L’histoire des Etats-Unis serait incomplète s’il n’était fait mention des musulmans

Ce mois-ci, la première mosquée de Cleveland, dans l'Ohio, va célébrer son 75e anniversaire et honorer son fondateur et dirigeant visionnaire, Hajj Wali Akram. Né au Texas, cet Afro-Américain s'est ensuite installé à Cleveland où il a créé une communauté sunnite dynamique qui subsiste encore de nos jours. Pourtant, en écoutant les médias populaires d'aujourd'hui, voire l'avis de certains élus, nous pourrions aisément croire que Hajj Wali Akram a immigré aux Etats-Unis et que l'islam est étranger au paysage national. Trop souvent, nous entendons dire que les musulmans ne sont arrivés que récemment et qu'ils ne sont pas d'«authentiques Américains», à la différence des protestants, des catholiques ou des juifs. Or, rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. La population musulmane étant en augmentation aux Etats-Unis, il est particulièrement important d'examiner l'histoire de l'islam dans ce pays et de reconnaître et d'apprécier la contribution des musulmans américains.
L'étude de Mme Sylviane Diouf du Centre Schomburg pour la recherche sur la culture noire, de M. Michael Gomez de l'université de New York et de M. Amir Muhammad du Musée de l'histoire de l'islam en Amérique a confirmé que certains des esclaves amenés d'Afrique de l'Ouest en Amérique étaient musulmans. Des objets anciens, des peintures, des écrits et même des pierres tombales représentant un lien avec la religion prouvent la transmission et la préservation de leur foi au fil des siècles.
Etant donné leur asservissement et leur mobilité extrêmement réduite, ces premiers croyants ne pouvaient bénéficier de la citoyenneté américaine, pas plus qu'ils n'avaient la liberté de créer des communautés ou des institutions. Cependant, il est prouvé que les dirigeants américains de l'époque, y compris les pères fondateurs de notre nation tels que John Quincy Adams et Thomas Jefferson, connaissaient relativement bien l'islam et conservaient un exemplaire du Coran dans leur bibliothèque.
Dans les années trente, M. Akram fut l'un des nombreux musulmans à encourager le renforcement des communautés musulmanes. Il développa un plan décennal visionnaire dont des stratégies visant l'autosuffisance économique et il mit l'accent sur l'éducation, en particulier sur l'islam et l'importance de la langue arabe. Il a même possédé une presse d'imprimerie de manière à permettre la diffusion de l'information pertinente et en temps utile aux membres de la communauté.
La transformation en une communauté américano-musulmane pleine de vie, dynamique et profondément enracinée au cours des années soixante est plus directement liée à l'islam contemporain aux Etats-Unis. En outre, la population musulmane aux Etats-Unis a sensiblement augmenté au cours de cette période. Ces changements sont dus, en partie, aux efforts de l'imam Warith ud Deen Muhammad, qui a suggéré l'adoption de l'islam sunnite aux milliers d'Américains d'origine africaine naguère disciples de son père, Elijah Muhammad.
Suite aux réformes de la politique d'immigration en 1965, l'arrivée d'un nombre sans précédent d'immigrés musulmans en provenance d'Afrique du Nord et d'Asie du Sud a également joué un rôle dans cette transformation. Au cours des décennies suivantes, des Américains d'origine caucasienne et plus récemment hispanique se sont aussi convertis à l'islam. Ces groupes hétéroclite de musulmans, et maintenant leurs descendants, ont participé à la construction des villes américaines en tant qu'ingénieurs et architectes ; ils sont au service des malades et des nécessiteux en tant que médecins, psychiatres et travailleurs sociaux ; ils défendent les droits des opprimés et des faibles en tant qu'avocats ; ils éduquent les enfants et les jeunes en tant qu'enseignants, et ils contribuent aussi en exerçant bien d'autres métiers.
Ainsi, une étude relative à l'histoire des Etats-Unis serait incomplète s'il n'était fait mention de l'islam et des musulmans. A l'instar de leurs ancêtres, les Américains musulmans continuent d'enrichir le paysage américain en tant que citoyens fiers qui déclarent avoir pour pays l'Amérique.
Altaf Husain
Maître-assistant à l'école de service social de la Howard Université, chargé de recherche à l'Institut des politiques sociales et de la compréhension et membre du conseil d'administration de la société islamique d'Amérique du Nord
 

Commentaires

    Antar
    21 septembre 2012 - 13 h 12 min

    POURQUOI LE MOSSAD BARRE LA
    POURQUOI LE MOSSAD BARRE LA ROUTE DEVANT OBAMA ET PROVOQUE LE MONDE MUSULMAN
    Le Président des Etats-Unis Barack Obama, fait l’objet d’une campagne hystérique des israéliens sionistes, pour lui barrer la route pour un second mandat Présidentielle. Le Mossad qui est derrière la dernière provocation du monde musulman, notamment l’achat de la production du film, ‘’L’homme du désert’’ devenu ‘’ Innocence of Muslim’’ et la complicité du producteur et du réalisateur, est une partie du feuilleton élaboré dans les bas fonds de Tel-Aviv, dont l’objectif est d’éviter qu’Obama bride un second mandat. Pourquoi ?
    Tout simplement, Le Président Barack Obama, n’est ni comme le sinistre Georges W Bush, un agresseur du monde, ni comme son raval actuel, qui a tenu une réunion secrète avec le lobby sioniste de Washington en cautionnant une attaque massive des chantiers nucléaires de l’Iran. Une telle opération a été catégoriquement refusée par Obama, qui a même mis ‘’Israël’’ en demeure de n’entreprendre aucune folie, d’attaque de l’Iran. Chose qui a condamné Obama par les sionistes.
