Retailleau redécouvre l’Algérie et croit y trouver un programme présidentiel

Bruno Retailleau
«Merci l’Algérie !» semble dire le prétendant Retailleau. D. R.

Par A. Boumezrag – Il y a ceux qui visitent l’Algérie pour l’histoire. D’autres pour les affaires. Bruno Retailleau, lui, y fait campagne. Pas en s’y rendant, bien sûr. Ce serait trop subtil. Il préfère les colonnes du Figaro pour exhumer une Algérie fantasmée : une terre d’affrontement moral, un vestige pratique où rejouer la France forte sans jamais chercher à la rendre vivable.

La diplomatie douce ? Un échec, selon lui. La patience stratégique ? De la naïveté. L’Algérie ? Une provocation permanente qu’il faut, enfin, «punir». On croirait entendre un professeur autoritaire lassé d’un élève trop bruyant. Sauf que le «collégien» en question est un Etat souverain et que le professeur est en campagne pour l’agrégation suprême : l’Elysée.

Un vieux disque en boucle

Dans la grande playlist de la droite post-gaullienne, le refrain algérien revient toujours à l’approche des présidentielles : fermeté, mémoire, identité, fermeté encore. Retailleau ne déroge pas. Il ne parle pas à l’Algérie ; il parle de l’Algérie, pour s’adresser à un électorat français qu’il croit nostalgique, inquiet et friand de postures viriles.

La France, dit-il, en a assez d’être humiliée. Traduction : il est temps de punir Alger pour son insolence diplomatique, son ingratitude historique et son refus de se repentir dans le bon sens. En creux, une idée simple : pour être présidentiable, il faut savoir faire peur aux «anciens colonisés».

Le passé comme substitut au programme

Quand on manque d’idées pour le futur, on ressort les ruines du passé. Retailleau réactive une logique vieille comme la République elle-même : celle qui fait de l’Algérie non pas un partenaire, mais un punching-ball symbolique. On parle peu des jeunes franco-algériens, des enjeux migratoires réels, ou des coopérations régionales. Non. On évoque les généraux, la mémoire, les visas, l’orgueil national. Bref : le folklore électoral.

Il ne s’agit pas de politique étrangère, mais de stratégie intérieure. Le message est calibré : la France serait «trop molle», l’Algérie «trop insolente», et Retailleau – soudain – l’homme qui va «remettre de l’ordre». Le passé devient un plateau-repas électoral. Tiède, recyclable, indigeste.

Le néocolonialisme en cravate

Sous couvert de fermeté, c’est une vieille tentation qui réapparaît : celle de traiter l’Algérie comme un adolescent instable dont la France, mère contrariée, aurait le devoir de corriger les écarts. On ne parle jamais d’égal à égal. On sermonne. On sanctionne. On conditionne.

Retailleau veut «parler clair», dit-il. Très bien. Mais parler clair, c’est aussi reconnaître que l’on ne reconstruit aucune relation internationale saine sur un ressentiment maquillé en autorité. La fermeté n’est pas une politique quand elle devient une posture.

L’Algérie, ce miroir électoral déformant

Retailleau n’est pas le premier à convoquer l’Algérie pour séduire une droite tentée par les slogans du passé. Il n’est pas le dernier non plus. A chaque fois que l’actualité intérieure devient étouffante, le miroir algérien sert d’échappatoire : plus flou, plus simple, plus rassurant. Dans ce miroir, la France se rêve redresseuse, redevenue «maîtresse chez elle», comme si une mise à distance de l’Algérie suffisait à restaurer sa souveraineté abîmée.

Mais la réalité, c’est que ce jeu-là ne trompe plus grand monde. Ni à Alger, ni dans les banlieues françaises, ni même à Bruxelles. On y voit une France fatiguée d’elle-même, qui cherche dans l’ombre coloniale les contours d’un pouvoir qu’elle ne sait plus dessiner autrement.

