Les agréments provisoires remis aux concessionnaires automobiles dès dimanche

prix véhicules
Les concessionnaires ont pratiqué des prix excessifs. New Press

Les opérateurs dont les dossiers remplissent les conditions énoncées dans le cahier des charges relatif à l’exercice de l’activité de concessionnaires de véhicules neufs obtiendront leurs agréments provisoires dès dimanche prochain, ce qui leur permettra d’entamer les procédures d’obtention des agréments définitifs et de débuter les opérations d’importation, conformément au décret exécutif num. 20-227, a indiqué, jeudi, un communiqué du ministère de l’Industrie, rapporte l’APS.

La Commission technique interministérielle mise sur pied aux fins d’examen des demandes des opérateurs économiques désirant exercer l’activité de concessionnaires de véhicules neufs a procédé à l’étude de dix dossiers présentés par les opérateurs, dont neuf relatifs à l’importation des véhicules touristiques et un seul dossier relatif à l’importation de motocycles.

Pour sa part, la Commission technique chargée de l’étude et du suivi des dossiers relatifs à l’exercice de l’activité de construction de véhicules, a tranché le cas d’un seul dossier portant sur la construction de véhicules touristiques et utilitaires, sur un total de 18 dossiers déposés au niveau du ministère.

L’opération d’étude des dossiers des opérateurs économiques pour les deux activités de concessionnaires de véhicules neufs et de construction de véhicules se poursuivra jusqu’à l’étude de tous les dossiers déposés, les deux commissions ayant augmenté leur rythme de travail en tenant des réunions urgentes tout au long de la semaine.

Soulignant, par ailleurs, que «les listes relayées comme étant les listes des opérateurs économiques ayant obtenu les agréments sont dénuées de fondement», le ministère rappelle que la diffusion de ces fausses informations expose leurs auteurs aux peines prévues par la loi.

R. E.

Comment (2)

    Brahms
    16 janvier 2021 - 9 h 44 min

    Former un tissu industriel,

    Il faut former des jeunes en mécanique, apprentissage, diplôme, rémunération, la théorie, la pratique, des techniciens. L’automobile coute une fortune surtout en pièces mécanique, la maintenance.

    Les émigrés pourraient aussi exporter vers l’Algérie mais pour cela, il faut ouvrir le marché au lieu de bloquer partout. Un émigré pourrait ouvrir un garage AUTO en y mettant 25 voitures pour commencer + un atelier pour la maintenance, le nettoyage et ainsi faire l’embauche de salariés donnant moins de chômage en Algérie.

    Il y a plein de possibilités mais il faut encadrer les choses.

    TOLGA - ZAÂTCHA
    15 janvier 2021 - 18 h 20 min

    C’est donc du pareil au même : HADJ MOUSSA… MOUSSA L’HADJ ! Une fois, c’était l’assemblage de voitures et le gonflage des pneus… A présent, c’est l’importation de voitures par concessionnaires interposés mais bien CHOISIS… Donc, le SYPHONNAGE DES DEVISES va continuer à plein tube et « ils » vont s’en donner : A COEUR JOIE… sur le dos du peuple. C’est une HONTE !!!
    Pourquoi ne pas créer des usines de CONSTRUCTION DE VOITURES ??? Comme si que si l’on restait sans importer de voitures pendant cinq ans : NOUS ALLONS MOURIR !!! Alors, que le peuple demande du pain et du travail et que nos enfants ont besoin D’INSTRUCTION… pour qu’ils ne pratiquent plus de HARGA et que nos pauvres mères pleurent les yeux de la tête. POURQUOI CELA ??? Pourquoi jeter par la fenêtre… NOS DERNIÈRES DEVISES !? Je ne comprends pas… sincèrement.
    Pourquoi cette mascarade ? Est-ce qu’importer des voitures est beaucoup plus important que L’INSTRUCTION DE NOS ENFANTS et DONNER DU TRAVAIL DIGNEMENT POUR NOTRE PEUPLE ??? C’est complètement ahurissant…!!! Je suis DÉGOÛTÉ……

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