L’Algérie n’a pas apporté sa brique à l’édifice des BRICS

BRICS non-adhésion
Le groupe des BRICS au dernier Somment de Johannesburg. D. R.

Une contribution de Mohamed-Salah Benteboula – A l’issue du 15e Sommet du groupe des BRICS, qui s’est tenu du 22 au 24 août dans la ville de Johannesburg (Afrique du Sud), six nouveaux membres (Arabie Saoudite, Argentine, Egypte, Emirats arabes unis, Ethiopie et l’Iran) rejoindront le groupe à partir du premier janvier 2024.

Au départ, un indicateur financier, l’idée des BRICS a été formulée par Goldman Sachs dans un rapport de 2001 intitulé «The World Needs Better Economic BRICs». En 2006, le concept a permis le groupement incorporé dans la politique étrangère du Brésil, de la Russie, de l’Inde et de la Chine. L’Afrique du Sud a rejoint ce groupe en 2010 devenant BRICS.

Depuis la demande d’adhésion de l’Algérie aux BRICS en 2022, les lignes directrices,  les critères et les procédures du processus d’expansion du groupe ont été au centre des discussions et des débats au sein des médias. Chacun y va de son analyse sur l’aspect des critères : l’aspect économique, l’aspect géopolitique de la guerre en Ukraine et le vote des résolutions de l’Assemblée générale de l’ONU.

Selon le gouvernement algérien, la non-adhésion de l’Algérie aux BRICS ne dénature pas sa nouvelle position, énonçant l’orientation vers l’Asie centrale et l’Asie comme l’un des axes de la politique étrangère du pays.

Compte tenu de la dimension internationale que revêt le groupe des BRICS et de la nécessité d’adapter le pays aux mécanismes de la gouvernance mondiale, tout l’enjeu est de proposer la création d’une mission gouvernementale sur les raisons de la non-adhésion aux BRICS. Cette mission établira un rapport détaillé sur le rôle des ministères dans le cadre des étapes visant à mobiliser l’appui de la candidature du pays pour son adhésion en tant que membre au sein du groupe des BRICS

L’orientation de la politique étrangère du pays vis-à-vis des conclusions du dernier sommet des BRICS soulève des questions quant aux perspectives de renforcement des relations économiques avec les  11 pays membres du groupe. Ainsi, le but de cette contribution écrite est de formuler cinq questions relatives à la diplomatie économique :

1- La non-adhésion à l’Organisation mondiale du commerce a-t-elle eu un impact ?

2- Quels ont été les rôles du Produit intérieur brut (PIB) et du  taux de contribution du secteur industriel au PIB dans la valorisation du processus d’adhésion ?

3- Sur quelle base de prévision a été approuvée la demande du pays à rejoindre les BRICS ?

4- Quel sera l’avenir de la participation du pays (avec une contribution de 1,5 milliard de dollars américians) au capital de la Nouvelle Banque de développement relevant des BRICS ?

5- Qu’en est-il du modèle de pays partenaires du groupe et de pays partenaires potentiels ?

M.-S. B.

Géographe

Comment (16)

    Anonyme
    3 septembre 2023 - 16 h 40 min

    Ben si c’est seulement économique , la Russie et la Chine nos amis et alliés traditionnels , vous ne verrez pas d un mauvais oeil notre future demande d adhésion à l OTAN . Oui vous m avez bien lu tous notre future adhésion à l OTAN, Lavrov on a ni prestige ni poids l Algerie donc tu ne peux que t asseoir dessus . Moi perso ça aurait été ma réponse à Lavrov et nos amis traditionnels, Go USA ! Mouto darwak le Brics et tt ces bâtards avec . Je vous ai dit on a pas utilisé ttes nos cartouches algériennes ! ????????????????????????????????????????????. Ben oui ds un cadre de protection de la Méditerranée l Algerie est une entrée en Europe et en Afrique Mr Lavrov . J ‘t ai dit bla mouk rlefhalelkom Lavrov et cpie . Hihihi ????. . Vive l Algerie ! ????????

