L’entité nazisioniste d’Israël allume la mèche de la troisième guerre mondiale

Trump Netanyahou
Trump et Netanyahou sont l'incarnation de l'axe du mal. D. R.

Une contribution de Mohsen Abdelmoumen – Nous n’avons jamais été aussi près de la troisième guerre mondiale. L’attaque de la République islamique d’Iran par l’entité nazisioniste, le 13 juin dernier, qui a coûté la vie aux principaux chefs de l’armée iranienne, suivie de bombardements de l’aviation israélienne sur des infrastructures civiles, ont provoqué une réaction d’une ampleur inédite de la part de l’Iran.

Convaincue de son invincibilité et de sa totale impunité, l’entité nazisioniste d’Israël s’est livrée à ce qu’elle sait faire le mieux au cours de l’opération Lion Rising : répandre la terreur et tuer. Parallèlement aux raids de l’aviation, Israël a activé ses agents de l’intérieur pour commettre des attentats, ce qui a entraîné la mort de centaines de civils. Mais voilà, malgré la décapitation de l’état-major de l’armée, les autorités iraniennes se sont ressaisies rapidement et ont décidé d’infliger une correction à cette entité voyou qui menace toute la région depuis sa naissance. Désormais, chaque nuit, chaque jour, le monde éberlué regarde les missiles iraniens pulvériser les centres névralgiques israéliens.

Le Dôme de fer, soi-disant infranchissable, s’est révélé être un dôme de carton car la défense israélienne est incapable de contrer les frappes des missiles qui pleuvent littéralement sur la capitale Tel-Aviv, mais aussi sur Haïfa, Beer Sheba et ailleurs. La stratégie iranienne s’est montrée imparable en inondant d’abord le ciel israélien avec des vagues successives de ses anciennes réserves de missiles pour épuiser la défense sioniste, pour ensuite, une fois le contrôle du ciel assuré, lâcher les engins de dernière génération. A cette heure, il resterait environ une dizaine de jours avant que les armes de défense israéliennes soient épuisées, livrant l’entité sioniste à sa destruction. L’Iran a mis fin au mythe de l’invincibilité de Tsahal en lui brisant les reins. Quelle humiliation !

Les cibles visées par l’Iran sont éminemment stratégiques telles que les centres de commandement, les installations gouvernementales, les ports et les infrastructures sensibles. Parmi celles-ci, citons la base aérienne Tal-Nof où sont logés les avions à réaction à capacité nucléaire, le siège du commandement du renseignement militaire, la base aérienne de Nevatim où sont les F-35, le QG de la force aérienne et l’avion du Premier ministre, les installations de défense Rafael où sont fabriqués le Dôme de fer et les principaux systèmes de défense antimissile, la base aérienne Ovda où s’entraînent les pilotes d’élite, les zones de fabrication de puces électroniques, etc. C’est le cœur même d’Israël qui est touché, ses centres névralgiques paralysés. Sans parler de la guerre cybernétique qui réunit des pirates informatiques iraniens, chinois, russes, nord-coréens et pakistanais pour contrer les équipes de cyberguerre de l’armée nazisioniste et ses alliés occidentaux. L’Iran a réussi à pirater des caméras de surveillance publiques et civiles dans de nombreuses zones des territoires occupés et peut avoir un aperçu instantané des résultats de ses frappes. Cela n’empêche pas l’armée israélienne tellement «morale» de continuer à massacrer impitoyablement les civils palestiniens, bombardant les Gazaouis avec rage et poussant la cruauté jusqu’à attirer la population gazaouie affamée vers de faux centres de distribution d’aide alimentaire pour mieux mitrailler tous ceux qui approchent en quête d’un peu de nourriture pour leurs enfants.

