Au-delà des termes clivants «Arabe» et «Berbère» : opter pour le vocable chamito-sémitique

drapo terme berbère
La parenté entre les populations maghrébines et orientales expliquerait l'arabisation linguistique des Berbères. D. R.

Une contribution de Khider Mesloub – De quoi le berbère est-il le nom ? D’emblée, dissipons tout malentendu. Explicitons notre point de vue sur le terme berbère. Nous employons le terme berbère par simple commodité éditoriale, autrement dit pour satisfaire aux exigences terminologiques habituelles usitées dans les médias et le cercle restreint académique.

Nous considérons le terme berbère comme linguistiquement erroné et idéologiquement connoté, œuvre de puissances étrangères. Historiquement, le mot berbère, tout comme son dérivé berbérisme, est d’origine étrangère, forgé pour désigner des populations autochtones d’Afrique du Nord qui ne se sont jamais nommées berbères.

Car les notions de peuple, de nation, Etats-nation, étaient étrangères à ces populations tribales antiques. Chaque région du Maghreb, à plus forte raison d’Algérie, étant constituée de plusieurs tribus (dont, pour prendre un exemple plus récent, notamment les grandes tribus Sanhadja Zouaouas, Zénète, Masmouda, Kutama, Awarba, Berghouata, Houaras), chaque tribu était décomposée en des sous-tribus. Toutes ces sous-tribus avaient une indépendance territoriale et décisionnelle. Chaque tribu constituait quasiment une «nation», viscéralement attachée à son autonomie, éprise d’indépendance.

Historiquement, le nom berbère est issu du mot barbarus, par lequel les Grecs, puis les Romains désignaient tout peuple dont ils ne comprenaient pas la langue, qui s’exprimaient par «onomatopées» : «bar-bar», et qui ignoraient les coutumes et la civilisation gréco-romaines. Par la suite, les Romains ont maintenu l’usage du mot «Berbères» pour désigner les peuples d’Afrique du Nord qu’ils n’ont jamais réussi à soumettre totalement, même après la prise de Carthage. Le terme est récupéré par les Arabes en barbar, devenu sous l’occupation coloniale française berbère. A plus forte raison le vocable berbérisme est connoté idéologiquement, étant l’œuvre de la puissance coloniale française.

En Algérie, le terme berbère est, à juste titre, controversé. Et, surtout, politiquement clivant. Comme on l’a indiqué ci-dessus, alors que, pour la société tribale de l’Afrique du Nord, les notions de peuple, de nation et d’Etat-nation étaient totalement inconnues, aujourd’hui, depuis deux décennies, les berbéristes s’ingénient à employer le terme Amazigh (au singulier) et Imazighen (au pluriel) pour désigner les populations nord-africaines. Ou Tamazgha, néologisme idéologique fabriqué par les berbéristes. [1]

Pourtant, aux yeux de l’habitant du Maghreb, sa «conscience nationale» ne dépassait pas sa famille, au mieux son village, sa tribu. Or, les berbéristes postulent l’existence d’un peuple berbère. Et, aujourd’hui, d’un peuple kabyle.

Comme s’il y avait un «peuple berbère» qui vivait comme une communauté nationale, étatique et territoriale, alors qu’à cette longue époque antique et «moyenâgeuse» les habitants du Maghreb ne parlaient pas le même dialecte d’un village à l’autre.

Comme tout le monde le sait, la langue berbère appartient à la famille des langues chamito-sémitiques. A titre d’information, les langues de la famille chamito-sémitique (dénommée également afro-asiatique ou afrasienne) couvrent une aire géographique extrêmement vaste. Cette aire s’étend du nord de l’Afrique (du Maghreb jusqu’au Nigeria, en passant par la corne de l’Afrique – l’Ethiopie, l’Erythrée et la Somalie), le Proche-Orient, pour s’interrompre aux frontières de l’Iran. Ces langues étaient parlées par les différentes populations ethniquement apparentées. Ces populations, étroitement apparentées originellement à la même généalogie, sont classifiées en trois groupes. On emploie les termes Chamites pour désigner les habitants de la Vallée du Nil, en l’espèce les Egyptiens ; Hamites pour nommer les habitants de l’Afrique du Nord, c’est-à-dire les «proto-berbères» ; et les Sémites pour désigner les habitants du Proche-Orient et la péninsule arabique, les Arabes.

Sur le fondement des récentes techniques d’extraction de l’ADN ancien (plusieurs milliers, voire dizaines de milliers d’années), permettant de mieux comprendre l’histoire des peuplements humains, leurs circulations passées et leurs métissages, les recherches modernes ont montré qu’il existe une correspondance étroite entre les groupes linguistiques et les groupes génétiques. En d’autres termes, pour ce qui est des habitants du Proche-Orient et du Maghreb en passant par la corne de l’Afrique, il existe un apparentement génétique entre les populations parlant les langues chamito-sémitiques (arabe, berbère).

Aussi, pour circonscrire définitivement les stériles controverses sur l’appellation des populations de l’Afrique du Nord, plus précisément de l’Algérie, désignées pour les uns sous le vocable d’Arabes, pour les autres de Berbères, il serait plus commode de les désigner sous le terme de Chamito-Sémitique, pour signifier leur parenté millénaire. Au vrai, il n’y a pas de peuple berbère, ni de peuple arabe, notion moderne, étant entendu que les Etats-nations ont été créés par le capitalisme.

Il a existé des peuplades apparentées, disséminées, au gré des vicissitudes de l’histoire et des nécessités alimentaires, au fil de leur évolution commune millénaire, du Proche-Orient au Maghreb, en passant par la corne de l’Afrique. Toutes les populations contemporaines de ces régions appartiennent au même rameau. Elles sont le fruit de ce métissage. Il a existé surtout une civilisation arabo-musulmane qui s’étendait du Proche-Orient et la péninsule arabique au Maghreb, en passant par la corne de l’Afrique.

De toute évidence, de ce métissage humain entre ces populations maghrébines et orientales sont issues les affinités culturelles et cultuelles millénaires. Qu’à cette promiscuité lignagère entre ces différentes tribus berbéro-orientales a correspondu une proximité linguistique. Et une civilisation commune. Et une religion commune. Quand le judaïsme naquit au Moyen-Orient, il se répandit tout naturellement jusqu’au Maghreb, où les populations, par «affinités électives» (osmose et symbiose), se convertirent spontanément à ce dogme ; de même, quand le christianisme naquit au Moyen-Orient, il se répandit tout naturellement jusqu’au Maghreb ; pareillement, quand l’islam apparut au Moyen-Orient, il prit aussitôt racine au Maghreb.

Une chose est sûre : les populations du Maghreb et du Proche et Moyen-Orient, c’est-à-dire les Berbères et les Orientaux (arabes), autrement dit les Chamito-Sémitiques, avant de devenir des «frères en religion», étaient des frères de sang. Avant d’embrasser la même religion islamique, ces populations avaient, depuis des temps immémoriaux, partagé intimement les mêmes traditions et coutumes, adopté le même mode de production, fondé sur une économie de subsistance, sillonné, par leur nomadisme millénaire, les mêmes routes, accompli les mêmes pérégrinations et pèlerinages. Ils ont appartenu à la même aire civilisationnelle.