    Nous pouvons suivre ci-après comment le rapport du Lobby sioniste, traite le Président des Etats Unis, Ce rapport diffusé le mercredi 19 septembre, dont nous avons reçu copie est une preuve irréfutable de l’implication sioniste dans les récentes événements.

    Rapport : L’enfance musulmane d’Obama
    Le Président des Etats-Unis Barack Obama est apparu bien décidé à se battre contre son rival républicain, parrainant des annonces télévisées qui demandaient, «Qu’est-ce que Mitt Romney nous cache?». C’est une allusion à ces questions relativement mineures comme les déclarations fiscales des années antérieures de Romney, la date où il a cessé de travailler pour Bain Capital, ainsi que les documents non publics de son travail à la tête des Olympiques de Salt Lake City et en tant que gouverneur du Massachusetts. Obama a justifié ses exigences pour que Romney lâche plus d’information sur lui-même, en déclarant en août 2012 que «Le peuple américain suppose que si on veut être président des Etats-Unis il faut que votre vie soit un livre ouvert quand il s’agit de choses comme vos finances.» Des libéraux comme Paul Krugman du New York Times appuient avec enthousiasme cette focalisation sur l’histoire personnelle de Mitt Romney.
    Si Obama et ses partisans souhaitent se concentrer sur la biographie, bien sûr, il s’agit d’un jeu que les deux peuvent jouer. Le modéré, et affable Romney a déjà critiqué la campagne de réélection d’Obama comme «basée sur le mensonge et la malhonnêteté» et une publicité télévisée est allée plus loin, affirmant que Obama «ne disait pas la vérité.»

    Il ne dit pas toujours la vérité: Obama a revendiqué une naissance au Kenya en 1991 pour vendre son autobiographie.
    L’accent mis sur la transparence et l’honnêteté est susceptible de nuire à Obama beaucoup plus qu’à Romney. Obama reste le candidat mystère avec une autobiographie pleine de lacunes et même d’inventions. Par exemple, pour vendre son autobiographie en 1991, Obama a prétendu à tort qu’il ‘’était né au Kenya’’Il a menti à propos du fait de n’avoir jamais été membre et candidat du Nouveau Parti socialiste de Chicago des années 1990, et quand Stanley Kurtz a produit des preuves pour établir qu’il en était membre, les attachés de presse d’Obama ont sali et traité avec dédain Kurtz. L’autobiographie d’Obama en 1995, Les Rêves de Mon Père, [traduction en français de Danièle Darneau « Les rêves de mon père. L’histoire d’un héritage en noir et blanc. Presses de la Cité Etranger, mars 2008 (NDLT)] contient un flot de données erronées, comme à propos de son grand-père maternel, de son père, de sa mère, du mariage de ses parents, du père de son beau-père, de son ami de lycée, de sa petite amie, de Bill Ayers et Bernardine Dohrn , et du révérend Jeremiah Wright. Comme Victor Davis Hanson le dit, «Si un écrivain est capable d’inventer les détails de la maladie en phase terminale de sa propre mère et sa quête pour une assurance, alors il pourra probablement inventer sur n’importe quoi.»
    Dans ce contexte plus large de mensonges sur sa vie passée se pose la question de la discussion sur la religion d’Obama, peut-être le plus singulier et le plus scandaleux de ses mensonges
    Contradictions
    Interrogé sur la religion de son enfance et de sa jeunesse, Obama apporte des réponses contradictoires. Il a peaufiné une question de mars 2004, «Avez-vous toujours été chrétien? » en répondant: «J’ai été élevé plus par ma mère et ma mère était chrétienne ». Mais en décembre, il a tardivement décidé de donner une réponse claire: «Ma mère était une chrétienne du Kansas …. J’ai été élevé par ma mère Donc, j’ai toujours été Chrétien.». Cependant, en février 2009, il a donné un compte-rendu complètement différent:
    «Je n’ai pas grandi dans un foyer particulièrement religieux. J’ai eu un père qui est né musulman mais est devenu athée, des grands-parents qui étaient des méthodistes et des baptistes non-pratiquants, et une mère qui était sceptique quant à la religion organisée. Je ne suis pas devenu chrétien … jusqu’à ce que je déménage dans le côté sud de Chicago après le collège.
    Il a en outre élaboré cette réponse en septembre 2010, en disant: «. J’en suis venu à ma foi chrétienne tard dans la vie »
    Quel est-il? Obama a-t-il «toujours été chrétien» ou est-il «devenu chrétien» après le collège? La contradiction avec soi-même sur une si fondamentale question d’identité, lorsque cela s’ajoute à la remise en question générale à propos de l’exactitude de son autobiographie, soulève des questions sur la véracité; quelqu’un qui aurait dit la vérité pourrait-il dire des choses aussi variées et opposées à propos de lui-même? L’incohérence est typique de l’invention: en maquillant les choses, il est difficile de s’en tenir à la même histoire. Obama semble cacher quelque chose. Était-il l’enfant areligieux de parents impies? Ou fut-il toujours chrétien? Toujours musulman? Ou était-il, en fait, quelque chose de sa propre création – un chrétien / musulman?