Mais il y a quand même une justice puisqu’aujourd’hui, Tel-Aviv se met à ressembler de plus en plus à Gaza avec ses immeubles en ruines et ses habitants qui se terrent dans des abris ou qui fuient la capitale, complètement terrorisés. Certains soldats de l’armée nazisioniste témoignent qu’ils se croient encore à Khan Younès en voyant Tel-Aviv dévasté. Les sionistes commencent à goûter au plat qu’ils servent aux Gazaouis depuis bientôt deux ans. Sauf qu’ici, contrairement à ce que l’on voit à Gaza, personne ne tire sur les civils qui s’enfuient. Malgré l’interdiction du régime sioniste de quitter le territoire, beaucoup de colons ont déjà commencé à rejoindre Chypre par bateau et l’on voit de longues files de fuyards s’engouffrer dans des bateaux. C’est toute la différence avec les Palestiniens qui préfèrent mourir sur leur terre plutôt que de s’enfuir.

Bien sûr, connaissant la propension des sionistes à se victimiser et à se lamenter, on assiste à une longue plainte et à des jérémiades, reprises en chœur par les médias occidentaux qui sont tous acquis à la cause nazisioniste. Néanmoins, toute la planète, sauf les irréductibles lobotomisés par des décennies de propagande sioniste, se réjouit de voir s’écrouler les infrastructures israéliennes après des mois de massacre du peuple de Gaza dont les images insoutenables inondent quotidiennement les réseaux sociaux. Des chansons font le buzz sur les réseaux sociaux, drainant des millions de vues, tel ce Boom Boom Tel-Aviv accompagnant les chutes de missiles à Tel-Aviv, composée par un vétéran de l’armée américaine. Ce qu’on n’espérait plus est arrivé : Israël, le bras armé de l’empire au Moyen-Orient, est en train de se prendre une raclée monumentale. Netanyahou se montre au milieu des ruines, amaigri et le visage reflétant la peur et la défaite et réclame à cor et à cri l’aide directe des Etats-Unis. Des bagarres éclatent entre la population affolée et les différents ministres, et ceux-ci doivent être protégés sous peine d’être lynchés par la foule. On a vu les soldats de Tsahal agressés par la foule qui les accuse d’être les responsables. Bref, tout le monde s’empoigne et l’entité voyou d’Israël s’écroule, à l’image de ses buildings arrogants, et sa population fuit en masse vers l’Europe d’où elle provient. Qui aurait cru que les Israéliens deviendraient des harragas, eux qui vivaient comme des nababs sur leur «terre promise» volée aux Palestiniens ?

Tulsi Gabbard reprend le rôle de Colin Powell

Le même leitmotiv scandé depuis des années par Netanyahou qui rêve du Grand Israël et qui mettrait le feu à la Terre entière pour éviter de se retrouver derrière les barreaux pour corruption et détournement de fonds publics est que «l’Iran développe la bombe nucléaire» ! Ritournelle reprise par Donald Trump qui a envoyé paître à deux reprises devant la presse sa cheffe du renseignement national, Tulsi Gabbard, laquelle avait prêté serment devant le Congrès pour attester que l’Iran ne développait pas d’arme nucléaire et n’avait pas l’intention de le faire. Devant la colère de son patron, Tulsi Gabbard s’est rétractée et a donné une toute nouvelle version à l’opposé de ce qu’elle avait déclaré sous serment devant le Congrès, en accusant les médias d’être malhonnêtes et d’avoir sorti son témoignage de son contexte en diffusant de fausses informations pour semer la division : «Les Etats-Unis disposent de renseignements indiquant que l’Iran est sur le point de produire une arme nucléaire d’ici quelques semaines, voire quelques mois…», a-t-elle déclaré. Cela nous rappelle la prestation de Colin Powell à l’ONU lorsqu’il avait présenté une fiole en guise de preuve en affirmant que l’Irak possédait des armes de destruction massive.

Vladimir Poutine, quant à lui, a déclaré en marge du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, ce 20 juin, que près de 500 techniciens et experts nucléaires russes exploitaient la centrale nucléaire de Bushehr, dans le sud de l’Iran, alimentée par de l’uranium russe en conformité avec l’AIEA, et qu’ils continuaient à travailler sur le site. Moscou avait déjà averti le régime israélien de cesser immédiatement ses attaques contre la centrale, car une catastrophe du type de Tchernobyl est à craindre. Propos confirmés par Medvedev qui alerte sur le danger qu’une frappe sur une centrale représenterait.