Pour preuve. Cette commune parenté entre ces multiples populations était tellement évidente pour les habitants du Maghreb qu’au lendemain de leur islamisation ils se mirent à établir (rétablir ?) des généalogies établissant leur origine arabe, c’est-à-dire orientale. Le sentiment d’arabité, ancré parmi les populations maghrébines, est très ancien.

Du fait de cette parenté et de l’existence d’un substrat monothéiste commun, les populations du Maghreb, donc de l’Algérie, adhérèrent aisément à la nouvelle religion, l’islam. Et corrélativement adoptèrent tout aussi commodément la langue arabe, ce patrimoine linguistique commun. Certes, à l’arrivée des propagateurs de l’islam, il y eut quelques poches de résistance, essentiellement parmi les derniers occupants, les Byzantins, ou les tribus traditionnellement réfractaires à toute incursion étrangère. Mais cette résistance fut rapidement circonscrite, favorisée par la remarquable osmose culturelle et cultuelle créée entre les populations autochtones et les Arabes.

Sans conteste, par l’apparentement des langues chamito-sémitiques, du strict point de vue essentiellement linguistique, il était assurément plus aisé pour les habitants du Maghreb, donc de l’Algérie, de passer de leur langue berbère (punique) à la langue arabe que du berbère au latin. Il en fut de même, des siècles plus tôt, avec le punique, langue sémitique, aisément et massivement adoptée par les habitants du Maghreb.

C’est cette parenté entre les populations maghrébines et orientales qui expliquerait la spontanée et naturelle arabisation linguistique des berbères. Contrairement aux autres populations d’autres continents, notamment les Perses, les Turcs ou les Pakistanais, par exemple, qui, en dépit de leur profonde islamisation, ne se sont absolument pas arabisés linguistiquement, ni cultuellement.

Ainsi, le processus d’arabisation des habitants du Maghreb fut assurément favorisé par les similitudes des modes de vie entre les populations maghrébines et orientales. Le professeur berbériste Salem Chaker, même s’il applique son constat historique uniquement à la période post-hilalienne, le reconnaît lui-même : «Les ressemblances du mode de vie des pasteurs berbères des hautes plaines et des piémonts sahariens avec celui des bédouins arabes arrivés au Maghreb à partir du XIe siècle ne peuvent qu’avoir facilité la fusion entre les deux groupes ethniques.».

Ironie de l’histoire, c’est que le Maghreb n’a jamais été aussi uni que lors des premiers siècles de l’islamisation et de l’arabisation. En particulier, au lendemain des deux siècles qui ont suivi l’arrivée de ces Sémitiques hilaliens, désignés comme des hordes barbares, accusés d’avoir anéanti la «société berbère», par les berbéristes culturalistes et sécessionnistes.

Or, s’ils étaient perçus comme des envahisseurs, des barbares, cette union historique n’aurait jamais pu se concrétiser. Et comment expliquer cette union entre les tribus hilaliennes et berbères, source de stabilité emblématique du Maghreb durant au moins deux siècles, sinon par leur apparentement ethnique, culturel, civilisationnel. Par leurs «affinités électives», «harmonie affective».

Au demeurant, c’est cette parenté ethno-linguistique qui amena tout naturellement les populations maghrébines, donc algériennes, à conférer spontanément à la langue arabe un caractère sacré, un statut honorable. A telle enseigne que la langue arabe finit par s’imposer comme langue vernaculaire et administrative. Il est vrai que, initialement, l’arabisation linguistique et culturelle fut principalement citadine. En outre, quand les lettrés berbères commencèrent à rédiger, pour la première fois, leur histoire, ce fut en arabe.

De même, c’est cette parenté ethno-linguistique chamito-sémitique qui détermina les Arabes à associer spontanément les populations maghrébines à leurs conquêtes du sud de l’Espagne et de la Sicile, en conférant la direction des opérations militaires à des «Berbères», c’est-à-dire Hamites. Preuve, encore une fois, de leurs affinités électives, fruit de leurs parentés intimes.

La longue histoire d’affinités électives des Chamito-sémitiques

Nous employons le concept d’affinité élective dans le sens sociologique du terme, et non romantique, tel qu’il a été popularisé par le romancier allemand Goethe.

Dans les sciences sociales, le sociologue Max Weber fut le premier à utiliser le concept d’affinité élective, notamment dans son célèbre livre L’Ethique protestante et l’esprit du capitalisme. Mais le concept était employé depuis l’époque médiévale, en particulier dans le domaine de l’alchimie, pour désigner le phénomène d’attraction et de fusion des corps.

Comme le rapporte le sociologue Michael Löwy, la thématique de l’affinité élective était très en vogue chez les alchimistes. «L’affinité est une force en vertu de laquelle deux substances diverses se recherchent, s’unissent et se retrouvent, dans une sorte de mariage, de noce chimique, procédant plutôt de l’amour que de la haine.»

D’abord popularisé par le romancier allemand Goethe (1749-1832), à l’époque de l’éclosion du romantisme, dans son roman éponyme publié en 1809, le concept désigne un type de lien particulier entre les âmes. Cette thématique sera transmuée en concept sociologique par Max Weber qui lui conservera néanmoins son acception originelle «choix réciproque», «attirance et combinaison».

Pour Max Weber l’affinité élective fonctionne quand deux éléments (entités, groupes humains), par congruence et attraction réciproque, sont liés par «un degré d’adéquation particulièrement élevé et entrent en rapport d’affinité élective, ils s’adaptent ou s’assimilent réciproquement, jusqu’à ce que, finalement, un développement d’une intime et inébranlable unité s’installe». Telle est la configuration des populations «chamito-sémitiques» (Maghrébins et Orientaux), au degré d’adéquation civilisationnel tellement élevé qu’ils se sont assimilés réciproquement, en vertu de la loi humaine de l’affinité élective.

Pour le sociologue Michael Löwy, «l’affinité élective est le processus par lequel deux formes culturelles – religieuses, intellectuelles, politiques ou économiques – entrent, à partir de certaines analogies significatives, parentés intimes ou affinités de sens, dans un rapport d’attraction et influence réciproques, choix mutuel, convergence active et renforcement mutuel.» Autrement dit, l’affinité élective désigne la mise en relation entre deux formes culturelles (politiques, économiques, intellectuelles, idéologiques, etc.) par le biais de parentés intimes, «d’affinité spirituelle» ou de «conformité intellectuelle et existentielle».

Cette définition s’applique aux caractéristiques anthropologique, historique, sociologue, culturelle, religieuse des populations chamito-sémitiques, autrement dit «berbères» et orientales, quoi qu’en disent (médisent) les berbéristes tribalistes, jamais en peine de tribulations atrabilaires.

Une chose est sûre, pour en finir avec l’ethno-différentialisme propagé par les berbéristes, afin d’éviter d’essentialiser la question identitaire algérienne, il serait plus pertinent d’user du terme Chamito-Sémitique pour désigner les populations maghrébines et orientales.

En finir avec l’ethno-différentialisme propagé par les berbéristes

Historiquement, après avoir surfé sur l’idéologie identitaire linguistique, matérialisée par les revendications légitimes de la reconnaissance de la langue kabyle, le berbérisme a fini par sombrer, depuis deux décennies, dans l’ethno-différentialisme.