    Obama donne quelques informations sur son passé islamique dans ses deux livres, les rêves et l’audace d’espérer (2006) [ce dernier livre paru en 2007 aux Editions «Presses de la Cité» a été traduit par Jacques Martinache sous le titre «L’audace d’espérer: une nouvelle conception de la politique américaine» (NDLT)]. En 2007, quand Hillary Clinton était encore candidate démocrate favorite à la présidence, un certain nombre de journalistes avaient déterré des informations sur le temps passé par Obama en Indonésie. Les déclarations d’Obama en tant que président ont fourni des informations importantes sur sa mentalité. Cependant les principales biographies de Barack Obama, qu’elles soient amicales (comme celles de David Maraniss, de David Mendell, et de David Remnick) ou hostiles (comme celles de Jack Cashill, de Jerome R. Corsi, de Dinish D’Souza, d’Aaron Klein, d’Edward Klein , et de Kurtz Stanley), consacrent peu d’attention à ce sujet.
    J’établirai qu’il est né et a grandi comme musulman, je fournirai des preuves qui le confirment tirées des dernières années, je sonderai la perception qu’on a de lui en tant que musulman, et je placerai cette tromperie dans le contexte plus large des fictions autobiographiques d’Obama.
    « Je n’ai jamais été Musulman »
    Obama reconnaît volontiers que son grand-père paternel, Hussein Onyango Obama, s’est converti à l’islam. En effet, les rêves de mon père (p. 407) contient une longue citation de sa grand-mère paternelle pour expliquer les raisons du grand-père pour avoir agi ainsi: les coutumes du christianisme lui paraissaient «des sentiments stupides» pour lui, «quelque chose pour consoler les femmes», et ainsi il s’est converti à l’islam, pensant que « ses pratiques s’approchaient plus de ses convictions» (p. 104). Obama le disait volontiers à tout venant: par exemple lorsque lui fut demandé par un barbier (p. 149): «Etes-vous musulman? », il a répondu: «Grand-père l’était. »
    Obama présente ses parents et son beau-père comme non-religieux. Il note (dans l’audace d’espérer 2006, pp 204-205), que son «père avait été élevé comme musulman », mais était «athée» au moment où il a rencontré la mère de Barack, qui à son tour «professait la laïcité». Son beau-père, Lolo Soetoro , «comme la plupart des Indonésiens, a grandi comme musulman», même si non pratiquant, d’un islam syncrétique qui ( Les rêves, p. 37), «fait entrer des traces anciennes des croyances animistes et des croyances hindoues.  »
    En ce qui le concerne personnellement, Obama avoue de nombreux liens avec l’islam mais se défend d’être un musulman. « Le seul lien que j’ai eu avec l’islam, c’est que mon grand-père du côté de mon père venait de ce pays », a t-il déclaré en décembre 2007. « Mais je n’ai jamais pratiqué l’Islam …. Pendant un moment, j’ai vécu en Indonésie parce que ma mère enseignait là-bas. Et c’est un pays musulman. Et je suis allé à l’école. Mais je n’ai pas pratiqué. » De même, a t-il déclaré en février 2008 à part mon nom et le fait que j’ai vécu dans un pays peuplé de musulmans pendant 4 ans, lorsque j’étais enfant j’avais très peu de liens avec la religion islamique .» Notons sa déclaration sans équivoque ici: « Je n’ai jamais été Musulman. » Sous le titre «Barack Obama n’est pas et n’a jamais été musulman», le premier site web durant la campagne présidentielle a effectué une déclaration encore plus catégorique en novembre 2007, en déclarant qu ‘«Obama n’avait jamais prié dans une mosquée. Il n’a jamais été musulman, n’a pas été élevé comme musulman et est un chrétien engagé.  »
    « Barry était musulman »
    Mais de nombreux éléments plaident en faveur du fait qu’Obama est né et a grandi comme musulman:
    (1) L’islam est une religion patrilinéaire: Dans l’islam, le père transmet sa religion aux enfants, et quand un homme musulman a des enfants avec une femme non-musulmane, l’islam considère les enfants comme musulmans. Le grand-père et le père de Barack Obama ayant été musulmans – dans la mesure où leur piété n’a pas d’importance du tout – cela signifie que, aux yeux des Musulmans, Barack est né musulman.
    (2) Les prénoms arabes sur la base de la racine trililitère HSN: Tous les prénoms tels que Husayn (ou Hussein, Hassan, Hassan, Hassanein, Ahsan, et autres) sont exclusivement accordés à des bébés musulmans. (La même chose vaut pour les prénoms basés sur la racine HMD.) Le prénom d’Obama, Hussein, proclame explicitement qu’il est né musulman.

    (3) Inscrit en tant que musulman à l’école catholique Saint François d’Assise: Obama a été inscrit dans une école catholique à Djakarta sous le nom de « Barry Soetoro. » Un document qui a été conservé le répertorie correctement comme né à Honolulu le 4 août 1961 ; en outre, cela le classe comme ayant la nationalité indonésienne et de religion musulmane.
    (4) Inscrit en tant que musulman à SD Besuki [SDN Besuki ou the Besuki School est une école publique indonésienne à Menteng, Djakarta (NDLT)]: Bien que Besuki (également connu sous le RPS 1 Menteng) soit une école publique, Obama s’y réfère curieusement dans l’audace d’espérer (p. 154) comme «l’école musulmane qu’il a fréquentée à Djakarta. Ses inscriptions n’existent plus, mais plusieurs journalistes (Haroon Siddiqui, du Toronto Star, Paul Watson, duLos Angeles, David Maraniss du Washington Post ) ont tous confirmé que là aussi, il a été enregistré en tant que musulman.