Même technique, donc, que lors de l’intervention américaine en Irak, voulue par les mêmes marionnettistes de l’ombre : les néocons, parmi lesquels John Bolton. Trump exige une capitulation sans condition et menace d’assassiner le Guide suprême iranien, Ali Khamenei. Il a vendu la mèche, en déclarant récemment que «les Iraniens sont assis sur les plus grandes réserves pétrolières, je ne vois pas très bien pourquoi ils ont besoin du nucléaire sur le plan civil». Eh bien, voilà ! On y est. L’empire ne cache plus son intention de mettre la main sur le pétrole iranien. Sauf que l’Iran, héritier de l’empire perse millénaire, en a vu bien d’autres et qu’il a déjà connu ce genre d’intervention lorsque l’ancien Premier ministre iranien Mohammad Mossadegh avait nationalisé les hydrocarbures en 1951. Il a été renversé par un coup d’Etat fomenté par la CIA en 1953. Le prétexte est comme toujours d’imposer la démocratie à coup de bottes, en faisant tomber un gouvernement réfractaire en place pour y installer un serviteur de l’empire, en l’occurrence Reza Pahlavi, le fils de l’ancien shah. Tel père, tel fils. Les Pahlavi ont toujours été des serviteurs de l’Occident.

La République islamique d’Iran est un Etat souverain, et elle reste inflexible. L’ayatollah Khamenei a fait un discours puissant dans lequel il a dit : «Je suis vieux, mon corps ne vaut rien, je suis assis sur une chaise et cette guerre n’est pas la mienne. Elle appartient à la jeunesse iranienne. Même si vous me tuez, l’Iran ne tombera pas. Ce n’est pas un homme qu’ils affrontent mais une nation convaincue qu’elle se bat pour sa dignité. L’Occident a souvent cru qu’en éliminant un leader, un peuple plierait, mais ici l’idée dépasse l’homme. Tant que cette conviction vit dans les jeunes Iraniens, la guerre ne s’éteindra pas.» La dignité est un concept que ne connaissent pas les Occidentaux, ni les Israéliens. Et le ministre iranien des Affaires étrangères, quant à lui, a déclaré que la diplomatie américaine n’était rien d’autre qu’une couverture pour le plan diabolique d’Israël.

Tout cela confirme que cette guerre est avant tout une guerre américaine dont l’entité sioniste est l’agent d’exécution. Les Occidentaux, que ce soit les Américains ou les Européens, répètent en chœur que l’Iran ne doit pas posséder l’arme nucléaire. Par contre, ils considèrent normal le fait qu’Israël possède la bombe et ne soit pas soumis aux visites de l’AIEA. Israël peut tout faire, on l’a vu. Même commettre un génocide sans que quiconque lève le petit doigt parmi les dirigeants. On se demande où sont les ONG et le «machin», l’ONU, qui ne pipent pas un mot. Il est temps de dissoudre ces organisations coquilles vides qui ne servent à rien qu’à pomper de l’argent.

Le fauve blessé n’en est que plus dangereux

Au risque de provoquer un cataclysme pour tenter de conserver sa suprématie en menaçant de dévaster l’Iran par un bombardement nucléaire, Trump cherche aussi à envoyer un message à la Russie, à la Chine et à toute nation osant défier l’hégémonie américaine en ruine, comme jadis le bombardement nucléaire du Japon était un avertissement à l’URSS. Décidément, les Etats-Unis ne savent pas être créatifs et utilisent toujours les mêmes tactiques. Mais le fait est là : l’empire a perdu son pouvoir. En effet, qui aurait jamais cru que le bras armé de l’Occident impérialiste au Moyen-Orient serait détruit en si peu de temps ?