Fondamentalement, c’est dans le contexte international de surgissement de la montée des extrêmes droites identitaires et nationalistes qu’il faut inscrire l’émergence de l’ethno-différentialisme berbériste, incarné, en Algérie, par le MAK, une mouvance ethniciste extrémiste et sécessionniste.

Le discours berbériste ethno-différentialiste se fonde sur une conception biologique de la race, l’éloge d’un enracinement ethnique, la fidélité au sang des ancêtres, la défense des traditions purement kabyles.

De manière générale, l’ethno-différentialisme est un concept élaboré par l’extrême-droite néofasciste. Selon ce courant ethno-différentialiste, des régions indépendantes divisées par ethnies devraient être instaurées. Ce mouvement prône la reconnaissance d’un héritage culturel inhérent à chaque ethnie, ethnie qu’il convient de préserver de toute altération raciale et pollution culturelle par l’érection d’un Etat indépendant, unique moyen de sauvegarder la communauté, car menacée de disparition, selon ces ultra-sectateurs.

Ainsi, sous couvert de la préservation de leurs langues, de leurs traditions, les partisans de l’ethno-différentialisme, notamment les berbéristes, prônent le repliement communautaire ethnique, l’autonomisme, l’indépendantisme. La rhétorique différentialiste s’emploie toujours à valoriser la différence ethnique, la spécificité culturelle, la pureté raciale, en l’espèce, dans le cas de l’Algérie, berbère, kabyle, aujourd’hui Tamazgha. Au nom de la préservation de la communauté, les chantres de l’ethno-différentialisme refusent tout métissage racial et culturel. Car, pour ces partisans de la pureté ethnique et culturelle, le métissage est assimilé à un génocide organisé à petit feu. Aussi, pour les ethno-différentialistes identitaires, seule une politique de repliement ethnique, matérialisée par la création d’un Etat indépendant, pourrait assurer la pérennité de la communauté. Telle est l’idéologie dominante du berbérisme ethniciste, notamment de sa mouvance extrémiste, le MAK.

Une chose est sûre : le surgissement de la mouvance berbériste ethniciste s’inscrit dans une phase aigüe de crise économique systémique mondiale sur fond de résurgence des populismes et des organisations néofascistes. Par ailleurs, ce mouvement réactionnaire identitaire berbériste s’insère dans un processus de décomposition socioéconomique et politique du système algérien. Processus accentué par une phase historique contemporaine, dominée par l’affrontement des puissances impérialistes qui n’hésitent pas à fomenter et à attiser les divisions au sein des pays pour mieux les asservir, les dominer, les exploiter.

K. M.

1- Tamazgha : nouveau concept construit par les berbéristes, véhiculant le mythe d’une «civilisation» tamazight qui aurait existé depuis le Maroc jusqu’à l’Egypte pharaonique en passant par les Iles Canaries. La perniciosité de ce concept, c’est qu’il postule l’unité sur une base ethnique exclusive, c’est-à-dire au détriment de l’arabité, pour ne pas dire contre les Arabes, en dressant le Maghreb (supposément ethniquement amazigh) contre le Machrek (l’Orient arabe). Ainsi, les partisans de Tamazgha prônent l’unification du territoire mais sur la division ethnique, matérialisée par l’exclusion (l’expulsion) des Arabes, considérés comme des étrangers. Ce concept de Tamazgha, idéologie pan-berbériste, recèle un potentiel projet de nettoyage ethnique. D’aucuns n’hésitent pas à proférer, en guise de menaces d’excommunication, des propos racistes : «Vous êtes venus d’Arabie, vous devez y retourner.» Ironie de l’histoire, la reconnaissance officielle de tamazight est purement idéologique. Pire : cette reconnaissance constitue une imposture linguistique.

Car, pour les locuteurs berbérophones, la langue amazighe n’est la langue maternelle de personne. Comme il n’existe pas une langue européenne, mais une multiple variété de langues européennes disparates, il n’existe pas de langue amazighe. Il existe la langue kabyle, la langue chaouia, targuie, etc. Cette reconnaissance s’intègre également dans le processus d’institutionnalisation du concept Tamazgha. Cette novlangue, fabriquée par des universitaires, demeure incompréhensible à la majorité des kabylophones, frustrés de ne pas comprendre le journal télévisé diffusé en tamazight, ni de pouvoir lire cette littérature académique truffée de termes hermétiques. Au reste, cette «crise de méconnaissance linguistique», qui vient se greffer elle-même sur une crise identitaire, a induit l’échec massif de la généralisation de l’enseignement en tamazight en Kabylie. Paradoxalement, les habitants de la Kabylie préfèrent inscrire leurs enfants dans des écoles privées françaises payantes que dans des écoles publiques dotées pourtant de classes tamazight.

Comment (47)

    lhadi
    24 juillet 2022 - 10 h 05 min

    Malgré les ambiguïtés, les apories ou encore les orientations idéologiques qui découlent de cette contribution, le citoyen algérien que je suis n’a nullement l’intention d’être le prote du comment – et pourquoi -.

    La responsabilité, qui anime le patriote que je suis, impose de prendre un peu de distance lorsqu’il s’agit de définir et d’évaluer les contenus et la portée d’une contribution qui va dans le sens de la personnification du chaos, du mal, ravivant l’appel des sirènes de la division, à la « balkanisation » du pays et/ou à la « Libanisation » de la société algérienne qui aspire à la paix et à toutes les valeurs qui forgent une société fraternelle.

    Les forces destructrices, drapées d’un blanc manteau, sont toujours à l’oeuvre, resurgissant sous d’autres formes à tel ou tel endroit du pays. Et tout se passe comme si l’on a rien appris du passé, alors que lui seul peut nous aider à prévenir ce qu’on pense inéluctable et à conjurer ce qu’on croit irréversible. Les ignorer est une coupable imprudence.

    L’Algérie d’aujourd’hui est une mosaïque de cultures. L’objectif premier est de faire nôtre la théorie du colibri pour oeuvrer à l’édification d’un Etat fort, d’une république solide, d’une Algérie apaisée, condition sine qua non pour désensabler le pays des maux inhérents au sous développement et le mettre à la taille des géants qui côrnaquent un monde de globalisation politiquement et économiquement injuste.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    Anonyme
    23 juillet 2022 - 19 h 57 min

    Malgré les ambiguïtés, les apories ou encore les orientations idéologiques qui découlent de cette contribution, le citoyen algérien que je suis n’a nullement l’intention d’être le prote du comment – et pourquoi -.

    La responsabilité, qui anime le patriote que je suis, impose de prendre un peu de distance lorsqu’il s’agit de définir et d’évaluer les contenus et la portée d’une contribution qui va dans le sens de la personnification du chaos, du mal, ravivant l’appel des sirènes de la division source à la « balkanisation » du pays et/ou à la « Libanisation » de la société algérienne qui aspire à la paix et à toutes les valeurs qui forgent une société fraternelle.

    L’Algérie d’aujourd’hui est une mosaïque de culture. L’objectif premier est de faire nôtre la théorie du colibri pour oeuvrer à l’édification d’un Etat fort, d’une république solide, d’une Algérie apaisée, condition sine qua non pour désensabler le pays et le mettre à la taille des géants qui cornaquent un monde de globalisation politiquement et économiquement injuste.