    CHARTE NATIONALE pour l’ECONOMIE.
    3 septembre 2023 - 8 h 45 min

    CHARTE NATIONALE pour l’ECONOMIE horizon 2050.
    ..
    Un large DÉBAT doit être lancé qui sera tranché par un RÉFÉRENDUM

    Aurès
    2 septembre 2023 - 15 h 27 min

    L’ Algérie doit tirer une leçon de sa non adhésion au brics. Elle doit comprendre qu’un club se compose d’éléments qui ont à la fois des points communs politiquement , des convergences d’intérêts économiques et géostrategiques. Il est évident que le point sur lequel l’Algérie s’est vue refuser son entrée dans les brics est le volet économique. Qu-a- fait l’ Algérie en 60 ans comparativement à la Corée du Sud en 70 ans ou encore au Vietnam qui s’est libéré qu’en 1975 d’une double guerre (France de 45 à 54 et des usa de 54 à 75 ) qui lui a coûté trois millions de morts ? L’ Algérie n’a aucune circonstance atténuante pour justifier une situation économique cliniquement morte depuis 60 ans à part vivre de sa rente pétrolière et gazière voire survivre lorsque le prix des hydrocarbures chutent. Cette situation d’une dépendance des hydrocarbures ne peut permettre à l’Algérie de s’affirmer comme une puissance régionale et continentale, alors qu’elle a tous les atouts et moyens pour devenir même une puissance mondiale qui compte et d’être au moins dans le top 30 d’ici 2050 si elle met les bouchées doubles :
    1 – Devenir la première puissance agricole du bassin méditerranéen et de l’ Afrique. Les capacités sont là tant au niveau humain que financier.
    2- Devenir la première puissance bovine, ovine et volaille d’Afrique et du bassin méditerranéen.
    Ces 2 domaines d’activités permettront d’occuper en masse une jeunesse oisive sans très grand niveau d’ instruction pourvu que l’encadrement et des ingénieurs agronomes encadrent et managent tout ce monde. Ces 2 domaines peuvent générer facilement un million d’emploi.
    3- Assurer sa souveraineté hydraulique par la multiplication des unités de déssalement que l’ Algérie a besoin au moins au nombre d’une centaine pour briser le stress hydrique au niveau de la consommation domestique et gérer intelligemment ses réserves d’eau fossiles qui sont parmi les plus importantes au monde et le monde sait que demain la guerre de l’eau fera rage sur la planète.
    4- Faire de sa pétrochimie et de son industrie pharmaceutique des moyens indispensables pour toute l’Afrique en prenant des parts de marché dans le monde occidental.
    5- L’ activité du bâtiment et des travaux publics doit s’ étendre à toute l’Afrique pour construire des routes, ponts, tunnels et bâtiments. L’ Algérie dispose de toutes les matières de bases pour se faire ( bitume, ciment, fer, etc..). Ce 4 ème domaine pourrait générer aisément aussi un million d’emploi en incluant l’exploitation des matières premières(mines, carrières) liées au bâtiments et travaux publics. Là aussi une bonne partie des emplois n’ a pas besoin d’une main d’œuvre de haute qualification pour se faire.
    6- l’industrie algerienne dispose de bases non négligeable et pourrait s’imposer en Afrique et dans de nombreux domaines ( tuyauterie, plomberie, revêtements de sol, ouvrages en béton, pieces détachées, vitrages, électricité, chauffage, éléments p.v.c, panneaux solaires, sanitaires, etc..).
    7 – Les domaines de la recherche ne doivent surtout pas être négligés et un pôle scientifique algerien digne de ce nom doit être le premier et le plus grand d’ Afrique regroupant aisément ses 15 à 20 mille chercheurs dans tous les domaines pour rattraper le temps perdu pour attirer en priorité les meilleurs chercheurs algériens de l’étranger et retenir ceux qui aspirent à vivre sous d’autres cieux.
    Si l’Algérie injecte chaque année dans ces 7 domaines 14 milliards par an ( 2 milliards par domaine ) durant 10 ans , en 2033 l’Algérie aura certainement un autre visage, une autre place dans le giron des nations. Elle sera un exemple et féderera nombre de nations du Sud global et notamment Africaines qui se rallieront naturellement à une l’Algérie crédible et se sentiront en confiance par le potentiel et les moyens dont dispose désormais l’Algérie pour être entendue, écoutée et suivie. Cette unité qui se dessinera derrière l’Algérie ne pourra que s’affirmer et grandir tant que l’Algérie poursuivra son objectif d’être dans le top 30 d’ici 2050. Cette nouvelle position géo- économique de l’Algérie sera la meilleure arme pour défendre la souveraineté de l’Afrique et faire entendre ses revendications et prendre une place de choix parmi ceux qui décident de l’avenir du monde.
    Bien à vous.