Tout se met donc en place pour la conflagration. Trump, qui avait axé sa campagne électorale en se présentant comme le président de la paix, a publié un message de Mike Huckabee, l’ambassadeur américain en Israël, qui l’encense et le compare à Harry Truman, en lui disant qu’il est l’homme du destin. Je rappelle que les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki ont été faits sous l’administration Truman. De nombreuses voix s’élèvent, y compris aux Etats-Unis, au sein même du parti républicain et de ses soutiens médiatiques les plus engagés, comme Tucker Carlson et Candace Owens, pour exhorter Trump à ne pas déclarer la guerre à l’Iran, qu’Israël leur coûte assez cher et qu’ils n’ont pas à supporter une guerre pour un pays étranger, et qu’Israël se débrouille. Devant la pression, Trump a déclaré qu’il donnerait sa réponse dans deux semaines.

Mais le président américain est très versatile et inconstant, une vraie girouette, et il est capable de dire une chose et son contraire d’une heure à l’autre, selon son humeur et l’influence de son entourage. Lui qui avait dit vouloir drainer le marais, il patauge dedans jusqu’au menton ! La question est de savoir s’il pourra entrer en guerre sans l’aval du Congrès… L’avenir nous le dira très bientôt.

Le volume d’équipement que Trump envoie en Asie de l’Ouest suggère qu’il a décidé de faire la guerre. Six bombardiers B-2A de l’US Air Force ont décollé de la base aérienne de Whiteman dans le Missouri et se rapprochent actuellement d’Hawaï, en route vers Guam. Il s’agit des appareils nécessaires pour frapper la centrale nucléaire iranienne de Fordow. 8 avions ravitailleurs volent désormais dans la même direction, ravitaillant les bombardiers en chemin. Par ailleurs, un renforcement massif de l’armée de l’air américaine est en cours dans la base saoudienne du Prince Sultan avec l’arrivée de dizaines de F-16, de C-130 et d’avions ravitailleurs, ainsi que des F-22 et des F-35 en Jordanie. La flotte américaine comprend 5 destroyers en Méditerranée, 2 destroyers en mer Rouge, et 2 groupes d’intervention près du golfe Persique.

Si Washington choisit l’escalade, Téhéran a indiqué être prêt à riposter. L’Iran a déjà prévenu que le détroit d’Ormuz sera fermé, ce qui provoquera un choc économique planétaire, et que la riposte sera mesurée mais de grande ampleur, ce qui conforte l’idée que la force de dissuasion de l’Iran s’étend désormais à des niveaux bien supérieurs à ce que l’on imagine. Les Houthis du Yémen sont également prêts à fermer à nouveau le détroit de Bab Al-Mandeb et à cibler les navires américains si les Etats-Unis frappent l’Iran. Concernant Ansar Allah, les Américains devraient y regarder à deux fois avant d’aller trop loin, car leurs bombardiers furtifs B-2 Spirit ont déjà mené des bombardements contre des cibles houthies au Yémen sans obtenir de résultat significatif, puisque les Houthis ont continué à balancer des missiles balistiques sur l’entité sioniste. Cette fois, ce seront les bases américaines au Qatar, en Arabie saoudite et en Turquie qui seront visées, ainsi que les navires de guerre américains. Préparez les cercueils de plomb et les bannières étoilées pour vos GI !

C’est tout à fait le contraire de ce que Trump avait promis à ses électeurs : pas de guerres et des deals pour résoudre les conflits. Trump va-t-il troquer son costume de président agent immobilier pour un uniforme de chef de guerre ? Nous le verrons bientôt. Pour l’instant, il essaie de gagner du temps.