    Fraternellement lhadi
    ([email protected])

    ZYRIAB
    18 juillet 2022 - 15 h 12 min

    L’Analyse est des plus intéressante ,n’ayant ni les compétences ni la volonté d’en débattre je me contenterais éventuellement de laisser ce débat aux spécialistes et autres experts Et si on se contentais juste d’être « ALGERIEN » en mettant de coté ce débat sans dire stérile mais qui n’apporte absolument RIEN au développement de notre pays et de notre PEUPLE ¨Préoccupons nous à moderniser nos us et coutumes nos mœurs combattons le terrorisme intellectuel d’où qu’il vienne

    Mounira
    18 juillet 2022 - 12 h 47 min

    Rconnaisons les diversités culturelles qui font la richesse de notre pays et personne ne peut etre ce qu’il n’est pas. Je ne vois aucun probleme si les peuples de notre pays et le pouvoir reconaissent notre riche diversité. N’ajoutons pas de l’essence au feu de la division.

      TASSAÂDIT TASSADA
      19 juillet 2022 - 5 h 52 min

      @Mounira.

      Je ne comprends pas le sens de votre message qui divise beaucoup plus qu’il unifie LE peuple Algérien.

      Expliquez à l’ALGÉRIENNE que je suis le sens de votre phrase assassine : « …personne ne peut-être ce QU’IL N’EST PAS… ».

      CESSEZ vos manoeuvres de DIVISION contre LE PEUPLE ALGÉRIEN car PERSONNE ne vous suivra. Ne vous en déplaise.

      Tenez-vous-le pour dit. C’est une KABYLE du DJURDJURA et de AÏN EL HAMAM (ex-Michelet) plus précisément TRÈS FIÈRE D’ÊTRE ALGÉRIENNE AVANT TOUT AUTRE fausse CONSIDÉRATION !

      Dites-vous bien, marochi… que vous êtes : QU’EN ALGÉRIE IL N’Y A QUE DES ALGÉRIENS DU NORD AU SUD ET DE L’EST A L’OUEST !!!!!

      MOKRANE ATH OUGHLIS
      19 juillet 2022 - 8 h 29 min

      Melle. ou Mme. Mounira. Vos manoeuvres sordides de division contre l’Algérie et le peuple Algérien ne marcheront pas. Elles ne nous tromperont pas. Soyez en sûre et certaine. L’Algérie est UNE et INDIVISIBLE.

    Tin-Hinane
    18 juillet 2022 - 9 h 25 min

    Comme tout le monde sait c’est la France et les ennemis de l’Algérie qui sont derrière le berberisme. Le but du mondialisme c’est de détruire les nations et surtout une nation comme l’Algerie. Toutes ces histoires kabyles arabes n’ont pas de sens nous sommes tous des algériens et l’Algérie est une et indivisible. De toutes façons ce n’est pas la majorité des kabyles qui est dans cette lutte sans issue. Tahia El-Djazair

    Merbah
    17 juillet 2022 - 22 h 30 min

    Cette « histoire » à … créée de toute pièce entre « berbères » et « arabes » commence à me taper vraiment sur les nerfs car on n’en voit plus la fin. C’est comme l’histoire sans fin sur le sex des anges ou celui de la poule et de l’oeuf….. bêtise et connerie. Arrêtons ce cirque de bas étages mes frères !

    NOUS SOMMES TOUS DES ALGÉRIENS ET RIEN QUE DES ALGÉRIENS !!!

    Point à la ligne.

    En créant ce faux problème, nos ennemis veulent NOUS DÉTRUIRE….. yal khawa ! Faites gaffe yal khawa !!!

    130 ans de Lutte pour restaurer la NATION
    17 juillet 2022 - 16 h 51 min

    130 ans de Lutte pour restaurer la NATION ALGÉRIENNE et des Millions de MARTYRS de la LIBERTÉ ça ne vous Suffit pas ?
    Qui a besoin de se chercher des ADN, des langues ou des dialectes communs ?
    Le Nations ne se construisent pas pas affinités Ethniques, Culturelles ou Linguistique.
    LES NATIONS se CONSTRUISENT PAR L’HISTOIRE
    Et Comme dit le proverbe :
    “ Si tu ne veux pas avoir ton frère ALGERIEN pour frère alors tu mérites d’avoir son Ennemi pour Seigneur”
    ..
    Tahya El Djazair

      Anonyme
      17 juillet 2022 - 21 h 33 min

      “Les nations se construisent par l’histoire.” Exactement c’est pour ça qu’on doit connaitre la notre, la vraie. Celui qui ne connait pas d’où il vient… tu connais le reste. Le reste c’est du rih fi elberima y compris la plupart de ta “phrasiologie.”

        Oui Tout va bien
        18 juillet 2022 - 0 h 40 min

        L’histoire c’est pas la Linguistique ou l’ethnologie a 2 balles….
        Ce que je connais de l’HISTOIRE me suffit.
        Rassures toi, je sais tres bien d’ou je viens
        Je viens d’ALGERIE, de parents ALGERIENS.
        J’ai un Passeport et une Carte d’Identite ALGÉRIENNE
        Ah, Au Fait !
        Pour le DOSSIER on ne m’a pas demandé
        un Test ADN.
        Bonne Journée

        Phraséologie?
        18 juillet 2022 - 0 h 53 min

        Pour toi c’est de la phraséologie.
        Pour moi c’est le COMBAT de mes Parents.
        Oua El Hadith kiass

    ATH YEDJAR
    17 juillet 2022 - 15 h 05 min

    C’est quoi encore ce schmilblick de votre vocable « chamito-sémitique » monsieur Khider Mesloub ? Au lieu et place de notre seule et unique vocable national qui nous désigne au monde entier que nous reconnaissons et approuvons avec force : ALGÉRIENS ?

    Autant votre premier article était éblouissant et auquel j’avais adhéré pleinement autant votre second article, ici présent, est plus que décevant. Dommage !

    Sachez qu’en ALGÉRIE du Nord au Sud et de l’Est à l’Ouest….. IL N’Y A QUE DES ALGÉRIENS !!!

    Un point c’est tout.

    Comprenez-vous au moins cela, cher monsieur ?

    Intéressant mais on s'en fout!
    17 juillet 2022 - 13 h 39 min

    L’important c’est d’être Algerien, Republicain, Patriote, nationaliste et démocrate. Toujours bon de connaitre sa généalogie pour la culture mais nous sommes brassés au vue des invasions et des mouvements de la pollution personne en algerie peut se prentedre d’appartenir à une ethnie q 100%. Pour moi, etre Algeriein est le fait d’aimer ce peuple diverse, ses territoires, ses spécificités,.
    . Et prêt à mourir pour ce pays quelque soit sa région, sa religion, ses origines,….. Vive l’Algerie, Vive les Algériens, vive la République !

    Salim Samai
    17 juillet 2022 - 8 h 26 min

    Des Berberes, Arabes, Perses, Adorateurs de Serpent et Mouton, Juifs, Hindu et tout COEXISTENT ENSEMBLE en CITOYENS au sein de NATIONS sous la PROTECTION des MEMES LOIS á NYCity, Londres, Berlin & Paris!

    Soudain ils s´entretuent en Palestine, Soudan du Sud, « Kurdistan », Nigeria, R.C.A & en Cote d`Ivoire!
    Au Bled notre « Intelligentsia » fait mieux! Elle disserte d´Arabe-Langue du Coarn, Amazigh, Francais-langue d´El Istiimar et « Nos Origines »!

