Conspiration franco-israélo-marocaine : Adnane et Dounia Filali nous disent tout

Filali
Les journalistes marocains Dounia et Adnane Filali. D. R.

Algeriepatriotique : Vous avez dénoncé, dans un nouveau communiqué, le harcèlement et le déni de droit dont vous êtes victimes en France. De quoi s’agit-il exactement ?

Dounia et Adnane Filali : Depuis notre arrivée en France, nous sommes confrontés à un harcèlement administratif continu de la part des autorités françaises. Une situation qui perdure depuis désormais quatre ans. Dans ce communiqué, nous souhaitons revenir exclusivement sur les faits liés à notre dernière mise à jour.

Après un combat juridique acharné devant les juridictions françaises, visant à faire reconnaître nos droits face à des tentatives illégales d’éloignement initiées par la préfecture de Paris, relevant du ministère de l’Intérieur, nous avons remporté l’ensemble des procédures engagées.

Il est important de rappeler que nous bénéficions de plusieurs formes de protection internationale : l’une octroyée par la Chine à travers le HCR, et l’autre par les autorités françaises elles-mêmes.

Il est donc juridiquement et moralement inacceptable, en totale contradiction avec le droit international, européen et français, de tenter de renvoyer des réfugiés politiques vers un pays contre lequel ils ont obtenu l’asile. Faut-il rappeler que la France est signataire de la Convention de Genève, qui interdit formellement le refoulement des personnes protégées ?

Le problème réside dans le fait que, depuis deux ans, malgré des décisions de justice définitives reconnaissant pleinement notre droit au séjour en France, la préfecture persiste à ne pas les appliquer. En conséquence, nous sommes maintenus dans une situation intenable, privés de tout document d’identité, en violation flagrante de nos droits. Et ce, malgré les multiples relances de nos avocats, nos démarches personnelles, ainsi que les astreintes prononcées par le juge et le tribunal administratif eux-mêmes. Le procureur de Paris, quant à lui, demeure silencieux, refusant de faire exécuter des jugements pourtant clairs et définitifs.

Comment expliquez-vous cette attitude hostile des instances relevant du ministère français de l’Intérieur à votre égard ?

Une fois encore, cet épisode s’inscrit dans la continuité du harcèlement administratif que nous subissons de la part des autorités françaises. Ce harcèlement a débuté avec l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), s’est poursuivi avec l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), suivi d’une décision politique de la CNDA et s’étend aujourd’hui, de manière tout aussi systématique et logique, à la préfecture de Paris. Toutes ces institutions, bien qu’elles revendiquent une certaine indépendance, agissent sous l’autorité directe ou indirecte du ministère de l’Intérieur.

En ce qui nous concerne, notre affaire revêt clairement un caractère d’Etat. Les décisions nous visant sont dictées par des consignes émanant des plus hautes sphères de l’appareil étatique. Le ministère de l’Intérieur ne fait qu’exécuter ces orientations. Nous faisons l’objet d’une véritable persécution politique, motivée par le souci de préserver les relations bilatérales entre la France et le Maroc.

Nous disposons de documents confidentiels étayant cette réalité. Toutefois, il suffit d’observer attentivement notre parcours en France pour en prendre la mesure : nous sommes victimes d’un véritable ostracisme, d’un black-listage manifeste et d’un déni persistant de nos droits par la majorité des institutions de ce pays.

Y a-t-il, selon vous, une collusion entre le gouvernement français et le régime marocain ? Retailleau obéit-il à des directives qui lui parviennent de Rabat ?

Etre entre les mains de l’Elysée, c’est comme être entre celles du Makhzen : seules les méthodes de répression diffèrent. Il existe, à l’évidence, une alliance étroite entre la France et le Maroc, une proximité que l’on ne soupçonnait pas d’être aussi fusionnelle. Les accords d’interdépendance de La Celle-Saint-Cloud ne relèvent pas du mythe : nous en sommes la preuve vivante. La France protège le régime marocain, quoi qu’il lui en coûte, au mépris du droit international, de la loi et de toute notion d’humanité. L’essentiel, semble-t-il, est de sauver le «soldat Mohammed VI». Nous pensions qu’après l’affaire Ben Barka, les choses avaient évolué. Il n’en est rien.

M. Retailleau n’est qu’un exécutant. Avant lui, notre dossier était géré par Gérald Darmanin, qui n’a jamais hésité à écraser nos droits sur le sol français. Son successeur poursuit cette logique avec la même brutalité. Rien ne change car notre situation relève d’une affaire d’Etat : peu importe le nom du responsable, les consignes restent inchangées et sont appliquées avec la même rigueur. Il ne s’agit pas simplement de directives isolées en provenance de Rabat, mais bien d’une entente stratégique entre deux Etats visant à réduire au silence deux journalistes reconnus, deux personnalités dont la parole dérange.

Nous disposons de notes confidentielles nous concernant, émanant directement des autorités marocaines et transmises à plusieurs ministères français. Nous n’avons évidemment aucun doute sur l’existence d’une communication étroite entre les deux Etats à notre sujet. Depuis que la main de l’Etat français s’est rendue visible dans notre persécution, plus aucun média français n’ose parler de nous. A chacun d’en tirer ses propres conclusions.