Au moment où j’ai rédigé cet article, les frappes américaines n’avaient pas encore eu lieu sur trois sites nucléaires iraniens. Mais, comme je m’en doutais, Donald Trump a mis son uniforme de chef militaire en déclarant la guerre à l’Iran sans passer par le Congrès américain. Il prouve ainsi qu’il n’est qu’une serpillère du lobby sioniste et du complexe militaro-industriel. Pour ceux qui en doutaient, l’Amérique est Israël et Israël est l’Amérique. Et la guerre menée contre Gaza comme celle déclarée ce jour contre l’Iran sont avant tout des guerres américaines. Où va le monde avec ces cinglés qui le dirigent, comme ce fou de Trump qui est à la tête une superpuissance comme les Etats-Unis ? Nous traversons des heures sombres et nous ne savons pas vers quoi nous nous dirigeons. L’avenir nous le dira.

L’Algérie «prochaine cible» de l’entité sioniste d’Israël !

On a entendu récemment l’intervention d’un pseudo-spécialiste du Proche-Orient à l’Université hébraïque de Jérusalem, Meir Masri, sur la chaîne de propagande franco-israélienne de Patrick Drahi I24 News : «L’Algérie est un pays qui soutient ouvertement les groupes terroristes comme le Hezbollah ou le Hamas. L’Algérie, dans le bras de fer qui oppose le régime iranien à la communauté internationale, soutient clairement le régime iranien dans ses aspirations qu’elle décrit comme étant légitimes. Que ce soit sur le plan de l’expansion de son hégémonie dans la région pour faire face à ce que les Algériens considèrent être comme un impérialisme occidental, d’une part et, d’autre part, dans son programme nucléaire …» Ce type n’a pas parlé par hasard, et il est le porte-voix de forces occultes sionistes qui veulent le démantèlement de l’Algérie. Je n’arrête pas d’alerter à ce sujet article après article et interview après interview. Ces propos ont bien sûr été repris dans les torchons habituels du Makhzen, dont les gratte-papiers prétendument journalistes sont tout heureux de frétiller de la queue devant leurs maîtres sionistes.

On va commencer par ce foutoir qu’est le Maroc qui n’a rien d’un Etat mais tout d’une entité croupion dépendante de ses maîtres français et israéliens, dirigée par une mafia sioniste toute puissante. La famille royale dégénérée marocaine n’est là que pour la décoration (pas très esthétique, mais c’est tout ce qu’ils ont pu trouver) et s’enrichit en exploitant la bêtise d’un peuple livré à la misère. Ce royaume féodal n’est qu’une zone de repli pour les sionistes israéliens, comme on le voit avec l’installation au Maroc des 57 000 Israéliens qui ont fui leurs colonies en Palestine, et ce chiffre pourrait être bien plus important dans un avenir proche, vu la destruction de l’entité sioniste. C’est aussi l’une des raisons, en plus de l’exploitation de ses richesses, pour laquelle le Maroc ne veut pas lâcher le territoire du Sahara occidental dans lequel s’implantent de plus en plus de juifs. De plus, il va falloir caser tous les juifs sionistes qui rejouent Exodus en sens inverse, mais sans Paul Newman cette fois. Vu la hausse de réservations de chambres d’hôtels par des Israéliens en fuite qui font grimper les prix de 100%, les vacances à bas prix au Maroc sont compromises pour les pédophiles occidentaux qui devront faire ceinture. Néanmoins, concernant l’implantation des Israéliens en territoire sahraoui, il va falloir compter avec le Front Polisario qui n’a certainement pas l’intention de laisser d’autres colons s’installer sur le territoire sahraoui.

