Rapport Stora : énième croisade contre les Mahométans (I)

rapport Stora
Rapatriement des restes mortuaires des résistants algériens. PPAgency

Contribution d’Ali Farid Belkadi – «La guerre d’Afrique ne ressemble à aucune autre, ce n’est point une guerre dans laquelle il suffit d’établir sa force militaire pour dicter à l’ennemi des conditions qui seront le plus souvent respectées et observées ; c’est plutôt une guerre de race dans laquelle le sentiment religieux intervient avec une supériorité et une puissance qui font tout entreprendre et tout braver.» (Dr F. Quesnoy. L’Armée d’Afrique depuis la conquête d’Alger. Librairie Furne, Ed. 1888.)

Des milliers de soldats européens, dont des officiers de haut rang, participèrent à la curée d’Alger. Saccages, rapines, razzias. Jusqu’au massacre des populations de Zâatcha et de Laghouat.

Dans une lettre privée datée du 8 février 1830, adressée par le diplomate Christophe de Lieven au comte Pozzo di Borgo, homme politique corse, devenu diplomate au service de la Russie, celui-ci écrit : «Je serais fâché qu’il fût vrai que la France renonce à son expédition contre les Régences, par l’intimidation qu’aurait exercée l’opinion du duc de Wellington sur ce projet. Cette opinion prouve même l’intérêt qu’aurait la France à persister dans son plan.»

Pour la diplomatie corso-russe, l’affaire d’Alger n’est donc, sur le plan international, qu’un morceau de la «question d’Orient» envisagée dans son ensemble. La «Question d’Orient» incluait Alger, qui végétait en ces années-là sous la tutelle des Turcs.

Les plus grandes puissances de l’Europe, quoique rivales, furent aux côtés de la France lors de la prise d’Alger : le Royaume-Uni, la Russie, l’Autriche-Hongrie, l’Italie ou encore l’Allemagne en Méditerranée orientale et dans les Balkans, profitant des difficultés et du recul de l’Empire ottoman en Europe.

Bien avant l’invasion et la conquête d’Alger en 1830, les Turcs n’ignoraient pas les intentions de la France qui, de son côté, se souciait peu de l’irritation que cette décision provoquait en Europe. A ce moment-là, le gouvernement du roi Charles X n’avait encore aucun parti pris sur ce qu’il ferait d’Alger.

Dans une lettre adressée par le ministre Jules de Polignac (1780-1847) au comte de Rayneval, ambassadeur de France à Vienne, celui-ci dressait la liste des incertitudes françaises concernant le devenir d’Alger, en cas de victoire sur les Turcs.

Polignac voulait céder Alger aux Chevaliers de l’Ordre de Malte, voire partager tout le pays entre les puissances de la Méditerranée, de manière qu’en «partant de l’est et allant à l’ouest, l’Autriche obtiendrait ainsi Annaba ; la Sardaigne : Stora ; la Toscane : Djidjelli ; Naples : Bougie; la France : Alger ; le Portugal : Tenez ; l’Angleterre : Arzew ; l’Espagne : Oran. Entre tous ces partis, ou plutôt avant de n’en choisir aucun, le gouvernement croyait que le mieux était d’attendre et de laisser d’abord faire le comte de Bourmont». (La Conquête d’Alger. Camille Rousset. Editeur Plon. Paris, 1879. P. 88.)

Combattre des peuples mahométans

Le Tsar de la Russie Nikolaï Romanov 1er, 1796-1855, qui voyait avec grand plaisir la France occuper et «conserver à Alger un établissement assez formidable pour assurer à jamais la sécurité de la navigation dans la Méditerranée», proposait de communiquer au commandement français les leçons tirées par ses officiers, lors de la récente guerre qu’ils menèrent contre les Turcs. Le roi de la Russie appelait cela «la manière de combattre des peuples mahométans», donnant ainsi un relief religieux digne des Croisades aux conflits entretenus par les Occidentaux avec l’Orient, à ce moment-là : «La guerre de siège, disait-il, en Perse comme dans les différentes parties de la Turquie, a partout présenté le caractère uniforme qu’imprime à des peuples d’origines diverses le fanatisme d’une même croyance.»

Un officier supérieur du génie russe, le colonel Filosofoff, se joindra à l’expédition française d’Alger comme observateur et conseiller de l’empereur de Russie pour l’affaire d’Alger. Il n’était pas le seul. «Cette affaire (d’Alger), dit Pozzo di Borgo, en amènera bien d’autres. Nous y jouerons un rôle excellent ; on nous le préparera sans qu’il nous en coûte, vous verrez.»

Le début de l’expansionnisme mondial

Ces affaires militaires avant-courrières de l’expansionnisme mondial européen en Algérie, en Afrique, en Asie, etc. enjoignaient aux Français de se charger du «sale boulot» qui consistait à démilitariser la côte algérienne en la plaçant sous son contrôle. Ceci après avoir chassé les Turcs qui étaient occupés à faire la guerre contre la Russie, les Turcs subissaient alors le soulèvement des Grecs qui luttaient pour leur indépendance.

Le général de Bourmont, qui s’apprêtait à jouer sa carrière à Alger, était assimilé à un nouveau Jules César (Lettre de Pozzo di Borgo à Nesslrode, 12/24 mai 1830. Aux A. E. Correspondance politique : Turquie, 18 juin 1830).

