Les tentacules du sionisme en France : un gala pour l’armée sioniste en plein Paris
Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – L’«élite» politico-médiatique de la fachosphère française se vautre dans la fange la plus dégoûtante avec une délectation répugnante. On en voit les effets chaque jour dans les aboiements télévisuels et radiophoniques contre l’Algérie et les Algériens, véritable leitmotiv susceptible de rassembler tous les Dupont-Lajoie de France et de Navarre et leur faire oublier dans quel bourbier les a entraînés la politique macronienne. Tout ce qui s’oppose au génocide commis en ce moment à Gaza la martyre se retrouve dans le viseur des oligarques qui dirigent réellement la France, et dont Macron n’est jamais que le mandataire. N’oublions pas que ce banquier des Rothschild a été façonné par les milliardaires Arnault, Drahi, Niel, Bolloré, etc. via leurs agences de communication, instituts de sondage et médias, et dont la cheville ouvrière est la truande Michèle Marchand, membre notoire de la pègre, chargée jusqu’il y a peu de la communication du couple Macron-Trogneux, lequel s’est récemment illustré en se battant dans un avion devant la planète entière. C’est ce qu’on appelle l’amour vache, chanté par Boris Vian, mais on ne savait pas que Macron en était un adepte et qu’il pourrait fredonner à son tour «Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny, Moi j’aime l’amour qui fait boum !»
Dans cette France macronienne livrée à une perversité débridée, on aura décidément tout vu. Le comble de l’infamie a été atteint le 27 mai dernier, avec une démonstration d’aplaventrisme de toute la clique de larbins zélés à la solde des oligarques et de l’entité nazisioniste au cours d’un gala organisé au salon Hoche à Paris. Ce premier gala de la DDF (Diaspora Defense Forces, organisation présentée comme «l’armée citoyenne dédiée à la défense de l’image d’Israël et de la diaspora juive»), était une véritable cérémonie d’hommage à la grande faucheuse, parrainée par le porte-parole de l’armée nazisioniste, le colonel Olivier Rafowicz, lequel a dénoncé sur CNews qu’avait lieu une véritable vague de propagande anti-Israël en déclarant : «Le Hamas est l’extension des Frères musulmans dans la bande de Gaza.» Le gros mot est lâché et on verra plus loin qu’il est d’une importance stratégique. Cette célébration abjecte de la mort de tout un peuple était organisée par le propagandiste génocidaire binational, le sayanim Frank Tapiro, dont les parents juifs ont été éjectés d’Algérie en 1962 et qui vivent maintenant à Tel-Aviv. Ancien conseiller médiatique de Nicolas Sarkozy jusqu’en 2007, ce Tapiro, outre le fait qu’il a fondé, à travers ce DDF, un nouvel instrument de pression sioniste en France, qu’il mène campagne sur les plateaux de télé et sur les réseaux sociaux contre tous ceux qui prennent la défense des Palestiniens qu’il considère d’ailleurs comme des sous-hommes, qu’il répand des fake news et des insultes, et pratique la victimisation sioniste à outrance, est également connu pour aimer se balader la nuit au Bois de Boulogne, haut lieu de la prostitution des travelos, dans lequel il a été filmé en galante compagnie masquée en hiver 2023. Bref, comme le sieur Driencourt, il réunit à lui seul tous les critères propres à la racaille sioniste.
Cette soirée festive de soutien au génocide du peuple de Gaza, dont on voit quotidiennement les images atroces, a rassemblé toute la secte de la fachosphère, heureuse de montrer son allégeance à l’entité nazisioniste. Certains d’entre eux ont quasiment défailli de bonheur en se voyant décerner un trophée pour leur aptitude à bien lécher les rangers de Tsahal, comme Laurence Ferrari qui, très modestement, a déclaré qu’elle avait fait son devoir par «humanité». Parmi les heureux «Justes» figuraient les meilleurs suceurs tels que Franz-Olivier Giesbert, Bernard-Henri Lévy, Philippe Lellouche, le juif marocain Jacques Essebag, dit Arthur, un exilé fiscal connu pour ses attouchements envers les invitées dans ses émissions, la chroniqueuse de CNews Céline Pina qui vante les mérites de l’esclavage de la population palestinienne inférieure et son annihilation en cas de résistance, et la Belgo-Marocaine Fadila Maaroufi, qui, en bonne Bousbirienne, a exprimé toute sa ferveur à Israël en clamant : «On doit beaucoup à Israël. Les jeunes qui sont debout auprès de Tsahal nous montrent qu’ils sont les vrais héros et nous inspirent tous les jours pour mener ce combat. Nous menons le combat ici, mais eux sont sur le front là-bas et nous devons être solidaires avec eux !» avant d’entonner l’hymne sioniste en compagnie de Gaston Ghrenassia, alias Enrico Macias, qui, pour une fois, ne pleurait pas, sous le regard ému de la ministre française du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, liée au grand capital, et de la députée Renaissance et «ancienne» responsable de la section antisémitisme de la Licra, la sayanim enragée Caroline Yadan qui préconise de légiférer afin d’exiger la reconnaissance de «l’État d’Israël» à tous ceux qui demandent la nationalité française.
La ronde des vautours au-dessus du charnier de Gaza
Le comble de l’innommable a été atteint avec le lancement d’un Quiz animé par Barbara Lefèbvre, chroniqueuse à RMC, dont le visage est aussi avenant que le portail d’entrée du camp de torture sioniste de Teiman dans le Néguev. Thème de ce jeu dédié au génocide en cours : «Depuis le début de la guerre, si 55 000 personnes sont mortes à Gaza, dont 55% de civils, ça fait combien de Gazaouis qui sont morts ? 10,5%, 24,6%, 1,3% ou 5,5% ? Quel est le bon chiffre ?» ajoutant : «On compte les civils morts, on ne parle pas des terroristes du Hamas.»
Oui, vous avez bien lu. Ils en sont là. Et pas à Tel-Aviv, mais à Paris. Je rappelle que pendant que ces monstres s’autocongratulaient et plaisantaient sur le camp d’extermination qu’est Gaza, l’armée la plus morale du monde bombardait et affamait tout un peuple, ce qu’elle continue chaque jour que Dieu fait. Les nazisionistes satanistes poussent le sadisme jusqu’à proposer aux Gazaouis affamés des bribes d’aide alimentaire distribuées au compte-gouttes par des mercenaires américains pour mieux les rassembler afin de les mitrailler. Les héritiers des juifs khazars de l’Europe de l’Est ont dépassé de loin leurs maîtres nazis. Sachant ce qui les attend, les Gazaouis les plus valides essaient d’aller chercher de la nourriture pour faire manger les enfants, tout en sachant qu’ils n’en reviendront peut-être pas. Voilà ce que cette bande de vautours dégénérés comme ces Barbara Lefèbvre, Laurence Ferrari, Fadila Maaroufi et toute la clique de laquais de l’entité nazisioniste d’Israël fêtaient ce 27 mai en plein Paris !