La nostalgie comme plan de carrière

Retailleau veut incarner l’autorité. Mais en dégainant la carte algérienne comme un gadget de campagne, il ne fait qu’aggraver le mal qu’il prétend soigner : la perte de crédibilité de la parole française, la fossilisation des relations bilatérales et l’illusion qu’un passé mal digéré peut encore produire un avenir.

Il ne redécouvre pas l’Algérie. Il redécouvre un miroir électoral brisé, dans lequel il croit encore voir un boulevard pour 2027. Mais ce n’est pas une stratégie. C’est un réflexe. En politique, on feint de redécouvrir l’Algérie tous les cinq ans. Mais à force de se servir du passé comme d’un bulletin de vote, on finit par ne plus rien comprendre ni au passé ni aux bulletins.

Campagne électorale en terrain miné

Retailleau finira-t-il à Alger ? Probablement pas. Mais il y fera des phrases. Et peut-être quelques voix. Car dans la Ve République finissante, parler de l’Algérie n’engage à rien, sinon à faire semblant de gouverner l’histoire.

C’est pratique, l’Algérie : elle ne vote pas en France, mais elle fait voter. Elle ne siège pas à l’Assemblée, mais elle y déclenche les envolées. Et comme elle ne répond jamais exactement, on peut lui prêter tous les torts, sans risquer la contradiction.

Au fond, Retailleau ne cherche pas à régler la relation franco-algérienne. Il cherche à la monétiser politiquement, avant qu’un autre ne le devance. Une vieille ficelle ? Oui. Mais dans un pays où l’on recycle les slogans comme les ministres, les vieilles ficelles tiennent parfois plus longtemps que les programmes.

Et puis, entre une guerre des mémoires et une panne d’idées, le choix est vite fait. L’Algérie reste un bon substitut au vide stratégique.

A. B.

Comment (39)

    Nasser: Montrer surtout à ce bougre d'imbécile de RETAILLEAU qu'il ne vaut rien...
    21 juillet 2025 - 15 h 02 min

    Aux Français patriotes de souche et d’origine étrangère !!
    (Chrétiens, Musulmans, Juifs, Bouddhistes ou sans religion)
    —–
    A vous d’éliminer cette racaille; ce régime actuel qui a abîmé la France en dénaturant ses valeurs, sa culture et en falsifiant son Histoire!
    Vous savez maintenant pour qui voter pour sortir votre pays de l’intolérable dépendance Américano-Bruxello-Sionistes !
    Vous avez tous les éléments qui permettent d’éliminer du paysage politique et médiatique ces menteurs, falsificateurs et manipulateurs !
    Il ne reste que 04 valables pour sauver votre pays :

    * de Villepin
    * Asselineau
    * Mélenchon
    * Phillipot

    A vous de jouer !
    Montrer surtout à ce bougre d’imbécile de RETAILLEAU qu’il ne vaut rien chez les Français !!

    Anouar Macta
    21 juillet 2025 - 10 h 45 min

    (…)
    Il y a chez Bruno Retailleau une inquiétude profonde. Elle suinte sous chaque phrase, sous chaque déclaration martiale. Une inquiétude métaphysique, presque mystique, qui cherche une cible claire à l’intérieur d’un monde devenu illisible. Cette cible, il l’a trouvée : ce sera l’Algérie. Inlassablement. Mécaniquement. Religieusement.

    Retailleau n’en finit plus d’en découdre avec l’ancienne colonie. À croire que ce pays, pour lui, incarne plus qu’un partenaire frustrant : un double maudit, un fantôme historique qu’il faut exorciser à coups de tribunes, de leçons de morale, de phrases dures qu’il croit rédemptrices. À chaque prise de parole, l’Algérie revient. Comme une mauvaise obsession. Comme un aveu.