Les chefs français seront complimentés par les armées européennes après leur victoire remportée sur les tribus algériennes, impuissantes et disloquées à Staouéli qui se battirent admirablement mais auxquels les munitions, sur ordre du commandement turc, faisaient défaut. Des forces algériennes considérables affrontèrent les Français à Sidi-Fredj. Les commandants turcs, par crainte de séditions armées de la part des Algériens, rationnaient le nombre de cartouches. Dès ce moment-là, les Algériens lutteront seuls pour tenter de recouvrer leur identité nationale flétrie pendant des siècles par l’occupation turque. C’est ainsi que fut décrétée la guerre contre la France par la résistance algérienne, elle durera, de soulèvement en insurrection, jusqu’à la libération du pays en juillet 1962.

La victoire française à Alger fêtée en Russie

La prise d’Alger ne sera connue que le 23 juillet en Russie. La nouvelle de la victoire française provoquera à Saint-Pétersbourg un intense sentiment de fierté. Cette réussite militaire française, qui fut perçue comme le prolongement de la victoire remportée par les Russes sur les Turcs une année plus tôt, fut considérée comme un grand événement national en Russie. Elle fut saluée par les armées du Tsar (Affaires étrangères. Correspondance politique : Russie, 16 et 24 juillet 1830).

Le corps expéditionnaire français

Pour pallier les lacunes guerrières de leur armée d’occupation, face à la résistance algérienne, les Français firent appel à des renforts européens, jugés plus combattifs. Des troupes bigarrées, originaires de divers pays européens, participèrent à la répression des populations algériennes.

Des professionnels de la guerre furent ainsi opposés à des populations paisibles qui pratiquaient les techniques antiques et désuètes du combat par escarmouches. On n’en était plus aux armes de jets, flèches, lances et arbalètes. Ces mercenaires européens cooptés par des agents recruteurs au nord de la Méditerranée furent d’abord installés dans des garnisons édifiées aux confins des tribus belliqueuses, à la manière des «limes» romains, ces systèmes de fortifications établis le long de certaines des frontières de l’Empire romain.

En attendant de former sur le tas des soldats qui n’étaient pas des guerriers de métier, la France faisait ainsi appel à des soldats de métier issus de différents pays européens.

La Légion étrangère

Durant la préparation de l’expédition d’Alger, de nombreuses lettres de demandes de service, provenant de particuliers et d’anciens militaires à la retraite demandant à participer à l’expédition d’Alger (31 mars, 28 avril, 29 juin notamment). Archives de Vincennes. 1H 2. Dossier 5 (mars 1830).

Jean Bernadotte, le neveu du roi de Suède, est affecté au 14e Régiment d’infanterie de ligne (18 mai 1830). On parle de faire passer de 5 à 10 centimes l’accroissement de solde qui est accordée aux soldats arrivant dans la 8e Division militaire afin de maintenir l’élan des troupes (le 10 avril).

Les Turcs font courir une rumeur selon laquelle l’eau chargée à Marseille pour l’expédition aurait été empoisonnée, il y a possibilité de complot (28 avril 1830). Des officiers étrangers sont admis à l’état-major de l’armée d’Afrique (13, 14 mai), à l’image du colonel d’origine russe Dimitri Vladimirovitch Philosophoff, qui est embarqué sur un bateau à vapeur le 26 mai 1830. Archives de Vincennes, 1H3, Dossier 3 (avril à juin 1830).

Un hôpital doit être formé à Mahon, à l’est de l’île de Minorque, en territoire espagnol, dans les Baléares. Les Tunisiens qui pensent à leurs bonnes affaires en profitent pour vendre des centaines de bœufs à l’intendant en chef de l’armée, le baron Denniée, l’épicier de l’armée française. On parle de l’éventuelle participation à l’expédition de bataillons suisses. La Sardaigne se propose de fournir du blé et des moyens de transport pour l’expédition d’Alger.

L’ambassadeur de France à Madrid demande l’aide des Espagnols pour assurer le transport des troupes françaises. Des renseignements sont donnés à l’état-major français par un officier de marine arrivant d’Alger, le 10 avril 1830 (Archives de Vincennes 1H3. Dossier 6). Il est possible d’acheter des bœufs et des moutons nécessaires à l’expédition au Maroc et à Tunis.

Quelque temps auparavant, des soldats qui s’étaient engagés dans les rangs de l’armée napoléonienne accoururent de tous les coins de l’Europe pour être versés dans le corps de la légion étrangère. On en fit des «étrangers devenus fils de France, non par le sang reçu, mais par le sang versé».

Ils furent ainsi des milliers d’Européens à débarquer en Algérie au cours du mois d’août 1831, quelques mois seulement après la création de la Légion étrangère par le roi Louis-Philippe, le 9 mars 1831.

Ces mercenaires au service de l’invasion française de l’Algérie, avec l’accord des gouvernements de leur pays, furent d’abord regroupés en colonnes armées, unies par une origine commune et la nationalité. La conquête du pays exigeait de nouveaux appuis. Aux légionnaires qui étaient sans emploi après les guerres impériales s’étaient joints des conscrits venus de l’Europe entière, des prisonniers de droit commun pourchassés par la justice de leur pays d’origine qui s’étaient enfuis en France. Pour faciliter leur recrutement, la loi du 9 mars 1831 autorisait les engagements d’individus étrangers dans l’armée française sur simple déclaration verbale, sans présentation préalable de documents d’état-civil. Ce recrutement était également proposé aux Français fuyant la justice.

Escouades internationales à Oued El-Harrach

Dès le 27 avril 1832, les résistants algériens vont livrer bataille à ces escouades internationales sur les rives de l’Oued El-Harrach.