Cette orgie d’obscénités a poussé le député français Aymeric Caron à dénoncer ce gala comme «une fête sur les tombes» et à déclarer qu’il allait saisir la procureure de la République de Paris. Il y a encore des hommes et des femmes d’honneur en France, heureusement, et j’apporte mon soutien à tous ceux en France qui luttent contre le fascisme, comme les députés Caron et ceux de LFI qui font face à une offensive d’une violence sans précédent pour leur soutien aux Gazaouis, et la première d’entre eux est la courageuse Rima Hassan qui a affronté l’armée sioniste avec une poignée de militants sur le voilier le Madleen, et qui ont été emprisonnés dans les geôles sionistes où agonisent des milliers de Palestiniens dans l’indifférence totale de l’oligarchie occidentale.
La sainte alliance des Croisés au service d’Israël
Le Café Laïque, le projet Périclès, la loge du Grand Orient de France, les néocons, l’extrême-droite et le lobby israélien, ils sont tous là, regroupés en une sainte alliance comme au temps des Croisades pour faire la chasse aux «Frères musulmans». Mais cette histoire de courir sus à la mouvance frériste imaginée dans les laboratoires sionistes n’est rien d’autre qu’un attrape-nigaud. Ils nous sortent tous des discours grandiloquents, écrivent des tonnes de livres et d’articles, font des centaines de conférences pour alerter l’opinion sur le danger que représente le courant islamiste qui menace l’Occident, avec des Al-Banna par-ci, Al-Banna par-là, sans nous dire que le fondateur des Frères musulmans était un franc-maçon comme ceux du Grand Orient, eh oui, et sans nous expliquer pourquoi l’empire a toujours utilisé le terrorisme islamiste comme cheval de Troie pour démanteler des pays, et pourquoi les Britanniques, via l’Intelligence Service, ont créé les Frères musulmans. Al-Joulani en Syrie en est un parfait exemple. Comment se fait-il que les capitales occidentales déroulent le tapis rouge pour recevoir cet égorgeur sanguinaire, lequel vient de faire allégeance à l’entité sioniste d’Israël, pendant que ses troupes de tueurs hirsutes, à l’image de ce qu’il était avant qu’on ne lui fasse un brushing, massacrent à tout va en Syrie sans que cela inquiète les Occidentaux ? Et pourquoi ce terroriste promu chef d’Etat accepte-t-il que la Syrie soit grignotée par l’entité sioniste d’Israël qui réalise ainsi son projet de Grand Israël ?
Et vais-je encore devoir ressortir mon couplet sur le livre Une mosquée à Munich : les nazis, la CIA et la montée des Frères musulmans en Occident ? Comment se fait-il que les Frères musulmans aient trouvé une aire de repli au Royaume-Uni où on leur fiche une paix royale et où ils ont fondé le Londonistan ? Comment expliquer qu’ils ont trouvé refuge partout en Occident, en France, en Suisse, en Allemagne, en Belgique, aux Etats-Unis, etc. ? Comment se fait-il qu’en étant liée aux Frères musulmans par ses géniteurs, Huma Abdedin a pu être conseillère politique et assistante personnelle d’Hillary Clinton, et promue ensuite cheffe de cabinet lorsque celle-ci a occupé le poste de secrétaire d’Etat dans l’administration Obama ? Car, enfin, en tant que fille de Syed Abedin, fondateur du Journal of Muslim Minority Affairs en Arabie saoudite, dont elle a repris les rênes à la mort de son père, et avec une mère, Saleha Abedin, cheffe de la branche féminine des Frères musulmans, si l’on n’est pas en plein dans la mouvance frériste, je mange mon chapeau. J’ai écrit un article détaillé à ce propos en 2013 : https://mohsenabdelmoumen.wordpress.com/2013/10/27/les-documents-secrets-qui-devoilent-les-liens-souterrains-entre-les-etats-unis-israel-et-les-freres-musulmans-2/
Concernant les liens des Frères musulmans avec l’entité sioniste d’Israël, Huma Abedin représente un exemple parfait pour illustrer mon propos. Elle a été mariée dans un premier mariage à Anthony Weiner, un juif sioniste démocrate new-yorkais élu à la Chambre des représentants, qui participait à des rassemblements en faveur d’Israël et militait pour empêcher les Palestiniens de siéger à l’ONU en les qualifiant de terroristes. Ce pou sioniste est aussi connu comme délinquant sexuel ayant fait de la prison pour avoir diffusé des photos indécentes à des mineures sous le pseudonyme de «Carlos Danger». C’était évidemment gênant pour la carrière de son épouse qui a divorcé et s’est fiancée depuis à Alexander Soros, fils du juif hongrois Georges Soros, qu’elle doit épouser ce 14 juin. Inutile de présenter ce monstre sioniste qu’est Georges Soros à qui l’on doit, entre autres, toutes les «révolutions» colorées dans le monde, mais il paraît que son fils est encore pire. En tout cas, celui-ci est d’ores et déjà président du Conseil d’administration de l’Open Society Foundations et siège au comité d’investissement de gestion de fonds Soros Fund Management.
Le Sansal Project au cœur de l’offensive contre l’Algérie
Commençons avec le triumvirat franco-belgo-marocain complètement soumis à l’entité nazisioniste d’Israël et soutien inconditionnel de Sansal, en même temps que pourfendeur de «musulmans». Pas des cathos, ni des juifs, rien que des musulmans, tous catalogués Frères musulmans et islamistes radicaux. Les laïcs ne font pas dans la nuance et se limitent exclusivement à se positionner antimusulmans, surtout s’ils sont algériens, comme le prouve la campagne internationale en faveur de Sansal. Car Sansal est la clé. Examinons le cas de la Belgo-Marocaine Fadila Maaroufi, championne toutes catégories de la «laïcité», car elle se déclare apostat, ce qui ne l’empêche pas de flirter allègrement avec les cathos purs et durs et avec les sionistes encore plus purs et durs que les premiers, puisqu’ils ont fait de la Palestine occupée un Etat juif ultra-religieux. Le credo de Maaroufi : ôtez ce voile que je ne saurais voir ; quant à la kipa, la perruque ou la croix, je ne connais pas.