La France ne fait ici qu’exécuter une demande politique du Maroc : celle de briser nos vies, de rendre notre existence impossible, uniquement pour préserver une alliance bilatérale. Ce marché diplomatique, conclu dans l’ombre, ne peut être accompagné que de contreparties pour la France : contrats, concessions et autres faveurs accordées par la monarchie marocaine à son allié historique.

Il ne faut pas oublier la responsabilité de certains lobbys en France, notamment ceux liés au Maroc ou alliés à cette monarchie du Maghreb, dans notre persécution et leur influence non négligeable sur certaines décisions prises à notre encontre.

Que dénoncez-vous au Maroc qui vous vaut autant d’animosité de la part du gouvernement français et, évidemment, du régime monarchique de Mohammed VI ?

J’ai bien peur, sans aucune prétention, que nous soyons victimes de notre professionnalisme et de notre rigueur. En tant que journalistes, quelle que soit la forme utilisée pour transmettre l’information, que ce soit à travers des reportages, des enquêtes, des interviews ou des débats, nous mettons un point d’honneur à être à la hauteur des causes que nous défendons, sans jamais insulter l’intelligence du public qui nous fait l’honneur de consacrer du temps à nos travaux.

C’est précisément cela qui dérange. Si nous étions dépourvus de conscience professionnelle, si nous produisions des contenus vides, médiocres et sans exigence, personne ne prêterait attention à notre existence. Au-delà de notre travail, il est aussi de notre devoir, en tant que Marocains, de dénoncer les injustices que peut subir le petit peuple, qui n’a pas grand monde derrière lui pour faire valoir ses droits.

Les différentes campagnes internationales de dénigrement dont nous faisons l’objet visent clairement à nous discréditer. Nous sommes les premiers Marocains de l’histoire à avoir été attaqués par une certaine presse israélienne, uniquement pour satisfaire la monarchie marocaine dans son entreprise de diabolisation à notre encontre. Concernant la presse du Makhzen, il serait inutile de vous rappeler le volume industriel d’articles calomnieux publiés contre nous. Nous ne sommes pas à vendre et c’est précisément cela qui gêne : une monarchie habituée à acheter les silences ou, pire, à soumettre journalistes et professionnels des médias à sa cause.

Le gouvernement français, de son côté, ne fait que protéger son allié privilégié. La République a vu passer de nombreux journalistes et artistes aux prises de position critiques envers la doxa dominante, sans pour autant être soumis à de telles formes de persécution étatique. Mon père dirigeait un journal satirique à Paris dans les années 1980, Le Caïman, et je ne l’ai jamais entendu se plaindre de censure ou de pressions. Il est vrai que les sujets traités à l’époque concernaient exclusivement l’actualité française et internationale. Le fait que nous abordions fréquemment la question marocaine semble irriter les autorités françaises, qui, encore une fois, se sentent obligées de défendre l’indéfendable.

Sincèrement, je ne pense pas qu’elles agissent par conviction personnelle ou animosité spécifique à notre égard. Ce sont, selon toute vraisemblance, des accords de protection bilatéraux qu’elles appliquent. Le royaume se sent menacé par notre travail et fait pression sur son allié pour nous faire taire. Peut-être craignent-ils l’éveil des consciences que notre travail pourrait susciter. Je ne vois pas d’autre explication.

Quelles démarches comptez-vous entreprendre pour faire valoir vos droits en tant que réfugiés protégés par le HCR dans le cadre du droit international ?

Nous ne pouvons, pour des raisons évidentes de confidentialité, révéler ici le détail de nos démarches. Ce que nous pouvons affirmer en revanche, c’est que notre engagement pour la défense et l’application du droit ne faiblira pas, en dépit des nombreuses difficultés liées à la situation inédite que nous traversons et à la complexité d’obtenir justice dans un contexte de persécution.

Comptez-vous quitter la France pour un pays plus sûr et plus respectueux des droits que le gouvernement de ce pays bafoue dès qu’il s’agit du Maroc ?

A l’évidence, il est très compliqué pour nous, dans cette situation, de voyager sans papiers d’identité. Essayez de voyager sans passeport et sans carte d’identité et vous verrez. Ce qui est sûr, c’est que nous regrettons profondément d’avoir quitté la Chine pour la France, un pays où nous avions nos droits, respectueux du droit international et appliquant la protection au sens de la Convention de Genève de manière stricte, sans faire interférer ses intérêts politiques avant l’application du droit.

Que cache cette complicité à la limite de l’indécence entre les régimes marocain et français ?

Une fois encore, cela s’explique d’abord par les accords historiques de protection dont bénéficie le royaume. Au-delà de ces considérations diplomatiques, la réalité est plus préoccupante : la corruption exercée par le Maroc en France atteint un niveau tout simplement sidérant. Elle s’infiltre à tous les échelons de la société et de la sphère politique. Des responsables politiques, des médias, des associations, nombreux sont ceux qui, directement ou indirectement, sont abreuvés en continu par les financements marocains. Il s’agit d’une corruption systémique, massive, difficile à dénoncer tant elle semble banalisée, voire intériorisée, par ceux qui en bénéficient. L’affaire «MarocGate», révélée au sein des institutions européennes, n’est qu’un pâle reflet de ce qui se joue, de manière plus insidieuse encore, sur le territoire français.

Pensez-vous le pouvoir français actuel, incarné par Bruno Retailleau, capable de vous livrer aux autorités marocaines malgré votre statut de réfugiés ?