    Car Retailleau ne parle jamais du présent algérien. Ni de ses défis, ni de ses transformations, ni même de sa complexité. Ce qui l’intéresse, c’est l’Algérie de ses livres d’école, l’Algérie de ses catéchismes républicains, l’Algérie éternelle du ressentiment. On sent, derrière son vocabulaire de fermeté, quelque chose de plus intime : une lutte intérieure. Le besoin presque messianique d’avoir un adversaire fixe, identifiable, immobile. Comme dans les textes sacrés.

    Retailleau est un homme de foi, cela ne fait pas de doute. Une foi paisible en surface, mais qui s’articule autour d’un ordre perdu, d’une verticalité disparue. Il ne croit pas seulement à la France. Il croit à une France missionnaire, christique, une France qui enseigne, qui guide, qui redresse. Ce qu’il ne supporte pas, dans le rapport avec Alger, c’est le refus d’écouter, de plier, de reconnaître cette supériorité morale qu’il suppose naturelle.

    C’est là que son discours bascule. Il ne parle plus de politique étrangère, il parle de Salut. La diplomatie devient une confession, et l’Algérie un péché originel. On ne négocie pas avec l’Algérie, on la corrige. On ne dialogue pas, on purifie. Dans son esprit, il faut laver l’affront, restaurer une forme d’ordre moral — fût-il imaginaire.

    Mais ce fantasme de restauration n’est pas sans prix. Car à force de fixer l’Algérie comme le mal nécessaire, Retailleau se dévoile. Son Algérie n’existe pas : elle est un théâtre, un support symbolique, une surface de projection. Ce n’est pas un pays qu’il combat, c’est une angoisse personnelle. Celle d’un monde sans centre, d’une autorité qui vacille, d’une République trop tiède à son goût.

    Et alors qu’il croit incarner l’ordre, il révèle surtout une panique. Il parle clair ? Non. Il parle *fort*, espérant couvrir le vide idéologique de sa famille politique. Son discours est une liturgie : répétitive, crispée, incantatoire. Mais qui croit encore qu’on gouverne un pays avec des psaumes ? Qui pense encore qu’on restaure la grandeur par l’anathème ?

    L’obsession algérienne de Retailleau n’est pas stratégique. Elle est existentielle. Elle dit tout de sa vision du monde : figée, hiérarchique, culpabilisante. Une vision où l’Autre doit se soumettre, ou disparaître. Il ne veut pas comprendre l’Algérie — il veut la faire rentrer dans un récit qui le rassure.

    Mais les peuples ne sont pas des chapelles, et la diplomatie n’est pas un chemin de croix.

    À force de faire la leçon, Retailleau finit par réciter. À force de marteler, il en devient caricature. L’autorité, la vraie, ne s’impose pas par le sermon. Elle se construit dans la complexité. Ce qu’il refuse, par peur, par foi, ou par calcul.

    Anonyme
    21 juillet 2025 - 10 h 03 min

    Tous ce que propose cette France est du crédit à long terme des emprunts obligataires et autres termes bancaire d’usurier afin d’obtenir un levier pour nous écraser au cas ou on rechignerait comme elle le fait avec son peuple . Nous on à juste besoin de machines à compter des billets .

    Lucifer
    21 juillet 2025 - 9 h 53 min

    Napoléon l’aurait envoyé en première ligne aux côté de Beigbeder , zemmour ,morandini et ce gouvernement croupion . La stratégie double de se débarrasser de la chiure de la république tout en gaspillant des munitions à l’ennemi histoire de le fatiguer avant une seconde attaque. La virilité chez retailleau est identique à ce que la chanson fût à demis roussoss.

    Colo-nie
    21 juillet 2025 - 8 h 50 min

    Depuis son arrivée sur #cnews, Serge Nedjar, agent d’influence au service d’#Israel, a recruté:
    Joseph Mases-Caron
    Julien Dray
    Giles Goldnadel
    Yoann Usai
    Marc Menant
    Elisabeth Levy
    Sara Saldman
    George Fennech
    Nathan Devers
    Eliot Deval
    ..tous ✡️

    Le solitaire
    20 juillet 2025 - 19 h 53 min

    On ne cherche plus à quelle saint se vouer depuis longtemps tellement habitué à subir .