    Le Chinois qui NE DIT RIEN arrive á la fin: « Chat noir ou gris, l´essentiel est d attraper la souris » en
    Arabe, Amazigh, Hebreu, Francais ou Togolais! Miltaire OU Civil; pourvu qu´il soit INTÈGRE, GERE en conscience & sans T`Bouchik!

      Anonyme
      17 juillet 2022 - 15 h 28 min

      La langue national du chinois est le mandarin, d’origine chinoise. Elle ne vient pas d’ailleurs. Tout ce brouhaha qui ne cessera pas chez nous vient du fait qu’on a honte de tout ce qui vient de chez nous. Comme quoi il n’ya pas que la bouffe qui s’importe chez nous. Meme la langue et la culture passent à la gamelle. Tous les pretextes sont bons pour que ça vienne d’ailleurs.

    Salim Samai
    17 juillet 2022 - 8 h 05 min

    ARRETONS d`étre « Les Vandales » que les Romains ont DEFINI en ECRIVANT LEUR HISTOIRE!
    DEFINISSONS NOUS MEMES avec de NOUVEAUX Termes du Debat!
    Le mot « Arabe » est 1 Insulte comme l´etait « Juif » avant « la Judeo-Chretiente » INVENTEE apres la BOUCHERIE de l´Holocauste! Pareil avec Charia, Hijab, Foulard & Islam!

    Berbere, Arabe, Kurdistan, Chretiens du Soudan, Yazidi, Musulmanes á Kaboul & Minorites Chretiennes d´Orient opprimées, « Judeo-Chretienté », « Antisemitisme », Malala, Nadia Mourad, Foulard, Burkini, Mila, Califat, femmes en Iran (10000 Films, Documentaires, Livres & « Prix »), Jihadisme, Califat, EI-ISIS-IS-DAESH et 1001 abreviations sont les MAILLONS-INVENTIONS d´1 STRATEGIE:
    « ADHRAB HADHA B`HADHA » afin que NOUS DOMINIONS en fumant le cigare avec du thé!

    Ainsi on PANIQUE/fait peur, occupe son « Onpinion Publique » par de Faux Problemes et surtout on MASQUE & JUSTIFIE des AGRESSIONS INJUSTES et l´OCCUPATION! Du Vietnam á Gaza via la Syrie TOUTES les interventions US sont

    « Pour defendre NOTRE Liberty »! Aprés 9/11 Bush Jr. dit « Ils envient NOTRE Liberty »!
    Biden dit aujourd´hui: « L`Iran est le Danger! Les Arabes doivent S`ALLIER contre lui AVEC Israel! »
    Les USA ont perdu la raison! L´ « Expert » le plus idiot OBSERVE qu`Israel est le PROBLEME du M,.Orient et autour ou Israel & ses alliés Evangeliques NOURRISSENT les Guerres de Religions et 1001 autres INSTABILITES!

    C’est FATIGUANT ces histoires
    17 juillet 2022 - 6 h 06 min

    C’est pas cela qui donnera du TRAVAIL aux DIPLÔMES ALGERIENS ou qui nous fera créer des STARTUPS…
    Désolé mais ces débat commencent me SAOULER sérieusement.
    Tout Le Monde a un AVIS mais personne n’y connaît rien et puis Chamito-machin ou Truc…
    Franchement je m’en Fous complètement Après tout, ce n’est PAS MON DOMAINE
    Et J’AI MiEUX À FAIRE de mon TEMPS
    …CHACUN SON JOB !
    – Je laisse l’Histoire aux Historiens ALGERIENS qui y travaillent en ALGÉRIE
    – Je laisse l’Histoire des LANGUES aux LINGUISTES ALGERIENS qui y travaillent en ALGÉRIE
    – Je laisse l’Anthropologie aux Anthropologues ALGERIENS qui travaillent en ALGÉRIE
    ..
    Profitez de vos Vacances et de vos Familles et Félicitations aux Nouveaux BACHELIERS ! Bye

    Vietnam
    17 juillet 2022 - 5 h 11 min

    Voilà la DESCRIPTION “Ethnographique”
    de la Tribu MUONG des Hauts Platesux du ViETNAM hautement STRATÉGIQUE MILITAIREMENT
    Extrait :
    “ Les MUONGS, organisés en société féodale, continuent, par de nombreuses particularités dans leur organisation, la tradition et les coutumes d’autrefois.

    On peut voir, sans doute, dans leurs
    agglomérations, des sortes d’ilots ethniques qui, ayant été soustraits aux métissages et à ‘évolution historique subie par l’ensemble du pavs vietnamien. nous donnent un exemple de sur-vivance des FORMES SOCIALES ANCIENNES.
    Ce seraient des PROTO-VIETNAMIENS, objet d’une importante étude de Jeanne Cuisinier.
    ……….
    SOURCE :
    https://www.persee.fr/doc/bmsap_0037-8984_1962_num_3_4_1200
    …………….
    LA SUITE : Peuple des montagnes …
    …..
    Les Muongs représentent la plus importante des 53 minorités ethniques reconnues aujourd’hui dans le cadre de la population du Vietnam. Ils sont environ 1,2 millions. Proches du peuple Thaï, ils ont subit l’influence des Chinois, que ce soit dans leurs coutumes ou dans leurs langues. Ils vivent dans les montagnes du nord du Vietnam, à l’ouest d’Hanoi, dans les provinces d’Hoa-Binh et de Thanh Hoa.
    ….>>>La VICTIMISATION
    A l’époque, et c’est bien souvent le cas encore, ces minorités sont exclues des milieux d’affaires et des centres de décision de l’Indochine. Non pas particulièrement par les Européens, mais plutôt par le peuple vietnamien, habitant les plaines et les côtes du pays. Une HAINE s’est ainsi développée entre ces deux peuples au cours des siècles.
    …>>> L’OBJECTIF
    Aussi, leur incorporation aux côtés des troupes françaises s’en trouve facilitée.

    SOURCE
    http://www.souvenirfrancais-issy.com/article-le-1er-bataillon-muong-112046843.html
    …,
    Ces TECHNIQUES n’ont pas marché ni en ALGÉRIE ni au VIETNAM

    ,

      Salim Samai
      20 juillet 2022 - 8 h 10 min

      VOUS AVEZ raison! Moi aussi, JE suis coupable! Je le sais!

    Basta
    17 juillet 2022 - 0 h 47 min

    une contrivution qui n’a pas lieu d’ etre en ces temps troubles

    Rachid Tazoulti
    17 juillet 2022 - 0 h 31 min

    Avec tout le respect que je dois à l’auteur… !

    Je trouve cette contribution tirée par les cheveux et stupide. Un mélange de ce que des historiens acquis à la francité écrivent sans véritable référence.

    Juste un commentaire : Les arabes ont pris pour leur compte la traduction de berbère pour dire des Numides qu’ils vont d’une terre à une autre (Min El Beri ila Lbéri).