En tout cas, son prédécesseur, Gérald Darmanin, a tenté à plusieurs reprises de nous faire expulser et a échoué. Nous avons mené une bataille juridique acharnée devant les tribunaux et nous avons fini par le faire plier. Si son successeur venait à relancer les mêmes procédures, il connaîtrait sans doute le même échec. Car, en réalité, leur objectif n’est pas tant de nous renvoyer au Maroc – une mesure juridiquement impossible, sauf à sortir de la Convention de Genève ou à commettre une illégalité si flagrante qu’elle les discréditerait irrémédiablement aux yeux de l’histoire.

Leur véritable but est ailleurs : nous maintenir dans un état d’instabilité permanente, nous empêcher de reconstruire nos vies dans un cadre serein et nous briser lentement, moralement et physiquement. Ce sont là des méthodes de harcèlement psychologique, sinon de torture, qui nous sont infligées depuis maintenant quatre ans, au vu et au su de tous, sans que cela ne suscite la moindre réaction.

Ni la presse, ni les responsables politiques, pourtant prompts à dénoncer les injustices internationales, notamment en Palestine, une cause que nous défendons nous-mêmes, ne trouvent le courage d’évoquer une situation aussi grave, ici même, sur le sol français. La dignité et le courage semblent faire défaut à beaucoup, dès lors qu’il s’agit du Maroc et des affaires touchant à l’Etat profond français.

Seriez-vous prêts à demander le refuge à l’Algérie, une de vos compatriotes influenceuse qui se trouve dans la même situation que vous en France, menacée et harcelée, ayant formulé le vœu de demander la protection algérienne ?

Tout d’abord, je ne connais pas d’exemple historique similaire à notre situation et je doute qu’un précédent équivalent existe. Je n’ai jamais entendu parler de réfugiés politiques que la France aurait tenté à plusieurs reprises d’extrader vers le pays contre lequel ils ont obtenu l’asile. Sous d’autres aspects, seule l’histoire de Mehdi Ben Barka me semble présenter des similitudes notables avec la nôtre, notamment dans sa dimension de persécution internationale. Nous sommes, comme lui, victimes d’une coopération à trois niveaux entre la France, Israël et le Maroc.

Ben Barka a été éliminé physiquement. Dans notre cas, il s’agit d’une mort symbolique et administrative, causée par un harcèlement coordonné – médiatique, administratif, sécuritaire – et par la collaboration active de plusieurs services sur le terrain, entraînant des dommages considérables, dont certains n’ont été qu’évoqués et d’autres, beaucoup plus graves, que nous n’avons pas encore eu le temps d’aborder.

Encore une fois, privés de papiers d’identité et de documents de voyage, il nous est techniquement impossible de quitter la France pour un autre pays, que ce soit l’Algérie ou ailleurs. Et si des plans d’exfiltration vers l’Algérie existent, il va sans dire que ce n’est pas ici que nous en détaillerons les modalités.

Un dernier mot ?

Nous avons la chance de vivre une période où l’espoir redevient possible : l’espoir d’un monde dans lequel les rapports de force mondiaux tendent à s’équilibrer, où les perdants d’hier deviennent les gagnants d’aujourd’hui. La propagande et les mensonges dirigés contre des nations ayant su progresser, malgré les contraintes, les guerres et les conflits imposés par ceux qui cherchaient à les soumettre, sont désormais caducs.

Je pense ici à l’immense nation chinoise qui, en l’espace de trente ans, est sur le point de devenir la première puissance mondiale, alors qu’elle était, il n’y a pas si longtemps, considérée comme un pays du tiers-monde. Grâce à sa persévérance, à son sens de l’honneur et à sa fierté, elle a su se redresser face à l’adversité. Par le travail et le sacrifice, elle est devenue un modèle, un véritable phare pour l’humanité. Nous ne souhaitons rien d’autre que de nous inspirer de l’exemple de cette nation remarquable et de transformer notre persécution en une force qui nous mènera vers la victoire contre ces forces obscures qui souhaitent notre disparition.

Merci à vous pour cet entretien et pour le temps que vous nous avez consacré. Merci également à toute la presse algérienne, qui nous a toujours soutenus, y compris dans les moments les plus difficiles, et qui a su faire preuve de courage en dénonçant notre persécution et en abordant des sujets que la pseudo-presse libre française n’ose même pas effleurer.

Comment se fait-il que onze parlementaires européens et une partie de la presse internationale nous soutiennent publiquement, alors qu’aucun média français n’ose jamais évoquer notre situation ?

Notre cas s’explique par la géopolitique contemporaine. Certains pays se réfèrent aux droits de l’Homme, manipulent les médias et les associations pour promouvoir uniquement leurs intérêts.

Seuls les pays du Sud sont condamnés par la presse occidentale et leurs associations. Quand un pays européen, notamment la France, viole le droit international, c’est le silence total.

Mais, encore une fois, tout cela est en train de changer, comme nous le constatons avec le génocide à Gaza : les cartes sont désormais tombées, les Etats sont mis à nu.

Interview réalisée par Karim B.

Comment (19)

    Salim Samai
    30 mai 2025 - 7 h 39 min

    VOUS avez 1 fois PUBLIÈ 1 Requéte á 1 Mairie Allemande pour SUSPENDRE son Partenraitr avec 1 Cité en Israel! Aujourd´hui ENCORE 2 DRAPEAUX d´Israel-Ciminel de Guerre, Dieu & Tout Codex; flottent au FRONTON de cette mairie!