Nasser Bourita, le juif de cour, l’a dit avec l’onctuosité visqueuse qu’on lui connaît à chaque fois qu’il s’adresse à ses maîtres : «Chaque Israélien a dans sa famille une personne portant du sang marocain.» Cela devrait fermer le clapet à tous les Bousbiriens qui se prétendent défenseurs de la Palestine. Après quatre siècles de servitude, comment cette peuplade d’esclaves peut-elle prétendre défendre n’importe quelle cause ? Les 4 000 rats marocains engagés dans l’armée sioniste pour massacrer les enfants de Gaza sont aussi un élément irréfutable pour clore le bec de ces larves marocaines. Le Maroc, dont la trahison est inscrite dans son ADN, est toujours du mauvais côté de l’Histoire. Et l’on apprend, en outre, que les Gardiens de la Révolution iraniens ont fait parler un pilote marocain qu’ils ont capturé après avoir abattu son avion. En effet, des avions de combat marocains participent aux frappes aériennes sur Téhéran depuis le premier jour de l’attaque nazisioniste contre l’Iran, opérant depuis des bases militaires de Deir ez-Zor (dans la Syrie du chef terroriste d’Al-Nosra, Al-Joulani) et depuis un pays du Golfe, selon des sources iraniennes. Ces mêmes sources affirment que des pilotes marocains ont pris part à une opération conjointe avec l’aviation israélienne, ciblant des installations civiles iraniennes. La Télévision iranienne a finalisé l’enregistrement des confessions et témoignages du prisonnier.

La cause palestinienne comme la cause sahraouie sont des causes justes qui doivent être défendues, car il s’agit de la colonisation de territoires légitimes et de la spoliation des richesses des peuples palestinien et sahraoui. Les Marocains agissent exactement comme les Israéliens le font vis-à-vis de la terre palestinienne en revendiquant, avec arrogance, la propriété du Sahara Occidental. Mensonge et trahison sont inscrits dans l’ADN de cette entité voyou et vassale marocaine. La seule raison d’être du Maroc et sa création de toutes pièces par le maréchal français Lyautey n’est autre que de contrer l’Algérie, et ce, depuis le début.

Aux uns et aux autres, Israéliens, Américains, Français, Européens, Emiratis, Marocains, Maliens, et toute la clique de cancrelats qui salivent en regardant l’Algérie : nous sommes prêts ! Notre Armée est prête, nos services de renseignement sont prêts et notre peuple est prêt. Ainsi que notre grande communauté à l’étranger. Touchez à notre pays et notre riposte sera fulgurante. Nous pouvons déjà avertir que le premier à déguster sera le Maroc qui n’arrête pas de comploter contre notre pays de toutes les manières possibles et imaginables. Le roi, son Makhzen, ses nazisionistes, sa peuplade de sujets, son armée d’opérette, tout le monde nourriront les crevettes et les sardines dans l’Atlantique. Quant à la France sionisée, qu’elle se méfie. Notre grande communauté n’acceptera jamais que l’on touche à la mère patrie. Et un Algérien en colère, je ne souhaite à personne de se mesurer à lui. Et quand ils sont plusieurs millions… Donc, si vous voulez voir de quoi nous sommes capables, allez-y ! Nous sommes prêts !

L’Algérie continuera à soutenir les causes justes comme la Palestine et le Sahara, au nez et à la barbe de tout le monde, que ça plaise ou que ça ne plaise pas. C’est une question de principe. Elle continuera aussi à respecter la souveraineté des peuples, comme l’Iran qui est agressé, car c’est Israël l’agresseur, encore et toujours, et soutenu par l’oligarchie occidentale dégénérée à la botte des sionistes. On a vu les manifestations massives dans les grandes villes d’Iran qui ont démontré l’attachement du peuple iranien à ses dirigeants, pendant que dans les salons de Washington et dans les bunkers de Tel-Aviv, on parle de renverser le gouvernement iranien. De quel droit vous immiscez-vous dans les affaires internes des pays souverains ? De quelle démocratie parlez-vous ? Y a-t-il une démocratie en Occident ? Non ! Y a-t-il une liberté d’expression en Occident ? Non ! Y a-t-il des droits de l’Homme en Occident ? Non ! C’est une minorité oligarchique qui dirige l’Occident. La propagande sioniste prétend qu’Israël est une démocratie ? Non, Israël est un chancre occidental implanté au cœur du Moyen-Orient, qui a agressé tous ses voisins, et qui est soutenu par les Etats-Unis dirigés par le lobby sioniste, et l’Occident en général.