    Tout le reste se déconstruit de lui même. …

    DZ
    16 juillet 2022 - 22 h 14 min

    L HISTOIRE C EST LHISTOIRE QUE L ONT SOIT DU NORD DU SUD DE LEST DE LOUEST QUE L ONT SOIT KABYLE CHAOUI ORANAIS TOUARAEGUE NOUS SOMMES TOUS DE CE PAYS L ALGERIE NOUS DEFENDRONS LE DEFENDRONS NOTRE DRAPEAU DES CHOUADAS SONT MORTS POUR NOTRE LIBERTEE LES AMERICAINS ONT CONTRUIT UNE NATION RS A PARTIR DE L IMMIGRATION DE DIVERSES ORIGINES PAS UN AMERICAIN NE REFUSERAIT AUJOURDHUI DE SE BATTRE POUR SON DRAPEAU ET SON PAYS

    anonyme
    16 juillet 2022 - 20 h 57 min

    C’est la langue qui, au final et dans le doute, explique tout ! La langue est la seule variable anthropologique qu’un peuple ne perd jamais. Or, il se trouve que si le berbère est parlé exclusivement en Afrique et l’arabe est né en Arabie, avec ses variantes géo-linguistiques que sont l’hébreu et l’araméen. Le berbère est une langue à part, avec ses propres variantes. Les langues évoluent en effet au rythme de l’environnement ! Ainsi, le chaoui n’a qu’un seul mot – générique- pour tous les poisson (« isalman »), contrairement aux Rifains ou aux Soussis qui peuvent dénommer toutes les espèces. Ainsi encore, les Kabyles n’ont pas de mot pour « palmier-dattier- quoi de plus normal puisqu’il ne pousse pas en Kabylie – quand les Chaouis utilisent « tazdaït ». Etc. etc. M. Mesloub, « tamazight » est une construction logique, quand on sait comment reconstruire des morphèmes … Nous sommes tous Algériens, certes, et il est bon de construire une nation, mais cette nation doit partir sur de bonnes bases : son Histoire ! Non celle d’envahisseurs … Allah a créé la différence, ce n’est pas aux Arabes de nous imposer leur vision du monde.

      OBJECTIF : Précarité Identitaire
      16 juillet 2022 - 23 h 41 min

      L’Objectif de ces Thèmes et de ces Campagnes est de nourrir chez les ALGERIENS un Sentiment de PRÉCARITÉ IDENTITAIRE pour AFFAIBLIR ses DÉFENSES contre des AGRESSIONS Extérieures.
      …Ça relève de la manipulation mentale.
      ….Il faut être très Très VIGILANT.
      La LOI ALGERIENNE définit très CLAIREMENT qui est ALGÉRIEN ou ALGERIENNE ou comment le Devenir.
      .
      Au Fait, n’attendez pas la Dernière Minute pour RENOUVELER vos Documents CARTE D’IDENTITÉ ou PASSEPORT.

    Hocine-Nasser Bouabsa
    16 juillet 2022 - 20 h 54 min

    Ya si Mesloud, votre contribution sur le mythe du berberisme était excellente. Elle était très suffisante pour faire réfléchcir beaucoup d’Algériens tentés quelques fois par le makisme parisien.

    La contribution d’aujourd’hui est contre-productive, puisque elle ranime le « débat » identitaire futile. Bien, qu’elle est certes de valeur académique, pour tout lecteur qui ne connait pas vos écrits, elle sonne comme une recherche commandée par les Saoudiens (ce qui est évidemment faux).

    L’amazighité est le foyer culturel des Algériens, même si la grande majorité ne parle plus le kayble, chaoui ou autre langue berbère. Tamazgha est un concept politique en cours de développement. Sachant que le panarabisme a échoué. L’Algérie est donc dans le besoin d’en trouver une substitution. Celle doit englober aussi le Sahel et Tamazgha peut en servir de socle. La langue est secondaire. Le plus important c’est le fondement idélogique.

      Pardon monsieur
      17 juillet 2022 - 5 h 43 min

      Les Pays d’Afrique du Nord méritent mieux que le
      Développement” de Concepts ethno-linguistiques développés dans des Laboratoires d’anthropologie Militaire qui nient et refusent l’idée même de NATION aux INDIGÈNES non Occidentaux.
      Il ne faut pas être NAÏF…
      Quand au dit Panarabisme où Nationalisme
      Arabe (basé aussi sur la langue arabe), mouvement fondé au passage par des “Arabes” CHRÉTIENS
      il a Disparu…mais il a joué son rôle pour lutter contre la Colonisation et Nasser a vu son Pays envahi à SUEZ pour ses Positions..y-compris sur l’ALGERIE.

      Je suis d’accord avec vous sur un point.
      ON A TOUS MIEUX À FAIRE
      comme TRAVAILLER au DÉVELOPPEMENT de PAYS :
      – RÉFORME de L’ÉCOLE ( Histoire, Philosophie, Instruction Civique, Mathématiques et Sciences)
      – L’EAU et l’Amenagement du Territoire
      – Oui, bien sur, les Réformes de l’Administration Territoriale
      – La Transition ÉNERGÉTIQUE
      / Le Changement CLIMATIQUE
      – La Réforme Bancaire
      – Ect….

        Hocine-Nasser Bouabsa
        17 juillet 2022 - 10 h 19 min

        @ Mon concept de Tamazgha n’est pas basé sur la langue, l’éthnicité ou la race. Mais sur une idéologie progressiste, sociale et écologique.

    Algérien Pur Et Dur
    16 juillet 2022 - 18 h 58 min

    Mr Mesloub, quand je me repète à moi même une phrase en chaoui, de préférence une phrase libre de toute intrusion de la langue arabe, et je me la traduit ensuite à moi même en arabe, je me rends à l’évidence qu’il n’y a, contrairement à ce que vous dites, aucune parenté ou affinité entre les deux langues. Même la construction des deux phrases sont grammaticalement et ethimologiquement différentes. S’il y’a aujourdhui beaucoup de mots arabes dans les parlers berbères, c’est tout simplement du au fait que les parlers berbères ont perdus beaucoup de leurs mots du fait que ce sont des dialectes oraux. Je me suis aussi soumis a une analyse génétique pour être sur. Le résultat: 94.8% nord africain, le reste partagé entre l’europe de l’ouest et celle du sud. Ce qui ne m’étonne pas puisque les tribus chaouis traditionellement isolées, du moins celles dont je suis issu, dans leurs montagnes se mariaient jusqu’à un passé très recent entre elles. In n’y avait rien en moi d’arabe puisque ils avaient une base de données et une classification différente pour les arabes. En fait, un ami de Laghouat qui se croyait arabe n’était en fait que 15% arabe et le reste partagé entre berbère (50%), subsaharien (25%) et le reste avec un point d’interrogation. Suffit de dire qu’il ne se dit plus arabe. Le but du centre amazigh (je ne me rappelle pas exactement de son nom officiel) est de faciliter la création d’une langue commune à tous les parlers berberes de la région. Malheureusement il a largement échoué dans mon opinion due aux entraves, l’applaventrisme, les conflits internes ou les trois à la fois. Tout cela pourrait être résolu facilement et officiellent en soumettant ceux qui le veulent à un test génétique gratuit. Pourquoi vous n’en faites vous pas l’expérience et partager avec nous les résultats. Laissons la science decider pour nous. La science n’a pas de sentiment ni de faux parti pris. Le reste n’est que du bla bla bla.

      chaouiaussi
      16 juillet 2022 - 20 h 46 min

      M. Mesloub a tout faux, sur la langue et l’origine ethnique des Imazighen. Les Arabes sont venus en Afrique en traversant la Mer rouge, comme les Phéniciens sont venus du Liban … « Shamito » et « sémitique » veulent dire la même chose ; le « ch » et le « s » (issus de l’arabe ou de l’hébreu anciens, Sem et Cham) sont deux phonèmes interchangeables en sémitique. Ce sont les anthropologues et linguistes juifs qui tiennent absolument à nous mettre sous le coude des Banou Israel, originaires d’Arabie comme tout bon historien sait !