Une liste impressionnante de soldats d’origine étrangère, véritables débris de l’armée napoléonienne, devenus maréchaux de France ou généraux sous la République et l’Empire, participeront à la formation du corps expéditionnaire français qui sera envoyé du côté d’Alger quelques décennies plus tard. Du moins ceux qui restaient encore en vie. Certains d’entre eux, retraités, reprendront du service. Ils sont originaires de Belgique ; de la Confédération germanique et d’Autriche ; de Hambourg ; de Prusse ; Saxe-Cobourg-Gotha ; du Danemark ; d’Egypte (deux chrétiens coptes). Hunin (N.), général de brigade en 1800 ; Abdul-Aga (Michel) ; général de brigade en 1800 ; d’Espagne ; des Etats de l’église ; des Iles Ioniennes ; de la Pologne et de la Russie ; du Portugal ; de la Sardaigne ; de Suisse. Ce cosmopolitisme des armes françaises allait guider la formation de la Légion étrangère.

Ces milliers de soldats et officiers qui appartenaient à divers pays européens, s’appelaient Strozzi, Loewendahl, Ornano, Rantzau, Macdonald, Massena, Berwick, Maurice de Saxe ou encore Poniatowski. La France vint faire la guerre aux Algériens avec, dans ses rangs, l’élite des soldats européens. Des éventreurs professionnels.

Ces troupes de mercenaires européens se distingueront au combat dès le mois de novembre 1832 dans la région d’Oran. A ce moment-là, les Espagnols du 4e Bataillon de mercenaires étrangers feront partie d’une exploration générale de la région avec l’ensemble des troupes françaises de la garnison d’Oran, sous les ordres du général Boyer. Ils sont plus aguerris que les troupes françaises ordinaires du fait de leur expérience européenne de la guerre.

Les Turcs se sont rendus en quelques jours à Alger. La guerre menée par les Algériens débute silencieusement dans l’ensemble de l’Algérie, sous prétexte de mettre fin au piratage barbaresque en Méditerranée. C’est parti pour 132 ans.

Le 27 mai 1833, cette troupe espagnole soutint un combat contre les Algériens, près d’Oran, dans les parages immédiats de la mosquée Korguta.

Alors mea culpa, repentance ?

L’Espagne s’enracine sur la côte du Sahara et tente de s’agrandir au Maroc. Cette ancienne puissance médiévale, qui n’est plus que l’ombre d’elle-même, tente de protéger ses îles Carolines contre les convoitises territoriales allemandes.

Le Portugal, qui fut au cours du XVe siècle la plus grande puissance économique, sociale et culturelle à l’échelon mondial, accroît ses possessions au Congo en s’attribuant le Dahomey. La Hollande s’empare de l’île de Sumatra. La Russie s’installe durablement au cœur de l’Asie.

Le roi des Belges, Léopold II, grâce à une astuce pseudo-philanthropique, est parvenu à créer de toutes pièces l’immense Etat indépendant du Congo, avec l’aide de la Conférence de Berlin, en 1885. Celle-ci qui réunit quatorze puissances du monde, place ce pays sous la souveraineté du roi Léopold.

L’empire allemand, qui veut sa part des terres mondiales, part s’établir en Nouvelle-Guinée, au Cameroun et au Congo. L’Angleterre, surprise par d’autres pays européens dans l’Afrique centrale, s’arroge le delta du Niger. Elle occupe l’Egypte pour protéger son empire des Indes, se rapprochant ainsi de la Chine en conquérant la Birmanie. L’Italie convoite la Libye et tente de s’établir en mer Rouge.

C’est l’escalade des dominations et des emprises européennes sur le monde. La France, qui est préoccupée du trop-plein de sa population, veut sa part des richesses africaines.

Après l’Algérie, elle établira, en 1881, un protectorat en Tunisie, puis elle s’appropriera le Haut-Sénégal, le Haut-Niger ainsi que le Congo occidental en lorgnant d’autres terres, dont Madagascar. Cette boulimie de possessions emmènera les politiques et les généraux français jusqu’en Asie où s’opère la conquête du Tonkin et de l’Annam, après la Cochinchine et le Cambodge.

De 1830 à 1882, en 52 ans, on a compté pas moins de cinquante et un généraux ou hauts fonctionnaires civils qui se sont succédé pour enchaîner les Algériens et leur imposer une guerre larvée, latente, menée à petit feu, au jour le jour. Le 2 novembre 1830, des Maures d’Alger et des Turcs demandent la naturalisation française, Clauzel oppose son veto à cette demande jugée inconvenante. On ne veut pas des musulmans.

Dans ses Lettres d’un soldat, Plon, Paris, 1885 (réédité par Christian Destremeau, 1998), il écrit : «Nous nous sommes établis au centre du pays… brûlant, tuant, saccageant tout. Quelques tribus pourtant résistent encore, mais nous les traquons de tous côtés pour leur prendre leurs femmes, leurs enfants, leurs bestiaux. (…) On en garde quelques-unes comme otages, les autres sont échangées contre des chevaux, et le reste est vendu à l’enchère comme bêtes de somme (…) Voilà mon brave ami comment il faut faire la guerre aux Arabes, tuer tous les hommes jusqu’à l’âge de quinze ans, prendre toutes les femmes et les enfants, en charger des bâtiments, les envoyer aux îles Marquises ou ailleurs, en un mot anéantir tout ce qui ne rampe pas à nos pieds comme des chiens.»