    (5) La classe islamique à Besuki: Obama mentionne (L’audace d’espérer, p 154.) qu’à Besuki, «le professeur a écrit pour dire à ma mère que je faisais au cours des grimaces durant les études coraniques.» Seuls les étudiants musulmans assistaient aux deux heures hebdomadaires de cours de Coran; Watson relate:
    deux de ses enseignants, l’ancien vice-principal Tine Hahiyari et le professeur de troisième année Effendi, ont dit qu’ils se rappelaient clairement que dans cette école aussi, il a été enregistré en tant que musulman, ce qui a déterminé à quel cours il a assisté durant les cours de religion hebdomadaires. «Les étudiants musulmans étaient enseignés par un professeur musulman, et les étudiants chrétiens étaient enseignés par un enseignant chrétien», a déclaré Effendi.»
    Andrew Higgins, du Washington Post cite Rully Dasaad, un ancien camarade de classe, disant qu’ Obama chahutait au cours et, au cours des lectures du Coran, il « a ri à cause de sa drôle de prononciation. » Maraniss nous a appris que le cours comprenait non seulement l’étude «comment prier et comment lire le Coran», mais aussi de faire la Prière du vendredi commune sur les terrains de l’école.

    (6) la présence à la Mosquée: Maya Soertoro Ng, la jeune demi-sœur d’Obama, dit que son père (à savoir, le beau-père de Barack) allait à la mosquée « pour les grands événements communaux»; Barker a constaté qu’ «Obama de temps en temps suivait son beau-père à la mosquée pour les prières du vendredi.  » Watson relate:
    «Les amis d’enfance disent qu’Obama allait parfois à la prière du vendredi à la mosquée locale. «Nous priions, mais pas vraiment sérieusement, juste suivant les gestes effectués par les personnes plus âgées dans la mosquée. Mais comme gosses, nous avons adoré rencontrer nos amis, aller à la mosquée ensemble et jouer», a déclaré Zulfin Adi, qui se décrit comme faisant partie des plus proches amis d’enfance. … Parfois, quand le muezzin faisait retentir l’appel à la prière, Lolo et Barry allaient à pied à la mosquée de fortune ensemble, dit Adi. «Sa mère allait souvent à l’église, mais Barry était musulman. Il se rendait à la mosquée », dit Adi.
    (7) Le vêtement musulman: Adi rappelle au sujet d’Obama, « Je me souviens de lui portant un sarong. » De même, Maraniss a constaté non seulement que «Ses camarades de classe ont rappelé que Barry portait un sarong» mais des échanges écrits indiquent qu’il a continué à porter ce vêtement aux États-Unis. Ce fait a des implications religieuses parce que, dans la culture indonésienne, seuls les musulmans portent des sarongs.
    (8) La piété: Obama dit qu’en Indonésie, il «ne pratiquait pas [l’Islam]», une affirmation qui reconnaît par inadvertance son identité musulmane en laissant entendre qu’il était musulman non pratiquant. Mais plusieurs de ceux qui l’ont connu sont en contradiction avec ce souvenir. Rony Amir décrit Obama comme «très religieux précédemment dans l’Islam. » Un ancien professeur, Tine Hahiyary, cité dans le Kaltim Post, dit que le futur président a pris part à des cours de religion islamique avancés: «Je me souviens qu’il avait étudié le mengaji. » Dans le contexte de l’Islam de l’Asie du Sud-est,le Coran en mengaji signifie réciter le Coran en arabe, une tâche difficile dénotant des études supérieures.
    En résumé, le dossier montre Obama né musulman d’un père non musulman pratiquant et ayant vécu pendant quatre ans dans un milieu entièrement musulman sous les auspices de son beau-père indonésien musulman. Pour ces raisons, ceux qui connaissaient Obama en Indonésie le considéraient comme un musulman.
    «Ma foi musulmane»
    En outre, plusieurs déclarations de Barack Obama ces dernières années soulignent son enfance musulmane.
    (1) Robert Gibbs, directeur de campagne de communication pour la première course à la présidentielle d’Obama, a affirmé en janvier 2007: «Le sénateur Obama n’a jamais été musulman, n’a pas été élevé comme musulman et est un chrétien engagé qui assiste à l’Eglise unie du Christ à Chicago .  » Mais il s’est ravisé en mars 2007 , affirmant qu ‘«Obama n’a jamais été un musulman pratiquant. » En mettant l’accent sur la pratique étant enfant, la campagne ne soulève pas un problème car les musulmans (comme les Juifs) ne considèrent pas que la pratique soit au cœur de l’identité religieuse. Gibbs a ajouté, selon une paraphrase de Watson, que «Etant enfant, Obama avait passé du temps dans le centre islamique du quartier. » De toute évidence, «centre islamique du quartier» est un euphémisme pour «mosquée», passer du temps là montre encore qu’Obama était musulman.
    (2) Il a peut-être fait des grimaces et chahuté dans le cours de Coran, mais Obama a appris à faire la prière salaten classe de religion, son ancien professeur à Besuki, Fendi , rappelle qu’il «se joignait aux autres élèves pour les prières musulmanes. » Effectuer la prière-la salat-en elle-même fait d’Obama un musulman. En outre, il conserve encore fièrement la connaissance des cours suivis, il ya longtemps: en mars 2007, Nicholas D. Kristof du New York Times, témoigne qu’Obama « a rappelé les premières lignes de l’appel à la prière en arabe, en les récitant [à Kristof] avec un accent de premier ordre.  » Obama n’a pas récité la salat elle-même, mais l’adhan, l’appel à la prière (en général scandé des minarets). Les deuxième et troisième lignes de l’adhan constituent la déclaration de foi islamique, la shahada, dont l’énonciation rend musulman. L’adhan complet dans son itération sunnite (en sautant les répétitions) se déroule comme suit:
    Dieu est le plus grand.