      Mustapha
      20 juillet 2025 - 21 h 03 min

      Parles pour toi. Celui qui subit vraiment des désagréments, des injustices et qui ne fait rien est soit un faible ou soit un lâche. Une pauvre victime. Maudits soient les sales clébards qui osent nous attaquer.
      Oulach smah oulach.
      Sinon mieux vaut adresser ses prières directement à Allah l’Unique. Je suis musulman pas un disciple d’une obscure secte.

        Le solitaire
        21 juillet 2025 - 11 h 41 min

        Je parlais pour moi mouss, t ‘inquiète pas.

        Le solitaire
        21 juillet 2025 - 12 h 56 min

        L’état Algérien et relis les idéaux de novembre autorise ma différence vis à vis de toi et ton islam des cavernes.
        Un peu de tolérance ne te ferais pas de mal et entre nous, ne confond pas mon espièglerie à de la faiblesse.

          Mustapha
          21 juillet 2025 - 14 h 15 min

          Salut à toi ô solitaire,

          Merci pour ton conseil que je vais suivre : relire les idéaux de l’appel du 1er novembre. Je t’accepte comme tu es et toi acceptes aussi mon intolérance. Lol
          Mon islam des cavernes : humour subtil que j’ai saisi. Bravo. Tu dois avoir une grande bibliothèque toi, n’est-ce pas. Virtuelle la bibliothèque hein. Solitaire ou ermite?
          J’apprécie ton espièglerie car j’ai saisi la subtilité de ton message ô solitaire.
          Bonne journée à toi.

    Anonyme
    20 juillet 2025 - 19 h 25 min

    Le roquet veut faire de l’Algérie son fond de commerce électoral ?
    Qu’ils l’élisent président, et ensuite on l’invitera pour une visite officielle au cours de laquelle il recevra un accueil tellement revigorant qu’il retournera chez lui a la nage sans demander son reste.

    Aristote a déclaré: «Chaque homme est un animal social et politique.»

    Ce régime parisien est dirigé par la médiocrité, l’inaptocratie, un pouvoir politico-financier dont la devise est «toujours jacasser» et qui fait ce qu’il veut et dont sa dernière préoccupation est son peuple, cela ne vous rappelle-t-il pas quelque chose comme la «dictature»? Et ils osent appeler l’Algérie un régime!

    Retuyo est ministre de l’Intérieur, mais est aussi devenu le représentant élu des médias racistes de Boléro, le défenseur des droits du royaume hashichien du vicieux roi M6, et le défenseur du sionisme et des intérêts juifs en france. Ce raciste est hilarant. Il trompe les français avec ses critiques de l’Algérie pour leur faire oublier les problèmes intérieurs. Il veut changer la vie des français, mais étrangement, il ne leur apprend pas comment économiser sur les dépenses budgétaires, comment lutter contre la criminalité pour protéger les citoyens, comment réduire l’imprudence des jeunes en créant des lieux de divertissement pour eux, comment devenir plus économe en énergie, et comment mettre fin au trafic de drogue, même si son fidèle secrétaire, Othman Nasrou, est un baron de la drogue marocaine.

    L’antagonisme et la compétition sont vénéneux, et la mauvaise foi et la malveillance réservées au vantard Retuyo sont de retour. Sauf qu’ils fonctionnent de plus en plus de manière critique. Ses discours sont violents contre notre pays, et les diatribes contre l’Algérie se sont multipliées, ce qui est une aberration totale, compte tenu des élections présidentielles qui approchent à grands pas. Peut-être craint-il que Marine, la condamnée, et Macron ne lui volent sa marche et ne le jettent dehors.