Directrice de l’Observatoire des fondamentalismes à Bruxelles (ça en jette, hein ? pour une petite Bousbirienne ex-assistante sociale), Maaroufi est un soutien sans faille à son maître absolu, l’entité nazisioniste avec son armée génocidaire et ses sayanims, et de tous les fachos de la création, papillonnant entre Valeurs actuelles, le Collectif Némésis, ces walkyries proches de Retailleau et Darmanin, les queers, les travelos et tous les représentants de l’alphabet LGBT et tutti quanti, mais aussi… tiens donc ! Le MAK. Ça fait beaucoup avec Boualem Sansal, lequel trône en bandeau sur son compte Twitter : «Libérez Sansal !» Quand je vous disais que cette vague laïcarde «antimusulman» était surtout anti-algérienne.
Il est intéressant de noter que cet Observatoire des fondamentalismes à Bruxelles est un tentacule du lobby sioniste implanté au cœur même de l’Europe pour être au plus près des institutions, et est rattaché à divers organismes prosionistes et d’extrême-droite tels que le Memri (Middle East Media Research Institute), une ONG d’extrême-droite pro-israélienne chargée de la surveillance des médias islamiques au Moyen-Orient et cocréée par Yigal Carmon, un ancien officier des services de renseignement israéliens, et par Meyrav Wurmser, une politologue néocon américano-israélienne, épouse de David Wurmser, ancien conseiller de Dick Cheney pour les Affaires du Moyen-Orient. Cette dernière a contribué au rapport «A Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm» («Une rupture nette : une nouvelle stratégie pour sécuriser le royaume»), publié en 1996 et écrit par Richard Pearle, dit «le Prince des ténèbres», pour l’entrée en fonction de Benjamin Netanyahou en tant que Premier ministre. Ce rapport définissait la stratégie israélienne à mettre en place au Moyen-Orient dans le but de modifier l’équilibre des forces régionales en faveur d’Israël. Memri travaille en coordination avec le gouvernement israélien, qui lui sous-traite la surveillance des médias palestiniens depuis 2012.
Autre ramification : le Middle-East Forum, un think tank fondé à Philadelphie en 1994 par Daniel Pipes, un journaliste juif néocon d’origine polonaise considéré qui fait son beurre de l’islamophobie aux États-Unis, et qui prétend promouvoir les intérêts américains au Proche-Orient. Partisan de toutes les guerres engagées par les Etats-Unis pour assurer leur hégémonie, il est aussi un soutien absolu de l’entité sioniste d’Israël. Il a d’ailleurs fondé Campus Watch, destiné à repérer et à menacer les universitaires américains qui s’opposent à Israël. Comble de l’ironie, George W. Bush avait nommé ce fou de guerre à la tête de «l’Institut des États-Unis pour la paix», poste qu’il a assuré de 2003 à 2005. Soutien aussi de l’extrême-droite européenne, le Middle-East Forum a financé la défense du député hollandais Geert Wilders, une figure d’extrême-droite notoire, lorsqu’il a été traîné devant la justice des Pays-Bas pour incitation à la haine raciale.
Ajoutons à ce panel «Le projet fondamentalisme», une enquête «scientifique» internationale sur les mouvements religieux conservateurs à travers le monde effectuée de 1987 à 1995 et réalisée sous la direction de deux professeurs universitaires, Martin E. Marty et Robert Scott Appleby. Cette étude a été financée par l’Académie américaine des arts et des sciences, et publiée par la presse de l’université de Chicago bien connue des néocons. Martin E. Marty, décédé en février dernier, était un théologien et un pasteur luthérien américain, professeur à l’Université de Chicago. Robert Scott Appleby est professeur d’histoire à l’Université de Notre Dame dans l’Indiana. Il codirige, avec Ebrahim Moosa et Atalia Omer, le projet «Contending Modernities», qui explore l’interaction entre les forces catholiques, musulmanes et laïques dans le monde moderne. Il a été doyen de la Keough School of Global Affairs de l’Université de Notre Dame de 2014 à 2024, laquelle offre un cursus de deux ans pour, je cite : «Préparer des dirigeants et des agents de changement compétents et efficaces à des carrières à fort impact dans les gouvernements, les ONG, la société civile et le secteur privé, avec des spécialisations dans des études internationales sur la paix, développement durable ou gouvernance et politique (avec des possibilités de se spécialiser davantage dans des domaines tels que les droits de l’Homme, le droit international, la religion mondiale, la politique démocratique, les migrations et les réfugiés, etc.).»
Et terminons par le site internet Global Watch Analysis, consacré – je cite encore – «à la prospection géostratégique, à la veille sécuritaire, au contre-terrorisme et à la résistance aux extrémismes», dont le siège est situé avenue Franklin-Roosevelt à Paris. Atmane Tazaghart, journaliste et essayiste algérien, en est le fondateur et le rédacteur en chef. Il a dirigé la rédaction du livre collectif La Menace mondiale des Frères musulmans, en partenariat avec des journalistes et «experts» français. Rien que ça, excusez-nous du peu !
Le Café Laïque
On connaît l’Espresso italien, apprécié des connaisseurs, le Cappuccino pour les gourmands, ou le café turc plein de marc et très sucré, et pour ceux qui n’aiment pas le café mais qui ont cédé au charme du bellâtre quelque peu avachi George Clooney, le Nespresso. Cependant, pour Maaroufi, le meilleur, c’est le Laïque. «What Else», n’est-ce pas ? dixit le beau George.
Car Maaroufi a cofondé le Café Laïque Bruxelles avec la Française Florence Bergeaud-Blackler en mars 2022. Il s’agit d’un lieu de rencontre niché dans un café-restaurant à Etterbeek, bien connu des francs-maçons qui ont viré facho puisqu’ils soutiennent l’entité nazisioniste d’Israël, et destiné à des conférences vouées à la propagation de la «laïcité» où sont conviés des propagandistes pour prôner les «valeurs» laïques, encenser le sionisme, taper sur les musulmans et sur l’Algérie, puisque la libération de Boualem Sansal est centrale dans ce haut lieu laïcard. J’ajoute que Sansal, chantre de la laïcité, s’est produit au Café Laïque, ainsi qu’une certaine Fathia Boudjahlat. Pour ceux qui l’ignorent, Fathia Boudjahlat est une féministe socialiste d’origine algérienne qui a cofondé, en 2015, le mouvement Viv(r)e la République pour «promouvoir la laïcité et lutter contre l’islam politique» avec l’esclavagiste génocidaire Céline Pina, citée avant. Autres invités dans ce haut lieu de propagande : dans le désordre, l’avocat attitré des socialistes et franc-maçon Marc Uyttendaele, le juif marocain Georges Bensoussan qui a dirigé la rédaction du livre Les Territoires perdus de la République sous le pseudonyme d’Emmanuel Brenner, une sorte de nouvelle bible antimusulmane sur «l’antisémitisme, le racisme et le sexisme» en milieu scolaire, de la part, bien entendu, des jeunes d’origine maghrébine. Ce livre a été rédigé par un collectif de sayanims enthousiastes parmi lesquels la sémillante sayanim Barbara Lefèvre, adepte des quiz sur le massacre des Palestiniens.