    Pour Israel il y a ZERO Loi en Germany donc á l´U.E. & ailleurs car TOUT ce qui TOUCHE « Israel Quoiqu´il Fasse » est « Antisemitisme » ou l`ULTIME VERDICT de « la MORT »! Pourquoi!

    Israel est EXCEPTION, « Peuple Elu », SUR Germany, ses Lois, Citoyens & les 5 Prieres-Chahada de l´Allemand dés sa Naissance: « Il n`y a de Dieux que l´Holocauste! Malheur á Moi qui SEUL PÈCHA!
    Je DOIS PLEURER eternellement POUR qu´Israel REDEVIENNE MON Pharaon-FÜHRER & celui de l`Univers! Amen! »

    Ou bien Berlin est 1 BANTOUSTAN d´Israel & ses RELAIS par la TERREUR sous le Masque de « Democratie & Souvenir/Jamais Plus » qu´il USE pour DIRIGER & RUINER ce pays jusqu´á l´ORDRE de
    « Vote comme la Micronesie á l´ONU! » á la une de l´Organe du CRIF!

    Kissinger (Le Figaro), lui, estimait que Merkel « fit 1 Erreur » avec sa decision des Etrangers…Qui REHISSÈRENT le DRAPEAU Allemand á la Coupe du Monde qu´Israel (avec le mot « Nation ») a BANNI.
    Et qui est Satan en Germany? Islam, A.f.D & le MOINDRE SOUTIEN aux Palestiniens jusqu´au DOIGT de Footballeur Rüdiger et le Kefyeh de l´Enfant-Greta! BENIS soient l´Irelande, Sinwar, Nasrallah & FRANCISCUS, Allah Yarhamhoum!

    Luca
    29 mai 2025 - 21 h 54 min

    Le Maroc n’est pas un pays, c’est un protectorat français aujourd’hui encore hélas. Et en france tout les pédérastes nazi veulent te donner des leçons de sexualité ahahahah ahahahah… Imagine des pédéraste qui gouverne une terre , et bien ça va faire de cette terre un Bordel politique, et une Malika des Sources très très rancunière

    Flyt
    29 mai 2025 - 20 h 13 min

    Vous remarquez que beaucoup d’influenceurs marocains et beaucoup de particuliers marocains non reconnus comme influenceurs qui défendent les causes des Palestiniens via des associations ou des manifestations, mais jamais ces gens-là ne défendent les causes des Sahraouis ou attaquent et critiquent leur royaume.

    La plupart des manifestations au Maroc sont pro-palestiniennes, mais jamais pro-sahraouies ou contre le roi, même la populace sujette qui est chassée de ses terres pour construire des terrains de foot ou chassée pour donner les terres aux juifs marocains. Vous les entendez se plaindre simplement parce qu’ils ont été chassés, mais jamais il ne critique leur roi ou le royaume…

    Vous le remarquez aussi, avec les Algériens qui sont attaqués de partout via les médias, les politiques. Les Marocains n’ont jamais soutenu les Algériens, mais ont toujours et souvent été contre eux et dans tous les projets qui divisent les Algériens…

    Ces deux personnages, Dounia et Adnane Filali, ne se plaignent que par rapport à leur situation de réfugiés, mais jamais ils ne parlent des Sahraouis ou du roi ou des Palestiniens : les Marocains se servent de tout et mangent dans tous les rateliers tant que ça fonctionne et que ça marche pour eux ; le reste, ils s’en tapent…

    Il faut juste faire attention à ne pas être compromis de l’extérieur et de l’intérieur et à ne pas être manipulé et désorienté par les émotions : Le diable peut prendre l’aspect d’un enfant et, une fois rentré dans la bergerie, le diable décime tout. 

      Chaoui
      29 mai 2025 - 21 h 22 min

      Y’a « Flyt » : Va jouer de la flûte dans ton sultanat de Fès..

      Il est clair que soit tu ne suis pas ces deux nobles et courageux journalistes Dounia et Adnane Filali, soit en tant qu’agent sioniste de makhen tu ne les connais que trop bien…

      Nous, nous ne sommes pas dupes. On sait qu’à maintes et fois, ils n’ont cessé – quand les occasions s’y prêtaient – de parler du malheur des Palestiniens comme du Sahara Occidental et du Peuple Sahraoui. Y compris de dénoncer les attaques sournoises dont est constamment l’objet l’Algérie de la part du régime alaouite sionisé et enjuivé.

    icialG
    29 mai 2025 - 19 h 32 min

    L es pays hostile a l Algérie se font complices s unissent pour avoir du courage

    Hocine-Nasser Bouabsa
    29 mai 2025 - 19 h 00 min

    Mon total soutien à Dounia et Adnane Filali. Ainsi qu’à Nasser Zefzafi et aux militants rifains injustement emprisonnés sans que la France des « droits de l’homme » se soucient de leur libertés, alors qu’elle fait la guerre à cause de l’imposteur Sansal.

    Soutien à la résistance et aux défenseurs des droits humains du Maroc
    29 mai 2025 - 18 h 15 min

    Ces deux défenseurs des droits humains sont maltraités par la France de Macron.

    Je leur apporte tous mon soutien et le peuple français ne peut que les soutenir.

    Hélas, les médias détenus par des milliardaires refusent de dire la vérité sur les opposants du roi Mimi du Maroc.