      Bizzarre et Triste
      16 juillet 2022 - 23 h 21 min

      Combien d’Allemands, d’Americains, de Français, ont besoin de faire un test ADN pou se Sentir Mieux ?
      C’est TRISTE !
      …..
      Je suis ALGÉRIEN, j’ai un Passeport ALGÉRIEN depuis l’Age de 16 ans.
      J’Appartiens a la NATION ALGÉRIENNE qui est ni Ethnique, ni Tribale, ni Religieuse.
      ..et Je me sens tout a fait SEREIN et je ne ressent AUCUN BESOIN DE TEST ADN.

        Algérien Pur Et Dur
        17 juillet 2022 - 15 h 56 min

        Toi qui semble utiliser les mots de manière si cavalière, il n’y rien de bizarre ni triste dans ce que j’ai dit. Moi j’ai osé chasser le doute et vivre pleinement dans ma sérénité en tant qu’algérien. Libre à toi de vivre la tienne dans le doute. Après tout comme disent les anglais ignorance is bliss. Du moins pour certains.

          Bliss ?
          18 juillet 2022 - 16 h 04 min

          May be..
          Can understand the Questioning, but Feeling the “URGE” to do that still looks “awkward” to me.
          No Offense though
          Have a Nice Day

    Aux Origines des identités coloniales
    16 juillet 2022 - 15 h 32 min

    Je recommande de LIRE
    ….
    Imperial Identities: Stereotyping, Prejudice and Race in Colonial Algeria
    by Patricia M.E. Lorcin
    Professor of History at the University of Minnesota,
    ….
    Je n’ai pas Essayé la TRADUCTION
    en Français mais Bon, il parait qu’elle existe :
    ….
    https://journals.openedition.org/assr/11183
    Référence papier
    Patrick Cabanel, « Patricia M.E. Lorcin, Kabyles,Arabes,Français : identités coloniales », Archives de sciences sociales des religions, 140 | 2007, 157-310.
    Référence électronique
    Patrick Cabanel, « Patricia M.E. Lorcin, Kabyles,Arabes,Français : identités coloniales », Archives de sciences sociales des religions [En ligne], 140 | octobre – décembre 2007,
    document 140-56, mis en ligne le 02 juillet 2008, consulté le 14 juillet 2022. URL : http://journals.openedition.org/assr/11183 ; DOI : https://doi.org/10.4000/assr.11183

    Chapeau bas Mr KHIDER MESLOUB
    16 juillet 2022 - 14 h 30 min

    Excellent article qui reflète la pure réalité, limpide, évidente, logique, qui conforte tous les écrits d’éminents historiens à l’image de la publication ici présente du journaliste KHIDER MESLOUB.
    Niée l’évidence ne pourra JAMAIS modifier l’histoire de l’évolution des hommes et leurs promiscuité favorisant leurs assimilation et unions.
    Encore une fois cette article doit-être préserver et mis à la connaissance de nos enfants et petits enfants pour nous permettre de marchés côte à côte en regardant vers les mêmes directions et les atteindre ensembles.

    DZ
    16 juillet 2022 - 14 h 22 min

    A VOUS LIRE ILS N YAVAIT PERSONNE EN ALGERIE AVANT L ARRIVE DES ROMAINS ARABES DES TURCS ET DES FRANCAIS VOUS OUBLIER LES NUMIDES MASSINISSA ETAIT IL ARABE CEUX QUI VIVENT DANS LES TENTES SON DE DESCENDANCE BENI HILLALS QUI ONT CONSERVE LEUR US ET COUTUMES EN ARRIVANT AVEC L ISLAM LES ALGERIENS NUMIDES ONT LEUR COUTUMES LEURS VILLAGES SONT AUTRES CEPENDANT NOUS SOMMES TOUS ALGERIENS ET DEVONS DEFENDRE NOTRE PAYS ET NOTRE DRAPEAUX D UUU

    Ameziane
    16 juillet 2022 - 13 h 08 min

    Il me semble que l’ auteur maitrise mal le sujet en question, je le dis en toute modestie et du haut de ma petitesse. Le berbérisme ne peut s’ inscrire dans un cadre ethniciste, impossible, c’ est totalement contre nature, le berbérisme ne peut que s’ inscrire dans le cadre Algérianiste d’ où il est né et d’ où il a été forgé, surtout si on pense à la légende identitaire benaï ouali figure du combat révolutionnaire Algérien. Le berbérisme comme il a été appelé par les délateurs, n’ est aucunement dans le rejet, il est dans l’ addition pluraliste dans un cadre de protection authenticiste mais aucunement dans la marginalisation de l’ arabité, parler de repli etc n’ est que décors fantasmatique pour une subjectivité directionnel personnel. Je suis un véritable berbériste ou du moins un Algérianiste berbéro- Nationaliste, je suis un authentique patriote Algérien Nationaliste et ne crois pas qu’ il y en est un de vous qui s’ oppose au MAK plus que moi.
    Contrairement à certains chamboulés, je ne vais pas puiser, presque par mendicité, une identité « asiatique » ( moyen orient) ou essayer de trouver des traits d’ union tiré par les cheveux, toujours là à aller chercher ailleurs alors que tout se trouve devant nous.

    Dire du MAK qu’ il est berbériste est totale une ineptie car il est tout le contraire de l’ Algérianisme.

    Avez vous oubliez ou feignez vous peut être que ce que les arabistes ( messali hedj exclave assidu de l’ idéologie arabo- baathiste du khariji chekib arslan) qualifiaient de berbéristes, se nommaient eux mêmes  » Algérianistes » et ont même inventé et crée le concept d’ Algérie Algérienne ? Amar imache fondateur de l’ étoile Nord Africaine était aussi un berbériste, au même titre que Benaï Ouali, connu pour leur rage forcenée anti colonial seraient donc pour vous des agents idéologique de la France, waw, rien que ça.
    Le MAK est plutôt Kabyliste ou du moins tout simplement indépendantiste, il n’ a absolument rien de berbériste ni de pres ni de loin, étant moi même un patriote Algerianiste berbéro- Nationaliste ( berbériste), je refuse avec force que l’ on associe le MAK avec le berberisme, c’ est une offense au combat Nationaliste noble du berbérisme.
    Au Maghreb il y a des berbéro- musulmans et non pas des arabo- musulmans. L’ Indonésie plus grand réservoir de musulmans au monde n’ est pas arabo- musulmane que je sache. Le véritable racisme consiste à accuser de raciste ou de puritain celui qui veut préserver une « authenticité » ( et non pas pureté) identitaire. Le véritable raciste est celui qui accuse autrui de racisme car il refuse une injection ou injonction d’ un ou d’ éléments étrangers dans son authenticité, et puis quel honneur ? Pourquoi ? Et pourquoi faire ? Dans quel but ? A quoi bon ???
    Quant à tamazight, je l’ ai proposé ici il y a plus de 4 ans mais personnes n’ avait voulu me lire sérieusement. J’ avais dis qu’ il était nécessaire de créer une langue Tamazight fos- ha( litteraire, académique) comme il existe par exemple l’ Arabe fos- ha et dont l’ Algérie serait l’ instigatrice de manière collégial avec les pays du Maghreb afin de mettre sur pied rapidement une grammaire, des mots, verbes etc etc etc communs avec un seul parlé Amazigh international afin que tous les Amazighs du Maghreb et les arabophones maitrisant la langue Amazigh, se comprennent parfaitement à travers d’ abord avec tous les Algériens Amazighs et du Maghreb de demain en général et ainsi éviter les quelques différenciations de mots, accents, prononciations qui peut exister d’ une région berbérophone à une autre région berbérophone.
    Je finirais par dire que celui qui parle de berbérisme ( combat berbère local légitime en terre berbère pour contrer l’ imposture de l’ arabisme étranger) et qui ne dénonce pas avec virulence l’ arabisme est un arabiste pur jus qui ne dis pas son nom…