    Je témoigne qu’il n’y a pas de divinité à part Dieu.
    Je témoigne que Mahomet est le Messager de Dieu.
    Venez à la prière.
    Venez à la réussite.
    Dieu est le plus grand.
    Il n’y a pas de divinité à part Dieu.
    Aux yeux des musulmans, réciter l’adhan en classe en 1970 a fait d’Obama un musulman alors – et de le faire à nouveau pour un journaliste en 2007 une fois de plus fait d’Obama un musulman.
    (3) Dans une conversation avec George Stephanopoulos en septembre 2008, Obama a parlé de ‘’ma foi musulmane’’ , ne changeant par«ma foi chrétienne» qu’après que Stephanopoulos l’a interrompu et l’a corrigé. Personne ne pourrait laisser échapper « ma foi musulmane » à moins que quelque base existe pour une telle erreur.
    (4) Lorsqu’il s’adresse à un public musulman, Obama utilise des expressions spécifiquement musulmanes qui rappellent son identité musulmane. Il s’est adressé à des auditoires au Caire (en juin 2009) et Djakarta ( en novembre 2010) avec «as-salam alaykoum», un message d’accueil que celui qui est allé à la classe de Coran, sait qu’il est réservé à un musulman s’adressant à un autre. Au Caire, il a également déployé plusieurs autres termes pieux qui signalent aux musulmans qu’il est l’un d’entre eux:
    • «Le Coran» (un terme mentionné cinq fois): une traduction exacte de la référence de l’arabe standard au texte écrit, «Al-Qur’an al-Karim».
    • «Le droit chemin»: une traduction de l’arabe «as-Sirat al-mustaqim», par lequel les musulmans demandent à Dieu de les guider chaque fois qu’ils prient.
    • «J’ai connu l’islam sur trois continents avant de venir dans la région où il a été révélé »: les non-musulmans ne font pas référence à l’islam comme révélé.
    • « L’histoire de l’Isra, avec Moïse, Jésus et Mahomet… unis dans la prière»: ce conte coranique d’un voyage nocturne établit la prééminence de Mahomet sur toutes les autres figures saintes, y compris Jésus. »Moïse, Jésus et Mahomet, que la paix soit sur eux»: une traduction de l’arabe alayhim ‘as-salam, ce que le musulman pieux dit après avoir mentionné les noms des prophètes morts autres que Mahomet. (une salutation différente, «salla Allahu alayhi wa sallam»: «Que Dieu lui rende hommage et lui accorde la paix», suit normalement le nom de Mahomet, mais cette expression n’est presque jamais dite en anglais.)
    Obama parle de l’islam au Caire en juin 2009.
    Obama disant: «Que la paix soit sur eux» a d’autres implications au-delà d’être une expression purement islamique jamais utilisée par les arabophones juifs et les chrétiens. Tout d’abord, elle contredit ce qu’ un chrétien auto-proclamé croit, car cela implique que Jésus, comme Moïse et Mahomet, est mort;la théologie chrétienne tient qu’il est ressuscité, vivant et le Fils immortel de Dieu. Deuxièmement, y inclure Mahomet dans cette bénédiction implique la vénération pour ce dernier, quelque chose d’aussi extravagant qu’un Juif parlant de Jésus-Christ. Troisièmement, un chrétien serait plus naturellement porté à rechercher la paix venant de Jésus plutôt que de souhaiter la paix pour lui.
    (5) La description exagérée et inexacte d’Obama de l’islam aux États-Unis révèle une mentalité islamiste. Il surestime considérablement le nombre et le rôle des musulmans aux États-Unis, annonçant en juin 2009 que «si vous aviez réellement évalué le nombre de musulmans Américains, nous serions l’un des plus grands pays musulmans du monde. » (Difficilement: Selon un listing des populations musulmanes les États-Unis, avec environ 2,5 millions de musulmans, se classe au 47eme rang). Trois jours plus tard, il a donné une estimation gonflée de  » près de 7 millions d’Américains musulmans aujourd’hui dans notre pays » et bizarrement a annoncé que «l’islam a toujours fait partie de l’histoire de l’Amérique …. Depuis la fondation de c epays, les musulmans américains enrichissent les États-Unis. » Obama a également annoncé le fait douteux, en avril 2009 , que de nombreux Américains « ont des musulmans dans leur famille ou ont vécu dans un pays à majorité musulmane. » Dans l’ordre de priorité des communautés religieuses aux États-Unis, Barack Obama donne toujours la première place pour les chrétiens, mais la deuxième place varie entre juifs et musulmans, notamment dans son discours inaugural de janvier 2009: « Les Etats-Unis sont une nation de chrétiens et de musulmans, de juifs et d’hindous et de non-croyants.  » Obama surestime donc énormément le rôle musulman dans la vie américaine ce qui suggère une mentalité islamique suprématiste spécifique à une personne venant d’un milieu musulman.
    Dans l’ensemble, ces déclarations confirment le témoignage de l’enfance d’Obama qu’il est né et a grandi musulman.
