Le Maroc continue d’acheminer du matériel militaire via ses ports destiné à l’entité sioniste

Comment (5)

Dr Kelso
4 juillet 2025 - 10 h 20 min
Rien de nouveau sous le soleil.
La narco-terroriste-pédophile-monarchie création lyautey 1912 vassal de la France et annexe de l’entité sioniste depuis toujours.
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Sprinkler
3 juillet 2025 - 21 h 51 min
Plaque tournante du trafic de drogue et de la prostitution, la narco-monarchie ne saurait refuser ses ports à la vermine cleptoparasite qui trucide à Gaza sous la bénédiction du Commandeur des Croyants qui ne savent qui d’Azoulay ou de GOSFAST VI porte la Couronne…Plus rien, absolument rien, ne nous surprend du protectorat de Lyauthey !
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Mohamed El Maadi
3 juillet 2025 - 20 h 33 min
(…)
On ne pactise pas avec un monstre sans devenir soi-même un fragment de sa face.
Mohammed VI, roi du Maroc, fils prétendument éclairé d’une dynastie sacrée, est aujourd’hui l’un des derniers artisans vivants de la chaîne d’extermination en Palestine. Il n’y a plus d’ambiguïté. Plus d’écran diplomatique. Plus de “modération” à invoquer. Ce qui se joue dans les ports marocains depuis des mois est limpide : **le Maroc charge les armes qui tuent les enfants de Gaza.**
Et il le fait avec méthode. Avec calme. Avec autorité.
Tanger Med n’est pas un port neutre. C’est une rampe de lancement. Casablanca n’est plus une plateforme logistique : c’est une chambre froide de l’impérialisme sioniste, où les conteneurs suintent le kérosène et l’indifférence. Le roi ? Il n’est plus qu’un gestionnaire de cadavres à ciel ouvert, couronné de silence et lesté de dettes.
Qu’on cesse les hypocrisies. Qu’on enterre les illusions. Mohammed VI **a choisi son camp**. Ce n’est pas celui de Jérusalem. Ce n’est pas celui des peuples arabes. Ce n’est même pas celui de son propre peuple, qui manifeste, pleure, crie et que l’on matraque.
Le camp du roi, c’est celui des drones israéliens. Des accords secrets. Des commissions obscènes. Du sang monnayé contre du phosphate.
Il y a chez ce roi quelque chose de sinistre. Pas seulement l’autoritarisme feutré, la répression méthodique, le vernis moderniste plaqué sur un trône poussiéreux. Non. Il y a plus grave : une froideur, une absence, une vacuité morale totale. Un cynisme sans fond.
Il sait. Il sait que des cargaisons militaires américaines passent par ses ports pour frapper Rafah, Khan Younès, Jabaliya. Il sait que les corps de Gaza sont broyés par des pièces sorties de ses entrepôts. Il sait. Et il signe.
Mohammed VI ne gouverne plus. Il administre le silence. Il cultive la peur. Il encaisse la mort.
Mais le sang ne sèche pas. Il ne s’évapore pas dans les couloirs climatisés de Rabat. Il s’inscrit. Il s’imprime. Il colle.
Le roi croyait acheter le Sahara. Il a vendu Jérusalem. Il espérait asseoir sa monarchie. Il a trempé son trône dans les gravats et les entrailles d’enfants.
Que lui reste-t-il ? Des hôtels ? Des touristes ? Des investisseurs qui viendront signer des contrats en piétinant les appels à l’aide ? Un royaume endetté, humilié, instrumentalisé ?
Le Maroc est aujourd’hui un État-proxénète de la guerre. Il fournit la logistique. Il protège les cargaisons. Il fait taire les consciences. Il encage les dockers qui refusent. Il frappe les manifestants. Et il ose encore parler de souveraineté.
Non. Ce n’est pas un pays souverain. **C’est un supplétif zélé.**
Et que nul n’ose encore parler de “double jeu”, de “position d’équilibre”, de “rôle pont”. Le Maroc est un point. Un point de transit. Un point de passage. Un point de chute. Un point final sur des dizaines de milliers de vies.
Il y aura un prix. Pas tout de suite. Mais il viendra.
Il viendra le jour où Israël, devenu paria, cherchera des paratonnerres. Où ses relais seront grillés. Où les peuples demanderont : qui les a aidés ? Qui les a soutenus ? Qui leur a ouvert les ports pendant qu’ils rasaient des camps ?
Et ce jour-là, le nom du Maroc sera cité. Pas comme victime. Pas comme acteur ambigu. Non : comme complice conscient et efficace.
Et le roi, lui, sera regardé non comme un médiateur régional, mais comme un fossoyeur diplomatique, habillé de blanc, les mains rouges.
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🇩🇿 Fodil Dz
3 juillet 2025 - 19 h 01 min
Le roitelet de pacotille, petit-fils de thami el glaoui le grand bordelier de marrakech, est président du comité el quds. Quelle arnaque vraiment ! De toute façon, toute l’histoire de cette famille dite « alaouite » est une énorme fumisterie. Quand ils se font passer pour des chorfa auprès de la population marocaine, symboliquement c’est comme s’ils leur passaient de la vaseline pour mieux les encuguler. Apparemment, ça ne semble pas les déranger. C’est leur problème.
Quand au « roi éclipse » actuellement sur le trône, toute sa vie n’aura été qu’une escroquerie. Une vulgaire farce qui ne fait rire personne étant donné la tragédie que subit actuellement le peuple palestinien.
Oui le royaume de la perdition est allié à l’entité criminelle sioniste. Le maroc est bien complice du génocide qui est en cours à Gaza. Les faits sont là. Le makhzen marocain est bien un acteur des événements horribles qui se déroulent à Gaza. Il envoie des soldats combattre aux côtés de la soldatesque sioniste, il alimente la machine génocidaire de tsa-hell … Maudits soient ces traîtres!
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ANONYMOUSTOP
4 juillet 2025 - 11 h 03 min
100% d’accord 👍
Plus collabo que les collabos,
sa devise est la trahison.
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