Ne pensez surtout pas que l’Algérie ne va pas se défendre. Elle vous offrira ce que vous n’avez jamais vu. Il faut connaître son histoire pour oser attaquer l’Algérie. Nous avons croisé le fer depuis l’aube des temps et nous ne nous sommes jamais soumis à qui que ce soit. Nous connaissons le sens du sacrifice et du devoir. Nous sommes prêts à nous sacrifier pour notre patrie, alors méfiez-vous de notre colère. Tous les ennemis de l’Algérie doivent revoir leurs plans et leur feuille de route, car notre colère sera terrible, et elle emportera tous ceux qui voudront nuire à notre patrie.

M. A.

Comment (5)

    🇩🇿 Fodil Dz
    22 juin 2025 - 14 h 25 min

    Excellente contribution de M. Mohsen Abdelmoumen.

    « Les 4 000 rats marocains engagés dans l’armée sioniste pour massacrer les enfants de Gaza sont aussi un élément irréfutable pour clore le bec à ces larves marocaines. Le maroc, dont la trahison est inscrite dans son ADN, est toujours du mauvais côté de l’Histoire. »

    C’est auprès d’Allah que nous cherchons protection. Hasbuna Lahu wa ni’ma l’wakil.

    Srir Algérie vaincra
    22 juin 2025 - 14 h 15 min

    Tous les charognards qui nous ont vendu ces guerres passées sous de faux prétextes, tels que l’animateur de talk-show conservateur Mark Levin, Max Boot — qui écrit que « cet impératif stratégique plaide en faveur du bombardement de Fordow », où le programme d’enrichissement nucléaire iranien est enfoui sous terre — David Frum, John Bolton, le général Jack Keane, Newt Gingrich, Sean Hannity et Thomas Friedman, sont de retour pour saturer les ondes de discours alarmistes haletants.

    Peu importe que leur grand projet visant à renverser les talibans en Afghanistan, puis à envahir et à remplacer les régimes en Irak, au Liban, en Syrie, en Libye, au Soudan, en Somalie et enfin en Iran, leur ait explosé au visage. Peu importe que leur soif de guerre ait fait des centaines de milliers, voire des millions de morts et coûté des milliards au Trésor américain. Peu importe l’idiotie pure et simple de leurs arguments. Leurs mégaphones sont bien protégés. Ce sont des complices dévoués de l’industrie de la guerre, des néoconservateurs sans cervelle et des sionistes génocidaires, qui croient en la régénération magique du monde par la violence, ignorant catastrophe après catastrophe.

    Oubliez l’évaluation annuelle des menaces réalisée par les services de renseignement, selon laquelle « l’Iran ne construit pas d’arme nucléaire et le guide suprême Khomeini n’a pas autorisé le programme d’armes nucléaires qu’il a suspendu en 2003 », ce que le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, a réitéré cette semaine. Oubliez que Benjamin Netanyahu, depuis près de trois décennies, ne cesse d’alerter que l’Iran est sur le point de produire une arme nucléaire. Oubliez que l’attaque préventive d’Israël contre l’Iran est un crime de guerre, sans parler des bombardements d’un hôpital, d’une ambulance et de journalistes. Oubliez les centaines de civils iraniens qu’Israël a massacrés lors de ses vagues de frappes aériennes. Oubliez qu’Israël a lancé son attaque contre l’Iran alors que le sixième cycle de négociations sur l’enrichissement nucléaire entre les États-Unis et l’Iran devait avoir lieu à Oman. Oubliez que c’est le Premier ministre israélien, et non le dirigeant iranien, qui fait l’objet d’un mandat d’arrêt, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Oubliez qu’Israël, alors qu’il mène une campagne de génocide contre les Palestiniens, possède au moins 90 armes nucléaires – construites en violation du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) – et bloque les inspections de l’AIEA. Oubliez que Donald Trump a déchiré en 2018 le Plan d’action global conjoint (JCPOA), un accord visant à limiter le programme nucléaire iranien, que l’Iran respectait. Oubliez que Washington et Londres ont orchestré le coup d’État de 1953 pour renverser le gouvernement démocratiquement élu de l’Iran, le premier de la région, et ont installé au pouvoir le Shah Mohammad Reza Pahlavi, docile. Oubliez que les États-Unis, avec Israël, ont formé et équipé la SAVAK, la police secrète brutale du Shah.