Un fatras de nationalités européennes

Fort-de-l’eau, actuelle Bordj Al-Kiffan, où fut transposé un morceau d’Espagne, est le point de ralliement des Mahonnais de Minorque, là se côtoient les familles Garcia, Perez, Ramon, Pons, Mascaro, Garda, Marquez et Sintés. Ailleurs, des centaines de colons se répartirent les terres arables algériennes, comme cet Anatole Haldemeyer, arrivé en 1854 en Algérie qui obtint immédiatement une concession de 45 ha de terre arable, confisquée à des familles indigènes de Birtouta. Jusqu’à la fin de la drôle d’aventure française en Algérie et le départ des descendants de Sardes, d’Espagnols, Belges, Italiens, Siciliens, Maltais, Grecs, Allemands, Polonais, Roumains, Suisses, jusqu’aux Anglais et aux Australiens. Ceux que l’on appellera plus tard pieds-noirs. Ceux du soleil de mon pays perdu.

«Versez votre trop-plein dans cette Afrique, et du même coup résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires. Allez, faites ! Faites des routes, faites des ports, faites des villes ; croissez, cultivez, colonisez, multipliez et que, sur cette terre, de plus en plus dégagée des prêtres et des princes, l’Esprit divin s’affirme par la paix et l’Esprit humain par la liberté» (Victor Hugo, pp. 286-287. Choses vues, Paris, Gallimard).

A.-F. B.

(Suivra)

Comment (34)

    David dit Granger
    21 avril 2023 - 22 h 24 min

    Voici un de vos articles sur la colonie Francaise
    Un fatras de nationalités européennes

    Fort-de-l’eau, actuelle Bordj Al-Kiffan, où fut transposé un morceau d’Espagne, est le point de ralliement des Mahonnais de Minorque, là se côtoient les familles Garcia, Perez, Ramon, Pons, Mascaro, Garda, Marquez et Sintés. Ailleurs, des centaines de colons se répartirent les terres arables algériennes, comme cet Anatole Haldemeyer, arrivé en 1854 en Algérie qui obtint immédiatement une concession de 45 ha de terre arable, confisquée à des familles indigènes de Birtouta. Jusqu’à la fin de la drôle d’aventure française en Algérie et le départ des descendants de Sardes, d’Espagnols, Belges, Italiens, Siciliens, Maltais, Grecs, Allemands, Polonais, Roumains, Suisses, jusqu’aux Anglais et aux Australiens. Ceux que l’on appellera plus tard pieds-noirs. Ceux du soleil de mon pays perdu. Anatole Haldemeyer n’est pas arrivé en Algerie en 1854 il est né en 1854 dans la Marne il est arrivé en Algerie a 21 ans il est DC a 42 ans en ne laissant rien a ces enfants juste une petite propriété que sa femme a gérée seule

    karimdz
    2 février 2021 - 20 h 06 min

    Le patriotisme agace toujours les sectaires, les ennemis et les jaloux qui ne font que glousser.

    Il y avait l histoire de l aiglon qui se croyait poule, mais on peut y rajouter aussi, l histoire des poules qui se croyaient aigles…

    Rodin des bois
    1 février 2021 - 23 h 26 min

    Article bien écrit avec des faits historique étayés, tous les algériens partout dans le monde sont à la recherche de l’ histoire de leur pays et de leurs racines c’est celà une nation c’est ce qui compte musulman ou pas l’algerien a de multiples origines c’est ce qui fait sa richesse

    karimdz
    1 février 2021 - 20 h 38 min

    Je ne pense pas m’être trompé à propos de ce aboustroff qui abonde souvent dans le sens de nos ennemis… sionistes, et comment pourrait il en être autrement de cet imposteur qui se fait passer pour un algérien, ou tout au moins, cache sournoisement sa véritable origine.

    Je profite tout d’abord de remercier les Mahométans de nous avoir amené l’Islam et non pas le talmudisme, Dieu merci. Sans vouloir me faire l’avocat du diable, les pays du golf, sont dans une situation économique qui est beaucoup plus aisée que la notre, et ces pays se développent, nonobstant leur politique sioniste que ce pseudo aboustroff, simon ou david ?, partage sans aucun doute, et soutient la « normalisation ».

    Les algériens sont mahométans ne vous en déplaise, et ce n’est pas comme vous tentez pitoyablement de « nous convaincre » en vain, que c est le capitalisme qui est notre ennemi. Les croisades à ma connaissance, ne datent pas d aujourd’hui, et c’est bien avant tout, la religion qui motive les croisades, sous couverts de prétextes, nous ne sommes pas dupes.

    aboustroff est tel un chewing gum dans ce site algérien patriotique, à l instar des autres sionistes qui pullulent sur la toile, pour diffuser leur hasbara israheillienne.

    Les algériens sont assez lucides pour discerner le vrai du faux, et distinguer amis et ennemis fussent ils sournois et sophistes.

      Santa Claus
      2 février 2021 - 13 h 47 min

      moi qui suit un algérien lambda, je trouve que vos interventions patriotiques méritent d’être soutenues. car, elles éclairent les algériens lambda sur les tenants et les aboutissants de l’attitude qui consiste à la jouer « plus patriote que moi, tu meurs ».
      au fait, avez vous réalisé qu’une poule ne pourra jamais voler aussi haut qu’un aigle?

        karimdz
        2 février 2021 - 19 h 10 min

        Le patriotisme agace toujours les sectaires, les ennemis et les jaloux qui ne font que glousser.