    « Toute ma famille était musulmane »
    Plusieurs personnes qui connaissent bien Obama le perçoivent comme musulman.Fait extrêmement étonnant, sa demi-sœur, Maya Soetoro Ng, a déclaré: « Toute ma famille était musulmane. » Toute sa famille, évidemment, comprend son demi-frère Barack.
    En juin 2006, Obama a raconté comment, après une longue évolution religieuse, il « a finalement réussi à se convertir à l’Eglise du Christ «la Trinity United Church of Christ»sur la 95e Rue dans le quartier sud de Chicago un jour et affirmer sa foi chrétienne» avec une invitation à l’autel. Mais quand son pasteur de l’église Trinity-United, le révérend Jeremiah Wright, fut interrogé (par Edward Klein, the Amateur , p. 40), «Avez-vous converti Obama de l’islam au christianisme? » Que ce soit par ignorance ou par discrétion, Wright peaufiné la question, répondant énigmatique: «C’est difficile à dire.» Notons qu’il ne rejetait pas d’emblée l’idée que Barack Obama avait été musulman.
    Le demi-frère âgé de 30 ans de Barack qui l’a rencontré à deux reprises, George Hussein Onyango Obama, a déclaré à un enquêteur en mars 2009 que «Il peut se comporter différemment en raison de l’endroit où il se trouve, mais à l’intérieur Barack Obama est musulman. »
    «Son deuxième prénom est Hussein»
    Les musulmans ne peuvent pas se défaire du sentiment que, sous son identité chrétienne proclamée, Obama est vraiment l’un d’entre eux.
    Radjeb Tayeb Erdogan le Premier ministre de la Turquie, s’est référé à Hussein comme à un nom «musulman». Les discussions entre musulmans sur Obama mentionnent parfois son deuxième prénom comme un code, sans commentaire supplémentaire nécessaire. Une conversation à Beyrouth, cité dans le Christian Science Monitor, saisit bien la perplexité. « Il doit être bon pour les Arabes parce qu’il est musulman », fit observer un épicier. «Il n’est pas musulman, c’est un chrétien,» répondit un client. Non, dit l’épicier, « Il ne peut pas être chrétien. Son deuxième prénom est Hussein. » Le nom est une preuve irréfutable.

    L’écrivaine américaine musulmane Asma Gull Hasan a écrit dans  » Obama, mon président musulman  »
    Je sais que le président Obama n’est pas musulman, mais je suis tentée de penser néanmoins qu’il l’est, comme la plupart des musulmans que je connais. Dans un sondage sans valeur scientifique, oral, effectué sur des membres de la famille pour s’étendre à des amis musulmans, il en résulte que beaucoup d’entre nous ressentent … que nous avons notre premier président américain musulman Barack Hussein Obama. … Depuis le jour des élections, j’ai participé de plus en plus à des conversations avec les musulmans dans lesquelles ils sont d’accord qu’Obama est musulman et c’est soit de façon détachée ou avec enthousiasme qu’ils le laissent échapper. Dans les commentaires sur notre nouveau président, [on entend ]«je dois soutenir mon confrère musulman», qui s’échappait de la bouche avant qu’on ait eu le temps de réfléchir à deux fois. Ou  » bien, je sais qu’il n’est pas vraiment musulman » ; je voudrais ajouter rapidement. Mais si les personnes à qui je parlais étaient musulmans, elles disaient, «oui il l’est.»
    En guise d’explication, Asma Gull Hasan mentionne le prénom d’Obama. Elle conclut: «La plupart des musulmans que je connais (moi y compris) n’arrivons pas à accepter que Obama n’est pas musulman. »
    Si les musulmans ont ces impressions, on ne s’étonnera pas que le public américain les ait aussi. Cinq sondages par le Pew Research Center en 2008-2009 pour le peuple et la presse posant la question: «connaissez –vous quelle est la religion de Barack Obama? »ont trouvé un cohérent 11-12 pour cent des électeurs inscrits américains affirmant qu’il est vraiment musulman, avec des pourcentages beaucoup plus grands chez les républicains et les évangéliques. Ce nombre est passé à 18 pour cent en août 2010 pour une enquête de Pew. Un sondage de mars 2012 a trouvé environ la moitié des électeurs républicains susceptibles à la fois dans l’Alabama et le Mississippi de voir Obama comme un musulman. L’enquête de Pew de juin- juillet 2012 a révélé que 17 pour cent disent qu’Obama est un musulman et 31 pour cent ne connaissant pas sa religion, avec seulement 49 pour cent l’identifiant en tant que chrétien. Cela met en évidence une répartition égale entre ceux qui disent qu’Obama est un chrétien et ceux qui disent qu’il ne l’est pas.
    Que ceux qui le voient comme musulman désapprouvent aussi massivement son rendement au travail montre une corrélation dans leur esprit entre l’identité musulmane et une présidence ratée. Qu’une si grosse partie du public persiste dans cette vision des choses tient à la réticence que le public éprouve à prendre Obama au mot d’être un chrétien. Ceci à son tour reflète le sentiment largement répandu que Mr. Obama a joué double jeu avec sa biographie.
