Tebboune et Natasa Pirc Musar coprésident l’ouverture du Forum algéro-slovène des hommes d’affaires

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TUER LE SOCIALISME EST LA SEULE SOLUTION
14 mai 2025 - 13 h 38 min
Le véritable problème de l’Algérie comme de nombreux pays musulmans ne réside ni dans les francs-maçons, ni dans les Templiers, ni dans les Illuminatis. Ce sont des distractions. La véritable catastrophe, c’est l’héritage du socialisme soviétique qui a été imposé à nos sociétés après l’indépendance : un système importé, étranger à notre culture, notre foi et notre structure sociale.
Des dirigeants comme Macron ou Poutine ne sont que les deux faces d’un même projet mondialiste, athée, matérialiste, qui combat la spiritualité au nom d’une modernité vide. Et vouloir répondre à cela avec encore plus de socialisme ou de libéralisme revient à renforcer la maladie avec son propre poison.
On nous vend comme modèles des pays comme la Slovénie, dirigée par une femme, comme symbole de progrès. Mais ce type de modèle est le produit direct d’un système soviétique déguisé, qui inverse les repères naturels, détruit l’autorité morale et fragilise la famille. Ce n’est pas du progrès, c’est de la désorientation sociale maquillée en modernité.
En Algérie, il devient très difficile de faire confiance au président Tebboune et à son gouvernement, qui perpétuent une politique mêlant libéralisme économique sauvage et socialisme sociétal, tout en ignorant les valeurs spirituelles, culturelles et historiques du peuple algérien.
Et ce qui est encore plus grave, c’est que les gens adhèrent à des philosophies païennes, matérialistes, voire néo-satanistes sans en être conscients. Ils sont exposés à ces idées à travers les médias, les réseaux sociaux, l’éducation, la culture, en croyant vivre en « liberté », alors qu’ils sont déspiritualisés, déconnectés d’eux-mêmes, et profondément manipulés.
Ces dérives idéologiques ne sont pas sans conséquences : les sociétés les plus influencées par ces doctrines sont aussi les plus malades psychologiquement. Les cas de troubles de la personnalité, bipolarité, borderline, schizophrénie explosent. Et ces personnes, perdues, cherchent des bouc émissaires – et souvent, ce sont les Arabes, en particulier ceux issus de l’immigration.
Pourtant, les Arabes d’origine algérienne ont été parmi les premiers sacrifiés de l’idéologie socialiste en Algérie. Sous Boumediene, au nom d’une prétendue « justice sociale », des milliers de familles ont perdu leurs maisons, leurs terres, leurs commerces, leur héritage. Ce « partage des richesses » a été en réalité une confiscation organisée, qui a poussé des générations entières à l’exil et à la misère.
Il faut aussi rappeler que les Chaouis, les Kabyles, et les descendants des grandes lignées nobles comme les Sanhadja, Zirides, Zénètes, ont également été dépouillés. Leurs terres, leur patrimoine historique, leur honneur même, ont été effacés au nom d’un égalitarisme forcé, qui a en réalité détruit les fondations de la société algérienne traditionnelle.
Et pour couronner le tout, c’est sous cette même époque que des essais nucléaires ont été menés dans le sud algérien, avec des conséquences désastreuses sur la santé et l’environnement, toujours étouffées.
Je le redis clairement : ce sont ces politiques qui ont divisé les Algériens, détruit leur cohésion, et remplacé la foi et l’honneur par l’idéologie, la peur, la suspicion, et la misère.
La solution n’est ni le socialisme, ni le libéralisme. Elle est dans un retour sincère à la foi, à la justice divine, à l’ordre moral équilibré. Tant que nous ne sortirons pas de ces idéologies importées, nous resterons esclaves – mentalement, économiquement et spirituellement.
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Anonyme
13 mai 2025 - 22 h 33 min
Tebboune je t aime bien mais de passé en échange commerciale de 100 millions d euros à 1 milliard d euro c est très bien en un premier temps c’est 10 fois plus, ce petit pays en reverrait, la micht brid président avec tt le respect que je vous dois, vous parlez trop vite et allez vite en besogne sans mesuré les conséquences. Ben oui ça fait tjrs plaisir à entendre mais elle est pas dupe, dis lui un milliard inch Allah et pas des milliards sinon le deal ne serait pas du tout favorable à l Algérie car son PIB est faible mais une société intelligente et qui avance et qui cherche à développer son pays et c est légitime. Après c est un pays ami de l Algérie et membre de l UE , stratégiquement c est une bonne chose pour l Algérie. Mais bon Tebboune r’sa chuiya sur tes déclarations à l extérieur ttes azimut. Ça peut coûté très cher à l Algérie ces déclarations à l emporte pièces ben oui président. Il.est très méritant ce pays j en conviens mais de la à lui donner mon propre slip, qd même !
