Stade du 5-Juillet : 5 000 sièges brisés, 1,5 milliard de centimes de pertes

La direction de l’Office du complexe olympique Mohamed-Boudiaf a comptabilisé une perte de 1,5 milliard de centimes à l’issue des violents affrontements dont ont été le théâtre les tribunes supérieures du stade 5-Juillet samedi soir entre les supporters de l’USM El-Harrach et l’USM Alger à l’occasion de la rencontre des quarts de finale de la Coupe d’Algérie de football.

La direction de l’Office du complexe olympique Mohamed-Boudiaf a comptabilisé une perte de 1,5 milliard de centimes à l’issue des violents affrontements dont ont été le théâtre les tribunes supérieures du stade 5-Juillet samedi soir entre les supporters de l’USM El-Harrach et l’USM Alger à l’occasion de la rencontre des quarts de finale de la Coupe d’Algérie de football.
Selon le directeur de l’OCO, Noureddine Belmihoub, le coût d’un siège varie entre 2 800 et 3 000 DA ; il a exhorté les responsables concernés à punir sévèrement les auteurs de ces actes de vandalisme qui doivent impérativement compenser les pertes occasionnées. Il a aussi émis un souhait, celui de voir les responsables du sport en Algérie trouver les solutions pour lutter contre la violence dans les stades pour que cesse, enfin, ce genre d’agissement.
Belmihoub n’a pas été tendre avec les personnes qui ont à charge la programmation du championnat en se posant la question de savoir comment on a programmé quatre rencontres à Alger (20-Août, Kouba, Cheraga et le 5-Juillet), ce qui a rendu le travail des services de sécurité difficile. Il a conseillé les responsables de la programmation de travailler en étroite collaboration avec la direction de la Sûreté nationale pour éviter de tomber dans ce même problème.
Réda B.
 

Commentaires

    Antar
    1 avril 2012 - 19 h 22 min

    Si les services de sécurité
    Si les services de sécurité ne font pas leur travaille notamment les arrestations et traduction des auteurs devant la justice, on aura d’autre casse dans d’autres stades. Mais où est l’Etat.?
    Un acte de sabotage civil est passible de 5 à 10 ans de prison et peut aller jusqu’à la perpétuité.

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