    dz
    16 juillet 2022 - 12 h 52 min

    si on monte a plusieurs millenaires les peuplades du mondes etait composees au debut de tribus pour se former aux cours de histoire en village en region et en etats les termes berbere etait effectivement donne par les romains aux numides que nous sommes pour designer les designers nous etions etrangers a leur culture les arabes se sont implantes en algerie avec l islam dire que nous sommes arabes pas du tout ceux qui descendent des beni hilals certainemant apart l islam je n ai aucune affinite avec les arabes comme avec les turcs les francais je suis un numide en somme un fils de mon pays comme massinissa d ailleurs la langue arabe litterale m est etrangere le derja oui chacun sa culture les arabes sont des asiatiques meme phisiquement ont ne ressemble pas alors arrete de nous arabiser de force semer le doute ce sont les descendants des beni hillals qui ont conserve leurs mode de vie et leur tentes en algerie regarde les villages dans les aures et kabylie leurs compositions vie massinissa jugurtha sifax sont mes ancetres le ts e u t

    Adhrar DZ
    16 juillet 2022 - 11 h 01 min

    Monsieur Mesloub, bravo ! Pour cette recherche, cette analyse très proche de la réalité Loin des illusions du congrès mondial amazigh ongiste pour disloquer l’État-nation, représenter par un drapeau ADN , imposer, pour se démarquer, nous rejetter, nous, peuple algérien non berberistes.
    Mon grand-père at yarhame Rabi a vécu presque un siècle, il était né en 1900 , quand il désignait notre région comme l’époque de ses ancêtres,il disait « IGUAWAWANE  » , quand il se déplaçait ailleurs par exemple « Iflissene  » jamais il a parlé du grand tamazgha ni d’une existence d’une dawla kabyle surtout pas l’existence d’un drapeau ethnique et raciale. Ses frères se prénommaient Mohand Arab, Mohand Larbi , aujourd’hui les berberistes nous apprennent que nous avons été forcés à accepter notre religion et pourtant dans tous les livres d’histoires à travers le temps n’ont jamais raconté que Okba Ben Nafaa est allé au Djurdjura .

      anonyme
      16 juillet 2022 - 21 h 03 min

      Tu est un Berbère – zwaoui (« zouave » en français) – avant d’etre musulman ! Ne mélange pas tout. Rien ne t’empeche de prier Allah et d »etre berbère/

    linguiste
    16 juillet 2022 - 10 h 21 min

    Vous avez tout faux M. Mesloub ! Je vous reconnais un talent d’analyste marxiste, mais en linguistique, vous êtes à côté de la plaque … Tamazight est un néologisme construit en s’appuyant sur la morphosyntaxe du berbère actuel. Et le berbère est bel et bien une langue unique africaine qui n’a rien de « sémite » ni de « shamito », deux vocables qui se signifient la même chose. La classification des langues est le fait de linguistes occidentaux, très majoritairement juifs, qui ne perçoivent pas le monde sans une judaïté universelle ! Dites-moi en quoi le chaoui, le kabyle, le rifain ou le chleuh se distinguent ? Ils sont des variétés géo-linguistiques d’une même langue. De même que toutes les langues, le berbère a également emprunté ou subi. Vous ne tuerez pas le berbérisme en rapprochant le berbère au Proche Orient ou à l’Arabie. Je dis « assa », quand les Saoudiens disent « ghadan » et les Libanais « boukra » …

      Slim Bensali
      16 juillet 2022 - 11 h 54 min

      Permettez moi de dire qu’il suffit de s’enfoncer dans les coins les plus reculesde ce grand territoire du Maghrdb au Proche et Moyen Orient et cotoyer les bedouins qui le peuplent actuellement pour comprendre que Monsieur Mesloub a vraiment raison.

      Afro-asiatique ou Chamito-sémitique
      16 juillet 2022 - 12 h 33 min

      Trop de gens RÉPÈTENT sans se Documenter.
      Bien sûr que les 2 DÉSIGNATIONS Existent
      ….
      Les langues afro-asiatiques sont aussi appelées chamito-sémitiques.
      Afro-Asiatique nmf. nom masculin et féminin: nom à la fois masculin et féminin. Ex : « pianiste = un pianiste ou une pianiste ». (d’Afrique et d’Asie) Afro-Asian n. noun: Refers to person, place, thing, quality, etc.
      ….
      The name Afro-Asiatic gained wide acceptance following the classification of African languages proposed in 1955–63 by the American linguist Joseph H. Greenberg. Scholars in the former Soviet Union prefer to call these languages “Afrasian.” The name Hamito-Semitic (or Semito-Hamitic), although occasionally still used, is largely considered obsolete; many scholars reject it because it is linguistically wrong—there is no linguistic entity “Hamitic” to be contrasted, as a whole, to “Semitic.” Other designations, such as Erythraean and Lisramic, have gained little acceptance.
      Ref.
      https://www.britannica.com/topic/Afro-Asiatic-languages

        A méditer
        16 juillet 2022 - 20 h 21 min

        Quelqu’un a dit :
        “..Si tu ne veux pas de ton frère Algérien comme frère alors tu mérites d’avoir son Ennemi comme Seigneur..”

      azulaman
      16 juillet 2022 - 17 h 03 min

      Merci pour votre commentaire ,mais je ne sais pas si il est lu ou compris par la personne
      qui a produit ce texte.

      Enarkom
      16 juillet 2022 - 21 h 43 min

      Que dois-je répondre à des propos pareils, insultants et aplaventrismes sinon que c’est du déjà vu à lépoque de la guerre d’Algérie, un de nos voisin( sans le nommé par respect à ses enfants) disait à mon père arrête de répéter que tu es Algérien, nous sommes des Français. Aujourd’hui vous dites  » arrêter de dire que nous sommes des Amazigh, nous sommes des Arabes ». SVP soit Arabe et laisse les Autochtones revendiquer leurs origines

      anonyme
      17 juillet 2022 - 0 h 40 min

      @Linguiste
      16 juillet 2022 – 10 h 21 min
      Vous avez tout faux M. Mesloub !

      Et toi tu as tout juste ?

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.