Parmi les amateurs du café amer, citons la Franco-Israélienne Yana Grinshpun, spécialiste de la religion des pleureuses de la Shoah, codirectrice de l’axe «Nouvelles radicalités» au sein du Réseau de recherche sur le racisme et l’antisémitisme ; ou encore Jean Szlamowicz, professeur des universités et auteur d’articles dans Causeur, qui nous fait une démonstration intellectuelle pour vanter le racisme et la haine des musulmans ; Raphaël Enthoven, marié à la fille de BHL, ce qui lui vaut d’être «vulgarisateur de philosophie» sur Arte France où son beau-père est président du conseil de surveillance, et ancien amant de Carla Bruni qu’il avait piquée à son père qui, lui-même, l’avait piquée à dieu sait qui, tant la liste des amants de Mme Sarkozy est longue. Et enfin, Céline Pina déjà citée. Dans ce Café Laïque, on n’est plus dans la lutte des classes, mais dans la lutte des crasses. Impossible en tout cas de suivre les vidéos et d’écouter en entier les discours pontifiants de ces énergumènes pseudo-intellectuels sous peine d’être sujet à une gastro-entérite foudroyante.
L’autre fondatrice de ce Café Laïque, la Française Florence Bergeaud-Blackler, est la directrice du Conseil scientifique (on se demande à quelle science ce conseil fait référence) de l’Observatoire des fondamentalismes créé par Maaroufi. Elle est fan des thèses de Robert Spencer, qui a inspiré le néonazi Anders Behring Breivik pour commettre son massacre de 77 personnes en Norvège. Proche du Cercle algérianiste, elle aussi réclame farouchement la libération de son pote Boualem Sansal, et a participé au cycle de conférences organisé par Louis Aliot en 2024. Elle a notamment accusé Karim Benzema d’être l’ambassadeur de l’islam. Convertie à la théorie du «Grand Remplacement» d’Eric Zemmour, elle a également fondé le Centre européen de recherche et d’information sur le frérisme (le Cerif), financé par Pierre-Edouard Stérin, milliardaire catholique d’extrême-droite français, exilé fiscal en Belgique, fondateur du projet Périclès qui vise à rassembler toutes les droites et à porter Bruno Retailleau à l’Elysée en 2027. On remarquera au passage qu’Arnaud Montebourg s’est associé à Stérin pour créer Utenda Capital, un fonds souverain privé pour l’agriculture et l’industrie. Le Grand Maître de la loge maçonnique du Grand Orient de France, Georges Serignac, a remis à Bergeaud-Blackler la médaille commémorative des 250 ans de l’appellation du Grand Orient de France, en reconnaissance de ses bons et loyaux services. Soutenue par la Licra, on doit à cette experte chevronnée l’ouvrage de référence dans la fumisterie : Le Frérisme et ses réseaux. Enquête. Tout un programme.
Troisième larron fondateur du Café Laïque, l’homme d’affaires milliardaire belge Laurent Minguet. Il a commencé sa carrière dans la coopération belge Apefe au lycée Lemsallah de Casablanca comme professeur de mathématiques début des années 1980 pour rejoindre ensuite le département gisement de Petrofina en 1984, où il a suivi une formation à l’Institut français du pétrole (IFP). Il a ensuite cofondé l’entreprise EVS en 1994, société spécialisée dans la fabrication de serveurs vidéo, et détient aujourd’hui de nombreuses sociétés dans divers domaines comme l’immobilier, la construction, l’énergie, l’innovation technologique, la gestion financière, l’économie sociale, l’édition et les technologies de transport. Rien que ça. Il a créé Tweed, un réseau d’entreprises actives dans l’énergie durable telles que l’éolien, le photovoltaïque, la biomasse, l’hydrogène, etc. Ses activités d’homme-orchestre dans l’entreprise lui a permis d’avoir des contacts avec, entre autres, l’entité sioniste d’Israël et les Emirats arabes unis. Membre de l’Académie royale de Belgique, il fait de nombreuses affaires en Afrique et y monte des entreprises, tout en affirmant que «le QI des Noirs est plus faible que celui des Blancs», ce qui lui a valu d’être éjecté du Sénégal où il avait créé diverses sociétés d’hôtellerie de luxe, comme la résidence Amigo Bay, mais aussi de «soutien au développement».
On remarquera que ces Blancs qui investissent en Afrique et y font fortune sont les champions d’un racisme basique dont ils ont hérité depuis l’époque coloniale, comme Bolloré, par exemple. Les nombreuses activités de Minguet lui laissent quand même le temps de faire la chasse aux «Frères musulmans» avec son ami Pierre-Edouard Stérin du projet Périclès. Il a fondé en 2016 la maison d’édition Now Future dont l’objectif est d’analyser «les questions d’actualité et les faits de société, de proposer une réflexion critique à long terme, de proposer des solutions d’avenir et de soumettre au public des choix de société à faire au présent». En 2008, il a publié 9 milliards. Le futur maintenant. Dans cet ouvrage préfacé par le climatologue Jean-Pascal van Ypersele, il alerte sur le fait que la planète ne pourra pas assurer la subsistance de 9 milliards d’êtres humains si aucune mesure n’est prise. Sans doute compte-t-il y remédier en préconisant l’élimination d’une certaine catégorie de la population, telle que les musulmans qui représentent, à eux seuls, 1,6 milliard d’individus ? Son racisme évident lui a valu une plainte d’Unia (Centre interfédéral belge pour l’égalité des chances) mais l’Académie royale belge n’a pas jugé utile de lui fermer sa porte.