        Il y avait l histoire de l aiglon qui se croyait poule, mais on peut y rajouter aussi, l histoire des poules qui se croyaient aigles…

    Hmed hamou
    1 février 2021 - 19 h 10 min

    [ » les tribus algériennes, impuissantes et disloquées à Staouéli…se battirent admirablement mais auxquels les munitions, sur ordre du commandement turc, faisaient défaut…(étant) Les commandants turcs, par crainte de séditions armées de la part des Algériens, rationnaient le nombre de cartouches…
    (et puis) Les Turcs se sont rendus en quelques jours à Alger….
    Dès ce moment-là, les Algériens lutteront seuls pour tenter de recouvrer leur identité nationale flétrie pendant des siècles par l’occupation turque…
    (mais) les Français firent appel à des renforts européens, jugés plus combatifs…
    Des professionnels de la guerre furent ainsi opposés à des populations paisibles qui pratiquaient les techniques antiques et désuètes du combat par escarmouches. On n’en était plus aux armes de jets, flèches, lances et arbalètes. »], d’après Ali Farid Belkadi.

    Que peut on ajouter à cela, mis à part éventuellement quelques petites questions; mais alors rien de méchant !
    1. Après trois siècles de présence de nos frères, en religion, turques ottomans et tous les apports et les faits positifs dont ils nous ont généreusement gâté, couvert et recouvert, comment se fait-il, qu’après trois long siècles donc, non seulement les indigènes Algériens n’ont pas avancé d’un pousse mais bien au contraire ils ont, semble-t-il, régressé à la l’âge de pierre, des flèches, des tire-boulettes et des lance pierres,…qu’on avaient pourtant largement dépassé avant l’arrivée de nos frères « Mahometans » ottomans, trois siècles auparavant !? À l’époque hammadites,…

    2. Comment se fait-il qu’après tout le sel, tout le couscous et plus si affinités qu’on a partagé (oui, surtout préparé et servi, dans un sens unique) pendant trois siècles, et après tous les liens de confiance, d’amitié et de fraternités qui se sont développés (du moins auxquelles on a cru dans notre cerveau à nous) ; comment, trois siècles après, et surtout à un moment crucial, en 1830, un moment de vie ou de mort, un moment d’être ou ne pas être, nos frères turque, nos frères musulman, donc, dont on attendait tellement (étant donné que c’était la première raison de leur présence chez nous, non ?, sinon nous protéger au moins nous soutenir du mieux qu’ils pouvaient); comment se fait-il, qu’au moment qu’on avait plus besoin d’eux, au moment où on espérait d’eux sinon qu’ils se battent avec nous au moins qu’ils nous livrent des armes valables, « modernes » , et surtout des munitions en quantité suffisante … Mais, Aulieu de ça, on a eu droit à un rationnaient de cartouches !!??

    3. Selon, l’auteur (très positif), les commandement ottoman se méfiait de nous autres soldats indigènes qu’on se retourne contre eux ! La question est : nos freres ottomans et néanmoins commandeurs se méfiaient ils de nous autres indigènes ( pourtant frères mohametans comme eux et d’ancienne date) plus qu’ils ne se méfiaient des croisés européens coalisés venus les déloger pour prendre leur place et nous, nous massacrés avec tous les moyens humains et matériels dernier cri dont ils disposaient!??

    4. Ou bien c’est pire encore. Tout est planifié d’avance ?? Nos freres ottomans nous rationnaient les munitions pour mieux permettre aux envahisseurs de faire un carton, de nous tirer comme des poulets domestiques sans effort, et faciliter l’occupation !!? Donc, nos freres turques nous ont équipé de fusils pour qu’on ne soit plus des civiles (innocents et désarmés) et donner ainsi bonne conscience aux envahisseurs de nous tirer dessus sans remords ; mais sans nous munir de suffisamment de munitions pour éviter qu’on se défendent efficacement et éventuellement faire échouer l’opération de l’envahissement!? Aussi, nos amis turques nous ont mis dans une position où nous étions ni civils (nous portions des fusils) ni soldat (avec des fusils sans munitions) ; et tout le monde sait que un fusil sans munitions est juste bon pour « s’assoir dessus »!! D’où la question :

    5. Est ce Un deal entre les deux puissances d’occupation, l’ancienne (ottomane) et la future (française) !?
    Et quand on lit tous les précieux et judicieux conseils prodigués par le Dey d’Alger, Dey Hussein (avant de quitter le territoire emportant son harem et tous ses biens au complet), donc, les bon tuyaux de Hussein dey, à son « hôte », au maréchal de Bourmont sur l’ethnologie, la sociologie,…les liens entre tribus, les point forts, les points faibles de chaque tribu et les mœurs des populations indigènes en général, pour lui faciliter sa mission (la mission de de Bourmont), la conquête et la soumission des tribus belliqueuse, et moins belliqueuses, pour finir par l’occupation total du territoire,… À partir de là, on est en droit, même dans le devoir, de se demander si c’est pas plutôt la seconde hypothèse qui est plus probable; qu’un deal avait lieu sur notre dos entre les deux puissance coloniales, ottomane et française, et le baroud d’honneur des ottomans n’etait en fait qu’une cérémonie pour la passation de témoin…

    6. Après toutes ces trahisons qui remonte déjà à 1830, si ce n’est plus loin, Peut on encore s’étonner que turques, descendant s des ottomans, aient voté contre notre indépendance en 1962 ?? une independence qu’on chèrement payé et auquelle les turques n’ont aucune participé sinon du côté de l’adversaire, du côté de l’otan; l’otan dont ils sont toujours (sous erdogan encore plus) un des membres les plus importants.