Ton conseiller anonyme à distance.😁🇩🇿❤️
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Anonyme
14 mai 2025 - 20 h 38 min
Mchit et non micht ou michto ou Mitch Boukanoun d alerte à Malibu à Oran 🤪mais le pire c est Albert Schmit un cac commissaire au compte, lui il nous a bien chmit il y a longtemps chez moi en France ces honoraires sont lourdes ! Il
De reconnaîtra si il tombe sur mon commentaire sur AP mais non il préfère chmit que de lire batal. C était juste une rectification à la base. 😁
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Algérien Pur Et Dur
13 mai 2025 - 21 h 40 min
La visite du président Abdelmadjid Tebboune en Slovénie, petit pays européen sans poids stratégique majeur, peut surprendre. Pourtant, plusieurs raisons plausibles peuvent en justifier l’intérêt. (Si vous avez d’autres informations ou perspectives, n’hésitez pas à les partager mais toujours dans le respect de tous.)
Sur le plan géopolitique, l’Algérie pourrait chercher à tisser des liens avec un membre discret de l’Union européenne pour renforcer sa présence économique en Europe, sans attirer l’attention ni provoquer de frictions avec les grandes puissances — en somme, une porte arrière discrète d’entrée sur le continent.
Côté énergie, Sonatrach a signé un accord avec la société slovène Geoplin pour approvisionner jusqu’à 50 % de la consommation gazière du pays. Cela consolide la position de l’Algérie comme fournisseur fiable en Europe centrale, à un moment où plusieurs pays cherchent à réduire leur dépendance au gaz russe. On ne peut cependant écarter un risque de tension avec Moscou, qui pourrait percevoir cela comme une tentative d’expansion d’influence dans sa propre arrière-cour — tout comme l’Algérie s’irrite de la présence des milices Wagner dans le Sahel.
Au-delà du gaz et des produits agricoles, d’autres exportations algériennes pourraient se développer : engrais, clinker, acier, ciment, textile de base, cuir ou services informatiques. Le port de Koper, discret mais stratégique, pourrait servir de point logistique vers l’UE.
Côté innovation, l’Algérie explore deux pistes : la coopération spatiale avec l’Agence spatiale slovène (via l’ESA), et l’intelligence artificielle, à travers un partenariat avec un centre de recherche labellisé par l’UNESCO.
En somme, cette visite s’inscrit dans une stratégie de diversification économique, de montée technologique et de pénétration européenne par une voie moins exposée.Et qui sait, peut-être bientôt… la pâte El Mordjane sur les étagères de Ljubljana — et pourquoi pas du reste de l’Europe — au grand dam de Fafa.
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Anonyme
14 mai 2025 - 19 h 42 min
Sans poids stratégiques, tu te trompes, elle compte bien et elle est membre de l UE son propre veto en tt que membre est un poids considérable au sein de cette Union européenne. Juste pour ça tu aurais dû cogiter pour ne pas dire des sottises aux autres sans vouloir t offenser.
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Algérien Pur Et Dur
15 mai 2025 - 15 h 33 min
Commencer par tutoyer tout en parlant de « sottises », sous couvert de ne pas vouloir offenser, en dit long sur votre conception du débat. Ce n’est pas la critique qui dérange, mais la manière — condescendante, brouillonne, et inutilement agressive.
Pour votre gouverne, évoquer le droit de veto d’un pays membre de l’UE comme preuve de son « poids stratégique » démontre une confusion entre présence institutionnelle et influence réelle. La Slovénie a certes une voix, mais elle ne fait ni la pluie ni le beau temps à Bruxelles, et encore moins au niveau géopolitique global. Elle n’oriente aucun grand dossier européen, ne pèse pas militairement, et son poids économique reste marginal. C’est justement cette discrétion — que vous semblez confondre avec insignifiance — qui peut faire d’elle un partenaire de choix dans une stratégie d’insertion progressive sur le continent. Encore faut-il prendre le temps de comprendre ce qui est écrit, au lieu de réagir à ce qu’on croit lire.
Enfin, si vous tenez à participer à un échange d’idées, commencez par maîtriser vos nerfs et vos pronoms. Les interventions de coin de comptoir, où l’on tutoie pour compenser le manque d’arguments, n’impressionnent personne. Vous avez voulu corriger ? Très bien. Maintenant, corrigez-vous.
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