    Les violations des droits humains y sont légions et on nous force à regarder ailleurs pendant que le peuple marocains souffre de l’analphabétisme, de la pénurie alimentaire, du sous développement… et surtout de ces droits humains sont bafoués.

    Il n’y a ni démocratie, ni liberté d’expression dans cette dictature adoré par les pédophiles y compris les hommes politiques pédophiles qui vont y passer leurs vacances accompagnés d’enfants marocains.

    Soutien aux défenseurs des droits humains…

    J’espère que le peuple marocain réussira à se débarrasser de son dictateur et de son régime moyennageux.

    Anonyme
    29 mai 2025 - 13 h 58 min

    Il faudrait demander cela aux Ouïghours et qui y vivent en permanence, c est bien les concernés ?
    Personne et ni vous ni moi pouvons nous prononcé à leurs places. Ils sont presque 26 millions en chine sur 1 milliard 300 millions je crois ? La vie humaine en Chine Arabie voir la Russie et pleins d autres a bcp moins d importance qu en occident . C est un fait factuel.

      Stop propagande! Les ouighours sont libres.
      29 mai 2025 - 18 h 08 min

      Arrêtez avec votre propagande habituelle!

      Le disque est rayé à force de nous vendre les mêmes mensonges.

      Les ouïghours sont libres de pratiquer leur religion. C’est pas en Chine que les musulmans sont assassinés dans les mosquées, c’est en France.

      C’est pas en Chine que les mosquées sont brulées, c’est en France!

      Votre propagande mensongère a été démonté par les émissaires de l’ONU chargé de visiter cette minorité en Chine.

      On attend avec impatience que ces émissaires viennent visiter les minorités en France en particulier les minorités musulmans qui ont été parqués dans les camps de transit et de reclassement, comme a Bias (Lot-et-Garonne), Bourg-Lastic (Puy-de-Dôme), La Rye – Le Vigeant (Vienne), Larzac-La Cavalerie (Aveyron), Saint-Maurice-l’Ardoise (Gard), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales)[1]… dans les quartiers populaires appelés « citées », quartiers gangrénés par la drogue et la prostitution organisé par l’Etat français.

      C’est pas en Chine mais en France que les enfants sont arrachés aux familles et placés dans des centres où règne la pédophilie, la prostitution des enfants, la drogue dès l’âge 10 ans…

      Avant de regarder la paille dans l’œil du voisin, occupez vous de la poutre dans votre oeil.

      Réponse
      29 mai 2025 - 18 h 29 min

      Dégustes ton biscuit et ferme là espèce de Mkahazni !
      Ce digne couple est en or par rapport à ton M6 le roi en toc.

    Achour Bachir
    29 mai 2025 - 13 h 24 min

    Une simple analyse critique des derniers développements met en lumière les contradictions profondes du régime français à travers le traitement différencié et politiquement révélateur de deux figures : d’un côté, Boualem Sansal, écrivain adoubé par les cercles néocoloniaux et pro-israéliens, instrumentalisé à des fins de propagande, et de l’autre, le couple de journalistes marocains en exil, Dounia et Adnane Filali, persécutés pour avoir exercé une liberté d’expression authentique.
    Deux poids, deux mesures : une diplomatie française à géométrie morale variable. La République française, qui se présente comme gardienne des libertés fondamentales et de la liberté d’expression, affiche un double visage profondément incohérent, selon que les discours servent ou dérangent ses intérêts géopolitiques et idéologiques.
    Boualem Sansal : un « écrivain » utile à la rhétorique d’État : Boualem Sansal est érigé en symbole de la « liberté de penser » algérienne, alors même qu’il promeut un discours ouvertement hostile à la mémoire anticoloniale de l’Algérie, des thèses islamophobes et alarmistes, alignées sur celles de certains cercles identitaires français, et surtout, une normalisation sans réserve de l’État sioniste, qu’il défend au nom d’une prétendue modernité contre la « barbarie ».
    Le traitement que la France lui réserve ? Distinctions honorifiques, Accès privilégié aux médias et aux salons littéraires, Soutien sans faille, y compris face aux critiques venues du monde arabe ou progressiste.
    Sansal est un relais idéologique commode, au service d’une France qui peine à rompre avec ses tropismes coloniaux, et qui trouve dans des figures comme lui un moyen de justifier la marginalisation de tout discours décolonial.
    Dounia et Adnane Filali : la liberté étouffée dans le silence d’État. En revanche, Dounia et Adnane Filali, journalistes marocains critiques de la monarchie et des complicités françaises avec Rabat, font l’objet : d’un harcèlement administratif méthodique, d’une menace d’expulsion en violation du droit, d’un mutisme médiatique effarant dans la presse française, et d’une invisibilisation politique organisée. Pourquoi ? Parce qu’ils dérangent l’ordre établi, qu’ils éclairent les zones d’ombre de la diplomatie française au Maghreb, et qu’ils ne servent aucun agenda impérial ou sécuritaire. Leur liberté d’expression, pourtant fondée en droit, devient un crime d’indépendance aux yeux d’une République qui, ici, trahit ses principes.
    Une République démasquée : entre instrumentalisme et hypocrisie. Le contraste est saisissant et accablant : Quand la liberté d’expression sert l’idéologie dominante, elle est honorée, relayée, sacralisée. Quand elle dénonce les compromissions, révèle les réseaux d’influence, ou met en lumière les collusions d’intérêts, elle devient suspecte, punie, censurée. Ce « deux poids, deux mesures » révèle non seulement une hypocrisie institutionnalisée, mais aussi un usage stratégique et cynique de la liberté comme outil de pouvoir.
    La République française ne protège pas la liberté d’expression en tant que principe universel. Elle la manipule, l’exploite, ou la réprime, selon qu’elle conforte ou conteste l’ordre idéologique et géopolitique qu’elle entend préserver.
    Dans cette logique, Boualem Sansal est célébré non pour son indépendance, mais pour sa docilité intellectuelle, tandis que les Filali sont traqués pour leur liberté réelle, incarnée, courageuse.