    Anonyme
    22 juin 2025 - 13 h 03 min

    La Chine et la Russie devraient penser à installer des batteries missiles nucléaires comme l ont fait les USA en Turquie et comme l a fait aussi Kroutchev en 1962 lots de la crise des missiles à cuba. JFK était obligé de faire des concessions abandonné les projets d invasions contre Cuba et retirer les missiles en Turquie. C est de bonne guerre. Cette guerre actuellement les USA et autres ils la font contre l Iran mais avant tout contre la Chine et la Russie . Pas de bases étrangères en Algérie c est un principe mais nous pouvons réfléchir à que vous installer des missiles nucléaires en Algérie en direction de l Europe ou autres pour nous défendre contre ttes menaces nucléaires tiers et défendre vos intérêts par la même occasion. L exercice conjoint de la France avec ke Maroc en utilisant un sous marin nucléaire à côté de l Algérie était un message fort de la France à l Algérie, voilà pourquoi je dis ça. Le droit international les USA et l entité sioniste en ont cure, ils préfèrent la force violer le droit international et sans passer par quique ce soit pour menacer provoquer et frapper injustement sans foi ni loi .

    Dr Kelso
    22 juin 2025 - 12 h 38 min

    Excellente contribution.

    Mohamed El Maadi
    22 juin 2025 - 11 h 18 min

    Je tiens à saluer modestement l’article remarquable publié par Mohsen Abdelmoumen, dont la plume incisive continue de percer le brouillard médiatique ambiant. Parfois, les mots — à l’instar des bombes — peuvent infliger des dégâts plus profonds que ne le feraient des frappes militaires. Le bombardement d’idées, de vérités et de dénonciations qu’il propose dérange bien au-delà des simples sensibilités, posant des questions essentielles sur les enjeux réels en jeu.

    À ceux qui, dans leur folie guerrière, envisageraient de s’en prendre militairement à l’Algérie, il convient de rappeler que la lutte ne se résume pas aux champs de bataille. Elle est aussi forgée par la ténacité d’un peuple et la permanence d’un esprit de résistance. C’est ce que le général vietnamien Vo Nguyen Giap, stratège de renom, a magnifiquement exprimé dans un recueil de réflexions stratégiques et mémorielles intitulé **“Chiến thắng và phẩm giá”** (*Victoire et Dignité*), publié à titre confidentiel par l’École supérieure de guerre de Hanoi en 1983.

    Ce livre, jamais traduit intégralement en français, est conservé dans les archives non publiées de l’Académie des Sciences sociales du Vietnam. Cette précaution éditoriale ne relève pas du hasard mais d’un contexte politique intérieur délicat. L’ouvrage est désormais considéré comme un héritage précieux transmis entre initiés, afin d’éviter qu’il ne devienne un objet de polémique ou d’instrumentalisation à des fins étrangères.

    Dans ce recueil, Giap consacre plusieurs passages au combattant algérien, qu’il qualifie de « frère jumeau du Viet Minh par l’histoire et le feu », déclarant :

    « J’ai vu des hommes se battre jusqu’à la mort. Mais l’Algérien, lui, se bat jusqu’à ce que l’injustice meure. »

    Cette phrase transcende la simple bravoure martiale. Elle traduit la résistance d’un peuple qui ne se contente pas de combattre, mais qui porte en lui l’ardeur de faire triompher la justice et la dignité. Une leçon que certains acteurs régionaux feraient bien de méditer avant de songer à la confrontation militaire. Car face à l’Algérie, il ne s’agit pas seulement d’un territoire, mais d’une volonté indomptable qui refuse la soumission et se bat pour un droit fondamental.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.