Les francs-maçons en première ligne
Pour tous ces partisans d’une certaine laïcité qui, je le répète, est la nouvelle Croisade imaginée par l’empire, la gauche, que les membres de la fachosphère désignent sous le vocable d’«islamogauchistes» pour leur soutien à la Palestine, sont infiltrés par les «Frères musulmans» – encore eux ! – et représentent un danger pour la sacro-sainte démocratie socio-libérale. D’après ces laïcards, l’islamisation de l’Europe est en marche, et ce danger imminent stimule Fadila Maaroufi, qui nous rejoue la chanson de Roland version Bousbir, lorsque le neveu de Charlemagne, Roland, a soufflé dans sa trompe à Roncevaux pour alerter de l’avancée des Sarrasins. Cette furie est prête à mener les troupes pour une nouvelle guerre sainte en appelant à la guerre civile, comme elle l’a fait en déclarant dans une émission de Radio Courtoisie, d’extrême-droite : «Je pense qu’on va aller vers des affrontements. Il faut appeler les jeunes à apprendre à se défendre, ici en Europe, physiquement, intellectuellement, car, en face, ils se préparent, on nous a déclaré la guerre.» Même si ses propos fleurent le charabia propre au terroir bousbirien, tout le monde a bien compris le message : Maaroufi se voit comme la nouvelle Jeanne d’Arc marocaine dont le slogan n’est plus «Sus à l’Anglais !» mais «Sus au musulman !». Ou plus précisément «Sus à l’Algérien !»
Car il convient de noter que Maaroufi, version marocaine de ceux que désignait Malcolm X naguère comme des «nègres de maison», a reçu le Prix international de la laïcité – eh oui, ils ont même inventé un prix de la laïcité ! – à Paris en novembre 2024, décerné par le Comité Laïcité République, au cours d’une cérémonie présidée par l’avocat juif franco-marocain Richard Malka, devant un aréopage de sayanims maçons dont les mains sont rouges du sang des enfants palestiniens, parmi lesquels Elisabeth Badinter. Lors de cette soirée, Maaroufi a osé citer le nom de l’Algérie en énumérant les pays qui ont souffert de l’islam radical. Je dis à cette femme, que je lui interdis de prononcer le nom de mon pays l’Algérie, qu’il n’a rien à faire dans la bouche puante d’une esclave belgo-marocaine de l’entité sioniste d’Israël, qu’elle est trop bête pour comprendre quoi que ce soit à l’islamisme et que nous ne sommes pas dupes de ses manigances. Il faut souligner que cette Bousbirienne fasciste pratique la délation en dénonçant les personnes qui la critiquent pour son soutien à l’entité nazisioniste, surtout les membres de LFI, en les ciblant auprès de l’association sioniste Char (Contre la haine, l’antisémitisme, le racisme) ex-Micra, dénonciations relayées par le Collectif des vigilants, autre organisation sioniste.
Parlons maintenant de ce Comité Laïcité République qui est une association promouvant la laïcité en France fondée au début des années 1990 à l’initiative du Grand Orient de France par une panoplie de personnages hétéroclites dont le pédophile Pierre Bergé, Régis Debray, Alain Finkielkraut, le député européen Sami Naïr, né à Tlemcen, etc. Le Comité Laïcité République a notamment récompensé, entre autres, et en vrac, en 2017, la Femen ukrainienne néo-nazie et ancienne maîtresse de ce poison qu’est Caroline Fourest ; Inna Shevchenko, qui scie les croix à la tronçonneuse dans les églises ; George Bensoussan cité plus haut et – tenez-vous bien ! – Boualem Sansal en 2018, et Kamel Daoud en 2020. Florence Bergeaud-Blackler et Maaroufi ont été récompensées à leur tour successivement en 2023 et en 2024, ainsi qu’une autre Bousbirienne, grande cireuse de pompes sionistes, Sophia Aram. Quant à Malka, il est, entre autres, l’avocat de DSK, de Charlie Hebdo et de Beur FM, cette dernière sur laquelle intervient quotidiennement Karim Zeribi avec beaucoup plus de virulence que sur CNews, et l’on peut s’étonner de voir cette radio prendre conseil auprès du même avocat que celui qui défend le torchon Charlie Hebdo.
Les politiques dans tout ce fatras ? Le 26 mars dernier, Bruno Retailleau et Manuel Valls, deux «ministres» du régime de Macron, ont participé au meeting «Pour la République, la France contre l’islamisme», organisé par le lobby pro-israélien Elnet et financé par Pierre-Edouard Stérin. Participaient également les deux passionarias de la lutte anti-islam Florence Bergeaud-Blackler et Fadila Maaroufi.
Que signifie cette épidémie galopante de la maladie de soutien à Sansal, dite «sansalite», en France ?
On remarque une augmentation exponentielle de cas d’une nouvelle maladie qui a fait son apparition en France un peu à la manière du Covid 19 et dont le public cible est la fachosphère sionisée qui semble particulièrement visée, mais qui commence à s’insinuer partout. La sansalite, qui a fait son apparition dans les égouts du Quai d’Orsay, de son petit nom Gay d’Orsay, à Paris, se propage un peu partout dans l’Hexagone, et l’on se demande très sérieusement si elle n’a pas été insidieusement déversée dans les eaux souterraines par un agent du Mossad en mission commandée. Connaissant la perfidie du Sionistan, on peut s’attendre à tout. Le virus se renforce et commence à s’insinuer dans les pays voisins, puisque des cas ont été recensés en Belgique, en Allemagne, et même au Canada. Inquiets pour la santé publique, nous recommandons d’activer d’urgence le plan de sauvegarde, à l’instar de celui mis en place lors de la pandémie du coronavirus tels le port du masque, le confinement, garder ses distances vis-à-vis d’autrui… Bref, toute la batterie de mesures dont chacun se souvient.
L’heure est grave, il s’agit de se prémunir contre un virus insidieux qui agit sur le système nerveux central et rend les gens particulièrement agressifs et haineux, un peu à la manière de la rage, et les transforme en bêtes hideuses éructant toujours les mêmes propos. Si vous constatez les premiers symptômes se traduisant par l’agressivité, la haine, une logorrhée irrépressible dans laquelle reviennent de manière récurrente les mêmes mots «Boualem Sansal», «Algérie», «dictature militaire», «démocratie», «musulman» et que la bave vous monte aux lèvres, composez de toute urgence le 112, vous avez besoin de soins. Un séjour en clinique spécialisée et un reformatage complet du disque dur pourra peut-être vous sauver.
