    Depuis longtemps les européens voulaient s’installer en Afrique du Nord, on le voit bien transparaitre dans ce livre ( et dans d’autres) mais il est vrai que le médecin-auteur ne ménage ni les turcs ni les algériens (décrits comme des « arabes », des « maures » des « arabes-kabyles », des « kabyles », des « chauwias » , …).
    Plus de cent après, Alexandre Dumas écrit, vers la fin des années 1840, Le Véloce ou Tanger, Alger et Tunis » renfermant aussi une mine d’informations, toutes sortes, sur les zones traversées d’Algérie.
    Pour lire gratuitement le contenu :
    https://books.google.fr/books?id=4zNUAAAAcAAJ&pg=PA3&source=kp_read_button&redir_esc=y#v=onepage&q&f=false
    On peut aussi trouver des sites permettant la lecture du 1er livre … cité plus haut.

    Comme tous les livres écrits sur l’Algérie, et c’est humain (car il y a des erreurs de la désinformation), il y a des simplifications et ne doivent pas être lus sans « prendre de la distance et faire des vérifications » pour l’analyse.

      @Ramdane hakem
      19 mai 2020 - 17 h 25 min

      Êtes vous vraiment un historien ou un simple citoyen qui fait dès recherches sur youtube et face book? lès historiens commencent par la date le lieu de naissance et lès origines.je ne crois pas que vous êtes un historien juste un simple citoyen qui veut jouer avec l’intelligence dès Algériens.les origines de bologhine ibnou ziri sont de tlemcen et Alger était la capitale de l’Afrique.IL NOUS FAUT DÈS VRAIES HISTORIENS.

        Merouch
        19 mai 2020 - 18 h 40 min

        Votre commentaire est une « Réponse » à mon pst ?
        Vous auriez du le positionner au niveau au dessus. En ce qui me concerne, Merouch, je fais de l’histoire en tant qu’occupation de loisirs, sans autre prétention. Er je ne vais jamais chercher mes informations sur Youtube ou Facebook. Il y a des livres historiques, des carnets de voyage, l’université, les bibliothèques …
        Quant à l’auteur de l’article ce n’est même pas un citoyen éclairé et d’autres internautes également. Lorsqu’on dit que EL Djazair est le correspondant de îles (ou îlots) c’est déjà une énorme erreur ! Il y a des dictionnaires d’arabe, vérifiez donc avant d’écrire des bêtises. En arabe îles (ou îlots) se dit Jouzour (pluriel de Jazira).

    s31
    19 mai 2020 - 15 h 35 min

    si ziri veut dire dziri qui veut dire dzair alors la dzirya est la langue des amazigh et la langue de tout le monde , le probleme est reglé .dzirya langue nationale et langue officiel

    Anonyme
    19 mai 2020 - 14 h 19 min

    Explication un peu tirée par lés cheveux !!!

    Zombretto
    19 mai 2020 - 13 h 48 min

    « «Izri» signifie la vue en tamazight. L’on en a tiré ziri (ou thiziri) pour le clair de lune auquel les Kabyles conféraient un pouvoir occulte. Il est possible que la tribu des Ziri tira son nom d’un culte qu’elle vouerait à thiziri, la lumière d’étoile… » »

    Ceci dénote une méconnaissance flagrante de la linguistique et de la langue kabyle. En effet, nous avons affaire ici à trois phonèmes: dz, z, et ẓ (parfois appelé z emphatique.) Ces trois sons sont des phonèmes à part entière, pas des allophones. C’est à dire qu’ils font une différence de sens dans un mot. Pour la plupart des langues humaines, le z et le ẓ sont des allophones, c’est à dire le même phonème qui change de tonalité selon les autres sons qui l’entourent. Par exemple quand on prononce « za » le z sonne plus “gras” que quand on dit « zi ». Comme le s (sin) et le ṣ (ṣad) en arabe. En kabyle le sens d’un mot est complétement différent selon qu’on utilise le z ou le ẓ. Ainsi, izi veut dire mouche et iẓi veut dire vésicule biliaire. Izan veut dire mouches, et iẓan veut dire…euh…disons excréments. Aucun kabyle ne confondrait ces deux sons. Donc tiziri n’a rien à voir avec iẓri. Quant au son dz, comme dans Dzaïr, ce n’est pas un phonème en lui-même mais la contraction de deux autres phonèmes, d et z, ou bien le dj et le z.

    Belveder
    19 mai 2020 - 13 h 11 min

    Tres intéressant a parcourir sans modération..et sans polemiques steriles j’espère..

