Algérie-Maroc : le retour des faucons de guerre sous Trump 2.0
Une contribution de Khaled Boulaziz – Les tensions entre l’Algérie et le Maroc ne sont plus simplement l’héritage de différends historiques ou territoriaux. Ce conflit, déjà nourri par des ambitions expansionnistes et des provocations répétées, est aujourd’hui orchestré par des forces obscures, bien au-delà des frontières de l’Afrique du Nord. A la tête de cette machination : le lobby juif international, avec des figures telles qu’André Azoulay, le «Prince des ténèbres», et Jared Kushner, le gendre opportuniste de Donald Trump.
Le Maroc, jadis acteur régional autonome, est désormais une marionnette entre les mains de ces puissances étrangères. Sous couvert de normalisation diplomatique et d’alliances stratégiques, Rabat s’est livré corps et âme à des intérêts qui ne servent ni son peuple, ni la stabilité de la région. Et l’Algérie, bastion de la résistance anti-impérialiste, est aujourd’hui dans la ligne de mire.
La nouvelle administration Trump : un réservoir de faucons de guerre
L’élection de Trump 2.0 aurait pu marquer une opportunité de rupture avec les politiques interventionnistes et bellicistes. Au lieu de cela, c’est une administration de faucons insatiables de guerre qui se met en place, menaçant non seulement les adversaires traditionnels des Etats-Unis, mais aussi la stabilité mondiale. Parmi ces figures : Mike Waltz, un ultranationaliste aux ambitions guerrières décomplexées, nommé conseiller à la Sécurité nationale. Waltz, comme son prédécesseur John Bolton, incarne l’agression à l’état pur. Soutien acharné des frappes en profondeur contre la Russie, partisan des bombardements sur l’Iran, et opposé au retrait des troupes américaines d’Afghanistan, il ne cache pas sa volonté d’alimenter chaque foyer de tension mondiale.
Mais ce n’est pas tout. Elise Stefanik, qui succède à Nikki Haley en tant qu’ambassadrice à l’ONU, est une autre fidèle des cercles néoconservateurs. Une véritable prédatrice politique, prête à écraser la moindre dissidence, notamment sur les campus universitaires où les voix critiques d’Israël sont qualifiées à tort d’antisémitisme. Elle s’est même rendue devant la Knesset pour promettre une répression sans merci contre ceux qui dénoncent les crimes de guerre israéliens.
Enfin, l’arrivée imminente de Marco Rubio au poste de secrétaire d’Etat parachève cette équipe de destruction. Rubio, un champion de l’intervention militaire, a passé sa carrière à prôner sanctions, blocus, et guerres sous couvert de défendre les «valeurs démocratiques». Ce trio infernal ne laisse aucun doute : la nouvelle administration Trump est prête à semer le chaos mondial, et le Maroc en sera un outil docile.
Le Maroc : un Etat vassal au service des puissances étrangères
Le Maroc, sous l’influence d’Azoulay et de Kushner, est devenu un pion stratégique dans les mains des puissances occidentales. La signature des Accords d’Abraham, célébrée comme un triomphe diplomatique, est en réalité une trahison flagrante des peuples sahraoui et marocain. En échange de la reconnaissance par les Etats-Unis de sa souveraineté sur le Sahara Occidental, Rabat s’est aligné sur la politique de colonisation israélienne, trahissant tout principe de justice et de solidarité avec les peuples opprimés.
Cette normalisation avec Israël n’a pas seulement des implications internationales ; elle exacerbe également les tensions régionales. Renforcé par ses alliances stratégiques, le Maroc mène une campagne de provocations constantes contre l’Algérie, espérant l’isoler sur la scène internationale et consolider ses ambitions territoriales.
L’Algérie : dernier rempart contre l’impérialisme
Face à ce tableau sombre, l’Algérie reste le dernier bastion de la souveraineté et de la résistance dans la région. En soutenant la cause sahraouie, Alger s’oppose frontalement à un système de domination imposé par l’alliance américano-israélienne. Mais cette position courageuse a un coût. Les campagnes de désinformation, les provocations diplomatiques et les pressions économiques sont autant d’armes utilisées pour affaiblir l’Algérie.
Cependant, l’Algérie ne pliera pas. Elle continuera à défendre ses principes et à dénoncer les manœuvres impérialistes qui visent à soumettre la région à des intérêts étrangers. Dans cette lutte, chaque provocation marocaine, chaque appui de Washington à Rabat renforce la détermination d’Alger à défendre la justice et la souveraineté des peuples.
Un appel à la résistance
Le conflit entre l’Algérie et le Maroc n’est pas un simple différend bilatéral. Il s’inscrit dans une guerre plus large, une guerre entre l’autodétermination et la soumission aux diktats impériaux. L’Algérie ne combat pas seulement pour elle-même, mais pour tous les peuples qui refusent de devenir des pions dans les jeux cyniques des grandes puissances.
Il est temps de lever le voile sur la vraie nature de ce conflit. Il est temps pour les nations libres de s’unir contre la machine de guerre qui, sous couvert de diplomatie, ne sème que destruction et oppression. L’heure de la résistance a sonné.
K. B.
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