    Mahdi Nosaure
    2 septembre 2023 - 11 h 13 min

    N’ayant jamais considéré ces Brics comme étant d’une grande portée philosophique scientifique ou spirituelle ou que mon ignorance à son sujet allait aggraver mon indigence intellectuelle , j’avoue ignorer maintenant tout des modalités d’adhésion à ce groupe de pays qui ne sont pas des modèles de réussite sociale ou économique . Ceci dit , jusque-là les informations que j’ai pu recueillir n’ont rien changé à mon manque d’érudtion.

    Si , donc, on ne nous avait pas présenté ces Brics comme la Mecque des pays ayant réussi et l’adhésion en leur sein comme une consécration nous n’en serions pas là à regretter ce rejet ou à faire comme le renard et les raisins.

    Or, avec seulement un chouia de modestie nous reconnaîtrons que si on avait été accepté cela relativiserait beaucoup l’importance de ce groupe. «Jamais je ne voudrais faire partie d’un club qui accepterait de m’avoir pour membre ». Disait Groucho Marx.

    Les relations avec le monde sont ouvertes, et cela dépasse , l’appartenance à un groupe. C’est en son propre sein qu’il faut puiser la force de son propre développement et non d’une appartenance à une Oumma quelconque.

    Quand chaque individu comprendra que son sort est entre ses mains et que collectivement nous aurions compris la même chose, et qu’enfin nous passerons aux actes , alors nous sortirons de notre misérable condition d’assistés.

    Algerien Pur Et Dur
    1 septembre 2023 - 22 h 37 min

    Si l’idée de rédiger un éditorial sur ce sujet me venait à l’esprit, voici comment je le titrerais : « Les BRICs : Un Ensemble Cohérent ou un Simple Sac de Bric-à-Brac ? »

    Lorsque l’on examine les statistiques impressionnantes provenant de ces pays, il est impossible de ne pas être émerveillé et de croire en la puissance de ce groupe. Les 11 pays représentent 46 % de la population mondiale et 37 % du produit intérieur brut mondial en parité de pouvoir d’achat, des chiffres qui surpassent les 30 % combinés des pays du G-7. De plus, les BRICs comptent désormais parmi eux six des dix plus grands fournisseurs de pétrole au monde. Ils possèdent également 75 % des réserves mondiales de manganèse, un métal largement utilisé, 72 % des métaux rares essentiels à de nombreuses technologies de pointe, et 50 % des réserves de graphite, une matière indispensable, notamment dans la fabrication de batteries pour les véhicules électriques et le stockage d’énergie.

    Cependant, ces statistiques extraordinaires à première vue peuvent également conduire à des analyses erronées. Je fais référence à l’absence d’homogénéité au sein de ce groupe, qui se présente à la fois comme un contrepoids aux États-Unis et à leurs alliés, et comme une tentative de redéfinir l’ordre mondial. En réalité, rien ne relie ces 11 pays, si ce n’est leur auto-identification en tant que non-alignés par rapport à l’Occident. La Chine, deuxième puissance économique mondiale, et l’Inde, le pays le plus peuplé du monde, ont des intérêts divergents et sont actuellement engagés dans une rivalité prolongée, exacerbée par des problèmes frontaliers. Cette rivalité entre ces deux géants rend les BRICs intrinsèquement moins viables dès le départ.

    Parmi les membres des BRICs, nous trouvons également l’Argentine, un pays qui a du mal à maîtriser une inflation couramment supérieure à 100 %. De plus, l’Éthiopie est en proie à une guerre civile avec les rebelles de la région du Tigré et fait face à des menaces de l’Égypte concernant une question liée à l’eau. Ce groupe comprend essentiellement un mélange curieux de pays qui se considèrent comme « démocratiques », tels que le Brésil, l’Argentine, l’Inde et l’Afrique du Sud, aux côtés de pays autocratiques tels que la Chine, la Russie, l’Iran, l’Égypte et l’Éthiopie, ainsi que de monarchies comme l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis. Les disparités économiques au sein de ce groupe peuvent également être considérables, comme en témoigne le revenu par habitant en Éthiopie, qui représente à peine 3 % de celui du pays le plus riche, les Émirats arabes unis.

