Du terrorisme sanguinaire au terrorisme soft

Messieurs Laurent Fabius et Jean-Yves Le Drian,

Messieurs Laurent Fabius et Jean-Yves Le Drian,
Pour l’Etat que vous représentez, sans avoir à lui demander d’honorer le coût moral des millions d’Algériens tués en son nom par le système colonial, que cet Etat commence d’abord à payer le prix en monnaie sonnante et trébuchante du blé que l’Algérie lui a livré avant la date fatidique du 5 juillet 1830, date du premier acte terroriste d’Etat que l’Algérie a subi en guise de remerciement. Les vrais Français comme les Jean-Paul Sartre, les Germaine Tillon, les Giselle Halimi, les Henri Alleg, les professeur Mandouze, les Maurice Audin, le cardinal Duval, et tant d’autres par millions, avaient bien compris que ceux qui se sont hasardés à soutenir les Guy Mollet, les Robert Lacoste, les Massu, les Bigeard et consorts dans la réédition sanglante de ce même terrorisme d’Etat il y a à peine 60 ans, que ces soutiens faisaient encore fausse route en hypothéquant l’entente cordiale entre les hommes. Parce qu’Algérien engagé dans la lutte de libération du pays contre le terrorisme d’Etat français, et Français de droit issu du premier mariage mixte en Algérie consacré en 1885 à Biskra entre mon grand-père El-Bachir Chabani et ma grand’mère Pauline Aline Marie Joncoux, je me range du côté des vrais Français qui ont toujours été pour la défense des droits de l’Homme et combattu l’injustice de quelque forme qu’elle s’exprime.
MM. Laurent Fabius et Jean-Yves le Drian sont venus en Algérie pour coordonner leurs efforts à combattre le terrorisme parce que touchant aux intérêts de la France. J’estime en tant qu'Algérien, et non en tant que citoyen américain qui, lui, aurait pu recouvrer ses droits sans faire appel, être victime d’un nouveau type de terrorisme soft qui m’a dépouillé de mes droits sur une contrefaçon prouvée et démontrée de mon invention protégée en France  par l’INPI que des juges racistes des jugements en première instance, en appel et à la cassation, ont manipulés au profit et à l’avantage d’un citoyen français à part entière pris la main dans le sac. Il s’agit de la contrefaçon de mon jeu de lettres et de stratégie «Le Phenix» honteusement contrefait sous le vocable «Takemo» 9 ans après son dépôt à l’INPI, et non moins honteusement kidnappé par des juges racistes portant atteinte à mes droits reconnus dans les
 textes de loi sur la protection de la propriété intellectuelle, et à l’image de marque de l’Algérie à travers cette invention qui a révolutionné les jeux de société dans le monde : une forme de terrorisme d’Etat soft des temps modernes causant autant de dégâts moraux et matériels que de lâches coups de couteau portés dans le dos. Aussi, par la présente, je réitère instamment ma demande aux pouvoirs publics algériens d’exiger la révision du procès et de réhabiliter cette invention en tant qu’invention algérienne spoliée. Les preuves de la contrefaçon démontrée par l’expert et la juge d’instruction près le tribunal de grande instance de Paris sont affichées sur le site web www.lephenix.dz
MM. Laurent Fabius et Jean-Yves le Drian, ne quittez pas l’Algérie sans partir avec cette affaire dans vos bagages et dans votre dignité d’hommes justes.
Vivent l’Algérie et la France des femmes et des hommes justes d’hier, d'aujourd'hui et de demain.
Abdallah Chabani
 

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