    Achour Bachir
    29 mai 2025 - 13 h 00 min

    Le contenu de cet entretien soulève la question pertinente qui touche à des enjeux fondamentaux de droit, de dignité et de cohérence politique, en mettant en lumière les contradictions du régime français face aux valeurs qu’il revendique.
    Une « République » en flagrant déni de ses propres principes : La France se proclame patrie des droits de l’homme, référence mondiale en matière de libertés, de justice et de démocratie. Or, à la lecture de cet entretien avec Dounia et Adnane Filali, on découvre un pouvoir répressif, silencieux et complice, opérant loin des principes qu’il prêche. Le harcèlement administratif, les tentatives d’expulsion illégale, la non-application de décisions de justice définitives, la privation de papiers d’identité… Tout cela constitue une violation manifeste : du droit français (non-respect des décisions de justice), du droit européen (violation du droit au séjour, à la dignité), et du droit international, notamment la Convention de Genève interdisant le refoulement des réfugiés.
    Ce contraste entre les valeurs affichées et les pratiques réelles vide de sens la prétendue exemplarité démocratique française.
    Une logique de persécution d’État sous influence étrangère : Le couple Filali met en évidence un fait grave : la soumission partielle de la République française à un agenda étranger, en l’occurrence celui du régime monarchique marocain. La persécution dont ils sont victimes découle de leur travail journalistique critique envers la monarchie, ce qui dérange Rabat… et embarrasse Paris, lié à ce dernier par des accords bilatéraux opaques, d’ordre sécuritaire, diplomatique et économique. Cette connivence – que l’on peut qualifier de complicité politique transnationale – déshonore la France, qui accepte de devenir l’exécutant zélé d’un pouvoir autoritaire étranger, en bafouant au passage ses propres lois.
    Une République à deux vitesses, droits sélectifs et silence médiatique : Ce qui choque aussi, c’est l’absence totale de relais dans la presse française, pourtant si prompte à s’enflammer pour des causes internationales. Le fait que plusieurs médias et parlementaires européens soutiennent les Filali, alors que la presse française les ignore délibérément, confirme l’existence : d’une ligne de censure non dite, d’un verrouillage de l’information quand les intérêts d’un “allié” comme le Maroc sont en jeu, d’une instrumentalisation politique du droit d’asile, accordé ou refusé selon les alliances géopolitiques.
    Cette politique à géométrie variable sape la crédibilité de la République française en tant que modèle moral.
    Une conclusion sans détour : l’hypocrisie institutionnalisée. Ce que révèle cet entretien est d’une gravité politique majeure. Il démontre qu’en dépit de son vernis humaniste, le régime français agit par calcul, complice des puissants et sourd aux opprimés, prêt à sacrifier des vies humaines pour préserver un “partenaire stratégique”. La République française, qui s’indigne ailleurs de la répression, devient ici persécutrice silencieuse, alliée d’une monarchie oppressive, complice d’un déni de droit institutionnalisé.
    La situation de Dounia et Adnane Filali illustre une France officielle qui, sous couvert de diplomatie, piétine les droits fondamentaux au nom de ses intérêts géopolitiques.
    Cette posture, faite d’hypocrisie, de silence complice et de harcèlement politique, ôte à la République sa prétention à incarner les principes universels des droits de l’homme.
    Dans cette affaire qui révèle des dérives graves et un reniement des principes fondamentaux de la République française, plusieurs exigences légitimes peuvent être adressées aux autorités françaises, et plusieurs conseils stratégiques peuvent être formulés à l’endroit du couple de journalistes persécutés, Dounia et Adnane Filali.
    Ce que l’on peut — et doit — exiger du régime français :
    1. Le respect strict des décisions de justice françaises : L’État français ne peut se permettre de fouler aux pieds l’autorité judiciaire. Dès lors qu’un tribunal administratif a tranché en faveur du maintien du couple sur le territoire, toute tentative d’expulsion ou de pression administrative constitue un abus de pouvoir, et doit être immédiatement suspendue.
    2. L’application effective du droit d’asile et de protection des réfugiés : La France est signataire de la Convention de Genève de 1951. À ce titre, elle est juridiquement tenue de protéger toute personne menacée dans son pays d’origine pour ses opinions ou activités politiques. Le couple Filali entre pleinement dans ce cadre.
    3. La fin de l’instrumentalisation diplomatique du droit : La République française doit cesser de subordonner la justice et les droits humains à des considérations géopolitiques ou à des arrangements bilatéraux opaques avec des régimes autoritaires comme celui du Maroc. Une démocratie ne peut être crédible à l’international que si elle reste fidèle à ses principes, y compris lorsque cela gêne ses partenaires.
    4. Une transparence publique sur les pressions étrangères : Il est impératif que l’opinion publique française et internationale soit informée de l’origine politique des persécutions subies par ces journalistes. Si des pressions marocaines sont exercées sur la France, elles doivent être dénoncées et mises au jour, et non dissimulées dans les rouages administratifs.
    Ce que l’on peut conseiller au couple Filali
    1. Judiciariser systématiquement chaque atteinte à leurs droits : Chaque manquement, menace, ou acte de harcèlement administratif doit faire l’objet d’un recours formel, d’un dossier documenté, et — si possible — d’une saisine des juridictions européennes (notamment la CEDH à Strasbourg).
    2. Internationaliser leur cause médiatiquement et politiquement : Face au silence complice d’une partie des médias français, il convient de mobiliser la presse internationale, les organisations de défense des droits humains (Amnesty International, RSF, Human Right Watch) et les parlements européens. C’est souvent à l’extérieur que la pression devient réellement efficace.
    3. Constituer un collectif de soutien citoyen et juridique : Ils gagneraient à s’entourer d’intellectuels, d’avocats, d’ONG, d’universitaires et de journalistes indépendants capables de porter leur parole dans l’espace public français et européen.
    4. Ne jamais renoncer à la dignité ni à la vérité : Leur combat dérange parce qu’il est fondé, éthique et courageux. Qu’ils gardent cette ligne de droiture, sans haine mais avec fermeté. Leur engagement pour la vérité est leur plus puissante légitimité.
    À la France officielle, il faut rappeler que la grandeur d’une démocratie ne se mesure pas à ses discours mais à la manière dont elle traite les voix dissidentes.
    Aux journalistes persécutés, il faut dire qu’ils ne sont pas seuls. Leur combat, bien que rude, est porteur d’une lumière que l’Histoire ne reniera pas.