    Moralité de l’histoire: on peut toujours, si on veut, demander des excuses aux autorités françaises (même si personnellement je ne vois aucun intérêt) . Mais, il ne faut jamais au grand jamais demander ni excuses ni encore moins repentance à nos « frères » turques, ni à frère erdogane ni à aucun autre! Leur trahison, leur double trahison (1830 et 1962 ) doit demeurer complète et à jamais gravée sur leur front et sur les fronts de leurs adeptes notamment de l’intérieur; et ce sera leur fardeau pour l’éternité …

    Ziri
    1 février 2021 - 12 h 57 min

    On continuera de tourner en rond tant que les Algériens et les Musulmans en général refuseront de reconnaître le vrai Islam qu’est le Soufisme. L’empire Ottoman était basé sur ce mouvement de pensée et le Spirituel « Mystique » en général.

    Un dogme dont les califes jusqu’au Beys et Deys étaient adeptes, on ne pouvait arriver au pouvoir sans être un disciple et un fervent adorateur d’Allah.

    Quand c’est pas la France, c’est les Turcs, le clan de Oujda ou je ne sais qui d’autre.
    Le vrai problème ce sont ces abrutis de Banksters, qui se sont enrichis grâce à l’esclavage des femmes européennes en le vendant à la Régence d’Alger entre autre et qui ont profité du moindre laisser aller des janissaires et autres gardes pour attaquer.

    Ces derniers agissent et parlent à travers d’autres personnes. Depuis quand l’Algérie et la France (avant cet invasion) ont de mauvaises relations ?
    Il n’y a jamais eu de problèmes entre les Francais et les Algériens, au contraire pour ceux qui connaissent leur histoires les Almoravides s’étaient établis la bas et avaient leur dynastie surtout dans le sud, Perpignan et Marseille.
    On fête chaque année les Roi Mages avec cette fameuse recette à la pâte feuilletée, vous pensez qu’ils fêtent qui ?

    Pas plus tard qu’hier, j’ai vu que nos chers Voisins sont en train de s’approprier la Musique Touareg et le Blues du Sud Algérien, en plus de tous ce qui a été dérobé auparavant.

    Pourquoi on ne fait rien pour défendre notre culture et notre histoire ? Bien au contraire, les Algériens étaient parmi les premiers (si ce n’est les premiers) à faire du Tourisme au Maroc puis en Tunisie et Turquie. Et nous on fait quoi pour notre Pays, pour les gens qui meurent chaque jour dans le Sud, on préfère suivre la foule, l’opinion publique (crée par ces débiles de banquiers) et se battre pour la Palestine (qui est très loin de chez nous). Je reconnais que la plupart des Algériens sont empathiques mais surtout avec ce qui est extérieur à leur pays ou continent.

    Les gens préfèrent se plaindre plutôt que d’agir. Les Européens aimaient/aiment plus ce pays ce décor cette culture que les Algériens eux mêmes. On n’est pas reconnaissants.

    En toute modestie, je n’ai jamais vu des paysages, des cultures, traditions comme celles de l’Algérie. A chaque fois je découvre une nouvelle tribu avec une façon de vivre différentes des autres.

    L’Univers est bien fait n’a pas été construit sur la Faiblesse et la passivité. La Politique/Géostratégie est indissociable du « Tawhid » et de la relation avec Allah.

    Je suis quand assez édifié de voir à quel point les Marocains ont saccagé notre histoire, nos culture et traditions. Je n’arrive pas à y croire.

    yassine
    1 février 2021 - 12 h 22 min

    a Abou Stroff
    Bravo , Vous avez tout dit ! les Mohametans sont depuis sept siecles en dehors de l’histoire et cela ne risque pas d’evoluer favorablement .
    Au sein de ces societes la force repressive et la mediocrite intellectuelle en sont les fondements !

    Karamazov
    1 février 2021 - 11 h 33 min

    Tovarich, Abou Stroff
    je ne comprends pas ton ingratitude envers les mahométans. C’est kamim grâce à eux qu’on nage dans le bonheur de vivre parmi des musulmans comme Don Diego.
    Tu n’osera pas comparer les gentilles et douces foutouhates islamiques qui n’ont pas versé une seule goutte de sang aux redoutables massacres des croisades ? Il n’y a que les mauvais historiens comme Ibn Khaldoun qui osent écrire que Kahina a été capturée et décapitée, et sa tête est envoyée au calife Abd al-Malik ou que ce n’était que pour convaincre ses sujets de la générosité et de la bonté des mahométans.

    D’autres mauvaises langues rapportent aussi que le cheval de Sidna 3ali avait du sang des koffars jusqu’au garrot. Mais bien sûr tout ça c’est que des ragots ? Car tout le monde sait que la ikraha fi eddini.

      ZORO
      1 février 2021 - 13 h 24 min

      @ Karamazov
      Je te jure ce que tu vas lire est vrai.
      Pas plutard que cette nuit je t ai vu dans mon reve et je t ai invité a venir chez moi pour mieux se connaitre et te presenter mes amis kabyles , ce matin j ai essayé de lui trouver une interpretation mais je n y suis pas arrivé. Suite a la lecture de ton post j ai compris que mon invitation visait plus a t ouvrir les voies de ce bonheur de vivre parmi les mahomettans que tu exprimes dans ton post en toute derision.
      Quant a abou stroff je sais que je ne le verrai jamais dans mes reves , il a deja franchi le seuil de l abime.
      SigneZORO

        Katamazov
        1 février 2021 - 17 h 15 min

        Ah je te crois Don Diego !

        Mais j’interprète ton rêve autrement. Dans ton rêve tu m’invite pour me présenter tes amis « kabyles ». Or les kabyles je les connais. Si tu voulais me convertir n’est-ce pas plutôt des gentils zarabes que tu m’aurais présentés. Tu fais un examen de conscience et bien attendu Karamazov représente l’autre point de vue .

        Ceci dit, je ne dirai pas non pour une BAO.