    Hourya
    19 mai 2020 - 11 h 54 min

    Pour compléter votre contribution, il faut savoir que le concept de nation au sens politique à savoir d’état-nation, n’est pas très ancien car « Avant le XVIIIe siècle, le terme « nation » est essentiellement utilisé dans un sens proche de l’étymologie latine « groupe humain de la même origine » « . Ce n’est qu’après la révolution française qu’il s’est répandu d’abord en Europe puis dans le monde. En Algérie, c’est l’oppression du système colonial qui cimenté ce qui existait déjà en tant que réalité d’un « groupe humain de la même origine » au niveau nord-africain en « groupe humain de même origine et subissant la même dépossession de ses terres et destruction de sa culture » au niveau Algérien. Il existe une remarquable chaine You Tube d’un jeune algérien qui s’attache à faire connaître leur histoire aux algériens : « Une histoire algérienne ».
    https://www.youtube.com/channel/UCF9gOrQJaefhp-8jPo7bYMg/videos?view=0&sort=da&flow=grid

    Remarque
    19 mai 2020 - 11 h 33 min

    Dès que j’ai vu l’article j’ai sus que ça finirait par qui est Arabe ou Berbère, décidément..

      Lheq
      19 mai 2020 - 14 h 10 min

      Malheureusement c’est cela notre histoire, seriez vous de ceux qui n’ont jamais hésité de la travestir?

    Karamaⵣov
    19 mai 2020 - 11 h 20 min

    Si j’ai bien compris ⵣoro serait d’origine Kabyle et n’est qu’un Zimigri en Oranie . Il aurait troqué le i contre un O.
    (…) , ça va lui frelater son arabe généalogique .

      ZORO
      19 mai 2020 - 15 h 30 min

      ZORO kbaili j accepte, ZORO ZWAWI j accepte,ZORO Chaoui j accepte ,ZORO MZABI Sunni j accepte
      ZOROAMAZIGHI NO WAY parce que je trouve que l homme libre est menteur parce qu il ne l a jamais été et raciste parce que ZORO est invisible dans le noir.
      SigneZORO. ..Z….

        Anonyme
        19 mai 2020 - 19 h 25 min

        Il n’y a que les tests génétiques pour te faire taire!!

      Lacan
      19 mai 2020 - 17 h 16 min

      Faute de trouver a redire sur le commentaire, vous sautez sur l’auteur(zoro). Et s’il etait Martien? qu’a-t-il dit de juste ou faux ?

      Le Bedouin
      19 mai 2020 - 18 h 45 min

      Karama..ov, excuxe, mon ordi est dépassé, je ne posséde pas le Z libéré, mais pour revenir à ..oro, ce n’est pas un Zmigri en Oranie, c’est une navette blanche en Belabessie.

    Argentroi
    19 mai 2020 - 10 h 54 min

    Mais pourquoi on dit d’ziri avec un d et non Ziri ou j’ziri ?

      Lheq
      19 mai 2020 - 14 h 15 min

      Parce que c’est un mot berbère, on dit: D’aghroum, d’aman, d Akham, d amdakul iw, dont d’Ziri pour Da Ziri (le Zirid) et ce jusqu’à ce jour.

        Lacan
        19 mai 2020 - 17 h 29 min

        Lheq – allez-y plus loin. Le D a la meme fonction d’article probablement emprunte’ au Latin ou l’Inverse. Les Anglais qui ont tout retravaille’ dans leur langue s’en serve de la meme maniere et l’ont codifie’ « The » avec une approximation relative au « di » Italien ou espagnole ou de « de » Francais.
        Si j’avais l’autorite’ ou etais chercheur linguistique, j’aurais propose’ Di Aman, avec la regle grammatical de liaison silencieuse, sans devoir le coder comme le font les Francais avec l’apostrophe ‘.
        Les Anglais ont par example: The et The qui se prononcent differemment dependemment de ce qui suit en ecrit. Nous autre avons De Ti qui depend du genre male ou femelle.
        Mais les 1ers a chercher a ecrire notre langue en carcateres latins etant les Francais/etrangers, ils s’y sont pris a l’approximatif le proche de leur langue – c’etait a l’epoque ou on etait destine’s a devenir des khawa-khawa !!! quelle blague !!!

    Anonyme
    19 mai 2020 - 10 h 10 min

    Vous voulez que Zoro fasse un arrêt cardiaque?? Lui dire qu’Alger a été fondée par les kabyles va l’achever!!

      ZORO
      19 mai 2020 - 15 h 53 min

      Dans un post precedent ZORO a demande a l auteur un complement d information pour accepter ou rejeter sa otroha.
      SigneZORO. ..Z….