    Je pense qu’avec le retour prévu et assuré de Macron en 2032, il y aura un changement d’acteurs avant l’élection présidentielle de 2027, mais le mécanisme de la droite demeure.

    Retuyo, le plus haut flic de france, est assis sur un siège éjectable pour le libérer d’une série de ses pamphlets sur l’Algérie, mais joue-t-il l’ignorant ou se prend-il pour Macron, qui est plus que jamais la «clé de voûte» des institutions en france?

    Enfin, tant que vous, Retuyo, vous êtes content de votre voiture «france» qui va droit au mur, avec la musique à pleine explosion, nous ne pouvons pas interférer avec votre conduite… bon voyage!

    Coincé entre ordogan et ratelieu
    20 juillet 2025 - 18 h 57 min

    L immigration turk en algerie a oblige les autorite algrienne a charge la france en 2019 a travers le hirak anti francais avec le courant hamas badissia bengrina comme chef de file , maintenant qu en est en plein crise de non retour , l autre immigration algerienne en france est l enjeu et le bouc emmissaires , rotalieu espere trouve le filon pour recuperer les antimigrans de droite et d extreme plus ca chauffe plus les sondage monte en sa faveur ,
    Peut on dire que nous nous sommes foutu dans un piege , personne ne connait les suite mais cette situation va avoir des consequence sur notre immigration et c est la seul qui payera le prix ,
    Maintenant l immigration algerienne se retrouve coince entre ordogan et ratelieu , ordogan parceque c est lui qui a chauffe les badisside les frers musulman et autre mokri bengrina a detester la france pour les interet turk et c etait une demande urgente des badissides de coupe avec la france et leur demande a ete satisfaite d une facon ou d une autre ,
    l etat algeriens n a pas d ineteret a crise avec la france jusque la , les chose on evolue et voila qu aparait rotalieu qui menace nos emmigre harraga au chantage des papiers , les pouvoir algeriens subissent un chantage liberer sansal sinon ca sera des millons d emmigre qui vont payer , ca aussi c est du chantage migratoire
    Donc nos ressortissont en france subissent une crise declenche par ordogan a travres ces courants d alger et qui fait le jeu de la droite alors qu ils ont rien demander rien a personne

    Anonyme
    20 juillet 2025 - 17 h 40 min

    Vraiment ça commence à devenir lassant de tomber encore sur une «  Pub » gratuite concernant un Tas de ……..qui , en d’autres circonstances , n aurait jamais eu le privilège de voir son patronyme écrit sur AP .
    Ce guignol a fait son cirque , comme marionette de son non moins Guignol attardé mental du Puy du Fou , pour faire sa Ronde sur la Scène tristement Obscène du Régime de Paris …….. Son tour de scène a ajouté à son ridicule naturel qui ne nous a pas surpris .
    Maintenant …….Clap de fin pour ce tas de …….

    Coq en foire
    20 juillet 2025 - 17 h 28 min

    Pov toutou, tes harkis ne seront jamais français et encore moins Algériens.
    Débrouille toi avec les erreurs de ton passé notamment de tes prédécesseurs. .

    Anonyme
    20 juillet 2025 - 17 h 22 min

    La carte « Algérie » est pour Retailleau sa dernière et très étroite « fenêtre de tir » , avant qu’elle ne se referme très rapidement avec l’approche à grands pas des rendez-vous électoraux, pour pouvoir se mettre en orbite pour les présidentielles de 2027 au plus tard.

    La compétition à ce sujet est très serrée dans la droite et l’extrême droite, et il y a peu de chance que les ambitieux aux longues canines de son acabit, déjà aux aguets pour cette échéance, lui en offrent l’opportunité et l’envie !

    Son combat extrémiste et aveugle contre l’Algérie est de ce point de vue perdu d’avance parce que ce n’est pas son maigre électorat actuel , et futur, estimé à près de 10% qui lui en laissera le loisir, d’une part.