    « Il s’intéressait à l’Islam »
    Pendant ses études en Indonésie, Obama, comme chacun le sait, a fréquenté le cours de Coran; ce qui est moins connu, comme il l’a rappelé en mars 2004, est son «étude de la Bible et du catéchisme» à l’école d’Assise. Comme chacun de ces cours de religion était destiné seulement pour les croyants [appartenant à cette religion], la participation aux deux cours ne se faisait pas. Plusieurs de ses anciens professeurs se souviennent bien d’Obama. Voici ce que disent trois d’entre eux à ce sujet:
    • L’institutrice d’Obama, en primaire à l’école d’Assise [alors qu’Obama avait 6 ou 7 ans (NDLT)], Israella Dharmawan, a rappelé à Watson du Los Angeles Times: « A cette époque, Barry priait également selon le rite catholique, mais Barry était musulman …. Il a été inscrit comme musulman parce que son père, Lolo Soetoro, était musulman.  »
    • L’ancien instituteur de primaire à Besuki, Fendi,[alors qu’Obama avait 8 ou 9 ans (NDLT)] a dit à Anne Barrowclough du Times (Londres) , que l’école avait des élèves de diverses confessions et a rappelé que les élèves assistaient à des cours en fonction de leur religion- sauf pour Obama, qui, seul, avait insisté pour participera à la fois à des classes chrétiennes et islamiques. Il l’a fait, même contre la volonté de sa mère chrétienne: «Sa mère n’aimait pas cet apprentissage de l’Islam, bien que son père fût un musulman. Parfois, elle venait à l’école; elle était en colère contre le professeur de religion et disait:« Pourquoi lui avez-vous enseigné le Coran? Mais il a continué à aller au cours [de Coran] parce qu’il s’intéressait à l’Islam.  »
    • Un administrateur de Besuki, Akhmad Solikhin, a exprimé (à un journal indonésien, le Kaltim Post, le 27 janvier 2007, traduction fournie pour un Américain expatrié en Asie de l’est, citation coupée pour plus de clarté) sa perplexité à propos de la religion d’Obama: « Il a en effet a été enregistré en tant que musulman, mais il prétend être chrétien ».
    Cette religiosité double, il est vrai, est en cours de discussion au moment où Obama est une personnalité internationale et lorsque la nature de son appartenance religieuse a pris des proportions politiques. Mais en plus, que les trois figures de son passé indonésien fassent indépendamment une même constatation est frappant et montre la complexité du développement personnel de Barack Obama. Ils soulèvent également la possibilité peu probante mais fascinante que Barack Obama, même à l’âge entre six à dix ans , cherchait à combiner ses religions maternelle et paternelle dans un ensemble syncrétique personnel, en se présentant à la fois comme chrétien et musulman. De façon subtile, il fait encore cela.
    Découverte de la Vérité
    En conclusion, les données disponibles montrent que Barack Obama est né et a grandi comme musulman et conservé une identité musulmane jusqu’à ce qu’il ne soit pas loin de la trentaine [entre 26 et 29 ans (NDLT)]. Enfant d’une lignée d’hommes musulmans, étant donné qu’il avait un nom musulman, enregistré en tant que musulman dans deux écoles indonésiennes, il a appris le Coran en classe de religion, récite toujours la profession de foi islamique, et parle à des auditoires musulmans comme un croyant. Entre son père musulman non pratiquant, son beau-père musulman, et ses quatre ans de vie dans un milieu musulman, il était à la fois vu par les autres et se voyait comme un musulman.
    Cela n’est pas pour dire qu’il était musulman pratiquant ou qu’il reste un musulman aujourd’hui, et encore moins un islamiste, ni que son origine musulmane influe considérablement sur sa vision politique (qui, en fait, est typique d’une gauche américaine). Ce n’est pas non plus qu’il ya un problème au sujet de sa conversion le faisant passer de l’islam au christianisme. La question est qu’Obama a spécifiquement et de façon répétée a menti sur son identité musulmane. Plus que toute autre tromperie, la façon qu’a Obama de traiter de son passé religieux met en lumière ses propres manquements moraux.
    Questions sur la Vérité d’Obama
    Pourtant, ces défauts restent encore largement inconnus de l’électorat américain. Considérons le contraste entre son cas et celui de James Frey, auteur de A Million Little Pieces. Les deux, Frey et Obama, ont écrit des mémoires erronées que Oprah Winfrey a approuvées et ont atteint le n°1 sur la liste des bestsellers de non-fiction. Lorsque les mensonges littéraires de Frey sur sa propre prise de drogue et sa criminalité sont devenus évidents, Winfrey s’en est pris violemment à lui, une bibliothèque a reclassé son livre comme une fiction, et l’éditeur a offert un remboursement aux clients qui se sont sentis trompés.
    En revanche, les mensonges d’Obama sont allègrement excusés; Arnold Rampersad, professeur d’anglais à l’Université de Stanford qui enseigne l’autobiographie, admiratif a appelé les rêves « si plein d’habiles astuces -inventions pour l’effet littéraire- que j’ai été surpris, voire étonné Mais ne vous méprenez pas. , ce sont simplement des trucs dans les métiers d’art et hors de ces trucs est censé venir notre réalisation de la vérité.» Gerald Early, professeur de littérature anglaise et d’études afro-américaines à l’Université Washington à St. Louis, va plus loin: « Cela n’a vraiment pas d’importance s’il a truqué …. Je ne crois pas qu’il importe beaucoup de savoir si Barack Obama a dit la vérité absolue dans les rêves de mon père. Ce qui est important est de savoir comment il voulait construire sa vie.  »
    Comme c’est bizarre que l’histoire d’un voyou au sujet de ses activités sordides inspire des principes moraux élevés tandis que l’autobiographie du président américain est acceptée sans exigences [le niveau passable, la moyenne (NDLT)]. Richard le truqueur cède la place à Barry le fraudeur
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    Mise à jour du 14 septembre 2012:
    • Tout ce qui ne montre pas expressément qu’Obama ait été musulman: Cela comprend son prénom et le fait de transformer l’Administration Nationale de l’Aéonautique de l’Espace des Etats-Unis , la Nasa , en une organisation que les musulmans ressentent bien.
