L’EUROPE DIVISÉE : HAINE ANTI-ARABE OU CRISE D’IDENTITÉ PROFONDE ?
21 mai 2025 - 8 h 57 min
L’Européen de base, celui des peuples de l’Ouest, ne haïssait pas l’Arabe. Au contraire, dans l’histoire, il l’a parfois admiré, respecté, ou tout simplement ignoré.
Mais aujourd’hui, il le rejette. Pourquoi ?
Parce que l’Européen moderne s’est mis à se détester lui-même.
Il a été déconnecté de ses racines, de sa culture, de sa spiritualité, de sa structure familiale, de son patriarcat, de sa foi.
À la place, on lui a donné une idéologie froide, soviétisée, technocratique, où tout est matière, marché, performance.
Ce n’est pas une haine naturelle. C’est une haine apprise, programmée, installée lentement à travers les siècles, bien avant 1830.
La France, la Grande-Bretagne, l’Europe de l’Ouest ont été idéologiquement infiltrées bien avant la chute de l’Empire ottoman.
Ces idées venues de l’Est — rusées, cyniques, héritées d’un esprit soviétique manipulateur — avaient un but :
diviser les peuples, les retourner les uns contre les autres, effacer leur mémoire, voler leurs ressources, et créer des populations faciles à contrôler.
Résultat : l’Européen d’aujourd’hui est en crise d’identité, et ce que l’Arabe lui renvoie — foi, famille, unité, fierté — le dérange profondément.
Il ne hait pas l’Arabe parce que l’Arabe est mauvais.
Il le hait parce que l’Arabe lui rappelle ce qu’il a perdu en trahissant sa propre culture.
Et pendant que cette haine se répand, les vrais ennemis — élites, anciens soviétiques, impérialistes, nouveaux colons — continuent de piller les peuples.
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