    D’autre part, la Fafa « officieuse » aura en dernier ressort son mot à dire , parce que les relations avec l’Algérie ne seront pas aussi facilement sacrifiées comme il le fantasme, tant les enjeux géopolitiques et géostratégiques sont considérables dans la région.

    Et cela, » l’Etat profond » français le sait !

    Anonyme
    20 juillet 2025 - 14 h 52 min

    energumène qui retournera bientôt chez devilliers pour y lècher les wc ce qu’il avait l’habitude de faire du temps où il était l’esclave!

      Mounir C.
      20 juillet 2025 - 18 h 57 min

      Tirer la chasse et bye bye l’esclave.

    Le Berbère
    20 juillet 2025 - 14 h 44 min

    C’est grâce à la naïveté et la lâcheté de certains de nos dirigeants que ce pauvre minable gueule et menace matin et soir les algériens sur les plateaux de télés et devant les micros des « merdias » . Ce sont ceux qui ont ancré la société Total sur nôtre nationale pour détourner et deroubé la dernière goutte de nos hydrocarbures pour consolider l’économie nationale de la France qui est dans un état lamentable . Ce type nous insulte et nous menace parce que tout simplement la France à assurée ses besoins de gaz et de pétrole Algérien pour plusieurs décennies grâce aux nouveaux Harkis de béni Oui Oui et leurs cousins hébraïques des deux rives.

    Anonyme
    20 juillet 2025 - 14 h 17 min

    Ce Bruno Retailleau, c’est un petit foufou

    Sa France s’enfonce dans l’endettement, il ne sait plus où il pourra gratter de l’argent donc il voudrait amarrer l’Algérie (ancienne colonie) à son pays pour que la vache à lait algérienne règle ses ardoises abyssales

    Il voudrait Hassi Messaoud pour sa France

    Assia
    20 juillet 2025 - 13 h 56 min

    Entre 2 discours du cabot de service , lancer la pub du ragout pour mon toutou, une Peugeot hors de prix et des repas minceurs .

    dz
    20 juillet 2025 - 13 h 28 min

    avec des millions d algeriens en france le bouc emmissaire ideal pour frapper sur l algerie oui la diaspora algerienne rend ardu l emancipation de l algerie vis a vis de la france c est un piege qui a ete tendu a l algerie independante dominer l algerie par son immigration (5MILLIONS) est moyen de pression incroyable et de chantage contre tebboune et aussi le fait qu une bonne partie des algeriens au pays est reste attache a l ancienne puissance coloniale rien qu a constater les demandes de visa vers la france en 2027 ca va etre complique pour les algeriens resident en france les franco algeriens vont etre amener a choisir une seule nationalite car la bi nationalite va etre hors circuit a mon avis tebboune devrait appliquer son programme sans se soucier de la presence d algeriens en france sinon nous allons rester dans cette confrontation avec la france

    MohRichard
    20 juillet 2025 - 13 h 24 min

    Bonsoir à toutes et à tous;
    N’y a t’il pas de problèmes plus important par les temps qui courent , que de parler tous les jours que Dieu fait de ce sinistre personnage opportuniste.
    Le monde est vaste et les opportunités commerciales sont présentes. Il demande à son Pays des mesures de rétorsion à notre égard; que la france essai, et nous verrons qui sera perdant.
    L’accord de 1968, vidé de substance,qu’il soit abrogé ainsi que les accords suivants, en contre parti plus d’accords commerciaux sera signés entre les deux États. Les contrats déjà signés ne devrons pas être remis en causes,
    mais entre temps plus rien de devra l’être.
    Que l’Algérie donnent à ses ressortissants expatriés un délai de trois (3 ans) pour leur permettre de rentrer définitivement au Pays; passé ce délai elle ne sera plus responsable du sort qui leurs sera réserver. J’entends par là que toutes les garanties de logement, travail et études leurs sera donnés. Comme la fait en 1962 pour le retour des pieds noirs.