    Mohamed El Maadi
    29 mai 2025 - 10 h 44 min

    (…)
    En évoquant le tournant de leur exil, il est capital de rappeler que **Dounia et Adnane Filali** ont été persécutés non seulement en France, mais également auparavant – et de manière tout aussi cynique – **par les sbires du Makhzen**, qui croyaient naïvement que la Chine d’aujourd’hui était encore celle de l’ère maoïste.

    Or, ces deux journalistes marocains sont **les premiers réfugiés politiques à qui la Chine a accordé l’asile**, via le HCR. Ce fait en lui-même est un symbole fort. Mais il dérange.

    Furieux de cette décision, le régime marocain avait alors envoyé une équipe clandestine pour les **menacer et tenter de les faire taire**. Les deux journalistes ont immédiatement déposé **plainte auprès de la police chinoise**. Dans un premier temps, l’administration chinoise est restée prudente, presque passive.

    Mais tout a changé **après le scandale international de Pegasus**, dans lequel le Maroc s’est retrouvé éclaboussé pour avoir espionné illégalement journalistes, opposants et chefs d’État. Dès lors, les autorités chinoises ont **pris très au sérieux la plainte des Filali**. Ce ne sont plus de simples policiers, mais **des agents étatiques** qui ont été déployés. Un dispositif discret mais efficace a été mis en place, jusqu’à poster **des agents en faction devant leur immeuble**.

    Et un jour, les hommes du Makhzen sont revenus. Cette fois, ils n’ont eu ni le temps ni l’espace pour menacer. **Ils ont été arrêtés sans ménagement** par les services chinois. Après avoir tenté de s’excuser platement, ils ont été **immédiatement expulsés** du territoire chinois. **Voilà un exemple de ce que signifie le respect de la souveraineté et du droit d’asile.**

    Comparons maintenant avec la France.

    Le pays de Voltaire, qui aime tant donner des leçons de démocratie, est aujourd’hui devenu – il faut oser le dire – **une caricature d’État de droit**, où les droits fondamentaux sont appliqués à la carte, en fonction des intérêts géopolitiques. Les Filali, pourtant **réfugiés reconnus par le HCR et par les autorités françaises**, continuent d’être **privés de papiers, harcelés administrativement, et livrés au silence** par un système qui les broie à petit feu. Cela dure depuis **quatre ans**.

    En France, la répression devient sournoise, **psychologique, lente, impitoyable**. Le pouvoir ne peut pas les expulser sans violer la Convention de Genève, alors il les **maintient dans un no man’s land légal**, les condamnant à une mort sociale et administrative.

    Quand on dénonce cette complicité franco-marocaine, certains, à court d’arguments, brandissent aussitôt **la question des Ouïghours ou du Tibet**, pour disqualifier toute défense de la Chine. Soyons clairs : **nul ne prétend que la Chine est un modèle universel**, et toutes les puissances ont leurs zones d’ombre. Mais **il y a une différence fondamentale entre une critique fondée sur les droits de l’homme et une instrumentalisation cynique des droits de l’homme pour servir des agendas géopolitiques**.

    Ceux qui évoquent les Ouïghours pour relativiser la protection offerte aux Filali ne cherchent pas à défendre les droits humains : **ils cherchent à détourner l’attention** de la **faillite morale et juridique de l’État français** dans cette affaire.