    Mounir Sari
    19 mai 2020 - 10 h 02 min

    Merci Monsieur Hakem de nous avoir fait revister l’histoire de notre beau pays!!!!

      @ la doubaba violet.
      19 mai 2020 - 11 h 14 min

      Le plus important et certainement va te redescende sur terre ,bologhine ibn ziri n’était pas kabyle et il était un musulman.le mot berbère origine du mot barbarus Grèce est une création de la France colonial.le mot berbère me dérange nous sommes amazighs de l’Afrique du nord arabise et aussi ne pas oublier francisé.

        Lheq
        19 mai 2020 - 14 h 19 min

        Qoulou lhaqqa walaw kana mourrane, mentir pendant le Ramadhan pour un musulman!, mieux vaut aller vous hydrater.
        Musulman, ce n’est pas une identité, juste une religion comme tant d’autres.

        Dubitatif
        20 mai 2020 - 2 h 54 min

        Oui barbare vient des grecs qui se moquaient des étrangers … (je vous laisse imaginer). Toute l’Afrique du Nord était désignée comme barbare sauf l’Egypte à laquelle les grecs vouaient une grande admiration. Les romains ont repris le terme et après eux les arabes.

      @ la doubaba.
      19 mai 2020 - 11 h 15 min

      Le plus important et certainement va te redescende sur terre ,bologhine ibn ziri n’était pas kabyle et il était un musulman.le mot berbère origine du mot barbarus Grèce est une création de la France colonial.le mot berbère me dérange nous sommes amazighs de l’Afrique du nord arabise et aussi ne pas oublier francisé.

    Anonyme
    19 mai 2020 - 9 h 20 min

    Mon camarade Zoro ne va pas être content du tout cet article ????????

      Anonyme
      19 mai 2020 - 10 h 47 min

      Ah ça non!!! Pas de traces de bédouins dans notre histoire!!

      ZORO
      19 mai 2020 - 11 h 08 min

      ZORO apprecie bien cet article , n etait – ce ,sa conclusion » »
      TELLE EST L ORIGINE AMAZIGH DU NOM DE L ALGERIE
      Comme il est connu de tous sur ce site ,ZORO bute sur ce mot AMAZIGH qu il na connu que lorsque ses cheveux commencaient a tirer vers le blanc. J espere donc que l’auteur de cet article pour etre plus explicite
      retrace le parcours de ce mot , sa date naissance ,son lieu de naissance,son utilisation antérieure a celle des berberistes en 70 , sans toutefois evoquer les saperlipopette telles les amazigh sont les descendant de Mazigh (l autre Adam ) ou que les amazigh sontdes hommes libres parceque les touaregs circulent en toute liberté dans le desert.je reste donc dans l attente de ce complément d information.
      SigneZORO. ..Z….

        Lheq
        19 mai 2020 - 14 h 36 min

        Monsieur, tout Algérien (hormis les berbérophones) a découvert l’Amazighité, la Berbérité …. que lorsque ses cheveux ont blanchi, avant il croyait qu’il était arabe, avant même que les arabes, fatigués par ce vol, nous fasse comprendre que nous ne le sommes pas. C’est cela l’évolution d’un éternel colonisé.

          Merouch
          19 mai 2020 - 18 h 57 min

          Non il n’a pas découvert la berbérité … il a découvert SA BERBERITE. Né et ayant vécu pendant longtemps dans une région berbérophone , on faisait bien la différence entre Chaoui et Arabe et pareil entre Mzabi et Arbi, Kabaili et Arbi … tout en sachant que les dialectes étaient presque identiques. Mon père parlait avec les mzabis, chaouis, kbailis … avec facilité en dialecte chaoui.
          Tout le monde comprenait qu’il y avait le même substrat. La crispation vient du mot « arabe » que même les chaouis, kabyles, targuis, mzabis… utilisaient avec un effet miroir , comme les arabophones (terme que je préfère). D’autant plus que les « premiers arabes » poussaient à cela. Rome avait fait pareil et était romain, toute personne qui vivait sous l’empire romain. Y compris Saint-Augustin considéré encore comme romain par beaucoup.
          Le mot « Roumanie » désignant un pays aujourd’hui vient directement de Roumain, Romain et Rome.
          Wikipedia :
          Le nom Roumanie dérive du nom « roumain » qui à son tour dérive de l’adjectif romanus qui signifie « romain » en latin. L’origine lointaine est donc la ville de Rome.

          A rapprocher avec l’histoire de l’Algérie …

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