    Tant de hashish
    20 juillet 2025 - 12 h 57 min

    Il n’y a pas de gens du peuple dans cette salle ,que des bourgeois et grosses fortunes . Retailleau les embrassent très fort.

      La Chèvre
      20 juillet 2025 - 14 h 37 min

      Ils sont triés sur le volet ces sales clébards. Une petite récompense pour services rendus. Ouaf ouaf ouaf ! Et pour quel résultat à la fin? Rien, walou, nada, nothing. Ouaf ouaf ouaf !

    Bou-vilène
    20 juillet 2025 - 12 h 54 min

    Plus c’est petit , plus c’est encombrant.
    Qu’il fasse attention de ne pas s’envoler avec un vent trop fort..

    Ajax
    20 juillet 2025 - 12 h 52 min

    Encore un qui cause ?

    Anonymat
    20 juillet 2025 - 12 h 06 min

    Deux ans avant l’élection, combien de présidentiables en France sont devenus président, la réponse c’est CIFAR MOUKA3EB pour ne pas dire personne, aucun, nada, walou, Retailleau est un épouvantail ou un leurre pour occuper et remplir le vide, le moment venu il comprendra si ce n’est déjà fait et se mettra derrière celui que le système aura choisi depuis longtemps, il suffit juste de voire comment ils sont entrain de flingué les uns après les autres et de laisser l’espace médiatique à certains comme De Velipin, ils ont désactivé Marine, à la place ils promeuvent le jeune Bardella en attendant le moment de dérailler sa locomotive, Meluche sont entrain de s’occuper de son cas avec le dossier Palestinien, au second, l’imam Mélenchon appellera à voter pour le candidat du système pour sauver la république sans doute derrière des calculs de boutiquiers pour sauver certains privilèges et prébendes, Attal et Philippe occupe pour le moment l’intendance et remplissent le vide, le moment venu comme le magicien qui exhibe un lapin depuis son chapeau, le système sortira son candidat et les uns des magazines, des journaux et des médias main Stream se mettront en ordre de marche et de bataille et la boucle sera bouclée comme d’habitude, la véritable question reste économique, c’est à dire la répartition des richesses et qui paye quoi et comment, ce que Manu à fait pendant les 8 dernières années, un transfert massif et brutal des richesses vers une minorité tout en exerçant une violence sociale et physique sans précédent sur le reste c’est à dire la majorité, le pauvre Retailleau est utilisé et il a va certainement monnayé son siège au Sénat ou un quelconque strapontin ministériel, Retailleau président j’ai envi juste de rire, le système financier mondial est une pieuvre assez puissante qui de très longs et puissants bras partout, ils font ce qu’ils veulent comme ils le veulent et quand ils el veulent, il suffit juste de voire comment Trump est entrain de devenir un petit caniche.

    Ghedia Aziz
    20 juillet 2025 - 12 h 00 min

    La carte de la fermeté contre un pays souverain dont la justice a condamné un de ses citoyens pour autre chose qu’un délit d’opinion ne marche pas. E Macron est plus raisonnable que son Ministre de l’intérieur qui fait une fixation sur l’Algérie.

    Entre nous, ne faudrait-il pas inviter le Ministre Retailleau à Alger pour qu’il se rende compte de lui-même que les temps ont bien changé ? Que l’Algérie n’est plus une colonie française à laquelle il pourrait donner des leçons sur la manière de gérer les affaires de justice ?

      Anonyme
      20 juillet 2025 - 16 h 20 min

      Quoi ?????? Permettre à cet étron de venir souiller le sol algérien ??? Abaden !!! Qu’il se pacse avec son cher Enrico avec qui il partage son admiration pour les nazisionistes, pour pleurer et se lamenter en tête à tête sur leur « paradis perdu » qu’ils ne seront pas prêts de voir ou de revoir, même dans leurs rêves.
      Avec ce genre d’énergumènes, Fafa vient de « perdre  » une deuxième fois , et définitivement, l’Algérie.