    En Chine, les Filali étaient en sécurité. En France, **ils sont en danger**. Voilà la réalité. L’affaire **Bugat**, relaxé pour ses propos sur la Palestine après un tollé international, y compris jusqu’en **Corée du Nord**, révèle bien **le double standard** : certains peuvent parler, d’autres non. Tout dépend du sujet. **Mohammed VI ne doit pas être critiqué**, et ceux qui osent le faire doivent être neutralisés – de gré ou de force.

    La France, jadis patrie des droits de l’homme, est aujourd’hui **le relais complice des basses œuvres du Makhzen**, tout comme elle fut, en d’autres temps, l’auxiliaire zélé d’un autre régime, celui de Hassan II, dans l’affaire Ben Barka.

    **Netanyahou a fait des petits**, et **ils grandissent en France**, sous des habits républicains.

    Nous ne devons pas nous taire.

    zembla
    29 mai 2025 - 9 h 48 min

    «Ce qui est sûr, c’est que nous regrettons profondément d’avoir quitté la Chine pour la France, un pays où nous avions nos droits, respectueux du droit international et appliquant la protection au sens de la Convention de Genève de manière stricte, sans faire interférer ses intérêts politiques avant l’application du droit.»

    Et que pense cette personne du respect des droits des Ouighours et des Tibétains par le gouvernement Chinois

      DZ FlytoX
      29 mai 2025 - 10 h 34 min

      @Zembla el marroki
      Souffres en silence et épargnes nous tes Chouineries.

      Lyes Oukane
      29 mai 2025 - 11 h 31 min

      Jamais le Xinjiang, état chinois à majorité musulmane, n’a autant progressé en qualité de vie que ces 40 dernières années. Du moyen – âge il est passé à un état moderne comme le reste de la Chine .
      C’est un peuple  » persécuté  » qui a de la chance parce qu’ailleurs dans le monde c’est toujours  » plus tu es persécuté et plus tu dépéris « .Bizarre non ?

      Pourquoi on retrouve des Ouighours dans des organisations djihadistes ?
      Qu’ils combattent la Chine je pourrais essayer de comprendre mais aller poser des bombes et tuer des innocents en Syrie ,en Irak là je ne vois que manipulation des même .Tu sais les faiseurs de révolutions colorées et autre al quaida fait du bon boulot.

      Quant au Tibet, son Dalai Lama est un employé de Langley depuis qu’il a été imposé à ce poste .C’est de notoriété publique.

      Le but de toute cette mascarade, de cette propagande de bobards ? Nuire à la montée fulgurante de la puissance chinoise. L’oncle Sam n’aime pas ça mais alors vraiment pas .

      Tu remarqueras que tous les médias occidentaux et leurs ONG racontent la même chose  » le pauvre peuple ouighour est persécuté  » . Depuis longtemps, maintenant, je me méfie de ces sources. Alors, j’ai cherché .
      Depuis 2018 plus de 98 pays ( occidentaux en tête ) ont visité le Xinjiang et tous ont reconnu que la très grande majorité des Ouighours vivaient très bien .
      Seuls les terroristes étaient poursuivis .
      Comme ( Presque ) ailleurs dans le monde.

      Rappelle-toi. Pour Mitterrand nos afghans étaient aussi de braves démocrates persécutés par la junte militaire algérienne .T’as déjà oublié ?

      Ps : plutôt que d’interroger ces deux journalistes marocains sur des contrées lointaines, pourquoi ne leur demandes-tu pas leur avis sur la persécution du peuple sahraoui ? Eux aussi tu les as oubliés alors que c’est nos voisins ? Etrangement étrange !

        Anonyme
        29 mai 2025 - 16 h 32 min

        Sauf ton respect , tu perds un précieux temps à essayer de convaincre un Troll Nazisioniste habitué aux séminaires du CRIF …….
        Le @Ze…bla exhale à travers ses posts un Cretinisme Congénital incurable …..Donc IMPERMÉABLE À LA VÉRITÉ CRUE ……

          Lyes Oukane
          29 mai 2025 - 23 h 31 min

          @ Anonyme de 16h32
          Merci sincèrement pour ton conseil.

          Quand je donne un avis je pense toujours à ceux qui nous lisent sans jamais donner leur avis plutôt qu’à celui à qui je m’adresse .
          Je vise nos plus jeunes et ceux qui n’ont pas toujours les mots pour répliquer aux mensonges qu’on essaye de leur faire avaler . Il nous faut éveiller le maximum de nos compatriotes. Lazem oukoul y fikou .
          C’est peut être prétentieux mais c’est comme ça que je vois les choses.

          Sinon, pour zembla le fourbe marocain du dessus je me serais simplement contenté de lui dire que le M de son pseudo était de trop et pas plus .

        Chaoui
        29 mai 2025 - 21 h 37 min

        Y’a si « Lyes Oukane » :

        Juste deux choses :

        1) D’abord, je tiens à te féliciter pour ton excellent Post résumant comme tu vois la situation internationale et notamment cette magnifique et fort respectueuse Chine, « Empire du milieu » hier et qui le redevient non tel le phénix mais un Dragon géant…
        2) Ensuite, laisse-moi te dire que le couple de journalistes (les Filali) que tu invoques, ont déjà à maintes reprises invoqué outre le malheur des Palestiniens mais y compris et avec justesse et justice celui du Sahara Occidental et de son peuple, le peuple Sahraoui comme du Polisario. Ils leur arrivaient même de pondre des sujets pour dénoncer les manœuvres et provocations faites par le makhzen contre notre pays. Je voulais juste leur rendre cette vérité.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.