Mais pour l’avocat israélo-français Gilles-William Goldnadel, c’est foutu. La pathologie est trop avancée, on ne peut plus rien faire pour lui et l’avancement de la maladie pourrait déjà lui permettre de figurer dans le film d’horreur Ça, inspiré par le livre de Stephen King. Ainsi, il a été sujet à un accès de crise aigüe de sansalite en pleine prestation sur la chaîne Bolloré Circus, CNews, à propos de l’acte de piraterie commis par l’entité sioniste dans les eaux internationales envers le voilier Madleen et le kidnapping de ses militants : «J’ai noté que M. Macron a demandé à ce que très vite, très vite, les Français reviennent en France. Je constate que M. Macron est plus pressé de voir Mme Rima Hassan arriver à Paris plutôt que M. Boualem Sansal.» Evoquer Sansal dans un débat consacré à la flottille pour Gaza prouve qu’il est irrémédiablement atteint, et nous craignons le pire. Par ailleurs, dans ce studio, tout le monde est depuis longtemps contaminé puisque ses propos ont été salués par un «Bravo, merci» de Laurence Ferrari, déjà bien malade et dont la guérison n’est plus espérée, à l’instar de son voisin Pascal Praud qui a souligné : «Ben oui, il a raison. Il fallait le dire.»
Nous répondons à ce clown fielleux de Goldnadel et à ses petits larbins que sont Ferrari et Praud, ainsi qu’à toute la valetaille caquetante au service des oligarques propriétaires de la presse française que sont les Fourest, Mabrouk, Levy, Bossuet et autres laquais du capital et de l’entité sioniste d’Israël que l’Algérien Sansal n’est français que depuis juin 2024, qu’il est un ancien haut fonctionnaire du ministère algérien de l’Industrie et qu’il est en détention suite à sa comparution devant un tribunal algérien souverain, qui l’a condamné à une peine de cinq ans pour des faits répréhensibles bien définis. Il jouit d’un confort que Rima Hassan, députée européenne, n’a pas connu dans les geôles sionistes. Elle a fait connaissance avec les méthodes d’incarcération très démocratiques des criminels génocidaires talmudiques réputées mondialement, du type «on va te fracasser la tête contre le mur si tu ne signes pas», en même temps que sept autres membres de l’équipage du Madleen.
Ce procédé d’imposer Boualem Sansal quand on parle de Rima Hassan a d’ailleurs été repris par le Franco-Marocain Amine El Khatmi sur le plateau de ce même Bolloré Circus, lorsqu’il a brandi une grande photo de Sansal-le-bâtard, tellement moche à côté de la lumineuse Rima, pendant la retransmission de la fête que lui a réservée la France Insoumise à son retour des geôles infâmes d’Israël dont elle a été expulsée et qui a rassemblé une foule immense place de la République à Paris. La place noire de monde et le sourire de Rima Hassan rendaient cette serpillère marocaine de Bolloré vert de rage. Et c’est ainsi que j’ai appris que les laïcards français ont réussi à bombarder un Marocain, qui se définit lui-même comme «musulman laïc», conseiller laïcité de Valérie Pécresse. Ce petit minable bileux qui tapine pour la DGED d’El Mansouri qui, lui-même, a défrayé la chronique avec les révélations qui ont fuité sur son patrimoine immobilier en France, aime voyager en Israël et voue une haine tenace aux parlementaires de la France Insoumise qu’il traite de «collabos» et de «lâches» parce qu’ils n’ont pas voté la motion demandant la libération de Sansal. Pour lui, les militants du Madleen qui ont défié son maître israélien sont des «guignols qui ont fait une croisière Instagram». Décidément, l’alliance France-Bousbir est une manne de ressource dans l’absurdité et la veulerie, et je conseille à ce laquais des sionistes et de la fachosphère, adepte de la rondelle lui aussi, de changer sa moumoute, elle ne lui va pas du tout.
Ces anecdotes médiatiques ont le mérite de nous informer sur la sansalite (la maladie de Sansal) qui menace toute la France et les pays voisins. Ainsi, le maire de Cholet, dans le Maine-et-Loire, Gilles Bourdouleix, a décidé de donner le nom de Boualem Sansal à une place de la ville qui sera inaugurée le 16 juin. A mon avis, un urinoir public conviendrait mieux, mais bon. Exemple type d’une pathologie évolutive incurable, ex-LR devenu RN, Bourdouleix est mis en cause et/ou condamné dans de nombreuses affaires judiciaires liées à ses déclarations dans lesquelles on trouve de la diffamation et des injures (j’avais bien dit qu’il s’agit d’une forme de rage), ou à des détournements de fonds publics et des abus de biens sociaux. Il est regrettable qu’un vaccin n’ait pas encore été mis au point car, on le voit, tous ces gens contaminés représentent un danger pour eux-mêmes et pour autrui. On devrait peut-être interpeller Von der Leyen pour qu’elle envoie quelques SMS à son copain Bourla afin qu’il crée un vaccin.
A Cannes, le maire républicain David Lisnard, proche de Sarkozy, de Ciotti et de Pécresse qui l’ont probablement infecté, lui qui est un véritable obsédé de la propreté jusqu’à nettoyer les rues de la ville à l’eau de Javel et les plages à l’eau oxygénée, lance une opération de soutien à Boualem Sansal les 20 et 21 juin prochains, consacrant toutes les médiathèques et bibliothèques au héros. Ça décape avec cet adepte de la pureté ! Cet évènement a été créé à l’initiative très active du Comité de soutien international à Sansal, présidé par la fille d’Albert Camus, Catherine Camus, laquelle, surnommée la Peste et son jumeau le Choléra par leur père – charmante famille – gère le patrimoine colonial camusien. Ce comité de soutien fourre-tout rassemble des personnalités politiques de tous bords, dont au moins un communiste, des fascistes notoires, des sayanims, des laïcards, des harkis de service que je ne citerai même pas, et même un jésuite. Tout ce joli monde patauge joyeusement dans un cloaque prosioniste et anti-algérien. Dans cet inventaire hétéroclite, il ne manque plus qu’un raton laveur, comme dirait Prévert. J’invite nos lecteurs à jeter un petit coup d’œil à cette liste de soutien : https://www.revuepolitique.fr/comite-de-soutien-a-boualem-sansal/
Ce comité doit son existence à Arnaud Benedetti, proche du Cercle algérianiste, un catho et gay refoulé comme Retailleau, fondateur du Comité de soutien à Sansal et rédacteur en chef de La Revue Politique et Parlementaire, revue trimestrielle destinée à la classe politique, aux hauts fonctionnaires des institutions et aux universitaires, tant au niveau européen que mondial. Benedetti a accordé une interview au torchon Front Populaire de l’ancien trotskyste Michel Onfray, le plagiaire du résistant fusillé Georges Politzer, dans laquelle il parle de l’intention des «hiérarques d’Alger» de faire de Sansal un exemple. Un exemple de quoi, à part la trahison et la calomnie de la part d’un individu abject auquel l’Algérie a tout donné ? Oui, effectivement, Sansal est un exemple de la crasse marocaine que l’Algérie a accueilli sur son territoire et qu’elle a nourri, éduqué, formé, pour qu’en guise de reconnaissance il lui crache à la figure. L’Algérie n’a pas de leçon à recevoir des serviteurs de l’oligarque Bolloré. Rappelons qu’Onfray s’est révélé un fasciste bon teint, parcours normal pour un trotskyste, depuis son AVC sur le plateau de CNews et ne quitte plus Ferrari, qui lui a porté les premiers soins. C’est la résurrection d’Onfray le trotskyste en facho. Et dire que ce petit sophiste est devenu une référence dans cette époque de m… !