    • Tout ce qui est spéculatif et non basé sur des faits certains: Ceci inclut la question de ses voyages au Pakistan au cours de la période universitaire et à la possibilité que Barack Obama se convertissant au christianisme pouvait inspirer les islamistes pour tenter de l’exécuter. (Bien qu’il n’y ait eu aucune indication de ceci au cours de ses 3 ans et demi en poste, il est également vrai que les services secrets qui le protègent peuvent très bien avoir décidé que la prudence exigeait que ces menaces ne soient pas publiées.) La Taqiya (mot arabe pour la dissimulation approuvée) et l’idée que Barack Obama est encore aujourd’hui un musulman n’étant pas pour moi une connaissance certaine ; j’accepte donc le fait que Obama est acteuellement un chrétien. La paternité d’Obama soulève de nombreuses questions: Jack Cashill et Joel Gilbert posent comme hypothèse, notamment dans la vidéo de ce dernier, Les Rêves de Mon Père réel, que Frank Marshall Davis (1905-1987), un leader du Parti communiste desEtats-Unis à Chicago et Hawaï, aurait séduit la mère d’Obama, Stanley Ann Dunham, l’aurait mise enceinte, et que c’est le père biologique de Barack. (Si cela est vrai, cela remet en cause que Barack soit né musulman.)
    • Des informations contradictoires, incohérentes ou confuses: des décennies de recherche faites plus tard, dans une famille banale déterrent des souvenirs incertains. L’interlude indonésien, en particulier, regorge de ceux-ci. Deux exemples: (1) Haroon Siddiqui, duToronto Star rapporte que « Tine Hahiyari, un enseignant à la retraite – qui a dit à Paul Watson correspondant de Los Angeles Times , que M. Obama a été inscrit en tant que musulman – a dit mon interprète qu’elle ne pouvait plus se rappeler ce qu’il en était .  » (2) Zulfin Adi, un ami de l’Indonésie d’Obama, est cité (dans le Daily Telegraph de Londres) comme disant: «J’ai demandé à tous les voisins s’ils le virent [Obama] prier à la mosquée et la réponse fut non, mais il jouait autour de la mosquée.  » En outre, Jason Kissner note que savoir quand exactement Obama s’est converti et est devenu un chrétien des mains du Révérend Wright est incertain en raison de «deux récits complètement contradictoires» concernant son calendrier; du mieux qu’il peut en conclure, c’est que la conversion a eu lieu quelque partentre 1987 et le début des années 1990 [donc quand Obama avait entre 26 et 29 ans puisqu’il est né le 4 août 1961 (NDLT)].
    • Les convictions religieuses des parents de Barack Obama: le père de Barack, Obama Sr. a peut-être été un «athée confirmé », mais il a pensé comme un musulman. rapporte David Maraniss (p. 163): «Quant à avoir une femme au Kenya, Obama [Sr ] a dit à son conseiller aux étudiants que «tout ce qui est nécessaire pour être divorcé est de dire à la femme qu’elle est divorcée et cela constitue un divorce ». Quant à sa mère, même si elle s’est mariée à deux musulmans, Ann Dunham ne semble pas s’être souciée beaucoup de l’islam. Il y est fait allusion par des matériaux dans mon article, cela est apparemment impliqué par la déclaration de sa fille, Maya Soertoro –Ng, dans une interview: Question: «Votre mère a été décrite comme une athée » . Soetoro-Ng: «Je ne l’ai pas qualifiée d’athée Elle était agnostique Elle nous a donné essentiellement tous les bons livres de la Bible -, les Upanishads hindous et l’Ecriture sainte bouddhiste, le Tao Te Ching – et nous a demandé de reconnaître que tout le monde a quelque chose de beau à apporter.  » Question: «Vous n’avez pas mentionné le Coran dans cette liste, bien que l’Indonésie soit le pays musulman le plus peuplé du monde.» Soetoro-Ng: «J’aurais dû mentionner le Coran. Maman n’a pas vraiment mis l’accent sur le Coran, mais nous lisions de petites parties de celui-ci .Nous avons écouté les prières du matin en Indonésie»
    • L’apologétique d’Obama: Pour lutter contre la perception de lui-même en tant que musulman, Obama met l’accent sur son identité chrétienne. En Aoùt 2009 , par exemple, il a parlé du «jeûne qui est un concept partagé par de nombreuses confessions – y compris ma propre foi chrétienne ». Et il fait référence au fait qu’il est allé dans une mosquée comme « Un chrétien visitant une mosquée ». Il fait retomber la faute de la perception de sa personne comme d’un musulman non pas sur lui-même, mais sur les conservateurs; se référant aux Blancs, il a dit aux dirigeants du parti travailliste dans une réunion privée en décembre 2010, selon David Corn, que «la fourniture d’informations par Fox News, fait qu’ils entendent à longueur de temps qu’Obama est un musulman [vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jours sur sept] et cela commence à s’infiltrer  »

    Source Daniel Pipes
    The Washington Times
    Version originale anglaise:’Obama’s Muslim Chilhood
    Adaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert

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