    Dans la plupart de ces pays, il est encore possible d’emprisonner quelqu’un pour avoir fait une comparaison entre un responsable politique et un personnage fictif, tel que Babar. En résumé, tous ces éléments créent un mélange singulier qui semble vouer ce bloc à rester un « fourre-tout » plutôt qu’à être un signe avant-coureur d’un nouvel ordre économique. Il n’est pas nécessaire d’être un économiste chevronné pour comprendre que ce groupe de pays était déjà incohérent, et qu’il l’est devenu encore davantage avec l’ajout de ces cinq nouveaux membres. Ainsi, que souhaite donc réaliser l’Algérie en rejoignant ce groupe, si elle ne veut ni être un simple élément parmi d’autres ni une composante hétéroclite ?

    Abou Stroff
    1 septembre 2023 - 6 h 54 min

    « L’Algérie n’a pas apporté sa brique à l’édifice des BRICS » titre M. S. B..

    je pense que l’Algérie apportera sa brique à l’édifice des BRICS dès que les algériens retrousseront leurs manches, travailleront, produiront, innoveront et inonderont le marché de leurs marchandises (y compris leurs marchandises intellectuelles).

    par contre, tant que les algériens se satisferont de leur état de tubes digestifs ambulants attendant tout d’autrui (des BRICS ou du Bon Dieu ou de n’importe quoi) doublés de zombies décérébrés implorant le Bon Dieu de leur envoyer la pluie à partir de la 3ème plus grande mosquée au monde, conçue par les allemands, construite par les chinois et décorée par les turcs et les marocains, ils (les algériens, bien évidemment) continueront à végéter dans la gadoue qu’ils auront eux mêmes produite.

    quant à la mission gouvernementale qui aura pour mission de cerner les raisons de notre rejet des BRICS, reconnaissons que tant que le système basé sur la distribution de la rente et sur la prédation domine la formation sociale algérienne, les conclusions de la mission gouvernementale retrouveront les conclusions d’autres missions d’enquête et serviront, comme les conclusions d’autres missions gouvernementales, de matières premières à la « critique rongeuse des souris »

      RBOBA
      2 septembre 2023 - 19 h 01 min

      Bravo Abou Stroff ainsi qu’à Aurès. Oui, il n’y a que le TRAVAIL et de TOUS ce qui inclue TOUTES qui fera avancer l’Algérie ! Cela se passe ainsi dans tous les pays du monde ! ETUDIER, ETUDIER, ETUDIER et TOUTE sa Vie et TRAVAILLER et pas que 2 ou 3 heures par jour, 1 jour sur 2 ! Malheureusement, certaines séries occidentales montrent une réalité irréelle, y compris dans ces pays. Paris, n’est pas la France. Tous les Parisiens ne vivent pas sur les Champs-Elysées ou à Saint-Germain des Prés. Ils ne passent pas leur temps à la terrasse des cafés. Ils ne choisissent pas leurs horaires de travail : si vous arrivez en retard pendant votre période d’essai, il est à parier que l’essai ne sera pas concluant et même une fois recruté, vous devrez respecter vos horaires, pas passer votre temps au téléphone et…. Aucun métier, aucune activité humaine n’est dégradante, sauf la non-activité, qui s’appelle oisiveté et fainéantise ! Travailler la terre, les Algériens ont très bien su le faire au temps de la colonisation car bien obligés, l’Algérie indépendante, beaucoup ont refusé de le faire. Pourtant, c’est le seul moyen de rendre les Algériens auto-suffisants etc….. Ce n’est pas la religion qui est signe de progrès, si elle occupe tout le temps et l’esprit. Toute religion doit se vivre et uniquement, dans les lieux dédiés, consacrés au sens strict du terme. Et en durée limitée. Quand on se prétend patriote on fait tout pour relever son pays et cela passe par l’Etude et le Travail auxquels chacun doit s’adonner et TOUS les JOURS ! A moins que dénué de toute fierté et de tout sens de l’honneur, cela ne dérange pas les « tubes ambulants » de voir d’autres travailler à leur place et pourquoi pas, dans l’extrême, souhaiter l’arrivée d’un nouveau colonisateur mais qui de toute façon fera faire le travail de gré ou de force !

    Brahms
    31 août 2023 - 19 h 59 min

    Les Etats Unis font monter le dollar pour se débarrasser de leur inflation et la transfère ainsi sur les autres pays du monde qui achètent et vendent en dollar des marchandises via l’import / export.

