Le virus BHL
Par M. Aït Amara – Le virus BHL (Bernard-Henri Lévy), qui vient d’être détecté en Tunisie, est une maladie grave qui est apparue pour la première fois dans les pays arabes non soumis à Israël et à l’Occident. Le virus qui sévit actuellement dans le corps arabe est le plus important depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il a produit plus de cas de décès que toutes les précédentes crises réunies. Ce virus a, également, comme particularité de s’être propagé d’un pays arabe non monarchique à l’autre, partant de la Tunisie, pour contaminer l’Egypte, le Yémen, la Libye et la Syrie. Les pays les plus touchés par le virus BHL ont des systèmes politiques très fragiles et sortent à peine de plusieurs décennies de dictature. Les politologues pensent que les chauves-souris de la famille de Bernard-Henri Lévy sont les hôtes naturels de ce virus mortel, qui s’introduit dans la population humaine après un contact étroit avec ses sécrétions philosophiques nauséabondes. Il se propage ensuite par transmission interhumaine à la suite de liaisons directes avec des adeptes qui ont été, à leur tour, contaminés parce que des précautions anti-infectieuses n’ont pas été appliquées. Les sujets atteints restent contagieux tant que ce virus est présent dans le pays, car il continue de se transmettre plusieurs mois après son passage dans toute capitale arabe qui ne l’empêcherait pas de s’y rendre. Les premiers symptômes du virus BHL sont une fébrilité ressentie dans la rue et les réseaux sociaux, suivie d’une éruption de violence et d’une hémorragie interne qui se termine par des centaines de milliers de morts. Aucun traitement n’a, pour l’instant, fait ses preuves contre ce virus sournois, et seule la prévention permettra aux pays non encore touchés de prévenir la maladie du «printemps arabe», laquelle prévention consiste à éloigner le porteur de ce virus sioniste le plus loin possible des frontières ou de le renvoyer manu militari et illico presto dans son centre d’incubation, en France, dès qu’il est repéré dans un aéroport, comme à Tunis.
M. A.-A.
P. S. : éditorial largement inspiré de la définition du virus Ebola, bien que moins dangereux que le virus BHL.
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