Des exhibitions sansaliennes, en veux-tu, en voilà
Le Comité de soutien à Sansal de la fille de Camus, qui mérite bien son surnom «la Peste», est très actif et l’on constate que des soirées de solidarité ont été organisées les 6, 7 et 11 juin derniers, l’une à la mairie de Paris-Centre dont le maire sayanim Ariel Weil, né à Jérusalem, est l’époux de la femme rabbin Delphine Horvilleur. Cette soirée s’est faite à l’invitation du Comité de soutien, avec le soutien du MPCT (mouvement pour la paix et contre le terrorisme), avec la participation de Jean-Michel Blanquer, ex-ministre de Macron ; le juif marocain Abraham Bengio ; le renégat qui n’a plus rien d’algérien Kamel Bencheikh ; le pied-noir de Sétif Jean-Paul Scarpitta ; une haute représentante de la fachosphère, grande amie de l’entité sioniste qui tire à boulets rouges sur tout ce qui est propalestinien, à savoir Noëlle Lenoir, avocate, ancienne ministre et juge constitutionnelle qui n’a pas trop de problèmes avec le conflit d’intérêt puisqu’elle peut défendre un laboratoire pharmaceutique tout en conseillant la déontologie au Parlement ; Arnaud Benedetti déjà cité ; le juif pied-noir natif de Saïda, producteur et journaliste Georges-Marc Benamou, grand ami de Pierre Bergé et d’Yves Saint Laurent, dont on connaît les mœurs particulières et leur goût pour les petits garçons, proche de Mitterrand et de BHL, et conseiller de Sarkozy, bref, un homme aux amitiés éclectiques. Tous ces pieds-noirs qui se rassemblent nous confirment que Sansal est le porte-flambeau du projet d’une république pied-noire en Algérie, vœu pieux du Cercle algérianiste dont j’ai déjà parlé dans un article précédent.
On y a vu aussi la militante sioniste Huguette Chomski Magnis, SG du Mouvement pour la paix et contre le terrorisme qui parraine cette joyeuse assemblée et qui pourfend tout ce qui se permet d’émettre le moindre petit doute sur le bienfondé du «droit à se défendre» ou plutôt le «droit à massacrer» de l’entité sioniste dans les médias aux ordres, et Dieu sait s’ils font attention à ne pas s’écarter de la doxa sioniste ! Le tout agrémenté par la plume du caricaturiste «algérien» Ghilas Aïnouche, le montagnard bouseux et pouilleux qui ne sait pas aligner deux phrases en français, recruté par Driencourt, un adepte du grand torchon Charlie Hebdo et qui, réfugié en France et condamné à dix ans de prison en Algérie pour apologie du terrorisme et atteinte au président de la République algérienne, prétend, lui aussi, être régulièrement contacté par les autorités algériennes pour lui proposer l’annulation de sa peine contre un «ralliement au régime». C’est cela, on croit sur parole ce petit minable séduit par les lumières factices des salons parisiens. Participait aussi à cette soirée Jean-François Colosimo, directeur des éditions du Cerf, maison d’édition catholique, proche de l’Action française, mouvement d’extrême-droite royaliste et grand ami du pédophile notoire Gabriel Matzneff. Cherchez l’erreur, il a été nommé en 2022 à la Commission d’enquête indépendante sur la pédophilie au sein de la métropole orthodoxe de France. Quand les pédophiles enquêtent sur les pédophiles, tout va bien. Il participe aussi à des rencontres au Grand Orient de France avec la Grande Loge nationale française. Sacrée ascension pour le fils d’un boucher écorcheur immigré italien. Que du beau monde en somme !
Le deuxième hommage à Sansal a été organisé le 7 juin aux salles Saint-Nicolas de Compiègne, à l’initiative d’Eric Georgin, membre du Comité de soutien pestilentiel et du Cercle algérianiste. Quant à celui du 11 juin, on le doit à la maire du 5e arrondissement de Paris, Florence Berthout, qui lui a consacré la soirée de clôture du Festival du Quartier du livre avec l’aide du sempiternel Comité de soutien, cela va sans dire. Juste un petit détail sur cette Florence Berthout : elle anime une émission littéraire hebdomadaire sur la station de Radio de la communauté juive (RCJ). Et enfin, cerise sur le gâteau, la compagnie théâtrale Les Asphodèles du Colibri va interpréter, en juillet, au Festival d’Avignon, la pièce tirée du Village de l’Allemand où cette ordure de Sansal a attaqué la glorieuse ALN qui nous a donné un pays.
L’Union européenne passe à l’attaque
On l’a vu plus haut, le Comité de la Peste en soutien à cette syphilis qu’est Sansal ne ménage pas ses efforts pour ameuter le ban et l’arrière-ban en se servant de Boualem Sansal comme cheval de Troie afin de déstabiliser l’Algérie. Et l’on apprend que la Commission européenne de la Reichsführer-SS Ursula von der Leyen, général en chef du IVe Reich nommé par le World Economic Forum, a décidé de suivre la France de son copain Young Global Leader, Emmanuel Macron, dans son opération de déstabilisation de l’Algérie dont les porte-étendards sont le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, supplétif de Philippe de Villiers, et le ministre de la Justice, Gérald Moussa Darmanin, petit-fils de harki. En effet, la Commission a décidé de suivre le Gafi, Groupe d’action financière, créé en 1989 par le G7 à Paris, un «machin» dédié à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, dont sont membres 37 pays, parmi lesquels l’entité sioniste d’Israël. Ce Gafi a placé l’Algérie dans sa liste «grise». Et donc, à ce moment précis, l’UE marque au fer rouge l’Algérie, figure de pointe dans la lutte contre le terrorisme qui a fait tant de sacrifices dans la lutte antiterroriste, et la désigne comme un pays qui favorise le blanchiment d’argent et le terrorisme, alors que la France de Macron reçoit à l’Elysée le chef d’Al-Nosra, le boucher terroriste A-Joulani. Cette désignation n’a rien d’anodin et participe à tout ce qui est développé plus haut et qui se résume à ceci : l’Occident en ruine veut démanteler l’Algérie et piller ses richesses.