    L’association des Brics se fera de la même manière, vous aurez des pays dominants et les autres suivront.

    Autre point important, quand vous avez 42 millions d’habitants (Algérie) vous n’avez pas les mêmes besoins qu’un milliard de chinois et face à 500 millions de travailleurs chinois, on ne pèsera pas lourd.

    Il faut donc être réaliste et face à l’Inde qui a plus d’un milliard d’habitants, on sera vite laminé.

    Je vous le dis les BRICS ce n’est pas bon pour l’Algérie sachant que nous avons aucun mastodonte à part, la Sonatrach donc on sera vite englouti par 02 milliards d’individus qui vont transformer notre pays en dépotoir via des voitures chinoises et indiennes (camelote) ; chiffonnerie en tous genres, gadgets en plastiques, pétards pour ensuite nous prendre notre cash et nos matières premières or, pétrole, gaz etc..etc… contre ces produits contrefaits, copiés, défectueux.

      z
      2 septembre 2023 - 13 h 51 min

      tout a fait exact ils vont nous manger restons non alignes pour quelques annees avec le recul puis leurs camelotes avons nous reelement besoin De leurs camelotes lalgerie a telle vraiment besoin des voitures chinoises ?

    Anonym3
    31 août 2023 - 19 h 30 min

    Soyons realistes,les pays du Brics qu’ils soient les 5 ou ceux qui les ont rejoint, ils tiennent tous le baton au milieu qu’il soient el hnouda et chnawa et les Bresiliens qui ont plus de 100 000 milles entreprises occidental chez eux avec les Russes et les akhrabs qui sont assis sur les trillions de dollars qui sont dans les banques occidental. certains croient en joignant les Brics notre pays deviendra riche et affaiblira l’occident et en particulier la France, comme si ses derniers restent les bras croises et pleurnichent pour leurs erreurs.ils ont les moyens,le savoir faire ,de la technologie ,une industrie,du tourisme des universites etc etc ,ce n’est pas pour demain et les BRICS c’est juste du business et les gagnants sont deja connus,certainement pas les akhrabs bedouins, les Ethiopiens et les egyptiens avec leur nouvelle Republique.

    Restons un pays Electron libre.......
    31 août 2023 - 19 h 13 min

    Mr Mohamed-Salah Benteboula.
    Croyez moi il faut cesser de fantasmé sur le BRICS.
    Le BRICS c’est un plan foireux qui a été concocté par les Chinois, présenté aux Russes sous des formes qui les ont subjuguée, et ont sauter les deux pieds joints dans le plat.
    En deux mots, cela consistait à dire : la situation géostrategique mondiale est telle du fait de l’oppression des oligarques occidentaux, que le moment est vraiment propice pour créer un club des opprimés contre les opprimeurs.
    Ils suffisait d’adhérer un pays de chaque continent: L’Afrique du Sud de l’Afrique, le Brésil de l’Amérique du Sud, la Chine l’Asie, l’Inde est un pays d’Asie du Sud, La Russie Elle fait le lien entre l’Europe à l’ouest et l’Asie à l’est.
    Maintenant avec l’iran de lAsie occidentale.
    Seul le continent européen le BRICS n’a pas su pénétrer en y adhèrent un membre qui en fait partie.
    Et bien je vous le donne dans le mille, l’Algérie et le seul pays au porte de l’Europe à 350 kilomètres à vol d’oiseau de la Sardaigne (Italie).
    L’Algérie et le pays le plus puissant militairement d’Afrique, il n’a pas de dettes, et de plus elle est très riche
    Ce qui va indéniablement obligés la Chine et la Russie de nous supplier de devenir membre de leurs plans foireux et bancal.
    Donc nous devons dans nôtres plus grand intérêts rester un pays électron libre et travailler à la fous avec l’Europe, et le BRIC dans l’intérêt uniquement de nôtre pays d’abord et dans l’intérêt de nôtre continent L’AFRIQUE.
    Nous sommes la porte interconnecté entre l’Afrique et l’Europe.
    Le continent africain très riche ou tout est à faires, et l’Europe, et le BRICS.
    Nous dirons au BRICS ce sera selon nos conditions ou nous ouvrons la porte d’entrée en tant que facilitateur à l’Europe pour pénétrer le marché africains, et nous dirons la même chose à l’Europe.
    Les deux marché ou deux blocs devront savoir que en tant qu’électron libre aucun chantages ou conditions ne seront imposé à l’Algérie, sauf si après réflexion elle l’acceptera de son plein gré et libre de révoquer l’accord quant bon lui semblera, n’étant soumis à aucune règle venant du BRICS et de l’Europe occidentale…..