    Le tricheur d'interville de l'épreuve Culture Générale
    20 juillet 2025 - 11 h 44 min

    Si tu n’es pas capable de répondre à une question simple de culture générale française (pas difficile), l’Algérie te donnera des réponses.Bruno ne reflète pas l’intelligence, je dirais même qu’il est du même acabit que l’autre bruno (lemaire) qui ne sait pas combien fait 1 hectare en m2, et pourtant de genre de bouffons a fait l’ENA (la soit disante Ecole National d’administration). Bruno vu le nombre élevé de candidatures pour ce poste, nous ne pourrons malheureusement pas répondre aux demandes d’informations supplémentaires. Merci de ta compréhension.

    Anonyme
    20 juillet 2025 - 11 h 24 min

    Si les français élisent ce looser, c’est qu’ils sont masochistes.

    Laissons encore le petit roquet burno retailleau aboyer. Des aboiements, c’est le moyen de communication qu’a choisi ce sinistre de la dextre pour se faire remarquer de ses maîtres algériens. Ouaf ouaf ouaf ! Car il fait parti de la race des bavards baveux. Quand il cassera un peu trop les glaouis, l’envoyer consulter un vétérinaire. Peut-être qu’il a seulement besoin d’un peu d’attention. Allez, un supplément d’activités, de stimulations et d’activités au quotidien. Ouaf ouaf ouaf ! Lui balancer un os à ronger et ensuite coucouche panier. Avec un peu de chance, à travers la gorge, ça peu le faire … Lol

      Mustapha
      20 juillet 2025 - 16 h 07 min

      « Tout vient à point à qui sait attendre. »

      Kingdom of Altava
      21 juillet 2025 - 0 h 12 min

      Dans un pays qui se respecte,quand on se fait insulter en permanence et on reçoit des menaces de la part d’un pays étranger (et ennemi de surcroît), on rompre purement et simplement les relations diplomatiques avec ce pays ennemi et on expulse sur le champ son ambassadeur et on ferme son ambassade.
      Mais hélas,il y a encore trop de fils et petits fils de harkis traîtres mentalement colonisés,qui pullulent dans les différents rouages de l’État & qui croient que le pays des rats et des punaises de lit , est le centre du monde et voir il serait carrément l’origine de la civilisation et de la vie même !

    Re-Tailler Un Autre Costume
    20 juillet 2025 - 10 h 46 min

    Peut-être que M. Retailleau devrait consulter un tailleur pour lui re-tailler un autre costume sans le mot Algérie sur les manches.

    saffira
    20 juillet 2025 - 10 h 41 min

    Il faudrait que les Algériens arrêtent de rêver ,les Francais ont tourné la page de l’Algérie depuis longtemps demain dans le meilleur es cas il y aura un Retailleau à la tête de la France au pire une Le Pen ou un Bardella ,il faut que nous nous y préparions quant aux Franco Algériens et aux Algériens qui vivent en France et qui nous décrivent un Macron raciste et islamophobe je crains qu’ils n’aient encore rien vu de ce que la France est capable de faire ,surtout qu’elle sera chez elle

      BentPapaMama
      20 juillet 2025 - 13 h 26 min

      @Saffira : ou un Villepin dans le Meilleur des cas

    bourrichon
    20 juillet 2025 - 10 h 09 min

    Fart-taillau c’est une conserve 400 grs de fayots qui empeste l’aire politique en Xa-gonie centrale, pet-en-l’air comme aiment a l’appeller ses collabo-rateurs avec une pince à linge sur le tarin, pour essayer d’enfumer le chaland il monte sur l’echelle pour péter plus haut que son cul.

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