On peut remarquer en parallèle que le Makhzen marocain, via ses torchons habituels et à coups d’enveloppes et d’offre de séjours dans les hôtels de luxe avec fourniture de chair fraîche, pousse la charrue pour que le Front Polisario soit répertorié comme groupe terroriste, ce qui lui permettrait de faire d’une pierre deux coups, puisque l’Algérie défend la cause du Sahara Occidental à l’ONU. J’aimerais demander à Madame Von der Leyen et au Gafi, si l’Ukraine, véritable gouffre financier pour toutes sortes de trafics d’organes, d’enfants, d’armes, de drogue, et spécialisée dans le blanchiment d’argent et les terrorismes divers – dont le cocaïnomane corrompu fiché dans les Pandora Papers Volodymyr Zelensky est le champion incontesté –, est reprise dans cette fameuse liste qui, d’ailleurs, en ce qui concerne ce pays, ne devrait pas être grise mais du noir le plus profond. Idem pour le Maroc, premier producteur mondial de haschich et premier fournisseur de djihadistes, puisque tous les attentats qui ont été commis ces dernières années en Espagne, en France, en Belgique, en Allemagne, ont été commis par des Marocains ou des Européens d’origine marocaine. Encore une fois, on s’aperçoit que le Marocgate suit son petit bonhomme de chemin et que le Makhzen, activé par les Israéliens, distribue encore des enveloppes à gauche et à droite pour faire payer à l’Algérie ses positions honorables de soutien à la cause palestinienne et à la cause sahraouie. Et le timing est particulièrement bien choisi.
Par ailleurs, nous venons d’apprendre avec regret qu’Eric Denécé, que nous avons interviewé plusieurs fois, a été retrouvé mort à son domicile ce 12 juin. Ancien officier du renseignement, il était encore l’une des seules voix libres dans ce foutoir qu’est devenue la France et il n’hésitait pas à exprimer ses opinions, jusqu’à être accusé de «complotiste» et d’«agent du Kremlin». D’après notre source, il l’a payé de sa vie.
On apprend aussi que la République islamique iranienne a subi de nouveaux attentats et des bombardements israéliens dans la nuit du 12 juin qui ont tué des experts scientifiques du nucléaire ainsi que le chef des Gardiens de la Révolution, le général Hossein Salami, et le chef d’état-major ainsi que plusieurs responsables militaires de haut rang. Il convient de noter que dans les documents relatifs à l’arsenal nucléaire israélien dont l’Iran s’était emparé, des notes confidentielles attestent que le directeur de l’AIEA, l’Agence internationale de l’énergie atomique, le diplomate argentin Rafael Mariano Grossi, fournissait la liste des experts du nucléaire iranien à Israël, ce qui a permis à l’entité nazisioniste d’éliminer les chercheurs. Le poids du lobby sioniste en Argentine est bien connu et l’on en voit les conséquences actuelles. A l’heure où j’écris, le monde se dirige vers un embrasement général avec une entité sioniste dégénérée, complètement déchaînée, qui agit en roue libre.
Voyant tous ces évènements qui se précipitent, il me paraît indispensable que les éléments de la cinquième colonne, les résidus de la issaba, et les traîtres de l’intérieur qui ont des liens avec les Occidentaux, soient neutralisés. Dégageons les traîtres des planques d’où ils manigancent contre notre pays. Il en va de la survie de l’Algérie ! Tergiverser ne sert à rien, il y a urgence, car l’ennemi, lui, ne perd pas de temps. Il faut revoir tous nos accords avec l’Europe, y compris ceux qui concernent la fourniture de gaz. On doit les punir et utiliser l’arme du gaz contre eux. Entre bon et con, il n’y a qu’une seule lettre qui change. Cela suffit de jouer avec nos pieds ! Cette oligarchie dégénérée qui dirige l’Europe est constituée de gangsters qui ne connaissent que la force. Une vraie mafia ! Il ne faut jamais faire confiance aux dirigeants occidentaux. Souvenez-vous de ce que Sarkozy a fait à Kadhafi : il l’a reçu en grande pompe à l’Elysée, puis il lui a volé l’argent du peuple libyen et il a détruit la Libye en ramenant l’OTAN. Cela s’appelle le baiser de la mort. Aujourd’hui, l’angélisme doit être éradiqué, l’Occident ne comprend qu’un seul langage, celui de la force. Il n’obéit qu’à une seule loi, celle de la jungle, et le droit international est mort et enterré. Non contents de permettre à leur bras armé Israël d’exterminer le peuple palestinien, ils ferment les yeux sur l’attaque de l’entité sioniste contre des Etats souverains, comme on le voit actuellement avec l’Iran.
Tout ce qui a été développé plus haut démontre que l’Algérie est dans le viseur de l’empire américano-sioniste et de ses sous-fifres européens. Ceux qui pensent le contraire se leurrent. Les larbins marocains et africains à nos frontières ouest et sud, ces esclaves indécrottables, se pourlèchent les babines en pensant aux miettes que l’empire leur distribuera lorsqu’il aura mis la main sur les nombreuses richesses de notre grand territoire. Nous nous devons de réagir avec fermeté. L’armée et nos services de renseignement sont à pied d’œuvre H24, 7 jours/7 et veillent sur la patrie. Tous les patriotes doivent s’unir autour de notre armée et nos services de renseignement, qui sanctuarisent notre sol, et si notre territoire ou notre Etat est touché, il faut riposter immédiatement.
Le sens du devoir et du patriotisme nous interpelle tous pour sauvegarder la souveraineté de notre patrie. L’Algérie par ses positions nobles dérange l’Occident arrogant. Ce grand pays que nous ont légué les martyrs de Novembre restera un rempart infranchissable et la citadelle de la résistance. Nous résisterons face à tous les complots ourdis dans les différents cercles occultes de l’Occident criminel, soutien inconditionnel des bouchers génocidaires sionistes, et nous contrerons les manigances de la base arrière du sionisme, cette entité voyou du Maroc qui a spolié la terre des Sahraouis pour permettre aux entreprises occidentales d’en piller les richesses. La mobilisation est générale, les patriotes sont appelés à assumer leur responsabilité historique, celle de défendre la patrie, quoi qu’il en coûte. La sauvegarde de l’Algérie en dépend. Et si celle-ci est attaquée, tous les ennemis de l’Algérie, directs ou indirects, en subiront les conséquences.
M. A.
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