    Chark
    31 août 2023 - 19 h 04 min

    Être membre de l’otan , du G7 , du G20 , de l’Omc , de l’Oms , au Fmi , c’est tout simplement être membre du nouvel ordre mondial sioniste qui à un objectif bien précis , c’est de soumettre la terre entière au dieu dollar et à sa justice , cela permet aux rotschids , et goldman sachs de prospérer sans partage à l’aide d’ un morceau de papier vert qui ne possède aucune contre partie tangible , et qui s’imprime à l’infini ! Avec la destructions de l’Irak , de la Syrie , de l’Afghanistan , du Yemen , de la Libye , et de la guerre par procuration contre la Russie aujourd’hui ces criminels commencent à comprendre que la bête qu’ils ont eu entre les mains depuis 1971 ( fin des accords de bretton wood ) et avec l’émergence d’une Eurasie prospère , cette bête est entrain de leur échapper des mains . même l’arabie seoudite o combien soumise à waschington ne veut plus vendre son petrole avec du papier vert mais en Yuan ( un véritable séisme géoéconomique ) . L’Algerie étant de racine non alignés doit prendre le train de l’émancipation , et de la multipolarité qui se dessine , et revoir ses objectifs de développement à long terme ( 50 ans ) en prévoyant un retour massif au pays de la diaspora Algérienne suite à l’effondrement de l’occident qui est en cours . Je crois ( dur comme fer ) que l’organisation des BRICS offrira de sérieuses perspective avec la création d’ une monnaie d’échange basé sur l’or et l’argent physique ( avec un taux de change stable ) et à ce moment là , le morceau de papier vert retournera à sa valeur initiale qui est 0 !

      Elephant Man
      31 août 2023 - 22 h 14 min

      @Chark
      Excellent commentaire et excellente analyse et bien sse rappeler pourquoi le Guide le Colonel Gueddafi Allah yarhmou a été assassiné !!!

    Abdoustradamus
    31 août 2023 - 18 h 25 min

    « L’Algérie n’a pas apporté sa brique à l’édifice des BRICS » dixit le contributeur de cet article. D’abord, bravo pour le jeu de mot brique/BRICS. Une rime riche comme dirait le Comte de Bouderbala.
    Par contre, M. Benteboula n’a pas manqué d’apporter son avis sur la question. Un avis, un de plus.
    Notre géographe ne perd pas le nord mais nous autres avec tous ces points de vues disant tout et son contraire on est vraiment déboussolé! ????‍????

    G7 et Brics devraient vite travailler ensemble
    31 août 2023 - 18 h 08 min

    Disons le clairement, le Brics n’ait contre un dysfonctionnement et donc en soi n’est pas pas une alternative. C’est un brand marketing de cet ensemble de pays qui n’ont aucune projection politique et culturelle ni ses membres peuvent être une source d’ une quelconque initiative, sauf le risque d’assumer cette organisation comme élément de pouvoir. Les prémices sont là, on dit qu’il y aurait volonté de garder la dénomination Brics, parce qu’il « sonne bien » , ce qui dénote déjà la signature du terroir symbolique. Tout est fait soit directement par la Chine soit proposé par la Russie. Si demain le G7 voulait vraiment lui opposer une dynamique proactive, plutôt que de lui opposer des critiques, au contraire lui proposer qu’ensemble promouvoir les réformes structurelles urgentes. Il suffirait de procéder aux réformes structurelles du FMI et de rendre l’ Onu plus horizontale( bien entendu avec tous les membres permanents actuels), de faire de l’Otan une armée universelle sous contrôle de l’Onu réformée et démocratique. Cet élan de confiance permettra de réorganiser l’Omc.
    C’est se faire garant de » la paix universelle  » chère à kant. Ce qui ferait des Brics et de l’occident des alliés de l’humanité.

      ZZ
      31 août 2023 - 21 h 17 min

      C EST BEAU MAIS UTOPIQUE le G7 AVEC LES BRICS

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