          ZORO
          1 février 2021 - 19 h 52 min

          Allons y pour une BAO, a condition que tu me suives .nous l aurons toute fraîche d un fleuve du paradis là où elle coule a flot et sans le moindre sordi .????????
          SigneZORO. .Z..

      Abou Stroff
      1 février 2021 - 14 h 29 min

      Komrad Karamazov, je te salue!
      beaucoup d’hurluberlus ne veulent pas comprendre que le capitalisme se fiche royalement de notre religion, de notre accoutrement, ou de nos lubies tant que nous ne perturbons pas le mode d’accumulation du CAPITAL.
      en termes clairs, si les « mahométans » n’avaient pas sous leur pied, l’énergie (les hydrocarbures) qui permet de décongeler le travail mort (les machines) au moindre coût, les capitalistes les auraient totalement ignorés et les auraient laissés végéter comme les légumes qu’ils (les mahométans) veulent, à tout prix, imiter.

    Cirta25
    1 février 2021 - 10 h 45 min

    L’habillage religieux n’est qu’un prétexte pour justifier les conquêtes territoriales, l’accaparement des richesses et la mise sous tutelle des indigènes, une histoire vieille comme le monde. Il est tout à fait indécent d’abuser du qualificatif religieux pour orienter une mise en perspective, qui se voulait historique, en une débauche idéologique paradoxale où se côtoient la victimisation religieuse (« croisade contre les mahométans ») et l’héroïsme de la résistance à l’envahisseur. Le scénario est toujours le même quel que soit le conquérant. Les conquêtes arabes n’échappent pas à la règle. Elles sont moins documentées juste pour la circonstance mais tout aussi atroces. Il y va également des romains, des vandales et de tous ceux qui nous ont rendu visite. L’Algérie a connu la romanisation, l’arabisation, la francisation. Elle a été phénicienne, carthaginoise. Elle a été vandalisé, judaïsé, christianisé, islamisé. Cela ne l’a jamais empêché d’être authentiquement Amazigh. La trahison des ottomans (« par crainte de séditions armées de la part des Algériens ») nous renseigne sur l’usage du fanatisme religieux envers les populations conquises.

    Abou Stroff
    1 février 2021 - 6 h 50 min

    « énième croisade contre les Mahométans » titre A. F. B..
    je pense que si les « Mahométans » étaient restés chez eux dans la péninsule arabique, personne n’aurait jugé utile d’entreprendre une quelconque croisade.
    alors, trêve de lamentations (qui cachent mal un discours idéologique qui ne porte plus au regard de la masse d’information en possession des individus lambda) aussi stériles qu’un caillou couvé par un coucou.
    après tout, quelle est la différence entre les invasions arabo-musulmanes des contrées dont les peuples ont été soumis par l’épée et d’autres invasions (les invasions barbares qui ont jalonnées l’europe d’antan ou les conquêtes coloniales qui ont accompagnées l’extension du capitalisme à l’échelle mondiale, entre autres)?
    moralité de l’histoire: il n’y en a aucune, à part le constat que les peuples dits mahométans sont à la marge de l’histoire depuis des siècles et les couches qui les dirigent, étant dans l’incapacité de leur proposer une quelconque voie pour une réintégration dans l’histoire qui se fait sans eux, les abrutissent avec des histoires mythiques où les méchants kouffars, pour des raisons obscures, ne font que jalouser et agresser les gentils mahométans.
    PS: je pense qu’il est temps, pour les mahométans, de passer à autre chose et de produire des vaccins au lieu d’émettre des « fatwas » concernant la halalité ou la haramité d’un quelconque vaccin produit par une quelconque entreprise des kouffars.

      Et si toi
      1 février 2021 - 9 h 39 min

      tu étais resté chez toi, on se serait épargner tes commentaires moraux d’une histoire que tu veux renouveler contre l’Algérie.

      Anonyme
      1 février 2021 - 10 h 30 min

      les guerres d’occupation et de colonisation sont justifiées par ceux qui les lancent par des raisons multiples … y compris par la religion.
      Les romains, ne pouvaient pas utiliser la raison du « mahométanisme », ni les vandales (est algérien) , ni les byzantins … votre raisonnement est « dirigé » et « idéologique » ! Qui plus est, ces puissances évoquées, ont fait des malheurs partout (Amérique latine et centrale, Amérique du nord, .. Asie, Afrique dans des endroits où il n’y avait aucun musulman pour y installer le christianisme …). Votre raisonnement est partial et irrecevable par les algériens en général, continuez votre délire.
      (…)

      ZORO j
      1 février 2021 - 11 h 06 min

      @ Abou stroff
      Heureuseument que les mahometans sont venus a ton insu , autrement on n aurait connu qu une stroff sans abou.
      SigneZORO. ..Z…

      Belveder
      1 février 2021 - 11 h 14 min

      Demande a Ferhat il doit Avoir une Théorie sur Ca

      @ Abou stroff.
      1 février 2021 - 13 h 14 min

      Tu devrais leurs dire merci ils ont contribués à la civilisation .quand eux ont écris et traduit dès millions de livres abou stroff en avait aucun.

    Les Turques sont des KHASARS.
    1 février 2021 - 2 h 47 min

    Les Turcs avec leur faut calif !

      ERREUR
      1 février 2021 - 10 h 00 min

      Les Turcs sont EUX-MEMES. Ils sont Turcs avant d’etre Musulmans, ou Humains-meme !!!
      Ca s’applique a tout le monde entre-autre. Ils ont d’abors une identite’ avant d’etre des Hommes, car etre Homme seulement, c’est etre une Nieme espece animale, c tout.
      Pensez aux animaux domestiques v. les sauvages.
      C’est une question de roman, de recit, d’histoire, d’une realite’ vecue, d’identite’ et de conscience – survenues dans l’ordre inverse a travers le temps.

