L’affaire du parc de Porté-Puymorens ou quand les sionistes font la pluie et le beau temps
Une contribution d’Arezki Belkacimi – En d’autres termes, les «élus de Dieu» ont le pouvoir suprême de décider et de contrôler les climats politiques et les atmosphères géopolitiques. D’imposer leur volonté et leur domination. De manipuler les circonstances à leur convenance. Leur champ d’action est immense. Planétaire. En résumé, ils sont influents.
Si l’expression «faire la pluie et le beau temps» tire ses origines de l’antiquité grecque, à l’époque où, selon les fables, les dieux mythologiques tout puissants avaient la possibilité de maîtriser la météo, de nos jours, ce sont les «élus de Dieu» mythomanes et cleptomanes, les sionistes, qui ont le pouvoir de décider et de contrôler le climat politique, l’atmosphère géopolitique. D’influencer, grâce à leur puissance médiatique, l’opinion publique. De conditionner les esprits.
Ainsi, les sionistes ont la puissance de faire la pluie et le beau temps.
Cependant, avec ces «élus de Dieu» mythomanes et cleptomanes, c’est-à-dire fabricants de mythologies historiques et auteurs compulsifs de vol de terres, la pluie n’est réservée qu’à la méprisable multitude mondiale. Eux, ils s’attribuent et accaparent en permanence le soleil. Notamment en Palestine occupée où le soleil brille toute l’année sur les colons génocidaires, mais la pluie balistique et les grêlons explosifs largués par les bombardiers sont déversés contre les Palestiniens.
Et si, par malheur, les sionistes, ces capricieux éternels insatisfaits, sont confrontés, lors de leur villégiature, à la pluie, c’est-à-dire au mauvais temps, ils accusent spontanément la méprisable multitude goy d’antisémitisme. De les priver du soleil. De leur vie dorée.
C’est ce qui vient d’arriver en France, où un gérant d’un parc de loisir dans la commune de Porté-Puymorens (Pyrénées-Orientales) a été arrêté et mis en garde à vue pour avoir refusé, selon les médias stipendiés, l’accès à 150 jeunes vacanciers israéliens. Il est accusé d’antisémitisme.
Le parquet de Perpignan, qui s’est saisi de l’affaire, a annoncé que l’homme qui gère le parc a été placé en garde à vue pour «discrimination fondée sur la religion». Or, le gérant a expliqué aux enquêteurs que son choix a été motivé par des raisons météorologiques. Pour preuve, dès la veille, avant l’arrivée des jeunes israéliens au parc, le gérant avait affiché sur la page Facebook du parc le message suivant : «Suite au fort épisode orageux d’hier, nous devons fermer le parc demain, jeudi 21 août, afin de réaliser une inspection complète de nos installations.»
Mais rien n’y fait. Les capricieux israéliens, ces enfants gâtés de l’Occident, dont le comportement se caractérise par l’égoïsme (une vision du monde centrée sur soi), l’absence d’empathie (l’incapacité totale à se mettre à la place de l’autre), l’impulsivité (vectrice de violences incontrôlées et génocidaires) l’intransigeance (la rigidité face à la contradiction, l’assurance outrancière d’avoir toujours raison contre le monde entier), la tyrannie (sœur jumelle du terrorisme), ont accusé le gérant de les avoir privés volontairement de leurs vacances ensoleillées. D’avoir fomenté le discriminatoire épisode orageux pour leur appartenance religieuse juive.
Toujours est-il que les enfants gâtés de l’Occident, les Israéliens, maintiennent leur accusation d’antisémitisme. Déterminés à profiter de vacances ensoleillées en France, le lendemain, grâce à l’aide de certaines institutions communautaires, ces enfants gâtés israéliens ont été escortés vers un autre site de loisirs à bord de trois bus «dont la sécurité a été assurée par la gendarmerie», précise le parquet de Perpignan.
«Le soleil a toujours blessé les yeux de ses adorateurs.» Les sionistes sont aveuglés par leur suprémacisme. Leur mentalité victimaire.
Mais gare au retournement de situation : «En fuyant la pluie, on rencontre la grêle.», autrement dit, les précipitations atmosphériques politiques défavorables. Le tonnerre de colère des résistants antisionistes.
A. B.