    Anonyme
    31 janvier 2021 - 22 h 54 min

    Il y avait des razzia des turcs en méditerranée et même l’ écrivain Servantes a été capturé et risquait sa vie. Donc disons que ce n’était pas les algériens qui décidaient de la politique étrangère. Colonialisme halal?

      Anonyme
      31 janvier 2021 - 23 h 27 min

      Si tu es vraiment Algérien, alors poses la question à tes parents ou à tes grands-parents, arrière-grands-parents et à tes ancêtres, si leur souffrance et leur mort sous l’occupation colonialiste étaient halal.
      Je crois pas que tu sois Algérien.

      Anonyme
      1 février 2021 - 10 h 05 min

      Des algériens avaient demandé à des « rais » turcs de les protéger contre les espagnols devenus très forts à la « reconquista ». L’Amérique Centrale et du Sud ont été occupées et pratiquement détruites, rien à voir avec la course en Méditerranée. Ne parlons pas du reste du monde qui n’a rien à voir avec les « mahométans ». Je rappelle que le « Maghreb central » a été occupé et colonisé par les romains, les vandales, les byzantins avant l’islam (les arabes) ou les turcs. Les guerres en Europe sont aussi les guerres de territoires …et en Méditerranée du Sud, l’islam est juste une justification/raison mineure et sans importance. Pour chaque guerre, il y a une « raison » dans l’esprit des gens qui la mènent mais toutes tournent autour du « territoire » et des intérêts. Presque toutes les villes du Nord de l’Algérie, Tunis, Tripoli ont été occupés par les espagnols.
      C’est Miguel de Cervantès et non Servantes soyez précis et internet peut vous aider.
      Après la signature de sa capitulation, le Dey d’Alger est parti avec ses principaux généraux et sa famille et pas mal d’or, vivre à NICE, avant de revenir en Turquie … Nice n’était pas encore française.

      Merci à A. F. Belkadi toujours aussi clair, précis et historien jusqu’au bout. C’est un plaisir de le lire lui qui a « déterré » les crânes des combattants algériens dans les archives « parisiennes » du Musée de l’Homme. Un immense service à l’Algérie et surtout aux algériens qui démontre que tous les algériens ont tous combattu et résisté au colonialisme.

    Anonyme
    31 janvier 2021 - 22 h 11 min

    Vous commencez l’article par « c’est plutôt une guerre de race », mais l’Algérien n’est pas une race, il est une origine, la race c’est pour les animaux. Et, le fait d’accepter le terme « race » pour soi, c’est de la prédisposition au colonialisme.
    La cause religieuse n’était que le percuteur pour euphoriser le sentiment de la reconquista afin de fédéraliser des troupes disparates sous la houlette de la France. À savoir que l’occupation de l’Algérie a été financé par des banques mutualisées.

    En effet, les Turcs nous ont trahis, la France nous a occupés, les Européens ont participé à la colonisation et la Russie tsariste a applaudi; Et, en comptant que sur nous-mêmes, on a libéré l’ALGÉRIE.
    L’Algérie n’est pas seule dans ce monde et actuellement, avec les nouvelles donnes mondiales et régionales, les ennemis d’hier peuvent devenir les alliés d’aujourd’hui, sans pour autant perdre nos principes.

      FREE MEN
      1 février 2021 - 1 h 35 min

      L’Histoire est un eternel recommencement.
      Faut pas mentire sur les crimes commis par
      Les banou hilal en terre berberes…
      Faut pas trahir l’histoire de nos Aguellid..
      Massinissa, Jugurtha , Juba…etc ..etc..
      Abane , Krim Belkacem , Amirouche , Boudiaf..
      On a la memoire longue..

        longue
        1 février 2021 - 10 h 02 min

        ou langue? c.a.d. parler ou le muscle?

        Ahellil
        1 février 2021 - 10 h 17 min

        Pense-vous qu’il faille « revenir » sur une période et pas sur les autres ?

        La période romaine dont il ne reste pas grand chose sauf un peu dans la langue et les noms de lieux ?
        La période vandale (surtout dans l’est algérien) ?
        La période byzantine, jusque l’arrivée des arabes ?

      Merrikh
      1 février 2021 - 10 h 14 min

      Pas une guerre de race ? Je vous laisse le soin de lire la littérature de tout le 19ème siècle, et du 20ème (sans parler des siècles précédents).
      L’histoire et le rapport des forces étaient construits autour de cette notion même si la sociologie, l’histoire … ont changé. Toute période a sa façon de définir les peuples et les civilisations et les avancées de la civilisation transforment les poins de vue.
      Il est vrai qu’auparavant la culture, la religion et la supériorité militaire définissent l’appartenance et partout les avancées militaires se préoccupent peu du reste : des troupes chrétiennes ont massacré des chrétiens et des troupes musulmanes ont massacré des musulmans au nom de la « pureté de la race ».
      F. B. parlait de la notion de race de l’époque !!!

    Anonyme
    31 janvier 2021 - 21 h 52 min

    Effroyable fait historique et abjecte terrorisme des peuples!
    .

      Anonyme
      1 février 2021 - 13 h 21 min

      N’est colonisé que celui qui est colonisable. C’est comme ça depuis la nuit des temps…

        Elephant Man
        1 février 2021 - 20 h 20 min

        @Anonyme 13h21
        Ça sort d’où ça …d’une pochette Bonux ?!
        «Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres» Madiba.

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